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Ségolène Royal

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Pour les articles homonymes, voirRoyal.

Ségolène Royal
Illustration.
Ségolène Royal en 2012.
Fonctions
Ambassadrice chargée de la négociation internationale pour les pôlesarctique etantarctique

(2 ans, 4 mois et 23 jours)
PrésidentEmmanuel Macron
PrédécesseurMichel Rocard
SuccesseurOlivier Poivre d'Arvor(indirectement)
Ministre de l'Environnement, de l'Énergie et de la Mer, chargée des Relations internationales sur le climat[N 1]

(3 ans, 1 mois et 15 jours)
PrésidentFrançois Hollande
Premier ministreManuel Valls
Bernard Cazeneuve
GouvernementValls I etII
Cazeneuve
PrédécesseurPhilippe Martin
SuccesseurNicolas Hulot(Transition écologique et solidaire)

(11 mois et 27 jours)
PrésidentFrançois Mitterrand
Premier ministrePierre Bérégovoy
GouvernementBérégovoy
PrédécesseurBrice Lalonde
SuccesseurMichel Barnier
Présidente duconseil régional de Poitou-Charentes

(10 ans et 19 jours)
Élection
Réélection
PrédécesseurÉlisabeth Morin-Chartier
SuccesseurJean-François Macaire
Députée française

(5 ans)
Élection16 juin 2002
Circonscription2e des Deux-Sèvres
LégislatureXIIe(Cinquième République)
Groupe politiqueSOC
PrédécesseurJean-Pierre Marché
SuccesseurDelphine Batho

(4 ans, 3 mois et 2 jours)
Élection28 mars 1993
Circonscription2e des Deux-Sèvres
LégislatureXe etXIe(Cinquième République)
Groupe politiqueSOC
PrédécesseurJean-Pierre Marché
SuccesseurJean-Pierre Marché

(3 ans, 10 mois et 9 jours)
Élection12 juin 1988
Circonscription2e des Deux-Sèvres
LégislatureIXe(Cinquième République)
Groupe politiqueSOC
PrédécesseurProportionnelle par département
SuccesseurJean-Pierre Marché
Ministre déléguée à la Famille, à l'Enfance et aux Personnes handicapées[N 2]

(2 ans, 1 mois et 9 jours)
PrésidentJacques Chirac
Premier ministreLionel Jospin
GouvernementJospin
PrédécesseurMartine Aubry
SuccesseurJean-François Mattei
Ministre déléguée à l'Enseignement scolaire

(2 ans, 9 mois et 23 jours)
PrésidentJacques Chirac
Premier ministreLionel Jospin
GouvernementJospin
PrédécesseurFrançoise Hostalier(secrétaire d'État, indirectement)
SuccesseurXavier Darcos(indirectement)
Conseillère générale desDeux-Sèvres

(5 ans, 11 mois et 25 jours)
Élection29 mars 1992
CirconscriptionCanton de La Mothe-Saint-Héray
PrésidentAndré Dulait
PrédécesseurPierre Thomas
SuccesseurJean-Pierre Griffault
Biographie
Nom de naissanceMarie Ségolène Royal
Date de naissance(72 ans)
Lieu de naissanceDakar (Sénégal,AOF)[N 3],[N 4]
NationalitéFrançaise
Parti politiquePS(1978-2017 ; 2021-2023 ; depuis 2024)
ConjointFrançois Hollande
(1978-2007)
Diplômée deUniversité Nancy-II
IEP de Paris
ENA
ProfessionJuge administrative
Avocate
Site websegoleneroyal.eu

Signature de Ségolène Royal
modifier 

Ségolène Royal (/seɡolɛnʁwajal/[N 5]Écouter), néeMarie Ségolène Royal le àDakar (Sénégal), est unehaute fonctionnaire etfemme politiquefrançaise.

Membre duParti socialiste, conseillère du présidentFrançois Mitterrand dans les années 1980, elle estdéputée de ladeuxième circonscription desDeux-Sèvres de 1988 à 2007.Ministre de l'Environnement dans le gouvernementPierre Bérégovoy, elle est ensuite nomméeministre de l'Enseignement scolaire, puis de la Famille, parLionel Jospin lors de la troisième cohabitation. En 1995, elle perd les élections municipales deNiort. Elle préside leconseil régional de Poitou-Charentes de 2004 à 2014. Elle est de 1978 à 2007 en couple avecFrançois Hollande, avec qui elle a quatre enfants.

En 2007, Ségolène Royal est la première femme française à accéder ausecond tour d'une élection présidentielle, mais elle est battue parNicolas Sarkozy, récoltant 46,94 % des suffrages exprimés. En 2008, elle est défaite de justesse parMartine Aubry lors de l'élection à la fonction depremier secrétaire du Parti socialiste. Elle finit quatrième au premier tour de laprimaire socialiste de 2011, puis est battue auxélections législatives de 2012 dans lapremière circonscription de la Charente-Maritime.

Dans les gouvernementsManuel Valls etBernard Cazeneuve, entre 2014 et 2017, elle estministre de l'Environnement, de l'Énergie et de la Mer. Elle quitte ensuite le PS et se voit nommée parEmmanuel Macron ambassadrice chargée de la négociation internationale pour les pôlesarctique etantarctique, une fonction dont elle est démise en 2020 en raison de ses critiques envers la politique de l’exécutif. L’année suivante, elle est battue auxélections sénatoriales pour les Français établis hors de France.

Origines familiales

Marie Ségolène Royal[N 6],[1] est issue du mariage en 1949 de Jacques Royal (1920-1981)[2],[3],lieutenant-colonel d'artillerie de marine[4], et de Hélène Dehaye (1924-2019)[2],[5] ; le couple a huit enfants en neuf ans : Odette, Nicole, Gérard[6], Ségolène, Antoine, Paul, Henry et Sigisbert. Son frère Gérard, militaire auService Action de la DGSE, participera à l'opération Rainbow Warrior[7].

Par son père, elle est la petite-fille dugénéral de brigade du44e régiment d'artillerie Florian Auguste Émile Royal[N 7] et de Marie-Thérèse Carage. Par sa mère, elle est la petite-fille de Jean Henri Léonard Dehaye et de Jeanne Simon-Boisliboult.[réf. nécessaire] Un cousin, Benoît Royal, estgénéral dans ladeuxième section[8]. Il est l'auteur du livrel'Éthique du soldat français, paru en 2008[9]. Une cousine, Anne-Christine Royal, a été membre du comité central duFront national[10].

Enfance et études secondaires

De 1960 à 1963, la famille habite enMartinique, en raison d'une affectation de son père. Ségolène Royal est alors élève du pensionnatSaint-Joseph de Cluny, àFort-de-France[11][réf. obsolète].

À son retour en métropole en 1963, la famille Royal s'installe dans le village deChamagne, près d'Épinal (Vosges), dont elle est originaire. Hélène Dehaye, ne supportant plus l'autorité de son mari sur elle et ses enfants, quitte le domicile familial, avec l'assentiment de ceux-ci, qui rompent tout contact avec leur père[1],[12],[N 8]. Hélène Dehaye fait des ménages, avant de recevoir un héritage de ses parents[1],[12].

Après avoir effectué son premier cycle secondaire àCharmes (Vosges) et à Nancy (Cours Notre-Dame), Marie Ségolène Royal, réputée élève studieuse, entre au lycée privé Notre-Dame d'Épinal, où elle obtient unbaccalauréatB en 1971[13]. Pendant l'été 1971, elle estjeune fille au pair àDublin (Irlande)[14].

Études supérieures

Elle obtient unelicence desciences économiques à l'université Nancy-II, puis, après avoir été élève au Centre universitaire d'études politiques (CUEP), elle entre à l'Institut d'études politiques de Paris, dont elle sort diplômée en 1975 (section Service public)[15].

Après une première tentative infructueuse, elle intègre l'École nationale d'administration[16]. Pendant sa scolarité, elle fait un stage en Martinique. Elle sort, en 1980,64e de sapromotion de l'ENA, la promotion Voltaire, où se trouvent notammentFrédérique Bredin,Jean-Marie Cambacérès,Henri de Castries,Renaud Donnedieu de Vabres, son futur conjointFrançois Hollande,Jean-Pierre Jouyet,Pierre Mongin,Michel Sapin etDominique de Villepin[16],[17].

Carrière professionnelle

À sa sortie de l’ENA, elle choisit un poste de conseiller[18] autribunal administratif de Paris[19],[20].

En 1994, bénéficiant du décretno 91-1197 du 27 novembre 1991[N 9], qui autorise une dispense de diplôme, de formation théorique et pratique et du CAPA les membres et anciens membres du corps des tribunaux administratifs, elle devientavocate au barreau de Paris — tout en siégeant à l'Assemblée nationale et auconseil général des Deux-Sèvres. Elle entre au cabinetMignard,Teitgen, Grisoni & associés.

En septembre 2023, elle devient chroniqueuse de l'émission de télévisionTouche pas à mon poste ![21].

Vie privée et familiale

Ségolène Royal etFrançois Hollande lors de la campagne présidentielle de 2007.

À la fin des années 1970, elle fait la connaissance deFrançois Hollande, également de lapromotion Voltaire (1980) de l'ENA. Elle se lie avec lui au cours d'un stage effectué dans une citéHLM debanlieue, « La Noé », àChanteloup-les-Vignes[22]. Lecouple forme uneunion libre et a quatre enfants :Thomas (1984), qui estavocat, Clémence (1986), spécialiste en hépato-gastro-entérologie à Paris,Julien (1987),cinéaste, et Flora (1992),psychologue[23]. Leur séparation est annoncée au soir du second tour desélections législatives de 2007[24], bien que Ségolène Royal ait réaffirmé la bonne entente au sein de son couple durant sa campagne présidentielle, jusqu'à évoquer l'éventualité d'unmariage[25] et embrasser François Hollande en public lors d'un meeting à Limoges en mars[26].

Parcours politique

Débuts et ascension

En 1978, Ségolène Royal adhère auParti socialiste (PS), à la section du6e arrondissement deParis, l'année de l'obtention de son diplôme de Sciences Po.

D'abord appelée au cabinet ministériel deNicole Questiaux, elle est remarquée parJacques Attali alors qu'elle est conseillère de tribunal administratif en disponibilité[27]. De 1982 à 1984, sur proposition de Jacques Attali, elle est chargée de mission au secrétariat général de laprésidence de la République pour suivre les questions de jeunesse et des sports. De 1984 à 1988,François Mitterrand lui confie les affaires sociales et l'environnement en remplacement deYannick Moreau, partie diriger le cabinet deJean-Pierre Chevènement, nouveauministre de l'Éducation nationale. C'est à ce poste qu'elle prépare pour l'Élysée les sommets internationaux.

En 1983, pour se rapprocher de la résidence de sa mère àVillers-sur-Mer (Calvados), Ségolène Royal est conseillère municipale àTrouville-sur-Mer, sur une liste menée par le socialiste Gilbert Hurel[28] ; la gauche ayant été défaite, elle devient conseillère municipale d'opposition. Elle est présente à12 conseils municipaux sur 39[29]. Visant les élections législatives de 1986, elle essuie le refus des socialistes bas-normands, notammentLouis Mexandeau. En recherche d'une implantation électorale plus porteuse, elle démissionne peu après du conseil municipal de Trouville-sur-Mer[30].

Le, alors que la scène est filmée, Ségolène Royal demande à François Mitterrand, le jour de l’investiture de celui-ci pour un second septennat au palais de l’Élysée, une circonscription dans laquelle elle pourrait se présenter lors deslégislatives du mois suivant[31],[32],[33]. Elle obtient ladeuxième circonscription des Deux-Sèvres, réputée difficile pour la gauche. Après une campagne de terrain, lors de laquelle elle promet aux agriculteurs une formation à la langue anglaise, elle est élue députée, avec 50,6 % des suffrages exprimés au second tour[34],[35].

