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Robert Schuman

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Page d’aide sur l’homonymie

Ne doit pas être confondu avec le compositeur allemandRobert Schumann.

Page d’aide sur l’homonymie

Pour les articles homonymes, voirSchuman.

Robert Schuman
Illustration.
Robert Schuman en 1949.
Fonctions
Président de l'Assemblée parlementaire européenne

(1 an, 11 mois et 28 jours)
PrédécesseurHans Furler
SuccesseurHans Furler
Ministre de la Justice

(11 mois et 1 jour)
PrésidentRené Coty
Président du ConseilEdgar Faure
GouvernementFaure II
PrédécesseurEmmanuel Temple
SuccesseurFrançois Mitterrand
Président du Conseil des ministres français

(6 jours)
PrésidentVincent Auriol
GouvernementSchuman II
Législature1re
CoalitionTroisième Force
MRP-SFIO-RAD-AD-UDSR
PrédécesseurAndré Marie
SuccesseurHenri Queuille

(7 mois et 25 jours)
PrésidentVincent Auriol
GouvernementSchuman I
Législature1re
CoalitionTroisième Force
MRP-SFIO-RAD-AD-UDSR-PRL
PrédécesseurPaul Ramadier
SuccesseurAndré Marie
Ministre des Affaires étrangères

(4 ans, 5 mois et 13 jours)
PrésidentVincent Auriol
Président du ConseilAndré Marie
Lui-même
Henri Queuille
Georges Bidault
René Pleven
Edgar Faure
Antoine Pinay
GouvernementMarie
Schuman II
Queuille I
Bidault II etIII
Queuille II
Pleven I
Queuille III
Pleven II
Faure I
Pinay
PrédécesseurGeorges Bidault
SuccesseurGeorges Bidault
Ministre des Finances

(10 mois et 2 jours)
PrésidentVincent Auriol
Président du ConseilPaul Ramadier
GouvernementRamadier I
Ramadier II
PrédécesseurAndré Philip
SuccesseurRené Mayer

(5 mois et 22 jours)
Chef de l'ÉtatGeorges Bidault
Président du ConseilGeorges Bidault
PrédécesseurAndré Philip
SuccesseurAndré Philip
Député français

(16 ans, 11 mois et 3 jours)
Élection21 octobre 1945
Réélection2 juin 1946
10 novembre 1946
17 juin 1951
2 janvier 1956
23 novembre 1958
CirconscriptionMoselle(1945-1958)
4e de la Moselle(1958-1962)
LégislatureIre Constituante
IIe Constituante
Ire,IIe etIIIe(Quatrième République)
Ire(Cinquième République)
Groupe politiqueMRP(1945-1958)
RPCD(1958-1962)
SuccesseurMaurice Schnebelen

(22 ans, 5 mois et 13 jours)
Élection16 novembre 1919
Réélection11 mai 1924
29 avril 1928
1er mai 1932
26 avril 1936
CirconscriptionMoselle
GouvernementBidault I
LégislatureXIIe,XIIIe,XIVe,XVe etXVIe(Troisième République)
Groupe politiqueERD(1919-1924)
URD(1924-1928)
NI(1928-1932)
DP(1932-1942)
Sous-secrétaire d'État aux Réfugiés

(3 mois et 19 jours)
PrésidentAlbert Lebrun
Président du ConseilPaul Reynaud
Philippe Pétain
GouvernementReynaud
Pétain
Sous-secrétaire d'État à la vice-présidence du Conseil

(2 mois et 26 jours)
PrésidentAlbert Lebrun
Président du ConseilPaul Reynaud
GouvernementReynaud
PrédécesseurAndré Février(indirectement)
François de Tessan(indirectement)
SuccesseurRaphaël Alibert
Biographie
Nom de naissanceJean-Baptiste Nicolas Robert Schuman
Date de naissance
Lieu de naissanceLuxembourg (Luxembourg)
Date de décès (à 77 ans)
Lieu de décèsScy-Chazelles (Moselle,France)
SépultureÉglise Saint-Quentin de Scy-Chazelles
NationalitéAllemande(1886-1919)
Française(1919-1963)
Parti politiqueURL(1919-1931)
PDP(1931-1940)
MRP(1945-1963)
ProfessionPersonnalité politique
Avocat
ReligionCatholicisme
Résidencerue de Verneuil (Paris),
Scy-Chazelles (Moselle)

Signature de Robert Schuman

Image illustrative de l’article Robert Schuman
Présidents du Parlement européen
Présidents du Conseil des ministres français
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Robert Schuman (/ʁɔbɛʁ ʃuman/), né Jean-Baptiste Nicolas Robert Schuman le àLuxembourg (Luxembourg) et mort le àScy-Chazelles (Moselle), est unhomme d'Étatfrançais. Sous-secrétaire d'État pendant laTroisième République puis ministre pendant laQuatrième République, notamment auxAffaires étrangères etprésident du Conseil des ministres à deux reprises, Schuman a exercé par ailleurs les fonctions deprésident du Parlement européen.

Il est considéré comme l'un despères fondateurs de la construction européenne aux côtés deJean Monnet,Walter Hallstein,Konrad Adenauer,Johan Willem Beyen,Paul-Henri Spaak,Joseph Bech etAlcide De Gasperi.

