Un ensemble de petits ruisseaux est discernable sur les anciennes cartes, mais il a été enterré au fil de l'histoire afin de lutter contre les risques d'inondation tout en permettant le drainage des terrains.
Statistiques 1991-2020 et records LE BOURGET (95) - alt : 49m, lat : 48°58'02"N, lon : 2°25'39"E Records établis sur la période du 01-07-1920 au 03-12-2023
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
Au, Pierrefitte-sur-Seine est catégorisée grand centre urbain, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8].
Cette section contient une ou plusieurslistes. Le texte gagnerait à être rédigé sous la forme de paragraphes synthétiques. Les listes peuvent demeurer si elles sont introduites par une partie rédigée et sourcée, de façon à bien resituer les différents éléments (novembre 2023).
La ville de Pierrefitte-sur-Seine est divisée en deux secteurs — les quartiers Nord et les quartiers Sud — et compte neuf quartiers.
Les quartiers Nord :
les quartiers de la Cité Rose : (Quartier des Poètes, Cité Jules Chatenay/Parmentier, Cité Paul Lafargue, Résidence Alcide d'Orbigny)[Note 5].
Le quartier des Poètes progressivement démoli et reconstruit grâce à un Programme de rénovation urbaine porté par l'ANRU à compter des années 2010. Le dernier nouvel immeuble, en accession à la propriété, a été inauguré en janvier 2025.
Quartier de labutte Pinson : La butte Pinson est une desbuttes-témoins formées par l'érosion de lacuesta duBassin parisien à l'époque de l'Oligocène, qui a également formé, au nord de Paris, les buttes de Montmorency ou d'Écouen. Elle est située à une douzaine de kilomètres au nord de Paris, sur les communes de Pierrefitte,Villetaneuse (Seine-Saint-Denis),Groslay etMontmagny (Val-d'Oise) et qui est la première butte au nord de Paris aprèsMontmartre.'
Quartier du Vieux Pierrefitte (centre-ville) :
La rue de Paris,
Cité Jean Vilar (résidence Jean Vilar, résidence Jean Jaurès et la Place du Marché),
Cité de la Fontaine Rosée,
ZAC Briais Pasteur.
Quartier des Blancs Chandins.
Quartier de la Gare :
Cité des Marronniers,
Cité Colombier Pasteur.
Quartier Pottier :
Cité Pottier,
Cité Jaune.
Quartier Galiéni:
Cité A.G.F (la tour),
Le Barrage de Pierrefitte.
Les quartiers Sud
Le Quartier des Joncherolles : Le quartier des Joncherolles est retenu fin 2014 dans la seconde phase du programmeANRU qui prévoit notamment la destruction de la copropriété dégradée des Fauvettes et la réhabilitation des logements sociaux des Joncherolles.
En 2021, avant la fusion avec Saint-Denis, le nombre total delogements dans la commune était de 12 285, alors qu'il était de 10 594 en 2016 et de 10 037 en 2011[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Pierrefitte-sur-Seine en 2021 en comparaison avec celle de la Seine-Saint-Denis et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi la faible proportion desrésidences secondaires et logements occasionnels (0,7 %) par rapport au département (1,3 %) et à la France entière (9,7 %).
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %)
0,7
1,3
9,7
Logements vacants (en %)
5,7
6,1
8,1
La commune respecte les obligations qui lui sont faites par l'article 55 de laloi SRU de disposer d'au moins 25 % de son parc de résidences principales constituées delogements sociaux[12].
LaRN 1 a été reconfigurée lors de la création de laligne T5 en 2013.
Pierrefitte est située près des autoroutesA 1 etA 86. Elle est traversée par l'ex-RN 1 (plus de 50 000 véhicules par jour recensés avant 2013[13],[Quand ?] c'est-à-dire avant la mise en service du T5) et laRN 301 (désormais numérotée D 901), et est le point de départ de l'ancienneRN 16 (désormais numérotée D 316 dans le Val-d'Oise) qui mène àClermont (Oise). Autrefois, elle aboutissait àDunkerque.
Longtemps mal desservie par les transports en commun, la ville a bénéficié progressivement de l'arrivée du RER (1987), du métro (1998), des tramways T5 (2013) et T11 (2017) ainsi que d'une amélioration progressive du réseau de bus.
Jusqu'en avril 1991, seul un bus sur trois de la ligne debus 150 venant de porte de la Villette allait au-delà de Mairie de Stains pour rejoindre Villetaneuse via Pierrefitte. Cette proportion est passée à un sur deux en 1991[14]. À cette même époque, le sud de la ville attend le prolongement de laligne 13 du métro à Saint-Denis université, en limite de Pierrefitte[15]. Ce projet se concrétise en1998 à la faveur des chantiers obtenus dans la foulée de la création duStade de France[16].
