Sur l'un des flancs du coteau, une petite rivière, le ru du Moleret, prend sa source à Rosny, puis devient laMolette avant de se jeter dans leRouillon àDugny. En raison de l'urbanisation du secteur, cette rivière a été busée et n'apparaît plus au niveau du sol. Le territoire est également drainé, vers laMarne, par l'ancien ru de la Fontaine du Vaisseau. L'aqueduc de la Dhuis traverse également le territoire communal.
Rosny-sous-Bois est traversée par l'A86 et l'A3, qui sont accessibles par l'échangeur de Rosny. La ville hébergeait leCentre national d'information routière, chargé d'informer les automobilistes sur les conditions de circulation, jusqu'à sa fermeture en 2016.
La commune de Rosny-sous-Bois est desservie par de nombreuses lignes duréseau de bus RATP. La ville possède également leréseau de bus Titus, aux dessertes exclusivement intracommunales.
Statistiques 1991-2020 et records NEUILLY-SUR-M. (93) - alt : 45m, lat : 48°51'37"N, lon : 2°32'58"E Records établis sur la période du 01-01-1981 au 03-12-2023
Centre-Ville - Plateau d'Avron - Beauséjour : situé au centre et à l'est de la ville. Le centre-ville comprend de nombreux commerces, la mairie de la ville et une piscine municipale ainsi qu'un conservatoire, un théâtre/cinéma et une fabrique artistique et numérique. Le Plateau d'Avron est essentiellement un quartier pavillonnaire et abrite un complexe sportif ainsi que l'École Nationale des Arts du Cirque. Beauséjour est un quartier pavillonnaire au nord-est de la ville.
Marnaudes - Bois Perrier : situé au nord de la ville. Ce quartier est connu pour y abriter un des plus grands centre-commerciaux français,Westfield Rosny 2. Le quartier est essentiellement résidentiel puis également industriel avec la Zone d'Activités Montgolfier au nord de la ville.
La Boissière-Côteaux Beauclair : situé à l'ouest de la ville. Ce quartier abrite le deuxième plus important centre-commercial de la commune, lecentre commercial Domus ainsi que le golf, des hôtels ainsi que plusieurs quartiers résidentiels.
Rosny Sud : situé au sud et sud-est de la ville. Ce quartier est exclusivement résidentiel, et abrite quelques boutiques, plusieurs établissements scolaires et un marché. Rosny-Sud comprend les quartiers de laJustice, desBoutours ou encore duPré-Gentil.
Rosny-Sous-Bois comporte plusieurs ensembles de logements sociaux et, depuis 2006, connaît de nombreuses destructions d'immeubles des années 1960 pour reconstruire de nouveaux immeubles résidentiels neufs, dans divers quartiers de la ville. La même année, le nouveau quartierLes Portes de Rosny était en construction.
Malgré ces démolitions, un effort soutenu de construction de nouveaux logements entre 2007 et 2017, essentiellement des appartements, permet à la ville de presque atteindre ses obligations en matière de taux de logements social issues de laLoi SRU, ce qui était loin d'être le cas en 2008[14]. Toutefois la croissance du nombre de logements vacants sur la même période amène à s'interroger sur l'adéquation du parc de logements aux besoins de la population.
Le lieu est connu sous divers noms selon l'époque :Redomatum,Rodoniacum en 1163 ;Rooneio,Roonio,Rodonio auXIIIe siècle ;Rosny en 1344 ;Rooniaco auXVe siècle ;Rôni en 1740[15].
L'existence d'un villagemérovingien est attestée par des fouilles menées à côté de l'église Sainte-Geneviève.
En 1163, unebulle du papeAlexandre III fait mention deRodoniacum : « l'église avec le village autour » ainsi que la terre appartenaient à l'abbaye de Sainte Geneviève. L'abbé de Sainte-Geneviève devait, chaque année, donner au roi six oies blanches pour lefief que le domaine royal avait à Rosny[17]. Selon un manuscrit de 1291, LesMiracula sanctae Genovefae post mortem relatent qu’en 866, les religieux qui rapportent les reliques desainte Geneviève deMarizy (Aisne), où la châsse de la sainte avait été abritée en 861 pour la soustraire auxNormands, s’arrêtent à Rosny-sous-Bois.
