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Région des Sudètes

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Pour les articles homonymes, voirSudètes.

La région des Sudètes (zones en noir) peuplée par des populations germanophones enBohême et enMoravie au début duXXe siècle.

Larégion des Sudètes (entchèque :Sudety oupohraniční území Česka « régions frontalières de la Tchéquie », enallemand :Sudetenland, enpolonais :Kraj Sudetów) est une régiongéographique et culturelle de laTchéquie, d'environ 28 500 km2, devenuehistorique à partir des revendications en 1918 de l'Autriche allemande. La région est annexée en 1938 par leTroisième Reich. Initialement, le terme « Sudètes » désignait les zones à majoritégermanophone deBohême (Deutschböhmen soit « Bohême allemande ») puis, à mesure que se précisaient les prétentions nazies contre lapremière République tchécoslovaque, lesens du mot a été élargi à l'ensemble des zones à majorité germanophone de la partietchèque du pays, enBohême, mais aussi enMoravie etSilésie. Le peuplement allemand de la région remonte à l'Antiquité. Devenu minoritaire après l'arrivée des Slaves, il est renforcé au Moyen Âge par l'installation de colons allemands par les rois de Bohême. Lacolonisation allemande de cette région entraîne sagermanisation auMoyen Âge, mais elle n'avait alors pas de nom propre.

Géographie des montagnes

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Altitude des montagnes dans l'ancienne région des Sudètes en Moravie, ouvrage de 1901

Basé sur les montagnes desSudètes.

Sens historique

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Troupes mécanisées allemandes entrant à Saaz le 9 octobre 1938. (Saaz, Sudètes)

Historiquement, le nom deSudètes vient des montagnes du nord-est du pays, habitées par des populations majoritairementgermanophones qu'on a appelées parmétonymie lesAllemands des Sudètes (ou tout simplement les « Sudètes »). Pendant la période de l'entre-deux-guerres ce terme désigne, par extension, les régions deBohême,Moravie etSilésie tchèque, majoritairement peuplées de germanophones jusqu'à leurexpulsion à la suite desdécrets Beneš en1945 et, par métonymie, les familles allemandes originaires de ces régions.

Pour cette raison, il arrive qu'auXXIe siècle les Sudètes soient mentionnés dans des événements récents, par analogie à cette première partie duXXe siècle[1],[2],[3],[4],[5],[6],[7],[8],[9].

Histoire

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Installation des Allemands en Bohême

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Cartes de l'Autriche-Hongrie en 1911 montrant la répartition des nationalités dans l'ancien empire et la présence majoritaire des Allemands (en rose) sur le pourtour de la Bohême.

Les tribus germaniques s'installent enBohême etMoravie dès l'an 500 avant notre ère, se mélangeant aux populationsceltes locales.

LesSlaves (Moraves, ultérieurement différenciés enTchèques,Sorabes etSlovaques) s'installent à leur tour dans la région vers 600 de notre ère, assimilant lesGermains locaux.

En791, soit neuf ans avant le couronnement impérial deCharlemagne, la Bohême est rattachée auRoyaume des Francs sous la forme d'unemarche militaire.

Entre 1347 et 1348, pendant la peste noire, la région perd peut-être 50 % de sa population, l'estimation la plus basse des historiens étant de 25 % de mortalité. Certaines zones seront presque vides, après la vague de la pandémie.

Durant leMoyen Âge, lesrois de Bohême font appel aux Allemands pourcoloniser des terres et peupler des villes, en apportant leur savoir-faire. Ils sont très souvent majoritaires dans les villes, même en dehors de la région des Sudètes proprement dite. Quand ils sont minoritaires, ils en forment souvent l’élite et sont les édiles des villes, en raison de leur proximité linguistique et culturelle avec lepouvoir impérial de Vienne qui les favorise.

Les Allemands des Sudètes représentent, au début duXXe siècle, près de 30 % de la population totale de la Bohême, alors partie intégrante de l'Empire des Habsbourg depuis1526.

Ainsi, duMoyen Âge à l'an1918, les Sudètes ont constamment été sous souveraineté germanique (Saint-Empire romain germanique, puis Empire austro-hongrois)[10].

