| Surnoms | Le Racing Les Ciel et Blanc Les Racingmen |
|---|---|
| Noms précédents | Racing Club de France(1890-2001) Métro Racing 92(2001-2005) Racing Métro 92(2005-2015) |
| Fondation | 1890 (fondation duRacing Club de France) 2001 (fusion duRacing Club de France et de l'US Métro) 2015 (séparation de l'entitéUS Métro) |
| Statut professionnel | SASP |
| Couleurs | Ciel etblanc |
| Stade | Paris La Défense Arena (32 000 places) |
| Siège | 11 avenue Paul Langevin, 92350Le Plessis-Robinson |
| Championnat actuel | Top 14 (2024-2025) ERCC1 (2024-2025) |
| Propriétaire | |
| Président | |
| Entraîneur | |
| Joueur le pluscapé | |
| Meilleur buteur | |
| Meilleur marqueur | |
| Site web | www.racing92.fr |
| National[note 1] | Championnat de France de première division (6) Championnat de France de deuxième division (3) Coupe de l'Espérance (1) |
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Maillots
Actualités
Dernière mise à jour :.
LeRacing 92, anciennementRacing Club de France Rugby jusqu'en 2001, puisRacing Métro 92 jusqu'au 10 juin 2015, est unclubfrançais derugby à XV fondé àParis en1890 en tant que sectionrugby duRacing Club de France et basé aujourd'hui auPlessis-Robinson dans le département desHauts-de-Seine, dans la banlieue ouest de la capitale.
Ancien pensionnaire dustade olympique Yves-du-Manoir deColombes, il joue actuellement à laParis La Défense Arena deNanterre et s'entraîne auPlessis-Robinson où se trouve son siège.
Le Racing 92 est sextuplechampion de France (1892, 1900, 1902, 1959, 1990, 2016) dont le premier championnat de l'histoire en1892, un dePro D2, uneCoupe de l'Espérance et quinze titres de champions de France dans les catégories de jeunes, en incluant le palmarès des deux clubs fondateurs. Il est depuis 2006 présidé parJacky Lorenzetti, actuel actionnaire majoritaire du club après avoir racheté la majorité des parts de la SASP. L'équipe première évolue dans leTop 14 depuis 2009. Elle estchampionne de France 6 fois, dont la dernière en 2016 auCamp Nou, devant 99 124 spectateurs (record mondial de spectateurs pour un match de rugby entre clubs).

Le Racing Club, fondé en1882, était à l’origine une association vouée à l’athlétisme (Racing Club de France (athlétisme)). Devenu Racing club de France en 1885, il ajoute régulièrement de nouvelles sections (17 en 2006, pour 20 000 licenciés), dont celle derugby à XV, créée en 1890. Le Racing devient alors un protagoniste majeur du rugby français. Le club remportele premier championnat de France en un match unique, le 20 mars 1892[1], en battant leStade français Paris rugby 4-3. L’année suivante, les stadistes prennent leur revanche (7-3). Le Racing termine deuxième de la compétition disputée uniquement par les clubs parisiens jusqu’en 1898 avant d’être sacré à deux reprises en 1900 et en 1902 face auStade bordelais. Enfin, il s’incline en finale contre leStade toulousain en 1912. Il remporte laCoupe de l'Espérance, qui fait office de championnat pendant laPremière Guerre mondiale en 1918, puis participe à la première finale d’après-guerre, qu’il perd contre leStadoceste tarbais.
En 1907, le club délaisseParis pour s'installer austade du Matin, tout juste construit et situé dans la banlieue ouest deColombes.
En raison de laPremière Guerre mondiale et d'un grand nombre de joueurs directement concernés par le conflit, lechampionnat n'est pas joué. UneCoupe de l'Espérance concernait donc essentiellement de jeunes joueurs, pas encore appelés sous les drapeaux est alors créée par l'Union des sociétés françaises de sports athlétiques en 1915[3].En1918, le Racing CF remporte la3e édition auStade du Matin àColombes face auFC Grenoble[4].

Au début des années 1920, presque toutes les sections duRacing Club de France, dont celle durugby à XV sont basés àColombes vu que le club omnisports est locataire du stade. Ce dernier est agrandi pour la réception desJeux olympiques de Paris de 1924 et devient alors le plus grand stadefrançais etfrancilien.
Le Racing est le fondateur duChallenge Yves du Manoir, du nom d’un de sesouvreurs, huit fois international, mort à 23 ans, et symbole de l’insouciance du jeu (voirCouleurs et esprit).
En son hommage, lestade olympique de Colombes porte son nom à partir de 1928 et s'appelle désormais officiellementstade olympique Yves-du-Manoir.
Le club connaît à nouveau le succès dans les années 1950, avec deux finales perdues en1950 contre Castres et1957 contre Lourdes, et un titre en1959, sous la houlette du BéarnaisFrançois Moncla, avec à ses côtésMichel Crauste qui devait partir pourLourdes la saison suivante (où il remporte aussitôt un nouveau titre).
Il faudra attendre près de 30 ans avant de revoir le maillot ciel et blanc en finale. En1987, 3 ans seulement après sa remontée en première division, le club s’incline face à Toulon après avoir éliminé leStade toulousain en demi-finale.
Le Racing est battu en quart de finale1988 puis en huitièmes de finale en1989 avant de connaître, en1990, sa cinquième consécration en battant successivementGrenoble en quart sur un essai refusé à tort aux alpins[5],[6], leStade Toulousain 21-14 comme 3 ans plus tôt en demi-finale puis leSU Agen en finale (22-12 après prolongations).Le Racing était alors emmené par une génération exceptionnelle avec notammentFranck Mesnel,Jean-Baptiste Lafond,Philippe Guillard,Laurent Bénézech ouÉric Blanc.
L’année suivante, leStade toulousain prendra sa revanche en éliminant les Franciliens en demi-finale duChampionnat à Bordeaux 13-12 et en quart de finale duChallenge 25-15 à Brive.
Le déclin s’amorce peu après car les changements des années 1990 dans le rugby ne se firent pas sans heurts au sein d’une institution aussi attachée à l’esprit amateur et qui rejeta longtemps le professionnalisme.En 1992, le Racing est éliminé en huitième de finale duChampionnat parGrenoble et en demi-finale duChallenge parNarbonne.
La saison 1993 offrait de grands espoirs avec notamment la reconstitution de la paire de centre toulousainneDenis Charvet etÉric Bonneval mais ce dernier, handicapé par une ancienne blessure au genou jouera finalement peu et le Racing échouera à se qualifier pour le Top 16 enChampionnat.Christian Lanta quitte alors son piste etRobert Paparemborde revient comme entraîneur principal.
Deuxième de sa poule deChampionnat en 1994, le Racing se qualifie pour le Top 16 mais échoue à se qualifier pour les quarts de finale, devancés par lesmammouths de Grenoble, revanchards après avoir perdu une finale de championnatcontroversée[7]la saison précédente etMontferrand, futur vice-champion de France.
Robert Paparemborde se retire pour laisser la place àBob Dwyer, l'entraîneur champion du monde avec l'Australie en1991 mais c'est un échec.Dernier de sa poule, l’équipe est ensuite relégué une première fois en1996.

