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Royon

50° 28′ 25″ nord, 1° 59′ 35″ est
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Page d’aide sur l’homonymie

Pour les articles homonymes, voirRoyon (homonymie).

Royon
Royon
Lechâteau.
Blason de Royon
Blason
Administration
PaysDrapeau de la FranceFrance
RégionHauts-de-France
DépartementPas-de-Calais
ArrondissementMontreuil
IntercommunalitéCommunauté de communes du Haut Pays du Montreuillois
Maire
Mandat
Jean-Marie Cornuel
2020-2026
Code postal62990
Code commune62725
Démographie
GentiléRoyonnais
Population
municipale
127 hab.(2022en évolution de −4,51 % par rapport à 2016)
Densité17 hab./km2
Géographie
Coordonnées50° 28′ 25″ nord, 1° 59′ 35″ est
AltitudeMin. 54 m
Max. 160 
m
Superficie7,49 km2
TypeCommune rurale à habitat dispersé
Unité urbaineHors unité urbaine
Aire d'attractionFruges
(commune de la couronne)
Élections
DépartementalesCanton de Fruges
LégislativesQuatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte :France
Voir sur la carte topographique de France
Royon
Géolocalisation sur la carte :France
Voir sur la carte administrative de France
Royon
Géolocalisation sur la carte :Pas-de-Calais
Voir sur la carte topographique du Pas-de-Calais
Royon
Géolocalisation sur la carte :Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Royon
Liens
Site webcommune-royon.fr
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Royon est unecommune française située dans ledépartement duPas-de-Calais enrégionHauts-de-France. Ses habitantssont appelés lesRoyonnais. Sa population est de 127 habitants au recensement de 2022. Elle s'inscrit dans les « paysages montreuillois » tels qu'ils sont définis dans l'atlas de paysages. La commune est membre de lacommunauté de communes du Haut Pays du Montreuillois.

Géographie

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Localisation

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Localisée dans le sud-ouest du département duPas-de-Calais, Royon est un village traversé par laCréquoise (qui se jette dans laCanche) qui a tranché une vallée verdoyante dans le plateau crayeux deCréquy et d'Azincourt. Le village est situé,à vol d'oiseau, à 11 km au sud-ouest de la commune deFruges (aire d'attraction) et à 15 km à l'est de la commune deMontreuil-sur-Mer (chef-lieu d'arrondissement)[1],[2],[3].

Les pentes de collines de la région étaient barrées par des haies de créquiers, à l’instar des restanques du midi, et qu'on appelait « royons »[4]. Un créquier ouprunellier ou fourdrinier est un épineux fréquent dans les haies et clôtures de la région ; et la devise de lafamille de Créquy était : « qui s'y frotte s'y pique ».

  • La Créquoise à proximité du château.
    La Créquoise à proximité du château.
  • Carte de l'Artois par Ortellius - 1576.
    Carte de l'Artois par Ortellius - 1576.
  • Détail sur Royon.
    Détail sur Royon.

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de six communes.Les communes limitrophes sontCréquy,Embry,Fressin,Lebiez,Sains-lès-Fressin etTorcy.

Carte
Le territoire de la commune et ses communes limitrophes[Note 1].

Géologie et relief

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La superficie de la commune est de 7,49 km2 ; son altitude varie de54 à 160 m[5].

Hydrographie

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Article connexe :Liste des cours d'eau du Pas-de-Calais.

La commune, située dans lebassin Artois-Picardie[6], est, selon leService d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre), drainée par quatre cours d'eau :

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Royon[Note 2].

Climat

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Pour des articles plus généraux, voirClimat des Hauts-de-France etClimat du Nord-Pas-de-Calais.

