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Saint-Léonard-de-Noblat

45° 50′ 18″ nord, 1° 29′ 29″ est
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Page d’aide sur l’homonymie

Pour les articles homonymes, voirSaint-Léonard etSaint Léonard de Noblat.

Saint-Léonard-de-Noblat
Saint-Léonard-de-Noblat
LaVienne au Pont-de-Noblat, anciennes maisons.
Blason de Saint-Léonard-de-Noblat
Blason
Image illustrative de l’article Saint-Léonard-de-Noblat
Logo
Administration
PaysDrapeau de la FranceFrance
RégionNouvelle-Aquitaine
DépartementHaute-Vienne
ArrondissementLimoges
IntercommunalitéCommunauté de communes de Noblat
(siège)
Maire
Mandat
Alain Darbon
2020-2026
Code postal87400
Code commune87161
Démographie
GentiléMiaulétous
Population
municipale
4 319 hab.(2022en évolution de −6,66 % par rapport à 2016)
Densité78 hab./km2
Géographie
Coordonnées45° 50′ 18″ nord, 1° 29′ 29″ est
AltitudeMin. 250 m
Max. 444 
m
Superficie55,59 km2
TypeBourg rural
Unité urbaineSaint-Léonard-de-Noblat
(ville isolée)
Aire d'attractionLimoges
(commune de la couronne)
Élections
DépartementalesCanton de Saint-Léonard-de-Noblat
(bureau centralisateur)
LégislativesPremière circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte :France
Voir sur la carte topographique de France
Saint-Léonard-de-Noblat
Géolocalisation sur la carte :France
Voir sur la carte administrative de France
Saint-Léonard-de-Noblat
Géolocalisation sur la carte :Haute-Vienne
Voir sur la carte topographique de la Haute-Vienne
Saint-Léonard-de-Noblat
Géolocalisation sur la carte :Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Saint-Léonard-de-Noblat
Liens
Site webville-saint-leonard.fr
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Saint-Léonard-de-Noblat est unecommune française située dans ledépartement de laHaute-Vienne enrégionNouvelle-Aquitaine.

La commune est notamment connue par sacollégiale Saint-Léonard, inscrite au titre desChemins de Saint-Jacques-de-Compostelle, sur la liste dupatrimoine mondial de l'UNESCO.

Géographie

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Localisation

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Sur la carte de la Haute-Vienne, position de la commune et du canton de Saint-Léonard-de-Noblat
Situation de Saint-Léonard-de-Noblat dans laHaute-Vienne.

Onzième ville de la Haute-Vienne, en nombre d'habitants, elle s'étend sur la rive nord de laVienne à 20 km à l’est deLimoges. Elle doit son nom à l’ermite Léonard, patron des prisonniers et des femmes enceintes. Elle a été fondée auMoyen Âge autour de son tombeau. La commune de Saint-Léonard (5 559 ha) est principalement formée par le plateau, au sous-sol gneissique, dominant la rive droite de la Vienne. Aux deux extrémités est et ouest, émergent deux blocs granitiques. Le relief s'étage aux environs de 300-400 m en un ondulement de collines et vallons, fortement entaillés par les vallées de la Vienne, très encaissée, et de ses affluents, leTard ou laGalamache. Les paysages alternent harmonieusement bois (1 029 ha), prairies et champs où le maïs domine aujourd'hui. Le climat est un dégradé du milieu atlantique, avec déjà des nuances de pré-montagne : relativement rude l'hiver (moyenne de janvier : 3 °C) et très humide (environ 1 000 mm de précipitation annuelle).

La ville de Saint-Léonard est située sur laRD 941 (ex-RN 141), qui relieLimoges àClermont-FerrandviaAubusson. Elle se situe ainsi à 21 km de Limoges, 28 km deBourganeuf et 67 km d'Aubusson. Elle est reliée au nord, par la D 19, auChâtenet-en-Dognon etLaurière, et par la D 39 àSaint-Priest-Taurion etAmbazac. Au sud, la D 65 permet de rejoindreEyjeaux etLe Vigen, la D 7BEybouleuf etSaint-Germain-les-Belles, et la D 39Saint-Denis-des-Murs. Enfin, vers l'est, la D 13 part surEymoutiers ouPeyrat-le-Château, et la D 109 surMoissannes etSaint-Junien-la-Bregère.

