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Séfarades

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Ne doit pas être confondu avecRite sfard.

Description de cette image, également commentée ci-après
Synagogue séphardite deBayonne.

Populations importantes par région
Drapeau d’IsraëlIsraël3 200 000[réf. nécessaire]
Drapeau de la FranceFrance0300 000 à 400 000[réf. nécessaire]
Drapeau des États-UnisÉtats-Unis0200 000 à 300 000[réf. nécessaire]
Drapeau de l'ArgentineArgentine0050 000[réf. nécessaire]
Drapeau de la TurquieTurquie0017 300[1]
Drapeau du Royaume-UniRoyaume-Uni0008 000[réf. nécessaire]
Drapeau de la GrèceGrèce0006 000[réf. nécessaire]
Drapeau du Maroc Maroc0002 400[1]
Drapeau de la Bosnie-HerzégovineBosnie-Herzégovine0002 000[réf. nécessaire]
Drapeau de la TunisieTunisie0000900[1]
Autres
LanguesJudéo-espagnol,haketia,judéo-catalan,arabe maghrébin,tamazight,shuadit,hébreu,portugais,français
ReligionsJudaïsme
Ethnies liéesAshkénazes,Mizrahim,Tochavim (Maghrebim),Bené Roma (Italkim),Romaniotes,Juifs éthiopiens (Beta Israel),Samaritains

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LesJuifs séfarades ou simplementSéfarades (parfois orthographiéSépharades) ouSefardim (de l'hébreu : סְפָרַדִּים), sont les membres des communautésjuives historiques habitant ou issus de lapéninsule Ibérique (principalement d'Espagne et duPortugal). De nos jours, le terme fait souvent référence aux juifs duMaghreb (Maroc,Algérie,Tunisie,Libye)[2].

AuMoyen Âge, avant leur expulsion en 1492 par les autorités chrétiennes à la suite de laReconquista, ils ont participé au foisonnement créatif et culturel d’Al-Andalus, caractérisé par un contextemulticulturel fécond à la fois musulman, chrétien et juif[3] dans les domaines de laphilosophie, de lapoésie et dessciences. Ils y ont également développé une culture, un mode de vie et des langues propres.

Leur expulsion a aussi participé à la découverte ou redécouverte des œuvres (plus exactes ou complètes) des auteurs classiques antiques,grecs etromains, ainsi qu'à la diffusion de la pensée des auteurs de languearabe en philosophie, théologie, poésie, médecine, astronomie, arithmétique, logique, etc.

Étymologie et sens

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Un juif d'Alger photographié en 1890.
Un repas de fête juif àAlger en 1835.
Habits de juifs d'Alger dessinés vers 1850.

« Sefarad (en hébreu ספרד) n'apparaît qu'une fois dans la Bible, dans la phrase "Les déportés de Jérusalem qui sont en Sefarad" (Abdias, 20) et désigne originellementSardes, capitale deLydie en Asie Mineure »[4], sur le fleuvePactole, dont le fameuxCrésus fut roi auVIe siècle av. J.-C. Ce mot est unhapax, c’est-à-dire un terme dont on ne connaît qu'une occurrence (pour celui-ci dans la Bible).

Cependant, le sens actuel de « séfarade » provient de la languehébraïque médiévale, dans laquelleSefarad désigne lapéninsule Ibérique[4] et lesJuifs originaires de lapéninsule Ibérique.

Parfois, le terme séfarade désigne par extension les communautés juives ayant adopté certaines formes rituelles propres aux Juifs d’Espagne et du Portugal, voire tous les autres Juifs nonashkénazes. Ainsi, pourEsther Benbassa etJean-Christophe Attias,« Aujourd'hui, par une extension de sens, et en raison de contacts culturels et d'une relative communauté de rites, sont appelés séfarades les Juifs non ashkénazes, notamment les Juifs du Maghreb et d'Orient »[4],[5]. PourHaïm Vidal Séphiha, il s'agit d'« une dichotomie par trop simpliste qui divise ainsi le judaïsme en deux branches »[6].

En Israël aussi, legrand rabbin séfarade représente surtout les Juifs issus des pays arabes souvent jadis intégrés à l'Empire ottoman, bien plus que ceux se réclamant d’une identité ibérique, désormais fortement diluée.

Dans la péninsule Ibérique

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Articles détaillés :Persécution des Juifs pendant la première croisade etPersécutions anti-juives de 1391 en Espagne.

« La particularité du judaïsme ibérique au Moyen Âge est d'avoir connu aussi bien le régime musulman que le régime chrétien et d'avoir développé une culture imprégnée par ces deux univers »[7].

