LaRégion wallonne (enallemand :Wallonische Region ; ennéerlandais :Waals Gewest), communément appeléeWallonie (en allemand :Wallonien ; en néerlandais :Wallonië), est l'une des troisrégions belges.
La Wallonie compte sur son territoire des espaces dont les caractéristiques sont différentes, tant sur le plangéographique quesocioéconomique etculturel. Par exemple, on distingue lesillon Sambre-et-Meuse, urbanisé et marqué par son passé sidérurgique, desespaces ouverts et agricoles deHesbaye, ou encore des terres forestières et vallonnées de l’Ardenne et desHautes-Fagnes. Lefrançais, largement majoritaire en Wallonie, et l'allemand, parlé principalement dans lescantons de l'Est, sont les deux langues officielles de la Région.
Le nom donné à la région se calque sur celui de larégion historique, laWallonie. Ce nom dérive directement du terme « Wallon » qui est né d'un motgermanique :walh, par lequel lesGermains désignaient lespopulations gallo-romaines non germanisées ou, par extension, toute personne ne parlant pas une langue germanique.
Lessymboles officiels de la Région wallonne, en ce compris ledrapeau de la Wallonie, sont juridiquement définis par le décret du déterminant le jour de fête et les emblèmes propres à la Région wallonne[3] ainsi que par le décret du 23 juillet 1998 créant un hymne wallon[4] (Le chant des Wallons). L’article 2 du décret du 23 juillet 1998 déterminant le jour de fête et les emblèmes propres à la Wallonie prévoit que les armoiries de la Région sont leCoq hardi au combat de gueules sur fond d'or et que le coq hardi des armoiries (tel que dessiné ci-dessous) peut-être isolément utilisé pour représenter la Wallonie. Le drapeau est composé d'uncoq hardi rouge (dont la patte droite est levée et le bec fermé) sur fond jaune, conformément à l’article 4 et à l’annexe du décret[5]. Le coq hardi représente les originesgallo-romaines des Wallons[6] ainsi que leur adhésion à laculture française[7] et les couleurs jaune et rouge (deLiège) soulignent le rôle important qu’ont joué les Liégeois dans la construction de la conscience wallonne[8]. Le blason et le drapeau sont inspirés du tableau peint parPierre Paulus en 1913 commandé par l'Assemblée wallonne à la suite des revendications duMouvement wallon. En outre, en 2015, le Parlement wallon a modifié le décret du 23 juillet 1998 pour y inscrire que « l’emblème floral de la Région wallonne est la gaillarde ougaillardia, rouge et jaune »[9].
Par ailleurs, le, le Gouvernement wallon a concrétisé les principes spécifiés dans une note[10], écrite par leministre-présidentRudy Demotte, pour le développement d'une conscience wallonne et a consacré le terme « Wallonie » à la place du terme « Région wallonne »[11]. Par ce communiqué, le Gouvernement wallon marque sa volonté de promouvoir, dans un souci de développement d’une conscience collective wallonne décomplexée, et dans les limites permises par la constitution, l’usage du termeWallonie de préférence au termeRégion wallonne.
Dans une optique de visibilité renforcée, le Gouvernement wallon a décidé de « rationaliser la visibilité des institutions régionales wallonnes autour d'un logo unique consacrant le coq, emblème le plus identifiant de la Wallonie »[12]. Depuis lors, le Gouvernement, l'administration régionale et les structures associées à la Région utilisent un logo contenant une version alternative simplifiée du coq hardi rouge, distincte de celle du décret du 23 juillet 1998, accompagnée du terme « Wallonie ». Son utilisation est réglementée par une charte graphique[13].
Symboles et logotype officiels de la Wallonie
Armoiries officielles de la Région wallonne : d'or au coq hardi de gueules.
Coq hardi rouge figurant sur les armoiries et le drapeau officiels de la Wallonie. Il peut être utilisé isolément comme symbole de la Wallonie en application de l'article 2 du décret du 23 juillet 1998.
Lagaillarde est le symbole floral de la Wallonie, en référence à ses couleurs jaune et rouge qui coïncident avec celles du drapeau wallon.
