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Roger Leloup

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Roger Leloup
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signature de Roger Leloup
Signature

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Roger Leloup, né le àVerviers (province de Liège), est unauteur de bande dessinéebelge.

Il collabore durant15 ans auxStudios Hergé, mais il est principalement connu pour être le créateur deYoko Tsuno, série dont il est lescénariste et ledessinateur.

Biographie

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Jeunesse

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Roger Leloup naît le[1] àVerviers[2].Enfant, il assiste curieux à descombats aériens de laSeconde Guerre mondiale et est fasciné par la technologie tant des avions que du matériel mécanique en général, d'où quelques-unes de ses passions qui trouveront un débouché dans les histoires de Yoko Tsuno.« J'ai toujours été bricoleur, j'avais desplaneurs téléguidés et je fabriquais moi-même mes modèles réduits. J'ai été deux fois champion de Belgique dans ma catégorie. J'ai aussi volé dans des clubs d'amateurs sur de petits appareils. Aussi, dès que j'ai commencé à travailler sur Yoko, l'exutoire a été total. Tout ce que je faisais enmodélisme ou imaginais sur le plan mécanique est passé dans mondessin[1]. »

« C'est mon grand-père qui m'a initié aux lectures devulgarisation scientifique en me rapportant un jour un paquet de vieuxScience et Vie de la maison où il travaillait comme peintre en bâtiment », citant aussi l'influence de la passion de son oncle pour l'entomologie[3].

Habitant près de deux gares à Verviers, pendant la Seconde Guerre mondiale, il a plusieurs fois l'occasion de monter à bord des locomotives[4] et de travailler aux côtés des machinistes[5]. Par la suite, sa passion des trains qu'il tient également de son grand-père[6], l'amène à posséder son propre circuit de modélisme ferroviaire[7].

Parallèlement, sa tante qui détient une librairie lui permet de puiser son inspiration dans nombre d'œuvres d'auteurs célèbres qui seront déterminants pour sesalbums :Jules Verne,H.G Wells,Dickens, lesromans des sœursBrönte[5] et dans la collection « Fleuve Noir », spécialisée dans les romans de science-fiction[5]. Il a également été bercé par leromantisme allemand et notamment par le livreLes Légendes du Rhin[5],fleuve qui apparaît dans plusieurs de ses œuvres, dontL'Orgue du diable.

Passionné de mécanique, il est chef de char au cours de sonservice militaire[5].

Carrière avantYoko Tsuno

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Il fait ses études d'arts décoratifs et de dessin publicitaire à l'Institut Saint-Luc, àLiège[7]. C'est en 1950 qu'il fait la rencontre décisive deJacques Martin, qui venait acheter sa brillantine au salon de coiffure de ses parents. Ce dernier mentionne sa recherche d'un assistant pour la période de vacances. Répondant lui-même à cette offre plutôt que d'intégrer une entreprise publicitaire, Leloup devient son assistant pour lamise en couleurs et les décors. C'est ainsi qu'il commence à travailler sur les histoires d'Alix dansL'Île maudite[1],[8]. La commande passée àHergé de chromos techniques pour la sérieVoir et Savoir le lance dans ses premiers essais professionnels de dessins pour l'Histoire de l'Aviation et celle del'Automobile, où Jacques Martin est engagé pour diriger la partie technique. Leloup fignole au crayon les engins que le dessinateurrepasse à l'encre avant que le maître d'œuvre y ajoute le personnage deTintin en costume de circonstance.

De 1954 à 1957, il conçoit de nombreusesplanches techniques dans l'hebdomadaireTintin[9], ainsi que quelques chroniques sur le modélisme, notammentferroviaire etaérien dont il est féru[10], proposées dans la version belge de l'hebdomadaire.

Le, il entre auxStudios Hergé pour y travailler auxAventures de Tintin[7], tout en continuant à collaborer avec Jacques Martin, pour qui il dessine les décors d'Alix jusqu'au début de l'albumIorix le grand et deLefranc. Il reste quinze ans aux Studios Hergé[5].

Avec Hergé, il travaille« surtout des dessins techniques », puis se voit« testé pour le décor de lagare de Genève-Cornavin dansL'Affaire Tournesol » :« C'était assez amusant parce que j'ai imaginé une verrière et cette gare n'a pas de toit vitré au-dessus ! On aurait pu aller prendre des photos… Ensuite, j'ai fait de petites choses ici et là, comme la chaise roulante ducapitaine Haddock dansLes Bijoux de la Castafiore, des autos, des motos, des chars et, plus tard, la conception de l'avion de Carreidas, dont j'ai même construit la maquette. Un de mes plus beaux souvenirs a été de me trouver chargé de redessiner tous les avions de la refonte deL'Île Noire en 1965[1],[11] ».