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sontChampnétery,Le Châtenet-en-Dognon,Eybouleuf,La Geneytouse,Moissannes,Royères etSaint-Denis-des-Murs.

Carte
Les limites communales de Saint-Léonard-de-Noblat et celles de ses communes adjacentes.
Communes limitrophes deSaint-Léonard-de-Noblat[1]
Le Châtenet-en-DognonMoissannes
RoyèresSaint-Léonard-de-NoblatChampnétery
La GeneytouseEybouleufSaint-Denis-des-Murs

Climat

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Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie desclimats de la France qui compte alors huit grands types de climats enmétropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie parMétéo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour lesprécipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

Avec lechangement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par ladirection générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Lastation météorologique deMétéo-France installée sur la commune et en service de 1997 à 2017 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques[8]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.

Statistiques 1981-2010 et records ST LEONARD NOBL (87) -alt : 346 m45° 49′ 42″ N, 1° 29′ 42″ E
Statistiques établies sur la période 1997-2010 - Records établis sur la période du 01-06-1997 au 30-12-2017
Moisjan.fév.marsavrilmaijuinjui.aoûtsep.oct.nov.déc.année
Température minimale moyenne (°C)0,70,62,64,98,411,712,912,89,57,63,40,86,4
Température moyenne (°C)4,35,17,810,414,417,919,219,315,712,67,24,411,6
Température maximale moyenne (°C)7,99,5131620,324,125,525,72217,511816,7
Record de froid (°C)
date du record
−11,7
13.01.03
−17,8
06.02.12
−12,9
01.03.05
−3,5
17.04.12
−1,9
06.05.02
2,6
04.06.01
4,6
17.07.00
2,8
29.08.98
−0,8
25.09.02
−5,5
30.10.97
−10,2
24.11.98
−13,6
24.12.01
−17,8
2012
Record de chaleur (°C)
date du record
18,5
05.01.99
24,1
15.02.98
26,8
14.03.12
29,4
30.04.05
32,6
30.05.01
37,8
27.06.11
38,8
16.07.15
39,8
12.08.03
34
12.09.16
29,8
12.10.01
24,2
08.11.15
19,2
17.12.15
39,8
2003
Précipitations (mm)95,472,995,5116,491,681,183,179,570,691,5112,2102,91 092,7
Source :« Fiche 87161002 »[PDF], surdonneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base


Urbanisme

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Typologie

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Au, Saint-Léonard-de-Noblat est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9].Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Léonard-de-Noblat[Note 4], une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[10],[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Limoges, dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[11]. Cette aire, qui regroupe 127 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols

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Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d’occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (72,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (72,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (52,6 %), forêts (22,8 %), zones agricoles hétérogènes (18,9 %), zones urbanisées (4,3 %),terres arables (1,3 %), eaux continentales[Note 6] (0,1 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : lacarte de Cassini (XVIIIe siècle), lacarte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Saint-Léonard-de-Noblat est vulnérable à différentsaléas naturels :météorologiques (tempête,orage,neige, grand froid,canicule ousécheresse),inondations, mouvements de terrains etséisme (sismicité faible). Il est également exposé à deuxrisques technologiques, letransport de matières dangereuses et larupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque deradon[15]. Un site publié par leBRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].

Risques naturels

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Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par lerisque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment laVienne, laMaulde, l'Alesmes et le Tard. La commune a été reconnue enétat de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations etcoulées de boue survenues en 1982, 1988, 1993, 1994 et 1999[17],[15]. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais duplan de prévention des risques inondation (PPRI) de la « Vienne à Saint-Léonard-de-Noblat », approuvé le[18].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Léonard-de-Noblat.

La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[19]. Cet aléa est susceptible d'engendrer desdommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes desécheresse et de pluie[20]. 17 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (27 % au niveau départemental et 48,5 % au niveaunational métropolitain)[Carte 2]. Depuis le, en application de laloi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 7],[21].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[15].

Risque technologique

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La commune est en outre située en aval dubarrage de Vassivière, un ouvrage de classe A[Note 8] situé dans le département de laCreuse, sur la Maulde. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à larupture de cet ouvrage[23].

Risque particulier

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Dans plusieurs parties du territoire national, leradon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population auxrayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Saint-Léonard-de-Noblat est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[24].

