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Prusse

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Pour les articles homonymes, voirPrusse (homonymie).

Prusse
(de) Preußen

15251947

DrapeauBlason
DeviseGott mit uns (allemand) « Dieu avec nous »
Description de cette image, également commentée ci-après
Le royaume de Prusse au sein de l'Empire allemand en 1871.
Informations générales
StatutDuché de Prusse (1525-1700) :État vassal duroyaume de Pologne (1385-1569) (av. 1569), de larépublique des Deux Nations (av. 1660), puisÉtat souverain
État de Brandebourg-Prusse (1618-1701) :union personnelle d'États impériaux et du duché de Prusse
Royaume de Prusse (1701-1918) : État souverain membre de laConfédération germanique (1815-1866), de laconfédération de l'Allemagne du Nord (1867-1871), puis de l'Empire allemand
État libre de Prusse (1918-1947) :État fédéré de larépublique de Weimar puis duIIIème Reich
CapitaleKönigsberg (1525-1701)
Berlin (1701-1947)
Langue(s)Allemand
ReligionProtestantisme (luthéranisme etcalvinisme)
MonnaieThaler prussien
Mark-or (1873-1914)
Papiermark (1914-1923)
Reichsmark (1924-1948)
Démographie
Population (1816)10 349 000
• 187124 689 000
• 193941 915 040
Densité (1816)141 hab./km2
GentiléPrussien, Prussienne
Superficie
Superficie (1907)348 702 km2
• 1939297 007 km2
Duc de Prusse
(1er)1525-1568Albert de Brandebourg
(Der)1688-1701Frédéric III de Brandebourg
Roien Prusse
(1er)1701-1713Frédéric Ier
(Der)1740-1772Frédéric II le Grand
Roi de Prusse
(1er)1772-1786Frédéric II le Grand
(Der)1888-1918Guillaume II
Premier ministre /Ministre-président
(1er)1702-1711Johann Kasimir Kolbe von Wartenberg
1862~1890Otto von Bismarck
(Der)1933-1945Hermann Göring

Entités précédentes :

Entités suivantes :

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L'état libre de Prusse à l'époque de larépublique de Weimar (1919-1933).

LaPrusse (enallemand :Preußen/ˈpʁɔɪ̯sn̩/) est à l'origine un territoire d'Europe nord-orientale en partie germanisé sous le contrôle deschevaliers teutoniques, mais situé hors duSaint-Empire romain germanique. La Prusse devient auXVIe siècle possession d'une branche desHohenzollern, puis elle sera réunie à l'électorat de Brandebourg (la régionberlinoise) auXVIIe siècle. La Prusse constitue de1701 à1871 un élément essentiel duroyaume de Prusse, incorporé à l'Empire allemand de1871 (IIe Reich allemand). Dans ce cadre, la Prusse originelle correspond à la province dePrusse-Orientale, notamment après laPremière Guerre mondiale, lorsqu'elle se retrouve isolée du reste de l'Allemagne.

C'est la possession de la Prusse qui permet auxélecteurs deBrandebourg d'obtenir le titre royal auXVIIIe siècle, d'abord comme « rois en Prusse » àKönigsberg (c'est-à-dire en dehors de l'Empire), puis comme « rois de Prusse » (y compris àBerlin).

Le mot « Prusse » a souvent été associé à l'idée demilitarisme ; ainsi,Mirabeau disait que« la Prusse n'est pas un État qui possède une armée, c'est une armée ayant conquis la nation »[1]. Après la perte du territoire historique du royaume de Prusse, partagé entre laPologne, laRussie et laLituanie, le terme cessera d'être utilisé en Allemagne après laSeconde Guerre mondiale, sauf dans un contexte historique.

La Prusse n'a aujourd'hui plus aucune existence légale ou politique ; elle peut donc être considérée comme un État démantelé, puisque son ancien territoire est partagé entre les gouvernements de différentsLänder allemands et pour la majeure partie de l'actuellePologne, sans oublier la région deKönigsberg, devenue enclavesoviétique, puisrusse sous le nom deKaliningrad.

