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Pierrefonds (Oise)

49° 21′ 06″ nord, 2° 58′ 53″ est
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Page d’aide sur l’homonymie

Pour les articles homonymes, voirPierrefonds.

Pierrefonds
Pierrefonds (Oise)
Le château et le centre-ville vus du lac.
Blason de Pierrefonds
Blason
Image illustrative de l’article Pierrefonds (Oise)
Logo
Administration
PaysDrapeau de la FranceFrance
RégionHauts-de-France
DépartementOise
ArrondissementCompiègne
IntercommunalitéCommunauté de communes des Lisières de l'Oise
Maire
Mandat
Florence Demouy
2020-2026
Code postal60350
Code commune60491
Démographie
GentiléPétrifontains
Population
municipale
1 888 hab.(2022en évolution de +3,79 % par rapport à 2016)
Densité85 hab./km2
Géographie
Coordonnées49° 21′ 06″ nord, 2° 58′ 53″ est
AltitudeMin. 55 m
Max. 145 
m
Superficie22,32 km2
TypeBourg rural
Unité urbaineHors unité urbaine
Aire d'attractionCompiègne
(commune de la couronne)
Élections
DépartementalesCanton de Compiègne-2
LégislativesCinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte :France
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Pierrefonds
Géolocalisation sur la carte :France
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Pierrefonds
Géolocalisation sur la carte :Oise
Voir sur la carte topographique de l'Oise
Pierrefonds
Géolocalisation sur la carte :Hauts-de-France
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Pierrefonds
Liens
Site webmairie-pierrefonds.fr
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Pierrefonds est unecommune française située dans ledépartement de l'Oise dans larégionHauts-de-France.

Située en lisière est de laforêt de Compiègne, elle est principalement connue pour sonchâteau de Pierrefonds, restauré parViollet-le-Duc.

Géographie

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Pierrefonds se situe en lisière sud-est de laforêt de Compiègne sur leru de Berne. La commune se situe à environ 80 km au nord-est deParis et à 15 km à l'est deCompiègne.

Lehameau de Palesne, situé au sud, fait partie de la commune de Pierrefonds.

Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique

Communes limitrophes

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Communes limitrophes dePierrefonds (Oise)[1]
Vieux-MoulinCuise-la-Motte
Saint-Jean-aux-BoisPierrefonds (Oise)[1]Saint-Étienne-Roilaye
MorienvalRetheuil (Aisne)

Hydrographie

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Réseau hydrographique

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La commune est située dans lebassin Seine-Normandie. Elle est drainée par le ru de Berne, le ru de la Fontaine Porchers[2], le ru du Pre Tortu[3], le cours d'eau 01 du Mont Arcy[4], divers bras de Berne[5],[6],[Carte 1].

Leru de Berne, d'une longueur de 14 km, prend sa source dans la commune et se jette dans l'Aisne àCompiègne, après avoir traversétrois communes[7].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Pierrefonds[Note 1].

Un plan d'eau complète le réseau hydrographique : l'étang de Vertefeuilles (0,7 ha)[Carte 1],[8].

Gestion et qualité des eaux

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Le territoire communal est couvert par leschéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Sensée ». Ce document de planification concerne un territoire de 789 km2 de superficie, délimité par troisbassins versants en totalité ou en partie (Aisne,Oise etAronde). Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le, puis révisé le. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte Oise-Aronde[9].

La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par lesagences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Climat

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Pour des articles plus généraux, voirClimat des Hauts-de-France etClimat de l'Oise.

