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| Roxana Maracineanu | |
Roxana Maracineanu en 2018. | |
| Fonctions | |
|---|---|
| Ministre déléguée chargée des Sports | |
| – (1 an, 10 mois et 14 jours) | |
| Président | Emmanuel Macron |
| Premier ministre | Jean Castex |
| Ministre | Jean-Michel Blanquer |
| Gouvernement | Castex |
| Prédécesseur | Elle-même(ministre) |
| Successeur | Amélie Oudéa-Castéra(ministre) |
| Ministre des Sports | |
| – (1 an, 10 mois et 2 jours) | |
| Président | Emmanuel Macron |
| Premier ministre | Édouard Philippe |
| Gouvernement | PhilippeII |
| Prédécesseur | Laura Flessel |
| Successeur | Jean-Michel Blanquer |
| Conseillère régionale d'Île-de-France | |
| – (5 ans, 9 mois et 5 jours) | |
| Élection | 21 mars 2010 |
| Circonscription | Hauts-de-Seine |
| Biographie | |
| Nom de naissance | Roxana Mărăcineanu |
| Date de naissance | (50 ans) |
| Lieu de naissance | Bucarest (Roumanie) |
| Nationalité | Roumaine Française(depuis 1991)[1] |
| Parti politique | PS(2010-2015) SE |
| Diplômée de | ESCP Business School Université de Haute-Alsace |
| Profession | Nageuse |
| Ministres français chargé des Sports | |
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Roxana Maracineanu (roumain :Roxana Mărăcineanu), née le àBucarest (Roumanie), est unenageuse etfemme politiquefranco-roumaine.
Spécialiste des épreuves de dos, elle devient, enjanvier 1998 à Perth, la première championne du monde de l'histoire de la natation française en s'imposant sur le 200 mètres dos, puis remporte la médaille d'argent sur la même distance lors desJeux olympiques de Sydney en 2000. Elle s'adjuge également un titre européen lors deschampionnats d'Europe de 1999 et compte trois autres médailles européennes.
Après sa carrière sportive, elle devient consultante à la radio surEurope 1 et à la télévision au sein du groupeFrance Télévisions.
Elle entre en politique en 2010 avec leParti socialiste en étant élueconseillère régionale d'Île-de-France, mandat qu’elle occupe jusqu’en 2015.
En septembre 2018, elle est nomméeministre des Sports, succédant àLaura Flessel dans legouvernement Édouard PhilippeII. Le, elle devientministre déléguée aux Sports, au sein d'un grand ministère réunissant Education nationale, Jeunesse et Sports aux côtés de Jean-Michel Blanquer dans legouvernement Castex. Elle quitte ses fonctions en à la fin du mandat.
Pour lesélections législatives de 2022, elle est investie par la majorité présidentielle dans laseptième circonscription du Val-de-Marne, mais est battue de 177 voix au second tour par la candidate LFIRachel Keke.
Roxana Emilia Maracineanu naît le àBucarest enRoumanie du mariage de Vasile Maracineanu, ingénieur en bâtiment, et de Elena Basarabeanu, technicien projeteur[2].
Elle pratique dans son enfance lagymnastique[3]. Son père, grâce à un contrat de coopérant, part travailler enAlgérie, emmenant sa femme et son fils mais Roxana est contrainte de rester deux années au pays par les autorités pour éviter l'exil de toute la famille. A la faveur de vacances scolaires, Roxana Maracineanu est autorisée à rejoindre ses parents en Algérie. Bien qu'ils soient surveillés par laSecuritate, les services secrets roumains[4], les membres de la famille parviennent à quitter l'Algérie sur un ferry nommé "Liberté" qui les conduit àMarseille[3]. Arrivés enFrance en 1984, ils demandent l'asile à l'OFPRA et sont envoyés pour quelques mois àRiec-sur-Bélon dans un centre de transit[5]. Roxana Maracineanu apprend le français àBlois[3] et effectue ses études secondaires aucollège Augustin-Thierry[6], puis au collège Jean-Macé deMulhouse[7]. Elle est naturalisée française en 1991 à l'âge de 16 ans alors qu'elle est déjà une pépite de la natation française.
