Movatterモバイル変換


[0]ホーム

URL:


Aller au contenu
Wikipédial'encyclopédie libre
Rechercher

Place de l'Hôtel-de-Ville - esplanade de la Libération

48° 51′ 24″ N, 2° 21′ 05″ E
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
(Redirigé depuisPlace de Grève)
Page d’aide sur l’homonymie

Pour les articles homonymes, voirPlace de l'Hôtel-de-Ville.

Voir la photo.
La place de l’Hôtel-de-Ville.
Voir la plaque.
Situation
Arrondissement4e
QuartierSaint-Merri
Début2quai de Gesvres etquai de l'Hôtel-de-Ville
Fin31rue de Rivoli
Morphologie
Longueur155 m
Largeur82 m
Historique
Ancien nomPlace de l’Hôtel-de-Ville (1803-2013),
place de Grève (jusqu'en1803)
Géocodification
Ville de Paris4579
DGI4665
Géolocalisation sur la carte :Paris
(Voir situation sur carte : Paris)
Place de l'Hôtel-de-Ville - esplanade de la Libération
Place de l'Hôtel-de-Ville -
esplanade de la Libération
Géolocalisation sur la carte :4e arrondissement de Paris
(Voir situation sur carte : 4e arrondissement de Paris)
Place de l'Hôtel-de-Ville - esplanade de la Libération
Place de l'Hôtel-de-Ville -
esplanade de la Libération
Images sur Wikimedia CommonsImages sur Wikimedia Commons
modifier 

Laplace de l'Hôtel-de-Ville - esplanade de la Libération[1], ancienne place de Grève jusqu'en1803, est uneplace deParis, capitale de laFrance.

Place de l'hôtel de ville de Paris en 2005.

Situation et accès

[modifier |modifier le code]

La place de l'Hôtel-de-Ville - esplanade de la Libération, d'une longueur de155 mètres et de82 mètres de largeur, est située dans le4e arrondissement,quartier Saint-Merri, et commence au 2quai de Gesvres etquai de l'Hôtel-de-Ville et finit au 31rue de Rivoli.

AuXIXe siècle, la place de l'Hôtel-de-Ville était située dans l'ancien7e arrondissement,quartier des Arcis, pour la partie des numéros impairs[2], et dans l'ancien9e arrondissement,quartier de l'Hôtel-de-Ville pour le côté bordé par l'hôtel de ville de Paris[3] et était située entre les quaisLe Pelletier etde la Grève et les ruesdu Mouton etde la Tixéranderie.

La place de l'Hôtel-de-Ville - esplanade de la Libération est desservie par les lignes demétro1 et11 à lastationHôtel de Ville.

Origine du nom

[modifier |modifier le code]

Place de l'Hôtel-de-Ville - esplanade de la Libération

[modifier |modifier le code]

Cette place est située devant l'hôtel de ville de Paris.

Elle est rebaptisée « esplanade de la Libération », le, afin de« rendre hommage auxrésistants, auxFrançais libres, auxalliés et à tous les insurgés qui ontlibéré Paris dans la nuit du 24 au »[4].

Place de Grève

[modifier |modifier le code]

« Grève » signifie un endroit uni, couvert de gravier, sur le bord de mer ou d'une rivière. Avant que la place de Grève fût haussée et que lequai de la Grève, devenu « quai de l'Hôtel-de-Ville », fût pavé, cet endroit était réellement unegrève.

Description de la place de Grève

[modifier |modifier le code]

La place de Grève était d'une superficie d'environ le quart de la place de l'Hôtel-de-Ville actuelle et avait une forme plus ou moins trapézoïdale, dont le petit côté était situé au nord et le grand côté était situé au sud.

Cette place était également coupée en deux parties par une rangée de pieux qui séparaient la partie basse, qui descendait en grève vers le port de Grève, de la partie haute qui était la place proprement dite.

La partie haute recevait les ruesdu Mouton,Jean-de-l'Épine,de la Vannerie,de la Tannerie,du Martroi-Saint-Jean.

Au sud de la place, il y avait auXIVe siècle, unecroix gothique en pierre, au sommet de huit marches, dont le haut était en fer forgé. Cettecroix était destinée à recueillir les dernières prières des suppliciés mais servait aussi de cote d'alerte lors des inondations[5].

Ungibet occupait le milieu de la place, qui fut remplacé sousHenriIV par unefontaine détruite en 1674.

