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République populaire socialiste d'Albanie

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République populaire d’Albanie[1]
(albanais) Republika Popullore e Shqipërisë
République populaire socialiste d'Albanie[2] (albanais) Republika Popullore Socialiste e Shqipërisë

1944–1991

Drapeau
(1944-1946)

(1946-1991)
Blason
(1946-1991)
DeviseProlétaires de tous les pays, unissez-vous !
HymneHymni i Flamurit
Description de cette image, également commentée ci-après
Localisation de la république populaire socialiste d'Albanie.
Informations générales
StatutGouvernement provisoire (1944-1946)
Républiquemarxiste-léniniste
État communiste àparti unique sousdictaturetotalitaire (1946-1991)
CapitaleTirana
Langue(s)Albanais
ReligionAthéisme d'État
MonnaieLek albanais
Histoire et événements
28 novembre 1944Gouvernement démocratique d'Albanie (gouvernement provisoire des communistes).
10 janvier 1946Proclamation officielle de larépublique populaire d'Albanie.
28 décembre 1976Nouvelle constitution, adoption du nom derépublique populaire socialiste d'Albanie.
31 mars 1991Premières élections libres.
21 mai 1991Loi constitutionnelle, abandon de toute référence au« socialisme ».
Premier secrétaire du parti
(1e)1944-1985Enver Hoxha
(De)1985-1991Ramiz Alia
Président du Conseil des ministres
(1e)1944-1954Enver Hoxha
1954-1981Mehmet Shehu
(De)1982-1991Adil Çarçani
Président du Présidium de l'Assemblée populaire
(1e)1946-1953 Omer Nishani
1953-1982Haxhi Lleshi
(De)1982-1991Ramiz Alia

Entités précédentes :

Entités suivantes :

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L'Albanie socialiste ouAlbanie communiste était le régime politique en vigueur enAlbanie après laSeconde Guerre mondiale, jusqu'à lachute des régimes communistes en Europe. Fondée en 1944 sous le nom degouvernement démocratique d'Albanie, alorsgouvernement provisoire, elle est rebaptiséerépublique populaire d'Albanie (Republika Popullore e Shqipërisë) en 1946 avant d'adopter son nom définitif derépublique populaire socialiste d'Albanie (Republika Popullore Socialiste e Shqipërisë) en1976. Faisant partie des régimes dits de« démocratie populaire », l'Albanie resta alignée sur l'URSS jusqu'en1960, date à laquelle elle préféra s'aligner sur larépublique populaire de Chine, quittant alors lebloc de l'Est. Le parti unique était leParti du travail d'Albanie, dirigé parEnver Hoxha jusqu'à sa mort en1985. La république populaire d'Albanie avait pour particularité d'être le dernier régime à être resté officiellementstalinien en Europe, après1956.

Histoire

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Article connexe :Histoire de l'Albanie communiste.

Fondation du régime

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À l'automne1944, avec le retrait des troupes allemandes duRoyaume albanais, leMouvement de libération nationale, dirigé par leParti communiste d'Albanie et fortement soutenu par lesPartisans yougoslaves deTito, prend le contrôle du pays, éliminant progressivement ses adversaires politiques comme les nationalistes duBalli Kombëtar.Enver Hoxha, secrétaire du Parti, forme un gouvernement provisoire, le « gouvernement démocratique d'Albanie ».

En janvier 1945,Koçi Xoxe, responsable du ministère de l'Intérieur, institue une« Cour spéciale du peuple » qui multiplie aussitôt les procès contre les collaborateurs réels ou supposés, et plus globalement l'élite albanaise d'avant-guerre. Plusieurs milliers de personnes sont exécutées (au total, environ 6 000 personnes auraient été exécutées entre 1944 et 1991 selon l'Institut des études sur les crimes communistes[3]). Une série de mesures sont prises contre les entreprises privées, dont les dirigeants sont décrétés« profiteurs de guerre ». Les biens de leurs dirigeants sont confisqués, tandis que les industries et les transports sont nationalisés. Le nouveau régime communiste doit gérer les rivalités entre les différentes ethnies albanaises, notamment lesGuègues et lesTosques. Les communistes albanais sont également sous la forte influence duParti communiste de Yougoslavie, dont la proximité et le poids militaire ont assuré leur victoire : en janvier1945, conformément aux accords pris en temps de guerre, le gouvernement albanais accepte officiellement le retour duKosovo, peuplé majoritairement d'Albanais et annexé du temps de l'occupation italienne, au sein de la Yougoslavie[4].