Elle ne parvient cependant pas à devenir maire, sa dernière tentative datant de l'année 1995. Ayant obtenu l'investiture du Parti socialiste pour l'élection àNiort, elle échoue face au maire socialiste sortant,Bernard Bellec.

Ministre du gouvernement Bérégovoy

Du au, elle est ministre de l'Environnement dans legouvernement Bérégovoy[36].

Ses lois remarquables concernent : le traitement et le recyclage des déchets (juillet 1992), avec un soutien aux technologies innovantes en la matière ; les nuisances sonores avec la loi-cadre de décembre 1992, avec la prévention du bruit des transports, dans les bâtiments publics (les cantines scolaires par exemple), les lieux de travail ; l'environnement avec la « reconquête des paysages » (janvier 1993). Elle veille à l'application de la loi sur l'eau votée peu de temps avant sa prise de fonction, à l'initiative de son prédécesseur,Brice Lalonde[N 10].

Son passage au gouvernement est marqué par une communication et une médiatisation importantes, ce qui lui attire des inimitiés dans la majorité[37]. Par exemple, elle fait venir des journalistes dans sa chambre d'hôpital à la naissance de son quatrième enfant, Flora, pour montrer qu’il est possible de concilier maternité et responsabilités au plus haut niveau ; cela suscite un débat sur la séparation entre vie publique et vie privée[38].

Ministre du gouvernement Jospin

Du au, elle est ministre déléguée à l'Enseignement scolaire dugouvernement Lionel Jospin auprès du ministre de l'Éducation nationale,Claude Allègre. Elle affirmera par la suite avoir eu des relations de travail difficiles avec celui-ci[39].

En tant que ministre déléguée, elle aide les enfants défavorisés avec la relance deszones d'éducation prioritaire, la création de fonds sociaux et d'heures de soutien scolaire. Elle crée le contrat éducatif local et les itinéraires de découverte au collège. Elle lutte contre lapédophilie avec la circulaire de 1997, ditecirculaire Royal. En matière de sécurité, elle défend lesdroits de l'enfant et lutte contre la violence à l'école[N 11]. Dans le domaine de la santé et du handicap, elle rend disponible gratuitement lapilule du lendemain dans les lycées et favorise la scolarisation des enfants handicapés avec le lancement du plan « Handiscol ».

En 1998, elle perd son siège deconseillère générale des Deux-Sèvres.

Du au, elle est ministre déléguée à la Famille et à l'Enfance[40] auprès de la ministre de l'Emploi et de la Solidarité,Martine Aubry puisÉlisabeth Guigou. Du au, elle est ministre déléguée à la Famille, à l'Enfance etaux Personnes handicapées auprès de la ministre de l'Emploi et de la Solidarité, Élisabeth Guigou[41]. Ses mesures notables sont la réforme de la loi sur l'autorité parentale et de l'accouchement sous X, la création du Conseil national d'accès aux origines personnelles (CNAOP), et lecongé de paternité.

Députée des Deux-Sèvres

Elle est réélue députée dans la2e circonscription des Deux-Sèvres en 1993, 1997 et 2002.

Le journaliste politiqueAlain Duhamel lui a prêté l'intention de se présenter à l'élection présidentielle de 1995[42].

Après la dissolution de 1997, Ségolène Royal continue à avoir recours aux services de trois collaboratrices lors des élections législatives. Deux d'entre elles saisissent la justice pour le non-paiement de leurs salaires de juin et juillet 1997. Elles obtiennent en 1999 une condamnation de Ségolène Royal à un rappel de salaires de trois semaines sur les trois mois demandés. Elles portent également plainte au pénal pour « recours au travail clandestin » : le, la cour d'appel deRennes condamne Ségolène Royal au versement des salaires non payés, arguant notamment d'un licenciement « sans cause réelle et sérieuse » ; cette condamnation devient définitive avec le rejet du pourvoi de Ségolène Royal par lachambre sociale de la Cour de cassation[43],[44].

D'après l'hebdomadaireL'Express, elle se classe au469e rang des577 députés les plus actifs, avec huit interventions en séance[45]. Elle a aussi présenté deux propositions de loi, alors que la moyenne dans l'assemblée est de six[N 12].

Auxélections législatives de 2007, elle ne brigue pas un nouveau mandat de députée au titre du principe denon-cumul des mandats, qu'elle prône[46]. La socialisteDelphine Batho lui succède[47].

Élections municipales de 1995 à Niort

En 1995, Ségolène Royal souhaite conduire la liste soutenue par le Parti socialiste auxélections municipales àNiort (Deux-Sèvres). Elle perd cependant la primaire interne à six voix près face à Alain Baudin, soutenu par lemaire sortant,Bernard Bellec ; mais le conseil fédéral du PS — présidé par Ségolène Royal elle-même — gèle aussitôt ce vote et Ségolène Royal est finalement investie comme tête de liste socialiste sur décision des instances nationales. Au second tour des élections municipales, dans le cadre d'une triangulaire, celle-là est battue par la liste menée par le maire Bernard Bellec, qui se présentait en dissident PS[48].

Présidente du conseil régional de Poitou-Charentes

Élections de 2004 et 2010

Ségolène Royal en 2006.

Aux élections régionales de 2004, la liste qu'elle conduit en Poitou-Charentes — le fief du Premier ministreJean-Pierre Raffarin — l'emporte au second tour avec 55,10 % des voix, face notamment à la liste UMP d'Élisabeth Morin-Chartier (36,20 %)[49].

Candidate à sa réélection auxélections régionales de 2010, elle présente une liste d'« ouverture », allant duPCF auMoDem en passant par des personnalités de la société civile[50],[51],[52],[53]. Après fusion dans l'entre-deux tours avec la listeEurope Écologie, elle l'emporte au second tour avec 60,6 % des suffrages[54]. Elle est réélue présidente de la région le[55].

Ségolène Royal est porte-parole de l'Association des régions de France de 2004 à 2010. Après avoir visé un temps la tête de l'ARF en juillet 2007[56], elle est élue le présidente de l'Association internationale des régions francophones (AIRF), qui regroupe140 régions dans26 pays à travers le monde[57].

Politique écologique et sociale

Elle appuie les « comités de bassins d'emploi », et l'aide aux salariés licenciés avec le contrat régional de sécurisation des parcours professionnels (CRSPP)[N 13]. Face à l'augmentation forte de certaines dépenses, elle procède fin 2012 à une augmentation de lataxe sur les cartes grises des véhicules[58],[N 14],[59].

En 2009, face à la recrudescence des grossesses non désirées de jeunes femmes et aux difficultés d'accès auplanning familial en zones périphériques, Ségolène Royal met en place le « Pass-contraception », permettant un accès gratuit à une consultation chez un gynécologue, une sage-femme ainsi qu'à la pilule. Le gouvernement d'alors s'y oppose mais la mesure est mise en œuvre[60].

Pour la période 2009-2012, elle lance, avec laBanque européenne d'investissement, le « Plan énergie solaire », de plus de400 millions d’euros d’investissements[61]. Les priorités de ce plan sont le développement de la production d’énergie renouvelable avec l’installation de 650 000 m2 depanneaux photovoltaïques, le renforcement de l’autonomie énergétique des territoires, la création de 1 000 emplois sur l’ensemble du territoire régional et la réduction des gaz à effet de serre. En 2009, Ségolène Royal inaugure lelycée Kyoto, qui est le premier établissement scolaire d'Europe à fonctionner exclusivement avec desénergies renouvelables, et non avec desénergies fossiles[N 15],[62],[63].

Économie

Alors que le carrossierHeuliez rencontre des difficultés, Ségolène Royal promet pendant la campagne régionale de 2010 de redresser l'entreprise et de constituer une filière de la voiture électrique en Poitou-Charentes. Cette dernière société, Mia, voit entrer dans son capital la région Poitou-Charentes, fait inédit pour une collectivité locale. Mais le marché de la voiture électrique est moribond. Juste avant l'annonce de la liquidation judiciaire de Mia, prononcée en, Ségolène Royal crée une société d'économie mixte pour sauver les derniers actifs de Mia et y injecte un million d'euros, en pure perte. Avec le soutien accordé à Eco&Mobilité (un autre fabricant de véhicules électriques de la région), Ségolène Royal a fait dépenser quelque20 millions d'euros dans la filière de la voiture électrique qu'elle entendait bâtir[64]. Cet échec s'ajoute alors à ses déclarations controversées sur General Electric, Alstom et l'écotaxe[64].

En,L'Expansion publie le classement des présidents de conseils régionaux selon la qualité de leur gestion : elle figure en17e position sur 21 alors que Poitou-Charentes était classé4e en 2004. Le magazine économique souligne que« la gestion de Ségolène Royal a été raisonnable sur les impôts mais moins sur les frais de personnels, les plus élevés de France »[65],[N 16].

Ségolène Royal etGilbert Annette en 2006.

Début 2016, le nouveau président duconseil régional de Nouvelle-Aquitaine, le socialisteAlain Rousset, fait état d'un mauvais bilan financier de l'ancienne région Poitou-Charentes, déclarant que« c'est une région qui manifestait beaucoup de volontarisme et avait sans doute les yeux plus gros que le ventre par rapport aux capacités de financement »[66]. Un audit commandé au cabinetEY et publié en avril 2016 confirme une « forte dégradation » de la situation financière de la région Poitou-Charentes sous la présidence de Ségolène Royal. L'étude relève des retards de paiements s'élevant à132 millions d'euros et évoque une situation de quasi-banqueroute si la région n'avait pas été fusionnée avec l'Aquitaine et le Limousin en 2015[67],[N 17]. Le quotidienLa Nouvelle République indique que la région bouclait depuis plusieurs années son budget en reportant une partie de ses dépenses sur l'année suivante, une pratique qui avait été précédemment condamnée par la chambre régionale des comptes[67]. L'audit relève également une absence d'épargne de l'ancienne région et une dette de450 millions d'euros[67]. Sur cette somme, le montant d'emprunts structurés est de200 millions d'euros, dont56 millions d'euros sont estimés « à très haut risque » et46 millions « à risque »[68]. Ségolène Royal dénonce un règlement de comptes politique et invoque un problème informatique venant de la région Aquitaine[67].

Démission

Ségolène Royal démissionne de son mandat de présidente du conseil régional de Poitou-Charentes le, après son entrée au gouvernement Valls[69].

Élection présidentielle de 2007

Articles connexes :primaire présidentielle socialiste française de 2006 etélection présidentielle française de 2007.

En 2006, Ségolène Royal est candidate à l'électionprimaire organisée par le Parti socialiste pour l'élection présidentielle de 2007 ; elle est d’abord considérée comme favorite[70],[71]. Le, au premier tour de scrutin, Ségolène Royal obtient 60,65 % des voix, contre 20,69 % pourDominique Strauss-Kahn et 18,66 % pourLaurent Fabius. Elle est ainsi désignée candidate du Parti socialiste[72]. Ségolène Royal constitue son équipe de campagne avecJean-Louis Bianco etFrançois Rebsamen comme codirecteurs, etDominique Bertinotti comme mandataire financière. Après des débats en ligne pour recueillir des suggestions dans la population, elle présente son pacte présidentiel le àVillepinte[73].

Ségolène Royal lors d'une réunion publique (,halle Georges-Carpentier de Paris).