À la fin des années 1960, Hergé ne produisant plus beaucoup, Roger Leloup dessine mais s'occupe également des relations publiques et prépare des dossiers de presse pour ce dernier. Il travaille pour d'autres auteurs, notammentFrancis pour qui il dessine les décors desAventures de M. Bouffu et desPenseurs de Rodin, de 1966 à 1968.

Création deYoko Tsuno (1968)

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Peinture murale Yoko Tsuno àVerviers, sa ville natale, réalisée en juin 2018 par Art Mural a.s.b.l.

C'est au cours de la soirée de Noël du que Roger Leloup dessine les premières esquisses d'une jeune héroïne asiatique qu'il voudrait introduire dans une éventuelle reprise deJacky et Célestin dePeyo, avec qui il a collaboré pour une histoire desSchtroumpfs.Yoko Tsuno est alors la sœur d'unélectronicienjaponais qui devait apparaître pendant un épisode[4] intitulé :L'Araignée qui volait[7].

Le choix de la nationalité japonaise de son héroïne s'est fait par élimination pour Roger Leloup et pour deux raisons distinctes :« Yoko est japonaise parce que le Japon est la patrie de l'électronique, mais aussi en raison de la situation politique du monde. Je voulais une Asiatique mais quand j'ai commencé à chercher à lui donner une origine précise, c'était laguerre au Viêt Nam. Il y avait eucelle de Corée et la partition du pays, et la Chine était un pays totalitaire, donc, par élimination … »[4]. En outre, Roger Leloup admire durant son enfance l'actrice japonaiseYōko Tani[4].

Le projet amorcé, il décide de le développer avec deux faire-valoir masculins :Vic Vidéo etPol Pitron, pour remplacer le duo initial Jacky et Célestin. Roger Leloup explique :« Quand j'ai créé la série, je voulais un trio, une équipe de télévision. C'était l'époque de l'avènement des transistors au Japon et j'ai tout naturellement pensé à une Japonaise pour le rôle de la scripte[4] ».

Yoko n'est au départ qu'un membre de l'équipe, mais elle prend de l'importance jusqu'à devenir l'héroïne de la série[12], et cela au cours du tout premier album de la série,Le Trio de l'étrange.

Par la suite, ayant obtenu l'accord de l'éditeur Dupuis pour lancer la sérieYoko Tsuno, il quitte les studios Hergé le, et se consacre entièrement à son héroïne Yoko Tsuno[4]. À cette occasion, Roger Leloup évoque une anecdote impliquant le créateur deTintin :« Quand j'ai quitté le studio, il [Hergé] m'a indiqué que je pourrais revenir quand je le désirerais. Quelque temps plus tard, je lui ai montré les débuts de Yoko Tsuno, il m'a simplement souri et m'a dit : “Vous, vous ne reviendrez jamais …” »[4].

La série est lancée le[7]. Auteur complet, Roger Leloup assure l'écriture et le dessin de chacun de ses albums, les couleurs étant, elles, le fruit duStudio Leonardo et plus particulièrement de la coloriste Béatrice. À ses débuts, l'éditeur,Charles Dupuis, prudent, le prie de solliciter l'aide deTillieux pour ses scénarios et dialogues. Ce dernier, après avoir supervisé le travail de Leloup sur deux histoires courtes, a vite jugé son rôle complètement superflu[7].

En 2024, la série compte31 albums publiés par l'éditeur d'origine, Dupuis[13].

1989 :Le Pic des ténèbres

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Roger Leloup s'essaie à la rédaction d'un premierroman de science-fiction, paru sous le titreLe Pic des ténèbres également dans la collection « Travelling », et où apparaît uneandroïde, Tyo. LeGrand Prix de la Science-Fiction française (catégorie jeunesse) lui est attribué en 1990.

Vie privée

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En 1973, Roger Leloup et son épouse adoptent Keum-Sook, une Coréenne de cinq ans, sous le prénom plus européen d'Annick. L'albumLe Dragon de Hong Kong, dans lequel Yoko adopte la jeuneRosée du matin, lui est dédié[14],[15].

Analyse de son œuvre

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Son œuvre en général

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Roger Leloup, qui se définit comme un conteur d'histoires, se voit d'abord comme « un grand enfant qui aime tout ce qui se déplace, les jouets, les marchés d'hiver allemands, les trains électriques ». Leloup souligne qu'il destine son œuvre en priorité aux enfants :« C'est pour les enfants que je travaille et toutes les personnes qui ont su garder leur âme d'enfant[4] ». Ajoutant :« La jeunesse a besoin de rêve et d'idéal, pas de violence[4] ».