L'Albanie est alors une nation fortement rurale et dès l'été 1945, une réforme agraire est mise en place, entraînant l'expropriation d'une centaine de grands domaines au profit des travailleurs agricoles. Les biens ecclésiastiques sont nationalisés. Entre la fin 1945 et le début 1946, Hoxha et Xoxe organisent la purge des éléments modérés du parti au même titre que celle de nombreux chrétiens commeVinçens Prenushi et ses compagnons reconnus commemartyrs par l'Église catholique[5]. Le, des élections sont organisées, le Parti communiste présentant une liste unique sous l'appellation deFront démocratique (nouveau nom duMouvement de libération nationale) et remportant 93,2 % des suffrages. Le, l'Assemblée constituante proclame officiellement l'abolition de la monarchie et la mise en place de larépublique populaire d'Albanie[6].Omer Nishani, en tant que président du présidium de l'Assemblée populaire, exerce la fonction honorifique de chef de l'État, mais le pouvoir est exercé parEnver Hoxha en tant que chef de gouvernement et chef du parti.

Position de l'Albanie communiste en Europe

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L'Albanie est alors dans les faits un allié de laYougoslavie deTito[7]. Le, un traité d'amitié et d'assistance mutuelle est signé entre la Yougoslavie et l'Albanie, suivi le de la même année par un traité économique : des sociétés mixtes, comme une banque albano-yougoslave, sont créées, et l'Albanie bénéficie de l'aide financière et logistique du régime yougoslave. En avril1947, les Yougoslaves suggèrent la formation d'une commission de coordination des plans économiques à l'échelle des deux pays, visant à l'intégration économique des deux pays : la faction d'Enver Hoxha y est opposée, conduisant à des premières tensions entre les deux pays[8]. À la conférence de création duKominform en septembre1947, leParti communiste d'Albanie n'est même pas invité, étant représenté par leParti communiste de Yougoslavie[9].

Dans les années de l'immédiat après-guerre, le régime albanais est parcouru de tensions : en 1946 et 1947, les« pro-Occidentaux », partisans d'une ouverture à l'ouest, sont éliminés[10]. Une lutte se développe également entre la tendance d'Enver Hoxha et celle deKoçi Xoxe, proche du régime yougoslave et fort de son rôle de chef de la police secrète. Fin février-début mars1948, Hoxha doit subir les attaques de pro-Yougoslaves auVIIIeplenum du Comité central du Parti ; il sauve sa place, mais des anti-Yougoslaves commeMehmet Shehu sont destitués. La tendance de Xoxe semble l'emporter ; mais Hoxha parvient dans les mois suivants à faire rejeter son projet de pétition visant à faire admettre l'Albanie au nombre des républiques fédérées yougoslaves. En mai1948, Hoxha ne se rend pas à l'anniversaire de Tito. Fin juin1948 a lieu larupture Tito-Staline : dès le1er juillet, l'Albanie dénonce tous ses accords économiques avec la Yougoslavie. En septembre, l'Albanie conclut un traité économique avec l'URSS. Dans le même temps, le comité central réhabilite Shehu et les anti-Yougoslaves, tout en condamnant Xoxe : le, ce dernier perd son poste au gouvernement, tandis que les éléments« titistes » sont progressivement éliminés. En novembre1948, au congrès du parti, rebaptiséParti du travail d'Albanie, Hoxha consolide son pouvoir en prenant le poste nouvellement créé de Premier secrétaire[11].

Le régime communiste albanais parvient, par ailleurs, à éradiquer au début desannées 1950 les derniers restes de guérilla anti-communiste ; il résiste également aux tentatives de coups d'État extérieure, comme leprojet Valuable, infiltration de commandos d'exilés albanais entraînés par leRoyaume-Uni ou lesÉtats-Unis ; les opérations seront déjouées grâce au service de renseignement albanais, leSigurimi.

