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Rue du Faubourg-Saint-Honoré

48° 52′ 22″ N, 2° 18′ 39″ E
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Page d’aide sur l’homonymie

Ne doit pas être confondu avecRue Saint-Honoré.

Voir la photo.
La rue du Faubourg-Saint-Honoré.
Voir la plaque.
Situation
Arrondissement8e
QuartierMadeleine
Faubourg-du-Roule
Début15-19,rue Royale
Fin46,avenue de Wagram et 2,place des Ternes
Morphologie
Longueur2 070 m
LargeurEntre les ruesRoyale
etLa Boétie : 14,50
ensuite : 13,80 m
Historique
DénominationDécret ministériel du
Ancien nomChaussée du Roule
rue du Bas-Roule
rue du Haut-Roule
rue du Faubourg-du-Roule
Géocodification
Ville de Paris3542
DGI3518
Géolocalisation sur la carte :Paris
(Voir situation sur carte : Paris)
Rue du Faubourg-Saint-Honoré
Rue du
Faubourg-Saint-Honoré
Géolocalisation sur la carte :8e arrondissement de Paris
(Voir situation sur carte : 8e arrondissement de Paris)
Rue du Faubourg-Saint-Honoré
Rue du
Faubourg-Saint-Honoré
Images sur Wikimedia CommonsImages sur Wikimedia Commons
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Larue du Faubourg-Saint-Honoré est une voie du8e arrondissement deParis qui le traverse d'est en ouest, au travers des quartiersde la Madeleine et duFaubourg-du-Roule.

Situation et accès

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Elle commencerue Royale et se termineplace des Ternes. Elle est longue de 2 070 mètres.

Il s'agit de l'une des rues les plus luxueuses de la capitale. Outre lepalais de l'Élysée,résidence officielle duprésident de la République française, la rue du Faubourg-Saint-Honoré est l'adresse d'ambassades, de magasins de luxe et de haute couture ainsi que de galeries d'art et d'antiquités prestigieuses.

Depuis 2024, à l’automne, une soirée est organisée par l’associationMaSH, au cours de laquelle la plupart des galeries d’art et d’antiquités du quartier Matignon - Saint-Honoré ouvrent leurs portes au public, l’avenue Matignon et la rue du Faubourg-Saint-Honoré étant à cette occasion interdites en partie à la circulation[1].

La rue est desservie à proximité par laligne 9 à la stationSaint-Philippe du Roule.

Origine du nom

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La rue du Faubourg-Saint-Honoré doit son nom au fait qu'elle traversait le hameau et prolongeait larue Saint-Honoré à l'extérieur dumur d'enceinte qui desservait l'église Saint-Honoré[2]. Lefaubourg est primitivement un quartier « fors le bourg » (de l'ancien français « fors », issu du latinforis, « en dehors » et deborc, bourg,forsborc vers 1200,forbours vers 1260[3]).

Historique

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AuMoyen Âge, c'était la voie qui, en prolongement de la rue Saint-Honoré, allait de l'église Saint-Honoré, aujourd'hui disparue, située entre les ruesCroix-des-Petits-Champs etdes Bons-Enfants, au pont du Roule. Elle s'appelait déjà « rue du Faubourg-Saint-Honoré ».

À partir de 1633, cette appellation est réservée à la rue située à l'ouest de lanouvelle porte Saint-Honoré reconstruite en 1631[4] « à 400 toises de l'ancienne », à peu près au niveau de larue Royale et qui va jusqu'au faubourg du Roule après avoir traversé le Grand Égout, qui se situait approximativement au carrefour avec larue du Colisée. On parle alors de « nouveau faubourg Saint-Honoré ». Au-delà de celui-ci, au niveau du village du Roule (voir « Quartier du Faubourg-du-Roule »), la voie devint « chaussée du Roule ». Cette section prit par la suite successivement les noms de « rue du Bas-Roule », « rue du Haut-Roule » et « rue du Faubourg-du-Roule ».Elle est citée sous le nom de « Chaussée du faulxbourg Saint Honnoré », dans unmanuscrit de 1636.