Après des études secondaires au collège Jean-Macé puis au lycée Montaigne de Mulhouse, elle poursuit des études supérieures à l'Université de Haute-Alsace où elle obtient une maîtrise de sciences et techniques en traduction et documentation scientifique[2]. Elle parle cinq langues[8]. Elle sera ensuite diplômée de l'ESCP.
Roxana Maracineanu vit avec Franck Ballanger, journaliste àFrance Inter. Le couple a trois enfants, nés entre 2009 et 2016[9]. Ce dernier a respecté lajurisprudence Anne Sinclair lors de sa nomination, par déolontologie, et s'est mis en retrait du service des sports où il officiait pour éviter les conflits d'intérêts.
| Roxana Maracineanu | |||||||||||||
| Informations | |||||||||||||
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| Nages | Dos | ||||||||||||
| Période active | 1991-2004 | ||||||||||||
| Nationalité | |||||||||||||
| Naissance | Bucarest | ||||||||||||
| Taille | 1,65 m | ||||||||||||
| Club | Mulhouse Olympic Natation | ||||||||||||
| Entraîneur | Lionel Horter | ||||||||||||
| Records | |||||||||||||
| Grand bassin | • 50 m dos :29 s 61 • 100 m dos :1 min 1 s 10 • 200 m dos :2 min 10 s 25 | ||||||||||||
| Palmarès | |||||||||||||
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Représentant leMulhouse Olympic Natation dont l'entraîneur estLionel Horter, elle obtient ses premiers titres dechampionne de France sur100 mètres et200 mètres en 1991 lors des championnats d'été[N 1]. Elle obtient de nouveau les titres du 100 mètres en été 1992, en 1994 lors des deux éditions, en hiver 1995, et du 200 mètres en hiver 1993 et en hiver 1995.Hélène Ricardo domine ensuite la spécialité et représente la France auxJeux olympiques de 1996 àAtlanta où la France n'obtient aucune médaille en natation.
ÀSéville, lors deschampionnats d'Europe 1997, elle est devancée par l'AllemandeAntje Buschschulte sur le 100 mètres dos[10] et termine troisième sur le 200 mètres dos, derrière les AllemandesCathleen Rund et Antje Buschschulte.
Lors desmondiaux de 1998 àPerth, elle commence sa compétition par une sixième place lors du 100 mètres dos, course remportée par l'AméricaineLea Maurer. Avant la finale du 200 mètres, son entraîneur Lionel Horter lui assure que si elle est en tête aux 150 mètres, elle remportera la course[3]. Première devant l'AllemandeDagmar Hase, elle devient la première française championne du monde de natation[11],[12].
En 1999, elle obtient des résultats décevants lors des championnats de France, puis souffre d'une angine à son arrivée àIstanbul où se déroulent leschampionnats d'Europe[13]. Sa première épreuve est le 200 mètres. Elle s'impose avec plus d'une seconde sur ses concurrentes, la RusseYulia Fomenko (en) et l'Allemande Cathleen Rund[13]. Elle devient ainsi la première championne d'Europe française depuisCatherine Plewinski en 1993[13],[14]. Elle remporte ensuite une deuxième médaille, de bronze, sur le 100 mètres, course remportée par l'AllemandeSandra Völker devant l'EspagnoleNina Zhivanevskaya.
