D'abord établi dans laSomme, le siège du parti est transféré à Paris, dans les locaux[b] abritant déjà le quartier général de campagne du candidat, au 10rue Jean-Goujon, dans le8e arrondissement[41],[42].
À partir de l'officialisation de sa candidature à la présidence de la République française le, Éric Zemmour essaye de rassembler de nombreuses personnalités politiques pour l'accompagner dans sa campagne électorale[43]. En, certaines personnalités issues de la droite conservatrice décident de soutenir sa candidature à la présidentielle, notammentChristine Boutin,Jean-Frédéric Poisson,Philippe de Villiers etPatrick Buisson[44]. Le,Guillaume Peltier, ancien vice-président desRépublicains, annonce quitter ce parti pour rejoindre Reconquête, où il est immédiatement nommé vice-président et porte-parole[45]. Le, l'eurodéputé RN et ancien député UMPJérôme Rivière, président de la délégation RN auParlement européen, rallie la candidature d'Éric Zemmour[46]. Le,Gilbert Collard annonce aussi rejoindre le parti, dont il est nommé président d'honneur[47],[48]. Il est suivi le parMaxette Pirbakas[49], le 13 février par le sénateurStéphane Ravier[50] et le 16 février par le député européenNicolas Bay[51].Marion Maréchal (petite-fille de Jean-Marie Le Pen et ancienne députée) rallie officiellement la candidature d'Eric Zemmour le 6 mars[52].
Eric Zemmour termine l'élection présidentielle avec un résultat de 7,07 % des voix lui permettant de passer la barre des 5 % et d'avoir le remboursement de sa campagne électorale à hauteur de 8 004 225 euros[53].
Élections législatives de 2022
Le, au soir du premier tour desélections législatives de 2022, aucun candidat de Reconquête ou de ses alliés (regroupés sous une mêmenuance politique ayant obtenu 4,24 % des voix à l'échelle nationale) ne parvient à se qualifier pour le second tour du scrutin. Son présidentÉric Zemmour est battu dans laquatrième circonscription du Var, essuyant un second revers électoral après une défaite à l'élection présidentielle d'avril 2022[54],[55].
Après ces élections, certaines personnalités du parti, commeJacline Mouraud,Nicolas Bay ou encoreGilbert Collard[56], pensent à quitter ce dernier et/ou critiquent une autocratie interne dirigée par Éric Zemmour etSarah Knafo. Après ses échecs électoraux qui l'empêchent d'améliorer ses finances[57], le parti est l'objet de fortes dissensions en interne et perd des adhérents et des soutiens[58]. Des dizaines de jeunes militants postulent auprès des députés nouvellement élus du Rassemblement national pour devenir leurs collaborateurs[59].
Élections européennes de 2024
Lors desélections européennes de 2024,Marion Maréchal est désignée tête de liste de la campagne de Reconquête. Elle tient son premier meeting de campagne à Paris le 10 mars 2024. Tandis que le parti doit faire face à la concurrence duRassemblement national (RN), Maréchal tente de trouver un terrain d'entente avec le RN pour travailler ensemble auParlement européen[60],[61],[62]. Cette campagne fait survenir des tensions entre Marion Maréchal et Éric Zemmour en raison de désaccords sur la stratégie électorale à adopter face au faible taux d'intentions de vote projetés par les sondages pour Reconquête[63],[64].
Le 16 juin 2024, Éric Zemmour annonce que Reconquête présente 330 candidats (sur 577 circonscriptions) auxélections législatives de 2024. Les candidats Reconquête recueillent, au premier tour, 0,75 % des suffrages, un score nettement inférieur aux 3,61 % lors desélections légistlatives de 2022[74],[75]
Idéologie
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Jean-Yves Camus, spécialiste de l'extrême droite, estime après les ralliements deJérôme Rivière etDamien Rieu que Reconquête s'annonce comme « le véritable parti desidentitaires »[11], identitarisme qui constitue d'ailleurs le marqueur essentiel de ce parti au sein de l'extrême droite[76].
Le parti recrute ses forces vives dans plusieurs nébuleuses préexistantes. La première est celle« de vieilles figures de l’extrême droite française », identitaire et xénophobe, comme le polémiste identitaireJean Messiha (« collègue » d'Éric Zemmour sur CNews). Il s'y ajoute ensuite« des figures de laManif pour tous », plus proche de l'intégrisme catholique, mais aussi d'anciens soutiens deFrançois Fillon. Enfin, le camp royaliste est également sollicité, et la campagne achète l'accès au lectorat dePolitique Magazine, la revue de l'Action française, mouvement nationaliste et royaliste[33]. Enfin, Éric Zemmour est aussi allé chercher des figures des « Gilets jaunes », en rémunérantJacline Mouraud etBenjamin Cauchy pour leur participation aux meetings[33].
L'équipe d'Éric Zemmour avance être financée principalement par les adhésions à Reconquête, avec une moyenne de« 700 à 800 adhésions par jour » en et un total de 80 000 adhérents au parti au début de l'année 2022. La cotisation d'adhésion classique étant de 30 euros, la somme collectée à ce titre s'élèverait à au moins 2,4 millions d'euros en[32].
Le collectif « Les Amis d'Éric Zemmour » — dont l'association de financement a obtenu l’agrément d’association de financement politique le[81], et qui est devenu Reconquête en suivant —, indique avoir recueilli six millions d'euros de 25 000 donateurs[82],[32]. Dès, soit plusieurs mois avant la déclaration de candidature, ce collectif avait commencé à lever des fonds, avec notamment des dîners discrètement organisés à partir de à Paris et à l'étranger[32],[83]. Le collecteur est Julien Madar, employé dans l'immobilier de luxe (et ex-bénévole de la campagne d'Emmanuel Macron en 2017), assisté d'une dizaine d'autres personnalités de la finance ou des médias, commePaul-Marie Coûteaux[33],[84]. Le millionnaire d'extrême droiteCharles Gave apporte également un soutien financier, avant de le lui retirer en[85],[86]. Le même mois, la collecte de cotisations et la coordination des financements, jusque là effectuée selonLa Lettre A« par une nébuleuse d'activistes », est confiée à un préfet ayant rejoint les rangs du parti[87].
D'après une enquête deMediapart (fondée en partie sur la liste des 1 000« invités VIP » à la réunion publique de Villepinte), les grands donateurs (ceux ayant donné entre 1 000 et7 500 euros) sont« issus des milieux financiers et d’affaires »,« cadres dans des banques, fonds d’investissement,hedge funds »,« cadres évoluant dans des cabinets de conseil, des groupes industriels ou dans le secteur immobilier » (notamment des cadres dirigeants deVinci etChanel) et« avocats d’affaires ou fiscalistes, en poste dans de grands cabinets français ou internationaux ». S'y trouverait notamment Chantal Bolloré, sœur du milliardaireVincent Bolloré et« éminence grise » d'Éric Zemmour. Parmi les autres personnalités identifiées figurent Sonia etAlexandre Poussin, l'ancien chanteurPierre Beraud-Sudreau ou encoreXavier Caïtucoli. Si certains sont des soutiens de l'extrême droite de longue date, une part importante est constituée d'anciensfillonnistes[32].Le Monde y relève paradoxalement« un profil similaire à ceux séduits par Emmanuel Macron lors de sa première campagne », peut-être du fait du recrutement de Julien Madar, et donc de son réseau[33].
Identité visuelle
Deux logos sont utilisés ; cependant l'un des deux est plus distinctif par un grand « R » bleu suivi d'un point d'exclamation rouge. Celui-ci est contesté parJean Lassalle en pour qui le logo de son propre parti,Résistons, a été plagié ; le, il adresse en conséquence une lettre à Zemmour lui demandant de les changer sous peine d'action judiciaire[88],[89].
La sécurité personnelle du candidat est en partie assurée par d'anciens membres duservice d'ordre duFront national deJean-Marie Le Pen, écartés du parti depuis 2015 à la suite d'actes de violence, certains étant par ailleurs membres de gangs néo-nazis comme leWhite Wolf Klan, qui a fait l'objet d'une dissolution administrative[102]puis par la société Ultreia sécurité & protection.
Jean Messiha et Antoine Diers, deux des figures les plus médiatiques de Reconquête, quittent le parti après l'élection présidentielle, Jean Messiha indiquant vouloir « reprendre [son] activité médiatique, intellectuelle ».Gilbert Collard,Jérôme Rivière,Benjamin Cauchy etJacline Mouraud prennent également leurs distances par la suite, mettant en cause le fonctionnement de Reconquête[103],[104].
De 2022 à 2024
Les statuts du parti sont modifiés lors de l'université d'été de par un vote de 32 000 adhérents. Le comité politique est supprimé, la direction du parti est désormais assurée par un bureau exécutif. Celui-ci, piloté par Éric Zemmour, est composé d'un président, de trois vice-présidents élus par le Congrès sur proposition du président et d'un à trois membres nommés par le président[105]. L'organigramme élu à cette occasion est le suivant[105],[106] :
Le, quatre jours après le lancement de Reconquête lors de la réunion publique deVillepinte, le parti revendique 40 000 adhérents[112]. Le tarif standard d'adhésion est fixé à 30 euros[113].
Reconquête revendique par constat d'huissier un peu plus de 85 000 membres en janvier 2022[114],[115].
Le, le parti annonce atteindre le palier des 100 000 adhérents[116].
Samuel Lafont, ancien de la campagne de François Fillon et de l'association« Contribuables associés », a importé au parti une méthode particulière, consistant à lancer des sites et des pétitions en fonction de l'actualité, et pas toujours officiellement raccordées à la campagne, afin de récupérer des coordonnées de sympathisants. SelonLe Monde,« pas moins de trente-six créations en ont émané, des plus classiques (de la campagne « Les maires avec Zemmour » au site Le Programme d’Eric Zemmour) aux plus baroques (« Pétition : suppression du permis à points », « Twitter : stop censure », « Soutien à l’agriculteur cambriolé », par exemple)… Autant de moyens pour l’équipe d'Éric Zemmour d’enrichir ses bases de données »[33]. Le parti achète également des listes et bases de données à d'autres prestataires, notamment la liste du lectorat deValeurs actuelles et deMieux vivre votre argent, au travers d'une société prestataire, Ad Litteram, dirigée par une figure de l'extrême droite,Tristan Mordrelle[33].
Mouvements annexes au parti
Mouvement de jeunesse
Logo du mouvement de jeunesse.
Génération Z (ou Génération Zemmour) est le mouvement de jeunesse du parti. Il est lancé parStanislas Rigault en février 2021, soit avant l'annonce de la candidature d'Éric Zemmour[117]. Son représentant estHilaire Bouyé[118].
Parents vigilants
En, le réseauParents vigilants est créé par des militants du parti après la défaite des élections de la même année. L'association de parents d'élèves est réputée pour mettre sous pression voire menacer les enseignants, personnels de direction et personnel médico-éducatif[119],[120],[121],[122].
Ralliements d'élus
Le parti ayant été fondé à la fin de l'année 2021, aucun des élus élu avant cette date n'a en conséquence été élu sous l'étiquette Reconquête.
Le,Stéphane Ravier a été condamné à une amende de 3 000 euros par letribunal correctionnel de Marseille pour diffamation à l'encontre de l'ONGSOS Méditerranée. Lesénateur qui avait accusé l'ONG en« d'être complice du trafic d'êtres humains » doit également lui verser la somme symbolique d'un euro au titre dupréjudice moral et de 3 000 euros pour frais de procédure. L'élu annonce vouloir faireappel[166],[167].
Condamnation pour contrefaçon de droits d'auteur et atteinte au droit moral
Le, le parti Reconquête, son président et François Miramont, alors responsable de l'association Les Amis de Zemmour, sont condamnés par letribunal judiciaire de Paris à verser 165 000 euros aux plaignants, parmi lesquels les sociétésGaumont etEuropaCorp, les réalisateursLuc Besson etFrançois Ozon, laSociété des auteurs et compositeurs dramatiques (SACD) ou encore les ayants droit du réalisateurHenri Verneuil et de l'écrivainJacques Prévert, qui l'avaient attaqué pour l'usage non autorisé d'extraits de leurs films dans son clip d'annonce de candidature. Le tribunal a jugé que ledroit de courte citation ne s'appliquait pas dans ce cas, car les extraits de films étaient utilisés pour illustrer le clip et non pour« un but exclusif d'information immédiate en relation directe avec les œuvres dont ils sont issus »[168],[169].
Collecte de données personnelles
Le, le parti est condamné par laCNIL à une amende de20 000 euros pour avoir récolté des adresses e-mails en manquant de transparence sur leur utilisation via un réseau de sites web en 2021 et 2022[170].
Plaintes envers "Parents vigilants"
Le Rectorat de Lille ainsi qu'un enseignant ou personnel de direction porte plainte après des menaces envers un cadre départemental du parti du réclame l'annulation d'une soirée d'information dans le lycée sur« les spécificités LGBT » et leurs conséquences sur la vie scolaire[pas clair][171].
Polémiques
Twitter
De nombreuxhashtags en faveur d'Éric Zemmour deviennent des top tendances surTwitter au cours de la campagne présidentielle de 2022. Ces tendances sont promues par des personnes ayant plusieurs comptes et ayant des comptes automatiques, écrivant destweets simultanément ou retweetant des centaines de fois des messages en quelques dizaines de minutes[172],[173]. Ces pratiques d'astroturfing sur plusieurs mois sont contraires aux règles fixées par le réseau social qui interdit l'amplification artificielle d'informations et les actions coordonnées de plusieurs comptes redondants par un même utilisateur[174],[172]. Cette campagne permet notamment au candidat, en dirigeant ses sympathisants vers certaines pétitions, d'avoir leurs coordonnées pour les inviter à adhérer à son parti ou pour des dons[172].
Lejournaliste Vincent Bresson, infiltré pendant quatre mois dans la campagne d'Éric Zemmour, dévoile la coordination de militants pour promouvoir et favoriser Zemmour sur l'encyclopédie en ligneWikipédia en opposition avec les règles du projet. Organisés au sein d'une cellule« WikiZedia » créée parSamuel Lafont, chef de la stratégie numérique, ils utilisent les messageriesTelegram etDiscord. La cellule comprend sept membres, dont Gabriel, un des plus gros contributeurs de Wikipédia (sur laquelle il intervient sous le pseudonyme de Cheep), ce qui provoque un scandale dans la communauté. Les pages ciblées sont relatives à Zemmour, sa campagne ou ses thèmes de prédilection et les actions de la cellule comprennent par exemple la tentative de remplacer le positionnement à l'extrême droite de Zemmour par« droite hors des murs », la suppression de la mention des polémiques sur l'homophobie ou la relativisation du rôle dePétain etLaval dans laShoah[175],[176],[177].
Facebook
En décembre, le parti lance des campagnes depublicité sponsorisées surFacebook pour augmenter son nombre d'adhérents, mais elles sont rapidement retirées par la plateforme, qui juge le procédé interdit[178],[179],[180].
Vincent Bresson révèle dans son enquête que l'équipe de compagne spamme des groupes Facebook apolitiques, le directeur de la stratégie numérique du candidat, Samuel Lafont« prophétisait que Facebook serait l'un des cœurs de la bataille finale. ». Bresson a reçu un SMS lui détaillant la stratégie :« Il s'agit d’investir le plus de groupes Facebook possible sur tous les thèmes et de publier sur ces groupes, commenter les publications avec du contenu sur Zemmour ». Il s'est retrouvé avec une liste de groupes à spammer :« La France insoumise » ;« Contre l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes » ou encore« Mylène Farmer : le mythe français »[181].
Propos racistes au sein du parti
Le journaliste Vincent Bresson relève, outre les propos racistes de plusieurs militants, le ceux de deux proches du candidat : la secrétaire personnelle Sophie Clavel et l'ex-préfet Gilbert Payet (mandataire financier de sa campagne) désignaient par le nom de« Mamadou » les employés noirs qui plaçaient les voitures sur le parking VIP d'une réunion publique à Villepinte[182].
Violence lors d'une réunion publique
Lors de la première réunion publique d'Éric Zemmour organisée àVillepinte enSeine-Saint-Denis le, des militants deSOS Racisme venus protester contre les propos considérés comme racistes du candidat sont agressés physiquement par des personnes qui assistaient à la réunion publique[183]. Ils seraient alors insultés et victimes de jets de chaises et de coups de poing. Le président de l'associationDominique Sopo l'assure :« l’action était tout à fait non violente »[184] ainsi que« Des chaises ont été lancées sur eux, certains se sont fait frapper alors qu’ils étaient à terre, d’autres ont fini avec le visage en sang… C’était ultraviolent. Tout ça pendant qu’Éric Zemmour était en train d’expliquer qu’il n’était ni raciste ni sexiste ».
Le porte-parole du parti affirme de son côté :« Éric Zemmour a été agressé par quelqu’un qui lui a sauté dessus. Cette personne, connue des services de police, a été remise aux fonctionnaires. » puis« appelle les militants à rester calmes ».
Une enquête est ouverte sur« les faits de violences commis à l’intérieur du meeting » selon une déclaration duparquet de Bobigny à l'AFP[185].
Polémiques internes
Selon une enquête deMediapart datant de mars 2022, des militants de Reconquête se plaignent de dérives autoritaires et radicales au sein du parti. Plusieurs militants s'étant entretenus avecMediapart font état de procédures d'exclusion menées sans preuves contre des militants s'étant plaint de la présence d'éléments radicaux au sein du parti. Un militant ayant été exclu du parti suivant des accusations de vol d'affiches, qu'il dément, et de déguisement lors de collages dénonce« un parti qui privilégie les enfants de labourgeoisie »[186]. Le même mois, Francine et Didier Floch, deux militants ayant par le passé travaillé dans lapornographie, se plaignent d'un« tribunal de l'Inquisition » en réaction à la démission du bureau ardéchois de Reconquête suivant le refus du couple de fermer deux blogs évoquant leur carrière pornographique[187].
Affichage sauvage
Le 20 février 2022, leConseil départemental de l'Orne dépose plainte en accord avec le préfet du département contre Reconquête pour dégradation debiens publics à la suite d'affichages« interdits et sauvages sur les équipements du Conseil départemental à de multiples reprises » pendant la campagne présidentielle 2022[188],[189].
En, la ville deGrenoble annonce facturer les frais de nettoyage d'affichage sauvage du parti qui ont été collées sur les dispositifs d'informations de la commune et nettoyées par les services de la municipalité[190],[191].
↑Décrits dans l'ouvrageAu cœur du Z de Vincent Bresson.
Références
↑« Éric Zemmour et le Rassemblement national: l’extrême droite française face à la valse des traîtres »,Le Temps,(ISSN1423-3967,lire en ligne, consulté le).
↑A.L avec AFP, « Le candidat béarnais Jean Lassalle estime que son logo de parti a été "volé" par Éric Zemmour », surfrance3-regions.francetvinfo.fr (France 3 Nouvelle-Aquitaine),(consulté le) :« Le député et candidat déclaré à la présidentielle Jean Lassalle a accusé vendredi Éric Zemmour d'avoir plagié les logos de son mouvement Résistons! et lui demande de changer ceux de Reconquête!, sous peine d'action judiciaire. ».
↑Jérémie Baruch, Maxime Vaudano, Vincent Nouvet et Anne Michel, « Derrière Éric Zemmour, les cinquante lieutenants d’une campagne d’extrême droite »,lemonde.fr,(lire en ligne, consulté le).
↑YannDuvert, « Présidentielle : Eric Zemmour retrouve de l'élan », surLes Échos,(consulté le) :« Reconquête, son parti créé il y a à peine deux mois, continue en parallèle de faire le plein, et a franchi mardi la barre des 100.000 adhérents. ».
↑Franck Johannès, « Eric Zemmour condamné pour la quatrième fois »,Le Monde.fr,(lire en ligne, consulté le).
↑Martin Untersinger et Corentin Lesueur, « Le parti d’Eric Zemmour sanctionné d’une amende par la CNIL pour « manque de transparence » dans sa collecte de données personnelles »,Le Monde,(lire en ligne)
↑Robin Korda et Ariane Riou, « «Parents vigilants» : comment Éric Zemmour veut embraser l’école »,Le Parisien,(lire en ligne, consulté le)