Le quartier du faubourg Saint-Honoré se développe rapidement à partir de la fin duXVIIe siècle sous l'impulsion de riches financiers qui y font construire des hôtels particuliers dont témoignent ceux qui ont été conservés entre la rue du Faubourg-Saint-Honoré et l'avenue Gabriel. Plusieurs phénomènes concourent à ce développement : la pression démographique au centre de Paris — la capitale dépasse 500 000 habitants dans la seconde moitié duXVIIIe siècle —, le déclin duquartier du Marais et l'installation durégent Philippe d'Orléans auPalais-Royal proche à partir de 1715.

Les déclarations royales de 1724 et 1726 donnent un coup d'arrêt à la spéculation en interdisant de percer de nouvelles rues et de bâtir dans les faubourgs des maisons à porte cochère[5], mais les habitants du faubourg Saint-Honoré s'insurgent et réclament un traitement privilégié[6].

En 1733, avec l'extension de la ville jusqu'aumur des Fermiers généraux, la porte Saint-Honoré est supprimée et l'octroi est transféré au Roule. La limite d'interdiction de bâtir est reportée en 1740 jusqu'à larue des Saussaies et, le, jusqu'à la rue de Chaillot (actuellerue de Berri). La création de la place Louis-XV (actuelleplace de la Concorde) en 1757 relance la spéculation[4].

L'impératrice Eugénie, sans doute superstitieuse, fit supprimer leno 13 de la rue du Faubourg-Saint-Honoré, qui n'a jamais été rétabli[7].

Plaque du jumelage avec la Cinquième Avenue à New York.

En 1964, sous l'égide du Comité du Faubourg Saint-Honoré, la rue est jumelée avec laCinquième Avenue de New York[8]. La rue du Faubourg-Saint-Honoré est aussi jumelée avec laVia Condotti àRome[9].

Une partie de la voie délimitait laZAC Beaujon[10].

Depuis 2015, et à la suite de la mise en place duplan Vigipirate en réponse auxnombreux attentats islamistes qui frappent le territoire français, la rue est définitivement fermée à la circulation de tous les véhicules non autorisés entre larue de Duras et laplace Beauvau et de nombreux dispositifs de sécurité sont déployés aux différents points d'accès dupalais de l'Élysée (herses, bornes anti-véhicules béliers) s'ajoutant à cela une forte présence policière[11]. La circulation des piétons sur cette portion est aussi très règlementée et souvent interdite, notamment lors desvisites officielles, duConseil des ministres, duConseil de défense et duConseil restreint[12]. Le dispositif affecte considérablement la fréquentation des luxueux magasins situés sur cette portion de rue, jusque-là visités par une clientèle fortunée[13].

Description

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Du côté impair, le début de la rue est bordé par des hôtels particuliers entre cour et jardin dont les parcelles vont jusqu'à l'avenue Gabriel, c'est-à-dire qu'elles donnent sur les Champs-Élysées. Ce sont aujourd'hui pour la plupart des bâtiments officiels, tels que l'hôtel de Pontalba, résidence de l'ambassadeur des États-Unis, ou l'hôtel de Charost, siège de l'ambassade du Royaume-Uni.

« Encore au début de ce siècle, écrit le dramaturgeAndré de Fouquières en 1956, la différence entre le côté des numéros impairs et le côté des numéros pairs du faubourg était immédiatement perceptible. On trouvait, d'une part, une suite de façades aveugles, hauts murs masquant des demeures isolées par des cours et donnant sur jardins joignant les Champs-Élysées ; d'autre part, c'étaient des immeubles locatifs, où les fournisseurs des gens d'en face avaient choisi d'avoir boutique à proximité de leur clientèle. Cette division n'est plus guère sensible aujourd'hui parce que les grands hôtels patriciens ont changé de destination. La société qui devait attirer en cette voie parisienne une certaine forme de négoce a disparu, mais par un phénomène de persistance moins rare qu'on ne le supposerait, le commerce de luxe reste l'apanage du faubourg Saint-Honoré[14]. »

Au premier quart de la rue se trouve laplace Beauvau, où est sis l'hôtel de Beauvau, qui abrite leministère de l'Intérieur. Entre la place Beauvau et l'avenue Matignon, outre l'hôtelLe Bristol, se trouvent de nombreuses galeries de peintures et marchands d'art et d'antiquités de grande qualité.

