Pour les articles homonymes, voirSaint-Paul.
| Saint-Paul-de-Serre | |||||
Le village de Saint-Paul-de-Serre. | |||||
| Administration | |||||
|---|---|---|---|---|---|
| Pays | |||||
| Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
| Département | Dordogne | ||||
| Arrondissement | Périgueux | ||||
| Intercommunalité | Communauté d'agglomération Le Grand Périgueux | ||||
| Maire Mandat | Florian Chantegreil 2022-2026 | ||||
| Code postal | 24380 | ||||
| Code commune | 24480 | ||||
| Démographie | |||||
| Population municipale | 333 hab.(2022 | ||||
| Densité | 32 hab./km2 | ||||
| Géographie | |||||
| Coordonnées | 45° 05′ 18″ nord, 0° 38′ 02″ est | ||||
| Altitude | Min. 91 m Max. 214 m | ||||
| Superficie | 10,44 km2 | ||||
| Type | Commune rurale à habitat très dispersé | ||||
| Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
| Aire d'attraction | Périgueux (commune de la couronne) | ||||
| Élections | |||||
| Départementales | Canton du Périgord central | ||||
| Législatives | Quatrième circonscription | ||||
| Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte :France Géolocalisation sur la carte :France Géolocalisation sur la carte :Dordogne Géolocalisation sur la carte :Nouvelle-Aquitaine | |||||
| Liens | |||||
| Site web | www.saintpauldeserre.fr | ||||
| modifier | |||||
Saint-Paul-de-Serre est unecommune française située dans ledépartement de laDordogne, enrégionNouvelle-Aquitaine.
Incluse dans l'aire d'attraction de Périgueux, la commune de Saint-Paul-de-Serre se situe dans la partie sud-ouest duPérigord central. Elle est arrosée par leVern, par son affluent le Serre dont le nom se retrouve dans celui de la commune, et par le Rosier, affluent du Serre.
Le territoire communal est desservi par les routes départementales 43 et 44.
Le village de Saint-Paul-de-Serre, dans la vallée du Serre et sur la route départementale 44, se situe, endistances orthodromiques, neuf kilomètres au nord-ouest deVergt et dix kilomètres au sud-est deSaint-Astier.
Saint-Paul-de-Serre est limitrophe de six autres communes, dontBourrou au sud-ouest par unquadripoint.
| Coursac | Chalagnac | |
| Manzac-sur-Vern | ||
| Bourrou | Grun-Bordas | Creyssensac-et-Pissot |
Situé sur la plaque nord duBassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange duMassif central, le département de laDordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur enstrates régulières, témoins d'unesédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plangéologique en quatre gradins différenciés selon leurâge géologique. Saint-Paul-de-Serre est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé decalcaires hétérogènes duCrétacé[1].
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées deformations superficielles duQuaternaire et deroches sédimentaires datant pour certaines duCénozoïque, et pour d'autres duMésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c5a(2), date duCampanien 1, descalcairespackstone à wackstone crayo-marneux gris blanchâtres à subalvéolines àsilex gris ou noirs. La formation la plus récente, notée CFp, fait partie desformations superficielles de typecolluvions indifférenciées de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions,molasses,altérites. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 782 - Mussidan » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2],[3] et sa notice associée[4].

| Ère | Période | Époque | Formations géologiques | ||||||||||||
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| Cénozoïque (0 - 66.0) | Quaternaire (0 - 2.58) | Holocène |
| ||||||||||||
| Pléistocène | non présent | ||||||||||||||
| Néogène (2.58 - 23.03) | non présent | ||||||||||||||
| Paléogène (23.03 - 66.0) | Oligocène |
| |||||||||||||
| Éocène | non présent | ||||||||||||||
| Paléocène | non présent | ||||||||||||||
| Mésozoïque (66.0 - 252.17) | Crétacé (66.0 - ≃145.0) | Supérieur |
| ||||||||||||
| inférieur | non présent. | ||||||||||||||
| Jurassique (≃145.0 - 201.4) | non présent | ||||||||||||||
| Trias (201.4 - 251.902) | non présent | ||||||||||||||
| Paléozoïque (252.17 - 538.8) | non présent | ||||||||||||||
Le département de la Dordogne se présente comme un vasteplateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans leNontronnais, àSaint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m àLamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 91 mètres[5] au sud-ouest, près du lieu-ditla Chassagne, là où leVern quitte la commune et entre sur celle deManzac-sur-Vern, et 214 mètres[5] au sud-est, près du lieu-ditles Clèdes, en limite de la commune deCreyssensac-et-Pissot[6].