La commune se dote dès 1834 d'unesalle d'asile, la première dénomination de ce qui deviendra les écoles maternelles[18].
En 1894, la commune engage la construction de l'école du centre sur un terrain acquis de laCompagnie des chemins de fer de l'Est pour remplacer l'équipement précédent qui n'avait que deux classes. En 1904 l'école est agrandie d'une aile pour les filles ainsi que de locaux pour l'école maternelle[18].
Les carrières degypse sont exploitées dès au moins 1640 dans le secteur de la rue Rochebrune. Cette exploitation a pris fin au début des années 1990., mais laisse des séquelles qui ont fait s'effondrer plusieurs habitations qui se trouvaient au-dessus. Il reste une entrée des carrières de gypse dans le parc Jean-Decesari.
Ligne 4 : La Maltournée (Neuilly-Plaisance) – Mairie de Rosny-sous-Bois, ouverte dès1894 ; la traction étaità air comprimé, automotricesMékarski, puis électrique après 1900 (ligne renumérotée 116 en 1921 par le nouvel exploitant, laSTCRP) ;
Afin de satisfaire aux besoins de logements de la commune, en pleine expansion, un office public d'habitations à bon marché est créé par décret, à la demande de la Ville, le. Sa première réalisation est un ensemble de 6 bâtiments de 6 étages, l'actuelle résidence du Général-Leclerc, inauguré en 1933. En, quelques dizaines de familles gitanes s'installent sur les contreforts de laRedoute de la Boissière. Petit à petit, elles s'y sédentariseront et le campement deviendra plus important et moins précaire, engendrant parfois des relations un peu tendues avec le voisinage.
La Redoute est détruite en 1966 et son site réutilisé par des tours de logement.
En août 1971 débute la construction du centre commercialRosny 2. « À l'époque de son inauguration, Rosny 2 fut considéré comme le premier centre commercial de l'Est parisien par rapport à son volume, son architecture, ainsi qu'à la présence conjuguée de 2 grands magasins que sont La Samaritaine et le B.H.V »[23].
Dans le cadre du développement du centre de l'agglomération parisienne comme pôle mondial est créée, le, lamétropole du Grand Paris (MGP), à laquelle la commune, qui n'était donc membre d'aucune intercommunalité à fiscalité propre, a été intégrée[27].
Pour les échéances électorales de 2007, Rosny-sous-Bois fait partie des 82 communes[29] de plus de 3 500 habitants ayant utilisé lesmachines à voter.
À la suite d'un contentieux à l'occasion des élections municipales de 2008, Philippe Vachieri, a été radié en 2010 de la liste électorale de Rosny-sous-Bois. En effet, saisi d'un recours en radiation par l'avocat Ivan Itzkovitch, conseiller municipal URAM, lejuge d'instance a considéré que Monsieur Vachieri ne remplissait pas les conditions légales pour être inscrit sur les listes électorales de la ville[30]. Le jugement a été annulé le par laCour de cassation, Philippe Vachieri a été réinscrit sur la liste électorale. Le jugement tel qu'il a été rédigé par le tribunal d'instance a été cassé pour des raisons de forme (inversement de lacharge de la preuve). L'affaire est passée à nouveau en jugement devant le tribunal de Pantin[31]. Le Tribunal d'instance de Pantin, par décision du, rejette le recours devant le Tribunal deM. Itzkovitch demandant la radiation deM. Vachieri de la liste électorale pour l'année 2010.
Après les élections électorales de 2011, deux recours ont été déposés devant letribunal administratif de Montreuil contre l'élection deClaude Capillon comme conseiller général pour dépassement des comptes de campagne[32]. Les deux recours ont été rejetés sur le fond, le droit électoral n'ayant pas été enfreint, l'élection de Claude Capillon au Conseil Général a donc été validée[33].