Toponymie

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Le nom de la commune estSent Liunard enlimousin, dialecteoccitan. Le nom des habitants, lesMiaulétous et lesMiaulétounes[25],[26], vient du limousinMiauletons,Miauletonas. Selon la tradition, ce nom viendrait de lamiaula[27] (lemilan) qui aurait logé dans leclocher de lacollégiale Saint-Léonard.

Durant laRévolution française, la commune porte les noms deLéonard-sur-Vienne et deTarn-Vienne[28].

Histoire

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Saint-Léonard est situé sur laVia Lemovicensis.

Bien avant la conquête romaine, un important itinéraire joignantBourges àBordeaux franchissait la Vienne au lieu-dit — aujourd'hui — Noblat. Il s'agissait d'un gué. À quelques kilomètres en amont (limite communale avec St Denis-des-Murs), on trouve les traces de l'imposantoppidum gaulois de Villejoubert, site fortifié de la tribu des Lémoviques. C'est à Noblat (qui viendrait denobiliacum, « lieu noble » (c'est-à-dire relevant d'un seigneur), que le premier village prit naissance. Un pont, sans doute en bois, y renforça le gué originel. Un premier château fut édifié vers l'an 1000 sur la hauteur dominant le coude de la Vienne. Il en reste un monticule et un fossé sur le très beau site dénommé « Chêne de Clovis ». Peu après, dans la forêt nommée Pauvain, la ville actuelle se développa autour du premier sanctuaire, et devint ainsi une étape importante de la « voie limousine » de la route versCompostelle. Le seigneur de la ville, l'évêque de Limoges, fit bâtir un château, près de la Collégiale, commencée vers 1100.

LaVienne au Pont-de-Noblat, avec l'église au pied duChêne de Clovis.
Panneausaint Léonard affiché à lacollégiale Saint-Léonard.

Léonard, d’après la tradition et le récit imaginaire de sa vie écrit auXIe siècle, serait né dans une famille d’officiers de la cour du roiClovis, à la fin duVe siècle. Il aurait eu comme parrain ce roi desFrancs et pour confesseur, l’évêque deReims,saint Remi. Très tôt, il obtint le privilège de visiter les prisonniers et de les faire libérer. Sa renommée alors grandit, on lui offrit de hautes charges qu’il refusa, préférant quitter la cour pour devenir disciple duChrist. Il se rendit àMicy dans l’Orléanais et resta quelque temps avec son frère Liphar et saint Maximin (saint Mesmin). Puis, poursuivant son chemin vers le sud, il s’arrêta pour installer son ermitage, non loin deLimoges et du tombeau de saint Martial, dans laforêt de Pauvain, sur le plateau dominant la Vienne. Au cours d’un séjour du roi d’Aquitaine (ce roi pourrait être ThierryIer, fils de Clovis) venu chasser en ce lieu, la reine, arrivée au terme de sa grossesse, ne put mettre au monde son enfant. Saint Léonard intercéda en sa faveur auprès deDieu et obtint la délivrance de la mère et la vie sauve de l’enfant. Le roi, en reconnaissance, lui offrit de nombreux présents qu’il refusa. Il accepta seulement le territoire de la forêt que son âne pourrait délimiter en 24 heures. Il y édifia unoratoire en l’honneur de laVierge Marie et de saint Remi. Peu à peu de nombreuses personnes vinrent le voir et des prisonniers, délivrés par son intercession, lui demandèrent l’asile. Saint Léonard serait mort un et enterré dans lachapelle qu’il avait fondée (dite « Notre-Dame sous les Arbres »). Il est invoqué pour la délivrance des prisonniers et contre lastérilité des femmes.

Le culte desaint Léonard se répand rapidement dans toute la chrétienté : son tombeau devient un lieu depèlerinage où affluent les fidèles. De nombreux personnages illustres vinrent prier sur le tombeau de l’ermite :

Article détaillé :Léonard de Noblat.