LaGare de Pierrefitte - Stains est une des stations duRER D depuis le[17]. En juillet 2017, la gare, qui a reçu un nouveau quai quelques semaines plus tôt, est mise en correspondance avec laligne de tramway T11[18]. La nouveauté la plus structurante pour Pierrefitte est cependant l'arrivée en 2013[19] dutramway T5 qui traverse la ville du nord au sud sur l'ancienne RN1. Son succès immédiat conduit à plusieurs renforts successifs de sa fréquence[20].
Sur le plan routier, la RD 28 reliant Saint-Denis université à Villetaneuse a vu son tronçon Est inauguré en 2014[21], et son tronçon central ouvrir en 2020[22].
La ligne detramway sur pneuT5. Depuis le, le tramway relie la station Marché de Saint-Denis (tramway d'Île-de-France) à lagare de Garges-Sarcelles, et dessert du nord au sud la ville, et notamment son centre, ainsi que le quartier des Poètes, le Petit Pierrefitte, et lecimetière des Joncherolles.
Le nom de la localité est attesté, dès leIXe siècle, (l'abbé deSaint-Denis faisant mention des vignobles depetra ficta dans ses écrits en862)[23].
Pierrefitte (mentionné anciennementpetraficta en 862) est une formation toponymique romane qui signifierait « pierre fichée » (en latinPetraficta), c'est-à-dire « pierre dressée et plantée ». Il se réfère soit à une borne, soit à un mégalithe. Il équivaut aux typesPierrefitte.
Le nom de Pierrefitte se voit officiellement complété de la mention « sur-Seine » par l'administration en 1920 afin de faciliter le travail de la poste et de spécifier le rattachement de la commune au département de laSeine, alors que la ville n'est pas baignée par lefleuve éponyme.
La commune est ainsi décrite en 1841 dans laNouvelle histoire de Paris deJulien-Philippe de Gaulle :« Pierretitte, à 5 lieues nord de Paris, n'est remarquable par aucun monument. C'est un village dont l'histoire n'a rien de particulier. Il renferme de jolies maisons. Sa seigneurie relevait, auXIIIe siècle, de l'abbaye de Saint-Denis. Elle en fut détachée plus tard, et donnée pendant l'invasion anglaise à un nommé Fréron qui avait favorisé l'entrée desBourguignons dans Paris[25] ».
En 1896, Pierrefitte est un bourg de 2 468 habitants dont l’activité économique dépend principalement de deux entreprises, l’une de tentures murales, diteLincrusta Walton(en) avec 40 ouvriers, et l’autre de matériel de chemin de fer avec 30 ouvriers, auxquelles s’ajoute une maison d’épicerie en gros. L'agriculture est consacrée à la culturemaraîchère et à l’horticulture, qui ont remplacé la fabrication du vin, les plants de vigne ayant peu à peu disparu.
Le bourg compte alors 383 maisons (dont 51 de deux étages et cinq de trois étages et plus) constituant 717 logements, ainsi que 32 ateliers et 47 commerces[31].
L'urbanisation de Pierrefitte a été fortement développée avec un accroissement de l'offre de trains de banlieue par laCompagnie des chemins de fer du Nord et le développement des quartiers delotissement ouvriers, laButte Pinson étant devenue un lieu où plusieurs guinguettes étaient aménagées pour le plaisir des habitants ainsi que des parisiens[Note 6].
laligne PC de Mairie dePierrefitte àporte de Clignancourt, créée par laTPDS, circule du au. Lors de la fusion des compagnies de tramways au sein de laSTCRP de 1921, cette ligne prend leno 65[33], et, en 1926, elle transporte 1 500 000 voyageurs par an.
laligne 11b de laSTCRPGare de l'Est - Barrage de Pierrefitte, créée le, passe alors parcarrefour Pleyel, la porte de Paris, l'église Saint-Denys-de-l'Estrée et la place du Général-Leclerc àSaint-Denis (Seine-Saint-Denis), et transporte 4 400 000 voyageurs en 1926. En 1930 environ, il y a 7 départs à l'heure de pointe et 3 en heure creuse pour la porte de Clignancourt (ligne 65) en correspondance avec le métro, ainsi que la place de la République (11b). Il faut alors 34 minutes pour faire le trajet Pierrefitte - Porte de Clignancourt[34].
En janvier 1940, pendant laDrôle de guerre, six trains sanitaires sont stationnés audépôt des Joncherolles. Des officiers, soldats et infirmiers sont logés chez les habitants.
Lors de laBataille de France, le, les Allemands entrent dans la ville. Certains noms de rue changent, comme leboulevard Chamberlain qui devient leboulevard Maréchal-Pétain (Aujourd'hui,boulevard Charles-de-Gaulle).
Le, lesForces françaises de l'intérieur (FFI) s'affrontent aux occupants. Deux blindés allemands sont jetés dans un fossé de la ligne de chemin de fer, un soldat allemand est tué avenue de la République. Neuf otages sont fusillés en représailles.