La candidate désignée par la primaire suscite des réticences chez des responsables socialistes. De son côté, le journaliste politiqueAlain Duhamel qualifie sa campagne de« psychédélique » ; il écrit après l’élection qu’elle a« créé aussi bien avec ses militants qu'avec une partie des Français un lien incroyable à base de psychologie et de volonté de participation : c'était une forme de civisme, de scoutisme, de générosité de quartier »[74].

Plusieurs de ses prises de position sont critiquées par l’extrême-gauche et les écologistes mais soutenues dans son camp[75],[76]. C’est notamment le cas lorsqu’elle exprime sa nostalgie duservice militaire, prône la mise en place de « lieux d’encadrement à dimension militaire », lorsqu’elle fait part de son souhait que tous les Français disposent d’undrapeau de la France chez eux ou souligne son attachement àLa Marseillaise[27],[77].

De son côté, la presse de droite qualifie certaines de ses interventions de « gaffes »[78] : en voyage en Chine, Ségolène Royal complimente la justice chinoise en dépit de ses violations des droits de la défense[79], déclare que « qui va sur laGrande Muraille conquiert la bravitude » (au lieu de « bravoure »)[80] et affirme qu'en France, « une femme sur trois meurt sous les coups de son conjoint » (au lieu d'une femme tous les trois jours)[81]. Dans un enregistrement téléphonique diffusé pendant la campagne, elle discute de l'indépendance de la Corse et déclare dans un rire que« Tous les Français ne seraient pas contre », ce qui provoque des remous[82].

À la fin de la phase participative de sa campagne et après la présentation de son programme qui en est l’aboutissement, Ségolène Royal connaît, en particulier en janvier, un important recul dans lessondages : les études réalisées parTNS Sofres indiquent ainsi que les intentions de vote en sa faveur au premier tour passent de 34 % au moment de sa désignation comme candidate PS à 26 % en[83],[84]. Dès le 17 février, un sondage Ipos ne lui donne plus que 23%, loin derrière les 33% de Nicolas Sarkozy et avec Bayrou à 16%. Elle doit ensuite faire face à la montée dans les sondages du candidat centristeFrançois Bayrou, qui est un temps en passe de la dépasser[85].

Ségolène Royal se qualifie finalement pour le second tour de l'élection présidentielle en arrivant en deuxième position, le, avec un score de 25,87 % des suffrages exprimés[86].

Trois jours après le premier tour, François Bayrou annonce qu'il ne donne aucune consigne de vote en vue du second tour, Il renvoie dos à dos les deux finalistes, incapables à ses yeux de « réparer » une France « en manque de croissance », « à la démocratie malade » et « au tissu social déchiré »[87].

Ségolène Royal tente cependant un rapprochement avec lui[88],[89]. Elle affirme que son gouvernement pourrait accueillir des personnalités UDF[90]. Dans un livre de novembre 2007[91], elle assure avoir même rencontré physiquement François Bayrou avant le second tour "en lui proposant même d’être son premier ministre"[92]. Bayrou a confirmé en disant n'avoir "jamais cru qu’elle pourrait être élue"[92].

La candidate socialiste est battue à l’issue du second tour en recueillant 46,94 % des suffrages, face àNicolas Sarkozy, qui obtient 53,06 %[86]. Au soir de sa défaite, elle promet à ses partisans de les mener « vers d'autres victoires »[93] et fait valoir la forte participation aux deux tours.

Carrière au parti socialiste

Congrès de Reims de 2008

Article connexe :Congrès de Reims.

Le, elle pose sa candidature au poste depremier secrétaire du Parti socialiste, avant de la mettre entre parenthèses le 15 septembre, en proposant « que chacun mette au frigidaire les questions de candidature »[94],[95]. Lors du vote des militants socialistes pour lecongrès de Reims, le, la motion dont elle est signataire arrive en tête avec 29,1 % des suffrages, devant celles deBertrand Delanoë (25,2 %), deMartine Aubry (24,3 %) et deBenoît Hamon (18,5 %).

Alors que le congrès de Reims peine à dégager une synthèse, elle confirme sa candidature au poste de premier secrétaire et arrive en tête du premier tour de l'élection du premier secrétaire du PS, le, avec 42,4 % des votes des adhérents, devantMartine Aubry (34,7 %) etBenoît Hamon (22,8 %), qui appelle à voter pour cette dernière[96],[97]. Le lendemain, Martine Aubry est donnée gagnante avec 50,02 % et42 voix d’avance sur Ségolène Royal. Contestant la régularité du scrutin alors que ses partisans sont également accusés de fraude, elle réclame un nouveau vote[98]. Le, le conseil national valide l'élection de Martine Aubry avec102 voix de plus que sa rivale (soit 50,04 % des suffrages contre 49,96 %). Ségolène Royal renonce à toute action judiciaire et prend acte de ce résultat[99].

Début 2009, ses partisans créent, au sein du PS, le courantL'Espoir à gauche, tandis que son association de soutienDésirs d'avenir reste en fonctionnement et finance certains de ses déplacements dans le pays[100]. Parallèlement,Pierre Bergé crée l'Association des amis de Ségolène Royal pour lui permettre d'occuper pour une somme symbolique des locaux au cœur du6e arrondissement de Paris[101].

Primaire socialiste de 2011

Article connexe :Primaire citoyenne de 2011.
Ségolène Royal entourée deGuillaume Garot et deNajat Vallaud-Belkacem, lors de la Fête de la fraternité, en septembre 2009, àMontpellier.

Dans l'opposition à Nicolas Sarkozy, elle signe l'« Appel du 14 février [2008] pour une vigilance républicaine » lancé par l'hebdomadaireMarianne[102]. En, en déplacement au Sénégal, elle demande « pardon » pour certaines paroles dudiscours de Dakar, prononcé parNicolas Sarkozy en 2007. Une semaine plus tard, elle présente à nouveau ses excuses pour des propos désobligeants surJosé Luis Rodríguez Zapatero attribués à Nicolas Sarkozy parLibération. L'UMP critique ses déclarations, tandis que peu de personnalités au PS lui apportent leur soutien[103]. En, elle est nommée parMartine Aubry vice-présidente de l'Internationale socialiste[104].

Le, Ségolène Royal annonce sa candidature à laprimaire citoyenne de 2011 en vue de la désignation du candidat PS à l'élection présidentielle de 2012[105]. Dans les mois qui suivent, les intentions de vote en sa faveur restent inférieures à celles de la plupart de ses concurrents potentiels (Dominique Strauss-Kahn,Martine Aubry,François Hollande)[106]. Les médias estiment que son aura ne cesse de décroître depuis 2007, ses prises de position ne rencontrant plus guère d'écho[107],[108]. Prenant en exemple la composition de ses listes auxélections régionales de 2010 en Poitou-Charentes, elle appelle à un large rassemblement allant de l'extrême gauche à la« droite gaulliste »[109].

Créditée de 11 à 13 % des voix dans les sondages et régulièrement annoncée en troisième position de cette primaire, Ségolène Royal arrive finalement quatrième, le, derrièreArnaud Montebourg,Martine Aubry etFrançois Hollande ; avec 6,95 % des voix, elle est éliminée au premier tour. Dans l'entre-deux tours, elle apporte son soutien à François Hollande, afin d'« amplifier le résultat du premier tour »[110].

Après la primaire, Ségolène Royal fait campagne pour François Hollande lors de la présidentielle. Son premier déplacement de campagne se tient dans les« quartiers populaires » deMarseille, où elle a réalisé de bons scores en 2007. Elle participe à un meeting àRennes aux côtés de son ancien compagnon. Elle définit ainsi son rôle :« parler simple et faire de la pédagogie » et aider à« la participation à la campagne et le vote à gauche d'une partie de l'électorat tenté par le FN »[111]. En, elle est nommée secrétaire nationale du Parti socialiste chargée des mobilisations citoyennes, une fonction qu'elle occupe jusqu'en[112].

Élections législatives de 2012

Ségolène Royal en 2012.

Ségolène Royal aurait souhaité un nouveau mandat dans sadeuxième circonscription des Deux-Sèvres auxélections législatives de 2012, mais sa suppléante devenue députée,Delphine Batho, ne se retire pas à son profit[74].

Ségolène Royal choisit alors lapremière circonscription de la Charente-Maritime, où le député socialiste sortant,Maxime Bono, ne se représente pas. Validée par le bureau national du Parti socialiste, sa candidature est contestée par plusieurs responsables locaux, dont le premier secrétaire fédéral du PS en Charente-Maritime,Olivier Falorni, qui dénonce unparachutage et se présente contre eĺle. Dans l'entre-deux tours, alors que le présidentFrançois Hollande lui apporte son soutien, la compagne de celui-ci,Valérie Trierweiler, encourage publiquement son concurrent, Olivier Falorni[113]. Celui-ci l'emporte face à Ségolène Royal avec 62,97 % des voix[114].

Le, elle est nommée, par François Hollande, administratrice de laBanque publique d'investissement (BPI), fonction qu'elle exerce bénévolement[115]. Elle devient vice-présidente et porte-parole de la BPI[116]. Sa nomination au sein de cet organisme de financement suscite notamment les critiques de l'opposition, qui dénonce un manque de légitimité, en particulier au vu de ses investissements dans le groupe Heuliez[117].

Ministre des gouvernements Valls et Cazeneuve

Nomination

Le, Ségolène Royal est nomméeministre de l'Écologie, du Développement durable et de l'Énergie. Elle fait voter laloi relative à la transition énergétique pour la croissance verte en 2015[118] visant notamment à réduire la part du nucléaire dans la production énergétique à 50 % en 2025 (conformément à un des engagements deFrançois Hollande)[119].

Mesures portées

Ségolène Royal durant laConférence de Paris de 2015 sur les changements climatiques.

Adoptée sous l’égide de Ségolène Royal, la loi de transition énergétique du 17 août 2015 ouvre à la concurrence lesbarrages hydroélectriques[120].

En 2015, Ségolène Royal accuseFerrero de contribuer fortement à la déforestation en Asie par un recours massif à l'huile de palme[121], appelle au boycott de la pâte à tartinerNutella, puis elle fait marche arrière et finit par s'excuser[122]. L'année suivante, en 2016, elle essaie d'aligner la fiscalité de l'huile de palme sur celle de l'huile d'olive ; l'initiative suscite deux crises diplomatiques : le gouvernement italien menace de fermer l'usine Ferrero de Rouen et le gouvernement indonésien (premier producteur mondial) menace d'exécuter un Français emprisonné dans le pays si la fiscalité sur l'huile palme augmentait. La ministre dénonce un« chantage » et un« bluff odieux », mais s'incline. Dans son livreCe que je peux enfin vous dire (2018), elle mentionne à travers cet épisode le poids desgroupes d'intérêt dans le pouvoir politique.

Elle affirme avoir cependant avoir dissuadé le président de la Commission européenne,Jean-Claude Juncker, de renouveler l'autorisation de mise sur le marché duglyphosate, et souligne l'influence deslobbys de pesticides au sein des institutions européennes[N 18],[123].

À la suite desattentats du 13 novembre 2015, elle fait installer des portiques de sécurité à lagare de Paris-Nord pour contrôler les bagages des voyageurs au départ dans les trainsThalys, en direction de l'Allemagne, laBelgique et desPays-Bas[124].

Au début de l’année 2016, la ministre prévoit 1 000 km de routes couvertes depanneaux solaires photovoltaïques ; en décembre 2016, elle inaugure la plus granderoute solaire du monde, d’une longueur d’un kilomètre, dans l’Orne. Trois ans plus tard, l'expérience n'est pas poursuivie : le seul kilomètre réalisé ayant coûté cinq millions d'euros, avec un rendement d'installation bien inférieur à celui annoncé et une dégradation de l’infrastructure plus importante que prévu[125],[126],[127].

