La ville est située dans le sud-est du département de Seine-et-Marne, à environ 49,4 kilomètres à l’est deMelun[Carte 1]. La ville est également située à90 kilomètres au sud-est de Paris (Porte de Bercy) par la route, à98 kilomètres par fer alors qu'en distance orthodromique (à vol d'oiseau), elle n'est qu'à77 kilomètres de Paris-Notre-Dame.
l’aqueduc de la Voulzie et le canal 03 de la Commune de Provins, aqueduc et conduite forcée de 2,48 km[9], quiconfluent avec le canal 01 de la Commune de Provins.
Les canaux 02 et 04 de la Commune de Provins sont en attente de mise à jour de la nature.
La longueur linéaire globale des cours d'eau sur la commune est de 20,07 km[10].
Au, Provins est catégorisée centre urbain intermédiaire, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[23].Elle appartient à l'unité urbaine de Provins[Note 3], une agglomération intra-départementale regroupant trois communes, dont elle estville-centre[Note 4],[24],[25]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[25]. Cette aire regroupe 1 929 communes[26],[27].
En 2018[29], le territoire de la commune se répartit[Note 7] en 56,5 % deterres arables, 25,3 % de zonesurbanisées, 9 % de zones industrielles commercialisées et réseaux de communication, 4,5 % de forêts, 3,8 % de zones agricoles hétérogènes[Note 8] et 0,8 % de prairies[10].
En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de 6 216 dont 32,4 % de maisons et 66,8 % d’appartements.
Parmi ces logements, 86,8 % étaient des résidences principales, 2,1 % des résidences secondaires et 11,2 % des logements vacants.
La part des ménages propriétaires de leur résidence principale s’élevait à 30,7 % contre 66,7 % de locataires[30], dont 34,6 % de logements HLM loués vides (logements sociaux)[Note 9] et 2,7 % logés gratuitement.
D'après une légende[42], Provins tiendrait son nom des vignes de Probus « Probi vinum » :Probus, alorslégat romain, se serait arrêté dans la cité vers 271, ce qu'aucune source ne confirme. Devenu empereur (276-282), il prit selon les historiensAurelius Victor etEutrope des mesures autorisant la culture de la vigne enGaule, annulant de ce fait l'édit deDomitien promulgué près de deux siècles plus tôt[43],[44] (un « provin » est un rejeton d'un cep de vigne destiné aumarcottage).
En réalité,Probus est un nom de personne latin assez fréquent que l'on croit effectivement reconnaître dans la forme initiale du toponyme, mais dans ce cas suivi du suffixe à la fois gaulois et latin-inum[45]. Homonymie probable avecProvin (Nord).
Remarque : le [b] intervocalique du latin est régulièrement passé à [v] en langue d'oïl, d'où latinprobare > ancien françaisprover >prouver.
Durant l'époquegallo-romaine, Provins est associé à deux importants axes régionaux : la route de Soissons à Troyes vers le nord, et la route vers Sens en direction du sud-ouest[46]. La partie correspondant à l'actuelle "ville haute" aurait été transformée en place forte (castrum) sous l’occupation romaine.
Les premières foires ont lieu devant l'église Saint-Ayoul.
En l'an 485 et après sa victoire àSoissons,Clovis s'empare ducastrum romain de Provins.
Témoignant déjà d'une certaine importance, dès le début duIXe siècle,Charlemagne y envoie sesmissi dominici. Autre preuve d'un rôle majeur : Provinsfrappe sa propre monnaie[47], « le denier provinois »[48].
Provins est devenue à cette époque la troisième ville de l'ancienroyaume des Francs, aprèsParis etRouen[49]. Provins fut au Moyen Âge l'une des villes abritant les plus grandesfoires de Champagne, lorsque la ville était sous la protection des comtes de Champagne. C'est sûrement cette période qui laissa le plus de traces sur Provins[50].
Le roiPhilippe le Bel se rend plusieurs fois à Provins notamment en 1289 et 1298. Ces voyages sont ruineux pour les habitants, le roi faisant à plusieurs reprises des levées d’impôts considérables sur la ville qui ne font qu’accroître la désertion de Provins et mettent un terme à sa prospérité. En octobre 1307, lesTempliers qui demeuraient à Provins furent arrêtés et emprisonnés au château de Melun[51].
