La commune est située dans lebassin Seine-Normandie. Elle est drainée par le ru de Berne, le ru de la Fontaine Porchers[2], le ru du Pre Tortu[3], le cours d'eau 01 du Mont Arcy[4], divers bras de Berne[5],[6],[Carte 1].
Au, Pierrefonds est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[19].Elle est située hors unité urbaine[20]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Compiègne, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[20]. Cette aire, qui regroupe 101 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[21],[22].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d'occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (60,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (60,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (60,1 %),terres arables (30 %), zones urbanisées (5,7 %), prairies (2,7 %), zones agricoles hétérogènes (1,4 %)[23]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : lacarte de Cassini (XVIIIe siècle), lacarte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
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Le nom de la localité est attesté sous les formesPetrafogium (vers 995) ; fiscum de Petri fonte (XIe) ; dominus de Petrafonte (XIe) ; Petrofontium (XIe) ; Petrifons (1058) ; Petrefondus (1060) ; Nivelo de Petrafonte (1060) ; de Petraefonte (1061) ; de Petrefonte (1085) ; alodium de Petrefontense castrum (1089) ; Nivelo Petra fontensis dominus (1098) ; Nivelo dominus de Petrafonte (vers 1100) ; Petro de petrefonte (1108) ; Petrofongium (1110) ; Nevelo de Petrefonte (vers 1112) ; Petra fons (1113) ; in castello Petrefonte (1113) ; in Petrefons (1128) ; Petrefontensis (1135) ; de Petrofonte (1140) ; Petrefontis (1143) ; Drogonis de Petrafonte (vers 1150) ; Drogonis de Petra fonte (1153) ; Gobertus de Petrafonte (1168) ; dominus petrefontis (1171) ; Petrofontis (1178) ; alodium de petrefonz (1179) ; Agatha de petrafontis (1183) ; Agatha domina Petrafontis (1192) ; Pierrefons (1210) ; monachos sancti Sulpicii de Petrafonte (1222) ; apud monte de petrafonte (1232) ; in traverso Petraefontis (1243) ; Petrosus fons (1247) ; apud petram fontem (vers 1260) ; Pierrefonz (XIIIe) ; la mesure de Pierre fonz (1269) ; apud Petram fontis (1302) ; Pierreffons (1304) ; Pierrefont (1308) ; prepositure Petrefontis (1309) ; apud Petram fontem in Valesia (1327) ; de maioria Petre fontis (1332) ; la porte de pierrefons (1359) ; Pierrefonts (1470) ; Pierrefont (1470) ; Pierreffons (1480) ; prioratus conventualis de S. Sulpiciis de Petrafonte (XVe) ; Pierrefond (1663) ; Pierrefonds (1840) ; Pierrefonds-les-Bains (1928)[25].
Le village de Pierrefonds a emprunté son nom (Petri fonte) à la fontaine Saint-Sulpice, dans la crypte de l'église homonyme[26].
Le centre du village se situe non loin de vestigesgallo-romains au mont Berny (quartier de la Queue-de-Saint-Etienne, partagé avec la commune deSaint-Etienne-Roilaye - et non le quartier du Mont Berny à 900 m au nord-est). Ces habitations, rassemblées en occupation dense autour d'unfanum, auraient été construites au carrefour de lavoie romaineSoissons-Beauvais parChamplieu (futurechaussée Brunehaut) et Soissons-Beauvais par le gué deCompiègne. Le site se trouve à la lisère des marais que recouvrent aujourd'hui laforêt de Compiègne[27],[28] et marque la limite occidentale du Soissonnais que contrôle lapeuplade gauloise desSuessions. La forêt de Compiègne, avant l'arrivée des romains, est essentiellement une zone de contact pour lesSuessions,Bellovaques etSilvanectes et sert deno man's land pacificateur avant la mise en place de laPax romana[29].
Le sanctuaire de source de "La Folie", sur la commune de Pierrefonds, est également près de lavoie romaine[30]. Il a livré des monnaies gauloises et romaines, des statuettes en terre cuite et en bronze, des vases et des ornements divers[31].
