Movatterモバイル変換


[0]ホーム

URL:


Aller au contenu
Wikipédial'encyclopédie libre
Rechercher

Poirier commun

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Pyrus communis

Page d’aide sur les redirections

« Poirier » redirige ici. Pour les autres significations, voirPoirier (homonymie).

Pyrus communis
Description de cette image, également commentée ci-après
Poirier commun
Classification
RègnePlantae
Sous-règneTracheobionta
DivisionMagnoliophyta
ClasseMagnoliopsida
Sous-classeRosidae
OrdreRosales
FamilleRosaceae
Sous-familleMaloideae
GenrePyrus

Espèce

Pyrus communis
L.,1753

Classification phylogénétique

Classification phylogénétique
OrdreRosales
FamilleRosaceae
Sous-familleAmygdaloideae
TribuMaleae
Sous-tribuMalinae

Statut de conservationUICN

( LC )( LC )
LC :Préoccupation mineure
Monde, Europe, France

LePoirier commun (Pyrus communis L.) est uneespèce deplantes à fleurs de lafamille desRosacées. C'est unarbre fruitier cultivé pour sonfruit, lapoire.

Originaires des régions tempérées d'Europe et d'Asie de l'Ouest, les poiriers domestiques sont extrêmement variables puisque plusieurs milliers decultivars distincts ont été recensés et sont cultivés dans près de 80 pays[1],[2].

Étymologie et nomenclature

[modifier |modifier le code]

Le nom de genrePyrus vient du latinpirus (variante) signifiant « poirier », nom panroman d'origine inconnue[3]. L'épithète spécifique vient du latincommunis « commun ».

Dans la langue commune,poire est issu du bas latinpira, neutre pluriel, pris pour un féminin singulier (latin classiquepĭrum)[4]. L'ancien français étaitpeire,pere resté dans les dialectes de l'ouest de la France (cf. normandpei[re]). Enoccitan, son nom estpera (pero) de même origine, italienpera, espagnolpera qui remontent également au latin populaire. Les langues germaniques ont emprunté l'étymon du latin vulgaire : anglaispear (renforcé par le normand), néerlandaispeer, allemandBirne, forme tardive et altérée du Sud de l'Allemagne. Le mot celtique est aussi un emprunt au latin : bretonper(enn), galloisperen, irlandaispiorra. Le terme latin est d'origine inconnue.

L'espèce a été décrite parCarl Linné en 1753 dansSpecies plantarum[5]. Elle a été classée ultérieurement dans la sous-famille desMaloideae, des arbres fruitiers àpépins, comme lespommiers, les poiriers, lescognassiers etc. Les Maloïdés sont caractérisés par un nombre chromosomique de base x=17 au lieu de 7, 8 et 9 pour les autres sous-familles de Rosacées[1].

Description

[modifier |modifier le code]
Pyrus communis : 1. coupe longitudinale axiale de la fleur, 2. étamines, 3. style, 4. coupe transversale du fruit à 5 carpelles, 5. coupe du fruit.

Arbre de taille moyenne, le poirier peut atteindre dix à quinze mètres de haut et vivre jusqu'à 200 ans[6]. Les poiriersfrancs obtenus par semis de pépins peuvent atteindre 20 mètres de haut, ce qui est bien trop haut pour être taillés et récoltés, et les fruits s'abîment en tombant[7]. C'est une des raisons pour laquelle les poiriers cultivés sont greffés sur descognassiers pour obtenir des arbres plus petits.

Lesfeuilles portées par un longpétiole de 1,25 ou 5 cm(environ les 2/3 de la longueur du limbe), ont un limbeovale à elliptique, à bord finement denté en scie ou entier, de 2-10 cm de long, àapex végétal courtement acuminé, glabres à l'état adulte et plus pâles en dessous[8].