L'équipe entraînée par Christophe Mombet et emmenée par le capitaineOlivier Beaudon, les emblématiquesDarren Adams,Patrick Goirand,John Daniell et sa jeune formationAlexandre Audebert,Nicolas Le Roux, Victor da Silva etAnthony Vigna remporte lechampionnat de France du groupe A2 en1998[8].Puis la relégation arrive de nouveau en 2000.
Propriétaire du club depuis 1999, l'entrepriseEden Park, fondée par des anciens du club (Franck Mesnel, Éric Blanc et Jean-Baptiste Lafond entre autres) tente de donner un nouveau souffle, en se rapprochant de l’US métro, le club sportif de laRATP. Les deux équipes seniors fusionnent en 2001, sous le nom deMétro Racing 92, dans le cadre d’une Société anonyme sportive professionnelle appelée Racing Club de France rugby. Le club est repêché enPro D2 malgré sa dernière place derrière leIstres etNîmes lors duchampionnat 2000-2001.
Ancien du club,Éric Blanc devient le président. L’équipe est rebaptiséeRacing Métro 92 en 2005. Le Racing club de France et l’US Métro conservent leurs équipes de jeunes.
Seule la section professionnelle duRacing club de France et celle de l'US Métro se sont associées pour former leMétro Racing 92 puis leRacing Métro 92, une entité à but purement professionnel. Les sections amateurs continuent à évoluer indépendamment au sein de leur club respectif. Le Racing club de France a signé une convention le 21 novembre 2006 permettant au Racing Métro 92 d'utiliser l'intitulé « Racing » et les couleurs du Racing club de France à l'exclusion de tout autre prérogative. Ce droit a été accordé pour 21 ans, renouvelable une fois.
En décembre 2005, le club embauche l’ancien internationalDidier Camberabero, puis en juillet 2006Philippe Benetton, qui entraînaitCahors, pour s’occuper des avants. En 2006, c’est aussi l'arrivée deJacky Lorenzetti, patron et fondateur du géant de l'immobilierFoncia, qui reprend la majorité des parts. Avec lui, le club se fixe pour objectif la montée dans leTop 14 d'ici 2008 et la qualification pour laCoupe d'Europe d'ici 2011. Éric Blanc devient manager du club.
Le recrutement spectaculaire pour la saison2007-2008 commence avec les signatures de l'ancien entraîneur duXV de France et d'ItaliePierre Berbizier et comme joueurs:David Auradou,Sireli Bobo,Michel Dieudé,Jean-Frédéric Dubois,Carlo Festuccia,David Gérard,Andrea Lo Cicero,Thomas Lombard,Jone Qovu,Simon Raiwalui,Laurent Sempéré,Franck Tournaire,Ludovic Valbon,Jonathan Wisniewski ou encoreAgustín Pichot.
Après la désillusion de la finale 2008 perdue contreMont-de-Marsan, le Racing Métro 92 entame une saison 2008-2009 prometteuse avec les arrivées deJérôme Fillol (Stade français),Olivier Diomandé (Montpellier),François van der Merwe (Lions),Mehdi Merabet (Toulon),Patrice Collazo (Gloucester),Craig Smith (Édimbourg),Álvaro Galindo (Béziers) etAndrew Mehrtens (Toulon). Les arrivées deDan Scarbrough ainsi que deSantiago Dellapè et d'Andrea Masi en cours de saison, viennent compléter ce recrutement en vue d'une montée enTop 14 que le club obtient en remportant le titre haut la main. Au terme de la saison 2008-2009, le club remonte enTop 14 grâce à une victoire àBordeaux Bègles sur le score de 12-33 à deux journées de la fin.
La première saison du Racing Métro 92 enTop 14 se fait avec ambition grâce à un recrutement de luxe. Ainsi les internationaux françaisLionel Nallet etSébastien Chabal rejoignent le groupe ainsi que le champion du monde sud-africainFrançois Steyn. Malgré un début de saison difficile et une performance décevante enAmlin Cup le Racing trouve un rythme en milieu de saison pour finir sixième de la saison régulière, se qualifiant ainsi pour les barrages ainsi que pour laH-Cup.

La saison 2010-2011 a pour objectif de continuer sur la lancée de la précédente et le Racing Métro 92 renforce son objectif dans ce but avec, notamment, les arrivées de l'international françaisBenjamin Fall ainsi que de l'ouvreur argentinJuan Martín Hernández. Le Racing termine deuxième de la saison régulière et sa qualifie donc ainsi directement pour les demi-finale du championnat de France et en H-Cup.
La saison 2011-2012 est en deçà de la précédente[9]. Après un bon début de saison, le Racing Métro 92 connaît des résultats irréguliers et oscille entre la cinquième et la septième place. La campagne européenne est un fiasco avec une victoire pour cinq défaites dont trois à domicile. Dès novembre, les mauvais résultats et une mésentente entre le manager généralPierre Berbizier et l’entraîneur des trois-quartsSimon Mannix[10] conduisent le club à remplacer ce dernier parGonzalo Quesada. Malgré le divorce croissant entre Pierre Berbizier et une partie des joueurs[9], le club parvient à obtenir une place en barrages où il est éliminé par leRC Toulon. À l'issue de la saison, le président Lorenzetti nomme Gonzalo Quesada comme entraineur en chef du groupe professionnel. Pierre Berbizier reste au club en qualité de "directeur du rugby".
La saison 2012-2013 est contrastée. Après un début de championnat difficile, le club réussit une très bonne seconde partie de championnat, marquée par une série de 9 victoires consécutives. Il parvient à se qualifier pour la quatrième fois consécutive pour les phases finales mais est éliminé par leStade toulousain en barrages[11]. Pierre Berbizier, entraîneur emblématique de la remontée du Racing au plus haut niveau quitte le club à l'issue de la saison. L’entraîneur Gonzalo Quesada est également remercié et remplacé par les anciens entraîneurs de l'US Montauban et duCastres olympique,Laurent Travers etLaurent Labit.
Pour la saison 2013-2014, le club a annoncé 14 arrivées[12] dont le meilleur joueur duTournoi des Six Nations 2012, le troisième ligneDan Lydiate[13], le centre emblématique desCardiff BluesJamie Roberts et le demi d'ouverture duLeinsterJonathan Sexton.Ces arrivées correspondent à une quinzaine de départs dont plusieurs joueurs présents depuis la Pro D2 :Sireli Bobo,Santiago Dellapè,Alvaro Galindo,Johnny Leo'o,Andrea Lo Cicero, Mika Tuugahala.
Le, le Racing Métro 92 se sépare juridiquement de l'US métro après quatorze saisons d'union, et est renommé le Racing 92[14],[15].

Le, 26 ans après sa précédente finale, au terme d'un match durant lequel l'équipe joue à quatorze pendant plus de 60 minutes après le carton rouge reçu parMaxime Machenaud, le Racing 92 s'impose face au RC Toulon sur le score de21 à 29 à l'occasion de la finale duchampionnat de France jouée auCamp Nou de Barcelone devant 99 124 spectateurs (record mondial de spectateurs pour un match de rugby entre clubs[16]).