Dans le cadre de laConvention européenne du paysage entrée en vigueur en France le, renforcée par laloi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, unatlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en[7]. Les paysages du département s'organisent en huitunités paysagères[Note 1],[8]. La commune fait partie duPérigord central, un paysage vallonné, aux horizons limités par de nombreux bois, plus ou moins denses, parsemés de prairies et de petits champs[9].
La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 10,44 km2[5],[10],[Note 2]. La superficie géographique, issue de laBD Topo, composante duRéférentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 10,8 km2[3].
La commune est située dans lebassin de la Dordogne au sein duBassin Adour-Garonne[13]. Elle est drainée par le Vern, le Serre, le Rosier et par deux petits cours d'eau, qui constituent unréseau hydrographique de 14 km de longueur totale[14],[Carte 1].
LeVern, d'une longueur totale de 40,36 km, prend sa source en limite des communes deVal de Louyre et Caudeau etVeyrines-de-Vergt, et se jette dans l'Isle en rive gauche àNeuvic[15]. Il arrose le sud de la commune dont près de800 mètres servent de limite naturelle face àManzac-sur-Vern.
Son affluent de rive droite le Serre baigne le nord du territoire communal d'est en ouest sur plus de trois kilomètres.
Affluent de rive droite du Serre, le Rosier, ou ruisseau de Chantebrune dans sa partie amont, arrose l'extrême nord de la commune sur trois kilomètres et demi, dont400 mètres en limite de Manzac-sur-Vern. Il alimente l'étang du Rosier, une retenue de huithectares et demi dont la quasi-intégralité se situe sur le territoire communal.
Le territoire communal est couvert par leschéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe lesbassins versants de l'Isle et de laDronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[16]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources eneau superficielle etsouterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE duBassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le[17].
La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par lesagences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Pour des articles plus généraux, voirClimat de la Nouvelle-Aquitaine etClimat de la Dordogne.
Plusieurs études ont été menées afin de caractériser les types climatiques auxquels est exposé le territoire national. Les zonages obtenus diffèrent selon les méthodes utilisées, la nature et le nombre des paramètres pris en compte, le maillage territorial des données et la période de référence. En 2010, le climat de la commune était ainsi de typeclimat océanique altéré, selon une étude duCentre national de la recherche scientifique (CNRS) s'appuyant sur une méthode combinant données climatiques et facteurs de milieu (topographie, occupation des sols, etc.) et des données couvrant lapériode 1971-2000[18]. En 2020, le climat prédominant est classé Cfa, selon laclassification de Köppen-Geiger, pour la période 1988-2017, à savoir un climat tempéré à été chaud sans saison sèche[19]. Par ailleursMétéo-France publie en 2020 une nouvelle typologie desclimats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à unclimat océanique altéré[20] et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à20 jours)[21]. Elle est en outre dans lazone H2c au titre de laréglementation environnementale 2020 des constructions neuves[22],[23].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de12,3 °C, avec uneamplitude thermique annuelle de14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 918 mm, avec11,9 jours de précipitations en janvier et7,3 jours en juillet[18]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur lastation météorologique deMétéo-France la plus proche, sur la commune deCoulounieix-Chamiers à12 km àvol d'oiseau[24], est de13,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 912,2 mm[25],[26]. La température maximale relevée sur cette station est de41,1 °C, atteinte le ; la température minimale est de−13,8 °C, atteinte le[Note 3].
Laprotection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver desespaces naturels remarquables et leurbiodiversité associée[27],[28].
La commune fait partie dubassin de la Dordogne, un territoire d'une superficie de 24 000 km2 reconnuréserve de biosphère par l'UNESCO en et se situe dans sa « zone de transition »[29].
Leréseau Natura 2000 est unréseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir desdirectiveshabitats etoiseaux, constitué dezones spéciales de conservation (ZSC) et dezones de protection spéciale (ZPS)[Note 4].
Aucun site Natura 2000 n'a été défini sur la commune[31].
