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René Coty

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Pour les articles homonymes, voirCoty.

René Coty
Illustration.
René Coty en 1954.
Fonctions
Membre de droit duConseil constitutionnel français[a]

(3 ans, 8 mois et 17 jours)
PrésidentLéon Noël
Président de la République française

(4 ans, 11 mois et 23 jours)
Élection23 décembre 1953
Président du ConseilJoseph Laniel
Pierre Mendès France
Edgar Faure
Guy Mollet
Maurice Bourgès-Maunoury
Félix Gaillard
Pierre Pflimlin
Charles de Gaulle
PrédécesseurVincent Auriol
SuccesseurCharles de Gaulle
Vice-président du Conseil de la République

(5 ans, 1 mois et 4 jours)
Élection
Réélection



PrésidentGaston Monnerville
Ministre de la Reconstruction et de l'Urbanisme

(9 mois et 18 jours)
PrésidentVincent Auriol
Président du ConseilRobert Schuman
André Marie
GouvernementSchuman I
Marie
Schuman II
PrédécesseurJean Letourneau
SuccesseurEugène Claudius-Petit
Conseiller de la République

(5 ans, 1 mois et 16 jours)
Élection7 novembre 1948
Réélection
CirconscriptionSeine-Inférieure
Sénateur français
[b]
(4 ans, 5 mois et 26 jours)
Élection
CirconscriptionSeine-Inférieure
Sous-secrétaire d'État à l'Intérieur

(10 jours)
Président du ConseilThéodore Steeg
GouvernementSteeg
PrédécesseurRené Manaut
SuccesseurErnest Bréant
Député français

(3 ans et 13 jours)
Élection21 octobre 1945
Réélection2 juin 1946
10 novembre 1946
Circonscription2e de la Seine-Inférieure
LégislatureIre Constituante
IIe Constituante
Ire(Quatrième République)
Groupe politiqueRépublicains indépendants

(12 ans, 11 mois et 21 jours)
Élection
Réélection11 mai 1924
22 avril 1928
1er mai 1932
CirconscriptionSeine-Inférieure
LégislatureXIIe,XIIIe,XIVe etXVe(Troisième République)
Groupe politiqueRépublicains de gauche
PrédécesseurJules Siegfried
SuccesseurAlbert Dubosc
Biographie
Nom de naissanceJules Gustave René Coty
Date de naissance
Lieu de naissanceLe Havre (France)
Date de décès (à 80 ans)
Lieu de décèsLe Havre (France)
Nature du décèsInfarctus du myocarde
SépultureCimetière Sainte-Marie auHavre (Seine-Maritime)
NationalitéFrançaise
Parti politiqueARD/PRD/PRDS/AD
(1907-1938)
CNI/CNIP(1949-1959)
ConjointGermaine Corblet
Diplômé deUniversité de Caen
ProfessionAvocat
ReligionCatholicisme

Signature de René Coty

Image illustrative de l’article René Coty
Présidents de la République française
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René Coty, né le auHavre[2] et mort le dans la même ville, est unhomme d'Étatfrançais. Il estprésident de la République du au.

Membre de l’Alliance démocratique puis duCNIP, il est alternativementdéputé etsénateur de laSeine-Inférieure entre 1923 et 1953. Il estministre de la Reconstruction et de l'Urbanisme de 1947 à 1948, dans les gouvernements deRobert Schuman et d’André Marie. Devenuvice-président du Conseil de la République (ex-Sénat), il remporte l’élection présidentielle de 1953 au treizième tour de scrutin avec le soutien de ladroite et ducentre.

Second et dernier président de laIVe République, il voit son mandat marqué par legouvernement du radicalPierre Mendès France, la fin de laguerre d'Indochine et le déclenchement de laguerre d'Algérie. En 1958, ces « événements d’Alger » le conduisent à appeler à laprésidence du Conseil legénéral de Gaulle, qu’il présente comme le« plus illustre des Français ». Ce dernier fait instaurer laVe République puis accède à la présidence de la République.

Retiré de la vie politique après son départ de l’Élysée, René Coty siège auConseil constitutionnel jusqu'à sa mort.

Situation personnelle

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Origines

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Jules Gustave René Coty naît le auHavre. Il est le fils de Jean Coty, républicain modéré, directeur du collège Saint-Michel (la pension Coty)[3], et de Blanche Sence. Tous les membres de la famille Coty sontnormands et ont exercé des métiers divers tels que cultivateurs, instituteurs ou encore artisans.