Cette région est plus vallonnée que les autres. On y trouve lavallée de la Meuse où le cours d'eau est à une hauteur de 70 mètres mais lafaille du Midi taille des falaises abruptes qui se rencontrent notamment du côté deDinant et deHuy àLiège. On y trouve lepoint culminant de la Belgique, lesignal de Botrange, et des plateaux à moyenne altitude comme laHesbaye.
Sur le plan géologique, le sous-sol wallon est en grande partie formé de couches sédimentaires marines, avec peu de sédiments continentaux et quelques intrusions magmatiques relativement mineures. Lesformations géologiques présentes sur le territoire s'étagent du Cambrien au Quaternaire « avec seulement quelques brefs hiatus » selon le professeurFrédéric Boulvain[14]. Le même scientifique dans son ouvragePierres et marbres en Wallonie considère le sous-sol riche géologiquement mais également d'« une fabuleuse richesse archéologique et patrimoniale dans l'utilisation exceptionnellement variée qui en a été faite, depuis l'époque romaine jusqu'à nos jours»[15].
De dimension modeste, avec un relief modéré, la Région wallonne occupe la partie la plus élevée de la Belgique. On retrouve sur son territoire les trois principales zones de relief belges. La basse Belgique située principalement à l'ouest dans le Tournaisis avec le début de laplaine limoneuse flamande. La moyenne Belgique qui s'élève progressivement vers les vallées de la Sambre et de la Meuse est composée des bas-plateaux hennuyer, brabançon ethesbignon. La haute Belgique commence au sud dusillon Sambre-et-Meuse par le haut-plateau de l'Ardenne avec son point culminant à694 m au lieu-dit « signal de Botrange » et se termine par laLorraine belge tout au sud.
Malgré son territoire restreint, la Région wallonne offre un ensemble topographique et de paysages naturels varié. D'ouest en est et du nord au sud, on retrouve la plaine flamande au Nord de Tournai, les bas-plateaux hennuyer et brabançon, la Hesbaye, le plateau duCondroz et l'Entre-Vesdre-et-Meuse, laFagne-Famenne, l'Ardenne et la Lorraine belge.
Le réseau hydrographique wallon est dense, avec les canaux qui s'ajoutent aux cours d'eau. Deux grands fleuves traversent la Région wallonne, laMeuse et l'Escaut, qui se jettent tous deux dans lamer du Nord aux Pays-Bas. La Meuse est le bassin hydrographique principal, avec 12 276,3 km2 (72,8 % du territoire)[16], suivi de l'Escaut avec 3 775,7 km2 (22,4 %)[17] et l'on trouve également sur le territoire le sous-bassin de laMoselle appartenant aubassin versant du Rhin dans sa partie extrême-orientale avec 767,4 km2 (4,5 %)[18], ainsi que le sous-bassin de l’Oise appartenant au bassin de laSeine au sud de la botte du Hainaut dans la région deMomignies avec 80,1 km2 (0,4 %)[16]. Cette partie du Hainaut est la seule partie faisant partie du bassin maritime de laManche, le reste de la Région est de celui de la mer du Nord.
La Région wallonne est administrativement découpée en 5provinces, qui définissent son territoire selon la Constitution belge. Ces provinces sont pratiquement un décalque des anciens départements créés durant l'occupation française le 14 fructidor an III[22] () mais à l'époque duroyaume uni des Pays-Bas ont pris un nom qui correspond plus ou moins aux territoires d’anciennes principautés ou d’anciennes provinces précédant laRévolution française. Les provinces sont divisées enarrondissements administratifs. Cesarrondissements administratifs, vingt au total, sont eux-mêmes divisés encommunes. On compte261 communes en Région wallonne[23], dont 65 portent le titre deVille.