Pierrefitte est libérée d'abord par les FFI le, puis par la2e division blindée entrée à Pierrefitte le[40]. Ce même jour, lecommandant Massu aborde laredoute de la Butte-Pinson vers14 h et se heurte à une vive résistance. La bataille dure jusqu'à19 h avant que la position ne tombe[41].
À laLibération, le 27 août 1944 par la division Leclerc, Raymond Picard prend la succession des maires nommés par lerégime de Vichy. A noter que Raymond Dirr, désigné par Vichy, a été abattu en pleine rue par des Résistants. Un tableau reprenant l'ensemble des maires de Pierrefitte et leurs adjoints depuis la Révolution française a été installé à l'occasion des Journées européennes du patrimoine 2024 à l'entresol de l'Hôtel de ville[réf. nécessaire].
Le parc de la République en 2019. Au loin, la tour de l'avenue Gallieni.La médiathèque Flora-Tristan.
Dans le cadre de son développement et des besoins de logements des années 1970, la ville avait confié aux architectes Yves et Luc Euvremer (1978–1983 en collaboration avecJean Renaudie) et Mila et Geronimo Padron-Lopez la réalisation d'un ensemble d’habitat social d'environ 900 logements réalisés entre 1973 et 1994 dans le cadre de laZAC du Barrage dont les premières études remontent à 1963[43].
Compte tenu des grandes difficultés sociales et des nombreux dysfonctionnements de cet ensemble, la municipalité,Plaine Commune et l'ANRU ont décidé en 2007 sa démolition dans le cadre de la réalisation d'une nouvelleZAC, ce qui a amené une importante mobilisation d'architectes, émus par le sort promis à cet habitat social desannées 1980 qu’ils considèrent comme une œuvre architecturale et urbaine majeure.
Letribunal administratif de Montreuil a rejeté leur recours, estimant« que la réalisation de la cité Desnos, si ce n’est sa conception même, n’a pas atteint les objectifs poursuivis par son concepteur en matière d’écologie et de qualité de vie de ses habitants ». Après avoir relevé les spécificités formelles de ces logements,« le tribunal en déduit naturellement que la cité Desnos ne peut être regardée comme un symbole d’une période de l’histoire de l’architecture, qui ferait partie d’un patrimoine à protéger ou à mettre en valeur. »[44],[45],[46]. Les bâtiments sont démolis en 2010-2011 après le relogement de l'ensemble des habitants, et l'aménagement de la ZAC des Poètes[47],[48] s'est poursuivi depuis, avec la création de nouveaux immeubles d'habitation et d'équipements publics (Centre social et culturel, grand gymnase baptisé Palais des sports Pierre Machon, groupe scolaire Danielle Mitterrand, extension et rénovation du vieux groupe scolaire Eugène Varlin, nouvelles voiries reliant le quartier à la commune voisine de Sarcelles ...)
En avril 2023, les maires de Pierrefitte-sur-Seine Michel Fourcade etSaint-DenisMathieu Hanotin annoncent entamer la procédure de création pour janvier 2025 d'unecommune nouvelle devant faire de Pierrefitte-sur-Seine unecommune déléguée[49],[50]. La fusion est votée par les majorités socialistes et écologistes des deux villes le, le conseil municipal de Pierrefitte-sur-Seine s'exprimant en faveur par 26 voix sur 36 et celui de Saint-Denis, en faveur par 45 voix sur 55[51]. Lepréfet de la Seine-Saint-Denis prononce la fusion par un arrêté du avec prise d'effet au, et qui crée les communes déléguées de Saint-Denis et de Pierrefitte-sur-Seine[52],[53],[54],[55]. Saint-Denis étant de justesse sous la barre des 150 000 habitants en janvier 2025, elle bénéficie de la dotation d'amorçage prévue pour les communes nouvelles, représentant 6,75 millions d'euros sur trois ans[56].
Le maire de Saint-Denis affirme qu'il s'agit d'un« choix historique qui permettra aux deux communes d’être, ensemble, plus fortes financièrement et de peser davantage au sein de la région face à la capitale » ». Cette fusion est critiquée par les oppositions municipales, qui la présentent comme une absorption de Pierrefitte par Saint-Denis, et qui estiment que la fusion serait un stratagème électoral devant faciliter la réélection de Mathieu Hanotin auxmunicipales de 2026 et à la présidence dePlaine Commune. Le député communisteStéphane Peu rappelle que« cette proposition n’existait pas dans les programmes lors desélections municipales de 2020 »[57].
Dans le cadre de la mise en œuvre de la volonté gouvernementale de favoriser le développement du centre de l'agglomération parisienne comme pôle mondial est créée, le, lamétropole du Grand Paris (MGP), dont la commune est membre[59].