Panneau Histoire de Paris
« Hôtel de Ville »

Historique

[modifier |modifier le code]
Au premier plan, laplace de Grève et, en arrière-plan, l'ancien hôtel de ville avant sa reconstruction commencée en1533, ainsi que l'église disparue de Saint-Jean-en-Grève (plan de Braun et Hogenberg vers 1530).
L'ancien Hôtel de Ville et place de Grève vers 1610, parClaude Chastillon.
Article détaillé :Voir également l'historique de l'Hôtel de ville de Paris.

Le site était occupé autrefois par une anciennegrève, donc une sorte de plage faite de sable et de gravier, où il était facile de décharger des marchandises arrivant par laSeine[6].

Ainsi très vite s'y installe un port remplaçant, progressivement, leport Saint-Landry situé sur l’île de la Cité[7]. Leport de Grève devient le plus important de Paris : le bois, le blé, le vin, le foin y sont déchargés, facilitant ainsi l’installation d’un marché. C’est autour de ce port que va ainsi se développer sur la rive droite, un quartier très dense.

Ce port permet l'installation, dès le début duXIIe siècle, d'un marché public qui portait en raison de sa proximité à laSeine le nom de « place de Grève ».

Aussi les hommes sans emploi y trouvaient-ils facilement du travail. L'expression « fairegrève » a donc d'abord signifié« se tenir sur la place de Grève en attendant de l'ouvrage » avant d'évoluervers le sens qu'on lui connaît aujourd'hui, à savoir« cesser le travail en se liguant pour obtenir une augmentation de salaire » (Littré, 1872)[8].

En vertu d'une charte du roiLouisVII le Jeune, de1141, sur la demande desbourgeois de Paris des quartiers de la Grève et du Monceau, le marché fut supprimé moyennant la somme de soixante-dixlivres parisis que ces bourgeois paieraient au trésor royal. La place resta ainsi libre et on n’y éleva aucun bâtiment. Depuis ce temps, on organise sur cette place différentes cérémonies. En 1242,vingt-quatre charretées du Talmud y sont solennellement brûlées en présence duprévôt et du clergé[9], ce qui est l'une des manifestations de l'antisémitisme alors naissant. La ville y donne aussi des fêtes ainsi que lefeu de la Saint-Jean. Celui-ci, qui était traditionnellement allumé par le roi de France en personne, perdura jusqu’en 1648, date à laquelleLouisXIV officia pour la dernière fois[10].

C'est également là que se déroulaient ordinairement les exécutions. On ignore à quelle époque la place de Grève servit la première fois delieu patibulaire. La première exécution date de l’année1310, époque à laquelle une femme hérétique, nomméeMarguerite Porette, y fut brûlée.

Le siège de la municipalité parisienne s'y installe vers 1357, quandÉtienne Marcel, prévôt des marchands, acquiert là à tel effet la maison aux Piliers.

En 1362, l'hôpital du Saint-Esprit est fondé au nord de l'Hôtel de Ville. Son église est construite en 1406. L'ensemble est détruit en 1798[11].

Lahalle au vin y fut transportée en1413, ainsi que la place au charbon, en 1642[6],[12].

À son retour desguerres d'Italie,François Ier décide de substituer la maison aux Piliers par un nouvel édifice qu’il commande à l'ItalienDominique Boccador. Le nouveau bâtiment, conçu en1533, n’est achevé qu’en1628.

Elle est citée sous le nom de « place de la Grève » dans unmanuscrit de 1636.

Le,Louis XIV etMazarin assistent à un feu d'artifice tiré sur la place de Grève puis un banquet est offert par la municipalité[13].

Le, unfeu d'artifice est tiré devant l'Hôtel de Ville pour lapublication de la paix[14].

La place de Grève est agrandie vers1770 en vertu des lettres-patentes du[6].

Le eut lieu en place de Grève la première exécution parguillotine. Le condamné,Nicolas Jacques Pelletier, était un simple voleur. La foule, accoutumée depuis le Moyen Âge à des supplices plus « raffinés », se montra déçue de la rapidité du procédé. Le lendemain, une chanson courait les rues :« Rendez-moi ma potence de bois, rendez-moi ma potence[15]. »

La célèbrechâsse desainte Geneviève fut enlevée de l'abbaye Sainte-Geneviève en 1793 pour être fondue et les reliquesde la sainte furent alors brûlées en place de Grève[16].

La guillotine devait à nouveau être montée en place de Grève de novembre1794 à mai1795. Parmi les dernières têtes à tomber, il y eut celles du député de laConvention,Jean-Baptiste Carrier, et de l'accusateur publicFouquier-Tinville.