Lesfleurs qui apparaissent après les feuilles en avril-mai, sont groupées enombelles de 1 à 12 fleurs. Elles font 2 à 3 cm de diamètre. Les 5 sépales forment 5 larges dents triangulaires, soudées à leur base pour former une coupe creuse, nommée conceptacle[6]. Les5 pétales blancs (ou rosés) obovés, entourent une vingtaine d'étamines avec desanthères rouges et5styles non soudés (contrairement au pommier) correspondant à unovaire pluriloculaire infère[9]. Les 5 carpelles sont fermés sur eux-mêmes et suturés entre eux.

Les fleurs mellifères ont une odeur désagréable pour l'homme mais qui attire les abeilles sauvages assurant lapollinisation[6].Les fleurs sont visitées par des abeilles solitaires comme lesmégachiles, lesandrènes à émergence précoce et lessyrphes - le vent n'intervient que de manière négligeable. Si lesabeilles domestiques dédaignent généralement lenectar du poirier, elles visitent les fleurs pour leurpollen lorsque la température dépassent11 °C[10]. Comme la plupart des fruitiers de la famille des Rosacées, les poiriers sontauto-incompatibles[2], c’est-à-dire qu’il faut une pollinisation croisée de deux variétés pour assurer une production de fruits[10]. Un verger de poiriers doit comporter associée à la variété cultivée principale, des variétés pollinisatrices dont la floraison concordera.

Le fruit est pomacé, c'est-à-dire qu'il comporte à la fois une partie vrai-fruit (dérivant de l'ovaire) et une partiefaux-fruit (liée à une croissance duréceptacle ou conceptacle)[11]. Le vrai-fruit constitue ce qu'on appelle le trognon, tandis que la partie comestible dérive du réceptacle. La peau (épicarpe) est diversement colorée suivant les variétés. La chair est épaisse, constituée pour l'essentiel vers l'extérieur par le conceptacle et vers l'intérieur par les tissus dupéricarpe[1].

  • Jeune feuille.
    Jeune feuille.
  • Fleurs et feuilles.
    Fleurs et feuilles.
  • Un arbre en pleine floraison.
    Un arbre en pleine floraison.
  • Poires.
    Poires.

Distribution

[modifier |modifier le code]

Le Poirier commun,arbre originaire des régions tempérées d'Europe et d'Asie de l'Ouest[12] (voir la carte à la rubrique “Ancêtres sauvages”) est cultivé et naturalisé dans tous lescontinents.

Statuts de protection, menaces

[modifier |modifier le code]

L'espèce n'est pas considérée comme étant menacée. En 2021 elle est classéeEspèce de préoccupation mineure (LC) par l'UICN.Toutefois localement l'espèce peut se raréfier : elle est considéréeQuasi menacée (NT), proche du seuil des espèces menacées ou qui pourrait être menacée si des mesures de conservation spécifiques n'étaient pas prises, dans la régionHaute-Normandie ; elle est enDanger-critique (CR) enNord-Pas-de-Calais.

Synonymes

[modifier |modifier le code]

SelonThe Plant List[13]:

  • Pyrus communis var.sativa (DC.) DC.
  • Pyrus pyraster subsp.achras (Gaertn.) Terp¢
  • Pyrus sativa DC.

Ancêtres sauvages

[modifier |modifier le code]
Répartition géographique des formes sauvages du poirier européenPyrus communis, d'après Browicz 1992 et Zoharyet al.[2]

Il existe des poiriers sauvages dans toute l'Eurasie declimat tempéré. Le poirierPyrus communis est probablement l'espèce originelle puisqu'on trouve les formes sauvages proches et interfertiles, classées commePyrus pyraster (L.) Burgstd. en Europe tempérée etPyrus caucasica Fed. en Asie. Du fait de leurs étroites affinités morphologiques et génétiques et de leur totale interfertilité avec la forme cultivée, ces poiriers sauvages sont maintenant considérés comme les deux sous-espèces sauvages éco-géographiques[n 1] du complexe spécifique d'où le poirier cultivé européenP. communis a pu dériver[2].

