| Rubelles | |||||
La mairie. | |||||
| Administration | |||||
|---|---|---|---|---|---|
| Pays | |||||
| Région | Île-de-France | ||||
| Département | Seine-et-Marne (Melun) | ||||
| Arrondissement | Melun | ||||
| Intercommunalité | Communauté d'agglomération Melun Val de Seine | ||||
| Maire Mandat | Françoise Lefebvre 2020-2026 | ||||
| Code postal | 77950 | ||||
| Code commune | 77394 | ||||
| Démographie | |||||
| Gentilé | Rubellois | ||||
| Population municipale | 3 450 hab.(2022 | ||||
| Densité | 882 hab./km2 | ||||
| Géographie | |||||
| Coordonnées | 48° 33′ 32″ nord, 2° 40′ 47″ est | ||||
| Altitude | Min. 48 m Max. 84 m | ||||
| Superficie | 3,91 km2 | ||||
| Type | Grand centre urbain | ||||
| Unité urbaine | Paris (banlieue) | ||||
| Aire d'attraction | Paris (commune d'un pôle secondaire) | ||||
| Élections | |||||
| Départementales | Canton de Melun | ||||
| Législatives | Première circonscription | ||||
| Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte :France Géolocalisation sur la carte :France Géolocalisation sur la carte :Seine-et-Marne Géolocalisation sur la carte :Île-de-France | |||||
| Liens | |||||
| Site web | rubelles.fr | ||||
| modifier | |||||
Rubelles est unecommune française située dans ledépartement deSeine-et-Marne enrégionÎle-de-France.

Rubelles est situé à 3 km au nord-est deMelun.
| Montereau-sur-le-Jard | Saint-Germain-Laxis | |
| Voisenon | ||
| Melun | Maincy |
L'altitude de la commune varie de 48 mètres à 84 mètres pour le point le plus haut, le centre du bourg se situant à environ 72 mètres d'altitude (mairie)[1]. Elle est classée en zone desismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[2].

Le réseau hydrographique de la commune se compose d'un seulcours d'eau référencé : leru du Jard ou ru de Rubelles ou cours d'eau 01 des Trois Moulins, long de 4,18 km[3], quiconflue avec la rivière l’Almont (ou ru d'Ancœur ou ru de Courtenain), longue de 42,15 km[4],affluent de laSeine en rive droite.
Sa longueur totale sur la commune est de 2,3 km[5].
Pour des articles plus généraux, voirClimat de l'Île-de-France etClimat de Seine-et-Marne.
Plusieurs études ont été menées afin de caractériser les types climatiques auxquels est exposé le territoire national. Les zonages obtenus diffèrent selon les méthodes utilisées, la nature et le nombre des paramètres pris en compte, le maillage territorial des données et la période de référence. En 2010, le climat de la commune était ainsi de typeclimat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude duCentre national de la recherche scientifique (CNRS) s'appuyant sur une méthode combinant données climatiques et facteurs de milieu (topographie, occupation des sols, etc.) et des données couvrant lapériode 1971-2000[6]. En 2020, le climat prédominant est classé Cfb, selon laclassification de Köppen-Geiger, pour la période 1988-2017, à savoir un climat tempéré à été frais sans saison sèche[7]. Par ailleursMétéo-France publie en 2020 une nouvelle typologie desclimats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à unclimat océanique altéré[8] et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[9]. Elle est en outre dans lazone H1a au titre de laréglementation environnementale 2020 des constructions neuves[10],[11].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de11,2 °C, avec uneamplitude thermique annuelle de15,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 706 mm, avec1,1 jours de précipitations en janvier et7,8 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur lastation météorologique deMétéo-France la plus proche, sur la commune deMontereau-sur-le-Jard à4 km àvol d'oiseau[12], est de11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 657,9 mm[13],[14]. La température maximale relevée sur cette station est de41,9 °C, atteinte le ; la température minimale est de−19,8 °C, atteinte le[Note 1].
| Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| Température minimale moyenne (°C) | 1,6 | 1,4 | 3,4 | 5,4 | 9 | 12,1 | 13,9 | 13,7 | 10,7 | 8,1 | 4,5 | 2,2 | 7,2 |
| Température moyenne (°C) | 4,2 | 4,9 | 7,9 | 10,8 | 14,3 | 17,5 | 19,8 | 19,6 | 16 | 12,2 | 7,6 | 4,7 | 11,6 |
| Température maximale moyenne (°C) | 6,9 | 8,3 | 12,5 | 16,2 | 19,7 | 23 | 25,6 | 25,5 | 21,4 | 16,3 | 10,6 | 7,3 | 16,1 |
| Record de froid (°C) date du record | −19,8 17.01.1985 | −19,7 14.02.1956 | −10,3 12.03.1958 | −4,6 12.04.1986 | −2,1 07.05.1957 | 1,6 04.06.1975 | 4 08.07.1954 | 3,5 31.08.1986 | 0,4 24.09.1947 | −4,8 29.10.1985 | −9,3 24.11.1998 | −14,8 29.12.1964 | −19,8 1985 |
| Record de chaleur (°C) date du record | 16,9 05.01.1999 | 21,2 24.02.21 | 25,6 25.03.1955 | 29,5 30.04.1994 | 31,6 28.05.17 | 36,8 27.06.11 | 41,9 25.07.19 | 38,9 12.08.03 | 34,4 15.09.20 | 29,4 01.10.1985 | 22,1 07.11.15 | 17,6 07.12.00 | 41,9 2019 |
| Ensoleillement (h) | 59,5 | 82,9 | 142,9 | 188,2 | 216,3 | 226,1 | 234,7 | 225,3 | 180,4 | 118,5 | 68,4 | 54,4 | 1 797,5 |
| Précipitations (mm) | 50,9 | 46 | 46,6 | 48,8 | 61,9 | 58,1 | 59,4 | 54,2 | 54 | 58,5 | 56,3 | 63,2 | 657,9 |
| Record de pluie en 24 h (mm) date du record | 29,8 11.01.1993 | 33,4 25.02.1997 | 41,2 13.03.1980 | 47,6 08.04.22 | 40,6 30.05.00 | 45,9 19.06.13 | 51,9 20.07.1955 | 89,8 24.08.1987 | 62,4 13.09.17 | 50 09.10.24 | 37,8 19.11.24 | 29,4 29.12.01 | 89,8 1987 |
| Diagramme climatique | |||||||||||
| J | F | M | A | M | J | J | A | S | O | N | D |
6,9 1,6 50,9 | 8,3 1,4 46 | 12,5 3,4 46,6 | 16,2 5,4 48,8 | 19,7 9 61,9 | 23 12,1 58,1 | 25,6 13,9 59,4 | 25,5 13,7 54,2 | 21,4 10,7 54 | 16,3 8,1 58,5 | 10,6 4,5 56,3 | 7,3 2,2 63,2 |
| Moyennes :• Temp.maxi etmini°C• Précipitationmm | |||||||||||
Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[15],[16],[17].
Au, Rubelles est catégorisée grand centre urbain, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[18].Elle appartient à l'unité urbaine de Paris[Note 2], une agglomération inter-départementale regroupant407 communes, dont elle est une commune de labanlieue[Note 3],[19],[20]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune d'un pôle secondaire[Note 4],[20]. Cette aire regroupe 1 929 communes[21],[22].
La commune compte29lieux-dits administratifs[Note 5] répertoriés consultables ici[23] dontFond des Ponceaux (source : le fichierFantoir).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d’occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (48,7 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (55,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :terres arables (48,7% ), zones urbanisées (34,7% ), forêts (16,6 %)[24].
Parallèlement,L'Institut Paris Région,agence d'urbanisme de la régionÎle-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[25],[26],[Carte 1]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 2].
Laloi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’unSCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Région melunaise, dont l'élaboration a été engagée de 2013 à 2015, puis poursuivie à partir de 2017 sur un périmètre différent et porté par lacommunauté d'agglomération Melun Val de Seine[27].
La commune, en 2019, avait engagé l'élaboration d'unplan local d'urbanisme[28].
En 2017, le nombre total de logements dans la commune était de878 dont 86,3 % de maisons et 11,3 % d'appartements[Note 6].
Parmi ces logements, 96 % étaient des résidences principales, 0,5 % des résidences secondaires et 3,5 % des logements vacants.
La part desménagesfiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 74,3 % contre 23,4 % de locataires[29] dont, 15,2 % de logements HLM loués vides (logements sociaux)[Note 7] et, 2,3 % logés gratuitement.
Le nom de la localité est mentionné sous les formesRubella en 1206[30] ;Rubelle en 1224[31] ;Rubelles emprez Meleun en 1385[32] ;Rebelle en 1561[33] ;Rebelles en 1599[34] ;Rubel en 1768[35].
| Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
|---|---|---|---|---|
| mars 1965 | mars 1971 | René Bezard | ||
| mars 1971 | mars 1977 | Elie Baudouard | ||
| mars 1977 | mars 2014 | Jacques Baumann | DVD-UMP | Directeur commercial |
| mars 2014 | en cours | Françoise Lefebvre[37] | DVG | Ophtalmologiste retraitée 9e vice-présidente de laCA Melun Val de Seine(2014 → 2020), 3e vice-présidente(depuis 2020) Réélue pour le mandat 2020-2026 |
| Les données manquantes sont à compléter. | ||||
L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. Laloi NOTRe de 2015 a accru le rôle desEPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au, mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au[38],[39].
