Du côté belge, l'ASBL Contrat de Rivière Sambre & Affluents a pour mission d'assurer la concertation entre les acteurs publics et privés pour l'amélioration de la qualité des eaux de surfaces et souterraines sur le sous-bassin hydrographique de la Sambre[2].
Le nomSambre, tout comme le nom de laSomme, pourrait venir dugauloisSamara « tranquille »[3]. Plusieurs chroniqueurs médiévaux (Jacques de Guyse à la suite deLucius de Tongres) affirment que son nom vient deSambro ouSamber[4].
PourErnest Nègre,Sambre est tiré de la racine préceltique *Sab, désignant un élément liquide, suc, jus, et sève, ainsi que du suffixeara, également préceltique[5].
Sa source était celle de l'Ancienne Sambre ou Morteau (dans la forêt duNouvion-en-Thiérache) avant sa capture par l'Oise. Sur la carte de Cassini, entre Boué et Oisy (orthographié Oizy), est écrit "ancien lit de la Sambre". Le ruisseau de l'Ancienne Sambre sert désormais à alimenter lebief de partage sur l'interfluve. C'est donc désormais leRuisseau de France qui est la section amont de la Sambre.
Le cours de la Sambre est marqué par ce que les géologues belges ont appelé la « faille du Midi ». Cette bordure nord des Ardennes forme donc un creux : au sud, le massif ardennais ou ses contreforts, au nord le bassin houiller carbonifère. Cesillon dit de « Sambre-et-Meuse » se poursuit jusqu'à Namur (confluent avec laMeuse, qui à cet endroit s'engouffre à son tour dans le sillon) et Liège.
La Sambre a donc été un passage obligé pour toute armée voulant contourner les Ardennes. Ceci explique l'histoire mouvementée de l'Entre-Sambre-et-Meuse.
On notera qu'en dehors de la Flamenne, du Piéton et de l'Orneau, tout à fait en aval, tous les affluents cités sont en rive droite. Ils descendent des contreforts du massif ardennais. La Haute-Sambre et la Moyenne-Sambre n'ont pas d'affluent notable en rive gauche. De ce côté, ce ne sont que des ruisseaux prenant leur source à moins de5 km du lit de la Sambre : la Rau des Arbreux (confluent à Berlaimont) et la Sambrette (confluent à Pont-sur-Sambre). Les affluents plus notables ont été capturés par l'Escaut et laHaine. Curieusement, la Sambre coule perpendiculairement au sens général de la pente. Cette étrange situation résulte de lasurrection récente du massif ardennais par contrecoup des Alpes, surrection toujours en cours. Grâce à son érosion et à la faille du Midi, elle a pu maintenir son cours, tandis que ses affluents viennent de l'est et que ses anciens affluents ont été détournés vers l'ouest, vers l'Escaut. A noter que le Haut-Escaut est dans la même situation et n'a pas d'affluent notable en rive gauche.
Dans son parcours wallon, la Sambre quand elle se faitBasse-Sambre (autour des communes fusionnées sous le nom deSambreville), un peu en amont de Namur, donne son nom à l'une des portions du bassin industriel wallon, notamment en raison de ses charbonnages, aujourd'hui fermés. La poétesse de langue wallonneGabrielle Bernard a saisi avec finesse la dualité de cette région. Au sud de son lit et à l'ouest de celui de la Meuse, la Sambre et la Meuse donnent naissance à la région wallonne de l'Entre-Sambre-et-Meuse célèbre pour ses marches militaires issues d'escortes processionnelles d'origine religieuses où défilent, de la fin du printemps à l'automne, des soldats revêtus d'uniformes anciens, notamment napoléoniens, les célèbresmarches de l'Entre-Sambre-et-Meuse.
La Sambre française forme deux parties canalisées :
lecanal de la Sambre à l'Oise, presque rectiligne, d'une largeur constante et à faible débit. Il n'a qu'un affluent, la Rivierette.
la Sambrecanalisée, qui elle accueille les eaux des deux Helpes, la Tarsy, les Cligneux, la Solre ainsi que de nombreux fossés et ruisseaux.