Lors desélections municipales de 2014 dans la Seine-Saint-Denis, la liste UMP-UDI conduite par Claude Capillon a été élue au deuxième tour avec 49,43 % des suffrages exprimés, devant la liste d'union de la gauche et des écologistes conduite par Philippe Vachieri (30,40 %), la liste du Front national conduite par Daniel Bousselaire (10,49 %) et celle du MoDem conduite par Pierre-Olivier Carel (9,65 %). Vu le taux considérable d'abstention de 51,29% au premier et de 50,88% au deuxième tour le maire a été élu par 23% des inscrits au deuxième tour[34].
Lors desÉlections départementales de 2015 dans la Seine-Saint-Denis, les électeurs rosnéens ont voté à 61,41 % pour les candidats Claude Capillon et Manon Laporte (UMP), devançant le binôme Frédéric Molossi & Magalie Thibault (38,59 % des suffrages exprimés), qui ont néanmoins remportés l'élection sur l'ensemble ducanton de Montreuil-1[35].
Au second tour desélections municipales de 2020 dans la Seine-Saint-Denis, la liste LR diss. - DVD menée par Jean-Paul Fauconnet — qui bénéficiait de la fusion avec la liste MoDem - MRSL - PRG - NC du 1er tour menée par Pierre-Olivier Carel — a obtenu la majorité des suffrages exprimés, avec 2 600 voix (34,10 %, 29 conseillers municipaux élus dont 1 métropolitain), devançant de 46 voix celle LR - LREM - UDI - SL menée par le maire sortantClaude Capillon, qui a obtenu 2 554 voix (33,50 %, 7 conseillers municipaux).
Une troisième liste, PS - EÉLV - PCF - G·s, menée par Magalie Thibault suit avec 2 469 voix (32,38 %, 7 conseillers municipaux élus), lors d'un scrutin marqué par lapandémie de Covid-19 en France, où 66,46 % des électeurs se sont abstenus[36].
PanneauVille Internet.Stèle aux 10 ans du jumelage avec Übach-Palenberg.
Entre 2010 et 2014, la commune de Rosny-sous-Bois avait été récompensée par lelabel « Ville Internet @@@@@ »[50]. Après 2014, la ville n'a plus participé au concours.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[53],[Note 7].
En 2022, la commune comptait 45 947 habitants[Note 8], en évolution de +1,18 % par rapport à 2016 (Seine-Saint-Denis : +4,67 %,France horsMayotte : +2,11 %).
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Le centre-ville accueille un nouveau cinéma qui fait également office de théâtre : l'espace Georges Simenon, en plus du cinéma UGC Rosny-Sous-Bois au centre commercial Rosny 2.
Elle dispose également de laFabrique artistique et numérique, qui forme les rosnéens aux pratiques artistiques, informatiques, robotiques…
Le conservatoire de musique.
L'espace culturel Jean-Vilar et l'espace Georges-Simenon.
La commune abrite un centre médico-social municipal Paul-Schmierer, regroupant cinq médecins généralistes et dix-huitmédecins spécialisés[réf. nécessaire].
Construite à la fin des années 1960, la clinique Hoffmann ferme en 2016 malgré le manque de médecins[57].
Culteprotestant : église évangélique baptiste de Rosny, rue Eugène-Sue, CFIFA (Communauté des Fils et Filles d’Alliance) & MEAC (Ministère évangélique d'actions chrétiennes),Boulevard d'Alsace-Lorraine
Selon l'Insee, au recensement de 2017, la commune comptait 14559 emplois.
Pôle d'emplois tertiaires, la ville de Rosny-sous-Bois est aussi le siège du centre technique de la Gendarmerie Nationale[réf. nécessaire]. Il accueillait les laboratoires de l'IRCGN, l'institut de recherche criminelle de la gendarmerie, avant leur déménagement à Pontoise en 2005, ainsi que lecentre national d'information routière (Bison Futé) avant sa clôture[réf. nécessaire].