Depuis 1945, la ville n'a compté que cinq maires : Raymond Picard, Roger Fréville (PCF), Daniel Bioton (PCF),Catherine Hanriot (PCF) etMichel Fourcade (PS). La ville a eu le même premier maire-adjoint de 1983 à 2008, François Colombani, militant duPCF (qui était déjà second adjoint de 1977 à 1983).
Figure marquante de l'histoire locale, Roger Fréville avait fait du sport une de ses priorités dans le cadre des reconstructions d'après-guerre, c'est notamment pour cette raison que son nom a été donné au complexe sportif, rue Nungesser-et-Coli, inauguré en 1994[61].
Après avoir ravi le siège de conseiller général ducanton de Pierrefitte-sur-Seine au mairePCF Catherine Hanriot lors descantonales de 2004, Michel Fourcade arrive en tête du premier tour desmunicipales 2008 à la tête d'une liste de rassemblement notamment duPS, desVerts et de représentants de la société civile contre lePCF. Au second tour, la liste du PCF a fusionné avec celle conduite par le socialiste Michel Fourcade et cette liste d'union a remporté le second tour du 16 mars 2008 par 65,9 % des exprimés face à la liste Bazeli (UMP)[62].
Lors du premier tour desélections municipales de 2014 dans la Seine-Saint-Denis, la liste PS-EELV menée par le maire sortant Michel Fourcade obtient une large majorité absolue des suffrages exprimés, avec 2 451 voix, 51,27 %, 27 conseillers municipaux élus dont 5 communautaires), devançant les listes menées respectivement par[63] : - Farid Aïd (FG, 1 329 voix, 27,80%, 5 conseillers municipaux élus dont 1 communautaire) ; - Pascal Kouppe (UDI, 1 000 voix, 20,92 %, 3 conseillers municipaux élus). Lors de ce scrutin, 28,25 % des électeurs se sont abstenus
Lors du second tour desélections municipales de 2020 dans la Seine-Saint-Denis[64], la liste PS - GRS - RDG menée par le maire sortant Michel Fourcade — qui bénéficie de la fusion de la liste EÉLV - AÉI menée par Dominique Carré — obtient lamajorité absolue des suffrages exprimés, avec 1 851 voix (51,87 %, 30 conseillers municipaux élus dont 1 métropolitain), devançant largement les listes menées respectivement par[65] : - Farid Aïd (PCF - LFI - PRG - FG - PG — fusionnée avec la liste DVG de Fanny Younsi — 1 316 voix, 36,88 %, 7 conseillers municipaux élus) ; - Pascal Kouppé de K Martin (UDI - LR - LC, 401 voix, 11,23 %,2 conseillers municipaux élus). Lors de ce scrutin marqué par lapandémie de Covid-19 en France, 67,98 % des électeurs se sont abstenus.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[79],[Note 7].
En 2022, la commune comptait 33 670 habitants[Note 8], en évolution de +13,72 % par rapport à 2016 (Seine-Saint-Denis : +4,67 %,France horsMayotte : +2,11 %).
Cette section doit êtreactualisée. Des passages de cette section sont obsolètes ou annoncent des événements désormais passés.Améliorez-la oudiscutez-en.
En 1999, 64,5 % des jeunes de moins de 18 ans étaient d'origine étrangère (au moins un parent immigré). En 2018, d'après un sondage mené par l'INSEE, il a été relevé que 33,5% de la population de Pierrefitte-Sur-Seine est étrangère et 41% de ses habitants sont des immigrés[81].
En termes de structures d'accueil des enfants en bas âge jusqu'à leur majorité, la ville de Pierrefitte dispose en 2020[82] :
deuxcrèches municipales : les crèches collectives Eugénie-Cotton et Louise-Michel ; deux halte-jeux (Françoise-Dolto et Donald Winnicott) ; la crèche familiale Jeanne-Alexandre ; deux crèches associatives (l'Arche de Noë et l'Envol) ; la maison d'assistantes maternelles Arc-en-ciel ; deux micro-crèches.
Quatre écoles maternelles : école Ethel-Rosenberg, école des Fortes Terres, école Henri-Wallon, école Jacques-Prévert.
L'école élémentaire Roselyne-Boivin, à laquelle doit être adjointe une maternelle
Six groupes scolaires associant maternelle et primaire :
Écoles Eugène-Varlin et Danielle-Mitterrand, dans les quartiers nord.
École Jean-Jaurès, au centre-ville/Butte-Pinson.
École Frédérick-Lemaître, près de la gare RER.