AuXe siècle, l'ancienchâteau aurait été détruit. Le nouveau château est construit plus à l'ouest près de la forêt sur une butte. Le village s'installe à son pied. Le fort devient puissant, protège de nombreux monastères ou villages et lève des impôtsféodaux.[réf. nécessaire]
AuXIe siècle, sous NivelonIer (mort vers1072), laseigneurie comprend une partie des forêts de Compiègne (alors nommée forêt de Cuise) et de Retz, Chelles, Couloisy, Croutoy, Haute-Fontaine, Jaulzy, Saint-Étienne, Retheuil, Montigny-Langrain, Taillefontaine, Mortefontaine, etc.[réf. nécessaire]
Le village, devenu ville d'eaux sous le nom dePierrefonds-les-Bains, connut un fort engouement auSecond Empire, avec la restauration du château, et au début de laTroisième République avec la construction de lagare ferroviaire. Pierrefonds compta alors jusqu'à neuf hôtels et 200 000 visiteurs annuels, une fréquentation réduite de moitié au début desannées 2000.
Le village fut également connu, au début duXXe siècle, pour sa production de poteries degrès et leurs remarquables glaçures à cristallisations étoilées. La fabrication, débutée en1903, cessa en1986. Les pièces restent très recherchées par les collectionneurs.
L'endettement de Pierrefonds au peut s'évaluer à partir de trois critères : l'encours de la dette[Note 11], l'annuité de la dette[Note 12] et sa capacité de désendettement[Note 13] :
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[36].
En 2022, la commune comptait 1 888 habitants[Note 14], en évolution de +3,79 % par rapport à 2016 (Oise : +0,87 %,France horsMayotte : +2,11 %).
La population de la commune est relativement jeune.En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à30 ans s'élève à 33,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à60 ans est de 25,8 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait928 hommes pour911 femmes, soit un taux de 50,46 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,89 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[39]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
1,0
90 ou +
1,8
6,8
75-89 ans
8,9
15,6
60-74 ans
17,5
22,4
45-59 ans
23,3
17,6
30-44 ans
17,9
19,7
15-29 ans
15,6
16,9
0-14 ans
15,0
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2021 en pourcentage[40]
Lechâteau de Pierrefonds, rue Viollet-le-Duc (classé monument historique parliste de 1862,site inscrit par arrêté du[41]) : Un château existe à Pierrefonds au plus tard vers le milieu duXIIe siècle, et il a peut-être été édifié par le premierseigneur connu de Pierrefonds, Nivelon. Le château est remplacé par une construction plus vaste sousLouis d'Orléans à partir de1393. Bien que le chantier progresse rapidement, les corps de logis ne sont pas achevés lors de l'assassinat du duc d'Orléans en1407, mais le château remplira bien sa mission, qui est la surveillance des échanges commerciaux entre lesFlandres et laBourgogne. En1616, il appartient au ducFrançois-Annibal d'Estrées, opposant à l'accession au pouvoir deLouis XIII.Richelieu faitassiéger le château de Pierrefonds jusqu'en1617. Le château est pris et démantelé sur ordre du nouveau roi, puis tombe en ruines.NapoléonIer s'y intéresse et le rachète en1810, mais il faut attendre leSecond Empire et l'année1857 pour voir commencer sa restauration sous l'initiative deNapoléon III. Il confie la direction des travaux à l'architecteEugène Viollet-le-Duc, qui va outre les réalités historiques et crée un nouveau château reflétant sa propre vision duMoyen Âge. Après sa mort en1879, son gendreMaurice Ouradou prend son relais jusqu'à sa propre disparition cinq ans plus tard. Le château est alors presque achevé. Voulu par Napoléon III comme résidence occasionnelle et musée, il est finalement ouvert comme musée sous laTroisième République. De dimensions impressionnantes, le château occupe au sol la forme d'un pentagone et est flanqué par huit tours, dont ledonjon avec le corps de logis attenant à l'ouest. La chapelle occupe l'intérieur de la tour orientale. L'ouest, le nord et le nord-est de la cour intérieure sont occupés par des bâtiments abritant des salles de casernement, et surtout la salle des Preux au premier étage, et la salle des Gardes au rez-de-chaussée de l'aile occidentale. Le sous-sol abrite une collection de reproductions de sculptures funéraires baptisée lebal des gisants. Alors que l'extérieur du château affiche une architecture militaire influencée par le stylegothique, laRenaissance domine les façades orientées vers la cour et une grande partie des pièces. Les finitions et la sculpture ont fait l'objet de soins particuliers, mais le château n'a jamais été meublé. Le château est toujours un musée géré par leCentre des monuments nationaux (CMN)[42].