En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Rubelles est assurée par lacommunauté d'agglomération Melun Val de Seine (CAMVS) pour la collecte, le transport et la dépollution. Ce service est géré en délégation par une entreprise privée, dont le contrat arrive à échéance le[40],[41],[42].
L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[43]. Lacommunauté d'agglomération Melun Val de Seine (CAMVS) assure pour le compte de la commune leservice public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[40],[44].
En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la commune qui en a délégué la gestion à l'entrepriseVeolia, dont le contrat expire le[40],[45],[46].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[47]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[48].
En 2022, la commune comptait 3 450 habitants[Note 8], en évolution de +60,32 % par rapport à 2016 (Seine-et-Marne : +3,92 %,France horsMayotte : +2,11 %).
| 1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| 240 | 192 | 187 | 182 | 185 | 200 | 196 | 196 | 204 |
| 1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| 190 | 236 | 244 | 196 | 195 | 178 | 177 | 155 | 192 |
| 1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| 178 | 171 | 201 | 173 | 192 | 214 | 218 | 224 | 263 |
| 1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2011 | 2016 |
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| 356 | 451 | 742 | 1 822 | 1 753 | 1 653 | 1 848 | 1 903 | 2 152 |
| 2021 | 2022 | - | - | - | - | - | - | - |
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| 3 273 | 3 450 | - | - | - | - | - | - | - |

En 2018, le nombre deménagesfiscaux de la commune était de 952 (dont 67 %imposés), représentant 2 605 personnes et lamédiane du revenu disponible par unité de consommation de 24 640 euros[51].
En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 1 407, occupant 890 actifs résidants.Le taux d'activité de lapopulation (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 62,4 % contre un taux de chômage de 8,1 %. Les 29,5 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 11,7 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 7,2 % de retraités ou préretraités et 10,6 % pour les autres inactifs[52].
En 2019, le nombre d’unités légales et d’établissements (activités marchandes hors agriculture) par secteur d'activité était de107 dont2 dans l’industrie manufacturière, industries extractives et autres,12 dans la construction,29 dans lecommerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration,5 dans l’Information et communication,4 dans les activités financières et d'assurance,4 dans lesactivités immobilières,16 dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien,24 dans l’administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale et11 étaient relatifs aux autres activités de services[53].
En 2020,24 entreprises ont été créées sur le territoire de la commune, dont19individuelles.
Au, la commune disposait de54 chambres d’hôtels dans un établissement et ne possédait aucun terrain de camping[54].
LaZAC Saint Nicolas rassemble au sud-ouest de la commune principalement des enseignes de distribution, de restauration et d'hôtellerie ainsi qu'une agence bancaire.
Dans cette même ZAC se trouve également le siège de laCaisse des Français de l'Etranger (CFE).
Rubelles est dans lapetite région agricole dénommée la « Brie française », (ou Basse-Brie), une partie de laBrie autour deBrie-Comte-Robert[Carte 3]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 9] de l'agriculture sur la commune est la culture decéréales et d'oléoprotéagineux (COP)[55].
Si la productivité agricole de laSeine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de2 000 ha par an dans lesannées 1980, moins dans lesannées 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans lesannées 2010[56]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 2 en 1988 à 1 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de89 ha en 1988 à171 ha en 2010[55].Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Rubelles, observées sur une période de 22 ans :
| 1988 | 2000 | 2010 | |
|---|---|---|---|
| Dimension économique[55],[Note 10] | |||
| Nombre d’exploitations (u) | 2 | 1 | 1 |
| Travail (UTA) | 6 | 2 | 1 |
| Surface agricole utilisée (ha) | 178 | 178 | 171 |
| Cultures[57] | |||
| Terres labourables (ha) | s | s | s |
| Céréales (ha) | s | s | s |
| dontblé tendre (ha) | s | s | s |
| dontmaïs-grain et maïs-semence (ha) | s | s | |
| Tournesol (ha) | s | ||
| Colza etnavette (ha) | s | s | s |
| Élevage[55] | |||
| Cheptel (UGBTA[Note 11]) | 1 | 0 | 0 |


| Blason | D'or à l'assiette de faïence de Rubelles de sinople ornée d'or et chargée d'une grappe de raisin, accompagnée en chef à dextre et à senestre de deux grappes de raisin de pourpre tigée et vrillée de sinople; au chef d'azur (de sable) chargé de trois grenades d'or ouvertes de gueules[60]. | |
|---|---|---|
| Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Communes ducanton de Melun-Nord | |
|---|---|
Communes de lacommunauté d’agglomération Melun Val de Seine | |
|---|---|