Poirier sauvage,Pyrus pyraster près deBayreuth

La plupart de ces poiriers sauvages sont relativement épineux et donnent despetites poires pierreuses (de 1,5-3 cm de diamètre) et astringentes. Récoltées dès la Préhistoire, elles se conservaient séchées. La sélection de formes améliorées enAsie centrale et dans l'est du bassin méditerranéen ont été largement diffusées pargreffage.

Dans de nombreuses régions d'Europe et d'Asie de l'Ouest, les formes sauvagesP. pyraster ouP. caucasica et les cultivars deP. communis se croisent spontanément pour donner des formesférales et des produits d'hybridations qui se plaisent au bord des vergers et dans les clairières des forêts adjacentes. L'Arménie et leCaucase sont extrêmement riches en formes sauvages de poirier[14].

Mais la variation génétique des poiriers cultivés a aussi été enrichie, parhybridation etintrogression, de beaucoup d'espèces de poiriers sauvages qui sont interfertiles et croissent dans la zone de culture traditionnelle du poirier commun. Parmi ces poiriers sauvages, Zohary et al.[2] citent :P. spinosa Forssk., originaire de l'ouest de la Turquie, du bassin égéen et du sud des Balkans;P. elaeagnifolia Pallas, réparti en Turquie et dans l'est de la Bulgarie;P. salicifolia Pallas, dans le Caucase et les zones adjacentes de la Turquie;P. syriaca Boiss. des climats plus arides duCroissant fertile,P. nivalis Jacq. le poirier des neiges[8] du sud et sud-est de l'Europe et l'espèce procheP. korshinskyi Litw. en Asie centrale.

Histoire

[modifier |modifier le code]
Poirier cultivé.

Longtemps avant la domestication des poiriers, on cueillait les poires sauvages. Des restes carbonisés de ces petits fruits, parfois coupés en deux et probablement séchés, ont été trouvés sur plusieurs sites dunéolithique et de l'âge du bronze en Suisse, dans le nord de l'Italie, dans l' ex-Yougoslavie et en Allemagne. On trouve des restes similaires pour le néolithique récent en Grèce, en Moldavie et Ukraine[2].

À défaut d'informations archéologiques plus précises, on est forcé de s'appuyer sur les textes de l'Antiquité gréco-latine pour avoir quelques indices sur la domestication. Par expérience, les arboriculteurs ont appris que la meilleure manière de multiplier un poirier intéressant, était d'en greffer un rameau, alors qu'en semant ses graines il pouvait retourner à l'état sauvage ou produire des fruits de piètre qualité.

La première occurrence en grec de « poirier cultivé » (ὄγχνη,ónkhnê) est dans l'Odyssée (VIIIe siècleav. J.-C.), quandHomère décrit les jardins bien soignés d'Alcinoos et Laërte[15] où poiriers, oliviers, figuiers et vignes sont bien entretenus. Le premier botaniste,Théophraste (-372; -288), dansRecherches sur les plantes[16], avait connaissance des techniques d'arboriculture. Il distingue les poiriers cultivés (apios) des poiriers sauvages (akhras)[n 2] et utiliseónkhnê comme synonyme d'apios. Il indique les deux techniques de greffage en fente et en écusson pour multiplier les arbres fruitiers cultivés. AuIer siècle, l'encyclopédiste romainPline décrit 35 variétés de poires (Histoire naturelle[17], XV, 53-58, XXXIII, 115-115), des précoces et des tardives, certaines de couleur noire venant de Syrie, ou« les variétés tardives [qui] restent suspendues à l'arbre mère jusqu'aux froids hivernaux et mûrissent avec le gel » (HN, XV, 58). À cette époque, les poires devaient être assez différentes des fruits que l'on connaît, puisque si on en croit Pline« Il est interdit aux malades de manger toutes les sortes de poires -- indigestes même pour les gens en bonne santé --, de même que le vin leur est défendu. Mais cuites, ces mêmes poires sont remarquablement saines et agréables » (HN, XXXIII,115).

