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Pierre Cardin

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Pierre Cardin
Pierre Cardin en 2010.
Fonction
Ambassadeur de bonne volonté de l'UNESCO
Biographie
Naissance
Décès
Sépulture
Nom de naissance
Pietro Costante CardinVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalités
Activités
Période d'activité
Autres informations
Chaire
Membre étranger de l'Académie russe des arts(d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Propriétaire de
Palais Bulles,château de Lacoste, Pierre Cardin (company)(en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Membre de
Site web
Distinctions
signature de Pierre Cardin
Signature
Vue de la sépulture.

modifier -modifier le code -modifier WikidataDocumentation du modèle

Pietro Costante Cardin[1][karˈdin][a] ditPierre Cardin[kaʁdɛ̃][b], né le àSant'Andrea di Barbarana (Italie) et mort le àNeuilly-sur-Seine (France), est uncouturier ethomme d'affairesitalien naturaliséfrançais.

Pierre Cardin intègre lahaute couture en 1957 et y restera environ dix ans. Il présente à la fin desannées 1950 une collection deprêt-à-porter qui fera grand bruit. Il est considéré, avecPaco Rabanne etAndré Courrèges, comme l'inventeur de lamode futuriste dans lesannées 1960.

Samarque Pierre Cardin est présente, sous forme delicences commerciales[2],[3], dans plus de cent pays, faisant du couturier l'un des cinq Français les plus connus au monde. Sa fortune a été estimée en 2009 à plus de 600 millions d'euros[4] ; en 2012, il souhaitait se séparer de son groupe pour un milliard d'euros[5].

Biographie

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Famille

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Les parents de Pierre Cardin, Alessandro (né en 1878) et Maria (née en 1879), sont des agriculteursvénitiens précipités dans la pauvreté par laPremière Guerre mondiale qui émigrent enFrance au milieu desannées 1920[6]. Ils obtiennent lanationalité française en 1936[7].

Leur fils Pietro naît àSant'Andrea di Barbarana, hameau de la commune deSan Biagio di Callalta le ; il est le dernier de la fratrie qui compte dix enfants.

La famille s'installe àSaint-Étienne, dans le département français de la Loire, en 1930[8].

Des débuts modestes

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En 1936, Pierre Cardin commence son apprentissage à l’âge de quatorze ans chez Louis Bompuis, un tailleur pour hommes àSaint-Étienne. Il y est d'abord comptable puis coupeur[9]. Après un passage chezManby,tailleur àVichy qu'il rejoint à bicyclette, il monte à Paris. Vers la fin de la guerre, il débute chezJeanne Paquin. Par elle, il rencontreJean Cocteau etChristian Bérard, avec qui il réalise des costumes et des masques pourLa Belle et la Bête en 1946, il assisteMarcel Escoffier etChristian Bérard sur les costumes deJean Cocteau[10].

Il entre pour un passage éclair chezElsa Schiaparelli[11].

Premier tailleur de lamaison Christian Dior lors de son ouverture en, Pierre Cardin participe ainsi au succès du « tailleur Bar »[10], qui d'après leHarper's Bazaar, définit leNew Look deChristian Dior. Il quitte la maison Dior sur un coup de tête trois ans après[11].

En 1950, au10,rue Richepanse, il rachète la maison Pascaud, alors spécialisée dans les costumes de scène, il y ouvre sa propre maison de couture. Il gardera ainsi sa double activité créatrice : les costumes de scène ainsi que des créations de haute couture plus tard. Il crée des costumes pour lesbals, fêtes somptueuses d'après guerre, à côté des manteaux ettailleurs, sa spécialité[11]. Progressivement, sa clientèle s’agrandit.

Sa première collection voit le jour trois ans plus tard en1953, il y montrerue du Faubourg-Saint-Honoré des manteaux et des tailleurs d’une coupe impeccable, associant inventivité et sens du détail.

