Movatterモバイル変換


[0]ホーム

URL:


Aller au contenu
Wikipédial'encyclopédie libre
Rechercher

Saint-Lions

43° 59′ 10″ nord, 6° 24′ 01″ est
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Saint-Lions
Saint-Lions
Le Mouchon, à Clumanc (et Saint-Lions).
Administration
PaysDrapeau de la FranceFrance
RégionProvence-Alpes-Côte d’Azur
DépartementAlpes-de-Haute-Provence
ArrondissementCastellane
IntercommunalitéCommunauté de communes Alpes Provence Verdon - Sources de Lumière
Maire
Mandat
Madeleine Isnard
2020-2026
Code postal04330
Code commune04187
Démographie
Population
municipale
38 hab.(2022en évolution de −26,92 % par rapport à 2016)
Densité3,3 hab./km2
Géographie
Coordonnées43° 59′ 10″ nord, 6° 24′ 01″ est
AltitudeMin. 739 m
Max. 1 589 
m
Superficie11,55 km2
TypeCommune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaineHors unité urbaine
Aire d'attractionHors attraction des villes
Élections
DépartementalesCanton de Riez
LégislativesPremière circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte :France
Voir sur la carte topographique de France
Saint-Lions
Géolocalisation sur la carte :France
Voir sur la carte administrative de France
Saint-Lions
Géolocalisation sur la carte :Alpes-de-Haute-Provence
Voir sur la carte topographique des Alpes-de-Haute-Provence
Saint-Lions
Géolocalisation sur la carte :Provence-Alpes-Côte d'Azur
Voir sur la carte administrative de Provence-Alpes-Côte d'Azur
Saint-Lions
modifier 

Saint-Lions est unecommune française, située dans ledépartement desAlpes-de-Haute-Provence enrégionProvence-Alpes-Côte d'Azur.

Lenom de ses habitants est Saint-Lionnais[1].

Géographie

[modifier |modifier le code]

Localisation

[modifier |modifier le code]
Carte élémentaire montrant les limites de la commune, les communes voisines, les zones de végétation et les routes
Saint-Lions et les communes voisines (Cliquez sur la carte pour accéder à une grande carte avec la légende).

Les communes limitrophes de Saint-Lions sontClumanc,Moriez,Barrême etSaint-Jacques.

Environnement, géologie et relief

[modifier |modifier le code]
La montagne de Mouchon, vue du village. Ses flancs sont très érodés, et elle est en partie recolonisée par la forêt.

La commune se compose de182,10 hectares de territoires agricoles (15,75 %) et973,99 hectares de forêts et milieux semi-naturels (84,26 %)[2].

Le village est situé à 800 m d’altitude[3].

Saint-Lions compte475 ha de bois et forêts, soit 41 % de sa superficie[1].

La commune est couverte par deuxZNIEFF (Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique)[4].

Le périmètre de protection de laRéserve naturelle géologique de Haute-Provence couvre également la commune de Saint-Lions.

Voies de communications et transports

[modifier |modifier le code]

Voies routières

[modifier |modifier le code]

L'accès au village s'effectue par la route départementale 319.

Elle est au carrefour desRN 202,RN 85 et RD 4085, qui est l’ancienne RN 85 départementalisée. RN 85 et RD 4085 font partie de laroute Napoléon.

Transports en commun

[modifier |modifier le code]

Lignes SNCF

[modifier |modifier le code]

La gare la plus proche est celle de Barrême, desservie par le chemin de fer de laligne de Nice à Digne. Cette ligne est aussi connue sous le nom de « train des Pignes » qui a deux arrêts sur la commune, à l’arrêt facultatif de Gévaudan et à la gare de Barrême.

Risques majeurs

[modifier |modifier le code]

La commune de Saint-Lions est exposée à trois risques naturels[5] :

  • feu de forêt,
  • inondation,
  • mouvement de terrain.

La commune de Saint-Lions n’est exposée à aucun des risques d’origine technologique recensés par la préfecture[6] ; aucunplan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) n’existe pour la commune[6] mais leDicrim existe depuis 2011[7].

Sismicité

[modifier |modifier le code]

Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Lecanton de Barrême auquel appartient Saint-Lions est en zone 1b (sismicité faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur lesséismes historiques[8], et en zone 4 (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[5].