Il a deux sœurs, Nelly et Marthe, et deux frères, Marcel et Henri.

Formation

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En 1899, René Coty obtient un double baccalauréat en sciences et en lettres, avec la mention bien, et part faire ses études à l'université de Caen. En 1900, il est exempté du service militaire en raison de sa maigreur. La même année, il représente l'association générale des étudiants de Caen au Congrès international de Paris[4]. Deux ans plus tard, en 1902, il obtient une licence endroit et une licence enlettres etphilosophie.

Il prête serment d'avocat la même année et s'inscrit aubarreau duHavre. Spécialiste endroit maritime etcommercial, il plaide aucivil et aupénal. Mû par un souci de justice sociale, il prend la défense en 1910 deJules Durand, un syndicaliste injustement accusé d'avoir incité au meurtre d'un ouvrier non gréviste[5]. Il estbâtonnier de l'ordre des avocats.

Passionné de littérature et de philosophie, il fonde en 1905 leCercle Vallonges, un cercle littéraire, avec quelques amis, également intéressés par les livres.

Vie familiale

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Germaine Coty, son épouse, décédée durant son mandat de président de la République.

Le, à l'église Saint-Michel du Havre, il épouseGermaine Corblet, fille d'un armateur havrais. Le couple a deux filles : Geneviève, née en 1908, mariée en 1929 à Louis-Félix Egloff, ingénieur, avec lequel elle a six filles ; et Anne-Marie, née en 1910, épouse en 1932 du docteurMaurice Georges, avec lequel elle a trois filles et un fils. Geneviève et Anne-Marie décèdent toutes deux en 1987.

Ascension politique

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Débuts et conflit mondial (1902-1918)

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Laïque etdémocrate, René Coty s'inscrit dans la lignée deLéon Gambetta,Jules Ferry etPierre Waldeck-Rousseau. Il est ainsi considéré comme unrépublicain modéré.

C'est auxélections législatives de 1902 que le jeune René Coty s'engage en politique, lorsqu'il soutient la campagne du député sortant etmaire du Havre,Jules Siegfried.

En 1908, René Coty est élu conseiller municipal duHavre, sur la liste « Union du comité républicain dubloc des gauches ». Il exerce cette fonction jusqu'en 1919. Un an plus tard, en 1909, il est élu secrétaire général du Grand cercle républicain. Dans sa carrière d'avocat, Coty défend lesyndicalisteJules Durand en 1910, mis en cause dans l'assassinat d'un ouvrier non-gréviste. Ce fait divers inspiraSalacrou, qui en fait une pièce,Boulevard Durand, en 1950.

Il est élu en 1913 conseiller général de laSeine-Inférieure. Il est réélu à quatre reprises : en 1919, 1925, 1931 et 1937.

En 1914, René Coty est engagé volontaire dans le129e régiment d'infanterie, qui fait partie de la division Mangin. Il participe notamment à labataille de Verdun, tout comme l'ensemble de sa division. En 1918, à la fin de la guerre, Coty reprend sa robe d'avocat et continue à travailler dans son cabinet.

En décembre 1919, René Coty se présente aux élections municipales, briguant la mairie du Havre, sans succès.

Premiers mandats de député (1923-1935)

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René Coty en 1929.

En, il est élu député de la Seine-Inférieure. Il succède à son modèle,Jules Siegfried, prend ses distances avec leParti radical, dont il ne supporte plus les positions anticléricales[5]. Il rejoint l'Union républicaine et évolue vers la droite. En 1924, il se fait réélire contre un membre duCartel des gauches[5]. Il s'investit dans son travail parlementaire, et devient membre de plusieurs commissions, dont celle de lamarine marchande.

Le, le député Coty est nommé sous-secrétaire d'État à l'Intérieur dans legouvernement deThéodore Steeg. Il occupe cette fonction dix jours seulement, jusqu'au23 décembre.

En 1932, il est élu vice-président du conseil général de Seine-Inférieure. La même année, peu après sa réélection à laChambre des députés, René Coty décide de quitter le barreau pour se consacrer à son travail parlementaire. Cependant, il ouvre un cabinet de conseiller juridique à Paris.

Sénateur de la Seine-Inférieure (1936-1940)

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En 1936, René Coty est élu sénateur ; c'est cette même année que le couple Coty s'installe, dans un appartement duquai aux Fleurs à Paris. Il devient membre de la commission des Finances. C'est au cours de cette période qu'il rencontre Henri Sacquet[6], journaliste, écrivain et résistant (directeur de l'Agence quotidienne et du Bureau parlementaire), qui devient un ami proche du couple Coty. De 1936 à 1938, il est un opposant duFront populaire[5]. Il commence à réfléchir à des projets de réforme constitutionnelle pour améliorer les insuffisances liées auparlementarisme de laIIIe République[5].