L'Église catholique a entamé le procès canonique en vue de sabéatification. Le, il est déclarévénérable par lepape François.

Biographie

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Enfance

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Maison natale de Robert Schuman àClausen, un quartier de laville de Luxembourg.

Le père de Robert Schuman, Jean-Pierre Schuman (1837-1900), est néFrançais de langueluxembourgeoise[1] àÉvrange, un villagelorrain à lafrontière franco-luxembourgeoise. En 1871, après l'annexion d'une partie de la Lorraine par l'Allemagne, il devient Allemand. La mère de Robert Schuman, Suzanne Eugénie Duren (1864-1911)[2], uneLuxembourgeoise née àBettembourg, acquiert la nationalité allemande lors de son mariage avec Jean-Pierre Schuman. Bien qu'il soit né àClausen, un faubourg de la ville de Luxembourg où sa maison natale existe toujours, à moins de 300 mètres du bâtiment du secrétariat général duParlement européen qui porte son nom, Robert Schuman est Allemand de naissance[3] en tant que citoyen duReichsland d'Alsace-Lorraine.

Le jeune Robert Schuman fréquente l'école primaire et secondaire (l'Athénée) dans la capitale du Grand-Duché, où il apprend notamment lefrançais, sa langue maternelle étant leluxembourgeois, sa deuxième l'allemand standard. Puisque le diplôme luxembourgeois n'est pas reconnu en Allemagne, il passe, en 1904, sonAbitur (baccalauréat) auLycée Impérial deMetz, alors ville allemande.

Son père étant mort en 1900 alors qu'il n'avait que 14 ans, Robert Schuman vit douloureusement la mort de sa mère en 1910. À 24 ans, n'ayant plus ni père ni mère, le jeune homme songe un moment au sacerdoce avant d'y renoncer sur les conseils d'un ami. Il poursuit alors ses études supérieures de droit en Allemagne àBonn,Berlin,Munich etStrasbourg, puis ouvre uncabinet d'avocat à Metz, en. Parallèlement à ses études, il s'investit à laConférence Olivaint dont il demeure un fidèle compagnon de route.

Première Guerre mondiale

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En 1913, il préside la partie francophone du grand rassemblement laïc catholique, leKatholikentag, tenu à Metz en présence de l'empereurGuillaume II et ducardinal Vanutelli, mandaté par le papePie X. Un an plus tard, laPremière Guerre mondiale éclate. Bien que réformé de l'armée en 1908 pour raisons médicales[4], il est incorporé comme simple soldat dans l'armée allemande en 1914 et affecté en 1915 à l'administration territoriale (Kreis) à Bolchen, devenueBoulay.

Huit jours après l'Armistice, le, les troupes françaises entrent dans Metz et il faut changer l'administration et les structures politiques locales. Robert Schuman devient alors membre de la commission municipale de Metz. C'est ainsi qu'il entre à32 ans dans la vie politique[5].

Entre-deux-guerres

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Portrait de Robert Schuman, député de la Moselle (1929).

Par letraité de Versailles, l'Alsace-Lorraine redevient française à l'été 1919. Ledistrict de Lorraine (Bezirk Lothringen) devient le nouveau département de la Moselle, dont Metz reste la préfecture, bien différent de l'ancien département qui avait existé entre 1790 et 1871. Schuman, devenu citoyen français, est candidat de l'Union républicaine lorraine, il est élu lors desélections de comme député de la Moselle et fait son entrée auParlement.

Lors des débats à l'Assemblée sur l'introduction intégrale du droit français enAlsace-Moselle, il milite pour le maintien duconcordat et du statut scolaire. À l'été 1924, il parle au nom de 21 députés alsaciens et mosellans sur 24 ; le il avertit :« Poursuivre la réalisation d’un tel programme serait non seulement contraire aux principes démocratiques si souvent invoqués dans la déclaration ministérielle mais ce serait jeter dans notre région un trouble grave au sujet duquel nous déclinons toute responsabilité ». Le lendemain, le quotidienLe Lorrain (Metz), estime que« M. Schuman a donné au gouvernement un solennel avertissement ».

En, il affirme son rejet de l'école laïque républicaine dans la revueNotre Droit :« L'école laïque est la grande machine à déchristianiser la France. Nous la repoussons »[6].

Robert Schuman prend ses distances avec la mouvance autonomiste et œuvre pour une solution mixte qui favorise l'assimilation juridique progressive en conservant des dispositions essentielles aux yeux des Alsaciens-Mosellans. Il cultive les relations avec les Alsaciens et relativise la critique d'une domination alsacienne dans leReichsland. Surtout, il s'allie avec le syndicaliste alsacienHenri Meck, fondateur des syndicats chrétiens et député de Molsheim[7], qui connaît bien la Moselle. Le compromis accepté par le Parlement donne naissance audroit local en Alsace et en Moselle en tant que dispositif particulier au sein du droit français.

Il siège en tant que député jusqu'en 1940. Il est membre de la commission de législation civile et criminelle de 1919 à 1929 et de 1939 à 1940, de la commission d’Alsace-Lorraine de 1919 à 1940, secrétaire de cette commission de 1920 à 1927, vice-président de 1927 à 1929, président de 1929 à 1936. À partir de 1936, il siège au conseil général de la Moselle pour le canton deCattenom.

