Movatterモバイル変換


[0]ホーム

URL:


Aller au contenu
Wikipédial'encyclopédie libre
Rechercher

Royaume de Sardaigne (1720-1861)

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Page d’aide sur l’homonymie

Pour les articles homonymes, voirRoyaume de Sardaigne.

Page d’aide sur l’homonymie

Ne doit pas être confondu avecRoyaume de Sardaigne (1324-1713) ouRoyaume de Sardaigne (1713-1720).

Royaume de Sardaigne (États du roi de Sardaigne)
Regno di Sardegna

17201861
(141 ans)

Drapeau
Drapeau du royaume de Sardaigne (1816-1848).
Blason
Armoiries du royaume de Sardaigne (1833-1848).
DeviseFERT
HymneS'hymnu sardu nationale
Marcia Reale
Description de cette image, également commentée ci-après
Le royaume de Sardaigne après 1815.
Informations générales
StatutMonarchie absolue puisMonarchie constitutionnelle (1848)
CapitaleSardaigne :Cagliari (1720-1847) puisTurin (1847-1861) ;États sardes de terre-ferme :Turin (1720-1798, 1814-1861)
Langue(s)

Officielles :
français enSavoie etVal d'Aoste ;
italien dans le reste du Royaume

Parlées :
arpitan (savoyard etvaldôtain),français,italien,ligure,occitan (niçois,vivaro-alpin),piémontais,sarde etcorse
ReligionCatholicisme romain
MonnaieScudo sarde (1750-1816)
Scudo piémontais
Lire sarde

Démographie
GentiléSardes, Piémonto-Sardes
Histoire et événements
2 août 1718Traité de Londres signé par laQuadruple-Alliance et applicable en 1720 :Charles VI du Saint-Empire cède le royaume deSardaigne àVictor-Amédée II de Savoie en échange de celui de laSicile. Les « États de Savoie » deviennent les « États de terre ferme » du royaume.
24 août 1720Guerre de la Quadruple-Alliance : nouvel échec de l'Espagne.Paix de La Haye : acquisition effective du royaume de Sardaigne par les ducs de Savoie.
1796-1797Invasion française : victoire deNapoléon Bonaparte surVictor-Amédée III.
20 juin 1799
2 Messidor an VII
Les troupes austro-russes reconquièrent lePiémont et rétablissentCharles-Emmanuel IV de Savoie sur son trône, mais un an après, les Français occupent à nouveau Turin et créent laRépublique subalpine.
11 septembre 1802
24 fructidor an X
LePiémont est annexé à la France, par suppression de la République subalpine.
30 mai 1814Traité de Paris : première abdication deNapoléon Ier. La Maison de Savoie est rétablie dans ses droits.
9 juin 1815Finalisation ducongrès de Vienne : récupération duPiémont, deNice et de laSavoie et obtention deGênes et de laLigurie pour constituer unÉtat tampon contre la France.
1821Mouvement révolutionnaires libéraux : prémices de l'unification italienne (« Risorgimento »).
1848Printemps des peuples : mouvements révolutionnaires en Europe.
4 mars 1848Le roiCharles-Albert de Sardaigne concède une constitution au peuple italien : le « Statut albertin ».
23-26 mars 1848Première guerre d'indépendance italienne : échec contre l'Autriche.
10 novembre 1859Deuxième guerre d'indépendance italienne : victoire franco-sarde contre l'Autriche.Traité de Zurich : annexion de laLombardie.Traité de Turin : cession de laprovince d'Annecy, de laprovince de Chambéry et de l'arrondissement de Nice à la France.
22 mars 1860Annexion desProvinces-Unies d'Italie centrale (grand-duché de Toscane, duchés deParme et deModène) par plébiscite.
mai - octobre 1860Expédition des Mille : victoire garibaldienne, annexion duroyaume des Deux-Siciles.
17 mars 1861Le « royaume de Sardaigne » devient « royaume d'Italie ».
Roi
(1er)1720-1730Victor-Amédée II de Savoie
(Der)1849-1861Victor-Emmanuel II de Savoie

Entités précédentes :

Entités suivantes :

modifier -modifier le code -voir Wikidata(aide)