Société

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Démographie

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En1871, la population de la Prusse était de 24,69 millions d'habitants, ce qui représentait alors 60 % de la population allemande.

En1910, elle s'élevait à 40,17 millions d'habitants (62 % de la population allemande).

Elle atteint 41,92 millions d'habitants en, répartis sur un territoire de 297 000 km2.

Religions

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Bien que la Prusse ait connu une dominationprotestante (luthériens commecalvinistes), des millions decatholiques la peuplaient dans sa partie orientale, mais aussi dans l'ouest de son territoire. De nombreux catholiques peuplaient laRhénanie et certaines régions deWestphalie. LaSilésie, laVarmie, ainsi que la province dePosnanie, comptaient de nombreux catholiques delangue polonaise.

Article détaillé :Kulturkampf.

Population non germanique

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En 1871, environ 2,4 millions dePolonais vivent en Prusse, constituant la plus forte minorité. Les autres minorités se composent deJuifs,Danois,Frisons,Cachoubes (72 500 en 1905),Masuriens (248 000 en 1905),Lituaniens (101 500 en 1905),Wallons,Tchèques,Kurseniekis etSorabes.

La zone située enGrande-Pologne devient laPosnanie après lespartages de la Pologne. Laprovince de Haute-Silésie, tout comme la Posnanie, sont à majorité polonaise. Dans ces deux provinces, les Polonais ont résisté à la domination germanique, notamment parce que les catholiques, les minorités polonaises et les autresSlaves avaient un statut juridique différent de celui de la majorité protestante.

À la signature dutraité de Versailles en 1919, ladeuxième république de Pologne récupère non seulement ces deux provinces, mais également certaines zones à majorité germanique situées enPrusse-Occidentale.

Après laSeconde Guerre mondiale, laPrusse-Orientale, laSilésie et la majorité de laPoméranie sont annexées par l'Union soviétique ou données à la Pologne, et les populations germaniques en sont expulsées.

Langues

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Bien que les langues slaves et germaniques aient été les plus communément utilisées à partir duXVIIe siècle, la langue originelle est ce qu'on appelle aujourd'hui levieux-prussien. Désormais disparu, il s'apparente aux langues baltes existant de nos jours, lelituanien et leletton.

Histoire

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Article détaillé :Évolution territoriale de la Prusse.

Au cours de l'histoire, le nom de « Prusse » a été attribué à différentes entités politiques et administratives, parfois concurrentes entre elles.

La Prusse avant les chevaliers teutoniques

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La Prusse avant le Xe siècle est une région peuplée d’anciennes tribusbaltes, sans entité politique réelle structurée et distincte, marquée surtout par une diversité ethnique et linguistique ainsi qu’un isolement culturel par rapport à l’Europe chrétienne occidentale[2].

Les premiers Prussiens faisaient partie des peuples baltes installés entre laVistule et leNiémen. On les désignait sous divers noms (Brus,Prusai,Pruzzen,Borussus), et ils étaient organisés en tribus sans structures étatiques avancées ni écriture propre. Leur société était composée de guerriers et d’agriculteurs sédentaires, souvent engagés dans l’élevage du cheval, et caractérisée par de profondes croyances païennes, notamment le culte du guerrier après la mort[3].

À travers le premier millénaire, cette région fut traversée par de nombreuses migrations, notamment celles desGoths,Vandales etVarègues, mais aucun de ces peuples ne s’installa définitivement. Les Prussiens sont restés longtemps à l’écart des grands courants d’influence religieuse et culturelle occidentaux. Leur isolement fut partiellement compensé par le commerce de l’ambre, qui faisait de la Prusse un point de transit important entre la Baltique et la Méditerranée[4].