Championne de France àRennes sur 100 et 200 mètres dos, elle décide de faire l'impasse sur lesChampionnats d'Europe 2000 d'Helsinki[15], où Nina Zhivanevskaya remporte les trois distances du dos. Celle-ci figure parmi les favorites de la première course de la discipline du dos auxJeux olympiques de 2000 àSydney, avec une Roumaine de seize ans,Diana Mocanu, et la JaponaiseMai Nakamura[16]. C'est finalement Mocanu qui s'impose, devant la Japonaise et l'Espagnole, Roxana Maracineanu terminant quatrième[16]. Quatre jours plus tard, Maracineanu part rapidement et est en tête après les100 premiers mètres, mais Mocanu accélère sur la deuxième partie de la course, dépasse toutes ses concurrentes pour s'imposer avec deux secondes d'avance sur la Française[17],[18],[19]. C'est la seule médaille en natation pour la délégation française.
L'année suivante, après l'échec d'Atlanta,Claude Fauquet, directeur de l'équipe de France de natation puis directeur technique national à partir de 2001, décide de mettre en place une politique exigeante en termes de sélections, basée sur des mimimas[20]. Roxana Maracineanu ne satisfait pas à ceux-ci pour trois centièmes, et Claude Fauquet ne la sélectionne pas pour lesmondiaux de 2001 àFukuoka[20]. D'abord désavoué par le comité directeur de la Fédération, il obtient gain de cause après avoir menacé de démissionner[20]. La délégation est finalement composée de cinq nageurs[20].
En 2002, elle fait partie des quinze nageurs retenus pour leschampionnats d'Europe deBerlin[21]. Elle a pour ambition de retrouver une place sur les podiums[22]. Elle termine huitième du 200 mètres, dans le temps de2 min 12 s 58 soit moins d'une seconde du temps de la troisième (2 min 11 s 59)[23]. Sur le 100 mètres, elle termine sixième de la finale, dans le temps de1 min 2 s 62, à un peu plus d'une seconde de la troisième[23]. Elle dispute également le 50 mètres où elle est éliminée en demi-finale avec le quinzième temps[23]. Son échec est alors mis sur l'incompatibilité de mener des grandes études et une carrière d'athlète de haut niveau[23]. Lors deschampionnats de France 2003, elle échoue à obtenir sa qualification pour lesmondiaux 2003 deBarcelone : elle termine deuxième du 100 mètres puis est championne de France du 200 mètres, mais elle ne réalise pas les minima, son temps des demi-finales, à 88 centièmes des minima la prive de qualification[24]. Comme deux ans auparavant, elle n'est pas repêchée par Claude Fauquet[25] malgré les polémiques[26].
Bien quechampionne de France du 200 mètres, elle ne réalise pas les minima pour lesJeux olympiques d'Athènes. Lors de sa dernière possibilité pour obtenir une place dans la délégation française pour les Jeux, au cours deschampionnats d'Europe deMadrid disputés trois semaines plus tard, elle termine quatrième de la finale, mais dans le temps de2 min 14 s 28, soit au-delà des minima fixés à2 min 12 s 78[27].
En, elle annonce mettre un terme à sa carrière sportive[28], deux mois après le triomphe deLaure Manaudou sur 400 mètres auxJeux olympiques d'Athènes. La championne du monde 1998 a clairement inspiré la nouvelle star de la natation française : celle-ci avait envoyé une lettre à son idole alors qu'elle était enfant[29].
En, à l'occasion deschampionnats du monde de natation deMelbourne (Australie), elle est consultante pourFrance Télévisions aux côtés d'Alexandre Boyon et deMichel Rousseau, et pourL'Équipe TV. Depuis lesJeux olympiques de Pékin en 2008, elle est à nouveau consultante sur le groupe public et surEurope 1. Elle renouvelle cette collaboration pour lesmondiaux 2009 de Rome[30], lesmondiaux en petit bassin de 2010 à Dubaï[31], leschampionnats d'Europe 2010 de Budapest[32], lors desJeux olympiques de 2012 à Londres[33].