Son œuvre regroupe deux grandes thématiques qui le passionnent depuis son enfance : la science-fiction (exemple avecLe Trio de l'étrange) et le fantastique (exemple avecL'Orgue du diable). Roger Leloup est un admirateur des œuvres deJules Verne, puis de celles deH. G. Wells, notammentLa Guerre des mondes ouLa Machine à explorer le temps[7], une thématique retrouvée au travers des albums,La Spirale du temps,Le Matin du monde ou encoreL'Astrologue de Bruges. Il faut également inclure la thématique des voyages spatiaux intersidéraux (Les Trois Soleils de Vinéa).

Il admire également les œuvres deJean Ray et d'Edgar Allan Poe[16].

Concernant son héroïne, Roger Leloup en parle comme si elle vivait constamment à ses côtés et il a composé un roman pour évoquer sa jeunesse avecL'Écume de l'aube, publié en 1991 dans la collection « Travelling » desÉditions Duculot, repris par la suite parCasterman[7].

Encouragé par ses lecteurs, il valorise l'héritage de laculture japonaise (droiture, fidélité) etchinoise (sensibilité)[4] de son héroïne. La série, où transparaissent largement ses centres d'intérêt et certaines de ses convictions, influence profondément sa vie : « Aujourd'hui, je ne pourrais plus abandonner le personnage de Yoko. Je m'y suis attaché profondément. Je ne maîtrise plus son existence. À force de vivre à mes côtés, Yoko est devenue une partie de ma vie[17]. Pour moi, elle n'est pas uniquement un personnage de papier qui vit seulement dans les albums et dans la tête de son créateur. Elle a pris son autonomie et est devenue une véritable jeune fille d'aujourd'hui. Son caractère est devenu plus complexe, sa personnalité plus riche. Je crois que maintenant Yoko a atteint sa pleine maturité »[18].

Roger Leloup introduit dans ses albums des correspondances avec le monde réel. Ainsi, le personnage d'Ingrid Hallberg, qui apparaît dansL'Orgue du diable,La Frontière de la vie puisLe Feu de Wotan, est un hommage à la musicienneIngrid Haebler[19].

Style graphique

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Son style est qualifié par lui-même de néo-réaliste[4] dont le sommet est atteint avec l'albumno 7 de la collection :La Frontière de la vie, une œuvre devenue une référence de labande dessinée réaliste[6]. Aux yeux de Roger Leloup, il est indispensable d'être le plus crédible possible : « Quand on fait de la science-fiction, le plus important est d’être crédible. Dans mes engins, il y a tout ce qu'il faut pour voler, rien n'est superflu. Moi-même, il faut que j'y croie, sinon cela ne marche pas »[6].

Roger Leloup a indiqué avoir tiré une partie de ses racines graphiques dans les dessins d'Alex Raymond dans les aventures deFlash Gordon. Parallèlement, il a gardé de son expérience au sein du Studio Hergé le souci du détail et de la méticulosité, un trait caractéristique de l'ensemble de ses œuvres[7] notamment sur les décors et les objets du quotidien (véhicules, avions) reproduits à l'identique.

Il déclare à ce sujet :« N'oublions pas que j'ai travaillé aussi avec Martin et Hergé, c'étaient des personnes qui avaient le souci du détail. Je me suis rendu compte que si on ne mettait pas assez de détails, les gens n'y croyaient pas. Un jour, j’ai dessiné une auto (je ne me rappelle plus le modèle) et un type m'a dit : « vous avez bien mis les détails, c'est bien lepot d'échappement qui a la largeur de ce modèle là, parce qu'il est spécial ! ». Moi, je n'avais jamais vu le véhicule en vrai, j'avais vu ça sur une photo »[5].

Il reconnaît cependant être plus à l'aise pour dessiner les machines que les êtres humains : « J'ai toujours eu plus de mal à dessiner les humains que les machines »[6].

Roger Leloup a indiqué en 1998 qu'une adaptation endessin animé deYoko Tsuno requerrait, en raison de ses exigences personnelles de qualité en matière d'animation, des budgets si importants que seuls les studios américains ou japonais pourraient les mettre en place[4].

Scénarios

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Outre le dessin, entièrement assuré par Roger Leloup à l'exception des couleurs assurées par lestudio Leonardo, et plus particulièrement par la coloriste Béatrice, Roger Leloup écrit intégralement ses scénarios, selon deux méthodes[4] :

  • soit par intuition au gré de ses lectures ; c'est notamment le cas par exemple pour l'albumno 12,La Proie et l'ombre, dont l'inspiration lui est venue en parcourant des ouvrages de photos sur les châteaux écossais ;
  • soit par un travail de longue gestation, à l'exemple de l'albumno 2,L'Orgue du diable : l'idée de cet album remonte au temps où Leloup travaillait au Studio Hergé sur l'élaboration deVol 714 pour Sydney ; il a proposé à Hergé un prolongement de l'exploration souterraine vers une construction qui deviendrait la trame deL'Orgue du Diable ; Hergé refusa l'idée, le nombre de pages de l'album ne permettant pas de l'y insérer.