Le nom de “Prusse” commence à apparaître dans des récits de voyageurs au Xe siècle, en particulier dans celui d’Ibrahim ibn Jakub, et la région retient l’attention à la veille du premier millénaire lors des premières tentatives d’évangélisation, notamment l’expédition desaint Adalbert tué en 997 lors d’une mission de conversion. Malgré quelques contacts, le christianisme ne s’y impose pas avant plusieurs siècles, la région étant régulièrement le théâtre d’escarmouches et de tentatives de croisade voulues par l’Église et les puissances voisines[3].

Après lesmigrations germaniques du Ve siècle, les tribus slaves occupent l’espace laissé vacant, atteignant au VIe siècle le voisinage duSaint Empire et de l’Empire carolingien. Les tribus baltes de Prusse entretiennent donc des rapports fluctuants avec leurs voisins slaves, germaniques et scandinaves, mais conservent longtemps une forte identité païenne. Leurs territoires sont également soumis à l’influence de nobles slaves et germaniques, qui prépareront le terrain pour les grandes étapes suivantes de la colonisation allemande[3].

LaGalindie et laSudovie faisaient partie desdouze provinces originelles de la Prusse. LesSudoviens (ou Yotvingiens) habitaient les vastes forêts au sud-ouest duNiémen.Ptolémée fait mention de ce peuple dans ses manuscrits.

AuXe siècle, l'armée deVladimirIer, prince deKiev, force un bon nombre de Sudoviens à se soumettre à laRous' de Kiev. Les environs des villes actuelles deBiałystok, deSuwalki (Pologne) et deGrodno (Biélorussie) sont envahis et conquis partiellement par les Slaves. Durant les siècles suivants, ceux qui réussirent à survivre, entourés de Russes, Polonais et Lituaniens, perdirent progressivement leurs terres face augrand-duché de Lituanie.

L'État monastique des chevaliers teutoniques (1224-1525)

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Article détaillé :État monastique des chevaliers teutoniques.
Enluminure vers 1300.

La colonisation de la région par les Allemands est due auxchevaliers teutoniques, qui la disputent aux Polonais ; son territoire est dès lors peuplé, dans le cadre du mouvementDrang nach Osten (« marche vers l'est ») à l'origine de lacolonisation germanique de l'Europe orientale (Ostsiedlung), majoritairement d'Allemands et d'autochtones bilingues (baltes ou slaves).

Cette population bilingue a subsisté jusqu'à la Seconde Guerre mondiale : en1939, il y a encore desKursenieki parlant lecuronien ou lelituanien, desLietuvininkai parlant lituanien et desCachoubes parlantcachoube oupolonais[5].

La Prusse royale (1466-1772)

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Article détaillé :Prusse royale.

Par letraité de Thorn (1466), l'ordre Teutonique cède la partie est de laPoméranie orientale auroyaume de Pologne, qui devient alors laPrusse royale.

Cette région située au sud deDantzig resterapolonaise jusqu'aupremier partage de la Pologne ; elle est alors annexée par leroyaume de Prusse qui s'est constitué entre-temps autour de la famille desHohenzollern.

L'installation des Hohenzollern dans la région

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LesHohenzollern ont leur origine enSouabe, où ils sont de petitsburgraves.

En1415, l’électeur deBrandebourg, l'empereurSigismond Ier, de lamaison de Luxembourg, étant endetté vis-à-vis de cette famille, cède àFrédéric de Hohenzollern l’électorat et lamarche de Brandebourg. Frédéric Ier, nommé gouverneur de la marche de Brandebourg, est investi commeprince électeur lors duconcile de Constance (1418).

Le duché de Prusse (1525-1701)

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Article détaillé :Duché de Prusse.

En1525, le grand maître de l'ordre Teutonique,Albert de Brandebourg-Ansbach est unHohenzollern. Profitant du lancement du mouvement de laRéforme, il se convertit auluthéranisme en 1525, et transforme laPrusse orientale, possession de l'Ordre, en duché héréditaire, et se reconnaît vassal duroyaume de Pologne lors dutraité de Cracovie ().