L'église Saint-Sulpice', rue Louis-d'Orléans (classée monument historique par liste de 1862[43]) : de stylegothique, elle associe unchœur avec deuxcollatéraux duXIIIe siècle à une double nefflamboyante de la fin du Moyen Âge. L'édifice est toutefois d'origine beaucoup plus ancienne que les parties gothiques ne le suggèrent. La fondation par leseigneurNivelon et le début des travaux remontent aux années 1060, et le chœur de la première église romane devait être achevé au début duXIIe siècle. N'en font preuve que les troisarcades faisant communiquer les troisvaisseaux du chœur avec les deux nefs, et à plus forte raison lacrypte en dessous du chœur, abritant la tombe deNivelon et la source thermale ayant donné son nom à Pierrefonds. Alors que la façade occidentale, le portail septentrional et leremplage des fenêtres ont été très soignés, l'intérieur témoigne d'une construction hâtive sans voûtement et sans la moindre ornementation. Les nefs s'accordent mal avec le chœur, prévue à la base pour une nef simple accompagnée debas-côtés. En même temps, l'église est spacieuse et bien éclairée, et lescharpentes encarène renversée du chœur sont d'un bel effet. Très endommagée lors de laPremière Guerre mondiale, le chœur actuel est en grande partie le produit d'une reconstruction à l'identique lancée en1926. Sinon, l'élément le plus récent est l'étage debeffroi et le couronnement du clocher, achevé en1557 dans unearchitecture Renaissance très sophistiquée. Après son classement en 1862, l'église a été déclassée, puis classée de nouveau par arrêté du et par arrêté du. Duprieuré adjacent ayant dépendu de l'abbaye de Marmoutier, ne reste qu'une porte fortifiée et de rares vestiges[44].
L'anciennegare de Pierrefonds, allée des Tilleuls (inscrite monument historique par arrêté du[45]) : la gare de Pierrefonds se situe sur l'ancienneligne de Rethondes à La Ferté-Milon, tronçon d'un itinéraire devant relierAmiens àDijon. Le bâtiment voyageurs est édifié dans le site du Beaudon par l'architecte Charles Lecoeur, recommandé par le princeRadziwiłł, propriétaire de l'hôtel des Bains. Les travaux démarrent en1883 avec le remblaiement du site. Le bâtiment est édifié selon un plan de base établi par la Compagnie, mais l'architecte choisit de remplacer la brique par despierres de taille appareillées. Les tuiles mécaniques laissent la place à des ardoises de zinc en écaille. Les installations comprennent une halle à marchandises et, en face, un petit château d'eau servant à l'alimentation des machines à vapeur. La nouvelle gare de « Pierrefonds-les-Bains » est inaugurée le, et contribue à la fréquentation touristique croissante du site, en particulier grâce à la présence du château de Pierrefonds et à l'établissement thermal. La ligne est fermée au trafic voyageurs le. Le1er juillet1966, le trafic de marchandises cesse à son tour. La voie ferrée est neutralisée l'année suivante.
Le domaine du Bois d'Aucourt, situé en écart à l'ouest du bourg, au bout d'un chemin privé partant de la RD 85 (inscrit monument historique par arrêté du[46]) : la propriété entourée par la forêt a été aménagée pendant lesannées 1890 parAdolphe Clément-Bayard dans un style anglo-normand, et est aujourd'hui une propriété privée[47].
Le monument aux infirmières, place de l'Hôtel-de-Ville : Il est dédié aux infirmières mortes sur les champs de bataille pendant laPremière Guerre mondiale et plus particulièrement à Élisabeth Jalaguier, arrivée à Pierrefonds en1918 et touchée mortellement par unobus trois mois avant l'Armistice. Élevée à titre posthume au rang de chevalier de laLégion d'honneur parGeorges Clemenceau en1919, un médecin de Pierrefonds et une infirmière décident de lui rendre hommage par un monument et organisent une souscription en1933. Un comité présidé par le présidentAlbert Lebrun se constitue, mais le monument n'est érigé qu'en1955 et a été racheté par la commune en1996[48].