Article détaillé :Hôtel de ville de Paris sous la Révolution.
Jean-Victor Schnetz,Le Combat devant l’Hôtel de ville le28 juillet 1830, Paris,musée du Petit Palais.
La place sur un extrait du plan d'Edme Verniquet (finXVIIIe siècle) avant son agrandissement au milieu duXIXe siècle (jusque là, elle faisait un quart de la surface actuelle[17]).

La place de l'Hôtel-de-Ville, ainsi nommée le[18],[19].

Une décision ministérielle du fixe la largeur de cette voie publique à67 mètres.

Durant lesTrois Glorieuses, et plus particulièrement le, la place et l'Hôtel de Ville feront l'objet de furieux combats entre la troupe et les insurgés. La place et le bâtiment seront plusieurs fois perdus et repris au cours de la journée, avant de finir par rester aux mains des insurgés.

Le, un arrêté ducomte de Bondy,préfet de la Seinedéplace le lieu d’exécution :« Les condamnations emportant la peine capitale seront à l’avenir exécutées sur l'emplacement qui se trouve à l’extrémité de larue du Faubourg-Saint-Jacques[20]. »

La place prend sa physionomie actuelle dans la seconde partie duXIXe siècle dans le cadre des travaux detransformations de Paris sous le Second Empire.

La place est alors prolongée vers le nord jusqu'à larue de Rivoli, tracée à la même époque. Le côté occidental de la place est aligné dans l'axe de larue du Renard élargie[21]. La place absorbe alors larue du Mouton au nord et larue Jean-de-l'Épine à l'ouest.

Plaque auno 9, annexe de la mairie de Paris, en hommage aux combattants deLa Nueve.
Place de l’Hôtel-de-Ville en hiver (décembre 2011), avec une patinoire.

Après sa destruction lors de laCommune, l'hôtel de ville de Paris, qui avait fait l’objet au début duXIXe siècle d’importants remaniements qui avaient altéré son style initial, est reconstruit.

La place est devenue un espace réservé auxpiétons en1982.

Par décision duConseil de Paris en date du, la place prend officiellement le nom de « place de l'Hôtel-de-Ville - esplanade de la Libération », en hommage auxlibérateurs de Paris en1944[1].

Aujourd'hui, la place de l'Hôtel-de-Ville est un lieu d'animation :

  • pourParis Plages de 2004 et 2011, une grande partie de la place était transformée en un terrain devolley-ball ;
  • en hiver, depuis 1997, on y installe souvent unepatinoire géante[22] ;
  • des « salons » s'y tiennent, par exemple pour lesétudiants ;
  • au printemps, une manifestation pour ledon du sang y a lieu ;
  • en, une partie d'une exposition sur lesjardins se déroulait place de l'Hôtel-de-Ville ;
  • lors des grands soirées sportives, un écran géant est installée sur la place (Coupe du monde de football,Coupe du monde de rugby à XV) ;
  • chaque été, elle accueille les concerts gratuits deParis Plages du festivalFnac Indétendances depuis 2009 (ces concerts étaient auparavant situés sur les berges de Seine) ;
  • en, la place fut le siège de la ronde des obstinés, une ronde qui dura plus de mille heures (>40 jours, nuit et jour, sans interruption)[23]. Cette ronde avait pour but de protester contre le projet Pécresse de réforme des universités.

Fêtes de la Saint-Jean

[modifier |modifier le code]
Panneau Histoire de Paris
« Le Feux de la Saint-Jean »

Chaque année, la veille de lafête de la Saint-Jean, une cérémonie avait lieu sur cette place. Les magistrats de la ville faisaient entasser des fagots au milieu desquels était planté un arbre de 30 mètres de hauteur, orné de bouquets, de couronnes et de guirlandes de roses. On attachait à l'arbre un panier qui contenait deux douzaines dechats et unrenard. Aussitôt que les trompettes annonçaient l'arrivée duroi, leprévôt des marchands et leséchevins, portant des torches de cire jaune, s'avançaient vers l'arbre et présentaient au monarque une torche de cire blanche garnie de deux poignées de velours rouge, et sa Majesté venait allumer le feu.

Les chats et le renard étaient brûlés vifs au milieu des acclamations de la foule. Le roi montait ensuite à l'Hôtel de Ville où il trouvait une collation composée de dragées musquées, de confitures sèches, demassepains, etc.