Le 13 mars 2017, le Racing 92 et leStade français annoncent le projet de fusion des deux équipes professionnelles pour la saison 2017-2018[17]. Quelques jours plus tard, à la suite de nombreuses contestations notamment des joueurs du Stade français, l'annulation du projet est annoncée par Jacky Lorenzetti via un communiqué[18] le.
En Coupe d'Europe, compétition à laquelle il participe de manière continue depuis lasaison 2010-2011, le Racing obtient ses premiers grands succès en se qualifiant une première fois en finale durant lasaison 2015-2016 après avoir battuLeicester en demi-finale (16-19). Les Racingmen sont défaits 21-9 par lesSaracens àLyon dans un match sans essais. Après avoir échoué à se qualifier pour les quarts de finale lors de lasaison 2016-2017, le Racing accède de nouveau en finale lors de l'édition2017-2018 après avoir disposé de Clermont en quart (17-28) et du Munster en demi (27-22). Les Racingmen sont défaits 15 à 12 face auLeinster, dans un match une nouvelle fois sans essais àBilbao.
Les Racingmen, vice-champions d'Europe et deuxième la saison régulière, échouent de peu en demi-finale du Top 14 en 2018 contre leCastres Olympique, futur champion de France, à Lyon (19-14).
En2019, le Racing 92, quatrième de la saison régulière, s'incline à domicile en barrage contreLa Rochelle (13-19) , dans un match joué austade Yves-du-Manoir pour la première fois depuis deux ans et demi.
EnCoupe d'Europe, le Racing 92, premier de sa poule, est éliminé à domicile dès les quarts-de-finale par le Stade toulousain au terme d'un match très disputé sur le score de 21 à 22.
En2020, le Racing 92 se qualifie pour la troisième fois de son histoire en finale de laCoupe d'Europe contre lesExeter Chiefs àBristol, après avoir battu Clermont en quart de finale et les Saracens en demi-finale. Les phases finales de cette édition de Champions Cup se sont jouées en septembre et octobre 2020, en raison de lapandémie de Covid-19. Lors d'un match ouvert avec 4 essais de chaque côté, le club s'incline une nouvelle fois en finale, après des erreurs individuelles et collectives sur le score de 31 à 27.
Lechampionnat de France, interrompu par lapandémie en mars ne reprendra pas contrairement aux autres championnats européens. À l'interruption du championnat, le Racing 92 occupait la troisième place du classement, derrièreBordeaux etLyon.
À laParis La Défense Arena, à l'issue de lasaison 2020-2021, le Racing 92, 3e de la saison, élimine en barrage leStade français Paris (38-21) dans underby francilien. Cependant, les Racingmen perdent contre leStade rochelais vice-champion d'Europe en demi-finale (19-6).
EnCoupe d'Europe, le Racing parvient à se qualifier pour les huitièmes de finale dans le nouveau format de la compétition et bat largement le club d'Édimbourg 56 à 3. Les Racingmen sont cependant éliminé en quarts parBordeaux Bègles (21-24).
En 2021-2022, les Racingmen sont éliminés en demi-finale de la Coupe d'Europe (13-20) contre leStade rochelais vice-champion d'Europe. En Top 14, le Racing 92 s'incline en barrage contre l'Union Bordeaux Bègles (36-16).
En 2022-2023, les ciels et blancs terminent la saison régulière duTop 14 à la 5ème place du championnat. En Barrage, ils éliminent leStade Français Paris chez eux, austade Jean-Bouin, 33 à 20. Ils seront cependant éliminés en demi-finale par le Stade Toulousain (41-14) à laReale Arena (Stade d'Anoeta) de San Sebastian (Espagne). En Coupe d'Europe, le Racing termine 10ème de leur poule sur 12.
Présent dès lapremière édition duchampionnat de France, le Racing est présent de manière fréquente en première division mais connaît des épisodes endeuxième division dont le plus long et le plus récent de2000 à2009.
| Saison | Championnat | Nb équipe/poule | Division | Classement | Phase finale | Titres |
| 2024-2025 | Top 14 | 14 | Première division | 10e | - | - |
| 2023-2024 | Top 14 | 14 | Première division | 6e | Barrage | - |
| 2022-2023 | Top 14 | 14 | Première division | 5e | Demi-finale | - |
| 2021-2022 | Top 14 | 14 | Première division | 6e | Barrage | - |
| 2020-2021 | Top 14 | 14 | Première division | 3e | Demi-finale | - |
| 2019-2020 | Top 14 | 14 | Première division | 3e | Épidémie de coronavirus - Saison arrêtée | - |
| 2018-2019 | Top 14 | 14 | Première division | 4e | Barrage | - |
| 2017-2018 | Top 14 | 14 | Première division | 2e | Demi-finale | - |
| 2016-2017 | Top 14 | 14 | Première division | 6e | Demi-finale | - |
| 2015-2016 | Top 14 | 14 | Première division | 4e | Finale | Champion de France |
| 2014-2015 | Top 14 | 14 | Première division | 5e | Barrage | - |
| 2013-2014 | Top 14 | 14 | Première division | 5e | Demi-finale | - |
| 2012-2013 | Top 14 | 14 | Première division | 6e | Barrage | - |
| 2011-2012 | Top 14 | 14 | Première division | 6e | Barrage | - |
| 2010-2011 | Top 14 | 14 | Première division | 2e | Demi-finale | - |
| 2009-2010 | Top 14 | 14 | Première division | 6e | Barrage | - |
| 2008-2009 | Pro D2 | 16 | Seconde division | 1er | - | Champion - promotion |
| 2007-2008 | Pro D2 | 16 | Première division | 2e | Finale de promotion | - |
| 2006-2007 | Pro D2 | 16 | Première division | 12e | - | - |
| 2005-2006 | Pro D2 | 16 | Première division | 13e | - | - |
| 2004-2005 | Pro D2 | 16 | Première division | 12e | - | - |
| 2003-2004 | Pro D2 | 16 | Première division | 13e | - | - |
| 2002-2003 | Pro D2 | 16 | Première division | 8e | - | - |
| 2001-2002 | Pro D2 | 16 | Première division | 13e | - | - |
| 2000-2001 | Élite 2 | 12 | Première division | 12e | - | Repêché-maintien en ProD2 |
| 1999-2000 | Élite 1 | 12 | Première division | 11e du groupe 2 | Barrages de relégation | Relégation |
| 1998-1999 | Élite 1 | 8 | Première division | 7e de la poule 3 | Barrages de relégation | - |
| 1997-1998 | Groupe A2 | 10 | Seconde division | 2e de la poule 1 | Finale | Champion - promotion |
| 1996-1997 | Groupe A2 | 10 | Seconde division | 4e de la poule 2 | - | - |
| 1995-1996 | Groupe A1 | 10 | Première division | 10e de la poule 1 | - | Relégation |
| 1994-1995 | Groupe A | 8 | Première division | 3e de la poule 2 | Top 16 (3e de la poule 1) | - |
| 1993-1994 | Groupe A | 8 | Première division | 2e de la poule 4 | Top 16 (3e de la poule 3) | - |
| 1992-1993 | Groupe A | 8 | Première division | 6e de la poule 3 | - | - |
| 1991-1992 | Groupe A | 10 | Première division | 2e de la poule 4 | Huitième de finale | - |
| 1990-1991 | Groupe A | 8 | Première division | 1er de la poule 5 | Demi-finale | - |
| 1989-1990 | Groupe A | 8 | Première division | 1er de la poule 2 | Finale | Champion de France |
| 1988-1989 | Groupe A | 5 | Première division | 4e de la poule E | Huitième de finale | - |
| 1987-1988 | Groupe A | 8 | Première division | 1er de la poule 3 | Quarts de finale | - |
| 1986-1987 | Groupe A | 10 | Première division | 3e du groupe 2 | Finale | - |
| 1985-1986 | Groupe A | 10 | Première division | 4e du groupe 4 | Huitième de finale | - |
| 1984-1985 | Groupe A | 10 | Première division | 9e du groupe 1 | - | - |
| 1983-1984 | Groupe B | 8 | Seconde division | - | - | Promotion |
| 1982-1983 | Groupe A | 10 | Première division | 10e du groupe 1 | - | Relégation |
| 1981-1982 | Groupe B | 10 | Seconde division | - | - | Promotion |