Les Juifs sont présents dans l'actuelleEspagne à l'époque de l'Empire romain (190 - 414) ; ils passent sous la domination desWisigoths (414-711), puis sous celle desarabo-musulmans en711.« Comme ailleurs en terre d'islam, et à l'instar deschrétiens, les Juifs sont soumis à ladhimma. [...] C'est sur le sol ibérique que certains des sommets de la civilisation juivemédiévale ont été atteints et l'on devait plus tard présenter ces acquis comme ceux d'unâge d'or »[8]. Des Juifs ont joué alors un rôle de premier plan dans l'administration, l'appareil d'État, la finance ; parmi les plus célèbres,Hasdaï ibn Shaprut etSamuel ibn Nagrela. À cette époque, se forme aussi une élite savante qui s'illustre par de grandes œuvres philosophiques et poétiques, dont les représentants sont notammentMoïse ibn Ezra,Salomon ibn Gabirol,Moïse Maïmonide, etc.

Dès la fin duXIe siècle, lesrois chrétiensreconquièrent des régions importantes de la péninsule Ibérique et, dans un premier temps, ont recours aux Juifs au fur et à mesure de leur progression pour assurer la transition entre l'administration musulmane et l'administration chrétienne. La vie culturelle et religieuse juive séfarade continue donc de s'épanouir auxXIIe – XIIIe siècles sous les régimes chrétiens, et exerce une influence aussi bien sur le judaïsme européen du Nord que sur le judaïsme des pays musulmans au sud. L'invasion desAlmohades, musulmans venus duMaroc auXIIe siècle, provoque le départ des Juifs qui se réfugient enAfrique du Nord ou dans l'Europe chrétienne.

Cependant, l'afflux et l'influence des réfugiés juifs inquiètent le clergé et, dès leXIIIe siècle,« la machine d'oppression contre les Juifs se met peu à peu en place sous la houlette desdominicains et desfranciscains »[8], marginalisant les Juifs.« Entre 1391 et 1412, environ 100 000 Juifs se seraient convertis au christianisme »[8]. Lespersécutions culminent avec le tribunal de l'Inquisition catholique puis l'expulsion des Juifs en1492.

Langues

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Une ou deux langues se sont développées dans ce qui constitue l'Espagne actuelle, lejudéo-espagnol dans le cas des Juifs de laCouronne de Castille, et peut-être lejudèo-catalan, dans le cas desKatalanim, les Juifs de la zone catalanophone de laCouronne d'Aragon (Catalogne, lePays valencien, lesÎles Baléares, etLa Bande d'Aragon), ainsi que des liturgies spécifiques à chaque territoire[9],[10],[11],[12].

Ces langues s’écrivaient enaljamiado.

Diaspora

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Carte de la Méditerranée orientale avec en vert l'Empire ottoman
AuXVIe siècle, les communautés juives (orange) de l'Empire ottoman (vert) sont pour la plupart séfarades, notamment autour de laMéditerranée, dans lesBalkans et enAnatolie.
Zarina, femme juive de Smyrne par Elisabeth Baumann (av. 1881).

Contraints par ledécret de l'Alhambra signé par la reineIsabelle la Catholique en 1492 de quitter l’Espagne, les Séfarades conservent une langue proche de l'espagnol duXVIe siècle : il s'agit dujudéo-espagnol, parlé encore aujourd’hui, et connaissant des expressions voisines telles que lejudéo-catalan, lejudéo-portugais et leladino.

Portrait d'un Juif séfarade, parI. Kaufmann (v. 1900)

Les Juifs d’Espagne s’exilent essentiellement à travers tout l'Empire ottoman ; dans lesBalkans comme àSarajevo etSofia, enGrèce comme à Rhodes et surtoutSalonique qui devient un grand centre rabbinique et enAnatolie surtout sa capitaleConstantinople, auparavant enItalie dans les ports commeLivourne, auMaroc et enAlgérie sous le nom demegorachim. À Tétouan et dans l'ouest algérien se développe une variété de judéo-espagnol, lehaketia. Les Juifs duPortugal emmènent aussi la tradition séfarade vers lesPays-Bas, le sud-ouest de la France et enAngleterre. Les Séfarades émigrent aussi dans leNouveau Monde ; ce furent les premiers Juifs d’Amérique, àNew York notamment. AuBrésil, àRecife, des Juifs luso-néerlandais constituent laSynagogue Kahal Zur Israel, première congrégation religieuse juive des Amériques en 1636. D'autres suivront dans les îlesCaraïbes et jusqu'àCochin en Inde.