Bâtiments remarquables et lieux de mémoire

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L'extrémité orientale de la rue du Faubourg-Saint-Honoré, vue depuis larue Royale, en 1965. PhotographieWillem van de Poll.

Les premières maisons de la rue du Faubourg-Saint-Honoré ont été incendiées par lescommunards en 1871, avec une partie de larue Royale.

Plaque auno 20.
  • L'hôtel Chevalier (au premier plan) et l'hôtel de Charost abritent la chancellerie de l'ambassade et la résidence du Royaume-Uni en France.
    L'hôtel Chevalier (au premier plan) et l'hôtel de Charost abritent la chancellerie de l'ambassade et la résidence du Royaume-Uni en France.
  • No 39 :hôtel de Charost, construit en 1720-1722 parAntoine Mazin pour Armand de Béthune, deuxième duc de Charost. En 1760, le comte de La Marck y fait réaliser un décor intérieurnéo-classique par l'architectePierre Patte. D'importantes transformations sont effectuées pourPauline Bonaparte, princesse Borghèse, propriétaire entre 1803 et 1815, notamment la construction d'une galerie en retour sur le jardin pour présenter les tableaux de la célèbre collection Borghèse et les décors intérieurs. Acquis en 1814, avec la totalité du mobilier à l'exception des tableaux, par leRoyaume-Uni pour y installer sonambassade : l'ambassadeur Lord Granville fait construire une aile symétrique pour servir de salle de bal et relie les deux ailes par une galerie vitrée construite parLouis Visconti en 1825 (l'un des premiers exemples des jardins d'hiver qui se multiplieront sous leSecond Empire) ; la chambre d'apparat est transformée en salle du trône à l'occasion de la visite en France de lareine Victoria. Abrite aujourd'hui la résidence de l'ambassadeur du Royaume-Uni. C'est dans cet hôtel que fut célébré en 1833 le mariage du compositeurHector Berlioz avec la tragédienneHarriet Smithson[7].
  • No 41 :hôtel de Pontalba, construit entre 1842 et 1855 parLouis Visconti pour la baronneMichaela de Pontalba sur l'emplacement de l'ancien hôtel d'Aguesseau, qu'elle avait acheté en 1836. Le baronEdmond de Rothschild l'achète en 1876 et le fait presque entièrement reconstruire par son architecteFélix Langlais, qui n'a laissé intacts que le hall et le portail d'entrée, mais a respecté le plan en « H » de l'édifice. Lefronton de la façade sur jardin, orné d'une statue deFlore due au sculpteurRené Charpentier, provient de l'ancien hôtel du Maine,rue de Lille, que le baron de Pontalba avait acheté en 1838 et fait raser[31]. C'est Edmond de Rothschild qui a fait remonter à l'hôtel de Pontalba le cabinet de laques de Chine provenant du même hôtel du faubourg Saint-Germain[32]. L'hôtel de Pontalba fut acquis en 1948 par lesÉtats-Unis pour y loger des bureaux de sonambassade. Restauré entre 1966 et 1971, il abrite aujourd'hui la résidence de l'ambassadeur des États-Unis.
  • L'entrée du Bristol.
    L'entrée duBristol.
  • Les jardins du Bristol.
    Les jardins duBristol.
Ambassade du Canada en France etCentre culturel canadien.
  • Hôtel de Rigny.
    Hôtel de Rigny.
  • Le cloître du couvent de l'Annonciation.
    Le cloître du couvent de l'Annonciation.
  • Le cloître du couvent de l'Annonciation.
    Le cloître du couvent de l'Annonciation.
  • L'atrium du couvent.
    L'atrium du couvent.
  • L'atrium du couvent.
    L'atrium du couvent.