Élections de 2017

Ségolène Royal etJohn Kerry, secrétaire d'État des États-Unis,en 2016.

En, Ségolène Royal est candidate à la fonction d’administratrice duProgramme des Nations unies pour le développement (PNUD) ; c'est finalementAchim Steiner, diplomate allemand alors directeur général duProgramme des Nations unies pour l'environnement (PNUE) qui est élu[128].

Durant lacampagne présidentielle de 2017, elle montre un temps des signes de ralliement au candidatEmmanuel Macron[129],[130] dans le but d'une prolongation de ses fonctions à l'Environnement, mais ne prend finalement pas de position officielle. Elle attribue sa non-reconduction aux« équilibres politiques », et veut mettre« compétences au service du combat climatique et au service de ce gouvernement »[131]. Auxélections législatives de 2017, elle indique avoir voté dans ladeuxième circonscription des Deux-Sèvres pour la candidateLa République en marche face à son ancienne procheDelphine Batho[132].

Ambassadrice pour les pôles arctique et antarctique

En[133], Ségolène Royal succède àMichel Rocard (mort en) au poste d'ambassadrice chargée des négociations internationales relatives aux pôlesarctique etantarctique[134],[135]. Elle siège auconseil de l'Arctique.

Alors que le Parti socialiste — dont elle n’est plus membre[136] — atteint des scores historiquement bas, elle apparaît fin 2018 comme un recours possible pour la gauche en vue desélections européennes de 2019 et de l’élection présidentielle de 2022[137],[138]. Dans le même temps, dans son ouvrageCe que je peux enfin vous dire, Ségolène Royal critique Emmanuel Macron et François Hollande, à qui elle reproche notamment ses hausses d’impôts, laloi travail et laréforme territoriale[137]. Elle est en désaccord avec les écologistes qui prônent l'abolition de lataxe sur les carburants[139],[140].

Deux ans après sa nomination comme ambassadrice, il est avéré que Ségolène Royal n'a assisté à aucune réunion duConseil de l'Arctique, contrairement à ses déclarations publiques[141]. De fausses accusations d'utilisation à des fins personnelles des moyens d'ambassadrice provoquent en novembre 2019 l'ouverture d'une enquête par leParquet national financier[142]. L’enquête est classée sans suite en juin 2021[143].

Au début de l'année 2020, elle se montre très critique envers l'exécutif, notamment sur leprojet de réforme des retraites ; elle dénonce« l'orgueil et l'obstination du pouvoir » sur ce sujet et déclare :« J'ai voté pour Emmanuel Macron mais je n'ai pas voté pour avoir l'effondrement du système social, l'abandon de l'hôpital public, la misère des agriculteurs, les services publics sans arrêt menacés, l'appel à la privatisation des retraites »[74],[144]. Le Gouvernement lui rappelle sondevoir de réserve, et le 24 janvier 2020, la démet en Conseil des ministres de ses fonctions d'ambassadrice[145]. Elle crée l'association « Désirs de France, avenir de la planète » et envisage de se porter candidate à l'élection présidentielle de 2022 afin de proposer une « troisième voie » entreEmmanuel Macron etMarine Le Pen[146]. Un sondage réalisé par l’IFOP en septembre de la même année la crédite de 5 % des voix en cas de candidature à l’élection présidentielle[147].

Défaite aux élections sénatoriales de 2021

En, Ségolène Royal se présente auxélections sénatoriales de suivant pour les Français établis hors de France[148] avec une liste « qui transcende les clivages droite-gauche »[149]. Elle est critiquée par des représentants des socialistes des Français de l’étranger[150] qui lui reprochent un parachutage. Elle précise qu’elle entend siéger en tant qu’apparentée augroupe socialiste du Sénat[149], puis reprend sa carte au Parti socialiste à l’été 2021[151]. Mais le PS lui reproche d'être trop à droite[152],[153].

Ségolène Royal se maintient en tant que dissidente, avec comme numéro deux Mehdi Benlahcen, socialiste et président du groupe solidarité et écologie à l'Assemblée des Français de l'étranger[154]. Lors du vote du, sa liste arrive en huitième position sur dix listes en présence, avec seulement 2,1 % des suffrages exprimés, ce qui ne lui permet pas d'être élue[155]. À l’annonce des résultats, elle critique« la stratégie de la division » du Parti socialiste[74]. Elle souhaite transformer son association Désirs de France en« un parti politique, basé autour de trois thématiques : protection du modèle social, crise démocratique et urgence écologiste »[153].

Élections nationales de 2022

Estimant queJean-Luc Mélenchon, candidat dela France insoumise,« fait la meilleure campagne », elle lui apporte en son soutien, considérant qu'il s'agit du« vote utile à gauche ». Cette prise de position est critiquée parAnne Hidalgo, candidate duParti socialiste, qui la considère comme« choquante »[156]. Au lendemain dupremier tour, l'ancienne ministre critique les candidatures à gauche, notamment celles d'Anne Hidalgo,Fabien Roussel etYannick Jadot et les accuse d'être responsables de la défaite du candidatinsoumis[157]. À la suite de la réélection d'Emmanuel Macron, elle se dit favorable à une« recomposition » de la gauche autour deJean-Luc Mélenchon, en vue des élections législatives[158],[159]. Avant les élections législatives, elle s'indigne de la campagne de décrédibilisation dont font l'objet la gauche et Mélenchon, et souligne le fait que les mêmes qualificatifs attribués à l'extrême droite sont attribués à Mélenchon[160].

Le, elle apporte son soutien à laNouvelle Union populaire écologique et sociale (NUPES)[161]. SurC8, à partir de septembre 2023, elle vient une fois par semaine sur le plateau deCyril Hanouna pour décrypter un sujet de l’actualité politique[162],[163].

Ségolène Royal reprend sa carte au Parti socialiste en 2024[164].

Prises de position

Éducation

Contre la violence à la télévision

En 1989, Ségolène Royal entame un mouvement contre la violence à la télévision française à destination des enfants, dont l'archétype serait l’animation japonaise, qu’elle qualifie de« nulle, médiocre et laide ». Sa critique vise aussi les programmes de télévision produits aux États-Unis et diffusés aux heures de grande audience sans mention particulière de leur caractère violent ou pornographique.

De façon plus générale, elle critique l’influence néfaste de la télévision sur la santé somatique (dyslexie), psychique (cognition), sociale (illettrisme, relations), affective et civique des enfants. Elle dénonce, en France[165] et en Belgique[166] notamment, une course à l'audience de la télévision, dans le cadre de saprivatisation. À ce sujet, elle publie l’ouvrageLe Ras-le-bol des bébés zappeurs, dans lequel elle écrit : « Quand un enfant âgé de quatre à sept ans passe 820 heures par an à l'école, il en passe 1000 devant la télévision. Et il faudrait se soumettre à l'idée que la télévision n'a aucune influence ? Et il faudrait accepter qu'elle soit privatisée sans contraintes et sans règles, c'est-à-dire que certains s'enrichissent, sans exiger de contrepartie pour ceux qui la regardent ? »[167].

Ségolène Royal conserve en 2007 la même opinion sur la productionjaponaise[N 19],[168]. Longtemps accusée d'avoir « tué »le manga japonais en France[169], la présidente du conseil régional de Poitou-Charentes affirme s’être attaquée avant tout aux importants contrats signés par exemple entreTF1 et la sociétéAB Productions[170], dans le cadre de son émission-phare leClub Dorothée, s'en prenant vigoureusement à ceux qu'elle appelait dans son ouvrage les « marchands d'images »[167].

Lors de l'épisode 71 de l'émissionPas de pitié pour les croissants,Ariane, co-animatrice de l'émission, jettera dans une poubelle le livre de Ségolène Royal[171],[172], ce que justifieraDorothée elle-même en 1992[173].

La 11 mai 2024, elle déclare lors de son passage dans l'émissionTouche pas à mon poste ! que l'Eurovision est « un concours de laideur, de vulgarité et d'exhibitionnisme »[174]. Elle ajoute sur le réseau socialX : « Il faut espérer que pas un euro d’argent public ou européen ne soit allé à cette farce lugubre »[175].

Encadrement militaire des jeunes délinquants

Lors de sacampagne présidentielle de 2007, Ségolène Royal propose l'encadrement militaire des jeunes délinquants, une mesure figurant dans son « pacte présidentiel » de 100 propositions[176],[177],[178]. Initialement critiquée par la droite, l'idée est ensuite reprise parNicolas Sarkozy en 2011, qui l'intègre dans un projet de loi après s'être moqué de cette proposition en 2006[176],[178]. Cette mesure est par la suite régulièrement évoquée sous lesgouvernements Castex etBorne[176].

Pour la démocratie participative

En 2004, Ségolène Royal met en place un système présenté comme dedémocratie participative ainsi qu’unbudget lycéen « participatif » dans la région Poitou-Charentes[179],[180].

Elle développe ces concepts et ajoute celui de jury citoyen dans l'ouvrageMaintenant : Ségolène Royal répond à Marie-Françoise Colombani : « Une réalité à laquelle je crois profondément : les gens sont de bons connaisseurs de ce qu'ils vivent, ils ont une vraie capacité d'expertise de leurs difficultés et des résultats des politiques publiques »[181].

Lors de l'élection présidentielle de 2007, elle organise, avec son associationDésirs d'avenir, 5 000 débats « participatifs » afin d'ajouter des idées au programme du PS et pour rédiger son « pacte présidentiel »[182].

DansCe que je peux enfin vous dire (2018), critiquant la verticalité du pouvoir exercé selon elle par le président Emmanuel Macron, elle propose démocratie participative et co-construction[183].

Contre le communautarisme

Le 25 septembre 2006, invitée de l'« Assemblée des banlieues » àBondy, Ségolène Royal déclare : « Il est temps que la France arrête de parler en ce qui concerne tous ses enfants et tous ses jeunes deFrançais de souche, comme s'il y en avait de branchages et de feuillages. […] Je veux que dans la France d'aujourd'hui, lemétissage au lieu de fermer ses portes ouvre des portes. […] Les choses auront changé lorsque l'on ne verra même plus les différences, qu'on ne parlera même plus de ladiversité des origines »[184].

Lors de la campagne pour l'élection présidentielle de 2007, le 26 janvier, Ségolène Royal lance un slogan qu'elle reprend par la suite à plusieurs reprises, notamment lors d'une rencontre avec le poète et homme politique françaisAimé Césaire : elle promet d'être « la Présidente de la France métissée »[185] ; elle appelle à un « regard lucide sur l’histoire coloniale de la France », s'opposant à la loi de 2005 qui soulignaitle rôle positif de la colonisation[186].

Dans un chapitre deSi la gauche veut des idées, coécrit en 2008 avec le sociologue françaisAlain Touraine, elle affirme : « Jusqu'à quand parlera-t-on de deuxième, troisième génération voire quatrième génération pour certains alors qu'on ne le fait jamais pour ceux dont les parents sont originaires d'Europe ? »[187]. « La France métissée qui nous fera tous avancer » est à nouveau mise en avant dansLettre à tous les résignés et indignés qui veulent des solutions (2011)[188]. Elle affiche ce slogan volontariste dans le cadre de la lutte contre leFront national, des actes racistes mais aussi descommunautarismes[189].

En 2020, dansRésilience française, Sauvons notre modèle social[190], elle s’inquiète de l'incapacité des gouvernants à comprendre que « le sentiment d'appartenance nationale doit sans cesse être réinventé » et de ce que « la question religieuse n'est toujours pas apaisée »[191]. Elle définit la laïcité comme « pas de communautarisme, aucune discrimination ». D'après elle, « la montée des communautarismes et l'entre-soi social sont des conséquences de ce repli sur soi et de l'effondrement de tout ce qui fonde le ciment national »[192].