D'après les lettres patentes deLouisXI[53], la ville conservait bien ses privilèges, notamment pour attirer les marchands étrangers. Le roi lui-même visita la ville de Provins les et, avant d'aller à Dijon.
HenriIV assiège Provins en 1590 ; la ville avait pris le parti de laLigue contre le roi et reçut une amende de 8 000 écus d'or au soleil. Un second siège fut mené pendant trois jours en 1592[52].
En 1617,LouisXIII porte confirmation des trois foires de la ville de Provins ainsi que de leurs franchises et de leurs privilèges. La première, appelée la foire de May, précède le jour de l'Ascension durant quarante-six jours ; la seconde, la foire saint Ayoul, durant du au jour de la Toussaint ; et la troisième, la foire saint Martin, qui commence le jour de la saint André et dure jusqu'à la fin du mois de décembre[51].
Entre 1964 et 1974, le quartier de Champbenoist est bâti dans les faubourgs sud de la ville. Il s'agit d'ungrand ensemble classéquartier prioritaire, qui compte 2 830 habitants en 2020 et dont la moitié vit sous le seuil de pauvreté[55],[56].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[69],[Note 10].
En 2022, la commune comptait 11 824 habitants[Note 11], en évolution de −0,3 % par rapport à 2016 (Seine-et-Marne : +3,92 %,France horsMayotte : +2,11 %).
Leréseau de bus Provinois - Brie et Seine dessert la ville de Provins et ses environs et est complété par des offres de transport à la demande. Un mini-train dessert également la commune.
Il existe troisgares routières : celle située à côté de lagare de Provins, celle encentre-ville nommée elle aussiGare routière et la station de bus de l'office de tourisme.
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Dans la ville basse se trouvent les écoles maternelles Raymond-Louis et des Coudoux (qui accueille aussi une section élémentaire) ainsi que les écoles élémentaires Désiré-Laurent, et des Marais.
Les établissements scolaires de la ville haute sont : l'école maternelle Ville Haute, le collège Lelorgne de Savigny, l'Institution Sainte-Croix, et lelycée Thibaut-de-Champagne.
Les établissements scolaires du quartier de Champbenoist sont : deux écoles maternelles, celle du Terrier Rouge et celle de la Voulzie ; deux collèges, le collège Jules-Verne et le collège Marie-Curie ; enfin, le lycée Les Pannevelles, qui est juste en face de l'hôpital. Ce lycée polyvalent (filières professionnelle, technologique et générale) est également lycée des métiers du bâtiment et des travaux publics. Entièrement reconstruit entre 2007 et 2011, le lycée s'étend sur22 hectares.
Un enseignement supérieur lié au secteur touristique est aussi présent grâce au CFA UTEC Provins[73], géré par la CCI du département de Seine-et-Marne. Ce CFA est lié à l'Université Marne-la-Vallée et certaines classes occupent des salles dans leCouvent des Cordelières.
Un tournoi international derugby à XV est organisé annuellement : Les médi'ovales. Ce tournoi organisé par le club a déjà reçu laNouvelle-Zélande, l'Afrique du Sud, laRussie, l'Angleterre, l'Irlande, l'Écosse, laRoumanie, l'Italie... en tout, 14 pays. Le club de Provins est fort de 270 membres et a déjà gagné deux titres de champion de France jeunes (en catégorie Juniors).Avec bientôt un nouveau Centre Aquatique, Provins Natation est en pleine expansion. En été 2011, un de ses nageurs a même remporté la Coupe de France d'eau libre (natation en milieu naturel) en catégorie de jeune[réf. nécessaire]. Avec 250 licenciés, cette association s'annonce comme une des plus grosses de la ville dans les années à venir[réf. nécessaire].
La ville possède un hôpital, le centre hospitalierLéon Binet, sur les hauteurs en face de la vieille ville. Il fut créé en 1974 et employait environ un millier de personnes.