Plusieurs études ont été menées afin de caractériser les types climatiques auxquels est exposé le territoire national. Les zonages obtenus diffèrent selon les méthodes utilisées, la nature et le nombre des paramètres pris en compte, le maillage territorial des données et la période de référence. En 2010, le climat de la commune était ainsi de typeclimat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude duCentre national de la recherche scientifique (CNRS) s'appuyant sur une méthode combinant données climatiques et facteurs de milieu (topographie, occupation des sols, etc.) et des données couvrant lapériode 1971-2000[10]. En 2020, le climat prédominant est classé Cfb, selon laclassification de Köppen-Geiger, pour la période 1988-2017, à savoir un climat tempéré à été frais sans saison sèche[11]. Par ailleursMétéo-France publie en 2020 une nouvelle typologie desclimats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre leclimat océanique et leclimat océanique altéré[12] et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[13]. Elle est en outre dans lazone H1a au titre de laréglementation environnementale 2020 des constructions neuves[14],[15].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de10,5 °C, avec uneamplitude thermique annuelle de15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 726 mm, avec11,2 jours de précipitations en janvier et8,4 jours en juillet[10]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur lastation météorologique deMétéo-France la plus proche, sur la commune deMargny-lès-Compiègne à14 km àvol d'oiseau[16], est de11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 633,5 mm[17],[18]. La température maximale relevée sur cette station est de41,5 °C, atteinte le ; la température minimale est de−15 °C, atteinte le[Note 2].

Urbanisme

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Typologie

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Au, Pierrefonds est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[19].Elle est située hors unité urbaine[20]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Compiègne, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[20]. Cette aire, qui regroupe 101 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[21],[22].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d'occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (60,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (60,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (60,1 %),terres arables (30 %), zones urbanisées (5,7 %), prairies (2,7 %), zones agricoles hétérogènes (1,4 %)[23]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : lacarte de Cassini (XVIIIe siècle), lacarte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports

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La commune est desservie, en 2023, par les lignes 654, 656, 657, 658, 6302 et 6319 duréseau interurbain de l'Oise[24].

Toponymie

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Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète.Votre aide est la bienvenue !Comment faire ?

Le nom de la localité est attesté sous les formesPetrafogium (vers 995) ; fiscum de Petri fonte (XIe) ; dominus de Petrafonte (XIe) ; Petrofontium (XIe) ; Petrifons (1058) ; Petrefondus (1060) ; Nivelo de Petrafonte (1060) ; de Petraefonte (1061) ; de Petrefonte (1085) ; alodium de Petrefontense castrum (1089) ; Nivelo Petra fontensis dominus (1098) ; Nivelo dominus de Petrafonte (vers 1100) ; Petro de petrefonte (1108) ; Petrofongium (1110) ; Nevelo de Petrefonte (vers 1112) ; Petra fons (1113) ; in castello Petrefonte (1113) ; in Petrefons (1128) ; Petrefontensis (1135) ; de Petrofonte (1140) ; Petrefontis (1143) ; Drogonis de Petrafonte (vers 1150) ; Drogonis de Petra fonte (1153) ; Gobertus de Petrafonte (1168) ; dominus petrefontis (1171) ; Petrofontis (1178) ; alodium de petrefonz (1179) ; Agatha de petrafontis (1183) ; Agatha domina Petrafontis (1192) ; Pierrefons (1210) ; monachos sancti Sulpicii de Petrafonte (1222) ; apud monte de petrafonte (1232) ; in traverso Petraefontis (1243) ; Petrosus fons (1247) ; apud petram fontem (vers 1260) ; Pierrefonz (XIIIe) ; la mesure de Pierre fonz (1269) ; apud Petram fontis (1302) ; Pierreffons (1304) ; Pierrefont (1308) ; prepositure Petrefontis (1309) ; apud Petram fontem in Valesia (1327) ; de maioria Petre fontis (1332) ; la porte de pierrefons (1359) ; Pierrefonts (1470) ; Pierrefont (1470) ; Pierreffons (1480) ; prioratus conventualis de S. Sulpiciis de Petrafonte (XVe) ; Pierrefond (1663) ; Pierrefonds (1840) ; Pierrefonds-les-Bains (1928)[25].

Le village de Pierrefonds a emprunté son nom (Petri fonte) à la fontaine Saint-Sulpice, dans la crypte de l'église homonyme[26].