Réunion à la Tchécoslovaquie

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Période de transition 1918-1920

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En1919, letraité de Saint-Germain-en-Laye qui consacre la dislocation de l'Autriche-Hongrie à l'issue de laPremière Guerre mondiale stipule, sur la base dudroit des peuples à disposer d'eux-mêmes, qu'il est fait droit à la revendication desTchèques et desSlovaques de se doter d'un pays : laTchécoslovaquie, qui existede facto depuis, est ainsi reconnue. Elle comprend les territoires duroyaume de Bohême (jusqu'alors dépendant de lacouronne d'Autriche), de laSlovaquie et de laRuthénie subcarpatique (jusqu'alors dépendantes de lacouronne de Hongrie[a]).

Cet état de fait est dénoncé par les minorités allemandes incluses dans le nouvel État et majoritaires dans certaines régions :

  • leBöhmerwaldgau (le « pays des Forêts de Bohême »), en Bohême du sud se déclare district (Kreis) duLand deHaute-Autriche ; administré par unKreishauptmann (chef de district) — Friedrich Wichtl (1872 - 1922) — depuis le 30 octobre 1918 ;
  • leDeutschböhmen (la « Bohême allemande »), au nord-est de la Bohême se déclare partie entière du nouvel État autrichien et est administré par unLandeshauptmann — Rafael Pacher (1857-1936) — du 29 octobre au 6 novembre 1918 puis par Rudolf Ritter von Lodgman von Auen (1877-1962) du 6 novembre au 16 décembre 1918 (sa capitale,Reichenberg, est la dernière à être conquise par l'armée tchécoslovaque mais son gouvernement continue en exil tout d'abord àZittau enSaxe puis àVienne, jusqu'au 24 septembre 1919) ;
  • leSudetenland (le « Pays des Sudètes » proprement dit), enMoravie etSilésie se déclare partie intégrante dunouvel État autrichien et est administré par unLandeshauptmann — Robert Freissler (1877-1950) — du 30 octobre au 18 décembre 1918 (date à laquelle les Tchécoslovaques occupent sa capitale,Opava) ;
  • leDeutschsüdmähren (la « Moravie allemande du sud ») se proclame District (Kreis) du Land deBasse-Autriche et est administré par unKreishauptmann — Oskar Teufel (1880 - 1946) — du 30 octobre 1918 jusqu'en décembre de la même année, mois où les troupes tchécoslovaques reprennent la situation et les territoires en main.

1920-1938

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L'opposition entre les Allemands et les Tchèques est latente tout au long desannées 1920 et s'intensifie dans lesannées 1930, après la dissolution de deux partis irrédentistes par le gouvernement tchécoslovaque, puis la création parKonrad Henlein d'unFront patriotique des Allemands des Sudètes en 1933, forcé de changer de nom en 1935 pour devenirParti allemand des Sudètes. Celui-ci réclame, avec l'appui de l'Allemagne nazie, le rattachement auTroisième Reich et amplifie graduellement ses exigences. La crise éclate après l'Anschluss de l'Autriche au Reich en 1938.

Pendant la période 1920-1938, il y a d'autres partis politiques allemands en Tchécoslovaquie, dont des sociaux-démocrates duParti ouvrier social-démocrate allemand en République de Tchécoslovaquie (Deutsche sozialdemokratische Arbeiterpartei in der Tschechoslowakischen Republik), des sociaux-chrétiens duParti populaire chrétien social allemand (Deutsche Christlich-Soziale Volkspartei) et des agrariens duBund der Landwirte, et de nombreux Allemands soutiennent leParti communiste tchécoslovaque. Ces partis sont largement majoritaires dans l'électorat allemand jusqu'en 1935.

Les gouvernements de coalition tchécoslovaques de 1926 à 1938 sont appuyés par des partis allemands modérés, dont certains élus deviennent ministres, notamment l'agrarienFranz Spina (en) à diverses reprises entre 1926 et 1938, le social-démocrateLudwig Czech (en) de 1929 à 1938, et le social-chrétienErwin Zajicek (de) de 1936 à 1938[11].