Plusieurs études ont été menées afin de caractériser les types climatiques auxquels est exposé le territoire national. Les zonages obtenus diffèrent selon les méthodes utilisées, la nature et le nombre des paramètres pris en compte, le maillage territorial des données et la période de référence. En 2010, le climat de la commune était ainsi de typeclimat océanique franc, selon une étude duCentre national de la recherche scientifique (CNRS) s'appuyant sur une méthode combinant données climatiques et facteurs de milieu (topographie, occupation des sols, etc.) et des données couvrant lapériode 1971-2000[11]. En 2020, le climat prédominant est classé Cfb, selon laclassification de Köppen-Geiger, pour la période 1988-2017, à savoir un climat tempéré à été frais sans saison sèche[12]. Par ailleursMétéo-France publie en 2020 une nouvelle typologie desclimats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à unclimat océanique[13] et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[14]. Elle est en outre dans lazone H1a au titre de laréglementation environnementale 2020 des constructions neuves[15],[16].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de10,3 °C, avec uneamplitude thermique annuelle de12,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 976 mm, avec12,9 jours de précipitations en janvier et8,5 jours en juillet[11]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur lastation météorologique deMétéo-France la plus proche, sur la commune deRadinghem à12 km àvol d'oiseau[17], est de10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 038,1 mm[18],[19]. La température maximale relevée sur cette station est de40,4 °C, atteinte le ; la température minimale est de−14,6 °C, atteinte le[Note 3].

Paysages

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Pour un article plus général, voirPaysage en France.

La commune s'inscrit dans les « paysages montreuillois » tels qu'ils sont définis dans l'atlas de paysages de la régionNord-Pas-de-Calais, conçu par ladirection régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 4],[20]. Ces paysages, qui concernent98 communes, se délimitent : à l'ouest par des falaises qui, avec le recul de la mer, ont donné naissance aux bas-champs ourlées de dunes ; au nord par laboutonnière duBoulonnais ; au sud par le vaste plateau formé par la vallée de l'Authie, et à l'est par les paysages duTernois et duHaut-Artois. Les « paysages montreuillois », avec, dans leur axe central, la vallée de laCanche et ses nombreux affluents comme laCourse, laCréquoise, laPlanquette…, offrent une alternance de vallées et de plateaux, appelés « ondulations montreuilloises ». Dans ces paysages, et plus particulièrement sur les plateaux, on cultive labetterave sucrière, leblé et lemaïs et les plateaux entre laTernoise et la Créquoise sont couverts de vastes massifs forestiers comme la forêt d'Hesdin-la-Forêt, les bois deFressin,Sains-lès-Fressin,Créquy[21].

L’occupation des sols de la surface totale de ces « paysages montreuillois » est de 59,07 % de cultures, de 21,55 % de prairies naturelles, permanentes, de 12,02 % de forêts et de milieux semi-naturels, de 5,79 % d'espaces artificialisés avec les communes principales d'Étaples etMontreuil-sur-Mer, de 0,38 % de cours d'eau et plan d'eau, 0,41 % d'espaces industriels et de friches industrielles et de 0,14 % d’espaces dunaires[21].

Milieux naturels et biodiversité

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Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

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Article connexe :Liste des ZNIEFF du Pas-de-Calais.

L’inventaire deszones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal comprend deux ZNIEFF detype 1[Note 5] :

et une ZNIEFF detype 2[Note 6] :les vallées de la Créquoise et de la Planquette, d’une superficie de15 157 ha et d'une altitude variant de13 à 181 mètres. Ces deux vallées se situent aux confins de deux régions naturelles : le Haut Pays d’Artois et leTernois et constituent un des paysages ruraux traditionnels duNord-Pas-de-Calais les mieux conservés[24].

  • Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 sur la commune
  • Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
    Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
  • Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
    Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.

Espèces faunistiques et floristiques

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L’Inventaire national du patrimoine naturel (INPN) recense plusieurs espècesfaunistiques etfloristiques sur le territoire de la commune dont certaines sont protégées et d’autres menacées et quasi-menacées[25].

Urbanisme

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Typologie

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Au, Royon est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[Insee 1].Elle est située hors unité urbaine[Insee 2]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Fruges, dont elle est une commune de la couronne[Note 7],[Insee 2]. Cette aire, qui regroupe 22 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[Insee 3],[Insee 4].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d’occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (87,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :terres arables (63,8 %), prairies (20,9 %), forêts (9,1 %), zones urbanisées (3,3 %), zones agricoles hétérogènes (2,9 %)[26]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : lacarte de Cassini (XVIIIe siècle), lacarte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

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Carte des royons ou digues en Marquenterre (carte Géologique duBRGM).
Article connexe :Toponymie française.

Le nom de la localité est attesté sous les formesRoyan en 1375 ;Roion en 1474 ;Ryon en 1520 ;Royon en 1559 ;Le Roion en 1584[27] ;Royon en 1793 et depuis 1801[5].