Seconde Guerre mondiale

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En 1938, la crainte d'une nouvelle guerre « fratricide » lui fait accueillir positivement lesaccords de Munich mais laSeconde Guerre mondiale éclate en. En, dans la mesure où il est un élu mosellan, Robert Schuman est nommésous-secrétaire d'État aux réfugiés dans legouvernement Reynaud[8]. Après l'offensive allemande du, Robert Schuman estime dès le qu'il« faut mettre bas les armes »[9]. Le, il est confirmé à son poste de sous-secrétaire d'État et fait ainsi partie duGouvernement Pétain. Le, ilvote pour les pleins pouvoirs au maréchalPétain[10]. Toutefois, il ne siège pas dans ce gouvernement et en démissionne deux jours plus tard[11].

La Moselle estannexée de fait par le Reich nazi quelques jours plus tard, intégrée auGau Westmark — dont le chef-lieu estSarrebruck — et Robert Schuman, rentré en Moselle, est arrêté par laGestapo et mis au secret dans la prison de Metz, avant d'être transféré àNeustadt enRhénanie-Palatinat le, grâce à un allègement de ses conditions de détention obtenu parHeinrich Welsch.

Durant son assignation en résidence surveillée, il s'entretient avec ses visiteurs enluxembourgeois, de façon qu’on ne puisse pas suivre ses conversations[12].

Âgé de 56 ans, il s'évade et réussit à rejoindre lazone libre dans laVienne le, en franchissant laligne de démarcation àVernon après avoir passé dix jours à l'abbaye de Ligugé[13]. Il passe également par laTrappe deNotre-Dame-des-Neiges, enArdèche. Il s'installe àLyon où vivaient beaucoup deMosellans expulsés. Par l'intermédiaire de son ami lecommissaire de police Charles-Albert Watiez, il garde un contact étroit avec beaucoup de réfugiés et il participe au comité lorrain qui se met en place à Lyon avecRobert Sérot,Gabriel Hocquard, Ségolènede Wendel, Paul Durand, le docteur Melchior etRené Jager[14].

Libération et épuration

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À laLibération, le ministre de la Guerre,André Diethelm, exige que« soit vidé sur-le-champ ce produit de Vichy » en parlant de Schuman[15]. Cette qualification vient de son vote du et comme« ex-ministre de Pétain[15] ». Son vote des pleins pouvoirs à Pétain le met sous le coup de l'inéligibilité automatique[16] prévue par l'ordonnance du et, comme ancien ministre de Pétain, il est frappé« d’indignité nationale »[15]. Soucieux de reprendre des responsabilités politiques, il finit par écrire augénéral de Gaulle, le, pour lui demander de revenir sur cette décision[15]. Des alliés de Schuman interviennent auprès du chef dugouvernement provisoire pour appuyer cette demande. Charles de Gaulle décide que l'affaire soit classée[15].

En effet, le, Schuman avait été reconduit par le maréchal Pétain, sans être consulté, dans les fonctions qu'il occupait au sein du cabinet dePaul Reynaud, démissionnaire[17]. Quelques jours après cette nomination, Schuman remettait sa démission au gouvernement Pétain, sans y avoir siégé[17], démission acceptée au moment de la formation dupremier gouvernement du régime de Vichy[18] ; membre involontaire d'un cabinet de transition qu'il n'a jamais vu, il subit néanmoins, au lendemain de la guerre, des vexations pour avoir fait partie du gouvernement Pétain[17].

Le, la commission de laHaute Cour prononce un non-lieu en sa faveur concernant son inéligibilité[15],[19] et Robert Schuman reprend sa carrière dans la politique française[20]. Il devient le premier parlementaire ayant voté les pleins pouvoirs au maréchal Pétain à devenir ministre après la Libération[19].

IVe République

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Sous laIVe République, il retrouve son siège de député de la Moselle, de 1946 à 1962.Le, il accueilleWinston Churchill à Metz en compagnie du général Julliot, gouverneur de Metz. Winston Churchill prononce un discours en faveur de l'unité européenne[21].

Il est ministre des finances en 1946 dans legouvernement Bidault, puis devientprésident du Conseil des ministres fin 1947 (MRP) etministre des Affaires étrangères de 1948 à 1952[22]. Il est l'un des grands négociateurs de tous les traités majeurs de cette période marquée par la nécessité d'organiser l'Europe de l'Ouest sur les plans politique, économique et militaire avec l'aide des États-Unis (Conseil de l'Europe,pacte de l'Atlantique nord,CECAetc.) et le début de laguerre froide en Europe.

Il est ministre de la justice entre et. Il cosigne alors avec le généralKœnig une circulaire disposant que les plaintes faisant suite à« de prétendues infractions » attribuées aux forces de l’ordre soient classées sans suite[23],[24].

Temps de la construction européenne

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Article détaillé :Histoire de l'Union européenne.