Économie

Ségolène Royal a plusieurs fois exprimé sa volonté d'appliquer une politique économiquekeynésienne et a plusieurs fois critiqué la« logique boursière »[193]. Elle déclare adhérer à certaines idées de l'ancien Premier ministre britanniqueTony Blair (réinvestissement dans les services publics, lutte contre le chômage des jeunes et prise en charge des jeunes diplômés), ce qui lui vaut l'étiquette de « blairiste »[194].

À la tête de la région Poitou-Charentes, elle s’affiche en opposante aux gestions libérales fondées sur l'austérité budgétaire[195],[196]. Elle met en avant sa politique d'investissement, et notamment sa prise de participation régionale au capital d'Heuliez[197], en appelant notamment à l'État[198] et aux grandes villes, souhaitant être encouragée par une production de masse des constructeurs automobiles français[199].

Écologie

Ségolène Royal,Bruno Léchevin et Marc Mortureux en 2016.

En 1992, invitée deL'Heure de vérité[200] comme ministre de l'Environnement, Ségolène Royal déclare que « l'environnement, c'est aussi un humanisme » et de préciser : « ce qui me préoccupe ce sont les inégalités devant l’environnement, c’est comme cela que j’ai choisi mes priorités ». Elle estime appartenir à lasocial-écologie.

En 2009, elle est hostile à lacontribution climat-énergie alors que le bureau national duPS annonce son accord avec le principe d'unetaxe carbone[201],[202]. Elle considère la taxe carbone comme« injuste » car taxant des Français qui n'ont accès ni aux transports en commun ni aux véhicules propres. Pour elle, la taxe carbone n'est pas une fiscalité écologique car elle ne permettrait pas« aux gens de changer de comportement »[203]. Critiquée par Les Verts, elle rappelle avoir émis des réserves sur la taxe carbone lors de sa campagne présidentielle de 2007[204].

En 2011, Ségolène Royal se prononce pour un arrêt de la construction duréacteur nucléaire de troisième génération EPR de Flamanville[205] et propose « un moratoire et la réouverture de l'enquête publique » sur la construction de l'aéroport de Notre-Dame-des-Landes[206]. En octobre 2014, alors que sa mise en place avait été repoussée à début 2015, Ségolène Royal met fin à l'écotaxe[207]. Elle revient également sur l'interdiction des feux de cheminée en Île-de-France[208]. Elle s’oppose en 2016 aux avis défavorables émis contre lesrépartiteurs de frais de chauffage[N 20].

Elle prend en des décisions favorables à ce que lesloups soient chassés davantage[209].

En mai 2017, elle veut créer une entreprise dans le domaine de la croissance verte, ainsi qu'un groupe de réflexion sur les questions climatiques du nom de son dernier livre,Manifeste pour une justice climatique. Elle dit avoir déjà déposé les statuts pour la création d'une association[210]. Elle défend les technologies françaises dans le domaine de la croissance verte de haute technologie et dénonce en 2019, au Canada, les « lobbys de l’automobile et du pétrole »[211].

Dans le contexte dumouvement des Gilets jaunes, en 2018, elle appelle Emmanuel Macron à annuler la réforme de hausse des taxes sur les carburants[212].

Lors de l'occupation d'un centre commercial parisien par quelques centaines de militants en octobre 2019, Ségolène Royal qualifie l'association écologisteExtinction Rebellion de« groupe violent » et appelle à ce qu'il soit« réprimé très rapidement »[213].

En 2020, dans son ouvrageRésilience française : sauvons notre modèle social, elle est favorable à un « Pacte Vert » (ouGreen New Deal), « projet le plus enthousiasmant pour rénover notre façon d'envisager l'avenir »[190],[214]. Elle soutient ainsi l’idée d’investissements massifs dans la croissance verte et digitale visant à créer de nouveaux emplois non délocalisables liés à l'écologie[215].

Féminisme

Pendant la campagne pour l’élection présidentielle de 2007, elle promet de défendre les femmes en priorité, déclarant :« la première loi qui sera déposée sur le bureau de l'Assemblée nationale si je suis élue sera une loi contre la violence faite aux femmes »[216]. Auparavant, elle avait critiqué la pornographie, la publicité et le port du string, affirmant en 2003 :« Aux yeux des garçons, le string réduit les jeunes filles à leur postérieur […] Après, on s'étonne que les adolescentes soient victimes d'attouchements ou de violences sexuelles »[217].

En, elle critique aussi lerappeurOrelsan, étant de l'avis qu'une chanson polémique de celui-ci,Sale pute, est violemmentmisogyne. Elle promeut l'interdiction de tout l'album concerné,Perdu d'avance, et la déprogrammation de l'artiste desFrancofolies de la Rochelle. L'affaire, lancée par des blogueuses féministes avant d'être notamment relayée par elle en politique[218], prend une tournure liée à des accusations de menaces et chantage à la subvention à l'encontre de Royal sur la question de l'interdiction de scène, qu'elle nie[219].

Mariage homosexuel

Le 25 mai 2013, Ségolène Royal affirme que si elle avait été présidente de la République, elle aurait donné la préférence à l'union civile plutôt qu'aumariage homosexuel en France[220].

Cuba

Article connexe :Dissidence cubaine.

Début décembre 2016, alors qu'elle représente le gouvernement français à l'enterrement de l'ancien chef d’ÉtatcubainFidel Castro, elle élude la question de la censure et les accusations de violations desdroits de l'homme portées à l'encontre de ce dernier[221]. À l’actif du régime castriste, elle voit « un pays insulaire qui protège son patrimoine, qui interdit les prédateurs, qui a réussi aussi à faire en sorte qu'il y ait une propreté, une sécurité vraiment remarquable, que l'on n'atteint pas dans beaucoup de pays qui donnent aujourd'hui des leçons de droits de l'homme »[222]. Une polémique est déclenchée en France à la suite de ces propos, notamment sur la question de l'existence à Cuba de prisonniers politiques et de liste de prisonniers politiques, qui selon elle n’existe pas à Cuba[223],[224],[225]. Ses déclarations suscitent notamment l'indignation de l'écrivain cubainJacobo Machover, exilé en France, qui reproche à la ministre socialiste d'être « complètement aveugle ou fanatisée »[226].

Crimes de guerre russes en Ukraine

Le, Ségolène Royal exprime publiquement ses doutes sur l'existence de plusieurscrimes de guerre commis par la Russie au cours de laguerre russo-ukrainienne. Dénonçant« une propagande de guerre par la peur » émanant du président ukrainienVolodymyr Zelensky, elle remet en cause la véracité dumassacre de Boutcha et dubombardement de la maternité de Marioupol. Ses propos provoquent l'indignation de plusieurs responsables politiques, notamment d’Olivier Faure, premier secrétaire du PS, ainsi que deRaphaël Glucksmann (mouvement Place publique) et deNathalie Loiseau, députée européenne[227]. Le lendemain, le collectif Stand With Ukraine annonce un dépôt de plainte contre Ségolène Royal, à la suite de ses déclarations[228]. Le, l'ambassadeur d'Ukraine en France invite Ségolène Royal à venir sur place pour« tout voir de ses propres yeux »[229]. À la suite de ses propos controversés comparant lebombardement de l'hôpital pour enfants et maternité de Marioupol[230] avec l'Affaire des couveuses au Koweït et malgré ses excuses ultérieures[231], elle est écartée des ondes parMarc-Olivier Fogiel[232] parce que considérée comme une personnalité voire une icône pro-russe à la suite de ses propos repris par la propagande pro-Kremlin[233],[234] et jugés complotistes[235] par, notamment,Conspiracy Watch[236].

Détail des mandats et fonctions

Au gouvernement

À l’Assemblée nationale

Au niveau local

Autres fonctions

Synthèse des résultats électoraux

Élection présidentielle

AnnéeParti1er tour2d tourIssue
Voix%RangVoix%Rang
2007[238]PS9 500 11225,872e16 790 44046,942eBattue

Primaires présidentielles

AnnéeParti1er tour
Voix%Rang
2006[96]PS108 80760,651re
2011[96]184 0916,954e

Élection au premier secrétariat du PS

AnnéeCongrès1er tour2d tourIssue
Voix%RangVoix%Rang
[96]Reims57 42442,451re67 34949,962eBattue

Élections législatives

AnnéePartiCirconscription1er tour2d tourIssue
%Rang%Rang
1988[239]PS2e des Deux-Sèvres38,422e50,571reÉlue
1993[239]42,401re53,441reÉlue
1997[239]49,111re61,821reÉlue
2002[239]46,211re55,051reÉlue
2012[239]1re de la Charente-Maritime32,031re37,022eBattue

Élections sénatoriales

Les résultats ci-dessous concernent uniquement les élections où elle est tête de liste.

AnnéePartiCirconscriptionVoix%RangSièges obtenus
2021[155]DVGFrançais établis hors de France112,078e
0  / 6

Élections régionales

Les résultats ci-dessous concernent uniquement les élections où elle est tête de liste.

AnnéeListeRégion1er tour2d tourSièges obtenus
%Rang%Rang
2004[240]PSPoitou-Charentes46,291re55,101re
37  / 55
2010[241]38,981re60,611re
39  / 55

Élections cantonales

AnnéePartiCanton1er tour2d tourIssue
%Rang%Rang
1992[242]PSLa Mothe-Saint-Héray43,501re51,041reÉlue
1998[243]43,732e48,382eBattue

Élections municipales

Les résultats ci-dessous concernent uniquement les élections où elle est tête de liste.

AnnéeListeCommune1er tour2d tourSièges obtenus
%Rang%Rang
1995[244]PSNiort32,291re32,093e
7  / 45

Décorations

Généalogie

Ascendance de Ségolène Royal[246]
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Antoine ROYAL
(14/11/1818 àVillacourt – ???? àVillacourt)
maçon, journalier-maçon, propriétaire-cultivateur, vigneron
 
 
 
 
 
 
 
Émile ROYAL
(06/04/1861 àVillacourt – 1942)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Marie ÉlisabethVALENTIN
(28/09/1823 àVillacourt – avant 1890)
 
 
 
 
 
 
 
Florian Auguste ÉmileROYAL
(14/09/1891 àVillacourt – 15/10/1975 àNancy)
polytechnicien, général de brigade, officier de la Légion d'honneur
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Joseph DEMANGE
(22/12/1834 àChamagne – ????)
 
 
 
 
 
 
 
Anne ArzelieDEMANGE
(26/07/1869-27/10/1918 àChamagne)
couturière
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Marie JoséphineMARTIN
(14/07/1833 àChamagne – 15/06/1915)
 
 
 
 
 
 
 
Jacques AntoineROYAL
(23/02/1920 àFontainebleau – 17/06/1981 àChamagne)
lieutenant-colonel d'artillerie de marine, adjoint au maire deChamagne, chevalier de la Légion d'honneur
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Claude ÉmileCARAGE
(01/06/1834 àBar-le-Duc – ????)
entrepreneur de bâtiments, architecte
 
 
 
 
 
 
 
Paul ÉmileCARAGE
(16/01/1861 àNancy – 24/01/1939 àChamagne)
marchand de bois, maire deChamagne
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Céline VictorineDORR
(17/07/1838 àNancy – ????)
 