Leroyaume de Sardaigne (enitalien :Regno di Sardegna) – officiellementÉtats du roi de Sardaigne jusqu'en 1847[1] – est unÉtateuropéen ayant existé de1720 à1861. Plus précisément, il s'agit de la dénomination et de la forme qu'ont pris lesÉtats de la maison de Savoie à partir de l'échange de l'île deSicile pour celle deSardaigne, jusqu'à la fondation duroyaume d'Italie. En effet, le titre deroi de Sardaigne est obtenu par lesducs de Savoie contre la cession forcée duroyaume de Sicile à l'Autriche en1720, conséquence dutraité de Londres et de lapaix de La Haye[2]. Le royaume de Sardaigne est à l’origine de la création du royaume d'Italie lors duRisorgimento et donc de l'Italie moderne.

Les limites du territoire du royaume de Sardaigne ont sensiblement varié au cours de son histoire. Initialement, il rassemble l'île de Sardaigne ainsi qu'un territoire continental, nommé lesÉtats sardes de terre-ferme, comprenant laSavoie, lePiémont, laVallée d'Aoste et lecomté de Nice. Les États sardes de terre-ferme font partie duSaint-Empire romain germanique jusqu'à leur conquête par laPremière République lors desguerres de la Révolution française[3]. Le territoire du Royaume est alors réduit à la seule île de Sardaigne. À la suite ducongrès de Vienne de1815, il retrouve sa partie continentale, en plus d’annexer laRépublique ligurienne. Le territoire national reste ensuite stable jusqu’en1859, moment à partir duquel se font l’annexion de laLombardie, desProvinces-Unies d’Italie centrale et duroyaume des Deux-Siciles, ainsi que la cession à laFrance de laprovince d'Annecy, de laprovince de Chambéry et de la majorité de l'arrondissement de Nice.

Dans l'historiographiefrançaise, le royaume de Sardaigne est souvent désigné sous le nom deroyaume de Piémont-Sardaigne, en raison du poids politique qu'occupe sa capitalede facto qui étaitTurin, située dans laprincipauté de Piémont. En effet, la traduction de l'italienregno sabaudo-sardo serait plutôt « sardo-savoisien » (d’après la dynastie régnante, par distinction avec leroyaume espagnol de Sardaigne antérieur). Après 1815, l'appellation d'usage enfrançais pour désigner lesÉtats de Savoie était « États sardes » (enitalien :Stati sardi), notamment en géographie[4], en commerce[5], en diplomatie[6] et dans la presse[7].

Histoire

[modifier |modifier le code]

Période pré-Savoie : du Moyen Âge auXVIe siècle

[modifier |modifier le code]

LeRegnum Sardiniæ et Corsicæ (« royaume deSardaigne et deCorse ») est créé le par lepapeBoniface VIII[8] afin de résoudre les conflits entre les maisons d'Anjou et d'Aragon au sujet duroyaume de Sicile, conflits déclenchés par les fameusesVêpres siciliennes, révolte populaire contre la domination féodale. C'est donc un royaume de compensation, attribué àJacques IIle Juste d'Aragon.

La Sardaigne reste toutefois soumise à de puissants seigneurs portant le titre dejudex (« juge », d'où le nom de « judicats » donné aux quatre principales principautés installées sur l'île depuis la fin de l'Empire byzantin), elles-mêmes sous l'influence des cités dePise et deGênes. En1323, Jacques II forme une alliance avec lejuge d'Arborée, d'origine catalane, et la ville deSassari, et contrôle les judicats deCagliari et deGallura, éliminant de l'île les Pisans. Le contrôle royal n'est toutefois définitif qu'au début duXVe siècle, quandMartinle Jeune,roi de Sicile et procureur deSardaigne pour le compte de son père leroi d'AragonMartinle Vieux, défait les derniersjuges d'Arborée, dontÉléonore d'Arborée, célèbre pour sa novatricecharte appeléeCarta de Logu (it), et achète les droits sur le royaume. LaCorse n'est pas conquise et les rois d'Aragon cessent d'y prétendre en1479, après que la mentionet Corsicæ est retirée de l'appellation officielle du royaume. LaSardaigne, rattachée à lacouronne d'Aragon, passe avec cette dernière dans lamonarchie espagnole auXVIe siècle.