Selon les dernières études sur la hiérarchie urbaine belge faites en 1997, la Région wallonne a deux grandes villes, Charleroi et Liège, sur les cinq que compte le pays et six villes régionales sur les17 villes régionales de Belgique :Namur,Mons,Tournai,Verviers,La Louvière etArlon[26]. En plus de la hiérarchie urbaine, la Région wallonne dispose de régions urbaines (agglomération + banlieue)[N 6]. Elles sont au nombre de six régions urbaines — Liège, Charleroi, Mons, Namur, Verviers et Tournai — auxquelles il faut ajouter la région urbaine bruxelloise qui s'étend largement au Brabant wallon[27]. Charleroi est la commune wallonne la plus peuplée mais si l'on considère les agglomérations c'est Liège qui est largement la plus peuplée avec près de 500 000 habitants. La région urbaine de cette ville englobe pas moins de35 communes[28]. Au, ces régions urbaines accueillent 54 % de la population de la Région wallonne mais leur poids en nombre d'habitants va en diminuant depuis au moins les années 1980 (à l'époque 56,9 %) au profit des territoires hors régions urbaines qui connaissent une croissance plus poussée.
L'infrastructure du réseau ferroviaire est gérée parInfrabel, une entreprise publique autonome détenue par l'État belge. Le transport intérieur de voyageurs et le transport de marchandise est géré dans l'ensemble du pays par laSociété nationale des chemins de fer belges (SNCB) tandis qu'en territoire wallon le transport international de voyageurs par trains classiques ou par trains à grande vitesse est aussi géré par la SNCB mais en partenariat avec laSociété nationale des chemins de fer français vers la France et avec laDeutsche Bahn vers l'Allemagne. Leslignes à grande vitesse présentes sur le territoire wallon sont trois : laLGV 1 entre la frontière française à Tournai et Bruxelles, laLGV 2 entreLouvain etAns, et laLGV 3 entreChênée à Liège etWalhorn.
Du côté du transport aérien, deux aéroports sont importants avec deux vocation différentes — l'aéroport de Charleroi-Bruxelles-Sud destiné au transport de passagers et l'aéroport de Liège pour le fret aérien — et qui connaissent depuis de nombreuses années une forte croissance. Le transport de passagers à Charleroi a été multiplié par 30 entre 1998 et 2013, dont une augmentation de 129 % entre 2008 et 2013[30]. Sur la même période, le fret aérien à Liège a augmenté de 242 %, ce qui met l'aéroport de Liège en8e position au niveau européen pour le transport de marchandises en 2012[31].
La Région wallonne apparaît dans la constitution belge le avec l'article 107 quater qui stipule dans son premier alinéa que la Belgique compte « trois régions : la région wallonne, la région flamande et la région bruxelloise » mais il faut attendre la « loi spéciale de réformes institutionnelles » du pour que cet article soit appliqué[34]. Néanmoins la Région wallonne est précédée par des organismes, à la fois propres au mouvement wallon mais aussi par la suite dans un cadre institutionnel.
Le premier est leConseil économique wallon, créé juste avant laSeconde Guerre mondiale en 1938. Copié sur leVlaams Economisch Verbond, organisation patronale flamande elle-même créée en1926 comme contrepoids auComité Central Industriel considéré comme trop francophone et libéral[35], l'association a « la défense de la région wallonne au point de vue économique » dans ses statuts élaborés par laLigue d'action wallonne de Liège[36]. Passé dans la clandestinité durant la guerre, il obtient une reconnaissance en1945 quand le gouvernement lui confie la mission d'analyser les causes du déclin de l'économie wallonne.
Le rapport est déposé au gouvernement le, il met en évidence un déséquilibre croissant entre les économies du Nord et du Sud du pays et recommande à la fois dedécentraliser et « d'établir un plan d'ensemble de redressement de l'économie wallonne ». Si ce rapport reste « lettre morte » selonPaul Delforge[37],Charles Bricman considère qu'il a donné une dynamique nouvelle au mouvement wallon en y ajoutant une dimension socio-économique et que cette dernière prend avec l'impulsion de l'extrême-gauche d'André Renard le parti dukeynesianisme et de l'économie planifiée[38].