Histoire

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Antiquité

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Le centre du village se situe non loin de vestigesgallo-romains au mont Berny (quartier de la Queue-de-Saint-Etienne, partagé avec la commune deSaint-Etienne-Roilaye - et non le quartier du Mont Berny à 900 m au nord-est). Ces habitations, rassemblées en occupation dense autour d'unfanum, auraient été construites au carrefour de lavoie romaineSoissons-Beauvais parChamplieu (futurechaussée Brunehaut) et Soissons-Beauvais par le gué deCompiègne. Le site se trouve à la lisère des marais que recouvrent aujourd'hui laforêt de Compiègne[27],[28] et marque la limite occidentale du Soissonnais que contrôle lapeuplade gauloise desSuessions. La forêt de Compiègne, avant l'arrivée des romains, est essentiellement une zone de contact pour lesSuessions,Bellovaques etSilvanectes et sert deno man's land pacificateur avant la mise en place de laPax romana[29].

Le sanctuaire de source de "La Folie", sur la commune de Pierrefonds, est également près de lavoie romaine[30]. Il a livré des monnaies gauloises et romaines, des statuettes en terre cuite et en bronze, des vases et des ornements divers[31].

Dans les environs, au sud-ouest, se trouvent lesvici de la Carrière-du-Roi surMorienval[30] ouSaint-Jean-aux-Bois[32] (7,5 km à pied) et le sanctuaire antique de Champlieu surOrrouy[33] (12 km à pied).

Moyen Âge

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AuXe siècle, l'ancienchâteau aurait été détruit. Le nouveau château est construit plus à l'ouest près de la forêt sur une butte. Le village s'installe à son pied. Le fort devient puissant, protège de nombreux monastères ou villages et lève des impôtsféodaux.[réf. nécessaire]

Lechâteau de Pierrefonds avecla gare au premier plan, début duXXe siècle.

AuXIe siècle, sous NivelonIer (mort vers1072), laseigneurie comprend une partie des forêts de Compiègne (alors nommée forêt de Cuise) et de Retz, Chelles, Couloisy, Croutoy, Haute-Fontaine, Jaulzy, Saint-Étienne, Retheuil, Montigny-Langrain, Taillefontaine, Mortefontaine, etc.[réf. nécessaire]

Pierrefonds est le chef-lieu de la plus grande des six châtellenies duduché deValois. Le roiLouis XIII dépêche en1616 un corps spécial commandé parCharles de Valois pour assiéger Pierrefonds, puis lecardinal deRichelieu demande la destruction du château.[réf. nécessaire]

On rend la justice à Pierrefonds jusqu'en mars1780, date à laquelle elle est transférée àVillers-Cotterêts.[réf. nécessaire]

Station thermale à partir du Second Empire

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Vase en grès de Pierrefonds, vers 1920.

Le village, devenu ville d'eaux sous le nom dePierrefonds-les-Bains, connut un fort engouement auSecond Empire, avec la restauration du château, et au début de laTroisième République avec la construction de lagare ferroviaire. Pierrefonds compta alors jusqu'à neuf hôtels et 200 000 visiteurs annuels, une fréquentation réduite de moitié au début desannées 2000.

Le village fut également connu, au début duXXe siècle, pour sa production de poteries degrès et leurs remarquables glaçures à cristallisations étoilées. La fabrication, débutée en1903, cessa en1986. Les pièces restent très recherchées par les collectionneurs.

Politique et administration

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
PériodeIdentitéÉtiquetteQualité
Les données manquantes sont à compléter.
19141919AdolpheClément-Bayard Industriel
19892001Jacques Dandoy  
20012020Michèle BourbierDVG 
2020en coursFlorence Demouy[34]DVDJuriste, Vice-Présidente de la Communauté de communes

Finances locales

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Vue du village depuis le château de Pierrefonds.

Cette sous-section présente la situation desfinances communales de Pierrefonds[Note 4].

Pour l'exercice 2013, le compte administratif dubudget municipal de Pierrefonds s'établit à 1 395 000 € endépenses et 1 243 000 € enrecettes[A2 1] :

En 2013, la section de fonctionnement[Note 5] se répartit en 937 000 € de charges (438 € par habitant) pour 1 083 000 € de produits (506 € par habitant), soit un solde de 146 000 € (68 € par habitant)[A2 1],[A2 2] :

Les taux destaxes ci-dessous sont votés par la municipalité de Pierrefonds[A2 3]. Ils ont varié de la façon suivante par rapport à 2012[A2 3] :

La sectioninvestissement[Note 8] se répartit en emplois et ressources. Pour 2013, les emplois comprennent par ordre d'importance[A2 4] :

Les ressources en investissement de Pierrefonds se répartissent principalement en[A2 4] :

L'endettement de Pierrefonds au peut s'évaluer à partir de trois critères : l'encours de la dette[Note 11], l'annuité de la dette[Note 12] et sa capacité de désendettement[Note 13] :

Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[36].