Dans un compte de la ville, à la date de1573, on peut lire à l'article concernant cette cérémonie :

« À Lucas Pommereux, l'un des commissaires des quais de la ville, 100 sols parisis, pour avoir fourni durant trois années tous les chats qu'il falloit au dit feu, comme de coutume ; même pour avoir fourni il y a un an où le roi assista, un renard pour donner plaisir à sa Majesté, et pour avoir fourni un grand sac de toile où étoient les dits chats. »

Unpanneau Histoire de Paris, dressé à l'angle de la place et duquai de l'Hôtel-de-Ville, rappelle cette histoire au passant.

Exécutions de la justice en place de Grève

[modifier |modifier le code]
Panneau Histoire de Paris
« Place de Grève »

On ignore à quelle époque la place de Grève servit pour la première fois de lieupatibulaire. Les exécutions étaient diverses :

C'est sous le règne dePhilippe le Bel, le jour de laPentecôte1310, que les premiers suppliciés furent exécutés. La nomenclature des exécutions de la justice commença par une hérétique appeléeMarguerite Porette, un prêtre deBeauvais également accusé d'hérésie et unjuif relaps qui furent brûlés[24].

Sous l'Ancien Régime, cette place servait aussi aux exécutions et aux supplices publics. L'imposteurFrançois de La Ramée y fut pendu,François Ravaillac, quiavait assassinéHenriIV etRobert François Damiens, qui avait tenté de tuerLouisXV, y furent exécutés parécartèlement.

C'est également sur la place que l'on brûlaCatherine Deshayes, dite « la Voisin », pour sorcellerie le, pourl'affaire des poisons.

La Révolution continua la tradition : la première exécution parguillotine eut lieu en place de Grève en 1792.

La dernière exécution sur cette place fut celle de Jean-Pierre Martin, condamné à mort pour vol et assassinat et exécuté le.

Le, jour anniversaire de l'exécution desquatre sergents de La Rochelle, 3 000 à 4 000 francs-maçons se rassemblèrent place de Grève pour réclamer l'abolition de la peine de mort et signèrent une pétition en ce sens[25].

Le,Félix Barthe,ministre de la Justice demanda la substitution de la place de Grève, où s'exerçait depuis plus de520 ans la justice criminelle pour les exécutions capitales, pour un autre endroitpatibulaire.

Ainsi, la Grève, cette place si célèbre dans les annales du crime, va cesser de mériter son horrible renommée. Après avoir choisi le, laplace Vauban puis laplace d'Italie, le, lepréfet de la Seine signe, le, un arrêté officialisant le nouveau lieu : l'extrémité de larue du Faubourg-Saint-Jacques[20] :

« Nous,Pair de France,préfet,
Vu la lettre qui nous a été adressé par M. leprocureur-général de la Cour royale de la Seine ;
Considérant que laplace de Grève ne peut plus servir de lieu d’exécution depuis que de généreux citoyensy ont glorieusement versé leur sang pour la cause nationale[26] ; considérant qu’il importe de désigner de préférence des lieux éloignés du centre de Paris et qui aient des abords faciles ; considérant en outre que, par des raisons d’humanité, ces lieux doivent être choisis le plus près de la prison où sont détenus les condamnés ; considérant que sous ces différents rapports la place située à l’extrémité de larue du Faubourg-Saint-Jacques parait réunir les conditions nécessaires ;
Avons arrêté :
Les condamnations emportant la peine capitale seront à l’avenir exécutées sur l'emplacement qui se trouve à l’extrémité de larue du Faubourg-Saint-Jacques.
Signécomte de Bondy. »

Liste non exhaustive d’exécutions sous l’Ancien Régime

[modifier |modifier le code]

Liste non exhaustive d’exécutions à partir de la Révolution

[modifier |modifier le code]

Citations bibliographiques

[modifier |modifier le code]

La place est citée dansLe Dernier Jour d'un condamné deVictor Hugo (1829).