Son collaborateur et amiJean Monnet lui fait part de l'urgente nécessité pour laFrance de se faire une alliée de l'Allemagne et rédige un projet destiné à donner naissance à uneFédération européenne. Ayant fait accepter le projet en un temps record par les ministres des Affaires économiques duRoyaume-Uni, des trois pays duBenelux et de l'Italie réunis dans le plus grand secret àParis le, puis parKonrad Adenauer auprès de qui il a dépêché un émissaire spécial et enfin par legouvernement Bidault en conseil des ministres le en fin de matinée[25], Robert Schuman concrétise l’initiative en proposant par sadéclaration du 9 mai 1950, de placer la production franco-allemande du charbon et de l’acier sous uneHaute Autorité commune, dans une organisation ouverte à la participation des autres pays d'Europe. Suivi de rencontres discrètes, comme àLuxeuil-les-Bains en[26], leplan Schuman entraîne la signature dutraité de Paris le créant laCommunauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) qui est à l'origine de l'Union européenne.

Chaque année, le, leJour de l'Europe commémore ce qui constitue, selonJacques Delors, le geste politique le plus important de ces dernières décennies.

En 1953, chargé du dossier marocain (leMaroc, commeprotectorat, dépendait des Affaires étrangères), Schuman tente de s'opposer à la déposition du sultanSidi Mohammed, ce qui lui vaut d'être évincé du gouvernement. Le sultan Sidi Mohamed a été déposé le alors que Robert Schuman n'est plus ministre depuis 8 mois.

Dans le cadre de son implication dans la construction européenne, Robert Schuman a des contacts avec leComité américain pour une Europe unie à partir du début desannées 1950 jusqu'en 1960[27],[28]. En 1951, Robert Schuman accepte notamment de participer à une réunion de promotion organisée aux États-Unis par le Comité américain afin de convaincre l'élite américaine de soutenir le fédéralisme européen[29],[30].

Il est président duMouvement européen international de 1955 à 1961. Pendant cette période, il est également, de 1958 à 1960, le premier président duParlement européen, lequel lui décerne, à la fin de son mandat, le titre dePère de l'Europe. En 1958, il est lauréat duPrix international Charlemagne d'Aix-la-Chapelle.

Loisirs

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Robert Schuman estbibliophile. En particulier, tout au long de sa vie, il collectionne lesautographes et les ouvrages liés à la Lorraine et la Lotharingie au sens large. Sa collection compte plus de 6 000 objets. Elle est dispersée auxenchères en 1965, à l'exception d'unlegs de 23 documents à l'Institut catholique de Paris[31].

Fin de vie

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Maison de Robert Schuman à Scy-Chazelles.

Robert Schuman se retire de la politique en 1962 et retrouve sa maison de Scy-Chazelles. Pendant les derniers mois de sa vie, il s'intéresse à l'actualité politique et européenne même s'il prend la décision de ne pas intervenir publiquement.

Robert Schuman meurt à soixante-dix-sept ans le à son domicile de Scy-Chazelles, près de Metz. Ses obsèques sont célébrées le dans lacathédrale de Metz.

En 1966, sa dépouille est transférée dans la petiteéglise fortifiée Saint-Quentin, en face de sa maison devenue laMaison de Robert Schuman, qui appartient auconseil départemental de la Moselle.

Mandats politiques

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Robert Schuman est :

Fonctions gouvernementales

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Distinctions et récompenses

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Hommages

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De nombreux hommages sont rendus à Robert Schuman :

  • Robert Schuman Timbre allemand de 1968.
    Robert Schuman
    Timbre allemand de 1968.
  • Square Robert Schuman, Montrouge.
    Square Robert Schuman, Montrouge.
  • Statue dans le square Robert-Schuman à Paris.
    Statue dans le square Robert-Schuman à Paris.
  • Rond-point Robert-Schuman à Bruxelles.
    Rond-point Robert-Schuman à Bruxelles.

Procès en béatification

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Un procès enbéatification de Robert Schuman a été ouvert par l'Église catholique :Pierre Raffin, évêque de Metz, a autorisé l'ouverture du procès en 1990. En 2004, le procès diocésain a été clos[37]. En 2021, le papeFrançois reconnait ses« vertus héroïques » qui lui permettent désormais d'êtrevénérable[38]. Selon le dossier établi par lediocèse de Metz :« le statut de vénérable atteste de l'héroïcité des vertus du "serviteur de Dieu" »[39].