Des descendants desHohenzollern régneront sur cet État jusqu’en 1918.

L'union du Brandebourg et du duché de Prusse (1618-1701)

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Article détaillé :Brandebourg-Prusse.

En1618,Jean Sigismond de Hohenzollern, électeur deBrandebourg, descendant direct de Frédéric Ier de Brandebourg, hérite duduché de Prusse à la mort de son beau-pèreAlbert Frédéric de Prusse, décédé sans héritier mâle survivant.

Il s'agit d'uneunion personnelle entre la marche de Brandebourg, qui relève du Saint-Empire, et le duché de Prusse, qui relève de l'État polonais ; mais c'est bien l'origine de la création duroyaume de Prusse.

Le royaume de Prusse (1701-1918)

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Article détaillé :Royaume de Prusse.
La Prusse et l'Europe centrale en 1838.
Frédéricle Grand (1712-1786).

En1688,Frédéric III devient prince-électeur deBrandebourg, et son ambition est de se faire couronner roi de Prusse. Il obtient satisfaction en 1701, sous le nom deFrédéricIer avec le titre de « roi « en » Prusse » (personne ne peut être couronné roi à l'intérieur du Saint-Empire romain germanique). Mais les Hohenzollern balaient bien vite cette nuance et se font appeler « rois de Prusse ». À partir de cette époque, le terme de « Prusse » recouvre des territoires qui ne font pas partie de la Prusse originelle.

Sous le règne deFrédéric II, de1740 à1774, le royaume devient une grande puissance politique et militaire, accroissant considérablement son territoire par l'acquisition notamment de laSilésie (1742) et de la Prusse royale (qui devient ensuite la province dePrusse-Occidentale) en1772.

À la fin duXVIIIe siècle, le territoire prussien s'agrandit encore vers l'est, lors desdeuxième ettroisième partages de Pologne en1793 et1795. La province créée autour de Posen/Poznań (1793), puis deVarsovie (1795) reçoit le nom dePrusse-Méridionale.

Durant lesguerres napoléoniennes, le royaume de Prusse est l'un des adversaires de l’Empire français. Vaincue àIéna etAuerstaedt en1806, presque anéantie, la Prusse perd la Prusse-Méridionale (qui devient leduché de Varsovie). Cependant, après avoir activement participé aux combats de1813 à1815 (soulèvement allemand de1813,campagne de France en1814,bataille de Waterloo en1815), le royaume accumule les annexions lors ducongrès de Vienne, annexant laRhénanie et laWestphalie, formant ainsi uneRhénanie prussienne (ouPrusse rhénane). L'adjonction de ces territoires permet à la Prusse de renforcer considérablement son poids économique, la Prusse rhénane étant la première région minière d'Allemagne.

Ce royaume prend vite l'ascendant sur les États du nord de laConfédération germanique avec lesquels il constitue uneZollverein (Union douanière) à partir de1834.

Laguerre des Duchés contre leDanemark permet au roiGuillaumeIer, sous l'impulsion de son chancelierOtto von Bismarck, de contrôler leSchleswig en1864. Puis, après labataille de Sadowa et l'éviction de l'empire d'Autriche en1866, la Prusse prend la tête de laconfédération de l'Allemagne du Nord et occupe leduché de Holstein.

Laguerre contre la France permet au royaume et à ses alliés allemands de parfaire l'unité allemande en fondant en1871 l'Empire allemand (IIe Reich, le premier — leSaint-Empire romain germanique — ayant été dissous en1806 parFrançois II sous la pression deNapoléonIer, lorsque l'empereur du Saint-Empire renonça à la couronne d'Allemagne pour n'être plus qu'empereur d'Autriche), dans lequel le royaume de Prusse tient une part prédominante, puisque son souverain GuillaumeIer en devient l'empereur.