XVIIIe siècle : attribution à la maison de Savoie

[modifier |modifier le code]

Le royaume reste dépendant de l'Espagne jusqu'à laguerre de Succession d'Espagne, qui se termine en1714, date à laquelle il passe dans les possessions desHabsbourg deVienne, qui l'échangent en1718 contre la Sicile avec le duc deSavoie. Lapaix de La Haye en 1720 confirme la défaite espagnole[9]. Les ducs deSavoie portent le titre de « roi de Sardaigne » depuis le jusqu'à laproclamation du royaume d'Italie le[9].

La Révolution française de 1789

[modifier |modifier le code]

Le, le « ci-devantduché de Savoie » est incorporé à la République française et constitué en « un84edépartement, sous le nom de département duMont-Blanc ».

Le, c'est au tour du « ci-devantcomté de Nice » d'être incorporé à la République. Le, il est constitué en « un85e département, sous le nom d'Alpes-Maritimes ». Le, la « ci-devantprincipauté de Monaco » est à son tour incorporée audépartement desAlpes-Maritimes.

En janvier et février1793 a lieu l'invasion de l'île de Sardaigne par laFrance révolutionnaire, qui mène à un échec àCagliari et deux défaites françaises, une àLa Maddalena et l'autre près deQuartu Sant'Elena.

Golfe de Cagliari, carte de 1735

À la suite de ces victoires, les noblessardes formulent plusieurs requêtes au roi. Mais à la suite de son refus le une rébellion éclate, qui a d’abord pour conséquence d’expulser les fonctionnaires savoyards de Cagliari. Au retour du vice-roi, les seigneurs du nord de l'île, notamment ceux deSassari, exploitent l'occasion pour réclamer l'autonomie du Sud. Alors que les nobles de Cagliari suscitent la révolte populaire dans le Nord et que sous la menace qu'elle ne dégénère, les Savoie décident d'envoyerGiovanni Maria Angioy, un officier qui avait déjà battu les Français, avec le titre de « Alternos » c'est-à-dire représentant du vice-roi, à Sassari. Angioy essaye en vain de réconcilier les différentes factions, mais en étant conscient de l'absence de soutien de Cagliari et du gouvernement, tente de convaincre les Français d'annexer l'île.

Victor-Amédée III est battu parNapoléon Bonaparte en1796[9]. L’arrivée des troupes françaises au Piémont fait apparaître une révolte piémontaise républicaine. Avec l’armistice de Cherasco (), Victor-Amédée III perd ses possessions auPiémont et meurt peu après. Son filsCharles-Emmanuel IV de Sardaigne, époux deClotilde de France, sœur du défuntLouis XVI, lui succède.

En Sardaigne, Giovanni Maria Angioy, ayant perdu tout espoir d'un soutien extérieur français après l'armistice de Cherasco, essaye alors de provoquer une révolte anti-féodale et de fonder une république sarde, mais est abandonné par la majorité de ses partisans près d’Oristano, le roi ayant accepté les demandes formulées en1794. Angioy se trouvant sans partisans s'enfuit àParis.

Le trône de Cagliari et les Français à Turin

[modifier |modifier le code]

Le est constituée àTurin laRépublique piémontaise, reconnue par les Français qui avaient occupé la ville. La famille de Savoie, avec toute la cour, se réfugie àCagliari, qui devient l'unique capitale du royaume jusqu'à la restitution définitive desÉtats de terre-ferme. Le, les troupes austro-russes reconquièrent Turin et rétablissent Charles-Emmanuel IV sur son trône, mais un an après, les Français occupent à nouveau Turin et créent laRépublique subalpine.

Cette république émet des monnaies selon lesystème décimal adopté pour lefranc français — ce qui sera à l'origine de l'Union latine (une union monétaire). Plus précisément fut émise une monnaie en or de 20 francs pour commémorer labataille de Marengo.