Voir aussi

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Références

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  1. Trausch 1996.
  2. « Demeures et familles section de Messancy1re partie : Famille Duren », surmessancy-histoire.be(consulté le)
  3. Fanfare Grand-Ducale.
  4. « Biographie de Robert Schuman », surcentre-robert-schuman.org(consulté le)
  5. Page 15 deDe Robert Schuman à demain : Suite du Christ et engagement politique, collectif, 2014, Gregorian & Biblical Press,(ISBN 978-88-7839-277-9).
  6. René Lejeune,Robert Schuman, Père de l'Europe 1886-1963,Éditions du Jubilé,,p. 82.
  7. Bruno Béthouart,« La France, Robert Schuman et l’Europe »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?),Historisch-Politische Mitteilungen,(ISSN 2194-4040,DOI 10.7788/hpm.2000.7.1.197, consulté le),p. 197–217.
  8. « Décrets, arrêtés et circulaires »,Journal Officiel de la République Française,vol. Soixante-douzième année,no 76,‎,p. 28(lire en ligneAccès libre)
  9. Europaforum.lu - 2008.
  10. Virginie Malingre, « Robert Schuman sur le chemin de la béatification », surlemonde.fr,.
  11. « Biographie extraite du dictionnaire des parlementaires français de 1889 à 1940 (Jean Jolly) », surassemblee-nationale.fr(consulté le)
  12. Ditsch 1984.
  13. Renard-Darson 2008.
  14. François Roth,Robert Schuman, du Lorrain des frontières au père de l'Europe, Paris,Fayard,, 656 p.(ISBN 978-2-213-63759-4), pages 257 & 258
  15. abcde etfRaymond Poidevin,« Robert Schuman : un itinéraire étonnant », dansRobert Schuman, Beauchesne,coll. « Politiques et Chrétiens »,(lire en ligne),p. 9-15.
  16. Jean-Pierre Maury, « Ordonnance du 21 avril 1944 relative à l'organisation des pouvoirs publics en France après la Libération – Articles 18 et 21 », surmjp.univ-perp.fr,université de Perpignan,(consulté le).
  17. abc etdLejeune 1986,p. 82.
  18. a etb« Décret du 12 juillet 1940 portant nomination des ministres »,Journal officiel de la République française,no 169,‎,p. 4522(lire en ligneAccès libre)
  19. a etbGilles Richard,Histoire des droites en France : de 1815 à nos jours,Perrin,(lire en ligne).
  20. Roth - 11 novembre 2013.
  21. « Visite de Winston Churchill à Metz (14 juillet 1946) », surwww.cvce.eu,(consulté le)
  22. « Biographie de Robert Schuman ».
  23. « Des historiens soulignent l'emploi « systématique » de la torture par l'armée française en Algérie »,Le Monde.fr,‎(lire en ligne, consulté le)
  24. Sylvie Thénault,Une drôle de justice; Les magistrats dans la guerre d'Algérie, Paris, La Découverte,, 338 p.(ISBN 2707195588 et9782707195586), note 20, La pérennisation du système
  25. « La discrétion nécessaire », surcvce.eu(consulté le).
  26. Francis Gouge, « Et si l’Europe était née dans un village de Haute-Saône ? », surlemonde.fr,(consulté le).
  27. Aldrich 1997,p. 204,221.
  28. Deloire et Dubois 2012,p. 165,170.
  29. Aldrich 1997,p. 203.
  30. Grosbois 2006,p. 9.
  31. « Quand Robert Schuman confiait une partie de ses « trésors » à l’ICP », surhypotheses.org(consulté le)
  32. « Informations générales sur Lycée Europe-Robert-Schuman, avenue de l'Europe à Cholet », surletudiant.fr(consulté le)
  33. « Historique du lycée », surlrsl.lu(consulté le)
  34. « Un nouveau centre de congrès dans le Grand Est », surmetz-congres.com(consulté le)
  35. « Metz Congrès-Robert Schuman », surmetz.fr(consulté le)
  36. « Metz Congrès Robert Schuman », surmetz-evenements.com(consulté le)
  37. Procès diocésain Schuman 2004.
  38. Robert Schuman a fait un premier pas vers la béatification, Le Figaro
  39. « Scy-Chazelles. Robert Schuman déclaré vénérable par le pape François », surwww.republicain-lorrain.fr(consulté le)
Fonctions politiques
Précédé parSuivi par
Paul Ramadier
Président du Conseil des ministres (France)
-
André Marie
André Marie
Président du Conseil des ministres (France)
-
Henri Queuille
Georges Bidault
Ministre français des Affaires étrangères
-
Georges Bidault
André Philip
André Philip
Ministre français des Finances
-
-
André Philip
Jules Moch
Hans Furler
Président du Parlement européen
1958-1960
Hans Furler
Emmanuel Temple
Ministre français de la Justice
-
François Mitterrand
v ·m
Présidence de
Vincent Auriol
René Coty
Voir aussi :Liste des chefs du gouvernement français
v ·m
IIIe République
(1871-1940)
Régime de Vichy
(1940-1944)
France libre
(1941-1944)
IVe République
(1946-1959)
Ve République
(depuis 1959)
v ·m
IIIe République
(1870-1940)
Régime de Vichy
(1940-1944)
Gouvernement provisoire
(1944-1946)
IVe République
(1946-1959)
Ve République
(depuis 1959)
v ·m
Assemblée commune (1952-1958)
Assemblée parlementaire (1958-1962)
Parlement européen nommé (1962-1979)
Parlement européen élu (depuis 1979)
Gouvernements dont Robert Schuman fut membre
v ·m
Gouvernement Reynaud (22 mars 1940 - 16 juin 1940)
Sous la présidence d’Albert Lebrun
Ministre d'État, vice-président du Conseil