L'histoire environnementale de la rivière remonte au moins auHaut Moyen Âge. Il existait de nombreux marécages le long de la Sambre qui inondaient périodiquement les basses prairies de la vallée de la Sambre.
Depuis cette époque, la rivière a subi un processus d'artificialisation et decanalisation sur une partie croissante de son parcours. Lesgués ont peu à peu disparu avec l'introduction du réseau routier et la construction des ponts. Leszones humides ouinondables adjacentes ont étédrainées et les berges aménagées, avec des créations d’étangs et dubarrage du Val Joly et parfois le détournement dulit mineur[7].
La rivière a été fortement influencée par larévolution industrielle avec le développement du bassin minier belge ainsi et une industrialisation également du côté français. Par le transport fluvial qu'elle permet et la proximité d'importantes ressources en énergie, elle a attiré des industries lourdes, dont l'industrie métallurgique. Lapollution de l'eau tend aujourd'hui à y diminuer, mais lessédiments peuvent longtemps conserver les séquelles de ce développement industriel (métaux lourds notamment).
En ce qui concerne l'écologie du paysage, lapollution a été un frein à lamigration normale des poissons. Mais à cause de sa canalisation, cette rivière est probablement également peu à peu devenue unebarrière écologique entre les milieux naturels qui l'encadraient ou l'encadrent encore ; interdisant ou freinant une partie des flux de gènes et d'espèces (pour les espèces incapables de traverser uncanal et éventuellement pour des espèces en dépendant). C'est le cas par exemple entre laforêt de Mormal et les territoires boisés situés plus à l'est.
"Embranchement de la rivière d'Helpe-Majeure à celle de la Sambre pris en droite ligne autant qu'il a été possible" ; Portion de rivière Helpe-Majeure à partir du pont de Hachette, passant près de l'abbaye de Maroilles ("Maroelles") et allant bien au-delà des ponts de "Fayt", à hauteur de "Parlabeau" ou "Bocqueau". Tracé d'une portion du "chemin projeté deLandrecyàMaubeuge (chapitre 43)" et tracé d'une portion du "chemin de Landrecy àAvesnes (chapitre 42)". Carte réalisée entre1745 et1780. Source:Atlas de Trudaine pour lagénéralité deHainaut-Cambrésis. "Chapitre 38 de l'inventaire.
La Sambre semble avoir été utilisée voireartificialisée depuis longtemps. Un récit fondateur médiéval (et partiellement prémédiéval) s'en fait en tous cas l'écho[4]. La légendehennuyère veut que laGaule belgique et la légendaire villeBelgis aient été fondées par le mythiqueBavo. Bavo l'Ancien ou Bavo le Brun aurait été un prince grec. Il serait venu, après laguerre de Troie et avec des soldats, jusque dans la vallée de laHaine. Il y aurait fondé, par les armes, un royaume ayant englobé tout leHainaut. Ceci se serait produit bien avant l'ère chrétienne, selon les anciens. Le légendaire et les chroniqueurs médiévaux rapportent[4] que Bavo eut de nombreux fils, parmi lesquelsBavo Belginéus, grand druide, qui déjà a cherché à dompter et utiliser la Sambre, alors que la ville de Belgis (Bavay selon les chroniques du Moyen Âge) manquait d'eau.