Écoles Joliot-Curie (une maternelle, deux primaires) et Anatole-France au sud de la ville.
le collège Gustave-Courbet[83] qui se situe rue François-Mitterrand (ex-rue Ernest-Fabre), au sud de la ville et dans le quartier duPetit-Pierrefitte. À son inauguration, le, le collège Gustave-Courbet, conçu par les architectesJacques Kalisz et Gilbert-Paul Bertrand, était uncollège d'enseignement secondaire (CES), dont la réalisation est intervenue au moment des grands chantiers éducatifs des années 70, destinés à accueillir l'arrivée d'une nouvelle classe d'âge dans le second degré. L'établissement scolarisait alors 1200 élèves, dont 96 en section d'éducation spécialisé (SES). Les classes SES ayant disparu en 1996, le collège accueille désormais unesection d'enseignement général et professionnel adapté (SEGPA). Ses nouveaux locaux reconstruits ont été inaugurés en 2019.
le collège Pablo-Neruda[84], conçu par les architectes BMC architectes, Arnaud Bical, Rémi Martinelli, Laurent Courcier, livré en 1993 et qui, lui, est situé au nord de la commune.
Le collège Lucie-Aubrac est lui situé àVilletaneuse, mais, situé en limite de Pierrefitte, il est également fréquenté des élèves de la ville[85] conçu par Jacques Soucheyre. Ce collège a été inauguré en 2003.
Le lycée polyvalent Maurice-Utrillo situé àStains accueillait la plupart des élèves pierrefittois, mais un nouveau lycée, baptisé Joséphine Baker, situé à Pierrefitte, aux abords duT11 et duRER D, a été mis en service par la Région Île-de-France à la rentrée 2021 et accueille une partie croissante des jeunes de la commune[86],[87].
La ville est dotée de trois équipements majeurs, le centre aquatiqueClaire-Supiot réalisé par le département dans le cadre de sonplan piscine 2016-2021[88],[89],[90], et inauguré en mai 2022[91], le complexe sportifRoger-Fréville et le palais des sports Pierre-Machon, ainsi que d'autres gymnases, terrains d'évolution et de courts de tennis.[Quand ?]
Le Pierrefitte FC est le club de foot de la ville et évolue majoritairement au niveau départemental du district de la Seine-Saint-Denis[92]. Le club a par ailleurs remporté la Coupe départemental de Seine-Saint-Denis en Futsal Sénior, lors de la saison 2014-2015[93]. L'Association sportive de Pierrefitte, forte de 11 sections regroupant autant de disciplines sportives, est connue pour ses résultats en athlétisme, étant le club formateur de jeunes évoluant au niveau national, voire international.
La course cyclisteParis-Roubaix a débuté pendant longtemps devant un café de laRN 1, à l'entrée de Pierrefitte[94]. Le départ de la course cycliste Paris-Lillers y est également attesté de 1937 à 1939[95].
Depuis 1975, le jeudi de l'ascension est l'occasion d'une grande course à pied populaire nommée les Foulées pierrefittoises[96].
La commune organise pour la première fois en 2021 un festival intitulé Festiv’art[97] en collaboration avec le conservatoire de musique et de danse de Pierrefitte[98].
La maison du peuple[99], accueille diverses activités culturelles[100] : des concerts, des événements organisés par des associations, des pièces de théâtre, mais aussi la saison culturelle[101].
La communauté locale dispose d'unesynagogue et célèbre les fêtes juives[105].
Les lieux deculte musulman sont l'Association Islamique Pakistanaise[106] et une mosquée en construction sur un terrain acquis en 2017 rue Séverine[107],[108].
La commune propose un large choix de cabinets médicaux libéraux et des établissements de santé :
Le Centre Municipal de Santé (CMS) Jean-aimé Dolidier[109] qui accueille un large panel de soins tels que la médecine générale, la médecine spécialisée, un service infirmier, une diététicienne, des services de prévention et un accueil dédié aux femmes victimes de violences.
Un centre de traitement et d'accueil des polytraumatisés crâniens.
La clinique de soins de suites de Pierrefitte-Sur-Seine qui propose un service d’hospitalisation[110].
La commune a été moins marquée que les autres villes de Plaine Commune par la présence de la grande industrie depuis la fin duXIXe siècle jusqu'à la désindustrialisation de l'Île-de-France. D'importantes entreprises ont néanmoins eu un rôle économique à Pierrefitte.
Jusqu'en 2001, Pierrefitte a abrité les activités de l'entreprise decaviar et poissons fumésPetrossian[111].
En 2007-2008 on y dénombrait 423 entreprises. Les principales sont lesCartonnages Guillaume (95 emplois, fabrication de coffrets pour l'industrie du luxe),Delage Aéro (90 salariés, construction de pièces pour moteurs d'avions) et leCDIF (80 salariés, éco-entreprise : centre de tri)[112].
Elle dispose également de plusieurs équipements importants de santé, avec le Centre médico psychologique (psychiatrie), dépendant de l’Établissement Public de Santé de Ville Evrard, laMaison de l'Alisier (foyer d’accueil pour les traumatisés crâniens), laclinique Victor Hugo Clinalliance, qui a ouvert en 2008[113], ainsi que le centre municipal de santéJean-Aimé-Dolidier.