À partir duXIe siècle, le pèlerinage se développe ; ainsi en 1105, pour veiller sur lesreliques et accueillir lespèlerins, les clercs s’organisent pour former un collège. Dès leXIIe siècle, la ville s’entoure de fossés et d’imposantsremparts. Deux quartiers distincts se forment : le quartier religieux et administratif autour de lacollégiale, avec l’hôpital et la maison de ville ; le quartier des marchands autour des halles. En1183, des bandes armées, lesPaillers, la ravagent. Quelques années plus tard, elle est occupée par lesBrabançons.Jean sans Terre, roi d’Angleterre, y pénètre à la tête de son armée en 1214. Au cours duXIIIe siècle, lesrois de France donneront des privilèges aux habitants de la cité ; c’est ainsi qu’ils élisent, tous les ans, huit consuls. Par lettres patentes de[29] et du[30],Louis XI confirma les privilèges de la ville. En 1576, lescalvinistes, qui voulaient profaner les reliques de saint Léonard, sont chassés par les habitants de la cité. Après la Réforme, de nombreux couvents s’installèrent : lesrécollets en 1594, les filles de Notre-Dame en 1652. Trois confréries de pénitents se fondèrent : les Pénitents Blancs, les Pénitents Feuilles-Mortes et les Pénitents Bleus. LaRévolution française tenta de remplacer le nom de la ville par celui de Tard-Vienne, mais très vite réapparaît le nom de Saint-Léonard-de-Noblat.

AuXVIIIe siècle, Saint-Léonard s'impose comme capitale de l'industrie papetière qui se développe le long de laVienne. De nombreux moulins à papier, ultérieurement transformés en usines pour certains, jalonnent la vallée jusqu'auXXe siècle[31].

Aujourd’hui, la ville est renommée pour ses fabriques deporcelaine. Elle est reconnue comme étant le berceau de la racebovinelimousine. Elle a aussi donné son nom à une variété de châtaigne devenue très rare : larousse de Saint-Léonard.

Le nom des habitants, les Miaulétous (le «-ou» est issu du diminutif occitan «-on», pluriel occitan en s, féminin en - « -oune » est en usage, issu du suffixe occitan «-ona»), pourrait provenir d'un nom d'oiseau (« la miaula », en occitan du Limousin, est le milan, petit rapace). Ce sont pourtant des corneilles, et des choucas, qui peuplent le clocher de la collégiale. Mais depuis quand les choucas « miaulent »-ils ? On pense plutôt qu'il pourrait s'agir d'une déformation du diminutif occitan « liauneton » (prononcer « tou »), ou « petit Léonard », devenu « niauleton » (inversion des deux consonnes très courante en langue limousine).

Elle fut chef-lieu dedistrict de 1790 à 1795.

C'est à Saint-Léonard-de-Noblat qu'a lieu le toutpremier parachutage d'armes au profit de laRésistance enFrance occupée, le.

Stèle commémorative rappelant la capture d'Helmut Kämpfe en 1944 par les résistants du Limousin
Stèle commémorative rappelant la capture d'Helmut Kämpfe en 1944 par lesrésistants du Limousin

Le chef de la divisionHelmut Kämpfe rentre seul à Limoges avec sa voiture particulière en avance sur la troupe. Tout près de la route entreSauviat-sur-Vige et Saint-Léonard-de-Noblat, il tombe dans une embuscade de résistants dirigée par le sergent Canou appartenant au maquis deGeorges Guingouin. Le Mémorial de l'enlèvement, sur la D941, au sortir deSauviat-sur-Vige, a été conçu par l'artisteJean-Joseph Sanfourche et inauguré en 1986 parGeorges Guingouin.

A proximité de ce lieu, le 09 juin 1944 à 21h00, la section du Sergent Canou de la Brigade du Colonel Guingouin capturait le Sturmbannfuhrer Kampfe "Héros n°1" de la division blindée Waffen SS Das Reich. Par cet exploit, les maquisards contribuaient à retarder de 48 heures la marche de cette division vers le front de Normandie. Le généralissime Eisenhower reconnaissait devant Emmanuel D'astier de la Vigerie, en juillet 1944, que l'action des maquis avait sauvé la tête de pont alliée. Cet hommage s'adresse à tous les hommes épris de Liberté.
A proximité de ce lieu, le 09 juin 1944 à 21h00, la section du Sergent Canou de la Brigade duColonel Guingouin capturait leSturmbannfuhrer Kampfe "Héros n°1" de la division blindéeWaffen SS Das Reich. Par cet exploit, les maquisards contribuaient à retarder de 48 heures la marche de cette division vers le front de Normandie. Legénéralissime Eisenhower reconnaissait devantEmmanuel D'astier de la Vigerie, en juillet 1944, que l'action des maquis avait sauvé la tête de pont alliée. Cet hommage s'adresse à tous les hommes épris de Liberté.

Saint-Léonard-de-Noblat est libéré le 22 août 1944, au lendemain de laLibération de Limoges.