Le (24fructidoran X), leSénat français prend un « sénatus-consulte organique, portant réunion desdépartements du Pô, de laDoire, deMarengo, de laSésia, de laStura et duTanaro au territoire de la République française ». Le Piémont est ainsi annexé à la France, par suppression de laRépublique subalpine.

La Restauration

[modifier |modifier le code]
Les dix provinces du royaume de Piémont-Sardaigne (1839).

Par letraité de Paris, le, laMaison de Savoie est rétablie dans ses droits. Le, avec lecongrès de Vienne,Gênes et laLigurie sont annexées au royaume, de façon à constituer unÉtat tampon, appelé royaume de Piémont-Sardaigne dans les documents officiels français jusqu'en 1861[10], capable de s'opposer à la France.

Charles-Emmanuel IV de Sardaigne ayant abdiqué à la mort de sa femme pour se retirer dans un cloître, son frère et successeur,Victor-EmmanuelIer de Sardaigne, mène une politique conservatrice. Il est obligé d'abdiquer, à la suite des mouvements révolutionnaires libéraux de1821, prémices duRisorgimento, en faveur de son frèreCharles-Félix ; celui-ci n'est pas moins conservateur que ses prédécesseurs ; il meurt sans descendance en1831. La couronne passe à labranche de Savoie-Carignan, en la personne deCharles-Albert, libéral, qui concède une constitution, leStatut albertin, à la suite desmouvements insurrectionnels de 1848[9].

La même année, Charles-Albert entre en conflit armé avec l'Autriche. Après quelques succès initiaux, la guerre est défavorable aux Savoie et Charles-Albert est contraint d'abdiquer en faveur de son filsVictor-Emmanuel II de Savoie, le, qui continue, avec l'aide de son Premier ministreCavour, le processus d'unification de l'Italie à son profit.

La population du royaume, en1838, se compose de 4 650 368 individus dont 524 633 sur l'île deSardaigne[11].

Vers le royaume d'Italie

[modifier |modifier le code]
Article détaillé :Campagne d'Italie (1859).

Pendant laguerre de Crimée, de 1853 à 1856, provoquée par l'expansionnisme russe et la crainte de l'effondrement de l'Empire ottoman, le royaume de Sardaigne participe à la coalition formée de l'Empire ottoman, de l'Empire français et du Royaume-Uni contre l'Empire russe.

Avec le soutien de la France deNapoléon III, le royaume de Savoie-Sardaigne s'engage dans une nouvelle guerre contre l'Autriche qui aboutit, en1860, à la conquête militaire suivie de plébiscites et, malgré le retrait de la France, à l'unification duroyaume d'Italie par l'intégration deMilan,Modène,Parme, de laToscane, deNaples et de la Sicile, de l'Ombrie et desMarches ; seules manquent encore à l'appelVenise etRome. L'unification de Naples et de la Sicile est en grande partie l'œuvre de l'expédition des Mille organisée parGiuseppe Garibaldi qui est, avecCamillo Cavour, un des grands protagonistes de l'unité italienne[9].

DélaissantTurin, désormais excentrée,Victor-Emmanuel II installe sa cour et son gouvernement àFlorence (en1865) et le, le royaume de Sardaigne change définitivement son nom en royaume d'Italie. Seuls leLatium avecRome, sous la souveraineté dupape et la protection des troupes françaises ainsi que laVénétie (sous domination autrichienne) ne rejoignent pas le royaume.

En1866, à la suite de sa défaite après laguerre austro-prussienne, l'Autriche donne, par letraité de Vienne, laVénétie à laFrance, qui la cède aussitôt à l'Italie après unplébiscite auprès de la population.

La chute duSecond Empire français, en1870, voit le départ des troupes françaises et la conquête desÉtats pontificaux par l'Italie. Après laprise de Rome, celle-ci devient alors la capitale duroyaume d'Italie.