Quatre ans plus tard, il triomphe avec la présentation d'une collection de 120 vêtements et devient membre de laChambre syndicale de la couture parisienne[12].

Prêt-à-porter

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Tunique/robeCosmos de 1967.

Déjà, en 1954, Pierre Cardin déploie une énergie farouche, s'engageant dans la politique de diffusion avec l’ouverture de sa première boutique Eve, suivie d’Adam en 1957[13]. Considéré comme un précurseur[14], Pierre Cardin souhaite alors poser les bases d'une production deprêt-à-porter en parallèle à la haute couture. Il ne croit pas au modèle économique d'une haute couture produisant de façon élitiste[14].

Pour lesgrands couturiers traditionnels, attachés à séparer la modehaut de gamme de lamode populaire, c'est un énorme scandale. Il persiste et signe en présentant en 1959, une collection de prêt-à-porter luxueux auPrintemps : il sera ainsi le premier couturier à présenter un défilé de prêt-à-porter inspiré de la haute couture, qui plus est dans ungrand magasin. Cet acte de « rébellion » va engendrer une légende maintes fois reprise par les ouvrages qui fait croire que Cardin aurait été exclu de laChambre syndicale de la couture parisienne, ou encore renvoyé puis réintégré[10]. Ce fait est clairement démenti parDidier Grumbach qui affirme que« contrairement à la légende, Pierre Cardin n'a pas été exclu de la Chambre syndicale »[15]. Au contraire, quelques années plus tard, il lui est proposé la présidence, qu'il refuse[14].

La ligne pour homme, lancée à la fin desannées 1950, révolutionne la mode masculine :

« Des vestes avec lesquelles on peut dévisser un boulon de voiture, mais aussi aller au Windsor. »

Voilà définis les nouveaux critères : confort et élégance. En 1961, il crée une ligne à la demande du Printemps qui doit être commercialisée sous le nom du grand magasin ; échec commercial, celle-ci a un retentissement important dans les médias, dontElle qui organise au couturier une campagne de presse[16] avec le soutien d'Hélène Lazareff[14]. Tout cela concourt à ce qu'il se mette encore à dos la profession[16] mais soit connu mondialement[14]. Il bénéficie également du soutien de plusieurs journalistes de mode : Lucien François (Combat), Viviane Greymour et Janie Samet (Le Figaro), Alice Chavannes de Dalmassy (Elle),Diana Vreeland (Vogue) etEugenia Sheppard (New York Herald Tribune)[10]. Tous les grands magasins du monde lui ouvrent descorners et le nombre de produits sous licence augmente déjà à grande vitesse[17].

En 1964, avec l'avènement du pantalon pour femmes, poussé par certains couturiers de renom, il déclare dans une entrevue télévisée avecAndré Courrèges[18] :

« Un pantalon qui moule ou même s'il ne moule pas, ne rend pas la femme esthétique il ne la rend pas sensuelle, indiscutablement. »

En 1966, allant une fois de plus à l'encontre des règles ancestrales de laChambre syndicale en refusant de respecter le calendrier édicté au sujet de la remise à la presse de certains documents, Pierre Cardin fait parvenir une lettre de démission qui est acceptée[19].

Dans lesannées 1970, le succès de sa ligne masculine va jusqu'aux États-Unis[17], les lignes féminines sont partout dans le monde (il a organisé plusieurs coups médiatiques, comme un défilé dans ledésert de Gobi ou un autre sur laplace Rouge deMoscou[10]) ; tout cela va perdurer jusque dans lesannées 1980[17]. Au début de ces années là, le nombre de licences est estimé à plus de 500 : vampirisant la couture et la création, la perte d'image se fait sentir[20].

Une longue suite de créations

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Logo de la marque Pierre Cardin.
Stylo à bille Pierre Cardin.