Régime de Vichy et Libération (1940-1945)

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Le, le sénateur Coty vote lespleins pouvoirs constituants au maréchal Pétain, avant de se tenir à l'écart de la vie publique. En 1943, cependant, il travaille avec un petit groupe de sénateurs àParis en faveur d'un projet de loi constitutionnelle pour la transition vers la Libération. De 1944 à 1945, il est automatiquement frappé d'inéligibilité du fait de son vote en faveur du Maréchal ; mais, en raison de son opposition « constante depuis 1940 », cette inéligibilité est levée le par leJury d'honneur[7],[8].

Député à l'Assemblée nationale constituante (1945-1946)

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Lors desélections législatives du 21 octobre 1945 puis decelles de juin 1946 qui doivent désigner uneAssemblée nationale constituante, René Coty est à nouveau élu député de la Seine-Inférieure, en tant que républicain indépendant. Il sera réélu auxélections législatives du 10 novembre 1946.

Ministre de la Reconstruction et de l'Urbanisme (1947-1948)

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René Coty estministre de la Reconstruction et de l'Urbanisme dans lepremier cabinet deRobert Schuman, du au, dans lecabinet d'André Marie, du 26 juillet au, et enfin dans lesecond cabinet deRobert Schuman, du 5 septembre au.

Membre et vice-président du Conseil de la République (1948-1953)

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René Coty en 1948.

À l’issue desélections sénatoriales de novembre 1948, René Coty retrouve son mandat de parlementaire de la Seine-Inférieure et devientvice-président du Conseil de la République, poste pour lequel il est reconduit chaque année jusqu’en 1952[9],[10],[11],[12],[13].

Réélu parlementaire en 1952 et de nouveau porté à la vice-présidence de la haute assemblée aux ouvertures de session en 1952 et 1953[14],[15], René Coty écrit en 1952 dans son journal personnel que sa « candidature à l'Élysée semble sérieusement envisagée par des gens sérieux ».

En juillet 1949, il devient également vice-président de l'Union parlementaire européenne.

Président de la République

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Victoire à la présidentielle de 1953

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Article détaillé :Élection présidentielle française de 1953.

En vue de l'élection présidentielle de 1953, le président de la République sortant, le socialisteVincent Auriol, annonce qu'il ne briguera pas un second mandat. Le président du Conseil des ministres,Joseph Laniel, part favori dans la course à l’Élysée. Alors qu’il estvice-président du Conseil de la République depuis 1948, René Coty n'est pas pressenti pour l’emporter, d'autant plus que la tradition sous laTroisième et laQuatrième République est d'élire le plus souvent le président de la chambre haute (Sénat puis Conseil de la République), qui est à ce moment-làGaston Monnerville[16].

Alors que le président de la République française était élu dès le premier tour, éventuellement au second, le scrutin s'éternise. Joseph Laniel, soutenu par la droite, ne parvient pas à obtenir la majorité absolue. Après le dixième tour, le chef du gouvernement se retire au profit deLouis Jacquinot, mais celui-ci recueille encore moins de voix et se retire à son tour au profit de René Coty, qui, sans être candidat et étant alors opéré de laprostate (cette hospitalisation lui évitant de se prononcer pour ou contre laCommunauté européenne de défense)[17], avait obtenu71 voix au onzième tour. Au douzième tour, le nouveau candidat de la droite manque de peu d’obtenir la majorité absolue ; il est alors immédiatement procédé à un treizième tour de scrutin, à l’issue duquel René Coty est élu par 477 voix sur 871, dont 329 pour le socialisteMarcel-Edmond Naegelen.

Le nouveau président de la République entre en fonction le, après une cérémonie de passation des pouvoirs avec Vincent Auriol, aupalais de l'Élysée.

Exercice du mandat

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René Coty en visite d’État auxPays-Bas (1954).

Dans les attributions étroites que laConstitution de 1946 lui confère, René Coty devient vite populaire auprès des Français, ainsi que son épouseGermaine Coty.

En, il refuse de nommerPierre Mendès France à la présidence du Conseil, bien que celui-ci soit le chef de file de la coalition deFront républicain, victorieuse desélections législatives : le chef de l’État lui préfèreGuy Mollet, dirigeant de laSFIO. Le programme de cette coalition de centre gauche est la recherche d'une paix négociée en Algérie.

