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Rony Brauman

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Rony Brauman
Rony Brauman en 2007.
Biographie
Naissance
Nationalité
Formation
Activité

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Rony Brauman, né le àJérusalem, est unmédecinfrançais spécialisé en pathologies tropicales. Il est principalement connu pour son rôle dans l'humanitaire, en particulier pour avoir dirigé les équipes médicales de l'associationMédecins sans frontières (MSF) de 1982 à 1994.

Biographie

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Famille

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Ses grands-parents sont d'originejuive polonaise et parlent leyiddish. Son père, Jean Brauman, courtier en assurances[1], fut un résistant et un militantsioniste, qui s'installa avec sa famille enIsraël dès la création de cet État en 1948. À 5 ans, il part vivre avec sa mère, Génia Sauer, enFrance[2].

Rony Brauman est le père de deux enfants : Guillaume et Sarah[3].

Il est le cousin du cinéasteEyal Sivan.

Scolarité et jeunesse

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Les hasards de la sectorisation font qu'il effectue sa scolarité aulycée Lakanal où il perçoit un écart entre sa famille et celle des autres mais trouve dans la politique un moyen de dépasser ces différences. Dans le sillage du leader local André Loth[4], qu'il retrouvera à laGauche prolétarienne, il milite très jeune contre le mouvement d'extrême-droiteOccident, qui a implanté un groupe nombreux de militants actifs dans son propre lycée, sur les murs duquel sont affichés des slogans visant un des professeurs pour ses idées, du type « Occident veille », sur8 mètres de long, avec lacroix de Malte[4]. Il reçoit un coup de matraque lors de sa première manifestation, à quinze ans, contre laguerre du Vietnam, où il est pris dans un affrontement entre militants duPCF et de l'extrême-gauche[5], puis devient militant de lafédération anarchiste où il rencontre des ouvriers qui le font lire sur l'histoire du mouvement social[6].

Il obtient le baccalauréat en 1967, puis, ayant toujours voulu devenir médecin, fait des études de médecine[7]. Séduit par lesslogans deMai 68 il participe au saccage de laBourse de Paris mais reconnait avoir été impressionné par la contre-manifestation gaulliste, puis part enYougoslavie. Lors de l'année universitaire 1968-1969, il devientmaoïste[8] dans le mouvementgauche prolétarienne, à l'âge de18 ans, le jour où son journalLa Cause du Peuple fait disparaitreStaline de son logo. Il ne le quitte qu'à l'âge de22 ans, en 1973, après en avoir été « quasi permanent »[9].

Issu d'une famille où« personne n’avait fait d’études », il est indisposé par les discours élitistes des dirigeants de la gauche prolétarienne parlant de« détruire l'université »[10],[11],[12] et préfère s'investir« engagé dans le service d'ordre »[13],[14], où il prend de l'assurance et du galon en effectuant« dix heures de karaté par semaine »[13],[15]« dans un club politique »[16] où est« enseignée la bagarre de rue »[16] avec pour professeur un« japonais nationaliste d’extrême droite »[16], qui entraîne à se« bagarrer dans des bistrots et la rue »[16], mais il a du mal à« frapper sans retenir ses coups »[16].Lors de la dispersion des manifestations, il prenait« régulièrement un coup de matraque ou quelques coups de pieds dans les côtes » car il se« faisait attraper »[17], alors qu'entre 1968 et 1972, environ 1 000 “gépistes” passent en prison[18]. Parmi les« plus radicaux »[19], il rejoint ses « troupes de choc »[19], qui mènent, comme celles de la Ligue communiste, des actions d'éclat comme planter le drapeau palestinien sur l’ambassade de Jordanie à Paris pour protester contre l'attitude del'armée jordanienne contre les Palestiniens de à[19], ou déloger une milice patronale à Poissy où elle est dirigée parJean-Gilles Malliarakis[10], cofondateur d'Ordre nouveau à laMutualité en, après avoir été arrêté par la police[20][réf. non conforme] lors de l'attaque-commando duGUD à l'intérieur dulycée Louis-le-Grand avecRoger Holeindre[21][réf. non conforme] puis relâché. Donnant coups de poing et coups de bâton[19], il regrettera ensuite avoir participé à la sortie de Renault-Billancourt à unpassage à tabac de petits cadres à coups de manche de pioche[19] et se souvient d'avoir refusé de participer à l'assassinat d'un policier infiltré, réclamé parAlain Geismar[10], dirigeant de laGauche prolétarienne, qu'il quitte peu avant qu'elle ait« la bonne idée de s'autodissoudre » en[22][réf. non conforme]. Il devient alors infirmier de nuit dans une unité de cancérologie et reprend ses études.

