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Place Eleftherías (Thessalonique)

40° 38′ 02″ nord, 22° 56′ 17″ est
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Place Eleftherías
Image illustrative de l’article Place Eleftherías (Thessalonique)
La place Eleftherías, au bord de mer.
Situation
Coordonnées40° 38′ 02″ nord, 22° 56′ 17″ est
PaysDrapeau de la GrèceGrèce
RégionMacédoine-Centrale
VilleThessalonique
Morphologie
TypePlace

Carte

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Laplace Eleftherías, engrec moderne :Πλατεία Ελευθερίας /Platía Eleftherías, enfrançais :place de la Liberté, est uneplace centrale deThessalonique, enGrèce.

Créée en1867[1], elle tire son nom de larévolution des Jeunes-Turcs, qui, dans la ville, a éclaté sur la place, en1908[2],[3]. La place était devenue un parking, mais un concours public a été lancé par la municipalité de Thessalonique, en2013, afin de sélectionner un projet pour son réaménagement en parc[4]. L'aménagement, d'un coût de 5,075 millions d'euros, a débuté en2018[3].

La place est délimitée par la rue Mitropóleos, au nord, l'avenue Níkis (el) et l'ancien front de mer de Thessalonique au sud, la rue Íonos Dragoúmi à l'ouest et la rue Venizélou, à l'est. Elle est de formetrapézoïdale et couvre une superficie d'environ 5 087 m2[note 1]. La place est entourée de banques, de compagnies d'assurance et de bureaux[1].

Le, des milliers deJuifs grecs y ont étéraflés, torturés en public et humiliés avant d'être enregistrés pour letravail forcé pendant l'Holocauste en Grèce[6],[7].

Histoire

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Avant de devenir une place, lesmurs d'enceinte de Salonique traversaient le site. Il s'y trouvait également une tour de l'époque byzantine pour garder l'entrée du port. À l'époque ottomane, cette tour était appeléeTophane (Maison du canon). Après1870, lorsque la démolition des murs sud et est de la ville a commencé, la mer atteignait le milieu de la place actuelle[8].

La démolition du mur, pour faciliter l'entrée du port, a créé plus d'espace et a facilité la mobilité des navires. L'ouverture de la route Mehmet Sabri Pacha (aujourd'hui rue Venizelou), en 1867, a créé une petite place lorsque la route s'est élargie vers lesquais. Elle fut d'abord appeléePlatía Apováthras (place des quais), puisPlatía Olýmpou (place de l'Olympe) en raison de la vue sur lemont Olympe, depuis la mer. À la fin de l'Empire ottoman, la place est devenue un important centrecosmopolite du quartier, connu sous le nom deFrangomahalas (enturc :Frenk Mahallesi), quartier européen oufranc[9], et de la ville en général. Elle est également devenue un centre de commerce et de finance, faisant de Thessalonique la capitale financière des Balkans ottomans et un acteur économique important en Méditerranée orientale[10]. Les bâtiments de la Banque de Salonique, de la Banque d'Orient et de laBanque ottomane se trouvaient tous à proximité d'une place.L'hôtel Olympos, y compris son restaurant, ainsi que l'hôtel Royale, étaient les points d'attraction de la place des premiers Ottomans. La place elle-même est devenue le point d'entrée de la ville pour les visiteurs voyageant en bateau[11].

À partir de1893, un système de transport rapide est mis en place à Thessalonique au moyen d'un réseau detramways, avec la place Eleftherías comme point de départ occidental[12]. Plus tard dans la décennie, la place est éclairée dans le cadre de l'introduction de l'éclairage au gaz dans la ville, tandis qu'en1908, le réseau de tramways passant par la place estélectrifié[13].

En, des anarchistes bulgares, membres desBateliers de Salonique, posent unebombe dans une brasserie de la place[13] ; cela faisait partie d'uneattaque terroriste coordonnée qui a également vu le naufrage du navire français Guadalquivir et le bombardement de la banque ottomane voisine, entre autres. Cet événement a été le point de départ de lalutte macédonienne[13].