Lors deschampionnats d'Europe 2014, c'estFrédérick Bousquet, blessé, qui assure un rôle de consultant auprès de Roxana Maracineanu, Alexandre Boyon etNelson Monfort[34]. Pour la compétition majeure suivante, lors desmondiaux 2015 deKazan, le groupe France Télévisions, désireux de reformer le duoPhilippe Lucas etLaure Manaudou, ne reconduit pas le contrat de Maracineanu[35].
Avec la démission deLionel Horter, démissionnaire du poste dedirecteur technique national (DTN), laFédération française de natation (FFN) fait un appel à candidature auquel elle répond[36]. En 2015, elle figure, avec Jacques Favre et Philippe Hellard, parmi les trois derniers candidats d'une liste établie par le ministère des Sports. Le poste est finalement attribué à Jacques Favre[37],[38].
Elle prend part au programme « Bien manger, c'est bien joué ! » lancé en 2005 par laFondation du sport. Elle participe également à la réalisation de vidéos adressées aux jeunes sportifs pour leur apprendre les bases d'une alimentation adaptée à l'effort physique, dans le cadre d'un programme de la Fondation du sport sensibilisant les enfants à l'importance de l'activité physique.
Elle est aussi la fondatrice et présidente de deux associations en Ile-de-France : Educateam et J’peupa G piscine. Dans un cadre familial central, ces deux associations proposent des cours de natation pour les apprentis nageurs qu’ils soient enfants ou adultes pendant les vacances scolaires pour les enfants. On retrouve associé à ces cours, de la rééducation destinées aux femmes enceintes ou ayant accouché et des activités pour lutter contre l’aquaphobie[39],[40],[41].
Candidate sur la liste duParti socialiste conduite parJean-Paul Huchon (section desHauts-de-Seine), elle est élue auconseil régional d'Île-de-France le[42]. Elle intègre la commission sports et loisirs du conseil régional[43]. Son mandat se termine avec le renouvellement du conseil régional le[44].
À la suite de plusieurs noyades d'enfants, en, le Premier ministre,Édouard Philippe, lui demande d'accompagner une mission interministérielle (Éducation nationale et Sports) chargée de réfléchir aux moyens d'améliorer notablement les résultats de la formation à la nage dans les écoles primaires[45].
Le, elle est nomméeministre des Sports dans legouvernement Philippe II, en remplacement deLaura Flessel, démissionnaire[46],[47].
Sa première action médiatisée porte sur la lutte contre l'homophobie dans les stades. Elle se prononce favorable à l'arrêt des matchs en cas d'insultes homophobes émanant des tribunes[48]. Le, un match de ligue 2 opposant Nancy au Mans est arrêté pour la première fois en France en raison de chants jugés homophobes[49], suivis le week-end suivant d'interruptions de matchs de ligue 1 à Monaco et à Brest. Ces sanctions surviennent dans un contexte tendu entre la ligue de football et les ultras, ponctué de mesures d'exception à l'encontre des supporters dont notamment des interdictions de déplacements, des huis-clos ou des ventes d'alcool prohibées dans les stades[50]. Une série de provocations[51] a émaillé les tribunes de ligue 1 le week-end suivant, augmentant le niveau de tension et d'incompréhension mutuelle[52].
À la suite du témoignage deSarah Abitbol dénonçant un viol par son ancien entraîneur durant son adolescence, elle demande la démission du président de la fédération française des sports de glace soitDidier Gailhaguet en estimant que ce dernier« ne peut se dédouaner de sa responsabilité morale et personnelle »[53]. Elle mènera tout au long de son mandatun combat continu[non neutre] contre les violences sexistes et sexuelles dans le sport instaurant le contrôle de l'honorabilité des bénévoles dans le champ sportif, des mesures visant à prolonger la suspension d'un agresseur présumé jusqu'au procès et contraignant les fédérations sportives à se doter de réelles stratégies de lutte contre les violences sexistes et sexuelles. Mesure qui est actée par la loi confortant le respect des principes de la République votée en 2021.