C'est la même volonté d'interventionnisme économique qui fait naître leConseil économique de la Région wallonne, prédécesseur de l'assemblée législative de la Région wallonne[39]. À la suite de la proposition du ministreFreddy Terwagne dans le gouvernement Eyskens qui révise la Constitution en, les deux chambres votent en, la loi de planification et de décentralisation économique, dite Loi Terwagne. Cette loi prévoit en plus des conseils économiques régionaux, des Sociétés de Développement régionaux dont la wallonne est finalisée en1975 et des sections régionales du Bureau de programmation économique renommé enBureau du Plan[40].
Au niveau du gouvernement de l'État belge, la région wallonne est représentée par un ministre des affaires wallonnes, par la suite appelé ministre de la Région wallonne, accompagné d'un ou plusieurs secrétaires d'état.
Ne disposant pas d'une majorité qualifiée pour faire voter une loi spéciale, leGouvernement Tindemans II fait voter la Loi Perin-Vandekerckhove du pour créer « des institutions régionales, à titre préparatoire à l'application de l'article 107 quater de la constitution »[41]. La loi fixe le territoire de la Région wallonne.
Une tentative de régionalisation effective de la Belgique, avec lePacte d'Egmont en 1977 et les accords du Stuyvenberg en 1978, est avortée à la suite d'une opposition flamande[42]. Elle se fait finalement durant l'été 1980 avec laquatrième révision de la Constitution sous legouvernement Martens III, coalition d'union nationale de courte durée. Cette révision et le vote de deux importantes lois de réformes institutionnelles entraînent la deuxième réforme de l'État[43]. Le Constituant de 1980 introduit un article 26 bis qui confère aux régions le pouvoir de prendre des décrets ayant force de loi.
La Région wallonne possède sonparlement, composé de 75députés élus directement ausuffrage universel. LeParlement wallon est établi àNamur. Son rôle est de débattre des thèmes pour lesquels la Région est compétente et de contrôler leGouvernement wallon. Les75 députés wallons[N 7] forment également, avec19 députés francophones duParlement de la Région de Bruxelles-Capitale, leParlement de la Communauté française de Belgique, établi à Bruxelles. La Communauté française est l'entité fédérée qui a autorité sur lapartie francophone de la Région wallonne en matière d'enseignement, de culture, de sport et de contrôle des médias publics. La Communauté germanophone exerce la même autorité sur la partie germanophone de la Région wallonne (2 % de la population, 5 % du territoire).
Le, le Ministère de la Région wallonneMRW et le Ministère de l'Équipement et des TransportsMET ont fusionné pour créer le Service public de WallonieSPW, l'administration de la Région wallonne.
Comme leQuébec, laCatalogne, laFlandre, laCalifornie ou laBavière, elle bénéficie en matière de politique internationale,« de plus de ressources que de nombreux pays souverains »[44].
L'habitude des juristes belges de langue française est d'utiliser le terme « entités » pour désigner les différentes communautés et régions. Cependant, certains experts plaident pour que l'on utilise le terme « État » comme le militant wallon Jean-Marie Klinkenberg, membre du Conseil supérieur de la langue française, le faisait déjà en1992 dans la revueToudi[45], toutes ces suggestions ayant été finalement acceptées sauf celle-là. C'est aussi le cas de Jean Beaufays[46].
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Le graphe ci-dessous est basé sur les chiffres de population des cinq provinces wallonnes tel qu'elles étaient délimitées au moment des recensements en question. Les valeurs antérieures à 1920 ne tiennent pas compte des communes intégrées par la Belgique à la suite du traité de Versailles (Cantons de l'Est). De même les valeurs antérieures à 1970 sont basées sur les limites des provinces en vigueur avant les modifications dues à la fixation définitive de la frontière linguistique en 1962.
Nombre d'habitants x 1000
Source:DGS , de 1831 à 1981=recensements population; à partir de 1990 = nombre d'habitants chaque 1 janvier[49]
Contrairement au graphe ci-dessus, le graphe ci-dessous est basé sur les chiffres de population des cinq provinces wallonnes dans leurs limites actuelles. Les valeurs antérieures à 1920 ne tiennent pas compte des communes intégrées par la Belgique à la suite du traité de Versailles (Cantons de l'Est).