De la robe bulle (1954) aucostume Mao (veste Mao, 1968), de la mode cosmonaute à lamode unisexe, de lachasuble à découpe hublot à la robe moulée en fibres synthétiques, Pierre Cardin témoigne d’un appétit féroce pour l’expérimentation. Ses formes construisent des silhouettes géométriques à base de ronds et de triangles ; leur volume sculptural impose au corps de s’y adapter.

Précurseur, il importe à Paris l'art de vivrejaponais et le fait vivre dans ses collections. Un voyage en 1957 au Japon sera décisif pour cette rencontre avec la culture japonaise. Il y fait la connaissance deHiroko Matsumoto, mannequin japonais qui l'accompagne à Paris et deviendra sa maîtresse. Dans sa maison de couture,Mademoiselle Hiroko est sa muse et son égérie pendant près de dix années[21],[22].

Le couturier est au cœur des années 1960. En 1963, il crée les fameux costumes de scène, une veste sans col, desBeatles[14],[23]. En 1961, il crée les costumes féminins pour le filmLa Princesse de Clèves deJean Delannoy. Il habilleJohn Steed pour la série téléviséeChapeau melon et bottes de cuir en 1967. En 1968, il crée l'uniforme des hôtesses de l'air, personnel navigant commercial d'UTA.

Designer, il présente dès 1970 une collection de meubles.

Image rémanente exposée à l'Espace Cardin.

Mécène, il crée l'Espace Cardin en 1971 dans l'ancien théâtre des Ambassadeurs à Paris, où se produisent des artistes commeMarlène Dietrich,Bob Wilson,Gérard Depardieu,Jeanne Moreau (avec laquelle il a une liaison[10]), de nombreux groupes de jazz et de rock, le Pilobolus.

En 1972, il débat dans l'émissionItaliques avecGonzague Saint-Bris etJean d'Ormesson sur le retour du « dandysme ». Il est le premier Français à s’implanter enChine communiste en 1978[24] ; ses mannequins défilent dans laCité interdite àPékin[14].

Pierre Cardin en 1978.

Il s'attelle à la réhabilitation duchâteau dumarquis de Sade, àLacoste (Vaucluse)[10] où il organise chaque année un festival. Il s'intéresse aussi au village dont il veut faire un « Saint-Tropez local de la culture ». Pour ce faire, il achète une quarantaine de maisons, une dizaine de boutiques et quarante hectares de terre qu’il laisse inexploitées. Il transforme ce village en un village-musée. Un écrivain,Cyril Montana, qui a passé dans ce lieu une grande partie de son enfance et de son adolescence, se mobilise pour redonner vie au village. Un documentaire réalisé par Thomas Bornot,Cyril contre Goliath raconte ce combat[25],[26].

Homme d'affaires, gastronome et amoureux de l'art, Pierre Cardin devient en 1981 le propriétaire du restaurantMaxim's de Paris[10], célèbre restaurantBelle Époque, temple de l'Art nouveau, et s'implique personnellement dans le renouveau de l'établissement. Il en développe la marque dans le monde entier[27].

Dans lesannées 1980 et jusqu'au milieu desannées 1990, il apporte son soutien amical à l'association de lapresse, dumusic-hall et ducirque (PAVDEC-Presse associée de la variété, de la danse et du cirque) présidée parJacqueline Cartier, avec à ses côtés diverses personnalités dontGuy des Cars,Francis Fehr,Yves Mourousi etJean-Pierre Thiollet.

Dans lesannées 2000, il inaugure un musée consacré à l'art nouveau aux2e et3e étages du restaurant Maxim's de Paris.

Licences

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ShowroomSculptures utilitaires Venise.
Pierre Cardin -Sculptures Utilitaires - Table et chaiseCobra.

L’envie de développer et de rendre accessibles ses créations, ainsi que le coût jugé prohibitif des droits de douane pour les produits vendus à l'étranger, pousse Pierre Cardin à formaliser un système delicence : il dessine, les industriels fabriquent puis lui reversent des pourcentages sur les ventes, sa signature constituant ainsi la politique de développement de samarque[14].