Le décret de l’Alhambra de 1492, responsable de l’expulsion des Séfarades d’Espagne, est resté en vigueur officiellement jusqu’en 1967[13].

AuxXIXe siècle etXXe siècle, les populations juives d'Afrique du Nord sont administrées par la France, à la suite de lacolonisation de l'Algérie (à partir de 1830), puis après l'instauration duprotectorat français de Tunisie (en 1881), puis celle duprotectorat français au Maroc (en 1912). Pendant la Seconde Guerre mondiale, les Juifs séfarades échappent aux persécutions nazies - à l'exception des Juifs grecs de Thessalonique et des autres communautés de la Grèce qui ont été en grande partie décimés dans les camps d'extermination allemands. Puis il y a eu quelques centaines de victimes mortes en déportation (principalement des natifs de l'Afrique du Nord française établis en France métropolitaine, ainsi que des Juifs tunisiens déportés lors de la courte occupation nazie en 1943). Après 1945, puis durant les décennies des années 1950 et 1960 (après les indépendances respectives de ces pays), une grande partie des Juifs d'Afrique du Nord émigre, soit vers Israël (nouvel État créé en 1948), soit vers la France.

Articles détaillés :Histoire des Juifs en Algérie,Histoire des Juifs en Tunisie etHistoire des Juifs au Maroc.

Israël

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Représentation de l'Âge d'or des juifs d'Espagne sous lamenorah de laKnesset.

Avant que ne commence, auXIXe siècle, le mouvement d'immigration de ce qui était à l'époque laPalestine sousdomination ottomane, inspiré de l'idéologiesioniste, et qui mena à la constitution de l’État d'Israël, existait déjà un noyau de quelques milliers de Séfarades d'origine et de langue espagnole, àJérusalem,Safed, etHébron. La culture de ces communautés, illustrée notamment par l'œuvre d'Yitzhak Navon qui en était un descendant, a été submergée par l'apportashkénaze des immigrants d'Europe centrale et orientale, devenus majoritaires au cours duXXe siècle.

En Israël, lesjuifs arabophones, non séfarades mais qui suivaient une liturgie proche de celle des Juifs espagnols, ont également revendiqué à eux l'identité séfarade comme facteur d'unité et de fierté face à la suprématie des Juifs d'Europe de l'Est, tandis que les quelques milliers de séfarades d'ascendance espagnole (de Salonique, de Bulgarie et de Turquie) se sont lentement laissé absorber dans l'élément majoritaire.

En Israël, le terme « séfarades » s'emploie en concurrence avec « mizrahim », les deux mots étant dans ce pays presquesynonymes, et désignant tous deux de manière impropre l'ensemble des Juifs non ashkénazes. Sur les difficultés d'intégration dans ce nouveau pays, voirJuifs Mizrahim en Israël.

Vers 1950, l'État d'Israël construit desMa'abarot, des camps pour accueillir les Juifs des pays arabes et musulmans à la suite de leurexode massif.

Dès 1971, des jeunes inspirés par le mouvement afro-américain desBlack Panthers en fondentune version israélienne, luttant pour les droits des « nouveaux séfarades », précédant l'affaire des enfants de la teigne qui fit scandale en 1974, et l'affaire des enfants yéménites.

« En 1977, le vote séfarade jouera un rôle décisif dans la victoire deMenahem Begin, chef du parti duLikoud, sur le camp travailliste. Par bien des aspects, il sera le vote de la revanche »[14].« Plus que la fascination du "Grand Israël", le sentiment d'avoir été manipulés, humiliés, discriminés par un pouvoir "socialiste" » a poussé les séfarades dans les bras de l'opposition de droite[15]. Des partis politiques séfarades proches de l'extrême-droite apparaissent : leTami en 1981, leShas en 1984, dont la participation peut être indispensable aux coalitions gouvernementales et leGesher en 1996.

En 1998,Ori Orr, président du groupe politique leParti travailliste d’Israël, ayant tenu des propos jugés scandaleux, propres à aggraver le divorce entre les séfarades et le Parti travailliste, a été suspendu de toutes ses responsabilités internes parEhud Barak[16].

En 2010, àJérusalem, 80 000 juifsashkénazesorthodoxes manifestent contre l’intervention de la Cour suprême d’Israël dans les affaires religieuses, et en particulier contre l'interdiction de la discrimination entre enfants ashkénazes et séfarades dans une école religieuse[17].