Hydrographie et les eaux souterraines

[modifier |modifier le code]

Cours d'eau sur la commune ou à son aval[9] :

Climat

[modifier |modifier le code]

Pour des articles plus généraux, voirClimat de Provence-Alpes-Côte d'Azur etClimat des Alpes-de-Haute-Provence.

Plusieurs études ont été menées afin de caractériser les types climatiques auxquels est exposé le territoire national. Les zonages obtenus diffèrent selon les méthodes utilisées, la nature et le nombre des paramètres pris en compte, le maillage territorial des données et la période de référence. En 2010, le climat de la commune était ainsi de typeclimat méditerranéen altéré, selon une étude duCentre national de la recherche scientifique (CNRS) s'appuyant sur une méthode combinant données climatiques et facteurs de milieu (topographie, occupation des sols, etc.) et des données couvrant lapériode 1971-2000[10]. En 2020, le climat prédominant est classé Csa, selon laclassification de Köppen-Geiger, pour la période 1988-2017, à savoir un climat tempéré à été chaud et sec[11]. Par ailleursMétéo-France publie en 2020 une nouvelle typologie desclimats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à unclimat de montagne ou de marges de montagne[12] et est dans la région climatique Alpes du sud, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 850 à 1 000 mm, minimale en été[13]. Elle est en outre dans lazone H2d au titre de laréglementation environnementale 2020 des constructions neuves[14],[15].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de10,7 °C, avec uneamplitude thermique annuelle de8,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 941 mm, avec 6,7 jours de précipitations en janvier et 5,1 jours en juillet[10]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur lastation météorologique deMétéo-France la plus proche, sur la commune deLa Mure-Argens à 10 km àvol d'oiseau[16], est de9,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 891,5 mm[17],[18]. La température maximale relevée sur cette station est de37,3 °C, atteinte le ; la température minimale est de−21,9 °C, atteinte le[Note 1].

Pour afficher une liste d’indicateurs climatiques caractérisant la commune aux horizons 2030, 2050 et 2100 et pouvoir ainsi s'adapter aux changements climatiques, entrer son nom dans Climadiag-commune[19], un site de Météo-France élaboré à partir des nouvellesprojections climatiques de référence DRIAS-2020.

Toponymie

[modifier |modifier le code]

Le nom actuel du village apparaît pour la première fois en1141 (sancti Leontio)[20],[21] ; il est nommé d’après le nom de saintLéonce ouLéon,évêque de Fréjus auIVe siècle[21] sous sa formeoccitane, qui a étéfrancisée par la suite[20].

Urbanisme

[modifier |modifier le code]

Typologie

[modifier |modifier le code]

Au, Saint-Lions est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à7 niveaux définie par l'Insee en 2022[22].Elle est située hors unité urbaine[23] et hors attraction des villes[24],[25].

Occupation des sols

[modifier |modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d’occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (84,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (84,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (45,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (28,1 %), zones agricoles hétérogènes (13,1 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (10,6 %),terres arables (2,7 %)[26].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : lacarte de Cassini (XVIIIe siècle), lacarte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Histoire

[modifier |modifier le code]

Le village s’appelait autrefois Dauphin, et faisait partie de la communauté voisine deBarrême. Son église est donnée à l’abbaye Saint-Victor de Marseille auXIIIe siècle, ou selon les interprétations, à l’église Notre-Dame deThorame[27]. Il devient un fief desVilleneuve au siècle suivant jusqu’à laRévolution[3].

En, le hameau de Saint-Lyons demande son détachement de Barrême, et devient une commune à part entière en[28]. Lasociété patriotique de la commune y est créée pendant l’été 1792[29]. Toujours durant laRévolution, pour suivre le décret de laConvention du25 vendémiairean II invitant les communes ayant des noms pouvant rappeler les souvenirs de la royauté, de laféodalité ou des superstitions, à les remplacer par d'autres dénominations, la commune change de nom pourLions-d’Asse[30].

La Révolution et l’Empire apportent nombre d’améliorations, dont uneimposition foncière égale pour tous, et proportionnelle à la valeur des biens de chacun. Afin de la mettre en place sur des bases précises, la levée d’uncadastre est décidée. Laloi de finances du précise ses modalités, mais sa réalisation est longue à mettre en œuvre, les fonctionnaires du cadastre traitant les communes par groupes géographiques successifs. Ce n’est qu’en 1837 que lecadastre dit napoléonien de Saint-Lions est achevé[31].