Territoire

[modifier |modifier le code]

Le royaume de Sardaigne comprenait :

Évolution territoriale de l'Italie de 1796 à 1860

[modifier |modifier le code]

Politique

[modifier |modifier le code]

Les présidents du Conseil des ministres du royaume de Sardaigne

[modifier |modifier le code]
ImagePeriodeNom
Cesare Balbo
(1789-1853)
Gabrio Casati
(1798-1873)
Cesare Alfieri di Sostegno
(1799-1869)
Hector Perron de Saint-Martin
(1789-1849)
Vincenzo Gioberti
(1801-1852)
Agostino Chiodo
(1791-1861)
Claude Gabriel de Launay
(1786-1850)
Massimo d'Azeglio
(1798-1866)
Massimo d'Azeglio
(1798-1866)
Camillo Cavour
(1810-1861)
Alfonso Ferrero La Marmora
(1804-1878)
Camillo Cavour
(1810-1861)

Chronologie depuis 1848

[modifier |modifier le code]

Drapeaux et blasons

[modifier |modifier le code]
  • Blasons
  • Blason de 1720 à 1815.
    Blason
    de 1720 à 1815.
  • Blason de 1815 à 1831.
    Blason
    de 1815 à 1831.
  • Blason de 1831 à 1848.
    Blason
    de 1831 à 1848.
  • Blason de 1848 à 1861.
    Blason
    de 1848 à 1861.
  • Drapeaux
  • Drapeau de 1718 - jusqu'à la fin du XVIII.
    Drapeau
    de 1718 - jusqu'à la fin duXVIII.
  • Drapeau de la marine marchande de 1799 à 1802.
    Drapeau de la marine marchande
    de 1799 à 1802.
  • Drapeau de 1783 à 1802.
    Drapeau
    de 1783 à 1802.
  • Drapeau jusqu'en 1848.
    Drapeau
    jusqu'en 1848.
  • Drapeau de 1848 à 1851.
    Drapeau
    de 1848 à 1851.
  • Drapeau de 1851 à 1861.
    Drapeau
    de 1851 à 1861.

[12]

Notes et références

[modifier |modifier le code]
  1. FederigoSclopis, "Storia della legislazione negli Stati del Re di Sardegna dal1814 al 1847", Turin (1860)
  2. Henri Menabrea,Histoire de la savoie,, 391 p.
  3. (en) Robert John Weston Evans et Peter Harmish Wilson,The Holy Roman Empire, 1495-1806, Brill,, 401 p.(ISBN 9789004206830,lire en ligne),p. 192-194
  4. Jean-LéopoldCot,Dictionnaire de la législation des états sardes..., Puthod,(lire en ligne).
  5. Dictionnaire universel théorique et pratique du commerce et de la navigation : A - G, Guillaumin,(lire en ligne).
  6. Bibliothèque universelle revue suisse et étrangère, Bureau de la Bibliothèque universelle,(lire en ligne).
  7. JournalL'Écho des Alpes maritimes, Nice, 1848-1850.
  8. Christophe Roux,Corse française et Sardaigne italienne : Fragments périphériques de construction nationale, Paris,L'Harmattan,coll. « Logiques politiques »,1er mai 2014, 228 p.(ISBN 978-2-336-30255-3,lire en ligne).
  9. abcd ete(it) Dino Carpanetto, « Regno di Sardegna », surtreccani.it,(consulté le).
  10. « TURIN (légation auprès du royaume de Piémont-Sardaigne) », surhttps://francearchives.gouv.fr(consulté le).
  11. Royale Commission supérieure des statistiques 1839.
  12. Roberto Breschi,Sardegna

Voir aussi

[modifier |modifier le code]

Bibliographie

[modifier |modifier le code]

Articles connexes

[modifier |modifier le code]

Liens externes

[modifier |modifier le code]
v ·m
DuRisorgimento à aujourd'hui
L'unité italienne
Anciens États
Risorgimento
Personnalités




Royaume d'Italie
Événements
& mouvements
Personnalités
Italie fasciste
Événements
& mouvements
Personnalités
Première République italienne
Événements
& mouvements
Personnalités
Deuxième République italienne
Événements
& mouvements
Personnalités
Voir aussi :Portail de l'Italie
v ·m
Principaux états
Autres
Ce document provient de « https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Royaume_de_Sardaigne_(1720-1861)&oldid=229351920 ».
Catégorie :
Catégories cachées :

[8]ページ先頭

©2009-2025 Movatter.jp