Extrait du Livre Deuxième,ChapitreII, deNotre Dame de Paris du même auteur (1831)[61] :

« Il ne reste aujourd'hui qu'un bien imperceptible vestige de la place de Grève telle qu'elle existait alors. C'est la charmante tourelle qui occupe l'angle nord de la place, et qui, déjà ensevelie sous l'ignoble badigeonnage qui empâte les vives arêtes de ses sculptures, aura bientôt disparu peut-être, submergée par cette crue de maisons neuves qui dévore si rapidement toutes les vieilles façades de Paris. […]
La Grève avait dès lors cet aspect sinistre que lui conservent encore aujourd'hui l'idée exécrable qu'elle réveille et le sombre Hôtel de Ville deBoccador, qui a remplacé la Maison-aux-Piliers. Il faut dire qu'un gibet et un pilori permanents, une justice et une échelle, comme on disait alors, dressés côte à côte au milieu du pavé, ne contribuaient pas peu à faire détourner les yeux de cette place fatale, où tant d'êtres pleins de santé et de vie ont agonisé ; où devait naître cinquante ans plus tard cettefièvre de Saint-Vallier, cette maladie de la terreur de l'échafaud, la plus monstrueuse de toutes les maladies, parce qu'elle ne vient pas de Dieu, mais de l'homme. »

Au cinéma

[modifier |modifier le code]