| 1980-1981 | Groupe B | 10 | Première division | 1er de la poule F | Quarts de finale | - |
| 1979-1980 | Groupe A | 10 | Première division | 10e de la poule A | - | Relégation |
| 1978-1979 | Groupe A | 10 | Première division | 8e de la poule B | - | - |
| 1977-1978 | Groupe B | 10 | Première division | - | Seizième de finale (Groupe A) | Promotion |
| 1976-1977 | Groupe A | 8 | Première division | 7e du groupe 3 | - | Relégation |
| 1975-1976 | Groupe A | 8 | Première division | 6e de la poule D | - | - |
| 1974-1975 | Première division | 8 | Première division | 2e du groupe B | Demi-finale | - |
| 1973-1974 | Groupe A | 8 | Première division | 5e du groupe 4 | Huitième de finale | - |
| 1972-1973 | Première division | 8 | Première division | 4e du groupe 6 | Seizième de finale | - |
| 1971-1972 | Première division | 8 | Première division | 3e du groupe 7 | Seizième de finale | - |
| 1970-1971 | Première division | 8 | Première division | 6e du groupe 1 | - | - |
| 1969-1970 | Première division | 8 | Première division | 3e du groupe 2 | Huitième de finale | - |
| 1968-1969 | Première division | 8 | Première division | Groupe 5 | Seizième de finale | - |
| 1967-1968 | Première division | 8 | Première division | Groupe 3 | - | - |
| 1966-1967 | Première division | 8 | Première division | Groupe 4 | Seizième de finale | - |
| 1965-1966 | Première division | 8 | Première division | Groupe 6 | demi-finale | - |
| 1964-1965 | Première division | 8 | Première division | Groupe 5 | Seizième de finale | - |
| 1963-1964 | Première division | 8 | Première division | Groupe 7 | Huitième de finale | - |
| 1962-1963 | Première division | 8 | Première division | Groupe 5 | Seizième de finale | - |
| 1961-1962 | Première division | 8 | Première division | Groupe 5 | Huitième de finale | - |
| 1960-1961 | Première division | 8 | Première division | Groupe 1 | Seizième de finale | - |
| 1959-1960 | Première division | 8 | Première division | Poule A | Seizième de finale | - |
| 1958-1959 | Première division | 8 | Première division | Poule D | Finale | Champion de France |
| 1957-1958 | Première division | 8 | Première division | Poule B | Huitième de finale | - |
| 1956-1957 | Première division | 8 | Première division | Poule F | Finale | - |
| 1955-1956 | Première division | 8 | Première division | Poule E | Quart de finale | - |
| 1954-1955 | Première division | 8 | Première division | Poule B | Seizième de finale | - |
| 1953-1954 | Première division | 6 | Première division | Poule G | Seizième de finale | - |
| 1952-1953 | Première division | 8 | Première division | Poule C | Quart de finale | - |
| 1951-1952 | Seconde division | - | Seconde division | - | - | Promotion |
| 1950-1951 | Première division | 3 | Première division | Poule D | - | Relégation |
| 1949-1950 | Première division | 6 | Première division | ? | Finale | - |
| 1948-1949 | Seconde division | - | Seconde division | - | - | Promotion |
| 1947-1948 | Première division | 5 | Première division | Poule D | - | Relégation |
| 1946-1947 | Première division | 4 | Première division | Poule F | - | - |
| 1945-1946 | Première division | ? | Première division | ? | - | - |
| 1944-1945 | Première division | ? | Première division | ? | - | - |
| 1943-1944 | Première division | 8 | Première division | Poule 6 | Phases de qualiications | - |
| 1942-1943 | Première division | - | Première division | Zone Nord | - | - |
| 1938-1939 | Première division | 3 | Première division | 2e de la poule F | Quart de finale | - |
| 1937-1938 | Première division | 5 | Première division | 1er de la poule F | Quart de finale | - |
| 1936-1937 | Première division | ? | Première division | - | - | - |
| 1935-1936 | Première division | 7 | Première division | 3e de la poule E | Huitième de finale | - |
| 1934-1935 | Première division | 7 | Première division | Poule C | Quart de finale | - |
| 1933-1934 | Première division | 9 | Première division | 5e de la Poule E | - | - |
| 1932-1933 | Première division | 9 | Première division | Poule F | - | - |
| 1931-1932 | Première division | 5 | Première division | Poule F | Poule de trois | - |
| 1930-1931 | Première division | 5 | Première division | 3e de la poule E | Quart de finale | - |
| 1929-1930 | Seconde division | - | Seconde division | - | - | Promotion |
| 1928-1929 | Première division | 5 | Première division | Poule B | - | Relégation |
| 1927-1928 | Première division | 5 | Première division | 1er de la poule G | Poule de quatre | - |
| 1926-1927 | Première division | 5 | Première division | 2e de la poule H | Poule de quatre | - |
| 1925-1926 | Seconde division | - | Seconde division | - | Finale | Champion-promotion |
| 1924-1925 | Première division | 5 | Première division | 2e de la poule F | Poule de trois | - |
| 1923-1924 | Première division | 5 | Première division | Poule C | Poule quart de finale | - |
| 1922-1923 | Première division | 5 | Première division | 1er de la poule D | Poule de trois | - |
| 1921-1922 | Première division | 3 | Première division | 1er de la poule C | Poule de cinq | - |
| 1920-1921 | Première division | - | Première division | - | Poule demi-finale | - |
| 1919-1920 | Première division | - | Première division | - | Finale | - |
| 1913-1914 | Première division | - | Première division | - | Poule demi-finale | - |
| 1912-1913 | Première division | - | Première division | - | - | - |
| 1911-1912 | Première division | - | Première division | - | Finale | - |
| 1910-1911 | Première division | - | Première division | - | - | - |
| 1909-1910 | Première division | - | Première division | - | demi-finale | - |
| 1908-1909 | Première division | - | Première division | - | demi-finale | - |
| 1907-1908 | Première division | - | Première division | - | - | - |
| 1906-1907 | Première division | - | Première division | - | - | - |
| 1905-1906 | Première division | - | Première division | - | - | - |
| 1904-1905 | Première division | - | Première division | - | - | - |
| 1903-1904 | Première division | - | Première division | - | - | - |
| 1902-1903 | Première division | - | Première division | - | demi-finale (disqualifié, remplacé par le Stade français) | - |
| 1901-1902 | Première division | - | Première division | - | Finale | Champion de France |
| 1900-1901 | Première division | - | Première division | - | - | - |
| 1899-1900 | Première division | - | Première division | - | Finale | Champion de France |
| 1898-1899 | Première division | - | Première division | - | - | - |
| 1897-1898 | Première division | 6 | Première division | 2e | Poule | - |
| 1896-1897 | Première division | 6 | Première division | - | Poule | - |
| 1895-1896 | Première division | 5 | Première division | - | Poule | - |
| 1894-1895 | Première division | 4 | Première division | - | Poule | - |
| 1893-1894 | Première division | 5 | Première division | - | Poule | - |
| 1892-1893 | Première division | 5 | Première division | - | Finale | - |
| 1891-1892 | Première division | 2 | Première division | - | Finale | Champion de France |
Le Racing participe à la troisième édition de laChallenge Cup en1998-1999, saison au cours de laquelle il ne brille pas ne se qualifiant pas pour les phases finales de la compétition et évitant de peu la relégation en championnat.