De plus, une clinique, la cliniqueSaint-Brice, se trouve sur la commune limitrophe du même nom. En 2023, reçoit l'ordre de fermeture du service de chirurgie de la part de l'Agence Régionale de Santé (ARS) d'Ile-de-France. Elle lui reprochait, après dénonciation anonyme et contrôle inopiné, des défaillances règlementaires, mais sans conséquences, de son service d’anesthésie dus au manque de médecins dans cette spécialité. Ce sont donc 50 lits en moins pour la ville et le provinois.
Marché couvert sous la halle du Minage, le mercredi matin.
Sous la halle du Minage, sur la place Saint-Ayoul et dans les rues adjacentes, tous les samedis matin.
Une halle du minage existe depuis leXIIe siècle à Provins. Elle appartenait alors au prieuré deSaint-Ayoul[74], et tire son nom du « droit deminage » perçu pour le mesurage des grains et autres marchandises vendus sur les foires et les marchés. Reconstruit en 1810, ce bâtiment servait de gymnase puis de salle des fêtes depuis une cinquantaine d'années. La halle du Minage est redevenue un lieu de commerce et de marché en 2008, après un an de travaux qui n'ont conservé que les quatre murs et la charpente. Le dallage a été refait, une grande verrière a été ajoutée[75].
Le roman deViviane Moore,Vert de gris, se situe également dans Provins au temps des foires sous Henri le libéral.
Victor Hugo écrit à propos de Provins en 1835 : « Il y a quatre églises, une porte de ville fort belle, un donjon avec quatre tourelles en contreforts, et une enceinte de murailles et de tours ruinées, le tout répandu de la façon la plus charmante sur deux collines baignées jusqu’à mi-côte dans les arbres ».
L'intrigue du livre d'Hervé Picart intituléL'orgue de quinte se déroule à Provins[76].
Le chanteurDominique A, natif de la ville — et qui lui avait déjà consacré la chansonRue des Marais en 2006 — écrit l'ouvrage autobiographieY revenir à propos de Provins ; publié auxéditions Stock en 2012.
La cité médiévale a également servi de cadre à l'émissionDes Racines et des Ailes, magazine sur l'âge d'or de l'Europe médiévale, présenté par Louis Laforge, et diffusé surFrance 3 le 10 septembre 2008 en première partie de soirée[77].
Provins a aussi accueilli le jeu téléviséIntervilles lors de la saison 1996, en s'opposant à la ville de Montereau.
La ville haute de Provins, en décors d'arrière-plan, a fait l'objet d'un tournage pour la fictionDraculi & Gandolfi de Guillaume Sanjorge[78].
Provins est la capitale de laconfiserie à la rose, dont les principales spécialités sont la confiture de pétales de rose, le miel à la rose de Provins, les bonbons à la rose ou encore le sirop de rose. La rose de Provins aurait été rapportée des croisades parThibaut de Champagne[79]. Les roseraies sont encore en activité ; le rosier de Provins, petit buisson rustique et beaucoup plus proche des variétés sauvages que les productions plus récentes, ne se trouve quasiment plus que chez ces producteurs, son aspect peu spectaculaire nuisant à sa diffusion.
Provins est célèbre pour ses fortifications médiévales. L'enceinte de la ville haute, longue de 1 200 mètres et comportant 22 tours aux géométries variées, fut construite de 1226 à 1314. Elle reste aujourd'hui la partie la mieux préservée, grâce notamment à plusieurs phases récentes de restauration, et participe grandement à l'attrait touristique de la ville. Concernant la partie en ville basse, elle a subi les assauts du temps mais reste visible à certains endroits, sur le long de la fausse rivière.
Lessouterrains : le sous-sol de la vieille ville est truffé de souterrains médiévaux que l'on peut visiter, et qui constituent un point d'articulation du développement du roman d'Umberto EcoLe Pendule de Foucault, avec l'autre curiosité touristique qu'est lagrange aux dîmes. À l'origine, il s’agissait de carrières dont les matériaux servaient dans la confection de la laine (la cité de Provins, au Moyen Âge, était une importante cité drapière). De ces carrières on extrayait une terre glaise, nommée « terre à foulon », qui permettait de dégraisser la laine : la terre à foulon servait un peu comme du savon. Pour bien en imprégner le drap, il fallait lefouler aux pieds : d’où le nom donné à cette glaise. La terre a également été utilisée pour combler les marais qui se trouvaient à l'emplacement de la ville basse actuelle. Les souterrains ont ensuite servi d'entrepôts pour les marchands, durant les foires du Moyen Âge. AuxXVIIIe et XIXe siècles, certaines parties des souterrains auraient servi de lieux clandestins de réunion pour la logefranc-maçonne de Provins, ou pour des groupes divers (hérétiques ou contre la royauté) pendant la période répressive duSecond Empire. Des traces de cette utilisation se voient sur les murs des souterrains, sous forme de graffitis datés ou de dessins ésotériques.