Économie

[modifier |modifier le code]

Entreprises et commerces

[modifier |modifier le code]

Agriculture

[modifier |modifier le code]
  • Élevage d'ovins et de caprins.
  • Culture de céréales, de légumineuses et de graines oléagineuses.

Tourisme

[modifier |modifier le code]
  • Hébergements et restauration à Barrême, Thorame-Basse, Beynes[32].

Commerces

[modifier |modifier le code]
  • Le principal employeur de la commune est Terre et traditions, dont l’activité est la transformation de produits organiques en amendements. Elle emploie 7salariés[33],[34].
  • Commerces et services de proximité[35].

Politique et administration

[modifier |modifier le code]

Liste des maires

[modifier |modifier le code]
Liste des maires successifs
PériodeIdentitéÉtiquetteQualité
Les données manquantes sont à compléter.
1791 Henri Pascal[28] plus ancien maire connu
     
mai 1945 Ernest Isnard[36]  
     
mars 1983[37]en coursMadeleine Isnard[38],[39]PCFAgricultrice[40]

Budget et fiscalité 2024

[modifier |modifier le code]
Mairie de Saint-Lions.

En 2024, le budget de la commune était constitué ainsi[41] :

Avec les taux de fiscalité suivants :

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2021 : médiane en 2021 du revenu disponible, par unité de consommation[42].

Intercommunalité

[modifier |modifier le code]

Saint-Lions était membre, jusqu'en 2016, de lacommunauté de communes du Moyen Verdon ; depuis le, elle fait partie de lacommunauté de communes Alpes Provence Verdon - Sources de Lumière.

Population et société

[modifier |modifier le code]

Démographie

[modifier |modifier le code]

Évolution démographique

[modifier |modifier le code]
Articles connexes :Histoire du recensement de la population en France etDémographie de la France.

En 2022, Saint-Lions comptait 38 habitants. À partir duXXIe siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans (2004, 2009, 2014, etc. pour Saint-Lions). Depuis 2004, les autres chiffres sont des estimations.

Évolution de la population  [ modifier ]
179318001806182118311836184118461851
189197186229181200193192187
Évolution de la population  [ modifier ], suite (1)
185618611866187218761881188618911896
159163164163137147129123112
Évolution de la population  [ modifier ], suite (2)
190119061911192119261931193619461954
1108674755867534027
Évolution de la population  [ modifier ], suite (3)
196219681975198219901999200420062009
272320285032434335
Évolution de la population  [ modifier ], suite (4)
201420192022------
504138------
De 1962 à 1999 :population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes :population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[43] puisInsee à partir de 2006[44].)

L’histoire démographique de Saint-Lions est marquée par une période d’« étale » où la population reste relativement stable à un niveau élevé. Cette période dure toute la première moitié duXIXe siècle. L’exode rural provoque ensuite un mouvement de baisse de la population de longue durée. Dès 1901, la commune enregistre la perte de plus de la moitié de sa population par rapport au maximum historique de 1821[45]. Le mouvement de baisse arrive à un plancher dans lesannées 1970. Depuis, la population oscille entre trente et cinquante habitants.

Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

[modifier |modifier le code]

Comme de nombreuses communes du département, Saint-Lions se dote d’une école bien avant leslois Jules Ferry : en 1863, il possède déjà une école qui dispense uneinstruction primaire aux garçons, au chef-lieu[46]. Aucune instruction n’est donnée aux filles : ni laloi Falloux (1851), qui impose l’ouverture d’une école de filles aux communes de plus de 800 habitants[47], ni la premièreloi Duruy (1867), qui abaisse ce seuil à 500 habitants, ne concernent Saint-Lions[48] ; ce n’est qu’avec les lois Ferry que les filles de Saint-Lions sont régulièrement scolarisées.Établissements d'enseignements[49] :

  • Écoles maternelles et primaires à Barrême, Clumanc, Saint-André-les-Alpes.
  • Collèges à Saint-André-les-Alpes, Castellane, Digne-les-Bains.
  • Lycées à Digne-les-Bains, Le Chaffaut-Saint-Jurson.