Lefrère mineurcordelierJacques de Guyse, dans ses chroniques du Hainaut raconte en effet, citantLucius de Tongres (plus ancien que lui), qu'une« rivière du nom de Cambro, qui fut par la suite appelée Cambra, coulait à quatre milles deBelgis : il [Bavo Belginéus] la fit diviser en ruisseaux étroits et en chutes d'eau, par le moyen de grosses et longues masses de murailles élevées en travers au milieu de la rivière, et qui la coupaient d'un bord à l'autre ; puis il fit construire entre ces digues cinq cens roues mobiles, qui, par leur mouvement circulaire, versaient des courants d'eau dans desciternes creusées dans les digues ; sur ces citernes d'autres roues mises en mouvement par les roues d'en bas, portaient en tournant les eaux (déjà puisées dans des réservoirs plus élevés) ; de sorte que celles-ci montaient par unmouvement circulaire et uniforme jusqu'aux sommets des digues, où elles tombaient dans de grands réservoirs de métal. De là elles coulaient, par des canaux souterrains et par des tuyaux, jusque dans la ville, et se rendaient principalement dans le fossé, dont nous avons parlé plus haut, et qui était creusé au milieu de Belgis près du palais des prêtres ; ce fossé fournissait de l'eau à toute la ville ». Ce récit est probablement très enjolivé. De Guyse lui-même cite un autre chroniqueur, Clairembaud (ou Clarembaldus), auxquels les historiens accordent peu de crédit[a]. Clairembaud, dans sesRimes, semble affirmer que« Bavo l'Ancien, favorisé deDiane, dont il avait fait observer la fête par tout le peuple, et guidé par uncerf blanc, découvrit la fontaine des fleurs, dans laquelle se baignaient lesfaunes, dieux cornus, lessatires et lesnimphes ; et que, par le ministère d'un vieillard, il fit amener en abondance, par des conduits souterrains, les eaux de cette fontaine dans la ville de Belgis ; qu'on voyait encore de son tems en beaucoup d'endroits, tant en deçà qu’au-delà de la Sambre, les lits, les conduits et les réservoirs de cette fontaine, et qu'il y avait en outre dans la même ville deux fontaines, celle de Diane à l'orient, et au couchant celle deBel, de laquelle il a été question plus haut ; que ces fontaines donnaient naissance à deux ruisseaux qui environnaient la plus grande partie de la ville, et qui, se réunissant au midi, se jetaient dans le fleuve (la Sambre) »[4]. Ces textes n'ont pas de valeur historique fiable,mais laissent penser que la Sambre, bien avant l'adduction moderne de l'eau (début duXXe siècle) avait une grande importance pour les anciens.[réf. nécessaire]
Au Moyen Âge, desmonastères mosans prestigieux s'établissent le long de la rivière, comme l'abbaye de Lobbes, l'abbaye d'Aulne et l'abbaye de Floreffe. Dans sa partie wallonne, la Sambre a servi de frontière entre la Principauté de Liège au sud de la rivière et les comtés de Hainaut et de Namur, puis les Pays-Bas des Habsbourg au nord et ce jusqu'à la fin de l'ancien régime. Cette position stratégique est à l'origine de la création de forteresses, notamment du côté liégeois, la citadelle deThuin, et du côté des Pays-Bas, laforteresse de Charleroi. À la renaissance, des châteaux de plaisance sont établis, comme lechâteau de Marchienne-au-Pont ou lechâteau de Farciennes, de style mosan.
Jusqu'en 1830, la Sambre est une rivière à lanavigation très difficile. Son régime était irrégulier : selon les saisons, crues, gel ou assèchement partiels étaient fréquents, si bien que les « eaux moyennes », époque la plus favorable à la navigation, ne duraient que cinq à six mois par an. Quant à son cours, il était particulièrement sinueux. Outre les nombreuxméandres qui le caractérisaient, il se fractionnait à plusieurs reprises (en amont deMornimont, par exemple). À cela il fallait ajouter une série d'obstacles artificiels :barrages, ponts,moulins, retenues d'eau, etc[10]. Les déchets issus de l'activité artisanale et domestique, pour lesquels la Sambre était un exutoire privilégié, pouvaient également entraver le cours de la rivière, principalement dans les villes[11]. La navigation, périlleuse, se pratiquait parbonds d'eau ouaiwées. Cette technique consistait à accumuler une réserve d'eau en amont des barrages, puis à la libérer au moment où un bateau devait passer. Cet apport d'eau permettait en théorie de garantir un niveau suffisant pour porter l'embarcation jusqu'au barrage suivant. Cesaiwées étaient payantes, ce qui incitait les petits bateliers à se regrouper et franchir ensemble chaque bief. Lorsqu'ils remontaient la rivière, les bateaux étaient tractés par des attelages de chevaux. Les « aiwées », nécessaires aux bateliers, entraînaient des conflits avec les meuniers, forgerons et autre usiniers car, en faisant baisser le niveau de l'eau, le passage des bateaux perturbait l'alimentation des moulins[12].