Nombre d'habitants x 1000
Source:DGS , de 1831 à 1981=recensements population; à partir de 1990 = nombre d'habitants chaque 1 janvier[49]
En Wallonie comme dans toute la Belgique, lefootball est le sport qui est de loin le plus populaire. Les Wallons possèdent trois clubs évoluant enJupiler Pro League (situation 2023-2024) : leStandard de Liège, qui a remporté dix fois lechampionnat, leR Charleroi SC et leKAS Eupen. En deuxième division de football professionnel, la Wallonie compte 1 club actif, l'AFC Tubize.
En sports collectifs, les principales équipes de la région wallonne sont :
↑Indice qui tient compte de la probabilité que deux points, choisis au hasard dans une région, soient connectés, c’est-à-dire non séparés par une « barrière écologique ».
↑Une région urbaine est une « entité spatiale élargie où sont déployées la plupart des activités de base de la communauté urbaine, c’est-à-dire : habiter, travailler, éduquer, faire des courses, participer aux activités culturelles, se divertir. Il existe entre ces activités des relations intenses créant un ensemble fonctionnel qui, toutefois, reste orienté dans une large mesure vers la ville centrale traditionnelle ».
↑Les députés ayant d'abord prêté serment en allemand sont alors remplacés par un suppléant francophone.
↑Isidore Plaisant,Pasinomie, ou Collection complète des lois, décrets, arrêtés et règlements généraux qui peuvent être invoqués en Belgique de 1788 à 1832,t. 7, Bruxelles,.
↑Etienne Van Hecke, « Actualisation de la hiérarchie urbaine en Belgique »,Bulletin du Crédit Communal,no 205,,p. 45-76 cité dans« Hiérarchie urbaine », surInstitut wallon de l’évaluation, de la prospective et de la statistique(consulté le).
↑Sarah Luyten et Etienne Van Hecke,« Les régions urbaines belges en 2001 », dansNoyaux d’habitat et Régions urbaines dans une Belgique urbanisée, SPF Économie,, 201 p.(lire en ligne).
↑« Régions urbaines », surInstitut wallon de l’évaluation, de la prospective et de la statistique(consulté le).
↑Paul Charlier,« L'inflation juridique et le développement des normes », dansLe nouveau droit constitutionnel : rapports belges au IIe Congrès mondial de droit constitutionnel, Louvain-la-Neuve et Bruxelles, Academia & Bruylandt,(ISBN9782872090235),p. 120.
↑Paul Delforge,« Politique économique wallonne », dans Mark Van den Wijngaert,D'une Belgique unitaire à une Belgique fédérale : 40 ans d'évolution politique des communautés et des régions (1971-2011), Bruxelles, Asp sa,, 242 p.(ISBN9789054879480),p. 156
↑Mark Van den Wijngaert,D'une Belgique unitaire à une Belgique fédérale : 40 ans d'évolution politique des communautés et des régions (1971-2011), Bruxelles, Vubpress,, 242 p.(ISBN978-90-5487-948-0,lire en ligne),p. 150.
↑La loi du publiée au moniteur le, citée parJacques Brassinne de la Buissière, « La régionalisation : la loi du 1er août 1974 et sa mise en œuvre (I) »,Courrier hebdomadaire du CRISP,no 665, 1974/39,p. 1-25(DOI10.3917/cris.665.0001,lire en ligne, consulté le).
↑Stéphane Paquin, « Les actions extérieures des entités subétatiques : quelle signification pour la politique comparée et les relations internationales ? » dansRevue internationale de politique comparée, 2005/2,vol. 12,p. 129 à 142, 136.
Les Indicateurs Clés de l’Environnement Wallon 2014, Jambes, Service Public de Wallonie,, 205 p.(lire en ligne)
Mark Van den Wijngaert,D'une Belgique unitaire à une Belgique fédérale : 40 ans d'évolution politique des communautés et des régions (1971-2011), Bruxelles, Vubpress,, 242 p.(ISBN978-90-5487-948-0,lire en ligne)