La place Eleftherías vers la fin duXIXe siècle.

L'essor de Thessalonique en tant que puissance économique ottomane entraîne une augmentation du nombre de voyageurs occidentaux, ce qui rend la place d'origine impropre à répondre à leurs besoins. Entre1898 et1911, la place est entièrement reconstruite[14]. Dans un premier temps, l'hôtel Olympos est agrandi et rebaptisé Palace Hôtel Olympos. Peu après, l'hôtel Royale est démoli et reconstruit[14]. Les frères Ahmet et Mehmet Kapandji, propriétaires du Palace Hôtel Olympos, construisent un autre hôtel de luxe sur la place, l'Hôtel de Rome, tandis que leStein Building, le bâtiment le plus moderne de la ville à l'époque, est achevé en 1911, sous le parrainage du maire Hulusi Bey[14]. Le Grand hôtel d'Angleterre ouvre également sur la place, ainsi que de nombreux cafés, restaurants et pâtisseries[14].

LeClub juif des Intimes, avec sa bibliothèque, était également basé sur la place[15]. Il s'agissait d'une société progressiste de la classe supérieure promouvant la philanthropie et diverses causes juives, mais en même temps pro-ottomane et farouchementantisioniste[16], ce qui créé de nombreuses frictions entre leClub des Intimes et leClub Nouveau, un club privé rival pro-sioniste situé sur le front de mer qui s'est séparé duClub des Intimes[16]. Lors de sa visite d'État à Thessalonique, en 1908, le cortège officiel du sultanAbdülhamid II passe par la place et devant leClub des intimes. Les normes du Club étaient si élevées qu'elles ont impressionné un gentleman britannique en visite[17].

Proclamation de la Constitution de l'Empire ottoman, par lesrévolutionnaires des Jeunes-Turcs au Grand Hôtel D'Angleterre sur la place Eleftherías, le.

Les événements de larévolution des Jeunes-Turcs donnent à la place son nom actuel[2]. LesJeunes-Turcs commencent la révolution à Thessalonique etIsmail Enver déclare à une foule rassemblée sur la place Eleftherías qu'« aujourd'hui le souverain capricieux est fini, le mauvais gouvernement n'est plus. Nous sommes tous frères. Il n'y a pas de Bulgares, de Grecs, de Serbes, de Roumains, de Juifs, de Musulmans. Sous le ciel bleu, nous sommes tous égaux, nous sommes fiers d'être Ottomans ! »[3]. Sur les anciennes cartes postales ottomanes et grecques, elle apparaît désormais en français commePlace de la Liberté.

Après que Thessalonique ait fait partie de la Grèce, en 1913, l'Association libérale de Macédoine, le premier club libéral de Grèce[18] est ouvert dans l'un des bâtiments autour de la place, en. Il s'agit d'une organisation soutenant et promouvant les causes duparti libéral et d'Elefthérios Venizélos, car Thessalonique et le reste de la Grèce du Nord sont un bastion libéral à l'époque ; le club libéral est le plus efficace en Grèce pour influencer la politique officielle[18]. Pendant la Première Guerre mondiale, la place est populaire auprès destroupes alliées de l'armée des cinq nations combattant sur le front de Salonique, notamment au Café Flóka, la pâtisserie la plus célèbre de la ville[19], où une infirmière volontaire écossaise note que« les guerriers [pouvaient] enfin se détendre, boire, fumer et discuter des derniers chanteurs aucafé-chantant de la ville[1]. »

Après le grand incendie

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La proposition d'Hébrard pour les bureaux du TTT. Il n'a jamais été construit et le terrain vide est devenu le parking actuel.

Le grandincendie de 1917 a détruit le caractère original de la place, seul le bâtiment Stein, un grand magasin autrichien, ayant été épargné[8]. Comme Thessalonique devait être une ville reconçue après l'incendie, le gouvernement interdit toute reconstruction dans les zones incendiées de la ville avant que le nouveau plan ne soit finalisé[20]. L'importance de la place Eleftherías pour la vie de Thessalonique est illustrée par le fait que des décrets royaux spéciaux sont émis, permettant la reconstruction temporaire d'établissements tels que le Café Flóka[20].

