Cet article est uneébauche concernant unefemme de lettrescanadienne.
| Naissance | |
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| Décès | (à 88 ans) Montréal, Québec, Canada |
| Nom de naissance | Marie Thérèse Rolande Allard[1] |
| Nationalité | |
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Rolande Allard-Lacerte, née àSaint-Évariste-de-Forsyth enChaudière-Appalaches le et morte àMontréal le[2], est unejournaliste etécrivainequébécoise.
Adolescente, Rolande Allard-Lacerte publie des contes et chroniques dansL'Écho de Frontenac, l'hebdomadaire deLac-Mégantic.
De 1950 à 1957, elle travaille pourLa Tribune deSherbrooke commecritique musicale,éditorialiste et directrice de la page féminine.
Elle entame ensuite une collaboration de plus de trente ans au quotidien montréalaisLe Devoir.
De 1956 à 1970, elle participe également, en tant que scriptrice, àChez Miville, l'émission radiophonique de variétés du matin deRadio-Canada[3]. Elle a aussi publié de nombreux articles et billets dansLe Monde et certaines revues spécialisées.
Dans lesannées 1960, elle publie deux ouvrages delittérature d'enfance et de jeunesse, dontLe Soleil des profondeurs (1968), qui lui vaut le prix Maxine et leprix David 1970.
Elle est lauréate duprix Judith-Jasmin en 1984.
Une anthologie de ses articles paraît en 1989, auxéditions du Boréal, sous le titreLa Chanson de Rolande.
Lefonds d'archives de Rolande Allard-Lacerte est conservé au centre d'archives de Montréal deBibliothèque et Archives nationales du Québec[4].