Cette section doit êtreactualisée.(Dernière mise à jour : 2007) Des passages de cette section sont obsolètes ou annoncent des événements désormais passés.Améliorez-la oudiscutez-en.
En 2007, les principaux employeurs sont, selon laCCIP :
Commune de Rosny-sous-Bois – 1 050 emplois – services publics
En plus des nombreux commerces du centre-ville et des commerces de proximité au sein des différents quartiers, la ville accueille depuis les années 1970 le plus grand centre commercial du département deSeine-Saint-Denis, lecentre commercial Westfield Rosny 2. Un projet d'extension du centre prévoit une augmentation de 50 pour cent de la surface commerciale. Ce projet est contesté par une association écologiste pour ses possibles conséquences environnementales[59].
Depuis 2006, un nouveau centre commercial, lecentre commercial Domus, a été ouvert à Rosny. Il fait partie des plus grands centres commerciaux d'Europe consacrés à l'équipement de la maison.[réf. nécessaire]
Le musée communal Louis-Émile-Auxerre (l’Histoire de Rosny), 7 rue Saint-Claude, abrité dans une belle maison bourgeoise en meulière du début duXXe siècle[62]
L’église Sainte-Geneviève édifiée parClaude Naissant en 1857-1860, édifiée sur les ruines d'une église duXIIIe siècle démolie en 1857[Note 9], avec des vitraux dans le chœur et les chapelles latérales dessinés par Lusson en 1859 et une charpente décorative. Une châsse renfermant des reliques de sainte Geneviève y est honorée.
L’église Saint-Laurent construite en 1930 parAlbert Chauvel, avec un fronton de pierres meulières et de briques.
Le cinéma Le Trianon, antérieur à 1914, a été démoli en 2009 pour laisser place à un nouveau projet immobilier.
La gare, datant de 1910.
Le golf municipal de la ville.
Le parc Jean-Decésari, parc communal situé en face de l'hôtel de ville. Le parc a été aménagé au pied de la colline duPlateau d'Avron, qui permet, au belvédère du parc, d'admirer la ville de Rosny-sous-Bois ainsi que ses alentours. Le parc est un lieu de détente, de pique-nique, et est équipé d'unskatepark, d'une aire de détente pour les chiens, de mini-fontaines et d'aires de jeux pour les enfants. Le parc connaît une assez bonne affluence lors des week-ends ensoleillés et pendant les vacances scolaires[63].
Les armes de Rosny-sous-Bois se blasonnent ainsi : D'azur à l'aigle essorante d'argent tenant dans sa serre dextre un rameau d'olivier d'or posé en pal. Ce sont celles de la famille Le Ragois, qui a notamment bâti le château d'Avron.
↑Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
↑Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Paris comprend une ville-centre et406 communes de banlieue.
↑Les logements vacants comprennent notamment les logements neufs qui ne sont pas encore habités, ceux que leurs propriétaires laissent libres ou dans lesquels ils font réaliser des travaux, ou ceux qui sont libres entre deux ventes ou deux locations
↑Lagare de Noisy-le-Sec, ouverte en 1849, a donc été la première gare desservant la ville.
↑a etbUne rue de la commune porte le nom de ce maire.
↑Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations de référence postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population de référence publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
↑L'église Saint-Geneviève avait été transformée entemple de la Raison sous la Révolution
↑a etbDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale »,Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography,no 501,(DOI10.4000/cybergeo.23155,lire en ligne, consulté le)
↑Blandine Seigle, « Cinq villes du 93 n'ont pas rempli leurs objectifs »,Le Parisien, édition de la Seine-Saint-Denis,(lire en ligne, consulté le)« Rosny-sous-Bois est un cas particulier : la ville est passée de 18,5 % à 17,2 % de logements sociaux et apparaît en négatif dans notre tableau, car 241 logements ont été « déconventionnés » dans le quartier du Bois-Perrier, c'est-à-dire que le bailleur a souhaité sortir du cadre social pour se transformer en location privée (…) Rosny-sous-Bois, qui est engagé dans des opérations de renouvellement urbain notamment dans le quartier Mermoz ne sera donc pas sanctionné ».