Quand il découvre l’existence de Médecins Sans Frontières en 1972-1973, il« était encore militant »[23], et la médecine de ce type lui semble surtout« un amusement de petit-bourgeois »[23].

Carrière

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Premières missions

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Rony Brauman se présente àMédecins sans frontières pour aller au Liban[24]. Il y est accueilli parXavier Emmanuelli, qu'il a connu dans ses années militantes lorsqu'il était étudiant à l'hôpital Cochin, et celui-ci lui refuse par deux fois des missions en 1975[23] et 1978 en raison de son allure de gauchiste[24] mais sans le lui dire[23],[25]. Il devient alors en 1976 médecin de bord sur un navire-câblier, poseur de câbles téléphoniques sous-marins le long de la côte occidentale de l'Afrique[26] puis part en 1975-76 auBénin[26] pour un remplacement chezMedicus Mundi (es) comme médecin chef d’un petit hôpital de brousse catholique[23] équipé d'un petit bloc chirurgical et d'un petit laboratoire,« une expérience fondatrice »[23]. Au cours de cette mission, il litCambodge année zéro deFrançois Ponchaud, qui raconte le désastre khmer rouge, qu'il avait déjà« commencé à comprendre »[27]. Il travaille ensuite à l’hôpital de Djibouti[24].

À son retour en France, en 1978, il voit une annonce de Médecins Sans Frontières qui cherche à recruter deux médecins pour laThaïlande[23], quiaccueille précisément des rescapés du désastre khmer rouge[23].Claude Malhuret, qui l'a aussi connu étudiant et qui« avait fait carrément son passage à droite »[27], et Emmanuelli le recrutent, alors qu'il n'est« plus du tout communiste » ni militant[27]. Il obtient ainsi sa première mission, de trois mois[23], et part après avoir été réformé du service militaire au bout de seulement un mois de classes[9]. Il est chargé par le Haut-Commissariat aux Réfugiés et Terre des Hommes de« monter un petit hôpital dans un camp de réfugiés à la frontière cambodgienne »[23]. C'est l'année oùBernard Kouchner engage le nom de MSF sur l'opération humanitaireL'Île de Lumière.

Juste après l'émission, « Les Dossiers de l'écran » du[28] sur le thème : « Cambodge, un peuple assassiné »[29], il est invité à déjeuner avecXavier Emmanuelli, président[30], etClaude Malhuret, secrétaire général de MSF, par le députéUDFJean-Pierre Pierre-Bloch, qui leur propose une « Marche pour la survie du Cambodge » à la frontière avec la Thaïlande, où entre novembre et décembre MSF double son nombre de médecins[31], pour réclamer son ouverture à un convoi terrestre MSF[30].

Il devient le« premier médecin permanent de MSF », à 5 000 francs par mois[22], grâce à son expérience[23], opérant en « indépendant »[32], pour des missions exploratoires d'installation de dispensaires, de petits blocs[23]. Il est amené à« bouger énormément, trois semaines ici, deux mois là »[27], dans« la plupart des camps de réfugiés dans le monde »[27], notamment enÉrythrée, pour des réfugiés éthiopiens duSoudan, auPakistan pour des réfugiés afghans, auHonduras pour des réfugiés du Nicaragua et du Salvador[27], mais aussi en Thaïlande, à Djibouti, en Indonésie, au Cambodge et au Rwanda, à une époque où« 90 % des réfugiés fuyaient les régimes communistes »[27] et la« plupart des guérillas menaient des combats d’émancipation anticommuniste »[27], car« l’expansion soviétique dans le Tiers monde est la plus rapide »[27]. Après le Cambodge, il estime que« le régime demandait de l’aide pour les victimes d’une famine inexistante mais à laquelle tout le monde croyait ».