En 2022, la commune comptait 1 888 habitants[Note 14], en évolution de +3,79 % par rapport à 2016 (Oise : +0,87 %,France horsMayotte : +2,11 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
179318001806182118311836184118461851
1 3001 7541 4051 3891 5001 4441 5101 6871 575
Évolution de la population  [ modifier ], suite (1)
185618611866187218761881188618911896
1 6141 7281 8821 7601 6651 9351 7351 7451 819
Évolution de la population  [ modifier ], suite (2)
190119061911192119261931193619461954
1 7291 8041 7861 5661 6321 4871 4601 5691 672
Évolution de la population  [ modifier ], suite (3)
196219681975198219901999200620112016
1 5481 5311 4741 3761 5481 9452 0391 8901 819
Évolution de la population  [ modifier ], suite (4)
20212022-------
1 8821 888-------
De 1962 à 1999 :population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes :population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puisInsee à partir de 2006[38].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement jeune.En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à30 ans s'élève à 33,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à60 ans est de 25,8 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait928 hommes pour911 femmes, soit un taux de 50,46 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,89 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[39]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,0 
90 ou +
1,8 
6,8 
75-89 ans
8,9 
15,6 
60-74 ans
17,5 
22,4 
45-59 ans
23,3 
17,6 
30-44 ans
17,9 
19,7 
15-29 ans
15,6 
16,9 
0-14 ans
15,0 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2021 en pourcentage[40]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,5 
75-89 ans
7,6 
15,6 
60-74 ans
16,3 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,6 
15-29 ans
16,2 
20,6 
0-14 ans
19,1 

Héraldique

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Armes de Pierrefonds

Les armes de Pierrefonds seblasonnent ainsi :

d'azur au château du lieu d'argent, accompagné de quatre fleurs de lys d'or, ordonnées deux en chef et deux aux flancs.

Sadevise est : « Qui veult, peult ».

Jumelages

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Lieux et monuments

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Monuments historiques

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Château de Pierrefonds, côté sud.
Église Saint-Sulpice de Pierrefonds.
Ancienne gare de Pierrefonds.

Pierrefonds compte quatremonuments historiques sur son territoire :