Les Romains, en pratiquant de manière systématique le greffage et en développant une soixantaine de variétés, ont joué un rôle prépondérant dans la domestication du poirier en Europe[1].L'introduction du poirier cultivé en France a été faite à l'époque de l'expansion de l'Empire romain. AuMoyen Âge, les variétés cultivées en France, telles que 'Caillou rosat' ou la 'Poire d'angoisse', étaient si peu savoureuses qu'elles n'étaient consommées qu'une fois cuites. D'après leThresor de santé de 1607,« les poires sont astringentes et nutritives, mais...elles sont fort venteuses, parquoi [c'est pourquoi] on les doit servir cuites en la braise avec anis, fenouil ou coriandre, beuvant incontinent après un bon verre de vin vieil. Les douces sont profitables à l'entrée du repas, les autres à la fin »[18]. Une recette pour garder les poires consiste à les peler, les couper en quartiers, les faire cuire dans du vin doux, puis les faire sécher au soleil ou dans un four.

Des variétés donnant des fruits de meilleure qualité apparaissent à laRenaissance. Sous le règne deLouis XIV, plus de 500 variétés de poiriers sont recensées. La plupart des variétés actuellement cultivées sont issues de sélections réalisées auXIXe siècle[1].

Utilisations

[modifier |modifier le code]

Lapoire, fruit du poirier, est consommée fraîche ou cuite. Elle est utilisée pour diverses préparations :

Le bois du poirier, très homogène, compact, peut acquérir un beau poli. Il est recherché pour l'ébénisterie, lagravure et lasculpture. Il constitue un excellentbois de chauffage.Son écorceest réputée tonique etastringente et a été employée commefébrifuge[réf. souhaitée].

Culture

[modifier |modifier le code]
Allée de poiriers.

La multiplication du poirier se fait parsemis mais un simple semis a deux inconvénients : il ne permet pas de donner des fruits identiques au fruit d'origine de lagraine et les fruits obtenus naturellement n'apparaissent que vers les dix ans de l'arbre et sont souvent sans intérêt gustatif. Néanmoins toutes les variétés ont été obtenues par semis à l'origine et semer des graines puis réaliser une sélection (goût,productivité,résistance aux maladies...) permettra de trouver des variétés capables de s'adapter aux changements environnementaux et aux différents terroirs. Les arbres qui ne font pas de bons fruits pourront être greffés si besoin. Le semis est aussi utilisé pour obtenir desfrancs sur lesquels ongreffe des variétés existantes. Le plus souvent, on pratique unegreffe en écusson en fin d'été, mais aussi enfente ou encouronne au printemps.

Variétés

[modifier |modifier le code]

VoirPoire#Variétés.

Porte-greffes

[modifier |modifier le code]

Lesporte-greffes du poirier sont :

  • le poirierfranc issu degraines de poirier commun (sensible aufeu bactérien), lepoirier de Chine, plus tolérant à tous types de sols et de climats mais moins rustique, ou la gammeOHxF ;
  • lecognassier (Cydonia oblonga Mill.) est souvent utilisé comme porte-greffe pour la culture du poirier commun malgré des problèmes d'incompatibilités avec certaines variétés comme laWilliams ;
  • éventuellement lecormier ou l'aubépine pour des sols pauvres, malgré des problèmes d'incompatibilité de cette dernière avec certaines variétés.
  • une autre variété : regreffée ou sur-greffée, donc greffée sur un sujet, lui-même déjà sur porte-greffe. Cette méthode est aussi utilisée pour avoir deux variétés sur un même arbre, dont la pollinisation croisée favorise la production. Ceci évite la plantation d'un deuxième arbre et permet d'avoir une plus grande diversité de fruits. Mais aussi dans les situations suivantes : variétés dont la qualité déçoit, erreur de livraison, sensibilité aux maladies, variétés tropalternantes et floraison trop précoce dans un site gélif. Ces plants qui produisent deux variétés sont aussi nommés « duo » (il peut arriver que la greffe supérieure se développe au détriment de l'inférieure, ou qu'une variété plus vigoureuse se développe au détriment de la moins vigoureuse.)

