Pour le Grand-Bourg de Salagnac situé dans la Creuse, voirLe Grand-Bourg.
Salagnac | |||||
Le bourg de Salagnac. | |||||
![]() Blason | |||||
Administration | |||||
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Pays | ![]() | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Dordogne | ||||
Arrondissement | Nontron | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Isle-Loue-Auvézère en Périgord | ||||
Maire Mandat | Laurent Baronnet 2020-2026 | ||||
Code postal | 24160 | ||||
Code commune | 24515 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Salagnacois | ||||
Population municipale | 717 hab.(2022![]() | ||||
Densité | 79 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 18′ 41″ nord, 1° 11′ 50″ est | ||||
Altitude | Min. 176 m Max. 354 m | ||||
Superficie | 9,08 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton d'Isle-Loue-Auvézère | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte :France Géolocalisation sur la carte :France Géolocalisation sur la carte :Dordogne Géolocalisation sur la carte :Nouvelle-Aquitaine | |||||
Liens | |||||
Site web | Site officiel | ||||
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Salagnac est unecommune française située dans ledépartement de laDordogne, enrégionNouvelle-Aquitaine.
Limitrophe du département de la Corrèze et située à l'extrême nord-est du département de la Dordogne, la commune de Salagnac est arrosée au sud par un ruisseau sans nom, principal affluent duDalon et qui alimente l'étang de Born[1]. La partie occidentale du territoire communal se trouve enforêt domaniale de Born.
Sur le plan géologique, le sol se compose principalement deroches métamorphiquespaléozoïques, et au sud-est degrès et d'argilepermiens[2].
Le bourg de Salagnac, à l'intersection des routes départementales (RD) 5 et 72E3, se situe, endistances orthodromiques, sept kilomètres au nord-est deHautefort et dix kilomètres au sud-est deLanouaille.
Le territoire communal est également desservi par les RD 5E3, 5E5 et 72E2.
Salagnac est limitrophe de quatre autrescommunes dont une dans ledépartement de la Corrèze. Au sud-est, son territoire est distant d'environ 250 mètres de celui de la commune corrézienne deSegonzac.
Saint-Mesmin | ||
Génis | ![]() | Juillac (Corrèze) |
Sainte-Trie |
Situé sur la plaque nord duBassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange duMassif central, le département de laDordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur enstrates régulières, témoins d'unesédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plangéologique en quatre gradins différenciés selon leurâge géologique. Salagnac est dans le gradin extrême nord-est que constitue le derniercontrefort duMassif central, avec desroches cristallines formées auPaléozoïque, antérieurement auCarbonifère[3].
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées deformations superficielles duQuaternaire datant duCénozoïque et duPaléozoïque. La formation la plus ancienne, notée iρ1, se compose deporphyroïde roses à flammes deGénis : méta-ignimbrites dérivées derhyolites ignimbritiques etpotassiques (Cambrien-Ordovicien). La formation la plus récente, notée Fy3-z, fait partie desformations superficielles de typealluvions subactuelles à actuelles. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 760 - Juillac » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[4],[5] et sa notice associée[6].
Ère | Période | Époque | Formations géologiques | |||||||||||||||||
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Cénozoïque (0 - 66.0) | Quaternaire (0 - 2.58) | Holocène |
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Pléistocène | non présent | |||||||||||||||||||
Néogène (2.58 - 23.03) | non présent | |||||||||||||||||||
Paléogène (23.03 - 66.0) | non présent | |||||||||||||||||||
Mésozoïque (66.0 - 252.17) | non présent | |||||||||||||||||||
Paléozoïque (252.17 - 538.8) | Permien (251.902 - 298.9) |
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Carbonifère (298.9 - 358.9) | non présent | |||||||||||||||||||
Dévonien (358.9 - 419.2) |
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Silurien (419.2 - 443.8) | non présent | |||||||||||||||||||
Ordovicien (443.8 - 485.4) | non présent | |||||||||||||||||||
Cambrien (485.4 - 538.8) |
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Le département de la Dordogne se présente comme un vasteplateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans leNontronnais, àSaint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m àLamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 176 mètres à l'extrême sud-ouest, là où un affluent duDalon quitte la commune et sert de limite entre celles deGénis etSainte-Trie, et 354 mètres à l'extrême nord-est, en forêt de Born, en limite des communes deSaint-Mesmin etJuillac[7].
Dans le cadre de laConvention européenne du paysage entrée en vigueur en France le, renforcée par laloi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, unatlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en[8]. Les paysages du département s'organisent en huitunités paysagères[Note 1],[9]. La commune fait partie duPérigord central, un paysage vallonné, aux horizons limités par de nombreux bois, plus ou moins denses, parsemés de prairies et de petits champs[10].