La république populaire d'Albanie, son régime politique stabilisé, s'emploie à moderniser le pays par une politique d'industrialisation et d'agriculture intensive. De grands ouvrages, comme une centrale hydro-électrique, sont mis en place avec l'aide soviétique. Le commerce extérieur ne se fait qu'avec les autres pays dubloc de l'Est : l'Albanie, jusque-là très pauvre, connaît une période de fort accroissement de la production[12]. Sur le plan intérieur, une lutte est entreprise contre les croyances religieuses et contre les esprits de clans, afin d'unir les tribus albanaises sous la seule bannière communiste. La jeunesse est fortement endoctrinée, le fort développement de l'instruction publique faisant partie des outils de propagande. Enver Hoxha cède en1954 son poste de président du Conseil des ministres à son numéro deuxMehmet Shehu, mais demeure le chef du régime en tant que premier secrétaire et idéologue officiel du Parti.

En1954, l'Albanie effectue son premier rapprochement avec larépublique populaire de Chine, en signant avec elle un accord de coopération culturelle et scientifique. En1955, elle devient membre dupacte de Varsovie. En1956, Enver Hoxha s'inquiète de ladéstalinisation : tout en suivant officiellement la ligne soviétique et approuvant la réconciliation avec la Yougoslavie (sans pour autant réhabiliter Xoxe) ainsi que la répression de l'insurrection de Budapest, il élimine progressivement du parti des éléments les plus pro-soviétiques, se débarrassant de toute personne susceptible de lui succéder à la faveur des réformes en cours au sein dubloc de l'Est. En juin1960, lors d'un congrès duParti communiste roumain et en pleine période derupture sino-soviétique, Enver Hoxha refuse de condamner la Chine et attaque au contraire les« révisionnistes » soviétiques et yougoslaves. L'Albanie prend le chemin inverse de la déstalinisation et s'éloigne de l'URSS pour se rapprocher de la Chine, dont elle constitue le principal allié européen[13].

Politique de fermeture

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Article connexe :Rupture sino-albanaise.

Privée du soutien économique des Soviétiques, l'Albanie bénéficie désormais de celui des Chinois, qui fournissent une aide financière et des conseillers techniques. L'économie du pays souffre cependant du retrait de l'aide soviétique. Bien qu'officiellement toujours membre du pacte de Varsovie et duComecon, l'Albanie n'y participe plus et n'a plus de relations diplomatiques avec l'URSS, qui a rappelé son personnel diplomatique. Bien que se réjouissant de la chute deNikita Khrouchtchev, Enver Hoxha ne montre pas plus d'ouverture avec les successeurs de ce dernier. En1964, le bâtiment vide de l'ambassade soviétique est réquisitionné. L'Albanie est couverte debunkers, mis au point dans lesannées 1950 et censés protéger le pays d'invasions extérieures. Environ 170 000 bunkers sont construits jusque dans lesannées 1980[14].

L'Albanie est alors la dictature la plus sévère d'Europe avec plus de 5 500 exécutions, 34 000 personnes détenues dans des camps de travail ou des villages d’internement, et près de 14 000 exils[14] (l’émigration était interdite et les frontières étroitement surveillées[15]) pour une population d'après-guerre de 1 million d'habitants (et de plus de 3 millions en 1990). Le gouvernement met aussi en œuvre des réformes visant à la modernisation économique et obtient des résultats importants en matière d'industrialisation, de développement de l'agriculture, de l'éducation, des arts et de la culture, ce qui contribue à une hausse générale du niveau de vie[16]'.

Bunkers albanais.

Mais dans le même temps, le pays souffre d'importantes lacunes qui entravent son développement, dont unecentralisation excessive du pouvoir, uneproductivité trop faible, ou encore le gaspillage massif d'argent public dans des projets pharaoniques ou dans des entreprises publiques déficitaires[17]. Malgré la propagande officielle de promotion de l'égalité homme-femme, les préjugés touchant les femmes continuent à être tenaces, particulièrement dans le secteuragricole où elles font les tâches les plus pénibles[17].

Dans lesannées 1960, s'inspirant de larévolution culturelle chinoise et désirant lutter contre la bureaucratie, Hoxha abolit les grades militaires dans l'armée où les commissaires politiques sont réintroduits, et supprime plusieurs ministères comme celui de la justice. La politique de collectivisation agricole est radicalisée, le système d'éducation réformé, et les intellectuels sont réprimés.

Une forte campagne anti-religieuse est également lancée, Enver Hoxha proclamant l'Albanie« premier Étatathée du monde » en 1967[18] : des groupes d'étudiants encadrés par le parti sont chargés de militer contre la pratique religieuse et de réquisitionner les lieux de cultes (églises, mosquées)[19]; les pratiques cultuelles sont finalement interdites, et le restent jusqu'en1990. La détention de livres religieux est sévèrement punie[20]. Les lieux de cultes n'ayant pas d'intérêt historique sont détruits, et de nombreux religieux incarcérés, voire exécutés[21],[22].