Dans leMarquenterre et les baies deSomme,Authie etCanche, les royons[28],[29] désignaient desdigues construites pour gagner des terres sur la mer qu'on appelait alors « relais de mer , « enclôtures », ou « renclotures »[30].

Ces renclôtures sont à rapprocher despolders desPays-Bas. Sur la carte jointe, elles figurent en rouge avec leur année de création. Leur nom perdure sur les chemins ou routes de la région construites dessus[30].

  • Première mention deRoyon en 893 dans Gallia Christiana[31] : ce document cite comme vingt-et-unième abbé deSaint-Médard deSoissons « XXI. Altamarus comes de Royon inpago Atrebatensi (ou Artois), abbatiam S. Medardi Fulconi remensi archiepiscopo pro Sanvedastina dedit anno 893, quo anno Odo rex anterioraregum dona S. Medardo facta confirmavit praecepto quod habes Diplomaticae pag. 527 » Malheureusement, on ne peut retenir ce document; d'une part parce qu'il est établi que la notion decomté est largement postérieure à l'an mil, et d'autre part parce qu'il fait référence à un autre document publié dansDe re diplomatica qui est un faux connu. Il s'agit d'un acte de Saint-Médard de Soissons daté de l'an 893 dont Robert-Henri Bautier analyse toutes les incohérences. Enfin, quand bien même on tiendrait compte de ce faux, c'est pas le nom de Royon mais bien plus celui deNoyon qui semblerait devoir être retenu[32].
  • 1201 : Roion : « Hugo de Roion vendidit ecclesie vestre ... quartam partem totius ville de Waringheval... » (Arch. Pas-de-Calais, Fonds Rodière),
  • 1256 : Roion, (A. D. Nord, B 918 ):«... Moi Gérard dit de Bosco (du Bois?), seigneur de Roion, je fais savoir à tous ceux à qui ce présent écrit parviendra qu'a été passé entre moi et mon homme lige Robert de Contes une convention précisant que le dit Robert m'a donné et concédé à moi et à mes héritiers tous les droits qu'il avait ou pouvait avoir en matière de dons de gerbes sur le territoire de Roion en échange de douze mesures de terre sises dans le territoire appelé Valois, près des terres de Madame la Comtesse de Bousser et de Messire Henri de Contes, chevalier. Cependant, étant donné que messire Jean de Biez, chevalier, (différent du chevalier de Jérusalem Jean de Biez, dont on parle plus loin et qui vivait en 1570) tient et possède actuellement pour toute sa vie douze journaux de ces terres, j'ai donné en échange au dit Robert, sur le conseil de bonnes et prudentes gens, une compensation suffisante: à savoir la terre dite du champ de Buxi, près du bois de Messire Beaudoin de Créquy et du bois de Messire Henri de Gees (rapport avec le "fond Jean de Hée" à Sains les Fressin?), chevalier, deux mesures de terre près des terres du dit Robert et d'Arnoul dit Grandin (ou Grandet). Le dit Robert ou son héritier tiendront cette compensation tant que le susdit Messire Jean de Biez vivra. Mais quand il arrivera à Messire Jean de Biez, chevalier, de quitter ce siècle, cette compensation reviendra à moi ou à mon héritier, et le dit Robert ou son héritier posséderont ensuite librement et paisiblement, suivant le droit héréditaire, les douze mesures de terre sises sur le territoire de Roion, dans le champ dit Halois. Il ne faut pas passer sous silence que j'ai passé les conventions inscrites ci-dessus en présence de mes hommes liges et du consentement de mon épouse Béatrice et de notre fils héritier Nicolas qui ont bien voulu donner également leur assentiment à ces conventions. Et, pour qu'elles soient convenablement, fidèlement et fermement observées, moi, Gérard, en témoignage de cette affaire, j'ai apposé mon sceau (disparu) en haut de ces présentes lettres et me suis obligé ainsi que mon héritier à en respecter la teneur. Fait en l'an de grâce 1256, le mois de janvier.. ».