Les Templiers et les Hospitaliers

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Le village de Mortessagne, une anciennemaison templière[32],[33] devenue après ladévolution des biens de l'ordre du Temple un membre duprieuré hospitalier de Bourganeuf[34].

Politique et administration

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Administration municipale

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Tendances politiques et résultats

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Articles connexes :Élections municipales de 2014 dans la Haute-Vienne etÉlections municipales de 2020 dans la Haute-Vienne.
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Liste des maires

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Liste des maires successifs
PériodeIdentitéÉtiquetteQualité
novembre 1886mai 1888Simon Voisin  
mai 1888avril 1890Georges Seidenbinder Brasseur
avril 1890mai 1892Simon Voisin  
Les données manquantes sont à compléter.
mai 1900septembre 1909
(décès)
Jules TourgnolRadical-socialistePrincipal de collège
Député de laHaute-Vienne(1898 → 1909)
Conseiller général ducanton de Saint-Léonard-de-Noblat(1898 → 1909)
novembre 1909décembre 1919Aristide Constant  
décembre 1919mai 1929Adrien PressemaneSFIOOuvrier peintre céramiste
Député de la Haute-Vienne(1914 → 1928)
Conseiller général du canton de Saint-Léonard-de-Noblat(1909 → 1928)
mai 1929décembre 1940Louis ValadasSFIOConseiller général du canton de Saint-Léonard-de-Noblat(1928 → 1940)
décembre 1940septembre 1944Victor Gandois  
septembre 1944mai 1945Jean-Baptiste Campanaud  
mai 1945décembre 1945
(démission)
Louis ValadasSFIOConseiller général du canton de Saint-Léonard-de-Noblat(1945 → 1949)
décembre 1945mars 1977René BarrièreSFIO
puisPS
Médecin
Conseiller général du canton de Saint-Léonard-de-Noblat(1949 → 1973)
mars 1977juin 1995Claude AndrieuPSDéputé suppléant d'Alain Rodet (1981-1986)
juin 1995mars 2001Jean-Paul BardonPSAgent de maîtrise
Conseiller général du canton de Saint-Léonard-de-Noblat(1991 → 2004)
mars 2001mars 2014Christine Riffaud[35]DVGAgricultrice
mars 2014en coursAlain DarbonPSEnseignant
Conseiller régional deNouvelle-Aquitaine(2015 → )
Président de laCC de Noblat(2015 → )
Réélu pour le mandat 2020-2026
Les données manquantes sont à compléter.

Jumelages

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Population et société

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Démographie

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4 319 habitants au dernier recensement de 2022, Saint-Léonard est la11e ville du département au regard de la population, et occupe le17e rang régional.

La population était déjà estimée à environ 4 000 habitants vers 1680, puis près de 5 000 en 1740. Ce total était élevé[réf. nécessaire] pour l'époque, faisant de Saint-Léonard la2e ville du Limousin (il n'y avait guère plus de 20 000 habitants àLimoges). Il y a 300 ans, 4 850 habitants vivaient sur le territoire communal actuel, divisé en quatre paroisses. Ce nombre est assez comparable à celui d'aujourd'hui. La population se répartissait ainsi :

  • paroisse Saint-Étienne (plus grande partie de la commune actuelle) : environ 4 170 habitants ;
  • paroisse Saint-Michel (quartiers sud-est de la ville) : 260 habitants ;
  • paroisse Saint-Martial (« Sent Marsaut », pont de Noblat, rive gauche) : 260 habitants ;
  • paroisse Notre-Dame-de-La-Chapelle : 160 habitants.


L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[37].

En 2022, la commune comptait 4 319 habitants[Note 9], en évolution de −6,66 % par rapport à 2016 (Haute-Vienne : −0,68 %,France horsMayotte : +2,11 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
179318001806182118311836184118461851
6 8324 8155 3905 8655 7056 0365 6806 1176 173
Évolution de la population  [ modifier ], suite (1)
185618611866187218761881188618911896
6 1846 1966 3206 0115 9896 1606 0385 9815 630
Évolution de la population  [ modifier ], suite (2)
190119061911192119261931193619461954
5 8515 9856 4435 6155 9906 0165 7545 7925 941
Évolution de la population  [ modifier ], suite (3)
196219681975198219901999200420062009
5 6765 7095 4575 2755 0244 7644 6674 6344 665
Évolution de la population  [ modifier ], suite (4)
201420192022------
4 6364 3854 319------
De 1962 à 1999 :population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes :population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puisInsee à partir de 2006[38].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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La commune dépend de l'académie de Limoges. Les élèves de la ville débutent leur scolarité à l'école primaire publique de la commune, qui accueille 211 élèves[39]. Ces élèves ont également la possibilité de poursuivre leurs études dans la Cité ScolaireBernard Palissy au sein de la commune. Cette cité scolaire comprend un collège[40], un lycée[41] et un internat rassemblant les collégiens et les lycéens.