L'inventaire deszones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
En 2022, une ZNIEFF est recensée sur la commune d’après l'INPN[32].
Cette ZNIEFF detype 1[Note 5] concerne certainscoteaux du Vern[33],[34], notamment sept zones distinctes totalisant environ140 hectares, en rive gauche du Vern, près du lieu-ditles Granges, ainsi qu'en rive droite du Vern, près des lieux-ditsle Champillou,Chante-Alouette,Chavantou,la Mouthe,les Virades,la Chassagne, etChamaly en rive droite de son affluent le Serre. Celles-ci représentent près de 30 % de la superficie totale de cette ZNIEFF où uneespèce déterminante de plantes et quatre espèces d'oiseaux protégées au titre de laDirective oiseaux de l'Union européenne ont été répertoriées[33].
Il existe également une ZNIEFF detype 2[Note 6] « Vallée de l'Isle de Périgueux à Saint-Antoine-sur-l'Isle, le Salembre, le Jouis et le Vern » qui concerne notamment toute la vallée duVern depuis l'amont deBordas jusqu'à sa confluence avec l'Isle[35].
Au, Saint-Paul-de-Serre est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à7 niveaux définie par l'Insee en 2022[36].Elle est située hors unité urbaine[37]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Périgueux, dont elle est une commune de la couronne[Note 7],[37]. Cette aire, qui regroupe 49 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[38],[39].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d’occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (55,4 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (57,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (44,8 %), forêts (43,1 %),terres arables (8,2 %), zones agricoles hétérogènes (2,4 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,5 %)[40]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : lacarte de Cassini (XVIIIe siècle), lacarte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Outre lebourg de Saint-Paul-de-Serre proprement dit, le territoire se compose d'autresvillages ouhameaux, ainsi que delieux-dits[41] :
Le territoire de la commune de Saint-Paul-de-Serre est vulnérable à différentsaléas naturels :météorologiques (tempête,orage,neige, grand froid,canicule ousécheresse),feux de forêts, mouvements de terrains etséisme (sismicité très faible)[42]. Un site publié par leBRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[43].
Saint-Paul-de-Serre est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[44]. En septembre 2020, un plan inter-départemental deprotection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[45],[46].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[47]. Leretrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer desdommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes desécheresse et de pluie[48]. 92,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveaunational métropolitain)[Carte 4]. Depuis le, en application de laloi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 8],[49].
La commune a été reconnue enétat de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations etcoulées de boue survenues en 1982, 1983, 1986 et 1999, par la sécheresse en 1989, 1992, 1997, 2005 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[42].
Enoccitan, la commune porte le nom deSent Pau de Serra[50].
La découverte au hasard des travaux de silex taillés et de pierres polies atteste l’ancienneté de l’occupation de ce territoire. L’époque gallo-romaine est représentée par des vestiges de villas trouvés dans les champs (tuiles, ciment, mortier, débris de marbre et de poteries). Unemotte – surélévation de terrain entourée d’un fossé – est encore visible au milieu des bois et le village dela Mouthe tient probablement son nom d’une telle construction.
Plus tard, l’église a probablement été construite vers leXIe siècle mais « sur l’emplacement et les fondements d’une autre église qui pourrait dater duVIIe ou du VIIIe siècle »[51].
Le nom de Saint Paul de Serre apparaît pour la première fois dans un acte de 1226 sous la forme deSanctus Paulus de Sera[51].
Le premier dénombrement de population connu date de 1365. On peut penser qu’à cette époque là, il y avait à peu près 180 âmes à Saint Paul de Serre. La situation évoluera et en 1851 le village est à son apogée avec 591 habitants.
AuxXVIIe et XVIIIe siècles, laparoisse de Saint Paul de Serre dépend de lachâtellenie deGrignols[52].
De nos jours, soutenues par leur maillage de lierre, les dernières pierres du château des d’Abzac (ils en étaient propriétaires auXVe siècle), dominent toujours le petit bourg groupé autour de son église dédiée à saints Pierre et Paul.
Dès 1790, la commune de Saint-Paul-de-Serre est rattachée aucanton de Grignols qui dépend dudistrict de Périgueux jusqu'en 1795, date de suppression desdistricts. En 1801, La commune est rattachée au canton de Saint-Jean-de-Vergt, renommé ultérieurement encanton de Vergt, lui-même dépendant de l'arrondissement de Périgueux[5].