Ce système de production qu'il exploite au maximum[14] lui permet d’adapter son concept au marché ambiant, le plaçant premier au monde en nombre de licences ainsi qu’en volume de ventes. Il existerait selon le couturier, plus de 700 licences aujourd'hui, du textile aux arts de la table, en passant par l'eau minérale[28] les poêles à frire, les vélos, les sacs en plastique, les briquets ou les tringles à rideaux[14].

« Si je vois une très belle boîte de sardines, j'ai envie de lui donner mon nom[14] ! »

Cette diversification tous azimuts de produits dérivés sans notion de qualité fait que nombre de ses pairs lui tournent le dos, jugeant cela peu en adéquation avec l'idée de la couture ou duluxe[14]. Il est juste, qu'au contraire de Cardin, nombre de marques issues de lamode ont sensiblement réduit leurs licences ces dernières décennies, à l'image de la reprise en main deSaint Laurent,Gucci, ouDior, permettant de maintenir un niveau de gamme élevé[14].

À son apogée, ce système commercial représente du travail pour 200 000 personnes et un chiffre d'affaires de dix milliards de francs (environ 1,5 milliard d'euros), permettant à Pierre Cardin de multiplier ses acquisitions variées[14].

Vie privée

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Pierre Cardin partage la vie deJeanne Moreau durant quatre ans. Il déclare àLa Gazette Drouot, l'hebdomadaire de ventes aux enchères, son regret de ne pas avoir eu d'enfants avec la comédienne. Parallèlement, il déclare être homosexuel[10]. Il a eu aussi d'autres muses :Hiroko Matsumoto,Maïa Plissetskaïa,Sylvana Lorenzetc.[29]

Il est propriétaire du palais deCasanova àVenise, duchâteau du marquis de Sade àLacoste, duPalais Bulles deThéoule-sur-Mer (qu'il met en vente en 2016), de l'immeuble du restaurantMaxim's et de deux bateaux parisiens (l'un devantNotre-Dame et l'autre devant latour Eiffel)[10].

Il indique êtrecatholique, mais non pratiquant[30].

Mort

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Tombe de Pierre Cardin et d'André Olivier au cimetière de Montmartre.

Pierre Cardin meurt le, à l'âge de 98 ans, à l'hôpital américain deNeuilly-sur-Seine[31],[32]. Ses obsèques ont lieu dans l'intimité le, suivies de l'inhumation aucimetière de Montmartre (division 5) àParis[33], aux côtés de son ami et associé André Oliver[34].

En 2018, il avait nommé son petit-neveu Rodrigo Basilicati Cardin directeur général de Pierre Cardin Évolutions (80 salariés en France et 350 licences à l'international). En 2020, quelques mois avant sa mort, il lui confie la succession de son empire. Rodrigo Basilicati Cardin prépare pour début 2022 un défilé hommage au couturier aumusée de l'Air et de l'Espace[35].

En 2023, la succession de Pierre Cardin provoque une bataille judiciaire entre ses descendants. Rodrigo Basilicati, petit-neveu du créateur fait l'objet de plusieurs plaintes déposées par les petites-nièces du créateur pour abus de faiblesse, abus de confiance aggravé, escroquerie, faux et usage de faux[36].

Distinctions

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Prix

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Pierre Cardin reçoit leDé d'or de la haute couture française en 1977, 1979 et 1982[14], l'Oscar de la mode en 1985 pour l'ensemble de son œuvre[9], les palmes de l'Académie royale catalane des beaux-arts de Saint-Jordi en 1990[9] puis, en 2010, le Legend Award décerné par le Fashion Group à New York pour l'ensemble de sa carrière[9] et, en 2007, le prix international duConseil des créateurs de mode américains.

Il est récompensé par plus d'une centaine de grands prix internationaux tant dans le domaine de la couture, de l'art, du design que des affaires.