Durant l’année 1958, les tensions créées par laguerre d'Algérie sont à leur comble, et leputsch d'Alger fait craindre uncoup d'État militaire pour porterCharles de Gaulle au pouvoir. René Coty fait alors appel « au plus illustre des Français », le même Charles de Gaulle. Il utilise la procédure exceptionnelle d'un message lu à l'Assemblée nationale par son président,André Le Troquer[18]. Pour contrer une possible opposition de l'Assemblée nationale, dominée par la gauche, le président de la République menace de démissionner immédiatement en cas de refus d'investiture du Général. Legouvernement de Gaulle est investi le. Pierre Mendès France déclare plus tard à ce sujet :« C'est parce que le Parlement s'est couché qu'il n'y a pas eu de coup d'État ! »

Derniers mois

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LaConstitution de laVe République est promulguée le. Le texte dispose dans sonarticle 91 que les pouvoirs du président de la République en fonction expireront à la suite de la proclamation de l'élection de son successeur. Le, après la victoire du général de Gaulle à l’élection présidentielle de décembre 1958, René Coty transmet ses pouvoirs en déclarant que « le premier des Français est désormais le premier en France ».

Après l’Élysée

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Membre du Conseil constitutionnel

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Membre de droit duConseil constitutionnel, il est élu à l'Académie des sciences morales et politiques, occupant le fauteuil IV de la section III (législation,droit public etjurisprudence)[19]. René Coty désapprouve le recours auréférendum de 1962 sur l'élection au suffrage universel du président de la République.

Mort et funérailles nationales

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René Coty meurt au Havre le, à 80 ans, victime d'unecrise cardiaque. Le général de Gaulle prononce son éloge lors desobsèques nationales célébrées auHavre le27 novembre suivant. Pour caractériser la personnalité de René Coty, il citeJean de La Bruyère :« La modestie est au mérite ce que les ombres sont aux figures dans un tableau : elle lui donne force et relief[20]. »

La tombe de René Coty au cimetière Sainte-Marie du Havre (Seine-Maritime).

Il est enterré aucimetière Sainte-Marie du Havre après une messe célébrée en l'église Saint-Vincent du Havre.

Décorations

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René Coty a refusé laMédaille militaire par lettre du, ne s'en estimant pas digne[24].

Hommages

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Plaque à son domicile,5quai aux Fleurs (Paris 4e).

Une avenue porte son nom dans le 14e arrondissement de Paris tandis qu'il existe un quartier Président-René Coty àBlois. Plus généralement,164 lieux publics portent le nom de René Coty[25].

Un collège àVal-de-Scie (ancienne commune d'Auffay), une école élémentaire àDammarie-les-Lys et une autre àMaule portent également le nom de l’ancien chef de l'État[26],[27]. En outre, le principal centre commercial duHavre, l’espace Coty, est inauguré en 1999.

Dans la culture populaire

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Filmographie

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Cinéma

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Le président Coty connaît un gain de popularité auprès des jeunes générations à la sortie en 2006 deOSS 117 : Le Caire, nid d'espions. Dans ce film, l’espion françaisHubert Bonisseur de La Bath,alias OSS 117, fait très souvent référence à René Coty, qu'il considère comme son modèle. Ainsi, il distribue fièrement et à tout-va des photos du président de la République, n'hésitant pas à prononcer son éloge : « C'est notreraïs à nous. C'est M. René Coty. Un grand homme. Il marquera l'histoire ! ».

Télévision

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Docufiction
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En 2010, dansJe vous ai compris : de Gaulle, 1958-1962 deSerge Moati, il est joué par Jacques Brunet.

Série
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DansDe Gaulle, l'éclat et le secret sorti en 2020, son rôle est interprété parOlivier Pajot.

Notes et références

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Notes

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  1. Membre de droit en tant qu'ancien président de la République.
  2. De facto, puisque durant la période de l'Occupation, le Parlement n'est pas dissous, mais le Sénat et la Chambre des députés sont« ajournés jusqu'à nouvel ordre », seul le chef de l'État pouvant les réunir. Le Parlement ne se réunit plus durant toute l'Occupation, entérinant dans les faits le caractère autoritaire du régime de Vichy[1].

Références

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  1. « Acte constitutionnelno 3 du 11 juillet 1940 », surmjp.univ-perp.fr(consulté le).
  2. « Acte de naissance n° 907 (vue 242/557) avec mentions de mariage et décès. Cote : 4 E 12428 - 01/01/1882-30/06/1882 »,Archives Départementales de la Seine-Maritime(consulté le)
  3. « CHAN Centre historique des Archives nationales Paris », surarchivesnationales.culture.gouv.fr(consulté le)
  4. « René Coty (1882-1962) », surelysee.fr(consulté le).
  5. abcd eteYves Morel, « René Coty, second président de laIVe République »,La Nouvelle Revue d'histoire,no 88 de janvier-février 2017, p. 52-55.
  6. Augustin Vigin,Correspondance Maurice Schumann-Henri Sacquet, 1998, édition Bruel-Legal.
  7. Sophie Hachou, « Les journaux de René Coty (1936-1945) », surchartes.psl.eu,.
  8. « René Coty et le jury d'honneur », sursenat.fr.
  9. « 3. — Nomination du bureau définitif », dans« Séance du Jeudi 25 Novembre 1948 »,Journal officiel de la République française, « Débats parlementaires » (Conseil de la République)no 98,‎,p. 3475-3479(lire en ligne[PDF], consulté le).
  10. « 5. — Nomination du bureau définitif », dans« Séance du Mardi 11 Janvier 1949 »,Journal officiel de la République française, « Débats parlementaires » (Conseil de la République)no 1,‎,p. 2-3(lire en ligne[PDF], consulté le).
  11. « 7. — Nomination de quatre vice-présidents, de huit secrétaire et de trois questeurs du Conseil de la République », dans« Séance du Mardi 10 Janvier 1950 »,Journal officiel de la République française, « Débats parlementaires » (Conseil de la République)no 2,‎,p. 5(lire en ligne[PDF], consulté le).
  12. « 6. — Nomination du bureau définitif », dans« Séance du Mardi 9 Janvier 1951 »,Journal officiel de la République française, « Débats parlementaires » (Conseil de la République)no 3,‎,p. 102-103(lire en ligne[PDF], consulté le).
  13. « 8. — Nomination de quatre vice-présidents, de huit secrétaires et de trois questeurs du Conseil de la République », dans« Séance du Mardi 8 Janvier 1952 »,Journal officiel de la République française, « Débats parlementaires » (Conseil de la République)no 5,‎,p. 200(lire en ligne[PDF], consulté le).
  14. « 3. — Nomination de quatre vice-présidents, de huit secrétaires et de trois questeurs du Conseil de la République », dans« Séance du Jeudi 5 Juin 1952 »,Journal officiel de la République française, « Débats parlementaires » (Conseil de la République)no 43,‎,p. 1182(lire en ligne[PDF], consulté le).
  15. « 7. — Nomination des vice-présidents, des secrétaires et des questeurs », dans« Séance du Mardi 13 Janvier 1953 »,Journal officiel de la République française, « Débats parlementaires » (Conseil de la République)no 2,‎,p. 10(lire en ligne[PDF], consulté le).
  16. JeanLebrun, « Le Vif de l'histoire : podcast et émission en replay », surFrance Inter,(consulté le)
  17. DanielAmson,La République du flou,Éditions Odile Jacob,, 252 p.(ISBN 978-2-738-11065-7,OCLC 422093260,lire en ligne),p. 79.
  18. GeorgetteElgey et MatthieuRey,Histoire de laIVeRépublique.,vol. 2 :de 1956 à janvier 1959 : la guerre d'Algérie, le retour du général De Gaulle, les transformations de la France, Paris,Robert Laffont,coll. « Bouquins (Paris) », (1re éd. 1965)(ISBN 978-2-221-19036-4,OCLC 1083144110),p. 577.
  19. « Liste des académiciens appartenant à la Section III de l'ASMP »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  20. Charles de Gaulle,Discours et messages pour l'effort. 1962-1965.
  21. « Au Président de la République française, M. René Coty (13 mai 1957) | PIE XII », survatican.va(consulté le).
  22. Ordonnance Souveraineno 1047 du 2 décembre 1954 conférant la Grand'Croix dans l'Ordre de Saint-Charles. Publiée dans leJournal de Monaco du 27 décembre 1954.
  23. (pt) « ENTIDADES ESTRANGEIRAS AGRACIADAS COM ORDENS PORTUGUESAS - Página Oficial das Ordens Honoríficas Portuguesas », surordens.presidencia.pt(consulté le)
  24. « René Coty : Images 22 & 23 », surculture.gouv.fr(consulté le).
  25. « rues Réné Coty »,Rues de France(consulté le)
  26. « Collège René Coty », sureducation.gouv.fr(consulté le).
  27. « École élémentaire René Coty », sureducation.gouv.fr(consulté le).