Plaine Commune a aménagé la zone d'activités le long de la future RD 28 prolongéeZAE de la Gare militaire, dont le promoteur est Spirit. On y trouve notamment le siège social et la brasserie Frogbeer[114] :
La zone des Tartres
Desservie par la RD28, la zone des Tartres est un secteur aux limites de Pierrefitte-sur-Seine,Stains etSaint-Denis, occupé notamment par des maraîchers et des jardins ouvriers.
Les objectifs d'aménagement de cet espace de près de110 hectares sont les suivants :
accompagner les projets existants : l’extension de l’Université Paris-VIII (équipements sportifs), l’implantation des Archives nationales (cf. § Architecture contemporaine, ci-après), les projets de RD 28 et le pôle gare de la Tangentielle Nord
valoriser l’activité économique en recherchant les meilleures localisations au regard des besoins locaux, notamment l’accueil de PME/PMI et d’entreprises artisanales, et de l’offre foncière disponible.
conforter l’habitat dans un souci de diversification de l’offre et d’accompagnement des opérations de restructuration lourde du patrimoine.
développer une dimension environnementale et paysagère du secteur dans un réseau d’échanges à l’échelle de Plaine-Commune et du département.
Les contreforts de laButte-Pinson se trouvent au nord-ouest de la commune.
Revenu dans la ville de son enfance,Maurice Utrillo y croquale Café "le Chat sans Queue" (situé sur l'actuelle avenue Lénine) ouLa Guinguette de la Butte-pinson. En 2010, son légataire testamentaire Jean Fabris - qui a rompu avec lemusée Utrillo-Valadon de Sannois - y inaugure l'espace Utrillo, au sein du centre culturel. L'association veillant à la mémoire de l'œuvre d'Utrillo une quinzaine de tableaux, 15 000 photographies et de nombreux documents[116]. Depuis 1997, le café cabaret "au trois francs six sous" se tient le premier samedi du mois place Jean-Jaurès[117]
La ville a été le lieu de tournage de deux films :
Place Jean-Jaurès, la Ville inaugure en 2016 une statue deJean Jaurès[119], réalisée par le sculpteur, peintre officiel des Armées, Virgil, grâce à une souscription populaire. Il est aussi l'auteur de ''Amour de licornes'', une statue installée sur le parvis de l'Hôtel de ville.
L’église Saint-Gervais-Saint-Protais au tout début duXXe siècle.
L’église« est située dans la Grand’Rue du village, et sa façade, légèrement en retrait, se compose, au premier plan, d'un avant-corps accusant la grandenef et, au deuxième plan, des façades des bas-côtés qui sont moins élevées et ajourées, chacune, par une fenêtre plein-cintre. L’avant-corps présente, en son milieu, une grande tour carrée dont le soubassement est percé d'une porte plein-cintre, décorée demoulures et surmontée d'une croix. Elle est encadrée de deuxpilastres composites, supportant unentablement dont l'architrave est interrompue par un tableau qui porte cette inscription : « NON EST HIC ALIUD NISI DOMUS DEI ET PORTA COELI. GEN., XXVIII, XVII ». Au-dessus de cet entablement s'élève la tour proprement dite, décorée de refends et debossages, interrompus par un cadran d'horloge. Elle est flanquée decontreforts peu saillants sur lesquels s'appuie lebeffroi ajouré de fenêtres géminées garnies d'abat-sons et surmonté d'une flèche octogonale dont les pans, aux angles de la tour, sont flanqués depyramidions. […] À l'intérieur l'église présente unenef s'ouvrant sur lesbas-côtés par cinq travées séparées par des colonnes qui supportent la retombée de voûtes plein-cintre. Au-dessus, des antes très plats, terminés par des consoles, reçoivent les poutres ornées deculs-de-lampe qui soutiennent leplafond à compartiments. Cette nef se termine, en avant de l'hémicycle dumaître-autel, par unarc triomphal décoré de fresques et de sculptures. Cet hémicycle est lui-même recouvert par une demi-coupole. Unefrise peinte contourne la nef et sépare l'étage des arcades du rez-de-chaussée de celui des fenêtres circulaires placées au-dessus de chacune d'elles. Les bas-côtés sont ajourés de cinq fenêtres plein-cintre, munies également de verrières. Ils se terminent par deuxchapelles dédiées, celle de gauche àsainte Geneviève, celle de droite à laVierge »[118].
Pierrefitte a accueilli d'illustres personnages comme legénéral baron d'Empire Moulin ou le peintreMaurice Utrillo. La ville a inspiré l'artiste qui immortalisa, dans ses premières œuvres les vignes, l'église et les rues de Pierrefitte.