Hostellerie de la Croix d'Or : la plus vieille hostellerie de France (actuellement un restaurant). La façade est restée inchangée depuis sa construction (de 1264 à 1270).
Laroseraie de Provins présente trois hectares réhabilité depuis 2008 au pied de la ville haute. Une exposition de vieux outils du bâtiment et de l'art populaire y est également présentée. Une librairie propose des ouvrages sur le compagnonnage et sur les métiers et les outils. La rose est associée à l'histoire de Provins depuis le Moyen Âge, lorsqueThibaud IV de Champagne, revenant de croisade, aurait, selon la tradition, rapporté une variété deRosa gallica à Provins au milieu duXIIIe siècle.Rosa gallica, le rosier de France, est aussi appelé « rosier de Provins ».
De nombreux spectacles sur la thématique médiévale ont lieu toute l'année à Provins :
les aigles des remparts : spectacle de fauconnerie équestre[83] ;
la légende des chevaliers : spectacle de chevalerie dans les fossés des remparts[84] ;
les médiévales : fête médiévale, animation de rue, artisans, défilé[85] ;
le son et lumière : spectacle historique de nuit qui évoque les heures de joies et de peine au Moyen Âge, spectacle conçu, produit et réalisé par des bénévoles.
La fête de lamoisson[86],[87](succédant à la fête médiévale qui se déroulait en juin) témoigne de la richesse culturelle du pays provinois. Elle est célébrée le dernier dimanche d'août, et marquait anciennement la fin de la moisson du blé, production importante du pays de la Brie champenoise - même si aujourd'hui lemaïs, labetterave et lecolza lui disputent la vedette. Les chars de la fête de la moisson sont toujours décorés de blé, évoquant la récolte ; par ailleurs, on se sert souvent d'untarare pour projeter du son sur les passants.
La traditionnelle fête de la niflette se déroule chaque année le dans le centre-ville[88], et met à l'honneur cette spécialité pâtissière originaire de Provins. La niflette se compose d'une pâte feuilletée et de crème pâtissière subtilement aromatisée à la fleur d'oranger. Au Moyen Âge, elle était distribuée aux orphelins à la sortie des cimetières, à l'époque de la Toussaint. Le mot trouve son origine dans l'injonction latine " Ne flete ! " signifiant " ne pleure pas ! "[88].
Depuis 2007, leprix Provins-Moyen Âge récompense chaque année un livre portant sur l'histoire du Moyen Âge[89].
Le tournoi de chevalets est organisé le deuxième dimanche de septembre et réservée aux artistes amateurs, cette journée récompense les plus belles œuvres de peinture et d'arts plastique (dessin, fusain, collage, pastel, aquarelle, etc.) exécutées sur place et dans un temps imparti[90].
Le Provinois a unetradition fromagère ancienne, renouvelée depuis peu. En 1979, leBrie de Provins est créé[91] et la marque du même nom est déposée[92]. En 2010, à l’occasion de son retour à une fabrication traditionnelle, le Brie de Provins est présenté au Salon du Fromage et des produits laitiers à Paris[93].
Provins est aussi connue pour ses niflettes, un petit gâteau feuilleté garni de crème pâtissière. Les niflettes sont dégustées lors du 11 novembre et aussi durant la fête Médiévale et certaines autres fêtes de la ville.
Ville française de la rose, Provins est aussi historiquement connue pour ses confiseries à la rose, en particulier la confiture de pétales de rose, le miel à la rose de Provins ou les bonbons à la rose.
Henri-Charles Fouilleret, ingénieur et héros de la Résistance mort pour la France à Provins en 1944.