En 1980, il intervient au Tchad en guerre puis se rend en Ouganda, alors touché par une guerre et une famine[32], ses missions lui font prendre conscience de la nécessité pour uneONG de disposer de capacités d’expertise et d’action autonomes[32].

Président de Médecins sans frontières France

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Président deMédecins sans frontières France (de 1982 à 1994), Rony Brauman continue à exercer[23]. Il est élu quatre ans après la scission de MSF qui a vu la plupart des fondateurs quitter l'association derrière Bernard Kouchner pour fonderMédecins du Monde, tandis queClaude Malhuret était élu président (1978). Celui-ci voulait doter MSF d'une structure permanente, avec des professionnels salariés, ce que refusait Kouchner, partisan de garder à MSF un caractère informel, bénévole. Pendant sa présidence (1982-1994), MSF multiplie par dix le volume des soins et leur budget en douze ans[26].

Lors de laFamine de 1984-1985 en Éthiopie, enFrance, un collectif d'artistes donne naissance à l'associationChanteurs sans frontières qui enregistre en, la chansonSOS Éthiopie. Cependant, Rony Brauman observe que les secours humanitaires renforcent la politique de déplacement forcé du gouvernement éthiopien[32], grâce à des enquêtes menées par des ONG dans les camps de réfugiés du Soudan et de Somalie, pays voisins[32], avec une« véritable chirurgie sociale, avec dékoulakisation, collectivisation accélérée des terres »[27]. Les paroles deChanteurs sans frontières, écrites parRenaud, sont retouchées parJean-Jacques Goldman pour tenir compte de ce point de vue.

SelonClaude Malhuret, Rony Brauman appelle les organisations humanitaires et les donateurs occidentaux à suspendre leur action[32], ce dont le prix est l'expulsion de MSF d’Éthiopie[32], estimant faire « face à une campagne de désinformation », ce qui sera ensuite contesté parClaude Julien dansLe Monde diplomatique en juillet 1987[33].

Effectuant à cette occasion son apprentissage du débat public, en pleineguerre froide[32], il déplore qu'au lieu de dénoncer cette situation, le chanteurBob Geldof, animateur deBand Aid, ait mis« son talent et son énergie à défendre le régime éthiopien »[32], et se sent« tout à fait en phase avec les ténors de l'antitotalitarisme et de l'anti-tiers-mondisme, Bernard-Henri Lévy et Pascal Bruckner en particulier »[32], avec qui ses relations se dégraderont ensuite[32]. Au même moment est fondée par MSF début 1985 la fondationLiberté sans frontières, dont la présidence est confiée àClaude Malhuret, directeur de MSF, et dans laquelle il s'investit[27], notamment pour organiser un colloque[34][réf. non conforme], destiné à« donner à l’humanitaire une structure intellectuelle, une culture qui échappe au tiers-mondisme »[27], à la suite de« toute une série de réflexions personnelles sur l’humanitaire et ses rapports avec le pouvoir »[27] qui convergent vers« l'idée du lien fondamental entre l'autonomie de la société civile, le mouvement de démocratisation et le développement économique »[26]. Les expériences du Cambodge puis de l’Éthiopie, où les « dons ont été massivement accaparés par le régime prosoviétique » d’Addis-Abeba[33], sont selon lui« l'origine de la création de l’association « Libertés sans frontières » »[24]. Celle-ci estime dès 1987 que« le problème de la dette des pays en développement est désormais moins central, et moins susceptible d'ébranler les fondements du système international »[35]. Il est ensuite directeur de recherches de ce qui devient la « Fondation Médecins Sans Frontières ».