Variantes : Château-Royon, Campagne-Royon, Castelroyon, Droyon, La Chaize-Royon, La Chapelle-Royon, La Ferté-Royon, Le Mesnil-Royon, Le Mas-Royon, Montroyon, Le Plessis-Royon, Pont Royon, Port-Royon, Royon le Grand, Royon le Petit, Valroyon, Van Royon, Van Der Royon, Villeroyon.

Histoire

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Royon dépendit dupagus Teruanensis (Thérouanne)[33],[34],[35] dontUnroch III de Frioul fut le premier comte connu (839-853),

La seigneurie de Royon fut fondée en 1259 par lafamille de Créquy ; elle s'éteint rapidement en 1465 à labataille de Montlhéry, et il n'en reste rien de bien établi.

Elle dépendit du diocèse de Thérouanne jusqu'en 1559, puis du diocèse deBoulogne et dudoyenné deFauquembergues, avec succursale àLebiez. Elle relevait du Conseil provincial d'Artois, de l'intendance deLille, subdélégation deHesdin sénéchaussée et recettes deSaint-Pol.

La seigneurie devenue comté (comte) puis marquisat (marquis) depuis 1692, fut un des fiefs de lafamille de Bryas qui y a installé leur sépulture dans l'église (branche des Bryas de Royon). En 1692, la terre de Royon, dite d'un revenu considérable, a unchâteau et 40 fiefs nobles en relèvent[36].

Mention est faite en 1641 d'un lieu-dit 'Roion' devenu 'Royon' en 1804, et actuellement quartier deQuend[37] enMarquenterre.

Les seigneurs de Royon relèvent sur plusieurs générations de lafamille de Bryas, liés auchâteau de Royon. Une dalle funéraire placée dans l'église cf ci-dessus rappelle leur présence sur la commune.

Jean de Bryas,chevalier,seigneur de Royon, lieutenant au gouvernement d'Hesdin, et d'Anne de Dion.

Louis de Bryas (1665-1698), seigneur de Royon, bénéficie en avril 1692 de l'érection en marquisat, par lettres données à Versailles, de la terre de Royon. Il est à cette date député ordinaire des États d'Artois. Il tire son nom de la terre de Brias, érigée en comté depuis longtemps. Il est membre de lafamille de Bryas, où il figure sous le nom de Louis Joseph de Bryas[36].

D'après l'historien françaisAuguste de Loisne :« Royon (érection en marquisat de 1692) faisait partie de lasénéchaussée deSaint-Pol en 1789 et suivait lacoutume d'Artois. Son église, d’aborddiocèse de Thérouanne, puis deBoulogne,doyenné de Fauquembergues, secours de Lebiez, était consacrée à saint Germain[38]. »

Politique et administration

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La mairie.

Découpage territorial

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Article connexe :Arrondissements du Pas-de-Calais.

La commune se trouve dans l'arrondissement de Montreuil dudépartement duPas-de-Calais[Insee 5].

Commune et intercommunalités

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Article connexe :Liste des intercommunalités du Pas-de-Calais.

La commune est membre de lacommunauté de communes du Haut Pays du Montreuillois qui regroupe 49 communes et totalise 15 703 habitants en 2021[Insee 5].

Circonscriptions administratives

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Articles connexes :Redécoupage cantonal de 2014 en France,Liste des cantons du Pas-de-Calais,Conseil départemental du Pas-de-Calais etListe des conseillers départementaux du Pas-de-Calais.

La commune est rattachée aucanton de Fruges[Insee 5].

Circonscriptions électorales

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Articles connexes :Liste des circonscriptions législatives du Pas-de-Calais etListe des députés du Pas-de-Calais.

Pour l'élection des députés, la commune fait partie de laquatrième circonscription du Pas-de-Calais[39].

Élections municipales et communautaires

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Articles connexes :Élections municipales de 2020 dans le Pas-de-Calais,Histoire des maires de France etNomination des maires sous la Troisième République française.

Liste des maires

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Ludovic-Stanislas-François, baron de Hauteclocque, fils de Stanislas-François-Joseph et de Rosalie-Gabrielle de Beugny d'Hagerue, né à Arras le, mort à Lille le, a été maire de Royon[40].