Académies

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Pierre Cardin et le compositeur françaisRégis Campo, membre de l'Académie des beaux-arts.

En 1992, il est le premier couturier à être élu membre de l'Académie des beaux-arts (France) au sein de lasection VI, membres libres,fauteuil 8. Il dessine lui-même sonépée d'académicien[14]. À la suite de la mort du graveurPierre-Yves Trémois, il en devient le doyen d'âge le.

Il est membre d'honneur de l'Académie des beaux-arts russe depuis 2008.

Honneurs

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Pierre Cardin est ambassadeur honoraire de l'Unesco de 1991 à sa mort. Il est nommé, le,Ambassadeur de bonne volonté de l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO).

Décorations

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Décorations françaises

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Décorations étrangères

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Hommages

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Pierre Cardin fait partie depuis 1960 des cinq Français les plus connus dans le monde. Il est l'un des très rares couturiers à avoir fait la couverture du magazineTime[40]. Les plus grands musées du monde organisent des expositions sur ses créations de mode et dedesign.

Expositions

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En 1994, une rétrospective des 40 ans de sa carrière est organisée dans le cadre des fêtes pour le 1 200e anniversaire de la ville deKyoto.

En 2006, Pierre Cardin installe son musée àSaint-Ouen-sur-Seine, dans une ancienne usine de peinture de 3 000 m2. En 2014, le musée est transféré5,rue Saint-Merri dans le4e arrondissement de Paris.

En 2019, leBrooklyn Museum à New York lui consacre une rétrospective intitulée « Pierre Cardin: Future Fashion »[41].

Dans la culture populaire

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Dans la version française du filmRetour vers le futur (1985) deRobert Zemeckis, le personnage deMarty McFly porte un ou plusieurs vêtements étiquetés « Pierre Cardin »[c] en 1985. Quand il fait unvoyage dans le temps en 1955, sa future mère Lorraine Baines, voyant l'étiquette de la marque sur ses vêtements, pense qu'il s'agit de son vrai nom. Marty profite de cette confusion pour se faire appeler « Pierre Cardin » (inconnu à l'époque), fausse identité qu'il adopte tant qu'il reste en 1955.

Dans la version originale anglaise du film, le nom qui est donné par Lorraine Baines àMarty est celui deCalvin Klein.

Dans la série téléviséeEmily in Paris, le personnage de Pierre Cadault, créateur de mode parisien, est largement inspiré de Pierre Cardin etKarl Lagerfeld.

Notes et références

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Notes

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  1. Prononciation enitalien standardretranscrite phonémiquement selon lanorme API
  2. Prononciation enfrançais standardretranscrite phonémiquement selon lanorme API
  3. Dans la version originale du film, ces vêtements sont signésCalvin Klein.