Résultats des partis allemands et de la liste magyaro-allemande * aux élections législatives[12],[13]

PartiSièges en 1920Sièges en 1925Sièges en 1929Sièges en 1935Voix en 1935
Parti allemand des Sudètes---441 256 010
Parti national allemand-107(dissous en 1933)-
Parti national-socialiste des travailleurs allemands15178(dissous en 1933)-
Parti social-démocrate allemand31172111300 406
Parti populaire chrétien social allemand713146163 666
Union des agriculteurs1124-5142 775
Liste magyaro-allemande **9499292 847
« Partis allemands réunis »6-16--
Total79857575

Il y avait également des électeurs et des élus allemands dans d'autres partis, non spécifiquement allemands comme :

  • leParti communiste tchécoslovaque (848 822 voix et trente députés) ;
  • leDeutsch-demokratische Freiheitspartei,Deutsche Gewerbepartei,Deutschnationale Partei,Sudetendeutsche Landbund,Deutsche Arbeiterpartei,Zipser deutsche Partei, Parti chrétien-social hongrois et Parti national hongrois[14].

De nombreux Allemands des Sudètes, sociaux-démocrates, communistes, juifs ou simplement antinazis, seront déportés après l'annexion par le Troisième Reich, d'autres fuiront dans les autres parties de l'ex-Tchécoslovaquie et participeront à larésistance tchèque et slovaque contre le nazisme. Par ailleurs, du point de vue de l'appartenance confessionnelle, parmi les Allemands de Tchécoslovaquie, « des Sudètes » comme « des Carpates » (ces deux catégories ne regroupant pas la totalité desAllemands de Tchécoslovaquie), il y a des catholiques, des protestants et des juifs.

La crise des Sudètes et ses conséquences

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Adolf Hitler défile dansKraslice le.
Des réfugiés tchèques à Prague après leur expulsion des Sudètes.

Les 29 et,Adolf Hitler, poursuivant ses objectifspangermanistes et se faisant alors le champion du principe des nationalités, déclare vouloir « libérer les Allemands des Sudètes » de l'« oppression » tchécoslovaque. Hitler affirme ses revendications en s'appuyant sur les agitations de l'organisation nazie locale, menée parKonrad Henlein. LeFührer évoque le « droit des nations » pour exiger de Prague l'annexion au Reich de la région des Sudètes. Il annonce aux Français et aux Britanniques qu'une fois ce dernier problème territorial résolu, l'Allemagne se contentera de ces nouvelles frontières enEurope.« L'Europe connaîtra ensuite la paix pour mille ans » dira-t-il.

PourPrague, il n'est pas question d'abandonner le seul secteur défendable d'une zone frontalière stratégique et qui constitue la principale région industrielle du pays, avec notamment les usines d'armementŠkoda ; celles-ci sont à l'époque parmi les plus grandes et les plus modernes. En outre, les Tchécoslovaques viennent juste d'achever unsystème de fortifications qui a demandé trois ans de travaux.

Bien qu'alliée à laFrance, auRoyaume-Uni et à l'Union soviétique, la Tchécoslovaquie ne peut compter sur leur soutien. Hitler exige alors que les Tchèques habitant la Région des Sudètes évacuent celle-ci en y laissant leurs biens. La guerre paraît imminente etWinston Churchill écrit alors àLloyd George :« j’ai l’impression que nous allons devoir choisir pendant les prochaines semaines entre la guerre et le déshonneur, et j’ai assez peu de doute sur l’issue de ce choix »[15].

Le, réunis dans lacapitale bavaroise, Adolf Hitler, le Président du Conseil françaisÉdouard Daladier, le Premier ministre britanniqueNeville Chamberlain et leDuce italienBenito Mussolini signent lesaccords de Munich. Ainsi, pour préserver la paix, la France et leRoyaume-Uni acceptent que l'Allemagne annexe la Région des Sudètes. En échange, Hitler, manipulateur, assure que les revendications territoriales duTroisième Reich vont cesser. Le lendemain, la Tchécoslovaquie, qui a commencé à mobiliser ses troupes, est contrainte de s'incliner et de laisser pénétrer laWehrmacht sur son territoire. Parallèlement, l'Allemagne autorise laPologne et laHongrie à s'emparer respectivement de la ville deČeský Těšín et de la région sud de laSlovaquie. Les opinions publiques françaises et britanniques sont enthousiastes mais quelques mois plus tard, Hitler rompt sa promesse.