Liste des maires successifs
PériodeIdentitéÉtiquetteQualité
Les données manquantes sont à compléter.
  Baron Ludovic de Hauteclocque Propriétaire duchâteau de Royon
  Baron Hugues de Hauteclocque Propriétaire duchâteau de Royon
19459 octobre 1981BaronBaudouin de Hauteclocque[41]RIAgriculteur
Propriétaire duchâteau de Royon
Conseiller général ducanton de Fruges(1958-1981)
Sénateur duPas-de-Calais(1965-1981)
Décédé en fonction
1981mai 2020Baron Sergede Hauteclocque
(neveu du précédent)
UMPRetraité
Propriétaire duchâteau de Royon
Réélu pour le mandat 2014-2020[42],[43],[44]
mai 2020en cours
(au 4 avril 2022)
Jean-marie Cornuel Ancien cadre[45],[46],[47]

Équipements et services publics

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Population et société

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Démographie

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Les habitantssont appelés lesRoyonnais[48].

Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[49]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[50].

En 2022, la commune comptait 127 habitants[Note 8], en évolution de −4,51 % par rapport à 2016 (Pas-de-Calais : −0,72 %,France horsMayotte : +2,11 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
179318001806182118311836184118461851
258257306266253254263283250
Évolution de la population  [ modifier ], suite (1)
185618611866187218761881188618911896
222225234231220219228246210
Évolution de la population  [ modifier ], suite (2)
190119061911192119261931193619461954
213210203176188186189164176
Évolution de la population  [ modifier ], suite (3)
196219681975198219901999200620072012
153133135127117103115117128
Évolution de la population  [ modifier ], suite (4)
20172022-------
135127-------
De 1962 à 1999 :population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes :population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[5] puisInsee à partir de 2006[51].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à30 ans s'élève à 36,3 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à60 ans est de 25,9 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait74 hommes pour62 femmes, soit un taux de 54,41 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,50 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[Insee 6]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
3,2 
4,1 
75-89 ans
11,3 
19,2 
60-74 ans
14,5 
20,5 
45-59 ans
24,2 
15,1 
30-44 ans
16,1 
16,4 
15-29 ans
11,3 
24,7 
0-14 ans
19,4 
Pyramide des âges du département duPas-de-Calais en 2021 en pourcentage[52]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,6 
75-89 ans
8,9 
16,7 
60-74 ans
18,1 
20,2 
45-59 ans
19,2 
18,9 
30-44 ans
18,1 
18,2 
15-29 ans
16,2 
19,9 
0-14 ans
17,9 

Économie

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Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Vues extérieures :
Vues intérieures :
L'église Saint-Germain abrite plusieurs pièces dont la plupart sont classéesmonuments historiques au titre des objets[54].
Les vitraux du chœur ont été réalisés à Lille par le maître verrier Largillier en 1953.
  • Saint Antoine
    Saint Antoine
  • Saint Germain
    Saint Germain
  • Le souterrain. La tradition écrite et orale rapporte la notion d'un souterrain non retrouvé allant du château à Fressin[56],[57],[58],[59],[60].
  • Lemonument aux morts de Royon est situé à proximité de l'église Saint-Germain[61].
Le monument aux morts.
  • L'arbre (de la Révolution) sur la route de Royon à Sains-les-Fressins.

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Article connexe :Armorial des communes du Pas-de-Calais.
Blason de RoyonBlason
D'argent à la croix de gueules chargée en cœur d'une coquille d'or et cantonnée de quatre coquilles de gueules[62].
Détails
Armes, modifiées, de lafamille de Hauteclocque, toujours existante et représentée dans la commune.

Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir

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Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes

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  1. Accès au lien de l'article Wikipédia de la commune limitrophe en cliquant sur celle-ci.
  2. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  3. Les records sont établis sur la période du au.
  4. La DREAL distingue, dans la régionNord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d'interface. Ces grandes familles de paysages comprennent21 grands paysages régionaux.
  5. Les ZNIEFF detype 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  6. Les ZNIEFF detype 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  8. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
  9. Ce dossier de l’Insee reprend, pour la commune, le Code Officiel Géographique, le découpage territorial, l'intercommunalité, les zonages d’études, le dossier complet de la commune, un comparateur de territoires, les données statistiques et les définitions des termes géographiques (zonages administratifs, d’étude, etc.).
  10. "Remonter le temps" est un outil de comparaison de l’évolution de l’occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes :carte de Cassini (XVIIIe siècle),carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.

Cartes

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Références

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