 
 
 
 
 
 
Marie ThérèseCARAGE
(22/10/1897 àChamagne – 25/08/1983 àChamagne)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Jean-Baptiste GRANDJEAN
(11/06/1836 àChamagne – ????)
agriculteur, maire deChamagne
 
 
 
 
 
 
 
Héléna GRANDJEAN
(29/11/1865 àChamagne – 24/06/1952 àBayon)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Marie VUILLAUME
(19/07/1839 àDamas-aux-Bois – 17/06/1901 àChamagne)
 
 
 
 
 
 
 
MarieSégolène ROYAL
(22/09/1953 àOuakam)
femme politique
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Jean JosephDEHAYE
(19/08/1834 àGorcy – 30/06/1897 àNancy)
instituteur, contrôleur puis receveur des douanes
 
 
 
 
 
 
 
Joseph ÉmileDEHAYE
(01/08/1858 àVille-Houdlémont – 04/02/1946 àNancy)
commis voyageur, fabricant de bonneterie
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
MarieRosalie BLONDIN
(12/06/1833 àVille-Houdlémont – 25/11/1906 àNancy)
 
 
 
 
 
 
 
JeanHenri LéonardDEHAYE
(17/01/1887 àNancy – 20/07/1963 àNancy
ingénieur chimiste, rentier
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Michel ZIMMERMANN
(26/08/1823 àElvange – 11/01/1902 àNancy)
négociant, directeur de fabrique
 
 
 
 
 
 
 
BarbePauline ZIMMERMANN
(09/02/1851 àMetz – 31/05/1895 àNancy)
employée de commerce
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Barbe PAULY
(13/01/1819 àPuttelange-aux-Lacs – 15/05/1897 àNancy)
 
 
 
 
 
 
 
Hélène DEHAYE
(26/06/1924 àNancy - 06/02/2019 àCricqueboeuf)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Jean-Baptiste FrançoisSIMON
(16/07/1790 àGer – 26/03/1869 àVillechien)
maire deVillechien
 
 
 
 
 
 
 
Octave AugusteSIMON-BOISLIBOULT
(08/12/1862-20/08/1929 àVillers-sur-Mer)
avocat
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Pauline OctavieHANTRAYE
(28/05/1835 auxLoges-Marchis – ????)
 
 
 
 
 
 
 
Jeanne SIMON-BOISLIBOULT
(24/11/1896-21/06/1963 àNice)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Alfred Félix BaptistePRÉGENT
(13/11/1842 àSaint-Calais – 03/04/1912 àFontainebleau)
épicier
 
 
 
 
 
 
 
Blanche PRÉGENT
(01/03/1871 àAmiens – 17/04/1918 àNice)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Blanche BENOIT
(1848-????)
épicière
 
 
 
 
 
 
 

Bibliographie

Ouvrages de Ségolène Royal

  • Le Printemps des grands-parents : la nouvelle alliance des âges, Cogite-R. Laffont, Paris, 1987(ISBN 2-221-05314-1) ; (France Loisirs, 1988)(ISBN 2-7242-3948-2) ; (Presses pocket, 1989)(ISBN 2-266-02730-1). (Broché)(ISBN 978-2221053140)
  • Le Ras-le-bol des bébés zappeurs, R. Laffont, Paris, 1989(ISBN 2-221-05826-7)(ISBN 978-2221058268). Note : La couverture porte en plus : « Télé-massacre, l'overdose ? »
    Sujet(s) : Télévision et enfants, Violence télévision. Au-delà de la dénonciation du système, cet ouvrage est un appel aux gestionnaires de chaînes de télévision pour que ce moyen de communication social soit mieux utilisé.
  • Pays, paysans, paysages, R. Laffont, Paris, 1993(ISBN 2-221-07046-1). (Broché)(ISBN 978-2221070468)
    Sujet(s) : Environnement Protection, Politique de l'environnement, Développement rural. Les efforts faits en France par la ministre Ségolène Royal dans la lutte pour la protection de l'environnement.
  • France. Assemblée nationale (1958-…), Commission des affaires étrangères,Rapport d'information sur les suites de la Conférence de Rio (Assemblée nationale, 1994) présenté par M. Roland Nungesser etMme Ségolène Royal(ISBN 2-11-087788-X).
  • La Vérité d'une femme, Stock, Paris, 1996(ISBN 2-234-04648-3).(ISBN 978-2234046481)
    Une étude sur des problèmes sociaux contemporains et sur des solutions à apporter selon l'auteure; exemples : le désordre politique et une morale de l'action ; le désordre du chômage et la valorisation du travail ; le désordre de l'environnement et les métiers pour protéger la vie, etc.
  • Désirs d'avenir, Flammarion, Paris, 2006(ISBN 978-2080688057).
    Ségolène Royal revient sur sa carrière politique, ses sept années de chargée de mission à l'Élysée pendant la présidence de François Mitterrand. Elle propose une réflexion sur le pouvoir politique et son exercice.
  • Parler du patrimoine roman : enjeux, démarches et mises en œuvre : actes de la première université d'automne des professionnels de la médiation du patrimoine, abbaye royale de Saint-Jean d'Angely, 17-19 octobre 2005 / [organisée par la Région Poitou-Charentes et le Centre de culture européenne] ; sous la direction de Ségolène Royal, L'Harmattan, Paris, 2006(ISBN 978-2296015838)
  • Maintenant, Hachettes littératures, Paris, 2007 (sous la dir. deMarie-Françoise Colombani), Hachette Littérature et Flammarion(ISBN 978-2012372467).
    Dans ce livre d'entretien avec Marie-Françoise Colombani — le titre est une référence auIci et maintenant de François Mitterrand sorti sur fond de campagne présidentielle victorieuse en 1981 —, Ségolène Royal détaille son projet « pour changer la France » et se livre à quelques confidences sur sa vie de couple et de mère. Elle y développe notamment les concepts de « démocratie participative » et d'« ordre juste » qui sont au cœur de sa campagne.
  • Les Droits de l'Enfant, Dalloz, Paris, 2007(ISBN 978-2247072590).
    Ouvrage de vulgarisation juridique sur l'enfance et ses droits.
  • Ma plus belle histoire, c'est vous, B. Grasset, Paris, 2007(ISBN 978-2246736110).
    Elle revient sur sa campagne présidentielle, sa défaite, et elle annonce notamment avoir proposé un poste de Premier ministre à François Bayrou au cas où elle serait élue.
  • Si la gauche veut des idées, B. Grasset, Paris, 2008. AvecAlain Touraine(ISBN 978-2246744917).
  • Femme debout, Denoël, Paris, 2009. Entretiens avecFrançoise Degois, alors journaliste à France Inter(ISBN 978-2207260982).
  • Lettre à tous les résignés et aux indignés qui veulent des solutions, Plon, Paris, 2011(ISBN 978-2259210553).
  • Cette belle idée du courage[247], B. Grasset, Paris, 2013,(ISBN 978-2246804598).
  • Manifeste pour la justice climatique, Plon, 2017,(ISBN 978-2259259422).
  • Ce que je peux enfin vous dire, Fayard, 2018,(ISBN 978-2213706023).
  • Résilience française : sauvons notre modèle social, L'Observatoire, 2020.
  • Refusez la cruauté du monde ! Le temps d’aimer est venu, éditions du Rocher, 2023.
  • Mais qui va garder les enfants ?, Fayard, 2025.

Ouvrages sur Ségolène Royal

Documentaires

  • Gérard Miller et Anaïs Feuillette,Ségolène Royal, la femme qui n'était pas un homme, Deux cafés l'addition -Morgane Production, diffusé le surFrance 3.
  • Katsuhiro Harada,Ségolène Royal : la femme qui n'était pas Devil, Les douces pommes de Breizh- Françoise Production, diffusé le 02 avril 2017 sur France Culture.

Fictions

Notes et références

Notes

  1. Sous Pierre Bérégovoy, elle est seulement ministre de l'Environnement. Sous Manuel Valls, l'intitulé du ministère est « Ministère de l'Écologie, du Développement durable et de l'Énergie » jusqu'au remaniement du 11 février 2016, date à laquelle s'ajoutent à ses attributions les négociations internationales sur le climat et notamment le suivi de l'accord issu de laCOP21.
  2. Attribution aux Personnes handicapées ajoutée en 2001.
  3. Sur une base militaire où son père était affecté.
  4. Ouakam est une descommunes d'arrondissement de la ville de Dakar.
  5. Prononciation enfrançais de Franceretranscrite phonémiquement selon la normeAPI. Voir aussiWikipédia:API pour le tableau API complet en français.
  6. Son second prénom est son prénom usuel.
  7. Florian Royal (18911975) :polytechnicien (promotion 1912), officier de laLégion d'honneur.
  8. Ségolène Royal dira de celui-ci : « Mon père m'a toujours fait sentir que nous étions, mes sœurs et moi, des êtres inférieurs ». Cf.« Ségo, Sarko : qui choisir ? ».
  9. Article 97 du décretno 91-1197 du 27 novembre 1991.
  10. Création d'une direction de l'eau au sein du ministère, lancement desschémas directeurs d'aménagement et de gestion des eaux (SDAGE), augmentation du budget desagences de l'eau et réforme de la police des eaux (coordination interministérielle de lagestion de l'eau).
  11. Loi de juin 1998 relative à la prévention et à la répression des infractions sexuelles ainsi qu'à la protection des mineurs. Elle fait voter également la loi de juin 1998 contre lebizutage et soutient des campagnes de sensibilisation contre le racket.
  12. L’une porte sur « la prévention des violences faites aux femmes » et l'autre sur « la lutte contre l’utilisation marchande et dégradante du corps humain dans la publicité ».
  13. Ceux-ci se voient garantir plus de 90 % de leur salaire net antérieur pour une durée maximale de18 mois (à la condition qu'ils s'engagent dans une formation professionnelle qualifiante).
  14. Ségolène Royal refuse le terme d'« augmentation d'impôts » car le vote intervenait en 2012, à quelques semaines du vote du budget, et il ne pouvait s'agir d'impôts sur 2013. Pourtant, la mesure, dont l'effet était au, court encore plusieurs années après. Cf.« Conseil régional: Royal interdit d'augmenter les impôts et de taxer l'essence », surcharentelibre.fr(consulté le).
  15. Il possède notamment destoitures végétalisées qui renforcent son isolation, un système de récupération des eaux pluviales, une cuve pour stocker la chaleur, l'énergie solaire fournie par despanneaux photovoltaïques, l'utilisation du bois, des éclairages et équipements à faible consommation.
  16. Selon Ségolène Royal, cette hausse des frais de personnels s'explique en partie par le fait que, pendant la période 2006-2008, le personnel de l'État travaillant dans les lycées sont devenus des agents régionaux. Cf.« Comment Ségolène Royal gère les finances de Poitou-Charentes »,Le Point, 20 janvier 2010.
  17. Le vice-président de la commission des Finances, le socialiste Florent Boudié, note « une gestion absolument pas maîtrisée », « une sous-budgétisation », « des dépenses qui ne sont pas inscrites au budget en fonction de la réalité des besoins ». Cf.Poitou-Charentes : un audit pointe la situation "alarmante" de l'ex-région, lepoint.fr, 7 avril 2016.
  18. Elle indique que les lobbys des pesticides« ont infiltré les commissions européennes d'experts », certains parmi eux étant selon elle« payés par les firmes » impliquées sur le sujet.
  19. Mizuho Fukushima, dirigeante du Parti social-démocrate japonais, qu'elle a rencontrée le, a expliqué que Ségolène Royal l'avait interrogée sur la condition des femmes au Japon et avait considéré que le problème pourrait venir de l'impact des mangas et des dessins animés japonais « dans lesquels des femmes sont torturées » et note que même au sein du gouvernement japonais, certains craignaient un refroidissement des relations franco-japonaises en cas d'élection de Ségolène Royal à l'élection présidentielle de 2007.
  20. Elle déclare :« L’individualisation des frais de chauffage se fera. Il est inacceptable que les gens n’aient pas le droit de connaître ce qu’ils consomment. Maîtriser sa consommation d’énergie est un élément majeur de la citoyenneté énergétique et de la baisse de la consommation d’énergie ». Cf.Laetitia VanEeckhout, « Chauffage collectif : la facture individuelle va s’imposer »,Le Monde.fr,‎(ISSN 1950-6244,lire en ligne, consulté le).