Références

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  1. Base des décès en France (I.n.s.e.e.)[1]
  2. Florence Evin, « Comment Pierre Cardin a bâti un empire mondial »,Le Monde,‎(lire en ligneAccès payant, consulté le).
  3. https://www.strategies.fr/actualites/marques/4054732W/pierre-cardin-le-roi-des-licences.html
  4. Voir surchallenges.fr.
  5. Thiébault Dromard, « Dans les arcanes de l'empire de Pierre Cardin »,Luxe, surChallenges,(consulté le).
  6. Catherine Schwaab, nécrologie de Jeanne Moreau,Paris Match, semaine du 3 au,p. 64-65.
  7. Doan Bui et Isabelle Monnin.Ils sont devenus français. Dans le secret des archives. Jean-Claude Lattès, 2010,p. 165.
  8. Fred Sauron, « Pierre Cardin, son enfance et ses débuts dans la couture à Saint-Étienne », surLe Progrès,(consulté le).
  9. abcd eteWho's Who in France, édition 2015,p. 467.
  10. abcdefghi etjSylvie Yeu,« Cardin, l'éternel futur »,Vanity Fairno 5, novembre 2013, pages 122-133.
  11. ab etcGrumbach 2008,p. 137.
  12. Grumbach 2008,p. 138.
  13. Grumbach 2008,p. 140.
  14. abcdefghijklmno etpStéphane Marchand,Les guerres du luxe,Fayard,, 382 p.(ISBN 978-2-213-60953-9), « Pierre Cardin dans l'enfer des licences »,p. 209 à 214.
  15. Grumbach 2008,p. 104.
  16. a etbGrumbach 2008,p. 141.
  17. ab etcGrumbach 2008,p. 142.
  18. « Débat passionné entre André Courrèges et Pierre Cardin au sujet du pantalon pour les femmes », surmediaclip.ina.fr(consulté le)
  19. Grumbach 2008,p. 40.
  20. Grumbach 2008,p. 143.
  21. Matthias Gurtler, « Pierre Cardin »,VSD, le 19 juillet 2006
  22. Jean-Noël Liaut,Modèles et mannequins : 1945-1965, Paris,Filipacchi,, 220 p.(ISBN 978-2-85018-341-6,BNF 35660421,présentation en ligne),p. 155-159.
  23. « Quand Pierre Cardin faisait des Beatles des icônes de la mode », surlefigaro.fr(consulté le)
  24. Pierre Cardin et la Chine.
  25. « Pierre Cardin, un village forcé »,Libération,‎(lire en ligne)
  26. « Sept films à découvrir sur le Web en attendant la réouverture des salles. "Cyril contre Goliath", l’histoire d’un village confisqué à ses habitants », surLe Monde,.
  27. « Comment Pierre Cardin a bâti un empire mondial », surlemonde.fr,.
  28. Florent Bonnefoi,« Pierre Cardin : "Mon nom vaut un milliard d'euros, minimum" »,La Provence, le 19 mai 2011.
  29. Sophie Rosemont et Karine Porret, « Mort de Pierre Cardin : ce qu'il faut retenir du couturier des sixties »,L'express (site eb),‎(lire en ligneAccès payant, consulté le)
  30. Pierre Cardin, interviewé par Laurence Haloche, « Pierre Cardin : "Pourquoi se fixer des limites ?" »,Le Figaro Magazine, semaine du 25 novembre 2016, page 34.
  31. « Le couturier français Pierre Cardin est mort », surlemonde.fr,.
  32. Fabienne Reybaud et Émilie Faure, « Pierre Cardin, un visionnaire s'éteint », surlefigaro.fr,(consulté le).
  33. « Pierre Cardin a été inhumé à Montmartre en habit d'académicien des beaux-arts », surfrancetvinfo.fr,(consulté le).
  34. 7 sur 7,article du 2 janvier 2021
  35. Alyette Debray-Mauduy, « Rodrigo Basilicati Cardin, un héritage qui coule de source »,Le Figaro, cahier « Le Figaro et vous »,‎ 30-31 octobre 2021,p. 37(lire en ligne).
  36. « La succession de Pierre Cardin provoque une bataille judiciaire entre ses descendants »Accès libre, Le Monde,(consulté le)
  37. Décret du 31 décembre 1996 portant promotion.
  38. « Cardin Sig. Pierre », surquirinale.it.
  39. Ordonnance souveraine n° 1396 du 18 novembre 2007 : promotions ou nominations par le prince Albert II :récipiendaires.
  40. Couverture de la version Europe deTime du 23 décembre 1974. Source : « Pierre Cardin, le créateur entrepreneur qui inspire les jeunes », sur Madame Figaro, 6 avril 2017 (consulté le 9 septembre 2020) (lire en ligne).
  41. IrèneMosalli, « Pierre Cardin au Brooklyn Museum, entre futur et passé », surL'Orient-Le Jour,(consulté le).

Voir aussi

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Bibliographie

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Article

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Articles connexes

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Liens externes

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