Frédérick Lemaître (1800-1876), acteur, avait une résidence à Pierrefitte, devenue parc public et conservatoire municipal de musique et de danse.
La commune a par ailleurs accueilli de nombreux sportifs :Serge Nubret (1938–2011), culturiste, acteur, mort à Pierrefitte-sur-Seine,Vincent Clarico (1966-), 3 fois champion de France du 110 m haies,Samuel Nadeau (1982-), basketteur ayant évolué à Pierrefitte,Laëtitia Kamba (1987-), basketteuse ayant évolué à Pierrefitte,Lamya Matoub (1992-), championne du monde de karaté y travaille comme enseignante, le coureur de fond franco-marocainAzeddine Habz (1993-), et son confrère franco-hispano-marocainImad El Goumri (2004-).
Franck Tacito (1963-), auteur et dessinateur de bandes dessinées.
Jallal Hami (1988–2012), élève officier mort par noyade lors d'une soirée de bizutage. Né en Algérie, il a habité à partir de 1992 à Pierrefitte et y a obtenu son baccalauréat[129].
Rachid Hami (1985-), frère du précédent, acteur et réalisateur.
De gueules à trois rochers d'argent mouvant de la pointe, celui du centre plus élevé, surmonté d'un pinson d'or, au chef cousu d'azur d'un clou d'argent, accosté de deux fleurs de lis d'or
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Par ses fleurs delys d’or et leclou au centre, le blason rappelle la suzeraineté de l’abbaye royale de Saint-Denis sur la commune. Le bleu et le rouge sont les couleurs deParis et dudépartement de la Seine, duquel dépendait alors Pierrefitte. Les pierres blanches et l'oiseau au sommet de la plus haute d'entre elles évoquent laButte-Pinson et les carrières degypse[130] Dessiné par M. Louis et attribué à la Ville pararrêté préfectoral du
↑Accès au lien de l'article Wikipédia de la commune limitrophe en cliquant sur celle-ci.
↑Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
↑Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Paris comprend une ville-centre et406 communes de banlieue.
↑La Cité des Vignes Blanche àSarcelles (95), fait aussi partie de la Cité Rose, bien que la Cité se trouve en dehors de la ville de Pierrefitte
↑Les guinguettes de laButte Pinson étaient fréquentées tant par les habitants du secteur que par les parisiens. Des services de bus spéciaux leur facilitaient l'accès
↑Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations de référence postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population de référence publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
↑a etbDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale »,Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography,no 501,(DOI10.4000/cybergeo.23155,lire en ligne, consulté le)
↑« Pierrefitte-sur-Seine »,Simulateur Solidarité et renouvellement urbain (SRU), Ministères aménagement du territoire Transition écologique,(consulté le).
↑a etbMoniqueHoussin,Résistantes et résistants en Seine-Saint-Denis : Un nom, une rue, une histoire, Paris, Les éditions de l'Atelier - Monique Houssin,, 272 p.(ISBN2-7082-3730-6,lire en ligne).
↑Anne-Laure Pineau, « Saint Denis – Pierrefitte : bientôt la deuxième commune d’Île-de-France ! »,Actu-juridique.fr,(lire en ligne, consulté le).
↑Pascale Tessier, « Saint-Denis, une commune nouvelle XXL pour peser dans le Grand Paris »,La Gazette des communes,(lire en ligne, consulté le)« En actant leur décision de fusionner, Saint-Denis et Pierrefitte-sur-Seine (Seine-Saint-Denis) formeront dans moins de sept mois la commune la plus importante après Paris, sur le plan démographique. Un mariage décrété par la volonté d’investir plus et mieux. ».
↑Sarah Coulet, « C'est officiel, Saint-Denis et Pierrefitte ont fusionné »,Actu Paris,(lire en ligne, consulté le)« Le préfet de Seine-Saint-Denis a signé l'arrêté actant la fusion de Saint-Denis et de Pierrefitte. La nouvelle commune sera effective le 1er janvier 2025 ».
↑Anthony Lieures, « Démographie : après sa fusion avec Pierrefitte, Saint-Denis va gagner 6 millions d’euros »,Le Parisien,(lire en ligne, consulté le)« Le préfet de Seine-Saint-Denis a signé l'arrêté actant la fusion de Saint-Denis et de Pierrefitte. La nouvelle commune sera effective le 1er janvier 2025 ».
↑Louise Couvelaire et Laurent Telo, « Fusion entre Saint-Denis et Pierrefitte : un mariage très politique »,Le Monde, 27/12/2024 modifié le 29/12/2024(lire en ligne, consulté le)« Si les oppositions dénoncent un calcul destiné à faire réélire le maire de Saint-Denis en 2026, celui-ci s’en défend, assurant qu’il s’agit d’un « choix historique qui permettra aux deux communes d’être, ensemble, plus fortes financièrement et de peser davantage au sein de la région face à la capitale ».