Une péniche sur la Sambre à Namur.
Dès leXVIIIe siècle, plusieurs études et mémoires sur l'état de la rivière avaient été rédigés, en vue d'entreprendre des travaux de grande ampleur, sans qu'aucun de ces projets ne se concrétise[13]. En 1823, un nouveau mémoire, signé par l'ingénieur De Behr, attira l'attention dugouvernement hollandais sur la nécessité de réaliser des travaux decanalisation sur la Sambre. Attentif au développement industriel du sud du pays,GuillaumeIer décida de réaliser le projet. Dans la foulée, un accord fut conclu avec les autorités françaises, afin de coordonner les travaux de part et d'autre de la frontière[14]. Lacanalisation eut lieu de 1825 à 1829 sur le cours belge[15] ; de 1832 à 1836 sur le cours français[16]. En quelques années, la Sambre prit alors une tout autre physionomie. Sa largeur était uniformisée, sontirant d'eau était devenu plus constant, ses berges avaient été réaménagées. Si la navigation s'en trouvait facilitée, l'écosystème des bords de Sambre en sortait fragilisé[17].
Administrativement, la partie française du bassin versant de la Sambre est appeléeRégion hydrographique « Affluents du Rhin » (code SANDRE D). Il s'agit en fait d'affluents et sous-affluents de la Meuse.
Du côté belge, leContrat de Rivière Sambre & Affluents (CRSA), qui incombe à l'ASBL Contrat de Rivière Sambre & Affluents, est un outil régional d'application de laDirective européenne cadre sur l'Eau et fait partie des 14 contrats de rivière deWallonie.
Le Contrat de Rivière centré sur le bassin de la Sambre a pour objectif d'atteindre un bon état écologique et chimique des eaux de surface et souterraines sur le sous-bassin hydrographique de la Sambre par son approche concertée avec l'ensemble des acteurs de l'eau. Son action est déterminée par un inventaire de terrain des cours d'eau et une concertation avec l'ensemble des partenaires privés et publics. La sensibilisation des citoyens est également une mission importante par sa communication sur son site Internet et les réseaux sociaux. Le CRSA met également à la disposition du projet européenInterregDIADeM (diagnostic de la qualité des eaux du bassin de la Meuse) un réseau de partenaires locaux, une connaissance de terrain du bassin de la Sambre et les moyens de communication du CRSA[2].
Les services de l'ASBL Contrat de Rivière Sambre et Affluents (CRSA) parcourent régulièrement les cours d’eau afin de dresser un inventaire de l’état du sous-bassin hydrographique de la Sambre (relevé des déchets, rejets d'eaux usées, érosion des berges, plantes invasives, etc.). Sur base de cet inventaire de terrain, est élaboré et mis en œuvre un Programme triennal d’Actions, en collaboration avec plus de soixante partenaires (communes, provinces etrégion wallonne, pêcheurs, agriculteurs, secteurs touristiques, riverains, organismes d’assainissement, entreprises), en vue de résoudre les problèmes relevés[26].
En Belgique, le transport de marchandises a lieu sur la Sambre via le Port autonome de Charleroi, composé de vingt-neuf sites portuaires, dans la région de Charleroi et ses environs répartis le long de la Sambre et ducanal Charleroi-Bruxelles. Les marchandises transportées via le Port Autonome de Charleroi sont majoritairement des minéraux, matériaux de construction et produits métallurgiques en provenance de sites industriels majeurs de la région de Charleroi et de sociétés telles qu'Aperam,Comet, Thy-Marcinelle etIndusteel.