Après une saison enChallenge européen, suivant sa remontée enTop 14 en2009, le Racing se qualifie chaque saison pour la grandeCoupe d'Europe entre 2010 et 2024, compétition dont il est trois fois finaliste en2016,2018 et2020, et trois fois quarts de finaliste, en2015,2019 et2021. Il effectue un rapide passage (1 match) enChallenge Cup, s'étant qualifié directement pour les huitièmes de finale à la suite des phases de poule deChampions Cup, tout comme pour la saison 2024-2025, où les Franciliens atteignent cette fois-ci les demis-finales. En 2025, le Racing ne se qualifie pas en Champions Cup pour la première fois depuis sa remontée et participe donc à la phase de poule de la Challenge Cup pour la troisième fois de son histoire.

Dans la France de la fin duXIXe siècle, l’organisation du sport « à l’anglaise », par le biais de clubs, est avant tout affaire de riches, bourgeois et aristocrates. Le Racing n’échappe pas à la règle. Niché au cœur duBois de Boulogne, sur le domaine de laCroix-Catelan, il est le symbole de l’exclusivité et il faut toujours être parrainé pour intégrer certaines sections. Le succès du rugby fut immédiat auprès des membres du club, issus des classes aisées, notamment aristocratiques (quatre nobles participent à la première finale côté Racing), pour qui le sport en général et le rugby en particulier portent en eux les vertus développés dans leurs associations sportives par les Britanniques, dont on admire l’insistance sur l'union du corps et de l’esprit (« Un esprit sain dans un corps sain »).
L’autre grande dimension de l’« esprit Racing » est son attachement aux valeurs les plus pures du sport, l’esprit de compétition, la noblesse de l’effort, le respect de l’adversaire et l’amateurisme[réf. nécessaire]. Soucieux de maintenir l’esprit du jeu, le Racing club de France s’investit dans cette voie à la fin des années 1920, alors que le rugby français souffre de la violence sur les terrains, de matchs fermés et d’un professionnalisme qui ne veut pas dire son nom. Champion de l’esprit amateur[réf. nécessaire], il lance leChallenge Yves du Manoir pour répondre à cet idéal.Yves du Manoir symbolisait le côté romantique du rugby, sa dimension ludique et libre, celle dujeu pour le jeu. Comme les participants étaient invités par le Racing, il n’y avait aucune pression relative à une éventuelle relégation. Afin de favoriser encore le jeu, les règles interdisaient de tenter les coups de pied placés. Paradoxalement, le Racing ne gagna jamais « son » challenge.
Plus récemment, cet esprit fut réveillé, sous une forme différente, dans les années 1980 grâce à la dernière grande génération sportive du Racing. Désireux de faire parler d’eux et de leur club, ces joueurs savaient que les résultats étaient essentiels, mais aussi que pour réussir cela à Paris, où les sportifs vivent dans l’anonymat le plus complet, il fallait attirer les feux des médias. Ce sont les lignes arrière, composées de personnalités fortes et originales, qui provoquèrent cette révolution, mélangeant sport, humour, provocation, camaraderie et autodérision. Dans le cadre du très célèbre « Show-Bizz », sorte de club dans le club,Éric Blanc,Jean-Baptiste Lafond,Philippe Guillard etFranck Mesnel décidèrent de bousculer le rugby français par une série d’actions spectaculaires. Ils jouèrent ainsi avec des bérets àBayonne, en hommage à la tradition des attaquants d’antan du club basque, mais cela fut pris comme une provocation par une partie du public. Ils jouèrent aussi entièrement maquillés de noir, pour que l’un de leurs coéquipiers, noir, ne se sente plus en minorité. Ils portèrent des perruques, se teignirent les cheveux en jaune, jouèrent en pantalons blancs de pelotari ou avec des chaussettes roses etc. Ils enregistrèrent même un disque,Quand tu marques un essai[19].
Néanmoins, leur marque de fabrique fut le célèbre nœud papillon rose. Désireux de frapper un grand coup lors de lafinale du championnat 1987, ils décidèrent de jouer avec un nœud papillon rose autour du cou, symbole de l’élégance et de la dérision, avec une couleur en apparence pas du tout virile.Jean-Baptiste Lafond offrit un exemplaire du nœud papillon au président de la République,François Mitterrand, durant la présentation des équipes sur la pelouse duParc des Princes. Ils firent sensation mais furent battus. Trois ans plus tard, ils récidivèrent. Poussant la provocation, ils se firent apporter du champagne sur la pelouse pendant la mi-temps, par Yvon Rousset, blessé, vêtu d’un blazer frappé des armes du « Show Bizz ». Cela ne les empêcha pas de gagner, et après prolongations encore, contreAgen. Ce nœud papillon donna naissance en 1988 à la marqueEden Park, lancée par les cinq compères, et dontFranck Mesnel est aujourd’hui le président du directoire. La marque compte de nombreuses boutiques en France et à l’étranger (plus de 200 points de vente, dontCardiff ou encoreRichmond upon Thames, où la marque s’est associée au club londonien desHarlequins) et est devenue fournisseur officiel de l’équipe de France, de l’équipe du pays de Galles et même desLions britanniques.
Tout ceci fit du Racing le synonyme de l’excentricité au sein d’un milieu très conservateur, bien qu'un changement de politique à la suite de la prise en main du club par Jacky Lorenzetti, et fut fustigé par bien des professionnels comme une version parisienne et peu sérieuse de leur sport. Toutefois, rien n’aurait été toléré si les résultats n’avaient pas suivi. À noter également, que le Racing club de France a fourni 76 joueurs à l’équipe de France de rugby à XV, dont douze capitaines dontMichel Crauste,François Moncla,Jean-Pierre Rives,Jean-François Gourdon,Gérald Martinez,Robert Paparemborde,Franck Mesnel,Jean-Baptiste Lafond ouXavier Blond,Laurent Cabannes,Sébastien Chabal, ou encoreLionel Nallet. TroisRacingmen ont participé au premier match officiel duXV de France contre laNouvelle-Zélande en 1906.