Manifestations culturelles et festivités

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Biennale de peinture et de sculpture contemporaines

Santé

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La commune compte plusieurs professionnels de santé (médecins, pharmacies, dentistes etc.). Le centre hospitalier intercommunal Monts et Barrages occupe une grande place au sein du village. Il comprend une clinique et un EHPAD. Un laboratoire d’analyses médicales est également présent à Saint-Léonard de Noblat.

Sports

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La commune compte différents complexes et aménagements sportifs (espace Aqua’Noblat, halle des sports, gymnase municipal etc.)[42].

Médias

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Le cinéma « Le Rex » a sa place au sein de la commune. Il compte 190 places. Depuis 2013, des films en 3D y sont diffusés[43].

Cultes

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Économie

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Porcelaine

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Au début duXIXe siècle (1823 précisément), l'industrie de laporcelaine s'établit à Saint-Léonard. On y trouve encore de nos jours des fabriques de porcelaine (les Établissements Coquet ou Carpenet).

Massepains

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Enseigne vantant les massepains.

Autre spécialité de la ville, lemassepain de Saint-Léonard est une sorte demacaron[44],[45].

Cuir

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La ville a aussi le savoir-faire du cuir. Il existe encore une « rue des Tanneries », comme il existait jadis une « rue de la Piale » (de peler, tanner). La fabrication de chaque soulier de luxeJ.M. Weston commence à Saint-Léonard-de-Noblat (tannerie dite du « Moulin Follet », sur la rivière Le Tard). Des visites sont régulièrement organisées.

Industrie, commerces et services

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Saint-Léonard est avant tout un petit centre tertiaire, la grande majorité des industries ayant fermé depuis une trentaine d'années (chaussures,papèteries, bois). On trouve ici tous les commerces et services publics de base, notamment dans le domaine de l'éducation, la santé, ou l'équipement.

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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La collégiale

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Collégiale Saint-Léonard.
Le tombeau desaint Léonard.

Lacollégiale Saint-Léonard[46], qui date desXIe et XIIe siècles, est dédiée à saintLéonard, c'est un chef-d’œuvre de l’art roman limousin. Son architecture fut modifiée au cours du temps. Elle fait partie duPatrimoine Mondial de l'humanité au titre des Routes deSaint-Jacques-de-Compostelle.

  • Le clocher est un très bel exemple declocher dit « limousin ». Il repose sur un porche ouvert de deux côtés et orné dechapiteaux. Il est formé de quatre étages carrés, surmontés de deux étages octogonaux.
  • Tombeau de saint Léonard : situé à l'intérieur de l'église, dans le croisillon sud, il est surmonté de sa chaîne de prisonnier. La tradition veut que les femmes désirant se marier et procréer viennent toucher le verrou.

Autres monuments remarquables

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Quartier des moulins à eau sur laVienne.

Pèlerinages

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Le village est une étape de l'un des chemins français versSaint-Jacques de Compostelle.

Musées

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Musée Gay-Lussac

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Installé sous les arcades du foyer rural, en centre-ville, ce musée municipal est consacré àGay-Lussac (1778-1850), chimiste né à Saint-Léonard de Noblat[49].

HistoRail

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Article connexe :HistoRail.
Leviaduc du chemin de fer le long de laVienne.

HistoRail[50] est un musée duchemin de fer présentant de nombreuses maquettes.

Le Moulin du Got

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Article détaillé :Moulin du Got.

Situé à la confluence de laVienne et du Tard, leMoulin du Got, créé en 1522, a fabriqué du papier de chiffon (à base de chanvre, de lin et de coton) jusqu'à laSeconde Guerre mondiale. À l'abandon, comme tous les autres moulins du Limousin, il a été rénové et réhabilité pour rouvrir en 2003. Produisant de nouveau des feuilles de papier, le Moulin du Got est aussi un musée[51],[52].