Après la présidence de MSF

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Il est professeur associé à l’Institut d'études politiques de Paris (1994-1997) et participe aux travaux du CRASH, le Centre de Réflexion sur l'Action et les Savoirs Humanitaires. Il est chroniqueur au magazine trimestrielAlternatives Internationales[36][source insuffisante]. Il est lauréat du Prix de la FondationHenri Dunant en 1997[37][réf. non conforme].

En 1999, il est coréalisateur avec son cousin, le cinéasteisraélienEyal Sivan, du documentaireUn spécialiste, portrait d'un criminel moderne sur le procès d'Adolf Eichmann (1961) dont le scénario est inspiré de l'essaiEichmann à Jérusalem de la philosopheHannah Arendt.

Conflit israélo-palestinien

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Il signe en en un texte collectif publié dansLe Monde « Soutenir Israël ? Pas en notre nom ! » critiquant le soutien inconditionnel apporté par leCRIF à la répression dans les territoires palestiniens occupés[38]

Il participe, pendant laseconde intifada (2000-2005) et dans le contexte de l'intervention anglo-américaine en Irak, à de nombreux débats publics, en confrontation avec les intellectuels néoconservateurs français soutenant Israël et les États-unis.

En mai 2024, dans le contexte de laguerre Israël-Hamas, il appelle laFrance et l'Europe à reconnaître laPalestine comme un État souverain[39],[40]. Le 30 octobre 2024, il co-signe avec plusieurs autres personnalités commeNoël Mamère une tribune publiée dansLe Monde et dénonçant une « politique du 'deux poids, deux mesures'» menée par les étatsoccidentaux dans leur traitement de laguerre en Ukraine d'une part et celui des guerres dans labande de Gaza, enCisjordanie et auLiban d'autre part[41].

Appel contre les frappes israéliennes au Liban en 2006

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Il signe, en, un appel contre lesfrappes israéliennes au Liban, paru dansLibération[42] etL'Humanité[43].

Il déclare, en, dans l'émissionSalut les Terriens ![44], à propos de la création de l'État d'Israël en 1948 :« Je pense que si j'avais été, à l'époque, en situation de prononcer un jugement, je ne crois pas que j'aurais été favorable à la création de l'État d'Israël […] ». Il se déclare partisan d'un État bi-national en Palestine/Israël.

Tsunami d'Asie du Sud-Est

En 2005, à la suite de la mobilisation exceptionnelle en faveur des victimesdu tsunami, il soutient la position de MSF d’arrêter de collecter des fonds pour l’urgence, celle-ci étant révolue alors que les campagnes battaient leur plein. Le président de MSF (Jean-Hervé Bradol) et lui sont les seuls à dénoncer publiquement ce qu’ils estiment être un traitement émotionnel trompeur. Rony Brauman, alors membre du conseil d’administration de France-Télévision, critique la confusion, source de conflits d’intérêts, entre information et mobilisation. Il proteste contre la mise en avant exclusive de laFondation de France pour la récolte et la gestion primaire de fonds.

Opposition à l'intervention militaire de 2011 en Libye

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En, il s'oppose à l'intervention militaire en Libye dans laquelle laFrance est engagée[45].« Ce qui me gêne dans cette opération, c’est qu’on prétend installer la démocratie et un état de droit avec des bombardiers. Je ne sais pas où cette idée a été puisée, mais ce que je vois c'est qu'à chaque fois qu’on a essayé de le faire, non seulement on a échoué mais le remède qu’on prétendait apporter était pire que le mal », dénonce-t-il notamment. Il met en doute la réalité des exactions invoquées pour justifier l'intervention armée.

Il s'est également opposé, le, surFrance Inter, à une opération militaire enSyrie. En revanche, le, dans une interview publiée dans le journalLe Monde, il se dit favorable à ce que les Occidentaux fassent des « frappes ciblées » en Syrie. Il y explique pourquoi les attaques chimiques sont, selon lui, bien plus répréhensibles que la tuerie de masse par bombardement et pourquoi on doit, dans certains cas, s'affranchir du Conseil de sécurité de l'ONU[46].

Le, il est parmi les signataires de l’Appel des 58 : « Nous manifesterons pendant l'état d'urgence »[47],[48].