Santé

[modifier |modifier le code]

Professionnels et services de santé[50] :

  • Médecins, Kinésithérapeutes, infirmiers...à Barrême, Senez, Castellane[51].
  • Pharmacies à Barrême[52].
  • Centre hospitalier de Castellane[53].
  • Groupement Hospitalier de Territoire 04 (GHT) des Alpes de Alpes-de-Haute-Provence à Digne-les-Bains[54].

Cultes

[modifier |modifier le code]
  • Culte catholique, Paroisse Secteur du Verdon : église Saint-Laurent[55].

Lieux et monuments

[modifier |modifier le code]
  • Église Saint-Laurent, avec cadran solaire peint.
    Église Saint-Laurent, avec cadran solaire peint.
  • Fontaine-lavoir, avec trois bassins rond, rectangulaire et ovale.
    Fontaine-lavoir, avec trois bassins rond, rectangulaire et ovale.
  • Monument aux morts de 1939-1945.
    Monument aux morts de1939-1945.
Cadran solaire[57]
Le mobilier de l'église paroissiale[58] :
Le mobilier de l'église paroissiale
* ensemble du maître-autel (autel, 2 gradins d'autel, tabernacle)[59].
* ensemble de l'autel de la Vierge (autel, 2 gradins d'autel, tabernacle)[60].
* statue (petite nature) : La Vierge à l'Enfant[61].
* tableau d'autel : La Charité de saint Laurent[62].
* fonts baptismaux[63].
* chandelier-bouquet d'autel (N° 1)[64].
* chandelier-bouquet d'autel (N° 2)[65].
* croix d'autel, statue : Christ en croix[66].
* lampe de sanctuaire[67].
* croix de procession[68].
* chemin de croix[69].
* couronne de statue[70].
* statue-reliquaire (demi-nature) : Saint Laurent[71].
* chape[72].
* ensemble de vêtements liturgiques (N° 1) : chasuble, étole, manipule, bourse de corporal, voile de calice (ornement rouge)[73].
* ensemble de vêtements liturgiques (N° 2) : chasuble, étole, manipule, bourse de corporal, voile de calice (ornement rouge)[74].
* ensemble de vêtements liturgiques : chasuble, étole, manipule (ornement violet)[75].
* voile de calice[76].
* ensemble de 2 statues (petite nature) : Le Sacré-Coeur, La Vierge à l'Enfant dite Notre-Dame-des-Victoires[77].
* statue (petite nature) : Saint Joseph et l'Enfant Jésus[78].
* statue (demi-nature) : Saint Louis de Gonzague[79].
* statue (petite nature) : L'Enfant Jésus, Salvator mundi[80].
* statue (demi-nature) : Saint Laurent, brancard de procession[81].
* tableau : La Nativité de Marie[82].
* une cloche de1580[83], ornée d’une scène de la Présentation de Jésus au peuple, qui est l’ancienne cloche communale de Barrême[83],[84].
 
Moulin à farine[86].
Entrepôt agricole[87].
  • Fontaine-lavoir, avec trois bassins rond, rectangulaire et ovale[88].

Voir aussi

[modifier |modifier le code]

Bibliographie

[modifier |modifier le code]

Articles connexes

[modifier |modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Liens externes

[modifier |modifier le code]
Le patrimoine de la commune sur www.pop.culture.gouv.fr/

Notes et références

[modifier |modifier le code]

Notes

[modifier |modifier le code]
  1. Les records sont établis sur la période du au.

Cartes

[modifier |modifier le code]
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », surremonterletemps.ign.fr(consulté le).