On désigne alors parPrusse deux provinces du royaume : celle dePrusse-Occidentale et celle dePrusse-Orientale, qui pendant un temps ne forment qu'une seuleprovince de Prusse.

La défaite allemande en1918 à la fin de laPremière Guerre mondiale et l'explosion révolutionnaire dans les grands centres urbains balaient l’Empire et la dynastie desHohenzollern.Guillaume II, petit-fils et successeur de GuillaumeIer, abdique en novembre1918.

L'État libre de Prusse (1918-1947)

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Article détaillé :État libre de Prusse.

En 1918, la République est proclamée dans leReich, et la Prusse, à l'image des autres États fédérés dans leReich, abolit la monarchie. La Prusse n'est alors plus qu'un simpleLand : l'État libre de Prusse (Freistaat Preußen). Malgré les amputations territoriales que l'Allemagne subit autraité de Versailles, et qui touchent essentiellement le territoire prussien, cet État reste le plus grand des dix-septLänder allemands de l'époque.

SonLandtag demeure longtempssocialiste, ce qui retarde l'arrivée desnazis au pouvoir, mais aux élections de1932 la Prusse tombe directement sous l'influence dunational-socialisme. Avec l'avènement d'Adolf Hitler, en 1933, elle perd ses institutions autonomes et s'intègre auTroisième Reich.

À la fin de laSeconde Guerre mondiale, lesAlliés décident la disparition symbolique de ce qu'ils considèrent comme le berceau dumilitarisme allemand : par laloi n° 46, le, leurs représentants proclament la dissolution de l'État prussien et expulsent les Allemands qui se trouvent encore au-delà de l'Oder, pour laisser s'installer des Polonais (originaires dePosnanie,Kresy…) ou desSoviétiques (région deKaliningrad, ex-Königsberg).

C'est pourquoi le terme de « Prusse » n'est plus porté par aucun des seizeLänder qui composent aujourd'hui l'Allemagne, réunifiée depuis1990. LesÉtats deMecklembourg-Poméranie-Occidentale et deBrandebourg sont ceux dont les noms rappellent le plus les origines de la Prusse, dont laPoméranie et leBrandebourg figurent parmi les composantes les plus anciennes encore situées de nos jours enAllemagne.

Drapeaux de la Prusse

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Pour plus d'informations, veuillez aller voir les détails dudrapeau de la Prusse.

Bibliographie

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  • Jean-Paul Bled,Histoire de la Prusse, Fayard, 2007(ISBN 978-2-213-62678-9).
  • Christopher Clark,Iron Kingdom, The rise and downfall of Prussia - 1600-1947, Penguin Book, 2007
  • Michel Kerautret,Histoire de la Prusse, Seuil, 2005, rééd. 2010.
  • Jasper Heinzen,Making Prussians, Raising Germans. A Cultural History of Prussian State-Building after Civil War, 1866-1935, Cambridge University Press, 2017.
  • Marie-Bénédicte Vincent,Serviteurs de l'État. Les élites administratives en Prusse de 1871 à 1933, Paris, Belin, 2006[6].

Notes et références

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  1. Honoré-Gabriel Riquetti de Mirabeau,De la monarchie prussienne sous Frédéric le Grand,vol. 1, Londres,.
  2. Jean-Paul Bled,Histoire de la Prusse, Fayard,
  3. ab etcMichel Kerautret,Histoire de la Prusse, Seuil,
  4. Jean-Paul Bled,Histoire de la Prusse, Fayard,
  5. La plus grande part de ces populations a été transférée en Allemagne après 1945. Mariusz Kowalski dans la revuePrzeglad Zachodni, numéro spécial, 2012, pp. 119-136 estime que du fait de ce transfert, 4 % des Allemands d'aujourd'hui portent des noms slaves, cf.[1].
  6. « Editions Belin - Serviteurs de l'État », sureditions-belin.com viaInternet Archive(consulté le).

Annexes

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Articles connexes

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Liens externes

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