↑Anthony Lieures, « Municipales : Pierrefitte devra faire la chasse « aux millions » pour se développer : Le maire (PS) sortant de cette ville de Seine-Saint-Denis, Michel Fourcade, fera face à quatre listes concurrentes pour le scrutin. Il dit ne faire «aucune promesse», sauf une : se battre pour aller chercher des financements partout où ils se trouvent. »,Le Parisien, édition de Seine-Saint-Denis,(lire en ligne, consulté le)« Les candidats en 2020 : Michel Fourcade (PS - Radicaux de Gauche - GRS) ; Farid Aïd (PCF-LFI-PRG) ; Dominique Carré (EELV) ; Pascal Kouppé (Agir ! - UDI - NC) ; Fanny Younsi (SE) ».
↑« Daniel Bioton est mort »,L'Humanité,(lire en ligne, consulté le).
↑Sébastien Blanc, « Catherine Hanriot (PC) élue maire »,Le Parisien, édition de Seine-Saint-Denis,(lire en ligne, consulté le)« A Pierrefitte, le premier magistrat s´appelle désormais Catherine Hanriot, élue sans surprise samedi matin après avoir fait le plein des 27 voix des élus de gauche au conseil municipal. Un succès pour cette communiste de terrain, mère de trois enfants, stanoise d´origine et, selon ses propres mots, « issue d´une famille ouvrière et salariée dès l´âge de 15 ans et demi », qui a adhéré au PC en arrivant à Pierrefitte en 1976 ».
↑« Catherine Hanriot s'occupe de sa famille »,Le Parisien, édition de Seine-Saint-Denis, 15/69/2008(lire en ligne, consulté le)« Battue sèchement en mars, Catherine Hanriot a décidé à 60 ans de se retirer de la vie politique locale. Militante au Parti communiste depuis 1976, maire pendant dix ans, elle a depuis séché ses larmes, mais assure « ne plus jamais vouloir se présenter à une élection ».
↑Elsa Marnette, « Fusion Saint-Denis - Pierrefitte : le socialiste Mathieu Hanotin devient maire de la plus grosse ville de banlieue »,Le Parisien, édition de Seine-Saint-Denis,(lire en ligne, consulté le).
↑Conseil général, Direction de la Culture, du Patrimoine, du Sport et des Loisirs,« Collège Gustave-Courbet »(Archive.org •Wikiwix •Archive.is •Google •Que faire ?),Atlas des collèges de la Seine-Saint-Denis, suratlas-patrimoine93.fr, Département de la Seine-Saint-Denis(consulté le).
↑Conseil général, Direction de la Culture, du Patrimoine, du Sport et des Loisirs,« Collège Pablo-Neruda »(Archive.org •Wikiwix •Archive.is •Google •Que faire ?),Atlas des collèges de la Seine-Saint-Denis, suratlas-patrimoine93.fr, Département de la Seine-Saint-Denis(consulté le).
↑Conseil général, Direction de la Culture, du Patrimoine, du Sport et des Loisirs,« Collège Lucie Aubrac »(Archive.org •Wikiwix •Archive.is •Google •Que faire ?),Atlas des collèges de la Seine-Saint-Denis, suratlas-patrimoine93.fr, Département de la Seine-Saint-Denis(consulté le).
↑Hélène Haus, « Tout est nickel à l’intérieur » : à Pierrefitte, première rentrée dans le lycée tant attendu : Après des années de patience, un établissement de 1200 places a ouvert ce jeudi à Pierrefitte-sur-Seine, le premier dans cette ville de 30 000 habitants. Pour l’instant, il n’accueille que des élèves de seconde »,Le Parisien,(lire en ligne, consulté le)« [La Région a] déboursé 38,7 millions d’euros pour réaliser cet équipement de 1 200 places ».
↑Olivia Villamy, « A Pierrefitte, le chantier de la piscine avance doucement mais sûrement : Plusieurs fois retardé, le chantier a débuté en juin dernier. Une bonne nouvelle pour les habitants privés de bassin depuis la fermeture de la piscine voisine de Villetaneuse en 2015 »,Le Parisien, édition de Seine-Saint-Denis,(lire en ligne, consulté le).
↑Anthony Lieures, « Après l’inauguration du centre aquatique de Pierrefitte, la Seine-Saint-Denis planche sur un nouveau Plan piscines : Samedi, les habitants de Pierrefitte ont pu découvrir le nouveau centre aquatique qui a pris le nom de Claire Supiot, nageuse qui a déjà participé à des Jeux olympiques et paralympiques et qui était présente sur place. Il s’agit du troisième ouvrage construit grâce au Plan piscines lancé en 2016, qui a permis aussi neuf rénovations en Seine-Saint-Denis. Un autre plan doit être lancé en fin d’année »,Le Parisien,(lire en ligne, consulté le).