Notes et références

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Notes

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  1. Pierre-Alfred Chardon (1809-1893) amassa une grande fortune qui lui permit de fonder unemaison de retraite àAuteuil en 1857 avec sa femme Amélie Lagache. En hommage, la rue de la Municipalité où est construit l'établissement (auno 1) a pris le nom derue Chardon-Lagache.
  2. Née Césarine d'Houdetot (1794-1877), femme deProsper de Barante, ambassadeur de France àSaint-Pétersbourg en 1835.
  3. Watin fils, dans l’État actuel de Paris, ou le Provincial à Paris (1788), mentionne Le Camus de Neuville et le fermier généralFrançois-Jules Duvaucel.
  4. Il louait une maison aux Incurables de larue du Bac. Sa belle-sœur, laprincesse de Monaco, qui vivait alors à l'hôtel de Lassay avec leprince de Condé, lui offrit le d'emménager dans son hôtel de larue Saint-Dominique.
  5. Inv. MI265 à MI270 : deux grandes toiles d'un format presque carré qui avaient été placées au fond de la pièce, face aux fenêtres, et quatre autres plus étroites en hauteur de part et d'autre des trumeaux de glace.
  6. Selon l’historienneAnne Lombard-Jourdan,tudela est la déformation du latintutela qui signifie « protection ». Le terme désigne la ceinture marécageuse de la rive droite et son rôle protecteur et défensif[64].