Le, à la suite de la constitution dugouvernement Jean Castex, son ministère est placé sous la tutelle duministre de l'Éducation nationale, de la Jeunesse et des Sports,Jean-Michel Blanquer. Ainsi, Roxana Maracineanu n'est plus ministre de plein exercice, ce queLe Point qualifie de« terrible déclassement »[54]. La ministre, elle ne le voit pas de cet oeil. Elle a plaidé auprès du Président pour un rapprochement de son ministère avec l’Éducation Nationale considérant que l'héritage réel des Jeux en France serait la place du sport à l'école. Pendant presque deux ans,elle engage des transformations durables[source secondaire nécessaire] en inscrivant notamment le « savoir rouler à vélo » et « l'Aisance Aquatique » dans les programmes scolaires et dans la loi du 2 mars 2022. En parallèle, bien que nullement mise en cause, sa proximité avec leMulhouse Olympic Natation, club alors en pleine tourmente médiatique et financière depuis quelques années, se voit régulièrement souligné par la presse[55],[56].
Pour lesélections législatives françaises de 2022, elle est investie par la coalitionEnsemble dans laseptième circonscription du Val-de-Marne,Jean-Jacques Bridey, député sortant LREM, ne se représentant pas[57].
Dans un contexte local extrêmement complexe, elle parvient à battre le maire de l'Haÿ-les-Roses Vincent Jeanbrun au premier tour et échoue sur un fil face àRachel Keke, ancienne femme de ménage qui a remporté une victoire sociale après presque deux ans de grève contre un groupe hôtelier[58]. Au sein d'une circonscription comptant 66 673 inscrits, elle est battue lors de ce second tour à177 voix près[59].
Le, elle est nommée secrétaire générale de laMission interministérielle pour la protection des femmes contre les violences et la lutte contre la traite des êtres humains pour une période de 3 ans[60],[61].
Durant sa campagne législative de 2022, elle cible son adversaireRachel Keke, femme de chambre, investie parla France Insoumise, expliquant que« ce qu'on demande, c'est d'être député, de porter des lois, un programme. Elle n'y va pas pour faire le ménage. »[62],[63]
| Épreuve | Temps | Compétition | Lieu | Date |
|---|---|---|---|---|
| 50 m dos | 29 s 61 | Championnats de France 2002 | Chalon-sur-Saône,France | 20/04/2002 |
| 100 m dos | 1 min 1 s 10 | Jeux olympiques d'été de 2000 | Sydney,Australie | 18/09/2000 |
| 200 m dos | 2 min 10 s 25 | Jeux olympiques d'été de 2000 | Sydney,Australie | 22/09/2000 |
| 100 m nage libre | 58 s 84 | Championnats de France 2001 | Chamalières,France | 30/04/2001 |
| 50 m brasse | 35 s 48 | Vittel Cup | Chamalières,France | 13/02/2004 |
| 50 m papillon | 29 s 53 | Vittel Cup | Chamalières,France | 13/02/2004 |
| 100 m papillon | 1 min 3 s 61 | Vittel Cup | Chamalières,France | 14/02/2004 |
| 200 m 4 nages | 2 min 18 s 03 | Mare Nostrum | Rome,Italie | 30/05/2000 |
| 400 m 4 nages | 4 min 54 s 43 | Championnats de France 2000 | Rennes,France | 20/03/2000 |
Le, elle est nommée au grade de chevalier dans l'ordre national du Mérite au titre de« championne du monde de natation du 200 m dos ; 5 ans d'activités sportives »[65], faite chevalier de l'ordre le[66] puis promue au grade d'officier le au titre de« médaille d'argent en natation aux jeux Olympiques de Sydney »[66].
En 2009, l'association des écrivains sportifs lui décerne le prix ducommentateur sportif qui récompense « un journaliste, professionnel, commentateur audiovisuel, aux connaissances et au jugement appréciés qui, dans ses interventions sur le sport, se sera exprimé avec le souci constant de respecter les règles de la langue française »[67]
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