Paul Reynaud
Président du Conseil
Ministre d'État
Défense nationale et GuerreÉdouard Daladier
Affaires étrangères
Intérieur
ArmementsRaoul Dautry
Finances
TravailCharles Pomaret
JusticeAlbert Sérol
MarineCésar Campinchi
Marine marchandeAlphonse Rio
AirLaurent Eynac
Éducation nationale
Anciens combattants etPensionsAlbert Rivière
AgriculturePaul Thellier
RavitaillementHenri Queuille
Colonies
Travaux publics
Santé publique
Postes, Télégraphe, Téléphone et TransmissionsAlfred Jules-Julien
Information
Commerce et Industrie
BlocusGeorges Monnet
Liste des sous-secrétaires d’État
(← DALADIER V) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (PÉTAIN →)
v ·m
Gouvernement Pétain(16 juin - 10 juillet 1940)
Sous la présidence deAlbert Lebrun
Ministre d'État, vice-président du ConseilCamille Chautemps


Philippe Pétain
Président du Conseil
Ministre d'État
JusticeCharles Frémicourt
Défense nationaleMaxime Weygand
GuerreLouis Colson
Marine marchande et militaireFrançois Darlan
AirBertrand Pujo
Affaires étrangèresPaul Baudouin
Intérieur
Finances etCommerceYves Bouthillier
ColoniesAlbert Rivière
Éducation nationaleAlbert Rivaud
Travaux publics etInformationLudovic-Oscar Frossard
Agriculture et RavitaillementAlbert Chichery
Travail etSanté publique
Anciens combattants et Famille françaiseJean Ybarnégaray
TransmissionsAndré Février
Liste des sous-secrétaires d’État, des haut-commissaires et des commissaires
(← REYNAUD) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (LAVAL V →)
v ·m
Gouvernement Bidault I(24 juin - 28 novembre 1946)
Vice-présidents du Conseil


Georges Bidault
Ministres d'État
Affaires étrangèresGeorges Bidault
JusticePierre-Henri Teitgen
IntérieurÉdouard Depreux
ArméesEdmond Michelet
ArmementCharles Tillon
FinancesRobert Schuman
Économie nationaleFrançois de Menthon
AgricultureFrançois Tanguy-Prigent
Production industrielleMarcel Paul
Éducation nationaleMarcel-Edmond Naegelen
Transports etTravaux publicsJules Moch
Outre-MerMarius Moutet
Travail et Sécurité socialeAmbroise Croizat
PTTJean Letourneau
Reconstruction et UrbanismeFrançois Billoux
Santé publiqueRené Arthaud
PopulationRobert Prigent
Anciens combattants et Victimes de la guerreLaurent Casanova
RavitaillementYves Farge
Liste des sous-secrétaires d’État
(← GOUIN) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (BLUM III →)
v ·m
GouvernementsRamadier I etII(22 janvier 1947 - 19 novembre 1947)
Sous laprésidence de Vincent Auriol
Ministres d'État


Paul Ramadier
JusticeAndré Marie
Affaires étrangèresGeorges Bidault
IntérieurÉdouard Depreux
Défense nationale
Guerre
Marine
Air
FinancesRobert Schuman
Économie nationale
Agriculture
Production industrielleRobert Lacoste
Reconstruction et Urbanisme
Commerce
Éducation nationaleMarcel-Edmond Naegelen
Transports etTravaux publicsJules Moch
Outre-Mer
Travail et Sécurité sociale
Santé publique et Population
Jeunesse, Arts et LettresPierre Bourdan
Anciens combattants et Victimes de la guerre
PTTEugène Thomas
Liste des hauts-commissaires et sous-secrétaires d’État
(← BLUM III) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (SCHUMAN I →)
v ·m
Gouvernement Schuman I(24 novembre 1947 - 19 juillet 1948)
Sous laprésidence de Vincent Auriol
JusticeAndré Marie


Robert Schuman
Affaires étrangèresGeorges Bidault
IntérieurJules Moch
Forces arméesPierre-Henri Teitgen
Finances etAffaires économiquesRené Mayer
Industrie etCommerceRobert Lacoste
AgriculturePierre Pflimlin
Éducation nationale
Outre-MerPaul Coste-Floret
Travaux publics etTransportsChristian Pineau
Travail et Sécurité socialeDaniel Mayer
Santé publique et PopulationGermaine Poinso-Chapuis
Reconstruction et UrbanismeRené Coty
Anciens combattants et Victimes de la guerreFrançois Mitterrand
Liste des hauts-commissaires et sous-secrétaires d’État
(← RAMADIER III) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (MARIE →)
v ·m
Gouvernement Marie(26 juillet - 28 août 1948)
Sous laprésidence de Vincent Auriol
Vice-présidents du Conseil


André Marie
Ministres d'État
JusticeRobert Lecourt
Affaires étrangèresRobert Schuman
IntérieurJules Moch
Finances etAffaires économiquesPaul Reynaud
Forces arméesRené Mayer
Éducation nationaleYvon Delbos
Travaux publics etTransportsChristian Pineau
Industrie etCommerceRobert Lacoste
AgriculturePierre Pflimlin
Outre-MerPaul Coste-Floret
Travail et Sécurité socialeDaniel Mayer
Reconstruction et UrbanismeRené Coty
Anciens combattants et Victimes de la guerreAndré Maroselli
Santé publique et PopulationPierre Schneiter
Liste des hauts-commissaires et sous-secrétaires d’État
(← SCHUMAN I) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (SCHUMAN II →)
v ·m
Gouvernement Schuman II(5 septembre - 7 septembre 1948)
Sous laprésidence de Vincent Auriol
Affaires étrangèresRobert Schuman