La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 9,08 km2[11],[Note 2]. La superficie géographique, issue de laBD Topo, composante duRéférentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 9,34 km2[5].
La commune est située dans lebassin de la Dordogne au sein duBassin Adour-Garonne[14]. Elle est drainée par divers petits cours d'eau qui constituent unréseau hydrographique de 13,5 km de longueur totale[15],[Carte 1].
Le cours d'eau principal, affluent duDalon et sous-affluent de l'Auvézère, n'a pas de nom[16]. Il arrose le sud de la commune sur cinq kilomètres, dont un kilomètre et demi marque la limite territoriale en deux tronçons, face àSainte-Trie. Il forme l'étang de Born, une retenue d'environ dix-septhectares située en intégralité sur le territoire communal, même si la rive sud-est fait partie de la commune de Sainte-Trie.
Le territoire communal est couvert par leschéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe lesbassins versants de l'Isle et de laDronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[17]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources eneau superficielle etsouterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE duBassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le[18].
La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par lesagences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Pour des articles plus généraux, voirClimat de la Nouvelle-Aquitaine etClimat de la Dordogne.
Historiquement, la commune est exposée à unclimat océanique aquitain[19]. En 2020,Météo-France publie une typologie desclimats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à unclimat océanique altéré et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[20].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de11,8 °C, avec uneamplitude thermique annuelle de14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 057 mm, avec 12,9 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[21]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune deThenon à 22 km àvol d'oiseau[22], est de12,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 907,1 mm[23],[24]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différentsscénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[25].
Au, Salagnac est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à7 niveaux définie par l'Insee en 2022[26].Elle est située hors unité urbaine[27] et hors attraction des villes[28],[29].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d’occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (47,9 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (46,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (40,4 %), prairies (31,8 %), zones agricoles hétérogènes (16,1 %), zones urbanisées (6,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,7 %), eaux continentales[Note 3] (2,7 %)[30]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : lacarte de Cassini (XVIIIe siècle), lacarte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Le territoire de la commune de Salagnac est vulnérable à différentsaléas naturels :météorologiques (tempête,orage,neige, grand froid,canicule ousécheresse),feux de forêts, mouvements de terrains etséisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque deradon[31]. Un site publié par leBRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[32].
Salagnac est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[33]. En septembre 2020, un plan inter-départemental deprotection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[34],[35].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[36]. Leretrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer desdommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes desécheresse et de pluie[37]. 18 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveaunational métropolitain)[Carte 4]. Depuis le, en application de laloi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 4],[38].
La commune a été reconnue enétat de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations etcoulées de boue survenues en 1982 et 1999, par la sécheresse en 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[31].
Dans plusieurs parties du territoire national, leradon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population auxrayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Salagnac est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[39].
La première mention écrite connue du lieu date de l'an 1219 sous la forme « Salanac »[40].
Le nom de la commune correspond au nom d'un personnagegallo-romanSalanus auquel est ajouté lesuffixe-acum indiquant le « domaine deSalanus »[40].
Enoccitan, la commune porte le nom deSalanhac[41].
Le village de Salagnac a été donné à l'abbaye de Dalon au début duXIIIe siècle[40].
Lors de la création des départements français en 1790, la commune de Salagnac a d'abord brièvement fait partie de laCorrèze avant d'être rattachée en 1793 à laDordogne[40], avec neuf autres communes.
Après laPremière Guerre mondiale, vient la nécessité de lutter activement contre le grand mal de l'époque qu'est latuberculose et aussi d'aider à la réinsertion socio-professionnelle des soldats gazés durant le conflit.
La Fédération nationale des blessés du poumon et chirurgicaux (FNBPC), à l'instigation de son secrétaire généralAlbert Delsuc, souhaite la création d'une cité sanitaire unique en son genre, devant correspondre aux critères de lacité-jardin, et permettant aux pensionnaires de mener une vie familiale et professionnelle tout en étant soignés. Une subvention de 60 millions de francs est votée à l'unanimité par le Parlement pour parfaire le projet.
La « cité Clairvivre » sort de terre entre 1931 et 1933, sur les plans de l'architectePierre Forestier.
C'est une petite ville totalement autonome, organisée de part et d'autre d'une avenue principale et possédant notamment : un bâtiment de 200 chambres (réservé à l'accueil des tuberculeux célibataires et des visiteurs), 175 pavillons (soit 340 logements destinés aux malades et à leur famille), un hôpital (avecdispensaire et service social), une centrale d'épuration, un système d'adduction d'eau, une centrale électrique, des commerces, des grands magasins, des écoles, une ferme et des cultures.