Articles détaillés :Château de Pierrefonds,église Saint-Sulpice de Pierrefonds etgare de Pierrefonds.
  • Lechâteau de Pierrefonds, rue Viollet-le-Duc (classé monument historique parliste de 1862,site inscrit par arrêté du[41]) : Un château existe à Pierrefonds au plus tard vers le milieu duXIIe siècle, et il a peut-être été édifié par le premierseigneur connu de Pierrefonds, Nivelon. Le château est remplacé par une construction plus vaste sousLouis d'Orléans à partir de1393. Bien que le chantier progresse rapidement, les corps de logis ne sont pas achevés lors de l'assassinat du duc d'Orléans en1407, mais le château remplira bien sa mission, qui est la surveillance des échanges commerciaux entre lesFlandres et laBourgogne. En1616, il appartient au ducFrançois-Annibal d'Estrées, opposant à l'accession au pouvoir deLouis XIII.Richelieu faitassiéger le château de Pierrefonds jusqu'en1617. Le château est pris et démantelé sur ordre du nouveau roi, puis tombe en ruines.NapoléonIer s'y intéresse et le rachète en1810, mais il faut attendre leSecond Empire et l'année1857 pour voir commencer sa restauration sous l'initiative deNapoléon III. Il confie la direction des travaux à l'architecteEugène Viollet-le-Duc, qui va outre les réalités historiques et crée un nouveau château reflétant sa propre vision duMoyen Âge. Après sa mort en1879, son gendreMaurice Ouradou prend son relais jusqu'à sa propre disparition cinq ans plus tard. Le château est alors presque achevé. Voulu par Napoléon III comme résidence occasionnelle et musée, il est finalement ouvert comme musée sous laTroisième République. De dimensions impressionnantes, le château occupe au sol la forme d'un pentagone et est flanqué par huit tours, dont ledonjon avec le corps de logis attenant à l'ouest. La chapelle occupe l'intérieur de la tour orientale. L'ouest, le nord et le nord-est de la cour intérieure sont occupés par des bâtiments abritant des salles de casernement, et surtout la salle des Preux au premier étage, et la salle des Gardes au rez-de-chaussée de l'aile occidentale. Le sous-sol abrite une collection de reproductions de sculptures funéraires baptisée lebal des gisants. Alors que l'extérieur du château affiche une architecture militaire influencée par le stylegothique, laRenaissance domine les façades orientées vers la cour et une grande partie des pièces. Les finitions et la sculpture ont fait l'objet de soins particuliers, mais le château n'a jamais été meublé. Le château est toujours un musée géré par leCentre des monuments nationaux (CMN)[42].
  • L'église Saint-Sulpice', rue Louis-d'Orléans (classée monument historique par liste de 1862[43]) : de stylegothique, elle associe unchœur avec deuxcollatéraux duXIIIe siècle à une double nefflamboyante de la fin du Moyen Âge. L'édifice est toutefois d'origine beaucoup plus ancienne que les parties gothiques ne le suggèrent. La fondation par leseigneurNivelon et le début des travaux remontent aux années 1060, et le chœur de la première église romane devait être achevé au début duXIIe siècle. N'en font preuve que les troisarcades faisant communiquer les troisvaisseaux du chœur avec les deux nefs, et à plus forte raison lacrypte en dessous du chœur, abritant la tombe deNivelon et la source thermale ayant donné son nom à Pierrefonds. Alors que la façade occidentale, le portail septentrional et leremplage des fenêtres ont été très soignés, l'intérieur témoigne d'une construction hâtive sans voûtement et sans la moindre ornementation. Les nefs s'accordent mal avec le chœur, prévue à la base pour une nef simple accompagnée debas-côtés. En même temps, l'église est spacieuse et bien éclairée, et lescharpentes encarène renversée du chœur sont d'un bel effet. Très endommagée lors de laPremière Guerre mondiale, le chœur actuel est en grande partie le produit d'une reconstruction à l'identique lancée en1926. Sinon, l'élément le plus récent est l'étage debeffroi et le couronnement du clocher, achevé en1557 dans unearchitecture Renaissance très sophistiquée. Après son classement en 1862, l'église a été déclassée, puis classée de nouveau par arrêté du et par arrêté du. Duprieuré adjacent ayant dépendu de l'abbaye de Marmoutier, ne reste qu'une porte fortifiée et de rares vestiges[44].
  • L'anciennegare de Pierrefonds, allée des Tilleuls (inscrite monument historique par arrêté du[45]) : la gare de Pierrefonds se situe sur l'ancienneligne de Rethondes à La Ferté-Milon, tronçon d'un itinéraire devant relierAmiens àDijon. Le bâtiment voyageurs est édifié dans le site du Beaudon par l'architecte Charles Lecoeur, recommandé par le princeRadziwiłł, propriétaire de l'hôtel des Bains. Les travaux démarrent en1883 avec le remblaiement du site. Le bâtiment est édifié selon un plan de base établi par la Compagnie, mais l'architecte choisit de remplacer la brique par despierres de taille appareillées. Les tuiles mécaniques laissent la place à des ardoises de zinc en écaille. Les installations comprennent une halle à marchandises et, en face, un petit château d'eau servant à l'alimentation des machines à vapeur. La nouvelle gare de « Pierrefonds-les-Bains » est inaugurée le, et contribue à la fréquentation touristique croissante du site, en particulier grâce à la présence du château de Pierrefonds et à l'établissement thermal. La ligne est fermée au trafic voyageurs le. Le1er juillet1966, le trafic de marchandises cesse à son tour. La voie ferrée est neutralisée l'année suivante.
  • Le domaine du Bois d'Aucourt, situé en écart à l'ouest du bourg, au bout d'un chemin privé partant de la RD 85 (inscrit monument historique par arrêté du[46]) : la propriété entourée par la forêt a été aménagée pendant lesannées 1890 parAdolphe Clément-Bayard dans un style anglo-normand, et est aujourd'hui une propriété privée[47].