Dans les deux cas, toutefois, le scénario n'est pas intégralement écrit, Roger Leloup pouvant modifier l'histoire au fur et à mesure du dessin, préférant laisser son imagination continuer à travailler[4].

L'album qui lance la série,Le Trio de l'étrange, est écrit par Roger Leloup alors qu'il est alité à cause d'une bronchite. Il déclare à ce sujet :« Comme quoi, il faut avoir une bonne bronchite infectieuse pour commencer en bande dessinée[5] ».

Œuvres

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Distinctions

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Prix et récompenses

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Notes et références

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  1. abc etd« Message pour l'éternité », suryokotsuno.com, Éditions Dupuis(consulté le).
  2. a etb(en) « Roger Leloup (b. 1933) - Awards », surGrand Comics Database(consulté le).
  3. « Les Titans », yokotsuno.com(consulté le).
  4. abcdefghijklm etnPhilippe Nihoul, « Roger Leloup de A à Z »,Spirou,no 3138,‎,p. 23-26(ISSN 0771-8071).
  5. abcdefg ethAnthony Jegou et J-Sébastien Chabannes, « Roger Leloup (Yoko Tsuno) (1/3) : « Je n’ai pas toujours été très heureux chez Hergé. » », surActuaBD,(consulté le).
  6. abc etdCédric Pietralunga, « Yoko Tsuno, l’anti-manga », surbandedessinee.blog.lemonde.fr,(consulté le).
  7. abcdefgh eti« Yoko Tsuno : l'auteur », suryokotsuno.com,(consulté le).
  8. Jacques Martin déclare, en 2007 (https://www.bestofverviers.be/les-gens/nos-gens/153-martin-jacques.html) :« En 1952, je crée un nouveau personnage. Un Alix contemporain : il s'appelle Lefranc. C'est une réussite dans l'esprit de la « ligne claire ». J'avais évidemment beaucoup plus de travail. Roger Leloup (Yoko Tsuno) devient alors mon collaborateur. Il a commencé d'abord à colorier les histoires d'Alix dansLe Sphinx d'or. Ensuite, il s'est attaqué aux décors d'Alix dansLa Griffe noire. […] Cette participation avec Roger Leloup se prolongera jusqu'à la fin desannées soixante. »
  9. Bernard Coulange, « Leloup Roger dansTintin », surbdoubliees.com(consulté le).
  10. « L'or du Rhin », suryokotsuno.com,.
  11. Jacques Martin, en 2007 (https://www.bestofverviers.be/les-gens/nos-gens/153-martin-jacques.html) :« Son premier décor, c'était la gare de Nyon dansL'Affaire Tournesol. On lui doit également le dessin et les aménagements du jet du milliardaire Carreidas dansVol 714 pour Sydney et la modernisation des véhicules dansL'Île noire. »
  12. « L'auteur », suryokotsuno.com,.
  13. F. Houriez, « Les chroniques BD Gest' Tome -31- L'Aigle des Highlands »,BD Gest',‎(lire en ligne).
  14. « Dragon de Hong Kong », suryokotsuno.com(consulté le).
  15. « Ma poupée Petrushka - Photo d'Annick en Corée », surlesbilletsdemilia.blogspot.com,(consulté le).
  16. (nl) « Roger Leloup werkte 5 jaar aan album nummer 25 » [« Roger Leloup a travaillé5 ans à l'album 25 »],De Morgen,‎(lire en ligneAccès payant, consulté le).
  17. « Un monde de bulles (21e à 25e minute) », Public Sénat,(consulté le).
  18. « La Fille du vent », suryokotsuno.com(consulté le).
  19. « Yoko Tsuno : les personnages », suryokotsuno.com,(consulté le).
  20. « Roger Leloup - Officier (2015) », surconnaitrelawallonie.wallonie.be(consulté le).
  21. « Roger Leloup », surNooSFere(consulté le).

Annexes

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Bibliographie

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Livres

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Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

Périodiques

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Articles

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  • Roger Leloup (interviewé par Pierre Burssens), « Entretien avec Roger Leloup »,BD Best !,‎(lire en ligne, consulté le).
  • Roger Leloup (interviewé par Laurent Lafourcade), « Entretien avec Roger Leloup pour le Secret de Khany »,BD Best !,‎(lire en ligne, consulté le).
  • Roger Leloup (interviewé par Laurent Lafourcade), « Entretien avec Roger Leloup (suite) »,BD Best !,‎(lire en ligne, consulté le).

Émissions de télévision

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Vidéographie

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Liens externes

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