Le 16 janvier 2016 à l'antenne d'Europe 1, à propos d'un acte antisémite commis le àMarseille, au cours duquel un enseignant juif portant unekippa a été agressé à l'aide d'unemachette par un adolescent de16 ans, Rony Brauman assimile le port de la kippa à une « affiliation politique » et à un « signe d'allégeance à l'égard de la politique de l'État d'Israël ».Le Canard enchaîné estime qu'en cette occasion il avait franchi le « mur du çon ». Il s'explique et s'excuse le surMediapart de sa formulation trop rapide. Il explique défendre le droit de toutes les personnes à porter les signes religieux qu'elles désirent dans l'espace public, pour les raisons personnelles qui leur appartiennent. Il dénonce par ailleurs l'assimilation entretenue par leCRIF notamment entre judéité et soutien à la politique d'Israël, qui alimente l'antisémitisme[49].

Le, Rony Brauman s'exprime dans le journalLibération pour dénoncer les dérives du « tourisme humanitaire » pratiqué par certaines sociétés commerciales[50].

Il est le parrain de la promotion 2016-2017 des étudiants de deuxième année (FGSM2) de la faculté de médecine de Nancy (université de Lorraine), portant ainsi le nom de « promotion Brauman ».

Bibliographie

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Préfacier

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Notes et références

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  1. Who's Who in France, dictionnaire biographique, 1992-1993. Éditions Jacques Lafitte, 1992.
  2. « Rony Brauman: «Ma judaïté n'est ni un drapeau ni une honte» »,LExpress.fr,‎(lire en ligne, consulté le).
  3. Who's Who in France, dictionnaire biographique, 1992-1993. Éditions Jacques Lafitte, 1992.
  4. a etbLes20 ans de Rony Brauman, ex-président de MSF : « Sans Mai 68, je ne serais jamais passé en année supérieure de mon cursus de médecine » par Camille Stromboni, publié le dansL’Étudiant[1].
  5. Brauman 2006,p. 1.
  6. Brauman 2006,p. 5-6.
  7. Les Années Lycée, livre de poche édité par le Ministère de l'Éducation Nationale etAxa, Paris : Darjeeling, 1994,p. 26.
  8. Jérôme Anciberro, « Les maoïstes, fans absolus duPetit livre rouge », hors sérieLe Monde-La Vie,no 11, « L'histoire de l'Occident. Déclin ou métamorphose ? », 2014,p. 132-133.
  9. a etb« Entrer, rester en humanitaire : des fondateurs de MSF aux membres actuels des ONG médicales françaises » par Johanna Siméant-Germanos, dans laRevue française de science politique en 2001[2].
  10. ab etc"Penser dans l'urgence. Parcours critique d'un humanitaire. Entretiens de Rony Brauman avec Catherine Portevin, auxÉditions du Seuil en 2021[3].
  11. Au centre universitaire de Vincennes, est créé en, un « Comité de base pour l'abolition du salariat et la destruction de l'Université », dirigé parJean-Marc Salmon, Jean-Claude Dollé etAndré Glucksmann, selonGénération, le livre d'Hervé Hamon etPatrick Rotman.
  12. Génération, parHervé Hamon etPatrick Rotman,Éditions du Seuil, 1987.
  13. a etb"Rony Brauman, rebelle de l'humanitaire" le 30 avril 1994" dansLe Monde[4].
  14. « Théories en crise » par Frédérique Matonti, Daniel Mouchard et Astrid von Busekist, en 2005 aux ÉditionsRaisons Politiques (en),page 40.
  15. « Rony Brauman, poil à gratter de l’humanitaire » par Adrien Renaud dansWhat's Up Doc[5].
  16. abcd ete"Série « Rony Brauman : militant de l’humanitaire ».Épisode 1/5 : S’éveiller aux combats, le surFrance Inter[6].
  17. « Histoire d'un adjectif » par Michèle Manceaux en 2003.