À la fin1968, l'Albanie se retire officiellement du pacte de Varsovie et du Comecon.

Le nom d'Enver Hoxha, gravé à flanc de montagne. L'inscription a été effacée aunapalm en1995[23].

Au début desannées 1970, cependant, l'alliance avec la Chine montre des signes de stagnation. Les médias albanais s'abstiennent de relater lavisite de Richard Nixon en Chine en 1972. L'Albanie tente de compenser le déclin de son alliance en améliorant ses relations diplomatiques avec les pays occidentaux ; elle ignore cependant la conférence de formation de l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe et ne participe pas à laconférence d'Helsinki.

En1976, l'Albanie adopte une nouvelle constitution, changeant le nom officiel du pays enrépublique populaire socialiste d'Albanie. Le rôle dirigeant du Parti du travail est réaffirmé dans la constitution, qui garantit également les libertés d'expression et d'organisation, mais subordonne ces libertés à l'intérêt collectif, donc aux décisions du Parti, aboutissant dans les faits à les nier.

Le régime d'Enver Hoxha prétend poursuivre une révolutionarisation constante de la société inspirée par d'authentiques principes marxistes-léninistes - en opposition avec le révisionnisme allégué soviétique - afin d'abattre les privilèges de classes. En conséquence, les écarts de salaires sont significativement réduits, les grades militaires sont abolis et les travailleurs intellectuels sont contraints, un mois chaque année, d'effectuer un stage auprès des travailleurs manuels[24].

En1978, la Chine, ayant renoncé à l'orthodoxiemaoïste, rompt avec l'Albanie et lui retire son aide. Le régime d'Enver Hoxha, dépourvu de soutien extérieur, adopte une politique d'« autosuffisance » économique, se traduisant par un net appauvrissement de sa population. Des relations diplomatiques sont maintenues avec l'extérieur, mais le pays apparaît comme le plus fermé d'Europe. En1981, les relations avec la Yougoslavie se tendent à nouveau avec les émeutes desAlbanais duKosovo[25].

Enver Hoxha, septuagénaire, choisitRamiz Alia pour lui succéder à la tête du régime, au détriment du premier ministreMehmet Shehu. Ce dernier manifestant son opposition, il est éliminé du parti et meurt, officiellement par suicide, le. Accusépost mortem d'avoir été « un agent des services secrets américains, soviétiques, yougoslaves, anglais et italiens », il est enterré à la fosse commune. Enver Hoxha, malade, se détache progressivement des affaires courantes à partir de1983 tandis que Ramiz Alia, devenu chef de l'État, affermit son autorité et multiplie les contacts diplomatiques. Hoxha meurt le : Alia lui succède comme premier secrétaire duParti du travail d'Albanie ;Nexhmije Hoxha, veuve d'Enver, prend la tête de l'organisation duFront démocratique, paravent du Parti.

Chute du régime

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Dans lesannées 1980, les réformes deMikhaïl Gorbatchev au travers des politiques de laperestroika et de laGlasnost amènent de grands changements au sein dubloc de l'Est. À partir de1989, lesrégimes communistes européens tombent tous les uns après les autres.

L'Albanie semble être le dernier bastion communiste à ignorer les réformes, mais le mécontentement s'accroît dans la population : en décembre1990, cinq mille albanais fuient le pays à travers laGrèce.Ramiz Alia, conscient de la nécessité d'un changement pacifique, autorise lemultipartisme le. LeParti démocrate d'Albanie est formé le lendemain. Le, alors que la situation dans tout le pays est instable avec notamment des affrontements armés sanglants qui éclatent dans certaines villes, des dizaines de milliers de manifestants envahissentTirana où la statue monumentale d'Enver Hoxha est abattue[26]. Le, l'Albanie tient ses premières élections libres, où leParti du travail d'Albanie remporte la majorité. Le, Ramiz Alia est élu au poste nouvellement créé de président de la République ; un gouvernement de coalition est formé. Une loi constitutionnelle provisoire est adoptée le, supprimant toute référence au« socialisme » : le pays devient la république d'Albanie[27]. En juin, le Parti du travail s'auto-dissout et devient leParti socialiste d'Albanie.