Ainsi, dès, lors d'une entrevue à Berlin avec le président tchécoslovaqueEmil Hácha (qui a succédé au président démissionnaireEdvard Beneš), le Führer menace de bombarderPrague si laBohême et laMoravie ne sont pas incorporées à l'Allemagne. Le, Hácha cède et l'armée allemande entre dans Prague le lendemain. La Bohême et la Moravie deviennent unprotectorat du Reich, dirigé parKonstantin von Neurath à partir de. LaSlovaquie proclame son « indépendance » sous la houlette deMgr Jozef Tiso et reste dans l'orbite allemande. En s'appropriant laBohême-Moravie, l’Allemagne nazie dispose de la sorte d'une importante industrie sidérurgique et notamment des usinesŠkoda qui pourront être incorporées à son industrie d'armement en construisant des chars d'assaut.

La région des Sudètes dans l'Allemagne nazie

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Carte duReichsgau Sudetenland.
Le, civils allemands de Wallern/Volary, obligés par la5e division d'infanterie américaine (Troisième armée) de regarder les cadavres exhumés de 30 femmes juives mortes de faim ou assassinées puis enterrées dans une fosse commune àVolary par les SS lors d'unemarche de la mort de 500 km à travers laTchécoslovaquie, aux derniers jours de la guerre près de la ville. Ces corps seront placés dans des cercueils individuels par les civils allemands puis enterrés correctement au cimetière de Volary.
Aujourd'hui, le cimetière de Volary où sont enterrées les victimes de cette marche de la mort.
Articles connexes :Shoah dans la région des Sudètes etReichsgau des Sudètes.

Pendant les premières semaines d'occupation par les troupes allemandes, la région est placée sous administration militaire, sous les ordres du généralKeitel. À la suite de la signature desaccords de Munich (le), l'annexion de la partie méridionale de la région des Sudètes devient effective, le, et est rattachée auxGaue limitrophes deBayreuth,Oberdonau etNiederdonau. La partie septentrionale constitua, quant à elle, leGau Sudetenland, avecReichenberg (aujourd'huiLiberec) pour capitale.

Konrad Henlein, devenu ouvertement membre duparti nazi, y est nomméReichskommissar (« commissaire du Reich ») le, puisReichsstatthalter (« gouverneur du Reich ») pendant six années, du au.

LeSudetenland est alors divisé en trois districts :

La mainmise du régime nazi sur la région s'accompagne comme dans tout le reste l'Allemagne, de persécution contre les « ennemis du Reich » : Juifs, communistes, socialistes ou pacifistes.

LaGleichschaltung est alors si efficace dans la région que, lors des élections de 1938, 97,32 % des voix reviennent auparti nazi (NSDAP). Un demi-million d'Allemands des Sudètes rejoignent le NSDAP avec un taux d'adhésion de 17,34 % de la population (la moyenne sur toute l'Allemagne n'est alors estimée qu'à seulement 7,85 %), ce qui en fait un des soutiens les plus solides du régime de Hitler.

Pendant la guerre, des famillesmosellanes opposées à l'annexion de leur région par leTroisième Reich y seront déportées.

Réintégration à la Tchécoslovaquie

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Ce soutien au nazisme scelle le sort des Allemands des Sudètes à la fin de laSeconde Guerre mondiale. La région est réintégrée à laTchécoslovaquie et, comme enPologne, l'expulsion massive des Allemands est alors décidée par lesdécrets Beneš entre avril et.

Sur 3,2 millions d'Allemands des Sudètes,plus de 3 millions sont expulsés. Ces décrets privent les Allemands des Sudètes de leur nationalité tchécoslovaque et confisquent tous leurs biens. Ils recevront ultérieurement, enRépublique fédérale d'Allemagne, la nationalité allemande et quelques compensations financières pour leurs pertes.