  18. « Comment le maoïsme a séduit une partie de la jeunesse des années 68 en France », dansLes Inrockuptibles, par Mathieu Dejean le[7].
  19. abcd ete"Rony Brauman : "Je faisais partie de la piétaille du maoïsme français" par Stéphane Lagarde surAsyalist le[8].
  20. Paris-presse, 4 mai 1969.
  21. Paris-presse, 6 mai 1969.
  22. a etbLibération[9].
  23. abcdefghijkl etm"Rony Brauman, poil à gratter de l'humanitaire", dansWHAT'S UP DOC, le[10].
  24. abc etd"De l'instrumentalisation de l'humanitaire à celle de la mémoire", Entretien avec Rony BraumanGilbert Wasserman, dans la revueMouvements en 2004[11].
  25. "Médecins Sans Frontières. La biographie", parAnne Vallaeys, en 2004 aux éditions9decins_Sans_Fronti%C3%A8res/XPS4Ounp2EAC?hl=fr&gbpv=1&dq=%22xavier+emmanuelli%22+communiste+cochin&pg=PT126&printsec=frontcover.
  26. abc etd« Invité : Rony Brauman », surrfi.fr,(consulté le).
  27. abcdefghijkl etm« Qu’est-ce qu’on fait là ? », entretien avec Rony Brauman le dans la revueVacarme[12].
  28. Archives de l'émission INA[13].
  29. « Le prince Norodom Sihanouk a fait sa rentrée sur les écrans de télévision français ». Compte-rendu dansLe Monde de l'émission « Les Dossiers de l'écran » du sur le thème : « Cambodge, un peuple assassiné »[14].
  30. a etbMédecins Sans Frontières: La biographie, par Anne Vallaeys auxÉditions Fayard en 2014[15].
  31. French doctors. L'épopée des hommes et des femmes qui ont inventé la médecine humanitaire par Olivier Weber en 2014[16].
  32. abcdefghij etkLes intellectuels intègres, parPascal Boniface, en 2013 chez Jean-Claude Gawsewitch Éditeur[PDF].
  33. a etbClaude Julien, « Choisir les victimes »,Le Monde diplomatique,‎(lire en ligne).
  34. Archives INA[17].
  35. La dette catastrophe ou mutation. Fondation Liberté sans frontières, 1987, par François Jean[18].
  36. Alternatives Internationales.
  37. https://prix-henry-dunant.org/laureats-terrain/1997-rony-brauman/.
  38. « Soutenir Israël ? Pas en notre nom ! », surlemonde.fr,(consulté le).
  39. « Rony Brauman, médecin : « Il n’y a aucune raison recevable de différer cette reconnaissance » - L'Humanité », surhttps://www.humanite.fr,(consulté le)
  40. « Rony Brauman : « À Gaza, comme en Ukraine, la solution viendra de l’extérieur » - L'Humanité », surhttps://www.humanite.fr,(consulté le)
  41. « Guerre au Proche-Orient : « La politique du “deux poids, deux mesures” rend nos pays inaudibles à l’échelle de la planète » »,Le Monde,‎(lire en ligne, consulté le)
  42. Nous, Juifs contre les frappes d'Israël, inLibération,.
  43. Des juifs contre l’offensive meurtrière d’Israël,L’Humanité,.
  44. « VIDEO - Salut les Terriens ».
  45. « AUDIO -5 minutes avec… Rony Brauman (Pascale Clark) », surradiofrance.fr,.
  46. Nicolas Truong, « Rony Brauman : "Les frappes ciblées s'imposent car Al-Assad a franchi un palier symbolique" », surLeMonde.fr,.
  47. Collectif, « L'appel des 58 : « Nous manifesterons pendant l'état d'urgence » »,Club de Mediapart,‎(lire en ligne).
  48. AFP, « État d'urgence :58 personnalités revendiquent la liberté de manifester »,Le Point,‎(lire en ligne).
  49. Sophie Ernst, « Rony Brauman et la kippa : ses explications », surblogs.mediapart.fr.
  50. Noémie Rousseau, « Tourisme humanitaire: la vraie fausse pitié »,Libération.fr,‎(lire en ligne, consulté le).

Voir aussi

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Liens externes

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