Les logos affichent les couleursciel etblanc, ainsi que leslogan « depuis 1882 », année de la création du club.Le chiffre 92 marque l'identité du club dans le département desHauts-de-Seine. Ce dernier dispose de longue date d'installations sportives dans la banlieue ouest de la capitale comme àColombes et plus récemment auPlessis-Robinson et àNanterre.Le 10 juin 2015, le logo est adapté au changement de nom du club[15].

Depuis 2012, le club s'est doté d'une mascotte représentant un mammouth au couleur du club nommé "Mahout". Reprenant l'identité visuelle du club, la mascotte est de couleur bleue et porte un maillot de l'équipe ainsi qu'un casque d'avant. Le costume mesure un peu moins de deux mètres et est équipé d'une batterie de deux kilos, faisant fonctionner une soufflerie permettant de tendre le tissu de la mascotte.
Le choix du mammouth est réalisé par le présidentJacky Lorenzetti pour symboliser la famille et la puissance. Le nom "Mahout" provient du breton et représente "celui qui se distingue dans une discipline physique ou intellectuelle"[20].
Lors des saisons auxStade olympique Yves-du-Manoir, Mahout est régulièrement accompagné de Mahout Junior, version réduite de la mascotte.
À l'arrivée du club dans son nouveau stade de laParis La Défense Arena, une nouvelle version de la mascotte est réalisée. Décrit « vif comme les ¾ Ciel et Blanc à l’approche de l’en-but adverse »[21], le costume de cette nouvelle mascotte s'adapte à ce stade fermé, permettant plus de mobilité afin de réaliser des animations sur le terrain, ainsi que dans les tribunes.
L'ancienne version de la mascotte est toujours visible à l’extérieur du stade lors des avant-matchs.
Le tableau suivant récapitule les performances du club dans les diverses compétitions françaises et de jeunes.Les Racingmen ont été trois fois finaliste en Coupe d'Europe entre 2016 et 2020.Côté hexagonal, le Racing possède six titres de champions de France, et également trois enChampionnat de France de2e division.Il est également le premier vainqueur duSupersevens, compétition de rugby à sept opposant notamment les représentants du Top 14.
| Compétitions nationales | Compétitions internationales | Compétitions de jeunes |
|---|---|---|
|
|
| Date de la finale | Vainqueur | Score | Finaliste | Lieu de la finale | Spectateurs |
|---|---|---|---|---|---|
| 14 mai 2016 | 21 – 9 | Racing 92 | Parc Olympique lyonnais,Lyon | 58 017 | |
| 12 mai 2018 | 15 - 12 | Racing 92 | San Mamés,Bilbao | 52 282 | |
| 17 octobre 2020 | 31 – 27 | Racing 92 | Ashton Gate Stadium,Bristol | huis-clos |
| Date de la finale | Vainqueur | Score | Finaliste | Lieu de la finale | Spectateurs |
|---|---|---|---|---|---|
| 20 mars 1892 | Racing Club de France | 4 – 3 | Stade français | Bagatelle,Paris | 2 000 |
| 19 mai 1893 | Stade français | 7 – 3 | Racing Club de France | Bécon-les-Bruyères | 1 200 |
| 22 avril 1900 | Racing Club de France | 37 – 3 | Stade bordelais | Levallois-Perret | 1 500 |
| 23 mars 1902 | Racing Club de France | 6 – 0 | Stade bordelais | Parc des Princes,Paris | 1 000 |
| 31 mars 1912 | Stade toulousain | 8 – 6 | Racing Club de France | Stade des Ponts Jumeaux,Toulouse | 15 000 |
| 25 avril 1920 | Stadoceste tarbais | 8 – 3 | Racing Club de France | Stade Sainte-Germaine,Le Bouscat | 20 000 |
| 16 avril 1950 | Castres olympique | 11 – 8 | Racing Club de France | Stade des Ponts Jumeaux,Toulouse | 25 000 |
| 26 mai 1957 | FC Lourdes | 16 – 13 | Racing Club de France | Stade de Gerland,Lyon | 30 000 |
| 24 mai 1959 | Racing Club de France | 8 – 3 | Stade montois | Parc Lescure,Bordeaux | 31 098 |
| 22 mai 1987 | RC Toulon | 15 – 12 | Racing Club de France | Parc des Princes,Paris | 48 000 |
| 26 mai 1990 | Racing Club de France | 22 – 12ap | SU Agen | Parc des Princes,Paris | 45 069 |
| 24 juin 2016 | Racing 92 | 29 - 21 | RC Toulon | Camp Nou,Barcelone | 99 124 |
| Date de la finale | Vainqueur | Score | Finaliste | Lieu de la finale | Spectateurs |
|---|---|---|---|---|---|
| 28 avril 1918 | Racing Club de France | 22 – 9 | FC Grenoble | Stade du Matin,Colombes | 3 000 |
| Date de la finale | Vainqueur | Score | Finaliste | Lieu de la finale | Spectateurs |
|---|---|---|---|---|---|
| 1er février 2020 | Racing 92 Natixis Sevens | 28 -12 | Section paloise sevens | Paris La Défense Arena,Nanterre | 25 000 |
| Date de la finale | Catégorie | Vainqueur | Score | Finaliste | Lieu de la finale |
|---|---|---|---|---|---|
| 12 mai 2013 | Élite 2 | CA Brive | 20 - 16 | Racing Club de France | Issoudun |
| 31 mai 2015 | Élite 1 | Racing Club de France | 31 - 21 | Stade toulousain | Stade Albert-Bordes,Saint-Yrieix-la-Perche |
| 28 mai 2017 | Play-off | Racing Club de France | 30 - 27 | Lyon OU | Genlis |
| Club/franchise | Matches | V | N | D | +/- | % de victoires |
|---|---|---|---|---|---|---|
| 9 | 4 | 1 | 4 | 26 | 44,44 % | |
| 9 | 3 | 0 | 6 | -20 | 33,33 % | |
| 7 | 6 | 0 | 1 | 64 | 85,71 % | |
| 7 | 3 | 0 | 4 | 4 | 33,33 % | |
| 6 | 4 | 1 | 1 | 74 | 66,66 % | |
| 6 | 4 | 0 | 2 | -5 | 66,66 % | |
| 5 | 4 | 1 | 0 | 94 | 80 % | |
| 5 | 4 | 1 | 0 | 53 | 80 % | |
| 5 | 3 | 0 | 2 | 71 | 60 % | |
| 5 | 0 | 0 | 5 | -102 | 0 % | |
| 5 | 1 | 0 | 4 | -28 | 20 % | |
| 3 | 1 | 0 | 2 | 12 | 33,33 % | |
| 3 | 1 | 0 | 2 | 16 | 33,33 % | |
| 2 | 2 | 0 | 0 | 62 | 100 % | |
| 2 | 2 | 0 | 0 | 24 | 100 % | |
| 2 | 1 | 0 | 1 | 19 | 50 % | |
| 2 | 1 | 0 | 1 | 14 | 50 % | |
| 2 | 1 | 0 | 1 | -3 | 50 % | |
| 2 | 0 | 0 | 2 | -25 | 0 % | |
| 1 | 1 | 0 | 0 | 9 | 100 % | |
| 1 | 1 | 0 | 0 | 4 | 100 % | |
| 1 | 1 | 0 | 0 | 3 | 100 % | |
| 1 | 0 | 0 | 1 | -3 | 0 % | |
| 1 | 0 | 0 | 1 | -4 | 0 % | |
| 1 | 0 | 0 | 1 | -4 | 0 % | |
| 1 | 0 | 0 | 1 | -7 | 0 % | |
| Total | 94 | 49 | 4 | 41 | 348 | 52,12 % |
Depuis l'ère professionnelle.
