| Rafle de Dijon | |
| Type | Rafle (Shoah en France) |
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| Pays | |
| Localisation | |
| Organisateur | |
| Date | du 21 au |
| Répression | |
| Arrestations | 87 (hommes, femmes et enfants) |
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La principalerafle de Dijon est unerafleantisémite perpétrée sous l'autorité durégime de Vichy qui se déroula du 21 au àDijon (Côte-d'Or).
87 personnes, hommes, femmes et enfants, sont arrêtées et déportées deDrancy versAuschwitz. Seuls deux survivants de ce groupe ont été identifés. L'école Jules-Ferry, située rue Docteur-Tarnier, porte le nom de Paulette Lévy depuis 2014.
Elle fait suite à deux autres rafles qui avaient eu lieu en 1942.
Le 26 février 1942, lors de la seconde guerre mondiale, la police allemande arrête 11 juifs à Dijon. Ils seront ensuite déportés et exécutés dans des centres d’extermination nazis[1].
Une autre rafle de juifs étrangers réfugiés à Dijon a lieu les et. 21 personnes sont détenues pendant ces deux jours à l'Hôtel de ville de Dijon. De laGare de Dijon-Ville, elles sont transférées aucamp de Pithiviers, puis déportées àAuschwitz, par le Convoino 6, en date du.
La rafle dite « rafle de Dijon » est donc la troisième[2] durant laSeconde Guerre mondiale. Elle a lieu du 21 au.
87 personnes, hommes, femmes et enfants, sont arrêtées et emmenées dans l'école Jules-Ferry, rue Jean Jaurès, à Dijon. Elles sont déportées par le Convoino 69, en date du, deDrancy versAuschwitz. Seuls deux survivants ont pu être identifié:Paulette Lévy[3],[4],[5] et Gilbert Cahn, sorti de l'oubli en 2025[6].
L'école Jules-Ferry, située rue du docteur Tarnier, porte le nom de Paulette Lévy depuis 2014[7],[8].