Références

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  1. « 37 galeries du quartier Matignon Saint-Honoré ouvrent leurs portes pour célébrer l’art sous toutes ses formes »,Le Figaro, 20 octobre 2025.
  2. L'église Saint-Honoré, aujourd'hui disparue, était située entre les ruesCroix-des-Petits-Champs etdes Bons-Enfants.
  3. Alain Rey,Dictionnaire historique de la langue française, Le Robert,3e édition, 3 vol., 2006.
  4. a etbSabine Drilhon-Codet, « Saint-Philippe-du-Roule »,p. 328.
  5. E.-T.Lemaire, « Le développement du faubourg Saint-Honoré auXVIIIe siècle »,Bulletin de la Société historique de Paris et de l'Île-de-France,‎ 1957-1959.
  6. Arch. nat., K 982.
  7. a etb[Collectif],Paris, Guides vert, 2007,p. 273.
  8. Eugénie Trochu, « La Summer Time du faubourg Saint-Honoré », surVogue.fr,.
  9. Nathanyel Bens, « Summer Time 2016 », surNathanyel Bens | Blog masculin,(consulté le)
  10. Projets urbains et équipements publics
  11. Par Eric Le mitouard Le 4 juillet 2016à 07h00, « La sécurité autour de l'Elysée met en danger le petit commerce », surleparisien.fr,(consulté le)
  12. « La sécurité de l’Elysée fait pâlir le quartier Saint-Honoré », surwww.20minutes.fr,(consulté le)
  13. Louis Heidsieck, « La rue du Faubourg-Saint-Honoré, vitrine du luxe au bord de l'asphyxie », surLe Figaro,(consulté le).
  14. Fouquières 1956,p. 12-13.
  15. Beaux-arts : chronique des arts et de la curiosité, volume 9, 1931.
  16. Jacques Hillairet,Dictionnaire historique des rues de Paris,Les Éditions de Minuit, septième édition, 1963,t. 1 (« A-K »), « Rue Chardon-Lagache »,p. 310-313.
  17. Fouquières 1956,p. 13.
  18. Mélanie Noche,« Carita : la maison de beauté réouvre ses portes après deux ans de travaux, et devient l'adresse la plus prisée de la capitale », vogue.fr, 4 octobre 2022.
  19. « Carita, la haute beauté a une histoire », cnep-france.fr, consulté le 20 juillet 2023.
  20. a etbFouquières 1956,p. 16-18.
  21. « Jeanne Lanvin, l’artiste couturière »,Gallica.
  22. « Jeanne Lanvin (1867-1946) », musée des Arts décoratifs.
  23. Olivier Saillard,Le Bouquin de la mode, 2019.
  24. « L'histoire du jardin secret d'Hermès », surarcanum.paris(consulté le).
  25. Fouquières 1956,p. 22.
  26. Théodore Strawinsky et Denise Strawinsky,Au cœur du foyer Catherine et Igor Strawinsky 1906-1940, Bourg-la Reine, Aug. Zurfluh,, 183 p.(ISBN 2-87750-085-3),p. 136-139.
  27. Enis Rockel, « Gabriel de Kerveguen, le « Rockefeller des tropiques » (II) », surdevirisillustribusblog,(consulté le)
  28. Fouquières 1956,p. 24.
  29. Fouquières 1956,p. 24-25.
  30. « Star Academy »,Vanity Fair,no 28,,p. 174.
  31. Alexandre Gady,Les Hôtels particuliers de Paris. Du Moyen Âge à la Belle Époque, Éditions Parigramme,, 327 p., p.251.
  32. Gady 2008,p. 252.
  33. Passage bouché avant 1821 et transformé en caves.
  34. Archives nationales, MCN, CXIII, 568, 5 juillet 1786.
  35. Voir leno 20.
  36. Liste générale des représentants du Peuple composant le corps législatif[réf. non conforme].
  37. ClaudeLelièvre et ChristianNique,L'école des présidents : de Charles de Gaulle à François Mitterrand,Éditions Odile Jacob,, 382 p.(ISBN 978-2-7381-0298-0,lire en ligne)
  38. Béatrice de Andia et Dominique Fernandès,Rue du Faubourg Saint-Honoré, Édition de la Délégation artistique de la ville de Paris, 1994.
  39. Jeande La Tynna,Dictionnaire topographique, étymologique et historique des rues de Paris : contenant les noms anciens et nouveaux des rues, ruelles, culs-de-sac, passages, places, quais, ports, ponts, avenues, boulevards, etc., et la désignation des arrondissements dans lesquels ils sont situés ; accompagné d'un…,, 489 p.(lire en ligne).
  40. Constant Permeke,De l’impressionnisme à nos jours, Éditions des musées nationaux, 1948.
  41. a etbMartine Robert,« Avec son nouvel écrin parisien, Sotheby’s veut marier le luxe et la culture »,Les Échos, 30 juin 2024.
  42. Registre, Cabinet du préfet,1re division,2e bureau : service des mœurs, Archives de la préfecture de police de Paris (cote BB 1).
  43. « La Maison Elysée, à Paris, un objet de curiosité touristique »,Le Monde,‎(lire en ligne, consulté le)
  44. Béatrice de Andia et Dominique Fernandès,La Rue du Faubourg-Saint-Honoré, Délégation à l'Action artistique de la ville de Paris, 1994,430 p.(ISBN 9782905118493),p. 287.
  45. Élisabeth de Feydeau,Dictionnaire amoureux du parfum, Plon, 2021.
  46. Façade sur jardin, 107 rue du faubourg Saint-Honoré, le, photographie deCharles Lansiaux, Paris, musée Carnavalet, (en ligne) sur le site Les Musées de la Ville de Parisparismuseescollections.paris.fr.
  47. Jess Berry,House of fashion : Haute couture and the modern interior,p. 37 (en ligne).
  48. Bénédicte Burguet, « Le paquebot moderniste de Paul Poiret »,Vanity Fairno 5,,pp. 88-89.
  49. (BNF 12886869)