Saint-Léonard-de-Noblat et le cinéma

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Films TV tournés entièrement ou en partie à Saint-Léonard-de-Noblat :

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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D’azur aux fers de prisonnier d’argent posés en face accompagnés de troisfleurs de lys d’or.

Les fers de prisonnier font référence à Saint Léonard qui est le Saint patron des prisonniers.Les fleurs de lys ont deux origines suivant les sources :

  1. L’ermite Léonard serait issu d'une famille royale. Cette référence concerne la légende, qui évoque un lien avec la dynastie mérovingienne (VIe siècle). Cette hypothèse ne résiste pas à l'analyse, puisque les lys furent introduits dans les pratiques royales par lesCapétiens, 5 siècles plus tard.
  2. Une reine ayant des difficultés à avoir des enfants serait venue prier Saint Léonard. De là peut-être l'hypothèse précédente (récit de la délivrance de la reine franque dans "Vie de Saint Léonard"). Son vœu exaucé, elle aurait accordé les trois fleurs de lys à la ville. Il pourrait s'agir de la femme deLouis XIII,Anne d'Autriche (voir plus loin).

Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les normales servent à représenter leclimat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
  2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
  4. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  7. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  8. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[22].
  9. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », surremonterletemps.ign.fr(consulté le).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », surinfoterre.brgm.fr(consulté le).

Références

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  1. Carte IGN sousGéoportail
  2. a etbDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale »,Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography,no 501,‎(DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155,lire en ligne, consulté le)
  3. « Le climat en France métropolitaine », surmeteofrance.fr,(consulté le).
  4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  6. « Le climat de la France auXXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », surecologie.gouv.fr(consulté le).
  7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », surnouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr,(consulté le).
  8. « Fiche du Poste 87161002 »[PDF], surdonneespubliques.meteofrance.fr(consulté le).
  9. « La grille communale de densité », surle site de l'Insee,(consulté le).
  10. « Unité urbaine 2020 de Saint-Léonard-de-Noblat », surle site de l'Insee(consulté le).
  11. a etbInsee, « Métadonnées de la commune de Saint-Léonard-de-Noblat ».
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Limoges », surle site de l'Insee(consulté le).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », surle site de l'Insee,(consulté le).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », surle site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique(consulté le).
  15. ab etc« Les risques près de chez moi - commune de Saint-Léonard-de-Noblat », surGéorisques(consulté le).
  16. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », surle site de l'observatoire national des risques naturels(consulté le).
  17. « Dossier départemental des risques majeurs de la Haute-Vienne », surhaute-vienne.gouv.fr(consulté le), chapitre Risque inondation.
  18. « Les Plans de prévention des risques approuvés en Haute-Vienne », surhaute-vienne.gouv.fr,(consulté le).
  19. « Dossier départemental des risques majeurs de la Haute-Vienne », surhaute-vienne.gouv.fr(consulté le), chapitre Mouvements de terrain.
  20. « Retrait-gonflement des argiles », surgeorisques.gouv.fr(consulté le).
  21. « Sols argileux, sécheresse et construction », surecologie.gouv.fr(consulté le).
  22. Article R214-112 du code de l’environnement
  23. « Dossier départemental des risques majeurs de la Haute-Vienne », surhaute-vienne.gouv.fr(consulté le), chapitre Risque rupture de barrage.
  24. « Cartographie du risque radon en France », surirsn.fr,(consulté le).
  25. « Nom des habitants », surhabitants.fr(consulté le).
  26. « Saint-léonard - Journées nationales de l’architecture : Saint-Léonard « veut être un terrain d'expérimentation » », surlepopulaire.fr,(consulté le).
  27. Dictionnaire toponymique de la Haute-Vienne. Yve Lavalade, 2000. éd. L. Souny
  28. a etbDes villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. Lettres patentes de Louis XI, Esctrechy, septembre 1461(lire en ligne).
  30. Lettres patentes de Louis XI, Montilz-lèz-Tours, le 9 octobre 1470(lire en ligne).
  31. Martine Tandeau de Marsac et Raymonde Georget,« Papiers, papeteries et papetiers en Limousin à la fin duXVIIIe siècle », dansJean Boutier etMichel Cassan,Les imprimés limousins, 1789-1799, Limoges, Presses universitaires de Limoges,,p. 102-125.
  32. Alfred Leroux,Émile Molinier et Antoine Thomas,Documents historiques, bas-latins, provençaux et français : concernant principalement la Marche et le Limousin,t. I,,p. 156 (doc. 38),lire en ligne surGallica.
  33. Jean-MarieAllard, « Templiers et Hospitaliers en Limousin au Moyen Âge. État de la recherche et nouvelles considérations »,Revue Mabillon,no 14,‎,p. 51-81(lire en ligne).
  34. Louis-AugustinVayssière, « L’Ordre de Saint-Jean de Jérusalem ou de Malte en Limousin et dans l’ancien diocèse de Limoges »,Bulletin de la Société des lettres, sciences et arts de la Corrèze,‎,p. 44-45,lire en ligne surGallica.
  35. (fr)Site officiel de la préfecture de Haute-Vienne - liste des maires (doc pdf)
  36. L'organisation du recensement, surinsee.fr.
  37. Calendrier départemental des recensements, surinsee.fr.
  38. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années2006,2007,2008,2009,2010,2011,2012,2013,2014,2015,2016,2017,2018,2019,2020,2021 et2022.
  39. fiche académique de l'école primaire
  40. « Collège Bernard Palissy », sureducation.gouv.fr(consulté le).
  41. « Lycée Bernard Palissy », sureducation.gouv.fr(consulté le).
  42. « Équipements sportifs », surVille de Saint-Leonard de Noblat(consulté le).
  43. « Cinéma municipal "Le Rex" », surVille de Saint-Léonard de Noblat,(consulté le).
  44. « Les spécialités culinaires du Limousin », surtourismelimousin.com(consulté le).
  45. « Le Massepain de Saint-Léonard-de-Noblat, barre énergétique du pèlerin ! », surlimandyou.com(consulté le).
  46. Jean Maury, Marie-Madeleine S. Gauthier, Jean Porcher -Limousin roman - p. 111-126 - Éditions Zodiaque (collection "la nuit des temps"no 11) - La Pierre-qui-Vire - 1959
  47. « Eglise paroissiale Saint-Martin, puis Saint-Jean-Baptiste, puis chapelle du cimetière dite église de Champmain », surpop.culture.gouv.fr(consulté le).
  48. (fr)Google Livres : abbé J. B. L. Roy de Pierrefitte -Études historiques sur les monastères du Limousin & de la Marche, Volume 1 - Guéret - 1857-1863
  49. http://www.gaylussac.fr
  50. Site du musée HistoRail
  51. Détours en France, balades insolites en Limousin (no 134, avril 2009)
  52. (fr)Site du musée du Moulin du Got
  53. « Un matin rouge », surImdb(consulté le).
  54. « Les camarades », surLe site filmographique Malik ZIDI(consulté le).
  55. Pierre Dunoyer de Segonzac,Le Vieux Chef, Paris,Éditions du Seuil,, 271 p..
  56. Nicolas Faucon, « Disparu il y a 25 ans, Serge Gainsbourg avait passé six mois une partie de son enfance en Haute-Vienne »,Le Populaire du Centre,‎.