Références

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  4. Jacques Royal, chevalier de laLégion d'honneur, a aussi été adjoint au maire deChamagne (Vosges).
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  40. Voir ledécret relatif à ses attributions.
  41. Décret relatif à ses attributions
  42. Alain Duhamel,La Marche consulaire de France,Plon, 2009.
  43. Soc.,pourvois08-42161 et08-42162.
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Gouvernement Bérégovoy()
Sous laprésidence deFrançois Mitterrand
Éducation nationale etCulture
Jack Lang,ministre d'État
Secrétaire d'État à l'Enseignement technique :Jean Glavany
Secrétaire d'État à la Communication :Jean-Noël Jeanneney

Pierre Bérégovoy
Premier ministre
Affaires étrangères
Roland Dumas,ministre d'État
Ministre déléguée aux Affaires européennes :Élisabeth Guigou
Ministre délégué aux Affaires étrangères :Georges Kiejman
Ministre délégué à la Coopération et au Développement :Marcel Debarge
secrétaire d'État à la Francophonie et aux Relations culturelles extérieures :Catherine Tasca
Fonction publique et Réformes administrativesMichel Delebarre,ministre d'État
Justice,garde des sceauxMichel Vauzelle
Intérieur et Sécurité publique
Paul Quilès
Secrétaire d'État aux Collectivités locales :Jean-Pierre Sueur
Défense
Pierre Joxe (dém) (5)puisPierre Bérégovoy (5)
Secrétaire d'État aux Anciens combattants et Victimes de guerre :Louis Mexandeau
Secrétaire d'État à la Défense :Jacques Mellick
Économie et Finances
Michel Sapin
Ministre délégué au Commerce et à l'Artisanat :Jean-Marie Rausch (dém) (3)puisGilbert Baumet (3)
Secrétaire d'État aux Droits des femmes età la Consommation :Véronique Neiertz
BudgetMichel Charasse (dém) (3)puisMartin Malvy (3)
EnvironnementSégolène Royal
Équipement,Logement etTransports
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Ministre déléguée au Logement et au Cadre de vie :Marie-Noëlle Lienemann
Secrétaire d'État aux transports routiers et fluviaux :Georges Sarre
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Industrie etCommerce extérieur
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Ministre délégué au Commerce extérieur (2) :Bruno Durieux
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Agriculture et Forêt
puisAgriculture etDéveloppement rural (3)
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Postes et TélécommunicationsÉmile Zuccarelli
Jeunesse et SportsFrédérique Bredin
Relations avec le Parlement (3)Louis Mermaz,porte-parole du Gouvernement (3)
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Secrétaire d'État à la Ville (2) jusqu'au (4) :François Loncle (2)
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  • Ordonnancement parordre de préséance
  • (dém) Démission
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Sous laprésidence deJacques Chirac
Emploi etSolidarité
Martine Aubry
Ministre délégué à la Ville (2) :Claude Bartolone (2)
Secrétaire d'État à la Santé puisministre délégué à la Santé et à la Solidarité (5) :Bernard Kouchner (dém) (8)puisDominique Gillot (9)
Secrétaire d'État à la Formation professionnelle (2) puissecrétaire d'État aux Droits des femmes età la Formation professionnelle (5) :Nicole Péry (2)

Lionel Jospin
Premier ministre
Justice,garde des sceauxÉlisabeth Guigou
Éducation nationale,Recherche et Technologie
Claude Allègre
Ministre délégué chargé de l'Enseignement scolaire :Ségolène Royal
Intérieur
Jean-Pierre Chevènementpuis par intérimJean-Jack Queyranne (3)puis à nouveauJean-Pierre Chevènement (6)
Secrétaire d'État à l'Outre-mer :Jean-Jack Queyranne
Affaires étrangères
Hubert Védrine
Ministre délégué chargé des Affaires européennes :Pierre Moscovici
Secrétaire d'État à la Coopération puisministre délégué à la Coopération età la Francophonie (1) :Charles Josselin
Économie, Finances etIndustrie
Dominique Strauss-Kahn (dém) (10)puisChristian Sautter (10)
Secrétaire d'État au Commerce extérieur :Jacques Dondoux (dém) (9)puisFrançois Huwart (9)
Secrétaire d'État au Budget :Christian SautterpuisFlorence Parly (11)
Secrétaire d'État aux Petites et Moyennes Entreprises, au Commerce et à l'Artisanat :Marylise Lebranchu
Secrétaire d'État à l'Industrie :Christian Pierret
Défense
Alain Richard
Secrétaire d'État aux Anciens Combattants puissecrétaire d'État à la Défense, chargé des Anciens Combattants (7) :Jean-Pierre Masseret
Équipement,Transports etLogement
Jean-Claude Gayssot
Secrétaire d'État au Logement :Louis Besson
Secrétaire d'État au Tourisme :Michelle Demessine
Culture et CommunicationCatherine Trautmann,porte-parole du Gouvernementjusqu'au (2)
Agriculture et PêcheLouis Le Pensec (dém) (4)puisJean Glavany (4)
Aménagement du territoire etEnvironnementDominique Voynet
Relations avec le ParlementDaniel Vaillant
Fonction publique,Réforme d'État
et Décentralisation
Émile Zuccarelli
Jeunesse et SportsMarie-George Buffet
  • Ordonnancement parordre de préséance
  • (dém) Démission
  • (1) Ajustement du
  • (2) Remaniement du
  • (3) Remaniement du
  • (4) Remaniement du
  • (5) Ajustements du
  • (6) Remaniement du
  • (7) Ajustement du
  • (8) Remaniement du
  • (9) Remaniement du
  • (10) Remaniement du
  • (11) Remaniement du
( JUPPÉ II) Gouvernement précédent ••••• Gouvernement suivant (RAFFARIN I)
v ·m
Gouvernement Jospin() après le remaniement du
Sous laprésidence deJacques Chirac
Économie, Finances etIndustrie
Laurent Fabius
Secrétaire d'État au Commerce extérieur :François Huwart
Secrétaire d'État au Budget :Florence Parly
Secrétaire d'État aux Petites et Moyennes Entreprises, au Commerce, à l'Artisanat età la Consommation :Marylise LebranchupuisFrançois Patriat (2)puis fonction fusionnée (8)
Secrétaire d'État à l'Industrie puisministre délégué à l'Industrie,aux Petites et Moyennes Entreprises, au Commerce, à l'Artisanat età la Consommation (8) :Christian Pierret

Lionel Jospin
Premier ministre
Emploi etSolidarité
Martine Aubry (dém) (2)puisÉlisabeth Guigou (2)
Ministre déléguée à la Famille et à l'Enfance puisMinistre déléguée à la Famille, à l'Enfance etaux Personnes handicapées (4) :Ségolène Royal
Ministre délégué à la Ville :Claude Bartolone
Secrétaire d'État à la Santé etaux Handicapés :Dominique Gillotpuisministre délégué à la Santé (3) :Bernard Kouchner (3)
Secrétaire d'État aux Personnes âgées etaux Personnes handicapés (3) :Dominique Gillot (3)puis(dém) (4)puis secrétaire d'État aux Personnes âgées (4) :Paulette Guinchard-Kunstler (4)
Secrétaire d'État aux Droits des femmes età la Formation professionnelle :Nicole Péry
Secrétaire d'État à l'Économie solidaire :Guy Hascoët
Justice,garde des sceauxÉlisabeth GuigoupuisMarylise Lebranchu (2)
Intérieur
Jean-Pierre Chevènement (dém) (1)puisDaniel Vaillant (1)
Secrétaire d'État à l'Outre-mer :Jean-Jack QueyrannepuisChristian Paul (1)
Éducation nationale
Jack Lang
Ministre délégué chargé de l'Enseignement professionnel :Jean-Luc Mélenchon
Affaires étrangères
Hubert Védrine
Ministre délégué chargé des Affaires européennes :Pierre Moscovici
Ministre délégué à la Coopération età la Francophonie :Charles Josselin
Défense
Alain Richard
Secrétaire d'État à la Défense, chargé des Anciens Combattants :Jean-Pierre Masseret (dém) (6)puisJacques Floch (6)
Équipement,Transports etLogement
Jean-Claude Gayssot
Secrétaire d'État au Logement :Louis Besson (dém) (4)puisMarie-Noëlle Lienemann (4)
Secrétaire d'État au Tourisme :Michelle Demessine (dém) (7)puisJacques Brunhes (7)
Culture et Communication
Catherine Tasca
Secrétaire d'État au Patrimoine et à la Décentralisation culturelle :Michel Duffour
Agriculture et PêcheJean Glavany (dém) (8)puisFrançois Patriat (8)
Aménagement du territoire etEnvironnementDominique Voynet (dém) (2)puisYves Cochet (5)
Relations avec le ParlementDaniel VaillantpuisJean-Jack Queyranne (1)
Fonction publique etRéforme d'ÉtatMichel Sapin
Jeunesse et SportsMarie-George Buffet
RechercheRoger-Gérard Schwartzenberg
  • Ordonnancement parordre de préséance
  • (dém) Démission
  • (1) Remaniement du
  • (2) Remaniement du
  • (3) Remaniement du
  • (4) Remaniement du
  • (5) Remaniement du
  • (6) Remaniement du
  • (7) Remaniement du
  • (8) Remaniement du
( JUPPÉ II) Gouvernement précédent ••••• Gouvernement suivant (RAFFARIN I)
v ·m
Sous laIIIe République
Sous laIVe République
Sous laVe République
v ·m
Candidats
2d tour
1er tour
Primaires
Autres
Filmographie
Bibliographie
v ·m
Gouvernement Valls I()
Sous laprésidence deFrançois Hollande
Affaires étrangères et Développement international
Laurent Fabius
Secrétaire d'État chargé du Commerce extérieur,de la Promotion du tourisme etdes Français de l'étranger :Fleur Pellerin
Secrétaire d'État chargé des Affaires européennes :Harlem Désir
Secrétaire d'État chargée du Développement etde la Francophonie :Annick Girardin