De nos jours, sur les 100 000 Allemands présents en République tchèque, 70 % sont des Allemands des Sudètes, descendants de familles qui étaient connues pour leur opposition au nazisme et à l'occupation de la Tchécoslovaquie, entre 1939 et 1945, et dont certains membres combattaient très majoritairement aux côtés des résistants tchèques et slovaques.

Notes et références

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Notes

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  1. En 1938, la situation des minorités hongroises de Slovaquie est traitée de manière identique à celle des Allemands en Bohême : ils sont également réintégrés à leur pays « natal » au même moment, car l'amiralHorthy, à l'imitation de Hitler et sur son autorisation, fait aussi « main-basse » sur les territoires de ces minorités hongroises en 1938 à la suite desaccords de Munich.

Références

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  1. Dick Morris, Eileen McGann. HITLER INVADED SUDETENLAND; NOW PUTIN INVADES SOUTH OSSETIA.Baltimore reporter, 20 septembre 2008, vol 1. No. 25.[1].
  2. Kate Connolly. Obama adviser compares Putin to Hitler.Guardian, Tuesday August 12 2008;http://www.guardian.co.uk/world/2008/aug/12/georgia
  3. BBC Monitoring:Lithuania's main daily urges policymakers to boost country's nationalsecurity. Lituanica, September 1, 2008http://irzikevicius.wordpress.com/
  4. Melik Kaylan.Destroying Democracy.Forbes, September 4, 2008.http://virtualcollector.blogspot.com/2008/09/destroying-democracy.html
  5. Михаил Берг.Осетинские Судеты. Грани, 14.08.2008,http://grani.ru/Politics/Russia/m.140057.html
  6. Luis Sanzo. Quebec/Kosovo.Britakula Almendron, 30 de Junio de 2006,http://www.almendron.com/tribuna/9786/quebeckosovo/
  7. PILAR BONET.Rusia tiene un instinto depredador y quiere reconquistar lo que cree suyo.El Pais Internacional,Miércoles, 24/9/2008,http://www.elpais.com/articulo/internacional/Rusia/tiene/instinto/depredador/quiere/reconquistar/cree/elpepuint/20080609elpepiint_9/Tes
  8. PUTIN EN OSETIA DEL SUR, HITLER EN LOS SUDETES: SEMEJANZAS Y DIFERENCIAS.The New York Times Syndicate - 8/15/2008http://noticias.prodigy.msn.com/landing.aspx?cp-documentid=9410689
  9. Von Jürgen Elsässer.Verhandlungen nach Rambouillet-Muster.Verhandlungen über den Status der serbischen Provinz Kosovo stehen bevor,http://www.uni-kassel.de/fb5/frieden/regionen/Serbien-Montenegro/status4.html
  10. (en) Dr Kurt F. Reinhardt,Germany, 2000 years, Milwaukee, Bruce,,p. 6
  11. Czechs and Germans in a Democratic Czechoslovakia, 1918-1938, in:Facing history — The evolution of Czech-German relations in the Czech provinces, 1848–1948« Copie archivée »(version du surInternet Archive)
  12. (de)Prager Tagblatt, No 116, 18 mai 1935, Tschechoslowakische Parlamentswahl, vol. 19, 5, 1935
  13. (de)« Alena Mípiková und Dieter Segert »,Republik unter Druck.
  14. (de)« Prager Tagblatt », No 116, 18 mai 1935,Tschechoslowakische Parlamentswahl, vol. 19, 5, 1935
  15. Cette citation originale citée par l'historien Richard Langworth a été transformée par un autre historien, William Manchester, dans la biographieLe Dernier Lion, en une apostrophe à Chamberlain, que Churchill n'a jamais prononcée : « Le gouvernement avait le choix entre la guerre et le déshonneur ; il a choisi le déshonneur et il aura la guerre ». Comme il est fréquent dans les sources secondaires, la fausse citation a été beaucoup plus diffusée que l'authentique : cf. Mathilde Damgé, « Ces citations que Winston Churchill n’a jamais prononcées » in :Le Monde du 27 janvier 2015,[2]

Voir aussi

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Liens externes

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Articles connexes

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Bibliographie

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