Lors de l'importanteréforme de 2014 définie par le décret du et supprimant la moitié des cantons du département, le canton de Vergt disparait, remplacé par lecanton du Périgord central, au périmètre bien plus vaste[53], dont le bureau centralisateur reste fixé àVergt.
Fin 2001, Saint-Paul-de-Serre intègre dès sa création lacommunauté de communes du Pays vernois. Celle-ci est dissoute le et remplacée au par lacommunauté de communes du Pays vernois et du terroir de la truffe. Elle est elle-même dissoute le et ses communes sont intégrées à la communauté d'agglomérationLe Grand Périgueux le.
La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onzeconseillers municipaux ont été élus en 2020[54],[55].

| Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
|---|---|---|---|---|
| Les données manquantes sont à compléter. | ||||
| 1792 | 1826 | Étienne Allemandou | ||
| 1826 | 1830 | Louis Trasrieu | ||
| 1830 | 1852 | Bernard Allemandou | ||
| 1852 | 1870 | Élie Vincent Langevin | ||
| 1870 | 1880 | Michel Octave Pradier | ||
| 1880 | 1884 | Eymeric du Mas de Paysac | ||
| 1884 | 1904 | Marcel Denoix | ||
| 1904 | 1912 | Raoul Pradier | ||
| 1912 | 1914 | Fernand Desmartin | ||
| 1914 | 1915 | Joseph Peytoureau | ||
| 1915 | 1919 | Firmin Champeaud | ||
| 1919 | 1924 | Fernand Desmartin | ||
| 1924 | 1925 | Jean Peytoureau | ||
| 1925 | 1928 | Fernand Desmartin | ||
| 1928 | 1929 | Henri Beaugier | ||
| 1929 | 1958 | Joseph Virol | Radical socialiste | Agriculteur |
| 1958 | 1971 | Fernand Nadaud | Radical socialiste | Agriculteur |
| 1971 | 1977 | Henri Ogier | TechnicienDDA | |
| juin 1977 | mars 2014 | Jean-Paul Virol | PS[56] | Professeur retraité |
| mars 2014 | décembre 2018 | Dominique Lourd[Note 9] | DVG | Fonctionnaire territorial |
| décembre 2018 | mars 2019 | Yannick Bidaud[57] | Président de ladélégation spéciale[58] Cadre administratif à la retraite | |
| mars 2019[59] | janvier 2022 | Jean-Paul Virol[Note 10] | PS | Professeur à la retraite |
| février 2022[60] | en cours | Florian Chantegreil | ||
Les communes duPays vernois sont jumelées avec la ville canadienne deSaint-Jacques de Montcalm depuis 1996[61].
En 2023, dans le domaine judiciaire, Saint-Paul-de-Serre relève[62] :
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[63]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[64].
En 2022, la commune comptait 333 habitants[Note 11], en évolution de +20,22 % par rapport à 2016 (Dordogne : +0,37 %,France horsMayotte : +2,11 %).
| 1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| 481 | 456 | 502 | 526 | 555 | 565 | 560 | 550 | 591 |
| 1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| 573 | 576 | 514 | 514 | 526 | 528 | 541 | 487 | 483 |
| 1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| 464 | 461 | 421 | 345 | 331 | 321 | 303 | 299 | 248 |
| 1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2011 | 2016 |
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| 231 | 199 | 187 | 155 | 208 | 236 | 246 | 260 | 277 |
| 2021 | 2022 | - | - | - | - | - | - | - |
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| 323 | 333 | - | - | - | - | - | - | - |

En 2015[66], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 136 personnes, soit 49,8 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (cinq) a fortement diminué par rapport à 2010 (quatorze) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 3,6 %.
Au, la commune compte vingt-deux établissements[67], dont onze au niveau des commerces, transports ou services, cinq relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, trois dans la construction, et trois dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche[68].

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| (périmètre de 2024 ; population municipale au) | |
|---|---|
| Plus de 20 000 habitants | |
| Plus de 10 000 habitants | |
| Plus de 3 500 habitants | |
| Plus de 2 000 habitants | |
| Moins de 2 000 habitants |
|
| Communes déléguées | |