Manuel Valls
Premier ministre
Écologie, Développement durable et Énergie
Ségolène Royal
Secrétaire d'État chargé des Transports,de la Mer et de la Pêche :Frédéric Cuvillier
Éducation nationale,Enseignement supérieur etRecherche
Benoît Hamon
Secrétaire d'État chargé de l'Enseignement supérieur etde la Recherche :Geneviève Fioraso
Justice,garde des sceauxChristiane Taubira
Finances et Comptes publics
Michel Sapin
Secrétaire d'État chargé du Budget :Christian Eckert
Économie,Redressement productif etNumérique
Arnaud Montebourg
Secrétaire d'État chargée du Commerce, de l'Artisanat, de laConsommation et de l'Économie sociale et solidaire :Valérie Fourneyron,puisCarole Delga(1)
Secrétaire d'État chargée du Numérique :Axelle Lemaire
Affaires sociales
Marisol Touraine
Secrétaire d'État chargée de la Famille, desPersonnes âgées et de l'Autonomie :Laurence Rossignol
Secrétaire d'État chargée des Personnes handicapées et de la Lutte contre l'exclusion :Ségolène Neuville
Travail,Emploi et Dialogue socialFrançois Rebsamen
Défense
Jean-Yves Le Drian
Secrétaire d'État chargé des Anciens Combattants et de la Mémoire :Kader Arif
IntérieurBernard Cazeneuve
Droits des femmes,Ville,Jeunesse et Sports
Najat Vallaud-Belkacem
Secrétaire d'État chargé des Sports :Thierry Braillard
Décentralisation,Réforme de l'État
etFonction publique
puis Décentralisation etFonction publique(1)
Marylise Lebranchu
Secrétaire d'État chargé de la Réforme territoriale :André Vallini
Culture et CommunicationAurélie Filippetti
Agriculture, Agroalimentaire et ForêtStéphane Le Foll,porte-parole du Gouvernement
Logement etÉgalité des territoiresSylvia Pinel
Outre-merGeorge Pau-Langevin
Secrétaires d'État auprès du Premier ministre
Secrétaire d'État chargé des Relations avec le Parlement :Jean-Marie Le Guen
Secrétaire d'État chargé de la Réforme de l'État et de la Simplification(1) :Thierry Mandon
( AYRAULT II) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (VALLS II)
v ·m
Gouvernement Valls II()jusqu'au remaniement du
Sous laprésidence deFrançois Hollande
Affaires étrangères et Développement international
Laurent Fabius
Secrétaire d'État chargé des Affaires européennes :Harlem Désir
Secrétaire d'État chargée du Développement etde la Francophonie :Annick Girardin
Secrétaire d'État chargé du Commerce extérieur,de la Promotion du tourisme etdes Français de l'étranger :Thomas Thévenoud (dém) (1)puisMatthias Fekl (1)

Manuel Valls
Premier ministre
Écologie, Développement durable etÉnergie
Ségolène Royal
Secrétaire d'État chargé des Transports,de la Mer et de la Pêche :Alain Vidalies
Éducation nationale,Enseignement supérieur
etRecherche
Najat Vallaud-Belkacem
Secrétaire d'État chargé de l'Enseignement supérieur etde la Recherche :Geneviève Fioraso (dém) (3)puisThierry Mandon (4)
Justice,garde des sceauxChristiane Taubira (dém) (6)puisJean-Jacques Urvoas (6)
Finances et Comptes publics
Michel Sapin
Secrétaire d'État chargé du Budget :Christian Eckert
Défense
Jean-Yves Le Drian
Secrétaire d'État chargé des Anciens Combattants et de la Mémoire :Kader Arif (dém) (2)puisJean-Marc Todeschini (2)
Affaires sociales, Santé etDroits des femmes
Marisol Touraine
Secrétaire d'État chargée de la Famille, des Personnes âgées et de l'Autonomie puissecrétaire d'État chargée de la Famille, de l'Enfance, des Personnes âgées et de l'Autonomie (4) :Laurence Rossignol
Secrétaire d'État chargée des Personnes handicapées et de la Lutte contre l'exclusion :Ségolène Neuville
Secrétaire d'État chargée des Droits des femmes :Pascale Boistard
Travail,Emploi,Formation professionnelle
et Dialogue social
François Rebsamen (dém) (5)puisMyriam El Khomri (5)
IntérieurBernard Cazeneuve
Agriculture, Agroalimentaire et ForêtStéphane Le Foll,porte-parole du Gouvernement
Économie,Industrie etNumérique
Emmanuel Macron
Secrétaire d'État chargée du Commerce, de l'Artisanat,de la Consommation etde l'Économie sociale et solidaire :Carole Delga (dém) (4)puisMartine Pinville (4)
Secrétaire d'État chargée du Numérique :Axelle Lemaire
Logement etÉgalité des territoires etRuralitéSylvia Pinel
Décentralisation etFonction publique
Marylise Lebranchu
Secrétaire d'État chargé de la Réforme territoriale :André Vallini
Culture et CommunicationFleur Pellerin
Ville,Jeunesse et Sports
Patrick Kanner
Secrétaire d'État chargée de la Politique de la ville, puis supprimé (5) :Myriam El Khomri
Secrétaire d'État chargé des Sports :Thierry Braillard
Outre-merGeorge Pau-Langevin
Secrétaires d'État auprès duPremier ministre
Secrétaire d'État chargé des Relations avec le Parlement :Jean-Marie Le Guen
Secrétaire d'État chargé de la Réforme de l'État et de la Simplification :Thierry MandonpuisClotilde Valter(4)
  • Ordonnancement parordre de préséance
  • (dém) Démission
  • (1) Remaniement du
  • (2) Remaniement du
  • (3) Démission du
  • (4) Remaniement du
  • (5) Remaniement du
  • (6) Remaniement du
( VALLS I) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (CAZENEUVE)
v ·m
Gouvernement Valls II()après le remaniement du
Sous la présidence deFrançois Hollande
Affaires étrangères et Développement international
Jean-Marc Ayrault
Secrétaire d'État chargé des Affaires européennes :Harlem Désir
Secrétaire d'État chargé du Commerce extérieur,de la Promotion du tourisme etdes Français de l'étranger :Matthias Fekl
Secrétaire d'État chargé du Développement etde la Francophonie :André Vallini

Manuel Valls
Premier ministre
Environnement, Énergie et Mer,
chargée des relations internationales sur le climat
Ségolène Royal
Secrétaire d'État chargé des Transports,de la Mer et de la Pêche :Alain Vidalies
Secrétaire d'État chargée de la Biodiversité :Barbara Pompili
Éducation nationale, Enseignement supérieur et Recherche
Najat Vallaud-Belkacem
Secrétaire d'État chargé de l'Enseignement supérieur etde la Recherche :Thierry Mandon
Finances et Comptes publics
puisÉconomie et Finances (3)
Michel Sapin
Secrétaire d'État chargé du Budget et des Comptes publics :Christian Eckert
Affaires sociales et Santé
Marisol Touraine
Secrétaire d'État chargée des Personnes handicapées et de la Lutte contre l'exclusion :Ségolène Neuville
Secrétaire d'État chargée des Personnes âgées et de l'Autonomie :Pascale Boistard
Défense
Jean-Yves Le Drian
Secrétaire d'État chargé des Anciens Combattants et de la Mémoire :Jean-Marc Todeschini
Justice,garde des sceauxJean-Jacques Urvoas
Travail, Emploi, Formation professionnelle et Dialogue social
Myriam El Khomri
Secrétaire d'État chargée de la Formation professionnelle et de l'Apprentissage :Clotilde Valter
Aménagement du territoire, Ruralité
et Collectivités territoriales
Jean-Michel Baylet
Secrétaire d'État chargée des Collectivités territoriales :Estelle Grelier
IntérieurBernard Cazeneuve
Agriculture, Agroalimentaire et ForêtStéphane Le Foll,porte-parole du Gouvernement
Logement et Habitat durableEmmanuelle Cosse
Économie,Industrie etNumérique
puisÉconomie et Finances (3)
Secrétaire d'État chargée du Commerce, de l'Artisanat,de la Consommation etde l'Économie sociale et solidaire :Martine Pinville
Secrétaire d'État chargée du Numérique, puischargée du Numérique et de l'Innovation (4) :Axelle Lemaire
Secrétaire d'État chargé de l'Industrie (4) :Christophe Sirugue
Culture et CommunicationAudrey Azoulay
Famille, Enfance etDroits des femmes
puisFamilles, Enfance etDroits des femmes (1)
Laurence Rossignol
Fonction publiqueAnnick Girardin
Ville,Jeunesse et Sports
Patrick Kanner
Secrétaire d'État chargée de la Ville :Hélène Geoffroy
Secrétaire d'État chargé des Sports :Thierry Braillard
Outre-mer
Secrétaires d'État auprès duPremier ministre
Secrétaire d'État chargé des Relations avec le Parlement :Jean-Marie Le Guen
Secrétaire d'État chargée de l'Égalité réelle :Ericka Bareigts
Secrétaire d'État chargé de la Réforme de l'État et de la Simplification :Jean-Vincent Placé
Secrétaire d'État chargée de l'Aide aux victimes :Juliette Méadel
( VALLS II avant remaniement) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (CAZENEUVE)
v ·m
Gouvernement Cazeneuve()
Sous laprésidence deFrançois Hollande
Affaires étrangères et Développement international
Jean-Marc Ayrault
Secrétaire d'État chargé des Affaires européennes puissecrétaire d'État chargé des Affaires européennes,du Commerce extérieur etde la Promotion du tourisme (3) :Harlem Désir
Secrétaire d'État chargé du Commerce extérieur,de la Promotion du tourisme etdes Français de l'étranger, puis supprimé (2) :Matthias Fekl
Secrétaire d'État chargé du Développement etde la Francophonie puissecrétaire d'État chargé du Développement,de la Francophonie etdes Français de l'étranger (3) :Jean-Marie Le Guen

Bernard Cazeneuve
Premier ministre
Environnement,Énergie etMer,
chargée des Relations internationales sur le climat
Ségolène Royal
Secrétaire d'État chargé des Transports,de la Mer et de la Pêche :Alain Vidalies
Secrétaire d'État chargée de la Biodiversité :Barbara Pompili
Éducation nationale,Enseignement supérieur etRecherche
Najat Vallaud-Belkacem
Secrétaire d'État chargé de l'Enseignement supérieur etde la Recherche :Thierry Mandon
Économie et Finances
Michel Sapin
Secrétaire d'État chargé du Budget et des Comptes publics :Christian Eckert
Secrétaire d'État chargée du Commerce, de l'Artisanat,de la Consommation etde l'Économie sociale et solidaire :Martine Pinville
Secrétaire d'État chargée du Numérique et de l'Innovation, puis supprimé (1) :Axelle Lemaire (dém) (1)
Secrétaire d'État chargé de l'Industrie puissecrétaire d'État chargé de l'Industrie,du Numérique et de l'Innovation (1) :Christophe Sirugue
Affaires sociales et Santé
Marisol Touraine
Secrétaire d'État chargée des Personnes handicapées et de la Lutte contre l'exclusion :Ségolène Neuville
Secrétaire d'État chargée des Personnes âgées et de l'Autonomie :Pascale Boistard
Défense
Jean-Yves Le Drian
Secrétaire d'État chargé des Anciens Combattants et de la Mémoire :Jean-Marc Todeschini
Justice,garde des sceauxJean-Jacques Urvoas
Travail,Emploi,Formation professionnelle et Dialogue social
Myriam El Khomri
Secrétaire d'État chargée de la Formation professionnelle et de l'Apprentissage :Clotilde Valter
Aménagement du territoire,Ruralité
etCollectivités territoriales
Jean-Michel Baylet
Secrétaire d'État chargée des Collectivités territoriales :Estelle Grelier
IntérieurBruno Le Roux (dém) (2) puisMatthias Fekl (2)
Agriculture, Agroalimentaire et ForêtStéphane Le Foll,porte-parole du Gouvernement
Logement et Habitat durableEmmanuelle Cosse
Culture et CommunicationAudrey Azoulay
Famille, Enfance etDroits des femmesLaurence Rossignol
Fonction publiqueAnnick Girardin
Ville,Jeunesse et Sports
Patrick Kanner
Secrétaire d'État chargée de la Ville :Hélène Geoffroy
Secrétaire d'État chargé des Sports :Thierry Braillard
Outre-merEricka Bareigts
Secrétaires d'État auprès duPremier ministre
Secrétaire d'État chargé des Relations avec le Parlement :André Vallini
Secrétaire d'État chargé de la Réforme de l'État et de la Simplification :Jean-Vincent Placé
Secrétaire d'État chargée de l'Aide aux victimes :Juliette Méadel
  • Ordonnancement parordre de préséance
  • (dém) Démission
  • (1) Remaniement du
  • (2) Remaniement du
  • (3) Ajustements du
( VALLS II) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (PHILIPPE I)
v ·m
Ministère de l'Écologie sous laVe République
v ·m
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