Les joueurs ayant inscrits le plus d'essais enchampionnat de France de première division depuis le retour dans l'élite en 2009 du Racing.
Les noms en gras indiquent les joueurs encore en activité avec le Racing 92.
| Classement | Joueur | Nationalité | Saisons | Essais |
|---|---|---|---|---|
| 1 | Juan Imhoff | 2011 - 2024 | 79 | |
| 2 | Teddy Thomas | 2014 - 2022 | 44 | |
| 3 | Henry Chavancy | 2010 - 2025 | 43 | |
| 4 | Virimi Vakatawa | 2010-2014, 2017-2022 | 37 | |
| 5 | Marc Andreu | 2013 - 2018 | 25 | |
| 6 | Donovan Taofifénua | 2020 - … | 24 | |
| 7 | Louis Dupichot | 2015 - 2023 | 23 | |
| 8 | Sireli Bobo | 2009 - 2013 | 22 | |
| - | Nolann Le Garrec | 2020 - 2025 | 22 | |
| - | Gaël Fickou | 2021 - ... | 22 | |
| 11 | Wenceslas Lauret | 2013 - 2024 | 21 | |
| 12 | Camille Chat | 2012 - 2025 | 20 | |
| 13 | Leone Nakarawa | 2016 -2019 | 19 | |
| - | Olivier Klemenczak | 2018 - 2024 | 19 | |
| 15 | Brice Dulin | 2014-2020 | 17 | |
| 16 | Simon Zebo | 2018 - 2021 | 16 | |
| 17 | Antoine Gibert | 2017 - ... | 15 | |
| 18 | Henry Arundell | 2023 - 2025 | 14 | |
| - | Max Spring | 2020 - ... | 14 | |
| 20 | Jordan Joseph | 2018 - ... | 13 | |
| 21 | Maxime Baudonne | 2021 - ... | 12 | |
| - | Maxime Machenaud | 2012 - 2022 | 12 | |
| - | Joe Rokocoko | 2015 - 2019 | 12 | |
| - | Dimitri Szarzewski | 2012 - 2019 | 12 |
Les noms en gras indiquent les joueurs encore en activité avec le Racing 92[22].
| Classement | Joueur | Nationalité | Saisons | Essais |
|---|---|---|---|---|
| 1 | Juan Imhoff | 2011 - 2024 | 33 | |
| 2 | Teddy Thomas | 2014 - 2022 | 19 | |
| 3 | Virimi Vakatawa | 2010-2014, 2017 - 2022 | 12 | |
| 4 | Henry Chavancy | 2010 - 2025 | 9 | |
| - | Simon Zebo | 2018 - 2021 | 9 | |
| 6 | Wenceslas Lauret | 2013 - 2024 | 8 | |
| 7 | Marc Andreu | 2013 - 2018 | 7 | |
| - | Maxime Machenaud | 2012 - 2022 | 7 | |
| 9 | Louis Dupichot | 2015 - 2023 | 6 | |
| - | Dimitri Szarzewski | 2012 - 2019 | 6 |
Depuis l'ère professionnelle.
Les noms en gras indiquent les joueurs encore en activité avec le Racing 92.
| Classement | Joueur | Nationalité | Saisons | Points |
|---|---|---|---|---|
| 1 | Maxime Machenaud | 2012 - 2022 | 1024 | |
| 2 | Jonathan Wisniewski | 2010 - 2014 | 907 | |
| 3 | Nolann Le Garrec | 2020 - 2025 | 463 | |
| 4 | Juan Imhoff | 2011 - 2024 | 397 | |
| 5 | Finn Russell | 2018 - 2023 | 382 | |
| 6 | Teddy Iribaren | 2017 - 2023 | 379 | |
| 7 | Dan Carter | 2015 - 2018 | 357 | |
| 8 | Antoine Gibert | 2017 - ... | 323 | |
| 9 | Jonathan Sexton | 2013-2015 | 294 | |
| 10 | Teddy Thomas | 2014 - 2022 | 220 | |
| 11 | Henry Chavancy | 2010 - 2025 | 218 | |
| 12 | Tristan Tedder | 2023 - 2025 | 205 | |
| 13 | Johan Goosen | 2014-2017 | 187 | |
| 14 | Virimi Vakatawa | 2010-2014, 2017 - 2022 | 185 |
Les noms en gras indiquent les joueurs encore en activité avec le Racing 92[22].
| Classement | Joueur | Nationalité | Saisons | Points |
|---|---|---|---|---|
| 1 | Maxime Machenaud | 2012 - 2022 | 283 | |
| 2 | Juan Imhoff | 2011 - 2024 | 165 | |
| 3 | Nolann Le Garrec | 2020 - 2025 | 120 | |
| 4 | Teddy Iribaren | 2017 - 2023 | 117 | |
| 5 | Teddy Thomas | 2014 - 2022 | 95 | |
| 6 | Finn Russell | 2018 - 2023 | 92 | |
| 7 | Dan Carter | 2015 - 2018 | 88 | |
| 8 | Jonathan Wisniewski | 2010 - 2014 | 85 |
1882-1913 : les origines et les premiers titres[23]
1919-1959[23]
1960-1986[23]
1987-2001 : du show-bizz à la fusion avec l'US-Métro[23]
2002 - Aujourd'hui : l’avènement du Racing 92 et le titre de 2016[25]
| Saison | Entraîneur(s) | Adjoint(s) |
|---|---|---|
| 1987 - 1988 | ||
| 1988 - 1989 | ||
| 1989 - 1993 | ||
| 1993 - 1995 | ||
| 1995 - 1996 | ||
| 1996 - 1998 | ||
| 1998 - 1999 | ||
| 1999 - 2000 | ||
| 2000 - 2001 | ||
| 2001 - 2002 | ||
| 2002 - 2003 | ||
| 2003 - janvier 2004 | (jusqu'au 4 octobre 2003) | |
| Janvier 2004 - 2005 | ||
| 2004 - 2005 | ||
| 2005 - avril2006 | (jusqu'en décembre 2005) puis (à partir de janvier 2006) | |
| 2006 -2007 | (jusqu'en février 2007) | |
| 2007 - novembre 2011 | ||
| Novembre 2011 - février 2012 | ||
| Février 2012 - juillet 2012 | ||
| 2012 - 2013 | ||
| 2013 - 2014 | ||
| 2014 - 2017 | ||
| 2017 - 31 décembre 2017 | ||
| 1er janvier 2018 - 2019 | ||
| 2019 - 2020 | ||
| 2020 - 2021 | ||
| 2021 - 2022 | ||
| 2022 - 2023 | ||
| 2023 - février 2025 | ||
| Février 2025 - ... |


LeRacing joue dans lestade olympique Yves-du-Manoir depuis le début de son histoire. Sa capacité variera selon les périodes pour finir actuellement à 14 000 spectateurs[28]. Devant l'incapacité de rénover en profondeur le stade pour le futur,Jacky Lorenzetti décide de quitter le vétuste stade deColombes pour l'U Arena, àNanterre.