Autres éléments du patrimoine

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  • Château de Jonval.
    Château de Jonval.
  • Lac de Pierrefonds.
    Lac de Pierrefonds.
  • Monument aux infirmières.
    Monument aux infirmières.
  • Ancien établissement thermal.
    Ancien établissement thermal.
  • Institut Charles-Quentin.
    Institut Charles-Quentin.
  • Le château de Jonval, sente du Diable
  • Le lac de Pierrefonds, près du centre-ville
  • Le monument aux infirmières, place de l'Hôtel-de-Ville : Il est dédié aux infirmières mortes sur les champs de bataille pendant laPremière Guerre mondiale et plus particulièrement à Élisabeth Jalaguier, arrivée à Pierrefonds en1918 et touchée mortellement par unobus trois mois avant l'Armistice. Élevée à titre posthume au rang de chevalier de laLégion d'honneur parGeorges Clemenceau en1919, un médecin de Pierrefonds et une infirmière décident de lui rendre hommage par un monument et organisent une souscription en1933. Un comité présidé par le présidentAlbert Lebrun se constitue, mais le monument n'est érigé qu'en1955 et a été racheté par la commune en1996[48].
  • L'ancien établissement thermal, rue Louis-d'Orléans : après la découverte de sources sulfureuses parLouis-Joseph Deflubé dans son jardin en1846, et la reconnaissance des vertus des eaux pour soulager les maladies des organes respiratoires, les douleurs articulaires et les maladies de la peau, il transforme sa propriété enétablissement thermal. Il comprend l'hôtel des Bains et un centre de soins, proposant des bains et des douches et des inhalations respiratoires. L'eau est également administrée comme boisson. Les loisirs et l'agrément ne sont pas non plus oubliés, avec un casino, et des salles de jeux, de repos et de lecture. L'essor de l'établissement thermal et de toute la station de Pierrefonds s'accélère avec l'inauguration de la voie ferrée en1884. La Première Guerre mondiale interrompt brusquement ce développement, et l'hôtel est transformé temporairement en hôpital militaire auxiliaire[49].
  • L'institut Charles-Quentin, rue Louis-d'Orléans : ce lycée privé d'enseignement général et agricole a comme domicile une grande demeure bourgeoise aux allures de château datant de1865, dessiné par Viollet-le-Duc. Il est entouré d'unjardin anglais de13 ha dans un beau cadre paysager avec vue sur le château, comportant unjardin botanique et unarboretum d'une soixantaine de variétés ouverts à la promenade. Plusieurs jardins thématiques s'y sont ajoutés : un « jardin de Curé », « jardin d'Ombre », un potager pédagogique et un jardin d'inspiration méditerranéenne[50].
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Personnalités liées à la commune

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Voir aussi

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Bibliographie

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Articles connexes

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Vue aérienne de Pierrefonds.
Vue aérienne de Pierrefonds.