La gestion de la cité est confiée à la société « La maison des blessés du poumon » (SMBP) dont l'administrateur était Albert Delsuc lui-même.
Avec la disparition progressive des soldats gazés lors de la guerre de 1914-1918, la cité se transforme progressivement en unsanatorium classique.
À partir de 1937, elle accueille, tout en continuant à fonctionner, de nombreux réfugiés tels que des blessés de laGuerre d'Espagne.
Puis en 1939 et 1940, les hospices civils deStrasbourg investissent les lieux, accompagnés de réfugiésalsaciens etlorrains. Ceux-ci quittentClairvivre au début de l'année 1945[42].
À partir de 1966, la SMBP crée unCentre d’aide par le travail (CAT) destiné à accueillir des personnes handicapées adultes. Celui-ci s'agrandit progressivement au détriment du sanatorium (qui ferme définitivement ses portes en), pour accueillir des personnes handicapées physiques de toute nature.
À la suite d'importantes difficultés financières, la SMBP doit abandonner la gestion deClairvivre à l'Établissement public départemental constitué le.
La commune de Salagnac a, dès 1790, fait partie du département de laCorrèze.
En 1793, elle est rattachée aucanton de Génis qui dépend dudistrict d'Excideuil dans le département de laDordogne. En 1801, le canton deGénis est supprimé, de même que lesdistricts, et la commune est rattachée aucanton d'Excideuil dépendant de l'arrondissement de Périgueux[43].
Dans le cadre de laréforme de 2014 définie par le décret du, ce canton disparaît auxélections départementales de mars 2015[44]. La commune est alors rattachée aucanton d'Isle-Loue-Auvézère.
En 2017, Salagnac est rattachée à l'arrondissement de Nontron[45],[46].
En 2006, Salagnac rejoint lacommunauté de communes de Juillac-Loyre-Auvézère, intercommunalité du département de la Corrèze. Elle la quitte le pour rejoindre lacommunauté de communes Causses et Rivières en Périgord[47]. Celle-ci est dissoute le et ses communes — hormisSavignac-les-Églises qui rejointLe Grand Périgueux — sont rattachées à la communauté de communes du Pays de Lanouaille qui la même année prend le nom decommunauté de communes Isle-Loue-Auvézère en Périgord.
La population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinzeconseillers municipaux ont été élus en 2020[48],[49].
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
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Les données manquantes sont à compléter. | ||||
? | mars 1977 | Robert Cornut | ||
mars 1977 | mars 2001 | Gilbert Dupuy | ||
mars 2001[50] | mai 2020 | Alain Maigret | SE[51] | Retraité |
mai 2020 | En cours | Laurent Baronnet |
En 2024, la commune dépend du Syndicat intercommunal d'alimentation en eau potable (SIAEP) du Nord Est Périgord[53].
En 2023, dans le domaine judiciaire, Salagnac relève[54] :
Les habitants de Salagnac se nomment les Salagnacois[55].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[56]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[57].
En 2022, la commune comptait 717 habitants[Note 5], en évolution de −9,01 % par rapport à 2016 (Dordogne : +0,37 %,France horsMayotte : +2,11 %).
1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 | 1856 |
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210 | 218 | 214 | 264 | 284 | 304 | 319 | 323 | 283 |
1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 | 1901 |
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322 | 329 | 327 | 310 | 300 | 326 | 359 | 330 | 317 |
1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 | 1962 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
321 | 303 | 259 | 248 | 227 | 668 | 1 182 | 1 228 | 918 |
1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2004 | 2006 | 2009 | 2014 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
826 | 1 122 | 833 | 812 | 785 | 919 | 929 | 873 | 808 |
2019 | 2022 | - | - | - | - | - | - | - |
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729 | 717 | - | - | - | - | - | - | - |
En 2015[59], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 474 personnes, soit 59,3 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (79) a presque triplé par rapport à 2010 (27) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 16,7 %.
Au, la commune compte vingt-six établissements[60], dont onze au niveau des commerces, transports ou services, onze relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, deux dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, un dans la construction, et un dans l'industrie[61].
Dans le secteur duBTP, parmi les entreprises dont le siège social est en Dordogne, la société « LRB montage » (travaux de montage de structures métalliques), implantée à Salagnac, se classe en34e positionquant auchiffre d'affaireshors taxes en 2015-2016, avec 3 476 k€[62].
À l'est, la forêt domaniale de Born, unezone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type 2 remarquable pour sa flore, se situe principalement sur les communes de Salagnac et deSaint-Mesmin[68],[69].
![]() | Blason | |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |