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Recherche, assistance, intervention, dissuasion

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Ne pas confondre avec leGIGN, qui dépend de la Gendarmerie nationale.

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Ne pas confondre avec laBRI, qui dépend, tout comme le Raid, de la Police nationale.

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Pour les articles homonymes, voirRaid.

RAID
Recherche Assistance
Intervention Dissuasion
Image illustrative de l’article Recherche, assistance, intervention, dissuasion
Écusson du RAID
Image illustrative de l’article Recherche, assistance, intervention, dissuasion
Équipe d'assaut à la fin d'une démonstration ().

Création
PaysDrapeau de la FranceFrance
BranchePolice nationale
TypeGroupe d'intervention
RôleLutte contre le Grand banditisme et le terrorisme
Effectif452
Fait partie deForce d'intervention de la Police nationale
Couleursnoir
Devise« Servir sans faillir »[1]
MascottePanthère noire
DécorationsMédaille de la sécurité intérieure échelon Or (2012)

Médaille d'honneur pour acte de courage et de dévouement échelon Or (2015)

CommandantCommissaire général Guillaume Cardy
modifier 

LeRAID est uneunité d'élite de laPolice nationale française. Le nom est choisi en référence au mot « raid », désignant un assaut militaire. Il a reçu parrétroacronymie le sens de :Recherche, Assistance, Intervention, Dissuasion[2].

Fondée en, l'unité participe, dans l'ensemble du territoire national, à la lutte contre toutes les formes decriminalité, degrand banditisme, deterrorisme et deprise d'otage.

Placé sous l'autorité directe dudirecteur général de la Police nationale, le RAID intervient à l'occasion d'événements graves, nécessitant l'utilisation de techniques et de moyens spécifiques pour neutraliser les individus dangereux, soit par la négociation soit par l'intervention.

Son rôle est notamment d'agir dans les situations de crise, du type prise d'otages, retranchement de forcenés ou arrestation de malfaiteurs à haut risque, ainsi que de contribuer à la lutte antiterroriste en apportant son concours aux services spécialisés, dans le cadre d'arrestations d'individus ou de groupes susceptibles de se livrer à des actions terroristes dans le territoire français.

Le service est basé àBièvres, dans ledépartement de l'Essonne, avec laCRS 8 au Domaine de Bel-Air[3], siège de l'unité centrale, et dispose, en outre, de seize antennes, réparties :

Historique

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Chronologie

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Positionnement des unités d'intervention avant.

Avant la création du RAID, la Police française — ne disposant pas d'une unité à compétence nationale comparable auGIGN de laGendarmerie — s'appuyait sur des unités régionales comme laBrigade de recherche et d'intervention (BRI) à Paris et lesGroupes d'intervention de la Police nationale (GIPN) en province. Le RAID est créé par un arrêté du duministre de l'Intérieur,Pierre Joxe[4], sur la recommandation de nombreux policiers et notamment ducommissaireRobert Broussard. Son premier chef est le commissaireAnge Mancini[5],[6].

L'effectif, initialement de80 personnes, passe à une centaine en, environ 130 au début des années pour atteindre 180 en[7]. Les femmes sont admises dans certaines fonctions opérationnelles à partir de[7].

À compter du, les septGIPN métropolitains, situés dans les villes deBordeaux,Lille,Lyon,Marseille,Nice,Rennes etStrasbourg, sont officiellement incorporés au sein du RAID et en deviennent ses antennes territoriales[a],[b],[8]. L'effectif total résultant dépasse la barre des 300.

Le, le ministre de l'IntérieurBernard Cazeneuve annonce la création de trois antennes territoriales supplémentaires àMontpellier,Toulouse etNancy[9]. Elles sont créées respectivement le, le et le[c].

Le, le Groupe d'intervention de la Police nationale (GIPN) deNouméa (Nouvelle-Calédonie) devient une antenne du RAID[d],[10].

Les deux derniers GIPN, dePointe-à-Pitre (Guadeloupe) et deSaint-Denis (La Réunion), sont transformés en antennes du RAID le[d].

En sont créées les antennes deFort-de-France (Martinique), deCayenne (Guyane) et deMamoudzou (Mayotte)[e].

Interventions notoires

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Présentation : libération d'otages dans un bus ().
Intervention du RAID lors de l'attentat du aumarché de Noël de Strasbourg.

Le RAID est notamment connu pour :

Le, dans le reportage « Au cœur de Kabul »[réf. incomplète], on voit une vingtaine de policiers du RAID s'occuper de la protection de l'ambassade de France à Kaboul, enAfghanistan, et de son ambassadeurDavid Martinon. Ils participent auxopérations d'évacuation consécutives à lachute de Kaboul et au rétablissement de l'Émirat islamique, peu avant leretrait des troupes de l'OTAN[22],[23].

Du au, une vingtaine d'agents sont déployés pour assurer lemaintien de l'ordre àMarseille lors desémeutes consécutives à la mort de Nahel Merzouk, lequel avait ététué par un policier quelques jours plus tôt. Cette mission de maintien de l'ordre est une première enFrance métropolitaine pour l'unité. À cette occasion, selon une enquête deLibération publiée en, ils commettent desviolences policières en frappant ou en tirant sur des personnes fuyant ou ne représentant pas de danger ; ils tuent une personne (Mohamed Bendriss), en éborgnent une autre, et en blessent de nombreuses autres[24].

Voir la catégorie :Opération du RAID.

Chefs du RAID

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Opérateurs du RAID lors d'une démonstration ().

Les chefs du RAID ont été successivement :

Voir la catégorie :Chef du RAID.

Devise

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« Servir sans faillir »[1].

Emblème

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L'emblème du RAID représente unepanthère noire, couleur de la tenue d'intervention des membres de l'unité[29]. Elle est au repos, une patte tombant de manière indolente[29]. Cet emblème est choisi en[29].

Missions

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Le RAID contribue, sur l'ensemble du territoire de la République, à la lutte contre toutes les formes de criminalité. À ce titre, il prête assistance aux services de police et il est notamment chargé :

  • d'intervenir à l'occasion de troubles graves à l'ordre public nécessitant l'utilisation de techniques et de moyens spécifiques ;
  • d'apporter son concours opérationnel aux services chargés de la prévention et de la répression de la criminalité organisée et du terrorisme ;
  • d'assister leService de la protection (SDLP) dans ses missions ;
  • de mettre à la disposition des services de police des matériaux spécialisés servis par le personnel de l'unité ;
  • de contribuer, en collaboration notamment avec ladirection des ressources et des compétences de la Police nationale, à l'instruction du personnel de police en matière de lutte antiterroriste ;
  • de procéder, en collaboration avec la direction des ressources et des compétences de la police nationale et la direction centrale de la police judiciaire, à des études et des essais de techniques et de matériels d'intervention ainsi qu'à la formation de fonctionnaires de police ou de services dans le cadre de ses activités.

Le RAID assure également la protection approchée de certains ambassadeurs de France à l'étranger[30]. Cette mission est partagée avec le GIGN qui assure les mêmes missions dans d'autres pays[31].

  • Démonstration de protection d'une autorité en zone dangereuse
  • Riposte lors d'une embuscade.
    Riposte lors d'une embuscade.
  • Extraction de l'autorité de son véhicule.
    Extraction de l'autorité de son véhicule.
  • Évacuation de l'autorité.
    Évacuation de l'autorité.

Organisation

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Le RAID dans la Police nationale

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Écusson de laFIPN.

Placée sous l'autorité directe dudirecteur général de la Police nationale, l'unité est dirigée par un fonctionnaire du corps de conception et de direction de la Police nationale[f].

Le RAID fait partie de laforce d'intervention de la Police nationale (FIPN) qui comprend également laBrigade anticommando de lapréfecture de police de Paris (c'est-à-dire la Brigade de recherche et d'intervention (BRI) de la Préfecture de Police de Paris (PP), renforcée par d'autres unités de la PP). Lorsque la FIPN est activée, le chef du RAID en assure la coordination opérationnelle.

Le RAID ne peut être déplacé ou employé que sur ordre du directeur général de la Police nationale. Il n'intervient que sous le commandement de sa hiérarchie. Il n'a pas compétence pour la suite judiciaire des faits sur lesquels il est intervenu. Il peut être mis à la disposition despréfets et desprocureurs de la République qui en font la demande. Dans ce cas, l'autorité requérante définit la mission générale assignée à ce service. Le chef de l'unité chargé de l'exécution de la mission demeure seul responsable des conditions et des modalités techniques de son exécution. Les chefs des services territoriaux de police lui apportent leur concours[g]. Depuis, dans les territoires concernés, comme la Nouvelle-Calédonie, l'unité du RAID est intégrée à ladirection territoriale de la Police nationale[32].

Au sein duministère de l'Intérieur, la coordination et l'interopérabilité entre le RAID et le GIGN sont assurées par l'Ucofi (Unité de coordination des forces d'intervention), créée en[33]. La procédure d'urgence absolue (PUA) instaurée en dans le cadre duSchéma national d'intervention des forces de sécurité par le ministre de l'Intérieur en réponse auxattentats de autorise — en cas de crise majeure ou de crises multiples — l'intervention de toute unité en mesure de la faire en tout point du territoire (donc en s'affranchissant du critère de compétence géographique qui s'impose habituellement)[9].

Effectifs

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Équipe médicale lors d'une démonstration ().

Le RAID comptait au,168 fonctionnaires, dont trois membres du corps de conception et de direction (commissaires de police), 21 du corps de commandement, 119 du corps d'encadrement et d'application et25 personnels administratifs et techniques (dont un psychologue et six médecins).

Depuis le printemps, le renforcement des effectifs, notamment par l'intégration des opérateurs desGIPN de métropole et d'outre-mer, a conduit l'unité à atteindre le seuil des400 personnes.

Les opérationnels sont organisés en groupes d'assaut, groupe de parachutistes, de plongeurs, de négociateurs, lepool GOST (Groupe opérationnel de soutien technique), pool Oméga (les snipers), pool effraction et poolcynophile[34].

L'admission dans l'unité obéit à des critères très stricts, notamment en ce qui concerne les tests d'aptitude physique, médicaux et psychotechniques. Certains postes opérationnels (négociation, tir de précision…) sont occupés par des personnels féminins[7].

Le profil des membres de l'unité a sensiblement évolué depuis sa création. Alors qu'à l'origine, il était principalement composé d'inspecteurs (maintenant appelés officiers), en, le RAID emploie majoritairement des gradés et des gardiens[7].

Depuis la création du RAID, trois de ses policiers ont perdu la vie en opération : deux àRis-Orangis en et un enCorse en.

Recrutement

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Le recrutement au sein du RAID se fait chaque année sur la base du volontariat. Le candidat doit compter au minimum trois ans d'ancienneté au sein de laPolice nationale et avoir moins de40 ans pour les gardiens de la paix ou moins de45 ans pour les officiers du corps de commandement[35],[36]. Après une première sélection sur dossier, des épreuves de sélection d'une durée d'une semaine ont lieu. Parmi ces épreuves figurent notamment des épreuves physiques, des épreuves psychologiques et psychotechniques et des épreuves sportives et techniques[35],[36]. Les candidats ayant réussi ces épreuves de sélection intègrent ensuite un cycle de formation initiale éliminatoire d'une durée de seize semaines durant lequel ils sont formés aux rudiments de la tactique et acquièrent les qualifications nécessaires à l’accomplissement de leur future mission d’opérateur du RAID. Les candidats ayant réussi les épreuves de la formation initiale sont ensuite affectés, selon les besoins du service, soit au sein de l’unité centrale soit au sein de l'une de ses antennes. À l'issue de cette affectation, les opérateurs sont encore soumis à une période probatoire de6 mois avant que leur habilitation ne leur soit délivrée[35],[36].

Les policiers du RAID sont soumis à des tests tous les3 ans pour vérifier qu'ils ont toujours le niveau requis[35],[36].

Budget

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Le RAID disposait pour l'année d'un budget de fonctionnement et d'équipement de plus de 2 000 000 € ainsi que de deux enveloppes spécifiques complémentaires. La première, d'un montant de 85 000 €, est destinée à l'acquisition de matériels soumis à autorisation. La seconde, d'un montant de 70 000 €, permet au RAID de prendre en charge les dépenses de formation de ses personnels et des fonctionnaires nouvellement affectés au sein des groupes d'intervention de la Police nationale.

Son budget total est donc d'environ2,17 millions d'euros[37] (hors frais de personnel).

Équipement

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Opérateurs du RAID ().
Pistolets Glock 17, 19 et 26.

Armement

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Les fonctionnaires du RAID ont à leur disposition une large gamme d'armement parmi lesquelles :

Protections

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Chaque groupe d'assaut est composée de deux ou trois hommes dont l'un est équipé d'unbouclier balistique[38].

Moyens de transport

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Doté de nombreux moyens de transports (motos, véhicules banalisés, véhicules blindés, etc.), le RAID dispose également depuis de l'appui duGroupe interarmées d'hélicoptères (GIH), unité duCommandement des opérations spéciales (COS), créée en pour l'appui au GIGN[39].

Liste non exhaustive des véhicules utilisés par le RAID
Véhicules blindés
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En complément d'un parc de véhicules en dotation permanente comme lePanhard PVP, le RAID déploie régulièrement des véhicules blindés mis à sa disposition par des industriels dans le cadre de partenariats de longue durée.

  • Panhard PVP : véhicule blindé léger de couleur noire (métropole) et en camouflage centre-europe (Outremer)[40]. Équipe également les antennes RAID.
  • Nexter Titus : véhicule blindé 6x6 plus lourd, prêté au RAID par Nexter. Son gabarit est proche du blindé Griffon de l'Armée de terre.
  • Cambli Blackwolf : véhicule blindé léger en service depuis[41]. Assemblé au Canada. Son gabarit est proche de celui desARQUUS Sherpa Light du GIGN et de la BRI.
  • Renault Centurion ː véhicule blindé plus imposant que le PVP et le Blackwolf. Il est similaire par son aspect et son gabarit auxRG-12 etMaverick (en) sud-africains, en service depuis pour la protection desJeux olympiques de Paris.
  • Véhicules blindés utilisés ou présentés par le RAID
  • PVP du RAID lors d'une présentation au salon Eurosatory (2018).
    PVP du RAID lors d'une présentation au salonEurosatory ().
  • Renault Centurion lors d'une démonstration (2024).
    Renault Centurion lors d'une démonstration ().
  • Cambli BlackWolf lors d'une démonstration (2024).
    Cambli BlackWolf lors d'une démonstration ().
  • Véhicule blindé Titus utilisé par le RAID à l'occasion de la COP 21 au Bourget (2016).
    Véhicule blindéTitus utilisé par le RAID à l'occasion de laCOP 21 auBourget ().

Le RAID dans la culture populaire

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Notes et références

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  1. ab etcJulie Saulnier,« Qui est le nouveau patron du Raid ? »,L'Express,(version du surInternet Archive).
  2. AFP, « La police se dote d'une Force d'intervention pour répondre aux crises majeures »,Le Monde,(consulté le).
  3. « Le domaine de Bel-Air », surbievres.fr(consulté le).
  4. Quelques années plus tard, ministre de la Défense, il sera également décisionnaire dans la création duCommandement des opérations spéciales (COS).
  5. Courtois 1999,p. 21–26.
  6. Robert Broussard (avec lacollab. de son filsPhilippe Broussard),Mémoires, Paris,Nouveau Monde Éditions,coll. « Nouveau monde poche / document »,, 894 p.(ISBN 978-2-84736-669-3),p. 763–766.
  7. abc etdTanguy 2015.
  8. À l'issue de cette réforme, seuls les trois GIPN ultra-marins conservent ainsi leur dénomination d'origine jusqu'en (Nouméa) et (Pointe-à-Pitre et Saint-Denis).
  9. a etbSchéma national d'intervention des forces de sécurité 2016.
  10. Nadine Goapana, « R.A.I.D 988: une nouvelle unité d'élite de la police nationale créée », surfranceinfo.fr,Nouvelle-Calédonie La 1ère,.
  11. Pellegrini 1994,p. 68.
  12. Patricia Tourancheau,« Le Petit Poucet du Gang des postiches »,Libération,(version du surInternet Archive).
  13. « Chronique des actes terroristes d'Action Directe », surle.raid.free.fr(consulté le).
  14. AFP, « Des interventions des forces de l'ordre qui se terminent dans le sang »,La Dépêche du Midi,.
  15. « Human Bomb, Prise d'otages à la maternelle », surle.raid.free.fr(consulté le).
  16. « RAID - Le Gang de Roubaix », surle.raid.free.fr(consulté le).
  17. « Arrestation d'Yvan Colonna », surle.raid.free.fr(consulté le).
  18. « Jean-Pierre Treiber arrêté par le RAID à Melun »,RTL,(version du surInternet Archive).
  19. Julien Ricotta,« Charlie Hebdo : quelles différences entre le GIGN et le Raid ? »,Europe 1,(version du surInternet Archive).
  20. « Assaut à Saint-Denis : un déploiement de forces « colossal » »,Le Parisien,(consulté le).
  21. Élise Vincent et Jean-Baptiste Jacquin, « Prison de Condé-sur-Sarthe : le détenu qui a blessé deux surveillants maîtrisé par le RAID, sa femme tuée »,Le Monde,(consulté le).
  22. AFP, « Afghanistan. Comment le Raid a «négocié» l'exfiltration de350 Français et Afghans avec les talibans »,Ouest-France,.
  23. Nicolas Goinard, « Le patron du Raid raconte l'évacuation de l'ambassade à Kaboul, «la crise la plus intense» qu'il ait connue »,Le Parisien,.
  24. Ismaël Halissat, Fabien Leboucq et Antoine Schirer (montage vidéo et motion design), « Coups, tirs injustifiés, éborgnement… Les vidéos des exactions du Raid à Marseille dans les nuits suivant la mort de Nahel Merzouk en »,Libération,.
  25. « Amaury de Hauteclocque, boss de la police de choc »,Libération,(version du surInternet Archive).
  26. Et chef de laForce d'intervention de la Police nationale depuis 2009.
  27. AFP, « Le nouveau patron du Raid, Jean-Baptiste Dulion, prend ses fonctions »,Europe 1,.
  28. AFP, « Guillaume Cardy, l'un des premiers policiers à être intervenu lors de l'attaque du Bataclan, nommé patron du Raid »,Le Figaro,.
  29. ab etc« Quand le RAID se cherchait un emblème », sursfhp.fr, Société française d'histoire de la police,.
  30. Missions du RAID, surpolice-nationale.interieur.gouv.fr, (version du surarchive.is).
  31. Missions du GIGN, surgendarmerie.interieur.gouv.fr,(version du surInternet Archive).
  32. « DTPN - Direction Territoriale de la Police Nationale de la Nouvelle-Calédonie », surnouvelle-caledonie.gouv.fr,Haut-commissariat de la République en Polynésie française.
  33. Pierre-Marie Giraud et Matthieu Guyot, « Attaques terroristes : Le patron du GIGN raconte » (entretien avec le colonel Hubert Bonneau, commandant du GIGN),L'Essor de la Gendarmerie nationale,no 478,‎.
  34. « Pools du RAID », surle.raid.free.fr.
  35. abc etd« Devenir Policier du RAID », surpolice-nationale.net.
  36. abc etd« Les policiers du RAID », surforcesdelordre.fr.
  37. « QuestionNo  : 51077 deM.Urvoas Jean-Jacques (socialiste, radical, citoyen et divers gauche - Finistère) », surquestions.assemblee-nationale.fr,Assemblée nationale française,(consulté le).
  38. « Groupe Inter », surle.raid.free.fr.
  39. Jean-Marc Tanguy, « La Force d'intervention de la Police nationale »,Police Pro,no 18,‎.
  40. Jean-Marc Tanguy, « Avec l'antenne RAID à Nouméa »,Raids,no 386,‎.
  41. Pierre-Olivier Marie, « Blackwolf, la nouvelle recrue du RAID »,Caradisiac,.

Dans leJournal officiel de la République française (JORF), surLégifrance :

  1. Arrêté du modifiant l'arrêté du relatif aux missions et à l'organisation des services composant la force d'intervention de la police nationale et portant dispositions sur l'affectation et l'aptitude professionnelle de leurs agents, JORF,no 92,, texteno 17,NOR INTC1507789A.
  2. Arrêté du pris en application de l'article 2-1 de l'arrêté du relatif aux missions et à l'organisation des services composant la force d'intervention de la police nationale et portant dispositions sur l'affectation et l'aptitude professionnelle de leurs agents, JORF,no 119,, texteno 14,NOR INTC1511764A[version consolidée].
  3. Arrêté du modifiant l'arrêté du pris en application de l'article 2-1 de l'arrêté du relatif aux missions et à l'organisation des services composant la force d'intervention de la police nationale et portant dispositions sur l'affectation et l'aptitude professionnelle de leurs agents, JORF,no 176,, texteno 35,NOR INTC1615104A.
  4. a etbArrêté du portant diverses dispositions relatives au recrutement, à la formation, aux missions et à l'organisation des services composant la force d'intervention de la police nationale en outre-mer, JORF,no 92,, texteno 4,NOR INTC1809830A. Cet arrêté porte sur la transformation desGIPN en antennes du RAID à Nouméa (Nouvelle-Calédonie) le, et à Pointe-à-Pitre (Guadeloupe) et à Saint-Denis (La Réunion) le1er mars 2019.
  5. Arrêté du modifiant l'arrêté du pris en application de l'article 2-1 de l'arrêté du relatif aux missions et à l'organisation des services composant la force d'intervention de la police nationale et portant dispositions sur l'affectation et l'aptitude professionnelle de leurs agents, JORF,no 225,, texteno 4,NOR IOMC2420813A.
  6. Arrêté du, article 3.
  7. Arrêté du, article 4.

Annexes

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Bibliographie

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Textes officiels

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Ouvrages

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Articles de presse

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Articles connexes

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Liens externes

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Directions et services
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Établissements publics administratifs
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