Voir aussi

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Bibliographie

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  • Claude Andrault-Schmitt, Bernadette Barrière, Geneviève Cantié, Dominique Charpentier, Evelyne Proust et Martine Tandeau de Marsac,Saint-Léonard de Noblat, Limoges, Presses universitaires de Limoges,, 36 p.(ISBN 978-2-91001642-5)
  • Céline Cheirézy, « Hagiographie et société : l'exemple de saint Léonard de Noblat »,Annales du Midi : revue archéologique, historique et philologique de la France méridionale,t. 107,no 212,‎,p. 417-435.(lire en ligne)
  • Louis Guibert, « La commune de Saint-Léonard de Noblat auXIIIe siècle »,Bulletin de la Société archéologique et historique du Limousin,t. 37,‎,p. 1-115(lire en ligne)
  • Pierre Garrigou Grandchamp et Véronique Villaneau-Ecalle,Saint-Léonard-de-Noblat : études d'architecture civile, supplément auBulletin monumental, t. 6, 2014, 72 p,(ISBN 978-2-901837-48-0).
  • Publications de l'associationConnaissance et sauvegarde de Saint-Léonard (à ce jour : 64 n° du bulletin)
  • Revue d'histoire localeMémoire d'ici (plus ethnologique et sociologique que les précédents) : huit numéros de 2000 à 2004. L'association a changé de nom en 2004 ; elle s'appelle désormais « Patrimonia ».

Articles connexes

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Liens externes

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