↑« Maires des communes suburbaines de la Seine »,Bulletin municipal officiel de la Ville de Paris,no 131,,p. 391(lire en ligne, consulté le), lire en ligne surGallica.
↑F K., « ROSNY-SOUS-BOIS : l'homme qui a supprimé la " tache blanche " du " département rouge " »,Le Monde,(lire en ligne, consulté le)« M. Roger Daviet, quarante ans, conseiller général communiste de Seine - Saint - Denis, est un homme heureux. Il ne cherche pas à cacher sa satisfaction, un perpétuel sourire retrousse sa courte moustache. Élu dimanche dernier, à Rosny-sous-Bois, à la tête d'une liste d'union de la gauche, il sera certainement désigné comme maire par son conseil municipal ».
↑Kim Larouss, « Un bon vendeur a gagné à Rosny-sous-Bois »,Le Monde,(lire en ligne, consulté le)« La peine est maintenant accomplie, la vie reprend son cours normal dans cette ville de 37 000 habitants qui s'est réveillée au lendemain du 6 mars 1983 avec de nouveaux hommes à la direction des affaires. Entre-temps, de 1971 à 1983, l'union de la gauche a assuré une sorte d'intérim. Pour bien signifier que l'affaire est définitivement réglée, la nouvelle équipe municipale a, dès sa première réunion, évincé le buste de Jean Jaurès qui présidait aux débats du conseil. Marianne a réintégré son socle ».
↑« La mort de Claude Pernès : Le maire (Nouveau Centre) de Rosny-sous-Bois a succombé à une maladie à l'âge de 66 ans. Le monde politique salue une personnalité chaleureuse et consensuelle »,Le Parisien, édition de la Seine-Saint-Denis,(lire en ligne, consulté le)« Claude Pernès a connu tous les niveaux de la politique locale. Elu maire à 29 ans, en 1983, il a enchaîné cinq mandats sans interruption, ce qui fait de lui l'un des plus anciens maires du département. Il a occupé également durant quatre mandats le poste de conseiller général, avant de passer la main en 2004 à Claude Capillon, pour devenir conseiller régional. Placé en cinquième position sur la liste UMP des dernières élections régionales, il n'a pas conservé son poste ».
↑Elsa Marnette, « Rosny : accusé de « trahison », un adjoint privé de délégations : Jean-Paul Fauconnet (LR), élu de la majorité depuis 1983, dit « envisager » se présenter aux élections municipales de 2020 »,Le Parisien, édition de la Seine-Saint-Denis,(lire en ligne, consulté le)« Il a été élu pour la première fois en 1983, sur la liste de Claude Pernès, et a été de tous les mandats depuis. Mais ce retrait de délégations ne signe pour l'instant pas la fin de sa carrière politique. C'est parce qu'il nourrit des ambitions quant aux élections municipales de 2020 que Claude Capillon a décidé de lui retirer ses responsabilités ».
Bernard Devaux,Le Fort de Rosny et son histoire, Paris, édition des amis du vieux Rosny, 1989.
Le patrimoine des Communes de la Seine-saint-Denis, Flohic éditions, 1994,(ISBN2-908958-77-5)
Société d'histoire de Rosny-sous-Bois,Rosny-sous-Bois : de Rodoniacum à nos jours, Rosny-sous-Bois, Société d'histoire de Rosny-sous-Bois,, 287 p.(ISBN2-9508599-0-9,BNF35765104,SUDOC003585794).
PlaquetteLe Glacis fortifié de Paris et l’aménagement de l’Île-de-France éditée par l'IAURIF, collectionNote rapide sur le Patrimoine,no 270,.