Références

[modifier |modifier le code]
  1. a etbRoger Brunet, « Canton de Barrême »,Le Trésor des régions, consultée le 9 juin 2013
  2. Localisation de la commune, géographie et occupation des sols
  3. a etbMichel de La Torre,Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », 1989, Relié, 72 p. (non-paginé)(ISBN 2-7399-5004-7)
  4. ZNIEFF terrestres de type II
  5. a etbMinistère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement,Notice communale sur la base de données Gaspar, mise à jour le 27 mai 2011, consultée le 15 août 2012
  6. a etbDossier départemental sur les risques majeurs 2008,p. 97.
  7. Document,base Dicrim, consultée le 15 août 2012
  8. Dossier départemental sur les risques majeurs dans les Alpes-de-Haute-Provence, Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence,(lire en ligne), p.39.
  9. L'eau dans la commune
  10. a etbDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale »,Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography,no 501,‎(DOI 10.4000/cybergeo.23155,lire en ligne, consulté le)
  11. Vincent Dubreuil, « Le changement climatique en France illustré par la classification de Köppen »,La Météorologie,no 116,‎(DOI 10.37053/lameteorologie-2022-0012,lire en ligne, consulté le)
  12. « Le climat en France hexagonale et Corse. », surmeteofrance.com(consulté le)
  13. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », surpluiesextremes.meteo.fr(consulté le)
  14. « Réglementation environnementale RE2020 », surecologie.gouv.fr,(consulté le)
  15. « Répartition des départements par zone climatique »[PDF], surecologie.gouv.fr(consulté le)
  16. « Orthodromie entre Saint-Lions et La Mure-Argens », surfr.distance.to(consulté le).
  17. « Station Météo-France « La Mure-Argens », sur la commune de La Mure-Argens - fiche climatologique - période 1991-2020. », surobject.files.data.gouv.fr/meteofrance/(consulté le)
  18. « Station Météo-France « La Mure-Argens », sur la commune de La Mure-Argens - fiche de métadonnées. », surdonneespubliques.meteofrance.fr(consulté le)
  19. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », surMétéo-France,(consulté le)
  20. a etbErnestNègre,Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux,vol. 3 :Formations dialectales (suite) ; formations françaises, Genève, Librairie Droz,coll. « Publications romanes et françaises » (no 195),, 1852 p.(lire en ligne)., § 28459, p 1626
  21. a etbBénédicte et Jean-JacquesFénié,Toponymie provençale, Éditions Sud-Ouest,coll. « Sud Ouest Université »,, 128 p.(ISBN 978-2-87901-442-5),p. 61.
  22. « La grille communale de densité », surle site de l’Insee,(consulté le).
  23. Insee, « Métadonnées de la commune ».
  24. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », surinsee.fr,(consulté le).
  25. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », surinsee.fr,(consulté le).
  26. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », surle site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique.(consulté le).
  27. a etbDaniel Thiery, « Saint-Lions - Aux origines des églises et chapelles rurales des Alpes-de-Haute-Provence », surarcheoprovence,(consulté le).
  28. a etbJ.-F. Cruvellier,Histoire de Barrême, Société scientifique et littéraire des Basses-Alpes, p.95.
  29. Patrice Alphand, « Les Sociétés populaires»,La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence,no 307,1er trimestre 1989,108e année,p. 296-297.
  30. Jean-Bernard Lacroix, « Naissance du département », inLa Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence,no 307,1er trimestre 1989,108e année,p. 113.
  31. Alexeï Laurent, « Paysages ruraux de la première moitié duXIXe siècle dans le sud-est des Basses-Alpes »,in Jean-Christophe Labadie (directeur éditorial),La matière et le bâti en Haute-Provence,XVIIIe – XXIe siècle, actes de la première Journée d'études d'histoire de la Haute-Provence, Digne, 13 octobre 2012. Digne-les-Bains : Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013.(ISBN 978-2-86004-016-7),p. 10.
  32. Hébergements et restauration
  33. Chambre de commerce et d'industrie des Alpes-de-Haute-Provence,[1], consultée le 20 septembre 2012
  34. Site officiel de Terre et traditions, consulté le 20 septembre 2012