Ennemis du poirier

[modifier |modifier le code]
Poirier en fleurs, avec son tronc cassé. Avril 2021.

De nombreuses variétés de poirier sont sensibles à l'alternance.

Maladies

[modifier |modifier le code]

Ravageurs

[modifier |modifier le code]

Économie

[modifier |modifier le code]
Article détaillé :Poire.

Le poirier dans les arts

[modifier |modifier le code]

Notes et références

[modifier |modifier le code]

Notes

[modifier |modifier le code]
  1. classées commePyrus communis L. subsp.pyraster (L.) etP. communis subsp.caucasica (Fed) Browicz, d'après le traitemment de Browicz, « Conspect and chorology of the genus Pyrus », Arboretum Kornikie, 1993, 38
  2. DansRecherches sur les plantes, on trouve quarante occurrences pour le premier et dix-neuf occurrences pour le second

Références

[modifier |modifier le code]
  1. abcd eteC. Doré, F. Varoquaux, coordinateurs,Histoire et amélioration de cinquante plantes cultivées, INRA,, 812 p.
  2. abcde etfDaniel Zohary, Maria Hopf et Ehud Weiss,La domestication des plantes, Actes Sud, errance,, 330 p.
  3. Alain Rey (direction), Marianne Tomi, Tristan Hordé, Chantal Tanet, Alain Rey,Dictionnaire historique de la langue française, Tomes I et II, Le Robert,
  4. Site du CNRTL : étymologie depoire.
  5. Caroli Linnaei, « Species plantarum : exhibentes plantas rite cognitas... »(consulté le)
  6. ab etcNicolle Tonelli, François Galllouin,Des fruits et des graines comestibles du monde entier, Lavoisier,, 727 p.
  7. DominiqueNeveu,« Poires (Pyrus communis) »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?)(consulté le)
  8. a etbMichel Chauvet,Encyclopédie des plantes alimentaires, 700 espèces du monde entier, 1 700 dessins,Belin,, 880 p.
  9. Flora of China, Vol 9, « 5. Pyrus communis Linnaeus var. sativa (Candolle) »(consulté le)
  10. a etbAgnès Fayet, « La Pollinisation du poirier »,Abeilles & cie,vol. 173,‎(lire en ligne)
  11. Bernard Boullard,Plantes & Champignons, Éditions Estem,, 878 p.
  12. Jean Guillaume,Ils ont domestiqué plantes et animaux : Prélude à la civilisation, Versailles,Éditions Quæ,, 456 p.(ISBN 978-2-7592-0892-0,lire en ligne), « Annexes ».
  13. The Plant List, « Pyrus communis L. is an accepted name »(consulté le)
  14. Alphonse de Candolle, « Origine des plantes cultivées (1882), Pl@ntUse »
  15. Remacle, « Homère, Odyssée, XXIV, 244 »(consulté le)
  16. Suzanne Amigues (trad.),Théophraste Recherche sur les plantes À l'origine de la botanique,Belin,, 218 p.
  17. Pline l'Ancien,Histoire naturelle (traduit, présenté et annoté par Stéphane Schmitt), Bibliothèque de la Pléiade, nrf, Gallimard,, 2131 p.
  18. Bibliothèque numérique Medica, « Le Thresor de santé, ou mesnage de la vie humaine divisé en dix livres... Lyon, 1607 »(consulté le)

Voir aussi

[modifier |modifier le code]

Articles connexes

[modifier |modifier le code]

Bibliographie

[modifier |modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Liens externes

[modifier |modifier le code]
Ce document provient de « https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Poirier_commun&oldid=230726060 ».
Catégories :
Catégories cachées :

[8]ページ先頭

©2009-2025 Movatter.jp