Le Conservatoire d'État (ancienne banque ottomane) près de la place.

La commission de réaménagement, dirigée par l'architecte françaisErnest Hébrard, cherche à remplacer la place par les bureaux régionaux du service hellénique des postes, télégraphes et téléphones (engrec moderne :Ἑλληνικὴ Ταχυδρομικὴ, Τηλεγραφηματικὴ, καὶ Τηλεφωνικὴ Ὑπηρεσία), la place étant devenue obsolète après la conception de laplace Aristote voisine. Des banques et d'autres bâtiments seraient construits autour du bâtiment public, nomméMaison TTT (Μέγαρον ΤΤΤ)[21], et la promenade du front de mer serait prolongée pour offrir un espace public supplémentaire. Une nouvelle petite place serait créée à cet endroit[22] appelée, en français,Place de la Poste. Hébrard n'a pas été le seul à soumettre des propositions pour la conception du bâtiment TTT ; l'architecte grec Marinos Delladetsimas a également présenté un projet, avec des influences évidentes dustyle néo-byzantin d'Hébrard[23].

Les plans n'ont pour la plupart pas été réalisés, bien que la reconstruction ait commencé à la fin des années 1920 et au début des années 1930. En1921, le premier permis conforme aux plans est délivré[24], tandis que la construction d'un bâtiment abritant laBanque nationale de Grèce à l'angle nord-ouest de la place, ainsi que d'un bâtiment abritant laBanque Ionienne (en) de l'autre côté de la route, commence à la fin des années 1920[8],[23]. La Banque nationale de Grèce ouvre ses portes en1933[25], mais la conception est modifiée de manière à abriter également laBanque de Grèce, qui avait été créée en1928[26]. Le travail sur les fondations de la Maison TTT commence en1931, mais est entravé par la découverte de la digue qui avait été démolie à la fin des années 1800[24], ce qui créé des problèmes structurels majeurs, et le projet est bloqué et abandonné[24]. Avec l'occupation de la ville par l'Allemagne nazie, le, le bâtiment de la Banque Ionienne est réquisitionné par les autorités allemandes et transformé enOrtskommandantur locale, le siège de l'autorité d'occupation[27]. La Banque Ionienne devient plus tard la Banque populaire Ionienne, qui est maintenant l'Alpha Bank ; elle occupe toujours le bâtiment.

Durant la Seconde Guerre mondiale

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Article détaillé :Rafle de la place Eleftherías en 1942.
L'enregistrement des Juifs, par les nazis, sur la place, en.

Au cours de l'été1942, le jour qui est devenu connu sous le nom de« shabbat noir », tous les hommes juifs âgés de 18 à 45 ans reçoivent l'ordre de se présenter sur la place pour être soumis autravail forcé. Le même jour, 6 000 ou 7 000 d'entre eux sont rassemblés sur la place, gardés par des soldats allemands armés. La foule rassemblée est torturée et humiliée en public avant d'être enregistrée[6],[7]. Les nazis demandent une rançon de 2,5 milliards drachmes pour libérer les Juifs du travail forcé, que la communauté leur verse[6],[7]. Entre le et le, les 56 000 Juifs de Thessalonique sont déportés dans lescamps de concentration nazis[28],[29],[30]. 96 % de la population juive d'avant-guerre est assassinée[31].

Après laSeconde Guerre mondiale, le projet d'ériger la Maison TTT sur la place est abandonné lorsque celle-ci est officiellement proclamée espace public, le par arrêté du ministère des Travaux publics[32]. LaPoste hellénique conteste cette décision mais ne parvient pas à convaincre les tribunaux[33]. L'emplacement est transformé en parking et terminal de bus[34], ouvert par l'Organisation hellénique du tourisme comme le seul parking public de la ville[5]. Il est à nouveau contesté sans succès en1972[33]. La suppression du parking et le réaménagement de la zone en une place ouverte sont discutés pour la première fois en1997, lorsque Thessalonique devient lacapitale européenne de la culture, mais sont finalement abandonnés en raison des coûts élevés de la construction d'un parking souterrain[34].