L'ancien établissement thermal, rue Louis-d'Orléans : après la découverte de sources sulfureuses parLouis-Joseph Deflubé dans son jardin en1846, et la reconnaissance des vertus des eaux pour soulager les maladies des organes respiratoires, les douleurs articulaires et les maladies de la peau, il transforme sa propriété enétablissement thermal. Il comprend l'hôtel des Bains et un centre de soins, proposant des bains et des douches et des inhalations respiratoires. L'eau est également administrée comme boisson. Les loisirs et l'agrément ne sont pas non plus oubliés, avec un casino, et des salles de jeux, de repos et de lecture. L'essor de l'établissement thermal et de toute la station de Pierrefonds s'accélère avec l'inauguration de la voie ferrée en1884. La Première Guerre mondiale interrompt brusquement ce développement, et l'hôtel est transformé temporairement en hôpital militaire auxiliaire[49].
L'institut Charles-Quentin, rue Louis-d'Orléans : ce lycée privé d'enseignement général et agricole a comme domicile une grande demeure bourgeoise aux allures de château datant de1865, dessiné par Viollet-le-Duc. Il est entouré d'unjardin anglais de13ha dans un beau cadre paysager avec vue sur le château, comportant unjardin botanique et unarboretum d'une soixantaine de variétés ouverts à la promenade. Plusieurs jardins thématiques s'y sont ajoutés : un « jardin de Curé », « jardin d'Ombre », un potager pédagogique et un jardin d'inspiration méditerranéenne[50].
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Jean-Baptiste Camille Corot, peintre, auteur d'uneVue du château de Pierrefonds (vers 1840-1845), conservée au musée des Beaux-arts deQuimper.
Paul Huet etEugène Lavieille, peintres, sont venus peindre des vues du château à Pierrefonds. Lavielle avait souhaité être impliqué dans les travaux de restauration du château.
Pouvanaa Oopa, homme politique indépendantiste dePolynésie française, a passé trois années assigné à résidence à l'établissement para-médical de La Roseraie, à Pierrefonds.
François Beauvy,Le Siècle de Pierrefonds, 1832-1914, Trosly-Breuil, Éd. du Trotteur ailé,, 159 p.(ISBN978 2-917778-23-4)
Selon l'éditeur, le livre de François Beauvy« est rehaussé d'illustrations en noir et blanc ou en couleur, qui mêlent le passé au présent et invitent à une véritable redécouverte de Pierrefonds. »
↑La « section de fonctionnement » est constituée des dépenses courantes et récurrentes nécessaires au bon fonctionnement des services municipaux et à la mise en œuvre des actions décidées par les élus, mais sans influence sur la consistance dupatrimoine de la commune.
↑Les « charges de personnel » regroupent les frais derémunération des employés par la commune.
↑Les « dépenses d'équipement » servent à financer des projets d'envergure ayant pour objet d'augmenter la valeur dupatrimoine de la commune et d'améliorer la qualité des équipements municipaux, voire d'en créer de nouveaux.
↑Les « remboursements d'emprunts » représentent les sommes affectées par la commune au remboursement du capital de la dette.
↑L'« encours de la dette » représente la somme que la commune doit auxbanques au de l'année considérée
↑L'« annuité de ladette » équivaut à la somme des intérêts d'emprunts de la commune et du montant de remboursement du capital au cours de l'année
↑La « capacité dedésendettement » est basée sur le ratio suivant défini par la formule :ratio =encours de la dette⁄capacité d'autofinancement. Ce ratio montre, à un instant donné, le nombre d'années qui seraient nécessaires au remboursement des dettes en considérant les ressources de Pierrefonds.
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
Base de données du ministère du Budget, relative aux comptes des communes
↑a etbDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale »,Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography,no 501,(DOI10.4000/cybergeo.23155).
↑Jacques Harmand, « Deux «uici» suessions en forêt de Compiègne : le pseudo Mont-Berny et la Carrière-du-Roi »,Bulletin de la Société nationale des Antiquaires de France, séance du 17 décembre 1975,,p. 254-289(lire en ligne).
↑a etbGeorge PierreWoimant, « Le sanctuaire antique de Champlieu, commune d'Orrouy (Oise) »,Revue archéologique de Picardie,vol. 1,no 2,,p. 63-198(lire en ligne). Voir p. 66.
↑DanySandron, « L'église Saint-Sulpice de Pierrefonds à l'époque romane »,Groupe d'étude des monuments et œuvres d'art de l'Oise et du Beauvaisis - L'Art roman dans l'Oise et ses environs (actes du colloque organisé à Beauvais les 7 & 8 octobre 1995), Beauvais,,p. 57-65.