Marcel Vatelot, luthier, s'établit dans la ville et y installe ses ateliers.Étienne Vatelot son fils, luthier également, est né dans la ville et a fait ses études au collège Thibaud de Champagne.
MauriceProu (Editeur scientifique) etJulesD'Auriac,Actes et comptes de la commune de Provins de l'an 1271 à l'an 1330, Provins, Société d'Histoire et d'Archéologie de l'Arrondissement de Provins,(BNF31154740)
VictorCarrière,Histoire et Cartulaire des Templiers de Provins, avec une introduction sur les débuts du Temple en France, Marseille, Laffitte, (1reéd. 1919), 237 p., 23 cm(BNF36270585)
FrançoisVerdier,Saints de Provins et comtes de Champagnes : Essai sur l'imaginaire médiéval, Langres, éditions Dominique Guéniot,, 239 p., 24 cm(ISBN978-2-87825-392-4)
FrançoisVerdier,Saint-Ayoul de Provins : Un prieuré au temps des foires de Champagne, Langres, éd. Dominique Guéniot,, 289 p., 24 cm(ISBN978-2-87825-455-6)
LouisRogeron,Récits provinois de la guerre de 1870-1871, Provins, Société d'Histoire et d'Archéologie de l'Arrondissement de Provins,, 494 p., 25 cm(ISBN978-2-9535662-0-8)
ChristopheOpoix,Histoire et description de Provins, Paris, Raynal,, 496 p.(lire en ligne)
Société d’histoire et d’archéologie de l’arrondissement de Provins,Provins à l’aquarelle. Un siècle d’histoire et d’archéologie monumentale, 1810-1910, Provins, 2019(ISBN978-2-9535662-8-4)
↑Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
↑Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite ville-centre lorsque sa population représente plus de 50 % de la population de l’agglomération ou de la population de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Provins comprend une ville-centre et deux communes de banlieue.
↑Contrairement auhameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
↑Statistiques de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols “Corine Land Cover”.
↑Elles comprennent les cultures annuelles associées aux cultures permanentes, les systèmes culturaux et parcellaires complexes, les surfaces essentiellement agricoles, interrompues par des espaces naturels importants et les territoires agro-forestiers.
↑Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations de référence postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population de référence publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
↑a etbDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale »,Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography,no 501,(DOI10.4000/cybergeo.23155).
↑Suétone indique que l'édit de Domitien ne fut pas appliqué (Vie des douze Césars, Domitien, VII).
↑Sur les possibles motivations des mesures de Probus, voir Jean-Pierre Brun, Fanette Laubenheimer, « Conclusion », in:Gallia, Tome 58, 2001 « La viticulture en Gaule », en particulierp. 216-217.
↑a etbFélix Bourquelot,Histoire de Provins, Volume 2.
↑a etbChristophe Opoix,Histoire et description de Provins.
↑Eusèbe deLaurière,France etBréquigny,Ordonnances des Rois de France de la 3e Race, recueillies par ordre chronologique..., De l'imprimerie royale,(lire en ligne).
↑Auguste Lenoir,Provins pendant la guerre : petit calendrier historique(lire en ligne).
↑Maxime Berthelot, « A Provins, Olivier Lavenka et sa nouvelle majorité ont pris leurs fonctions : Le nouveau conseil municipal de Provins a été investi ce dimanche 24 mai. Réélu le 15 mars dernier, le maire sortant Olivier Lavenka (LR) repart pour 6 ans »,La République de Seine-et-Marne,(lire en ligne, consulté le)« Ce dimanche 24 mai, le conseil municipal (...) a permis d’entériner l’élection de la liste « Aimons Provins », menée par le sortant Olivier Lavenka (LR), reconduit le 15 mars dernier par 66,58 % des suffrages exprimés ».
↑« Louis Laforge sur les remparts de Provins »,leparisien.fr,(lire en ligne, consulté le).
↑« ÉGLISE COLLÉGIALE SAINT - QUIRIACE DE PROVINS », surCENTURY 21(consulté le) :« La Collégiale Saint Quiriace de Provins, fut un décor d’arrière-plan et a fait l’objet d’un tournage pour la série « Draculi et Gandolfi » de Guillaume Sanjorge. »