Robert Schuman
Vice-président du ConseilAndré Marie
JusticeRobert Lecourt
IntérieurJules Moch
Finances etAffaires économiquesChristian Pineau
Défense nationaleRené Mayer
Éducation nationaleMichel Tony-Révillon
Travaux publics etTransportsHenri Queuille
Industrie etCommerceRobert Lacoste
AgriculturePierre Pflimlin
Outre-MerPaul Coste-Floret
Travail et Sécurité socialeDaniel Mayer
Reconstruction et UrbanismeRené Coty
Anciens combattants et Victimes de la guerreJules Catoire
Santé publique et PopulationPierre Schneiter
Liste des sous-secrétaires d’État
(← MARIE) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (QUEUILLE I →)
v ·m
Gouvernement Queuille I(11 septembre 1948 - 5 octobre 1949)
Sous laprésidence de Vincent Auriol
Finances etAffaires économiquesHenri Queuille


Henri Queuille
Vice-président du Conseil etJustice
Affaires étrangèresRobert Schuman
IntérieurJules Moch
Défense nationalePaul Ramadier
Éducation nationaleYvon Delbos
Travaux publics,Transports etTourismeChristian Pineau
Industrie etCommerceRobert Lacoste
AgriculturePierre Pflimlin
Outre-MerPaul Coste-Floret
Travail et Sécurité socialeDaniel Mayer
Reconstruction et UrbanismeEugène Claudius-Petit
Anciens combattants et Victimes de la guerreRobert Bétolaud
Santé publique et PopulationPierre Schneiter
Marine marchandeAndré Colin
Liste des sous-secrétaires d’État et hauts-commissaires
(← SCHUMAN II) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (BIDAULT II →)
v ·m
GouvernementsBidault II etIII(28 octobre 1949 - 24 juin 1950)
Sous laprésidence de Vincent Auriol
Vice-présidents du Conseil


Georges Bidault
Intérieur
Ministre d'État et InformationPierre-Henri Teitgen
JusticeRené Mayer
Affaires étrangèresRobert Schuman
Défense nationaleRené Pleven
Finances etAffaires économiquesMaurice Petsche
Éducation nationaleYvon Delbos
Travaux publics,Transports etTourisme
Industrie etCommerce
Agriculture
Outre-MerJean Letourneau
Travail et Sécurité sociale
Reconstruction et UrbanismeEugène Claudius-Petit
Anciens combattants et Victimes de la guerreLouis Jacquinot
Santé publique et PopulationPierre Schneiter
PTT
Liste des sous-secrétaires d’État
(← QUEUILLE I) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (QUEUILLE II →)
v ·m
Gouvernement Queuille II(2 - 4 juillet 1950)
Sous laprésidence de Vincent Auriol
IntérieurHenri Queuille


Henri Queuille
Vice-président du ConseilGeorges Bidault
Ministres d'État
JusticeRené Mayer
Affaires étrangèresRobert Schuman
Défense nationaleRené Pleven
Finances etAffaires économiquesMaurice Petsche
BudgetEdgar Faure
Éducation nationaleAndré Morice
Travaux publics,Transports etTourismeMaurice Bourgès-Maunoury
Industrie etCommerceJean-Marie Louvel
Outre-MerPaul Coste-Floret
Travail et Sécurité socialePaul Bacon
Reconstruction et UrbanismeEugène Claudius-Petit
Anciens combattants et Victimes de la guerreLouis Jacquinot
Santé publique et PopulationPierre Schneiter
PTTCharles Brune
Marine marchandeLionel de Tinguy du Pouët
AgriculturePierre Pflimlin
Liste des sous-secrétaires d’État
(← BIDAULT III) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (PLEVEN I →)
v ·m
Gouvernement Pleven I(12 juillet 1950 - 28 février 1951)
Sous laprésidence de Vincent Auriol
Ministres d'État


René Pleven
JusticeRené Mayer
Affaires étrangèresRobert Schuman
IntérieurHenri Queuille
Défense nationaleJules Moch
Finances etAffaires économiquesMaurice Petsche
BudgetEdgar Faure
Éducation nationalePierre-Olivier Lapie
Travaux publics,Transports etTourismeAntoine Pinay
Industrie etCommerceJean-Marie Louvel
AgriculturePierre Pflimlin
Outre-MerFrançois Mitterrand
Travail et Sécurité socialePaul Bacon
Reconstruction et UrbanismeEugène Claudius-Petit
Anciens combattants et Victimes de la guerreLouis Jacquinot
Santé publique et PopulationPierre Schneiter
PTTCharles Brune
Marine marchandeGaston Defferre
InformationAlbert Gazier
Ministre sans portefeuillePaul Giacobbi
Liste des sous-secrétaires d’État
(← QUEUILLE II) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (QUEUILLE III →)
v ·m
Gouvernement Queuille III(10 mars - 10 juillet 1951)
Sous la présidence deVincent Auriol
IntérieurHenri Queuille