« Aucun séfarade n'a jamais étéPremier ministre d'Israël »[18]. Le Premier ministre est en Israël le réel détenteur dupouvoir exécutif.

Deux séfarades-mizrahim ont été Présidents de l’État d'Israël :Yitzhak Navon (1978-1983) etMoshe Katsav (2000-2007), respectivementladinophone etpersanophone. Le Président de l’État d'Israël est doté d'attributions essentiellement honorifiques.

France

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Fête juive àTétouan en 1865.
Noce dans la communauté juive du Maroc, parEugène Delacroix.

Le berceau historique du judaïsme séfarade enFrance est laGascogne, qui accueillit sous l'Ancien régime des milliers de Juifs fugitifs d'Espagne et du Portugal, en particulier àBordeaux et àBayonne. Ils constituèrent les premières communautés séfarades et furent rejoints au cours duXIXe et duXXe siècle par quelques milliers de juifs italiens et ottomans qui ont adopté le rite portugais en usage en France, notamment à Paris à la synagogue de larue Buffault. La communauté juive française a été considérablement augmentée et transformée par l'arrivée en France des Juifs d'Afrique du Nord de culture nord-africaine mais se réclamant du rite séfarade, venus en France au moment de ladécolonisation[19].

De 1981 à 1988,René-Samuel Sirat devient le premiergrand-rabbin de rite séfarade de France, fonction traditionnellement confiée à la communautéjuive alsacienne autrefois majoritaire[20].Raphaël Perez est legrand-rabbin de la communauté séfarade deStrasbourg de1984 à2005. De 2008 à 2021,Joël Mergui est le premier président d'origine nord-africaine duConsistoire central israélite de France[21], les précédents ayant été tousLorrains oualsaciens à l'exception d'Adolphe Crémieux, d'origineprovençale, entre 1842 et 1845, le fondateur de l’École normale israélite orientale, et le promoteur du décret denaturalisation française desJuifs algériens en 1871, lorsqu'il était ministre de la Justice dans le premier gouvernement de laTroisième république.

Espagne

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À partir de 2012, l'Espagne accepte d'octroyer lanationalité espagnole aux personnes pouvant attester d'une ascendance séfarade, sous certaines conditions[22]. En, le gouvernement deMariano Rajoy lève l'une des clauses les plus décriées, celle imposant l'abandon de la nationalité précédente, et reconnaît dès lors ladouble nationalité. Cette décision relève de la démarche générale de reconnaissance d'une« erreur historique il y a cinq siècles » par les autorités espagnoles[23]. Depuis, les demandes de naturalisation, venues en majorité deTurquie, arrivent régulièrement aux ambassades espagnoles[24].

Portugal

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En 2015, lePortugal a promulgué undécret-loi concernant l'obtention de la nationalité portugaise par les descendants dejuifs séfarades portugais[25]. Bien que le roi du PortugalManuelIer eût tout d’abord promulgué une loi assurant leur protection, il décida, à partir de1496, d’expulser tous les Juifs qui refusaient de se soumettre aubaptême catholique. En dépit depersécutions et de la distance qui les séparait du territoire de leurs ancêtres, de nombreux Juifs séfarades d’origine portugaise et leurs descendants ont conservé non seulement leur langue, leportugais, mais aussi les rites traditionnels propres à leur culte hébraïque ancestral au Portugal, préservant, au fil des générations, leursnoms de famille, les objets et les documents attestant de leur origine portugaise, de même qu’un lien mémoriel fort qui les a conduits à se désigner eux-mêmes « juifs portugais » ou « juifs de la nation portugaise »[25].

Montréal

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À partir des années 1950, les Séfarades se sont installés en grand nombre àMontréal, deuxième plus grande ville duCanada et métropole duQuébec. Leur arrivée change le visage de la communauté juive montréalaise, jusque-là majoritairement ashkénaze et anglophone. En 2011, 22 225 personnes comptaient parmi la communauté séfarade établie dans la région métropolitaine de recensement de Montréal, près du quart de la communauté juive de ce territoire, qui comptait à l’époque 90 780 personnes[26].

Spécificités

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Salomé, jeune séfarade peinte parHenri Regnault en 1870 en Algérie (Metropolitan Museum of Art).

Outre les différences de prononciation avec lesAshkénazes et les airs des chants synagogaux, il existe des différences mineures dans les programmes deprières et dans la façon de pratiquer certains commandements de laloi juive[27].