Notes et références

[modifier |modifier le code]
  1. a etb« Paris : la place de l'Hôtel-de-Ville devient place de l'Hôtel-de-Ville - Esplanade de la Libération », surlexpress.fr,.
  2. Cadastre de Paris par îlot (1810-1836), plan28e quartier « Arcis », îlotno 3,/31/86/04, îlotno 16,F/31/86/12, îlotno 18,F/31/86/14.
  3. Cadastre de Paris par îlot (1810-1836), plan34e quartier « Hôtel de Ville », îlotsnos 20 et 21,F/31/89/27, îlotsnos 21 bis à 23,F/31/89/28.
  4. « Paris : la place de l'Hôtel-de-Ville devient l'esplanade de la Libération »,www.lexpress.fr, 22 avril 2013 (lire en ligne).
  5. Jacques Hillairet,Dictionnaire historique des rues de Paris,Les Éditions de minuit, septième édition, 1963,t. 1 (« A-K »), « Pont de l'Alma »,p. 75.
  6. ab etcFélix et Louis Lazare,Dictionnaire administratif et historique des rues et des monuments de Paris, édition de 1844,p. 322-324[lire en ligne].
  7. « La Seine, les ponts et les ports de Paris »,paris-atlas-historique.fr.
  8. Pierre Jullien, « La grève, pour éviter de se retrouver sur le sable »,Le Monde(consulté le).
  9. Béatrice Philippe,Être juif dans la société française, chapitre « De l'an 1000 à l'expulsion de 1394 ».
  10. Yves-Marie Bercé,Fête et révolte. Des mentalités populaires duXVIe auXVIIIe siècle, Paris,Hachette, coll. « Le Temps et les Hommes », 1976,p. 62.
  11. Ibid.,p. 317-322.
  12. Notice "PLACE DE L’HÔTEL-DE-VILLE" du wall "Paris" avec citation. consultation du 28 septembre 2020.
  13. Adolphe Chéruel,Histoire de France sous le ministère de Mazarin (1651-1661),vol. 2, Hachette,(présentation en ligne).
  14. « Vue perspective d'un feu d'artifice tiré devant l'Hôtel de Ville pour la publication de la paix à Paris »,gallica.bnf.fr.
  15. « 25 avril 1792 : première utilisation de la guillotine sur un condamné »,www.france-pittoresque.com.
  16. Émile Raunié :Épitaphier du vieux Paris, Tome IV, page 416
  17. Panneau Histoire de Paris, le long de l'avenue de Rivoli.
  18. « Place de l'Hôtel-de-Ville »,www.v2asp.paris.fr, arrêté du28 ventôse anXI ().
  19. Cadastre de Paris par îlot (1810-1836), plan34e quartier « Hôtel de Ville », îlotsnos 20 et 21,F/31/89/27, îlotsnos 21 bis à 23,F/31/89/28.
  20. a etbUlysse Tencé,Annuaire historique universel,vol. 15,p. 261.
  21. Eugène Andriveau-Goujon,Plan d'ensemble des travaux de Paris à l'échelle de 0,001 pour 10 mètres (1/10000) indiquant les voies exécutées et projetées de 1851 à 1868, Paris, E. Andriveau-Goujon, 1868[lire en ligne].
  22. Camille Lestienne, « Patinoires : les Parisiens accros dès la Belle Époque », surlefigaro.fr,(consulté le).
  23. http://www.liberation.fr/education/0101558875-la-ronde-des-obstines-s-elargit
  24. Jacques Hillairet,Dictionnaire historique des rues de Paris.
  25. Émile de Labédollière,Le nouveau Paris : histoire de ses 20 arrondissements, Paris, Gustave Barba, p. 58
  26. En particulier le28 juillet où l'hôtel de ville de Paris fut plusieurs fois perdu et repris au cours de la journée pour finir par rester aux mains des insurgés.
  27. Le Paris des crimes et des juges avant leXIXe.
  28. ab etcVictimes de laréforme religieuse
  29. Promenade à travers le Paris des martyrs 1523-1559
  30. Guignard 1943,p. 52-55.
  31. François Alexandre Aubert de la Chenaye Desbois : Dictionnaire généalogique, héraldique, chronologique et historique, tome 3,p. 416.
  32. Florimond du Puy seigneurVastan était le neveu de Philippe du Puy de Vatan. Il fut condamné à avoir la tête tranchée en place de Grève, commecalviniste et sujet rebelle. Il s'était opposé auximpôts royaux, en particulier contre lagabelle, taxe sur le sel, n'hésitant à prendre la défense des mauvais payeurs et des contrebandiers.
  33. « Le neveu du seigneur de Saint-Valérien décapité pour rébellion » sur lyonne.fr
  34. « Histoire de Vatan ».
  35. « 22 juin 1627. Les comtes Bouteville et des Chapelles sont décapités après s'être battus en duel »,www.lepoint.fr,.
  36. Anne de Carada où Anne de Caradas elle était âgée de 55 ans. Arrêtée le dans le cadre de l'affaire des Poisons, pour avoir empoisonné la seconde épouse du colonel Donneau de Vizé et tenté d'empoisonner sa troisième épouse.
  37. Pierre Clément,La Chambre de l'arsenal d’après des documents inédits 1679-1682,[lire en ligne]
  38. Gerard Hubert-richou :Vauban compromis
  39. Mémoires de Saint-Simon,tome 17, chapitre 21 ; maison de Horn ou Hornes,rouvroy.medusis.com.
  40. « Le comte de Horn, parent du Régent : roué comme un vulgaire voleur »,philippepoisson-hotmail.com.over-blog.com.
  41. « 26 mars 1720 : exécution du comte de Hornes »,www.france-pittoresque.com.
  42. Le Comte De Horn, 4 vol. in-12, 1834
  43. Jugement rendu par le tribunal criminel du département de la Seine, séant au Palais de Justice, à Paris, qui,... condamne Dominique Demerville,... Joseph Ceracchi,... Joseph Aréna,... et François-Jean-Baptiste Topino-Lebrun,... à la peine de mort, qu'ils subirent aujourd'hui 11 pluviôse an neuf
  44. Procès de Georges, Pichegru et autres. Pièces justificatives.
  45. Les Lorrains de Cadoudal[PDF].
  46. Frère deGeorges Cadoudal né en 1765 àBaud (Morbihan), jardinier.
  47. Louis Ducorps
  48. Michel Roger dit « Loiseau », né à Toul en 1771.
  49. Gabriel Louis Marie, dit « Barco Burban seigneur de Malabry », né le àQuestembert (Morbihan), Guide à cheval.
  50. Qui était Picot, guillotiné en 1804 en même temps que Cadoudal ?
  51. Né en 1776 àJosselin (Morbihan), domestique deGeorges Cadoudal.
  52. Né àKervignac (Morbihan) en 1732, taille de 1,77 m, ou cinq pieds cinq pouces, cheveux châtain clair, sourcils de même, yeux bleus,nez aquilin , visage plein et un peu coloré, bouche moyenne, menton rond avec son creux. Cultivateur, domicilié à Roche-Marin
  53. Né en 1779 àGrand-Champ (Morbihan), imprimeur
  54. Né en 1773 àRouen.
  55. Né àSaint-Front (Orne) en 1776
  56. Né à Couesnongle commune deSaint-Jacut-les-Pins (Morbihan), aide de camp deGeorges Cadoudal.
  57. Une paire de pistolets de l'aide de camp de Cadoudal
  58. Procès de la conspiration des patriotes de 1816, au nombre de vingt-huit
  59. Une triple exécution en 1816 : Tolleron, Carbonneau, Plaignier
  60. criminocorpus.org,p. 2[PDF].
  61. « Notre-Dame de Paris / Livre deuxième », édition de 1904, sur wikisource.

Annexes

[modifier |modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

[modifier |modifier le code]

Articles connexes

[modifier |modifier le code]

Liens externes

[modifier |modifier le code]
Ce document provient de « https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Place_de_l%27Hôtel-de-Ville_-_esplanade_de_la_Libération&oldid=226692955 ».
Catégories :
Catégories cachées :

[8]ページ先頭

©2009-2025 Movatter.jp