  35. Toutes les entreprises de la commune et celles proches
  36. [Sébastien Thébault, Thérèse Dumont], « La Libération »,Basses-Alpes 39-45, publié le 31 mars 2014, consulté le 2 avril 2014.
  37. verdon-info, « Saint Lions : nouveau mandat pour Madeleine ISNARD », surverdon-info.net,Actualites locales Moyen et Haut Verdon...,(consulté le).
  38. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence,De Saint-Jurs à Soleihas (sic) (liste 7), consulté le 10 mars 2013
  39. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, « Liste des maires », 2014, consultée le 20 octobre 2014.
  40. Mairie
  41. Les comptes de la commune
  42. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet. Ménages fiscaux de l'année 2021
  43. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  44. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années2006,2007,2008,2009,2010,2011,2012,2013,2014,2015,2016,2017,2018,2019,2020,2021 et2022.
  45. Christiane Vidal,Chronologie et rythmes du dépeuplement dans le département des Alpes de Haute-Provence depuis le début duXIXe siècle,t. 21,(lire en ligne),chap. 85,p. 287.
  46. Jean-Christophe Labadie (dir.),Les Maisons d’école, Digne-les-Bains, Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence,(ISBN 978-2-86-004-015-0), p.9.
  47. Labadie 2013,p. 16.
  48. Labadie 2013,p. 18.
  49. Établissements d'enseignements
  50. Services de santé
  51. Professionnels et services de santé
  52. Pharmacies
  53. Centre hospitalier de Castellane
  54. Groupement Hospitalier de Territoire à Digne-les-Bains
  55. Saint Lions Église paroissiale. 04 Saint Lions Barrême
  56. a etbFrançoise Reynier, « Église paroissiale Saint-Laurent », noticeno IA04000483, base Mérimée, surpop.culture.gouv.fr (Plate-forme ouverte du patrimoine), Ministère de la Culture,(consulté le).
  57. Cadran solaire
  58. Le mobilier de l'église paroissiale Saint-Laurent
  59. ensemble du maître-autel (autel, 2 gradins d'autel, tabernacle)
  60. ensemble de l'autel de la Vierge (autel, 2 gradins d'autel, tabernacle)
  61. statue (petite nature) : La Vierge à l'Enfant
  62. tableau d'autel : La Charité de saint Laurent
  63. fonts baptismaux
  64. chandelier-bouquet d'autel (N° 1)
  65. chandelier-bouquet d'autel (N° 2)
  66. croix d'autel, statue : Christ en croix
  67. lampe de sanctuaire
  68. croix de procession
  69. chemin de croix
  70. couronne de statue}
  71. statue-reliquaire (demi-nature) : Saint Laurent
  72. chape
  73. ensemble de vêtements liturgiques (N° 1) : chasuble, étole, manipule, bourse de corporal, voile de calice (ornement rouge)
  74. ensemble de vêtements liturgiques (N° 2) : chasuble, étole, manipule, bourse de corporal, voile de calice (ornement rouge)
  75. ensemble de vêtements liturgiques : chasuble, étole, manipule (ornement violet)
  76. voile de calice
  77. ensemble de 2 statues (petite nature) : Le Sacré-Coeur, La Vierge à l'Enfant dite Notre-Dame-des-Victoires
  78. statue (petite nature) : Saint Joseph et l'Enfant Jésus
  79. statue (demi-nature) : Saint Louis de Gonzague
  80. statue (petite nature) : L'Enfant Jésus, Salvator mundi
  81. [https://dossiersinventaire.maregionsud.fr/dossier/IM04000795 statue (demi-nature) : Saint Laurent, brancard de procession}
  82. tableau : La Nativité de Marie
  83. a etbFrançoise Reynier, « Cloche », noticeno IM04000797, base Palissy, surpop.culture.gouv.fr (Plate-forme ouverte du patrimoine), Ministère de la Culture,(consulté le).
  84. Cloche
  85. Monument aux morts
  86. Moulin à farine
  87. Entrepôt agricole
  88. Lavoir et église paroissiale Saint-Laurent
v ·m
Durance-Luberon-Verdon Agglomération
Provence-Alpes Agglomération
CC Sisteronais Buëch
CC Alpes Provence Verdon - Sources de Lumière
CC Haute-Provence Pays de Banon
CC du pays de Forcalquier et montagne de Lure
CC Vallée de l'Ubaye Serre-Ponçon
CC Jabron Lure Vançon Durance
CA Gap-Tallard-Durance
CC Pays d'Apt-Luberon
CC de Serre-Ponçon
CC Serre-Ponçon Val d'Avance
v ·m
Découpage de 2017
Canton de Castellane
Canton de Riez
v ·m
Intercommunalités des Alpes-de-Haute-Provence
Ce document provient de « https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Saint-Lions&oldid=230422565 ».
Catégories :
Catégories cachées :

[8]ページ先頭

©2009-2025 Movatter.jp