Henri Queuille
Vice-présidents du Conseil
Ministres d'ÉtatJean Letourneau
JusticeRené Mayer
Défense nationaleJules Moch
Finances etAffaires économiquesMaurice Petsche
BudgetEdgar Faure
Éducation nationalePierre-Olivier Lapie
Affaires étrangèresRobert Schuman
Travaux publics,Transports etTourismeAntoine Pinay
Industrie etCommerceJean-Marie Louvel
AgriculturePierre Pflimlin
Outre-MerFrançois Mitterrand
Travail et Sécurité socialePaul Bacon
Reconstruction et UrbanismeEugène Claudius-Petit
Anciens combattants et Victimes de la guerreLouis Jacquinot
Santé publique et PopulationPierre Schneiter
PTTCharles Brune
Marine marchandeGaston Defferre
InformationAlbert Gazier
Liste des sous-secrétaires d’État
(← PLEVEN I) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (PLEVEN II →)
v ·m
Gouvernement Pleven II(11 août 1951 - 7 janvier 1952)
Sous la présidence deVincent Auriol
Ministres d'État


René Pleven
Vice-présidentGeorges Bidault (MRP)
Défense nationaleMaurice Bourgès-Maunoury (MRP)
Finances etAffaires économiquesRené Mayer (PRS)
JusticeEdgar Faure (PRS)
Affaires étrangèresRobert Schuman (MRP)
IntérieurCharles Brune (PRS)
BudgetPierre Courant (CNIP)
Éducation nationaleAndré Marie (PRS)
Travaux publics,Transports etTourismeAntoine Pinay (CNIP)
Industrie et ÉnergieJean-Marie Louvel
CommercePierre Pflimlin (MRP)
Agriculture
Outre-MerLouis Jacquinot
Travail et Sécurité socialePaul Bacon (MRP)
Reconstruction et UrbanismeEugène Claudius-Petit (UDSR)
Anciens combattants et Victimes de la guerreEmmanuel Temple (CNIP)
Santé publique et PopulationPaul Ribeyre (CNIP)
PTT
Marine marchandeAndré Morice (PRS)
InformationRobert Buron (MRP)
Liste des sous-secrétaires d’État
(← QUEUILLE III) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (FAURE I →)
v ·m
Gouvernement Faure I(20 janvier - 28 février 1952)
Sous la présidence deVincent Auriol
FinancesEdgar Faure


Edgar Faure
Vice-présidents
Ministres d'État
Défense nationaleGeorges Bidault
JusticeLéon Martinaud-Déplat
Affaires étrangèresRobert Schuman
IntérieurCharles Brune
Affaires économiquesRobert Buron
BudgetPierre Courant
Éducation nationaleAndré Marie
Travaux publics,Transports etTourismeAntoine Pinay
Industrie et ÉnergieJean-Marie Louvel
CommerceÉdouard Bonnefous
AgricultureCamille Laurens
Outre-MerLouis Jacquinot
Travail et Sécurité socialePaul Bacon
Reconstruction et UrbanismeEugène Claudius-Petit
Anciens combattants et Victimes de la guerreEmmanuel Temple
Santé publique et PopulationPaul Ribeyre
PTTRoger Duchet
Marine marchandeAndré Morice
InformationPaul Coste-Floret
ArmementMaurice Bourgès-Maunoury
Liste des sous-secrétaires d’État
(← PLEVEN II) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (PINAY →)
v ·m
Gouvernement Pinay(8 mars - 23 décembre 1952)
Sous la présidence deVincent Auriol
Finances etAffaires économiquesAntoine Pinay


Antoine Pinay
Vice-présidentHenri Queuille
Ministre d'État
JusticeLéon Martinaud-Déplat
Affaires étrangèresRobert Schuman
IntérieurCharles Brune
Défense nationaleRené Pleven
Éducation nationaleAndré Marie
Travaux publics,Transports etTourismeAndré Morice
Industrie etCommerceJean-Marie Louvel
AgricultureCamille Laurens
Outre-MerPierre Pflimlin
Travail et Sécurité socialePierre Garet
Reconstruction et UrbanismeEugène Claudius-Petit
Anciens combattants et Victimes de la guerreEmmanuel Temple
Santé publique et PopulationPaul Ribeyre
PTTRoger Duchet
Liste des sous-secrétaires d’État
(← FAURE I) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (MAYER →)
v ·m
Gouvernement Faure II(23 février 1955 - 24 janvier 1956)
Sous la présidence deRené Coty
Ministre délégué


Edgar Faure
JusticeRobert Schuman
Affaires étrangèresAntoine Pinay
Intérieur
Défense nationale
Finances etAffaires économiquesPierre Pflimlin
Outre-MerPierre-Henri Teitgen
Éducation nationaleJean Berthoin
Travaux publics,Transports etTourismeÉdouard Corniglion-Molinier
Industrie etCommerceAndré Morice
AgricultureJean Sourbet
Travail et Sécurité socialePaul Bacon
Reconstruction et UrbanismeRoger Duchet
Santé publique et PopulationBernard Lafay
Anciens combattants et Victimes de la guerre
Affaires marocaines et tunisiennesPierre July
Marine marchandePaul Antier
PTTÉdouard Bonnefous
Liste des sous-secrétaires d’État
(← MENDÈS FRANCE) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (MOLLET →)
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