Cependant, la crise politique se poursuit et, en décembre, les ministres d'opposition quittent le gouvernement. En, des élections législatives anticipées sont organisées, qui voient la victoire de l'opposition. Ramiz Alia démissionne de la présidence de la République et le chef de l'oppositionSali Berisha lui succède le, devenant le premier président albanais démocratiquement élu. Ramiz Alia et d'autres personnalités de l'ère communiste commeNexhmije Hoxha sont arrêtés pour corruption quelques mois plus tard[28].

Les Albanais sont de nos jours partagés sur cet héritage : 42 % jugent favorablement le gouvernement d'Enver Hoxha et 45 % le jugent négativement selon un sondage réalisé en 2016 par l'OSCE[29].

Notes et références

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  1. Nom adopté en 1946
  2. Nom adopté en 1976
  3. En Albanie, les sombres vestiges du communisme devenus musées
  4. Dimitri T. Analis,Les Balkans 1945-1960, Presses universitaires de France, 1978,p. 81-82
  5. « 38 martyrs albanais du communisme bientôt béatifiés », surFamille chrétienne,
  6. Dimitri T. Analis,Les Balkans 1945-1960, Presses universitaires de France, 1978,p. 82
  7. Serge Métais,Histoire des Albanais, Fayard, 2006,p. 316
  8. Dimitri T. Analis,Les Balkans 1945-1960, Presses universitaires de France, 1978,p. 82-86
  9. Serge Métais,Histoire des Albanais, Fayard, 2006,p. 318-319
  10. Dimitri T. Analis,Les Balkans 1945-1960, Presses universitaires de France, 1978,p. 84
  11. Dimitri T. Analis,Les Balkans 1945-1960, Presses universitaires de France, 1978,p. 86-89
  12. Dimitri T. Analis,Les Balkans 1945-1960, Presses universitaires de France, 1978,p. 136-139
  13. Dimitri T. Analis,Les Balkans 1945-1960, Presses universitaires de France, 1978,p. 139-144
  14. a etbd’ElisaPerrigueur, « En Albanie, 170 000 bunkers en héritage », surMediapart,
  15. Jean-Arnault Dérens et LaurentGeslin, « L'Albanie, « bon élève » à la dérive », surLe Monde diplomatique,
  16. (en) « Albania: The Stalinist state », surEncyclopedia Britannica.
  17. a etbLe Gendre, Bertrand. Enver Hoxha. Albanie, les années rouges (1944-1991). N.p., Flammarion, 2024.
  18. Albanie et Macédoine : deux pays des Balkans à ne pas oublier, www.senat.fr (accès le 16 avril 2016)
  19. Albania Claims: "First Atheist State in the World"
  20. https://www.paris.catholique.fr/l-eglise-orthodoxe-d-albanie-hier.html
  21. Albania
  22. Hoxha's Antireligious Campaign
  23. BBC.co.uk
  24. loshilikes, « Le défi albanais rts ch émissions temps présent international »,
  25. Michel Mourre (dir.),Dictionnaire d'histoire universelle, articleAlbanie, Bordas, éd. de 2004
  26. Encyclopedia Universalis.
  27. (en)Albania Index.
  28. (en)Albania chronology of events.
  29. (en-US) « Albania Survey Shocks Victims of Communist Regime », surBalkan Insight,(consulté le)

Voir aussi

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Articles connexes

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Bibliographie

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  • Gabriel Jandot,L'Albanie d'Enver Hoxha, 1944-1985, L'Harmattan, 1994
  • Besnik Mustafaj,Entre crimes et mirages : l'Albanie, Actes Sud, 1993
  • François Fejtő,Histoire des démocraties populaires, tome 1 : l'ère de Staline, Seuil, 1952
  • François Fejtö,Histoire des démocraties populaires, tome 2 : après Staline, Seuil, 1972
  • François Fejtö, Ewa Kulesza-Mietkowski,La Fin des démocraties populaires, Seuil, 1992
  • Archie Brown,The Rise and fall of communism, Vintage Books, 2009
  • Dimitri T. Analis,Les Balkans 1945-1960, Presses universitaires de France, 1978
  • Serge Métais,Histoire des Albanais, Fayard, 2006
  • Elisabeth et Jean-Paul Champseix,L'Albanie ou la logique du désespoir, La Découverte, 1992
  • Jean Bertolino,Albanie, la sentinelle de Staline, Seuil, 1979

Liens externes

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