Liens externes

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Notes et références

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Notes

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. Les records sont établis sur la période du au.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Cette sous-sectionFinances locales est issue d'une synthèse des données du sitealize2.finances.gouv.fr duministère de l'Économie et des Finances.Elle est présentée de façon standardisée pour toutes les communes et ne concerne que le périmètre municipal.Pour constituer cette partie, l'outil Finances locales version 1.2.1 : Yin Yang KappaLogo de l'outil Finances localesLettre grecque Kappa en majuscule et minuscule a effectué la synthèse des98 pages du sitealize2.finances.gouv.fr concernant Pierrefonds.Finances locales est unlogiciel libre distribué encopyleft souslicenceGNU GPL version 3.
  5. La « section de fonctionnement » est constituée des dépenses courantes et récurrentes nécessaires au bon fonctionnement des services municipaux et à la mise en œuvre des actions décidées par les élus, mais sans influence sur la consistance dupatrimoine de la commune.
  6. Les « charges de personnel » regroupent les frais derémunération des employés par la commune.
  7. Les « impôts locaux » désignent lesimpôts prélevés par lescollectivités territoriales comme les communes pour alimenter leur budget. Ils regroupent lesimpôts fonciers, lataxe d'habitation ou encore, pour lesentreprises, lescotisations foncières ou sur lavaleur ajoutée.
  8. La section « investissement » concerne essentiellement les opérations visant àacquérir des équipements d'envergure et aussi auremboursement du capital de ladette.
  9. Les « dépenses d'équipement » servent à financer des projets d'envergure ayant pour objet d'augmenter la valeur dupatrimoine de la commune et d'améliorer la qualité des équipements municipaux, voire d'en créer de nouveaux.
  10. Les « remboursements d'emprunts » représentent les sommes affectées par la commune au remboursement du capital de la dette.
  11. L'« encours de la dette » représente la somme que la commune doit auxbanques au de l'année considérée
  12. L'« annuité de ladette » équivaut à la somme des intérêts d'emprunts de la commune et du montant de remboursement du capital au cours de l'année
  13. La « capacité dedésendettement » est basée sur le ratio suivant défini par la formule :ratio =encours de la dettecapacité d'autofinancement. Ce ratio montre, à un instant donné, le nombre d'années qui seraient nécessaires au remboursement des dettes en considérant les ressources de Pierrefonds.
  14. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.

Base de données du ministère du Budget, relative aux comptes des communes

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  1. a etb« Les comptes des communes - Pierrefonds : chiffres clés »(consulté le).
  2. « Les comptes des communes - Pierrefonds : opérations de fonctionnement »(consulté le).
  3. a etb« Les comptes des communes - Pierrefonds : fiche détaillée »(consulté le).
  4. a etb« Les comptes des communes - Pierrefonds : opérations d'investissement »(consulté le).
  5. a etb« Les comptes des communes - Pierrefonds : endettement »(consulté le).
  6. « Les comptes des communes - Pierrefonds : autofinancement »(consulté le).

Cartes

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  1. a etb« Réseau hydrographique de Pierrefonds » surGéoportail(consulté le 22 septembre 2024).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », surqualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/(consulté le)
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », surremonterletemps.ign.fr(consulté le).