Les différences majeures entre Séfarades et Ashkénazes ne sont pas dans le domaine religieux, mais surtout dans le domaine culturel :langue vernaculaire, chansons, musique, poésie, littérature,nourriture

Notes et références

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  1. ab etc(en)Sergio DellaPergola, « World Jewish Population, 2013 »,North American Jewish Data Bank (en),(consulté le)
  2. J.Taïeb, « Juifs du Maghreb : onomastique et langue, une composante berbère ? »,Encyclopédie berbère,no 26,‎1er mai 2004,p. 3969–3975(ISSN 1015-7344,DOI 10.4000/encyclopedieberbere.1373,lire en ligne, consulté le)
  3. María Rosa Menocal,L'Andalousie arabeVIIIe – XVe siècle. Une culture de la tolérance, Paris,Autrement,, 244 p.(ISBN 978-2-7467-0368-1,lire en ligne), « Présentation »,p. 17-45
  4. ab etcCh. Attias et E. Benbassa,« Sépharade », dansDictionnaire de civilisation juive, Larousse,,p. 250-251.
  5. « Séfarade », surEncyclopædia Universalis.
  6. « Haïm Vidal Sephiha ou la passion du judéo-espagnol, par Claudine Barouhiel », surcrif.org,.
  7. « Espagne médiévale », dans Ch. Attias et E. Benbassa,Dictionnaire de civilisation juive, Larousse,,p. 275
  8. ab etcJ.-Ch. Attias et E. Benbassa,Dictionnaire de civilisation juive, Larousse,, article « Sépharade », p. 72
  9. JoanMiralles i Monserrat et JosepMassot i Muntaner,Entorn de la història de la llengua,, 90-91 p.(ISBN 8484153096,lire en ligne)
  10. NicoloBucaria, « Sicilia antiqua: International Journal of Archaeology : XIII. Ebrei catalani nel Regno di Sicilia (XIII-XV sec :) »,Fabrizio Serra Editore,‎(lire en ligne)
  11. « Quan a l’Imperi otomà es parlava català », El Nacional,
  12. (ca) « La diàspora jueva catalana per la Mediterrània », survilaweb.cat,
  13. DanielleRozenberg,L'Espagne contemporaine et la question juive : Les fils renoués de la mémoire et de l'histoire, Toulouse, Presses universitaires du Mirail,, 296 p.(ISBN 978-2-85816-864-4,lire en ligne),p. 162.
  14. Marius Schattner,Histoire de la Droite israélienne : de Jabotinsky à Shamir, Complexe,(lire en ligne),p. 275.
  15. MariusSchattner,Histoire de la Droite israélienne : de Jabotinsky à Shamir,Éditions Complexe,, 413 p.(ISBN 978-2-87027-384-5,lire en ligne).
  16. Jean-Pierre Perrin, « Israël : la fracture ouverte entre ashkénazes et séfarades : Les déclarations racistes d'un cacique du Parti travailliste contre les juifs marocains ont rouvert les vieilles blessures entre les deux communautés »,Libération,.
  17. « Manifs en ‘Israël’ : Les juifs ashkénazes ne peuvent pas saquer les enfants des juifs séfarades », surfadounews.com,.
  18. Nissim Behar, « Accusé de harcèlement sexuel, le ministre israélien de l'Intérieur démissionne »,Libération,.
  19. Elisabeth Schulz,Identité séfarade et littérature francophone auXXe siècle : A. Cohen, A. Memmi et N. Kattan : Déconstruction et assimilation,Éditions L'Harmattan,(lire en ligne),p. 20.
  20. « La chute d'un grand rabbin orgueilleux »,JDD,.
  21. « Entretien avec M. Joël MERGUI, président du Consistoire central israélite de France », surelysee.fr,.
  22. (en) « Spain to ease naturalization of Sephardic Jews », surHaaretz.com,(consulté le).
  23. « L'Espagne facilite la naturalisation des descendants de juifs expulsés en 1492 »,Le Point,(consulté le).
  24. [radio]Juliette Senik (réalisation Emmanuel Geoffroy),Un château en Espagne (reportage radiophonique), France Culture,coll. « Les Pieds sur terre »,(présentation en ligne,écouter en ligne). Émission deSonia Kronlund, diffusée le 9 décembre 2014 surFrance Culture.
  25. a etb« Décret-loino 30-A/2015 du 27 février 2015 »
  26. Annick Brabant, « Les séfarades de Montréal, une présence juive francophone », surEncyclopédie du MEM – Centre des mémoires montréalaises,(consulté le).
  27. Torat Emetאתר יהדות צפון אפריקה-תורה וחזנות.

Voir aussi

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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