LaMenorah en flammes, mémorial de la Shoah installé en 2006 sur la place.

Lamenorah en flammes, un mémorial de la Shoah, est créé par le survivant serbe de l'HolocausteNandor Glid (en), en1997, mais n'est placé dans le coin sud de la place qu'en2006[7]. Le monument est souillé deux fois en 2018, une fois par des membres de l'Aube dorée, en janvier, et une fois par des manifestants d'extrême droite participant à un rassemblement sur le différend concernant le nom de la Macédoine[35],[36]. Le maire de Thessalonique,Yiannis Boutaris, qui s'est fait le champion du réaménagement de la place en un espace ouvert, a contesté le mémorial en disant qu'il était« difficile à trouver ». Dans le même discours, en 2018, il souligne les raisons derrière l'insistance de la municipalité concernant le réaménagement d'une place, en disant :

« La nouvelle place Eleftherías symbolisera la fierté de tous les Thessaloniciens pour leur ville, son passé, son présent et son avenir. À quelques centaines de mètres de là, lemusée de l'holocauste de Thessalonique symbolisera notre honte. Pour tout ce qui s'est passé, tout ce que nous avons fait, et surtout pour tout ce que nous n'avons pas pu ou voulu faire, natifs et immigrants, de droite et de gauche, pendant et après la guerre. »

Un concours de conception est lancé en 2013 et en 2018, la procédure d'appel d'offres pour sélectionner un entrepreneur chargé de réaliser les travaux de construction est lancée. Le budget total pour le réaménagement de la place s'élève actuellement à 5,1 millions d'euros, financé par un prêt de la Banque européenne d'investissement. En, les parkings de la place sont fermés en vue du réaménagement.

Galerie

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  • Vue de la place, en direction du sud (1914).
    Vue de la place, en direction du sud (1914).
  • Vue de la place, en direction de la ville (années 1910).
    Vue de la place, en direction de la ville (années 1910).
  • Le bâtiment Stein, durant l'occupation nazie (avril 1941)
    Le bâtiment Stein, durant l'occupation nazie (avril 1941)

Notes et références

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Notes

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  1. « Le terrain trapézoïdal qui est devenu la place est défini par le plan de 1920 comme ayant les dimensions suivantes (en mètres) : 80,60 x 65,59 x 80,60 x 60,60.[5] »