Ouverte en, l'U Arena, renomméeParis La Défense Arena en 2018, devient le stade permanent du Racing 92 lors de la saison 2017-2018. Le club évolue dans une salle modulable pouvant accueillir jusqu'à 32 000 spectateurs en configuration rugby. Sa construction est financée principalement par la holding du président du Racing 92Jacky Lorenzetti, Ovalto Investissement.
En 2011, avant la construction de son stade ultramoderne sur le site deLa Défense àNanterre, le Racing Métro 92 applique une politique de délocalisation de certains matchs du Top 14 ou de coupe d'Europe afin d'augmenter la capacité d'accueil et de promouvoir son nom.
Le principal lieu de délocalisation est leStade de France. Le club y joua pour la première fois le 26 mars 2011 à l'occasion de la22e journée deTop 14 qui les opposait auStade toulousain. Le Racing joua devant 76 353 spectateurs. Un trophée nomméTrophée de Coubertin fut mis en jeu grâce à l'initiative deJacky Lorenzetti etJean-René Bouscatel, respectivement présidents du Racing Metro 92 et duStade toulousain[29].
Depuis l'ouverture de laParis La Défense Arena, le Racing 92 délocalise ses matches lorsque cette dernière n'est pas libre[30]. Cette pratique permettra au club de jouer un dernier match austade olympique Yves-du-Manoir de Colombes en mai 2019, stade historique du club[31].
Le tableau suivant liste les matchs délocalisés par le Racing 92 depuis 2011.
| Compétition | Date | Domicile | Score | Visiteur | Lieu | Spectateurs |
|---|---|---|---|---|---|---|
| 22e journée deTop 14 2010-2011 | Racing Métro 92 | (Bo)43 – 21 | Stade toulousain | Stade de France, Saint-Denis | 71 704 | |
| 16e journée deTop 14 2011-2012 | Racing Métro 92 | (Bd) 13 –19 | Stade toulousain | Stade de France, Saint-Denis | 44 330 | |
| 25e journée deTop 14 2011-2012 | Racing Métro 92 | 19 – 13 (Bd) | Stade français | Stade de France, Saint-Denis | 41 701 | |
| 1re journée deH-Cup 2012-2013 | Racing Métro 92 | 22 - 17 (Bd) | Munster Rugby | Stade de France, Saint-Denis | 21 102 | |
| 12e journée deTop 14 2012-2013 | Racing Métro 92 | 23 – 15 | Stade français | Stade de France, Saint-Denis | 44 622 | |
| 5e journée deH-Cup 2012-2013 | Racing Métro 92 | 28 -37 | Saracens | Stade de la Beaujoire, Nantes | 35 085 | |
| 23e journée deTop 14 2012-2013 | Racing Métro 92 | (Bd) 26 –27 | Stade toulousain | Stade de France, Saint-Denis | 48 171 | |
| 1re journée deTop 14 2013-2014 | Racing Métro 92 | 19 – 14 (Bd) | CA Brive | Stade Marcel-Deflandre, La Rochelle | 6 676 | |
| 10e journée deTop 14 2013-2014 | Racing Métro 92 | 16 – 12 (Bd) | Stade français | Stade de France, Saint-Denis | 25 673 | |
| 3e journée deH-Cup 2013-2014 | Racing Métro 92 | 8 -32 (Bo) | Harlequins | Stade de la Beaujoire, Nantes | 29 395 | |
| 17e journée deTop 14 2013-2014 | Racing Métro 92 | 25 – 5 | Stade toulousain | Stade de France, Saint-Denis | 35 342 | |
| 4e journée deEuropean Rugby Champions Cup 2014-2015 | Racing Métro 92 | 18 - 14 (Bd) | Ospreys | MMArena, Le Mans | 16 258 | |
| 19e journée deTop 14 2014-2015 | Racing Métro 92 | 34 – 29 (Bd) | FC Grenoble | Stade Océane, Le Havre | 13 476 | |
| 19e journée deTop 14 2015-2016[32] | Racing 92 | (Bd) 20 -21 | RC Toulon | Stade Pierre-Mauroy, Villeneuve-d'Ascq | 40 500 | |
| 22e journée deTop 14 2016-2017[33] | Racing 92 | 27 – 24 (Bd) | ASM Clermont Auvergne | Stade Pierre-Mauroy, Villeneuve-d'Ascq | 31 432 | |
| 26e journée deTop 14 2017-2018[34] | Racing 92 | 42 – 13 (Bo) | SU Agen | Stade de la Rabine, Vannes | 7 556 | |
| Barrages deTop 14 2018-2019[35] | Racing 92 | 13 –19 | Stade rochelais | Stade olympique Yves-du-Manoir, Colombes | 11 498 | |
| demi-finale deEuropean Rugby Champions Cup 2021-2022 | Racing 92 | 13 –20 | Stade rochelais | Stade Bollaert-Delelis, Lens | 15 552 | |
| 1re journée deEuropean Rugby Champions Cup 2022-2023 | Racing 92 | 10 – 42 | Leinster | Stade Océane, Le Havre | 14 245 | |
| 22e journée deTop 14 2022-2023 | Racing 92 | 31 – 28 (Bo) | Union Bordeaux Bègles | Stade Bollaert-Delelis, Lens | 11 000 | |
| 25e journée deTop 14 2022-2023 | Racing 92 | 43 – (Bo) | RC Toulon | Stade Océane, Le Havre | 7 072 | |
| 23e journée deTop 14 2023-2024 | Racing 92 | 28 –37 | Aviron bayonnais | Stade de l'Abbé-Deschamps, Auxerre | 13 500 | |
| 25e journée deTop 14 2023-2024 | Racing 92 | 24 – 15 | Section paloise | Stade de l'Abbé-Deschamps, Auxerre | 11 303 | |
| 2e journée deTop 14 2024-2025 | Racing 92 | 33 - 20 | ASM Clermont Auvergne | Stade Dominique-Duvauchelle, Créteil | 4 000 | |
| 4e journée deTop 14 2024-2025 | Racing 92 | 16 -17 | Stade rochelais | Stade Dominique-Duvauchelle, Créteil | 8 400 | |
| 6e journée deTop 14 2024-2025 | Racing 92 | 22 - 6 | RC Toulon | Stade Dominique-Duvauchelle, Créteil | 6 230 | |
| 11e journée deTop 14 2024-2025 | Racing 92 | 17 -21 | Stade toulousain | Stade Dominique-Duvauchelle, Créteil | ||
| 1er journée deChampions Cup 2024-2025 | Racing 92 | 23 - 12 | Harlequins | Stade Dominique-Duvauchelle, Créteil | 5 497[36] | |
| 6e journée deTop 14 2025-2026 | Racing 92 | 32 - 25 | Montpellier Hérault rugby | Stade Dominique-Duvauchelle, Créteil | ||
| 8e journée deTop 14 2025-2026 | Racing 92 | 15 - 10 | Section paloise | Stade Dominique-Duvauchelle, Créteil | ||
| 2e journée deChallenge Cup 2025-2026 | Racing 92 | Exeter Chiefs | Stade Dominique-Duvauchelle, Créteil |
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