  50. Mathilde Dion, « Louis Süe »,Notices biographiques d'architectes français, Paris, Ifa/Archives d'architecture duXXe siècle, 1991, 2 vol.
  51. « Legaciones y Oficinas de Pasaportes »,La Semaine à Paris, 21 novembre 1924, p. IV, surGallica.
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  53. Annuaire diplomatique et consulaire de la République française, Berger-Levrault, 1907, p. 452.
  54. Gérard Rousset-Charny,Rue du Faubourg-Saint-Honoré, Paris, Délégation à l'action artistique de la Ville de Paris, coll. « Paris et son patrimoine », 1994,p. 343.
  55. Femme deErnest Arrighi de Casanova,2educ de Padoue.
  56. Gady 2008,p. 274.
  57. « Hôtel Schneider », noticeno PA00088835, sur la plateforme ouverte du patrimoine,base Mérimée,ministère français de la Culture.
  58. Protections patrimoniales,8e arrondissement, Ville de Paris, Règlement du PLU, tome 2, annexe VI,p. 224 à 240.
  59. « EuropaCorp vend son siège parisien », surChallenges,(consulté le).
  60. (en-GB) « Apicius | Paris Society », surParis Group FR(consulté le).
  61. « Restaurant : Apicius, terrasse happy few »,Les Échos, 9 juillet 2021.
  62. « Emplacement des écuries dites de Monsieur »,canadp-archivesenligne.paris.fr.
  63. Georges Pillement,Paris poubelle, Paris, Jean-Jacques Pauvert,, 206 p.(ISBN 2 7202 0001 8),p. 82
  64. AnneLombard-Jourdan,Aux origines de Paris: la genèse de la rive droite jusqu'en 1223, Éd. du Centre national de la recherche scientifique,(ISBN 978-2-222-03646-3).
  65. « Tudela ».
  66. Philippe Sorel,guide du promeneur dans le 8è arrondissement, Paris, Parigramme,, 252 p.(ISBN 2 84096 028 1),p. 114-115.
  67. Sorel 1995,p. 115.
  68. https://francearchives.gouv.fr/findingaid/b5619d52432ca5a20c7e0c70e128cd9629ab1006 Consulté le 3 août 2023
  69. « Hôpital Beaujon (ancien) », noticeno PA00088818, sur la plateforme ouverte du patrimoine,base Mérimée,ministère français de la Culture.
  70. https://www.cairn.info/journal-materiaux-pour-l-histoire-de-notre-temps-2008-4-page-8.htm
  71. https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/1/14/Paris_manifestations_17_oct_61.png
  72. https://pariseine.fr/projets/zac-beaujon/
  73. https://www.evous.fr/Commissariat-Central-Police-8e-Arrondissement-Paris-horaires-adresse-services-1118748.html Consulté le 3 août 2023
  74. https://ebeaujon.org/infos-pratiques/
  75. Son adresse officielle est le 20 rue Laure Diebold qui est une rue qui entoure l'ancien hôpital Beaujon et son jardin sur trois de ses quatre côtés. Le quatrième étant la rue du Faubourg-Saint-Honoréhttps://www.trouversacreche.fr/creche/75008_paris-8/11297/beaujon Consulté le 3 août 2023
  76. « PAPHE : Paris, ancien hospice Beaujon »,europaphe.aphp.org.
  77. « Hospice Beaujon (1784) »,fr.structurae.de
  78. https://pariseine.fr/projets/zac-beaujon/ Consulté le 3 août 2023
  79. Acte de naissance N°1176/1915
  80. Élise Lauranceau,rue du Faubourg Saint-Honoré, Paris, action artistique de la Ville de Paris,, 431 p.(ISBN 2 905118 49 0), « un immeuble par Charles Letrosne »,p. 380
  81. Jérôme Sage et Brendan Kemme, « Le roi de l’hôtellerie assassiné », surfrancesoir.fr,(consulté le).
  82. Arnaud Bizot, avec Rose-Laure Bendavid et Frédéric Helbert, « Meurtre mystérieux à Neuilly », surparismatch.com,(consulté le).
  83. Où les premières émissions duJour du Seigneur ont été tournées.
  84. « Adrien Rougier, illustrateur et défenseur des orgues de Lyon », surleprogres.fr(consulté le).
  85. Sitele222.org.
  86. Sorel 1995,p. 116.
  87. André deFouquières,Mon Paris et ses Parisiens,vol. 1, Paris, Pierre Horay,, p.279-280.
  88. Annuaire des peintres, sculpteurs, experts, galeries de France et professionnels des arts plastiques, Patrick Bertrand, éditeur d'art, Sainte-Hélène-sur-Mer,p. 271.
  89. « Le, une demande de permis de construire pour un hôtel privé est déposée parMme Mallet-Stevens, résidant 236 rue du faubourg Saint-Honoré, à Paris », in collectif, Catalogue de l’exposition « Robert Mallet-Stevens, architecte », sous la direction d’Olivier Cinqualbre,Robert Mallet-Stevens : l’œuvre complète, Éditions du Centre Pompidou, collection « Classiques duXXe siècle »,240 p.(ISBN 2-84426-270-8), présentée du au au Centre Pompidou.
  90. Association des amis de Flaubert et de Maupassant.
  91. « mahJ / "Helena Rubinstein. L'aventure de la beauté" », surculture.gouv.fr,(consulté le).
  92. « Helena Rubinstein : sur les traces d’une grande dame », surelle.fr,(consulté le).
  93. Bénédicte Burguet,« Helena Rubinstein : peau d’ange et cœur de pierre »,Vanity Fair,no 15, septembre 2014,p. 162-167.

Bibliographie

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Annexes

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Articles connexes

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Liens externes

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