Le nom, suggestif, a été repris par unesérie de bandes dessinées d'Yslaire, puis dans la mystérieuse chanson deJean-Louis MuratRouge est mon sommeil : « Comme le phacochère / Perdu dans la guerre / Rouge est la Sambre, amour ».
La Sambre est également mentionnée dans un classique de la chanson populaire wallonne :Lolote deJacques Bertrand.
Le peintrepointillisteThéo van Rysselberghe séjournait régulièrement l'été avec son épouse àThuin, dans la maison de campagne de sa belle-mère Sylvie Descamps, éditrice bruxelloise d’Émile Verhaeren, entre autres. Il lui a offert le tableauLa Vallée de la Sambre[27].
LeGrognon (lieu-dit) ou Confluence est le nom de la pointe de terre formée par la jonction des derniers mètres de la rive sud de la Sambre et de la rive ouest de la Meuse, que la Sambre rejoint à cet endroit. Dans le coin inférieur droit de celle-ci (le Grognon est au centre de la photo), on aperçoit une des ailes de l'Hospice Saint-Gilles. À la pointe du Grognon, il y avait une statue équestre imposante du roi Albert Ier de 1955 à 2015, déplacée aujourd'hui à l'avenue Albert1er.
LeParlement de Wallonie et les différentsGouvernements wallons ont décidé de déplacer vers le confluent de la Meuse et de la Sambre (endroit symbolique puisque ce sont les deux plus importants cours d'eau wallons, sur lesquels vit la majorité de la population wallonne, les deux axes principaux duSillon Sambre-et-Meuse), les bâtiments de la puissance publique régionale (Parlement et Présidence du Gouvernement). Il a existé une opposition dans la population à Namur notamment exprimée par référendum à un projet jugé trop grandiose de Parlement (réalisé par l'architecte suisseMario Botta). Aujourd'hui, avec l'arrivée de l'Enjambée et le réaménagement du lieu, le Grognon est globalement apprécié des habitants.[réf. souhaitée]
↑Le Contrat de Rivière Sambre & Affluents rassemble ; l'ensemble des acteurs du sous-bassin hydrographique réunis pour restaurer, protéger et valoriser les ressources en eau du bassin (lien).
↑abc etdFortia d'Urban,Histoire de Hainault par Jacques de Guyse, traduite en français avec le texte latin en regard, en 19 volumes, Paris, 1826-38. Voir Volume 1, pages 264 (en latin) et 265 (en français).
↑Voir par exemple :Mémoire sur la rivière de Sambre et la navigation, depuis son origine jusqu'à son confluent : suivant la visite qu'en a fait M. Franquet, par ordre de la cour l'année 1747, Bibliothèque royale Albert1er, ms. 3519.
↑Jacquet-Ladrier Fr. et Ph.,La Sambre. D'Erquelinnes à Namur, dans Augustyn B. et al.,Fleuves et rivières. I : Sambre et Lys, Bruxelles, 1988, p. 45 (Albums de Croÿ, 24).
↑Sevrin R.,La Sambre. Du bois de Nouvion à Jeumont, dans Augustyn B. et al.,Fleuves et rivières. I : Sambre et Lys, Bruxelles, 1988, p. 21 (Albums de Croÿ, 24).
↑Bavay G., Latteur O., Ledent C. et Parmentier I.,Voies navigables, environnement et paysages, dans Honnoré L. et Van Mol B.,Les voies navigables en Hainaut du Moyen âge à nos jours, Mons, 2012, p. 102.
Baugé S. (2013)Élaboration d’une méthode transposable de mise en place d’un schéma Trame Verte et Bleue à l’échelle locale: expérimentation sur 11 communes du Parc naturel régional de l’Avesnois (PNRA)
ROYAL HASKONING (2009)Élaboration d’un schéma cohérent d’intervention et de gestion des milieux aquatiques du bassin versant de la Sambre (Phase 3 : Programme d’actions)
ROYAL HASKONING (2009)Élaboration d’un schéma cohérent d’intervention et de gestion des milieux aquatiques du bassin versant de la Sambre (Phase 2 : enjeux sectorisés)