Voir aussi

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Bibliographie

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Archives

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  • Les papiers personnels de René Coty sont conservés auxArchives nationales sous lacote 452AP.
  • Archives de la présidence de la République : Vincent Auriol, René Coty, La Documentation Française, 2002.

Liens externes

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v ·m
IIe République
IIIe République
IVe République
Ve République
v ·m
Gouv. provisoires
Auriol
Coty
Avant la promulgation de la constitution de 1946 :Gouvernement provisoire de la République française
v ·m
Gouvernement Steeg (13 décembre 1930 - 22 janvier 1931)
Sous laprésidence de Gaston Doumergue
ColoniesThéodore Steeg


Théodore Steeg
Président du Conseil
JusticeHenry Chéron
IntérieurGeorges Leygues
Affaires étrangèresAristide Briand
FinancesLouis Germain-Martin
BudgetMaurice Palmade
GuerreLouis Barthou
Marine militaireAlbert Sarraut
AirPaul Painlevé
Instruction publique et Beaux-ArtsCamille Chautemps
Travaux publicsÉdouard Daladier
Économie nationale,Commerce et IndustrieLouis Loucheur
AgricultureVictor Boret
Travail et Prévoyance socialeÉdouard Grinda
Santé publiqueHenri Queuille
Pensions
Postes, Télégraphe et TéléphoneGeorges Bonnet
Marine marchandeCharles Daniélou
Liste des sous-secrétaires d’État
(← TARDIEU II) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (LAVAL I →)
v ·m
Gouvernement Schuman I(24 novembre 1947 - 19 juillet 1948)
Sous laprésidence de Vincent Auriol
JusticeAndré Marie


Robert Schuman
Affaires étrangèresGeorges Bidault
IntérieurJules Moch
Forces arméesPierre-Henri Teitgen
Finances etAffaires économiquesRené Mayer
Industrie etCommerceRobert Lacoste
AgriculturePierre Pflimlin
Éducation nationale
Outre-MerPaul Coste-Floret
Travaux publics etTransportsChristian Pineau
Travail et Sécurité socialeDaniel Mayer
Santé publique et PopulationGermaine Poinso-Chapuis
Reconstruction et UrbanismeRené Coty
Anciens combattants et Victimes de la guerreFrançois Mitterrand
Liste des hauts-commissaires et sous-secrétaires d’État
(← RAMADIER III) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (MARIE →)
v ·m
Gouvernement Marie(26 juillet - 28 août 1948)
Sous laprésidence de Vincent Auriol
Vice-présidents du Conseil


André Marie
Ministres d'État
JusticeRobert Lecourt
Affaires étrangèresRobert Schuman
IntérieurJules Moch
Finances etAffaires économiquesPaul Reynaud
Forces arméesRené Mayer
Éducation nationaleYvon Delbos
Travaux publics etTransportsChristian Pineau
Industrie etCommerceRobert Lacoste
AgriculturePierre Pflimlin
Outre-MerPaul Coste-Floret
Travail et Sécurité socialeDaniel Mayer
Reconstruction et UrbanismeRené Coty
Anciens combattants et Victimes de la guerreAndré Maroselli
Santé publique et PopulationPierre Schneiter
Liste des hauts-commissaires et sous-secrétaires d’État
(← SCHUMAN I) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (SCHUMAN II →)
v ·m
Gouvernement Schuman II(5 septembre - 7 septembre 1948)
Sous laprésidence de Vincent Auriol
Affaires étrangèresRobert Schuman


Robert Schuman
Vice-président du ConseilAndré Marie
JusticeRobert Lecourt
IntérieurJules Moch
Finances etAffaires économiquesChristian Pineau
Défense nationaleRené Mayer
Éducation nationaleMichel Tony-Révillon
Travaux publics etTransportsHenri Queuille
Industrie etCommerceRobert Lacoste
AgriculturePierre Pflimlin
Outre-MerPaul Coste-Floret
Travail et Sécurité socialeDaniel Mayer
Reconstruction et UrbanismeRené Coty
Anciens combattants et Victimes de la guerreJules Catoire
Santé publique et PopulationPierre Schneiter
Liste des sous-secrétaires d’État
(← MARIE) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (QUEUILLE I →)
v ·m
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