Cet article est uneébauche concernant unécrivaintunisien.
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| Nom de naissance | |
| Nationalités | tunisienne(à partir du) française |
| Activité |
Ryvel, néRaphaël Lévy le àTunis[1] et décédé le àCannes[2], est unécrivaintunisien.
Après une formation à l'École normale israélite orientale, rattachée à l'Alliance israélite universelle (AIU), il enseigne dans les écoles de l'AIU : àTunis de1919 à1935, àSousse jusqu'en1938 et àCasablanca jusqu'en1944[3]. Contrairement à la direction de l'organisation, Ryvel se montre favorable ausionisme[3]. Après laSeconde Guerre mondiale, il revient à Tunis et devient inspecteur des écoles de l'AIU[2]. Il part pour laFrance après l'indépendance de la Tunisie en1956[2].
Neveu deJacques Vehel, autre écrivain de cette période, il obtient sonpseudonyme en ajoutant la première lettre de son prénom à son patronyme inversé[2].
Il publie plusieurs ouvrages,nouvelles,contes etpoèmes, s'inspirant de la vie quotidienne de lacommunauté juive de Tunisie[3],[4]. Les plus connus sontLa Hara conte… qui évoque la vie dans le quartier juif de Tunis etL'Enfant de l'Oukala pour lequel lui est décerné le Prix de Carthage en1931.
On lui doit aussi despièces de théâtre commeTerre d'Israël (créée le auThéâtre municipal de Tunis),Tseddaka (traduite enhébreu) ouL'Enquête (créée le à Sousse)[2],[3].