Références

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  1. ab etc(el) Sakis Serefas,Η Θεσσαλονίκη του Excelsior [« L'Excelsior de Thessalonique »], Thessalonique, Macedonian Hotels SA,‎(ISBN 978-960-93-1840-2),p. 84.
  2. a etb(el) « Πλατεία Ελευθερίας » [« Place Eleftherías »], surle site thessaloniki.gr(consulté le).
  3. ab etc(el) Kýa Tzímou, « Έφτασε η ώρα της Πλατείας Ελευθερίας » [« L'heure est venue pour la place Eleftherías »], surle site parallaximag.gr,‎(consulté le).
  4. (el) « Τα αποτελέσματα του διαγωνισμού για την ανάπλαση της πλατείας Ελευθερίας » [« Les résultats de l'appel d'offres pour le réaménagement de la place Eleftherías »], surle site Voria.gr(consulté le).
  5. a etbPlace Eleftherías 2008,p. 132.
  6. ab etc(en) Université d'Athènes,Documents on the History of the Greek Jews : Records from the Historical Archives of the Ministry of Foreign Affairs, Kastaniotis Editions,, 472 p.(lire en ligne),p. 265.
  7. abc etd(en) Martin Winstone,The Holocaust Sites of Europe : An Historical Guide, I.B.Tauris,(ISBN 978-0-8577-3028-2).
  8. ab etc(el) Kýa Tzímou, « Πλατεία Ελευθερίας: Το παρελθόν, το παρόν και το μέλλον της » [« Place Eleftherías : Son passé, son présent et son avenir »],Parallaxi [lien archivé],‎ date ignorée(lire en ligne, consulté le).
  9. (en) Heath W. Lowry,In the Footsteps of the Ottomans : A Search for Sacred Spaces & Architectural Monuments in Northern Greece, Bahçeşehir University Press,, 231 p.(ISBN 978-9-7564-3786-5).
  10. (en) David Dutton,The Politics of Diplomacy : Britain, France and the Balkans in the First World War, Bloomsbury Academic,, 248 p.(ISBN 978-1-8606-4112-1),p. 158.
  11. Place Eleftherías 2008,p. 26.
  12. Place Eleftherías 2008,p. 33.
  13. ab etcPlace Eleftherías 2008,p. 43.
  14. abc etdPlace Eleftherías 2008,p. 118-120.
  15. (en) Minna Rozen,The Last Ottoman Century and Beyond : The Jews in Turkey and the Balkans 1808-1945 : Proceedings of the International Conference on "The Jewish Communities in the Balkans and Turkey in the 19th and 20th Centuries Through the End of World War II, Tel Aviv, Tel Aviv University,, 424 p.(ISBN 978-9-6533-8045-5,lire en ligne).
  16. a etb(en) Julia Phillips Cohen,Becoming Ottomans : Sephardi Jews and Imperial Citizenship in the Modern Era, Oxford University Press,, 304 p.(ISBN 978-0-1993-4041-5,lire en ligne),p. 110.
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  19. (el) Kýa Tzímou, « Φλόκα: Ένα όνομα που συνδέθηκε με τη νοστιμιά » [« Flóka : Un nom associé à la gourmandise »],Parallaxi,‎1er février 2016(lire en ligne, consulté le).
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  21. (el) « Σχέδιον του Κεντρικού Τμήματος της Πόλεως Θεσσαλονίκης » [« Plan du département central de la ville de Thessalonique »][PDF], surle site gis.thessaloniki.gr [lien archivé](consulté le).
  22. Place Eleftherías 2008,p. 125.
  23. a etbPlace Eleftherías 2008,p. 139.
  24. ab etcPlace Eleftherías 2008,p. 126.
  25. (el) « Η ιστορία του κτιρίου της Τράπεζας της Ελλάδος » [« L'histoire du bâtiment de la Banque de Grèce »][doc], surle site de la Banque de Grèce(consulté le).
  26. Place Eleftherías 2008,p. 158.
  27. (el) « Τόποι μαρτυρίου και κτήρια της ναζιστικής κατοχής στη Θεσσαλονίκη » [« Lieux de martyre et bâtiments de l'occupation nazie à Thessalonique »],thessmemory,‎(lire en ligne, consulté le).
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  30. (en) Gavin Rabinowitz, « Thessaloniki’s new Holocaust museum a sign of a city finally embracing its Jewish past »,The Times of Israel,‎(lire en ligne, consulté le).
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  32. (el) « Εφημερίς της Κυβερνήσεως του Βασιλείου της Ελλάδος » [« Journal du gouvernement du royaume de Grèce »][PDF], surle site et.gr,‎(consulté le).
  33. a etbPlace Eleftherías 2008,p. 131.
  34. a etb(el) Kýa Tzímou, « Τι θα γίνει με το πάρκινγκ της Πλατείας Ελευθερίας » [« Que va devenir le parking de la place Eleftherías ? »],Parallaximag,‎(lire en ligne, consulté le).
  35. (el) « Άγνωστοι βεβήλωσαν το Μνημείο του Ολοκαυτώματος στη Θεσσαλονίκη » [« Des inconnus ont profané le mémorial de l'holocauste à Thessalonique »],CNN Greece,‎(lire en ligne, consulté le).
  36. (el) « Έγραψαν με σπρέι "Χρυσή Αυγή" στο μνημείο του Ολοκαυτώματος" » [« Ils ont peint à la bombe "Aube Dorée" sur le mémorial de l'holocauste »],Voria,‎(lire en ligne, consulté le).

Bibliographie

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Voir aussi

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