Références

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  1. « Communes limitrophes de Pierrefonds (Oise) » surGéoportail..
  2. Sandre, « le ru de la Fontaine Porchers »
  3. Sandre, « le ru du Pre Tortu »
  4. Sandre, « le cours d'eau 01 du Mont Arcy »
  5. Sandre, « divers bras de Berne »
  6. « Fiche communale de Pierrefonds », surlesystème d'information pour la gestion des eaux souterraines dans le bassin Seine-Normandie(consulté le)
  7. Sandre, « le ru de Berne »
  8. « Le millésime 2022 de la BD TOPAGE® métropole est disponible », sureaufrance.fr(consulté le).
  9. « SAGE Sensée », surhttps://www.gesteau.fr/(consulté le)
  10. a etbDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale »,Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography,no 501,‎(DOI 10.4000/cybergeo.23155).
  11. Vincent Dubreuil, « Le changement climatique en France illustré par la classification de Köppen »,La Météorologie,no 116,‎(DOI 10.37053/lameteorologie-2022-0012).
  12. « Le climat en France hexagonale et Corse. », surmeteofrance.com(consulté le).
  13. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », surpluiesextremes.meteo.fr(consulté le).
  14. « Réglementation environnementale RE2020 », surecologie.gouv.fr,(consulté le).
  15. « Répartition des départements par zone climatique »[PDF], surecologie.gouv.fr(consulté le)
  16. « Orthodromie entre Pierrefonds et Margny-lès-Compiègne », surfr.distance.to(consulté le).
  17. « Station Météo-France « Margny-les-Compiegne », sur la commune de Margny-lès-Compiègne - fiche climatologique - période 1991-2020. », surobject.files.data.gouv.fr/meteofrance/(consulté le).
  18. « Station Météo-France « Margny-les-Compiegne », sur la commune de Margny-lès-Compiègne - fiche de métadonnées. », surdonneespubliques.meteofrance.fr(consulté le).
  19. « La grille communale de densité », surle site de l'Insee,(consulté le).
  20. a etbInsee, « Métadonnées de la commune de Pierrefonds ».
  21. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Compiègne », surle site de l'Insee(consulté le).
  22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », surle site de l'Insee,(consulté le).
  23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », surle site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique.(consulté le).
  24. « Transports en commun à Pierrefonds », suroise-mobilite.fr,(consulté le1er novembre 2023).
  25. Émile LAMBERT,Dictionnaire topographique de l'Oise, Amiens,(lire en ligne),p. 428.
  26. Michel Roblin,Fontaines sacrées et nécropoles antiques, deux sites fréquents d'églises paroissiales rurales dans les sept anciens diocèses de l'Oise : La christianisation des pays entre Loire et Rhin (IVe – VIIe siècle),coll. « Revue d'histoire de l'Église de France »,,p. 236.
  27. F. Digues, « Les fouilles de la ville des Gaules (le Mont Berny à Pierrefonds) »,Revue du Nord,no 195,‎,p. 691-701(lire en ligne).
  28. Jacques Harmand, « Deux «uici» suessions en forêt de Compiègne : le pseudo Mont-Berny et la Carrière-du-Roi »,Bulletin de la Société nationale des Antiquaires de France, séance du 17 décembre 1975,‎,p. 254-289(lire en ligne).
  29. Harmand 1977,p. 265.
  30. a etbGeorge PierreWoimant, « Le sanctuaire antique de Champlieu, commune d'Orrouy (Oise) »,Revue archéologique de Picardie,vol. 1,no 2,‎,p. 63-198(lire en ligne). Voir p. 66.
  31. Victor Cauchemé,Description des fouilles archéologiques exécutées dans la forêt de Compiègne sous la direction de M. Albert de Roucy,vol. 1 :1) Un rapport de M. Albert de Roucy ; 2) Fouilles du Mont-Berny, Compiègne, impr. du Progrès de l'Oise,, 26 pl.(lire en ligne),p. 5.
  32. Harmand 1977.
  33. Woimant 1993.
  34. « Pierrefonds », Cartes de France(consulté le).
  35. L'organisation du recensement, surinsee.fr.
  36. Calendrier départemental des recensements, surinsee.fr.
  37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  38. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années2006,2007,2008,2009,2010,2011,2012,2013,2014,2015,2016,2017,2018,2019,2020,2021 et2022.
  39. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Pierrefonds (60491) »,(consulté le).
  40. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de l'Oise (60) »,(consulté le).
  41. « Château de Pierrefonds », noticeno , sur la plateforme ouverte du patrimoine,base Mérimée,ministère français de la Culture.
  42. Fiche d'information du château édité par le CMN.
  43. « Église Saint-Sulpice », noticeno PA00114804, sur la plateforme ouverte du patrimoine,base Mérimée,ministère français de la Culture.
  44. DanySandron, « L'église Saint-Sulpice de Pierrefonds à l'époque romane »,Groupe d'étude des monuments et œuvres d'art de l'Oise et du Beauvaisis - L'Art roman dans l'Oise et ses environs (actes du colloque organisé à Beauvais les 7 & 8 octobre 1995), Beauvais,‎,p. 57-65.
  45. « Gare de Pierrefonds », noticeno PA00114805, sur la plateforme ouverte du patrimoine,base Mérimée,ministère français de la Culture.
  46. « Domaine du Bois d'Aucourt », noticeno PA60000058, sur la plateforme ouverte du patrimoine,base Mérimée,ministère français de la Culture.
  47. « Domaine du bois d'Aucourt »(consulté le).
  48. « Monument aux infirmières », surOffice de tourisme de Pierrefonds(consulté le).
  49. « Pierrefonds-les-Bains », surOffice de tourisme de Pierrefonds(consulté le).
  50. « Le Parc de l'Institut Charles Quentin »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), surInstitut Charles-Quentin(consulté le) ;« Les différents jardins »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), surInstitut Charles-Quentin(consulté le).
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