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PieVI

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Pour les articles homonymes, voirBraschi.

PieVI
Image illustrative de l’article Pie VI
Tableau peint parPompeo Batoni en 1775.Galerie nationale d'Irlande,Dublin.
Biographie
Nom de naissanceGiannangelo Braschi
Naissance
Cesena (États pontificaux)
Ordination sacerdotale
Décès (à 81 ans)
Valence (République française)
Pape de l'Église catholique
Élection au pontificat (à 57 ans)
Intronisation
Fin du pontificat
(24 ans, 6 mois et 14 jours)
PrécédentClémentXIVPieVIISuivant
Cardinal de l'Église catholique
Créé
cardinal
parClément XIV
Titre cardinaliceCardinal-prêtre deSant'Onofrio al Gianicolo
Ordination épiscopale parGian Francesco Albani

Signature de Pie VI

Blason
(en) Notice surcatholic-hierarchy.org
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LepapePieVI (enlatin :PiusVI ; enitalien :PioVI) est le250e pape de l'Église catholique.Giannangelo ouGiovanni Angelico, comteBraschi (pour l'état civil français :Jean Ange Braschy[1]) est né le àCesena (Romagne) et mort le àValence (France).

Secrétaire particulier deBenoît XIV en1753, prêtre en1758,cardinal en1773, il est élupape le. Il est déposé le 15 février1798 après la proclamation de laRépublique romaine et l'invasion deRome par les troupes françaises qui le font prisonnier et lui font quitterRome le. Emprisonné àValence en juillet1799, il y meurt peu après.

Début de carrière

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Giannangelo Braschi est issu d'une famille noble de Romagne. Il est l'aîné des huit enfants du Comte Marco Aurelio Tommaso Braschi (1684-1759) et de Anna Teresa Bandi (1690-1730).

Ancien élève desJésuites, il poursuit des études de droitin utroque jure, c'est-à-dire endroit civil et endroit canonique, à l'université de Ferrare. Il devient ensuite secrétaire du cardinalTommaso Ruffo,légat pontifical àFerrare.

Braschi accompagne Ruffo à Rome pour leconclave qui suit la mort du papeClémentXII en 1740.

Quand son maître est nommédoyen du Sacré Collège, il devient auditeur, chargé de l'administration des diocèses deVelletri et d'Ostie. Il noue alors des liens avec l'infant don Carlos, alors que ce dernier devient le premier souverainBourbon duroyaume des Deux-Siciles. Son habileté diplomatique lui obtient la charge decamérier secret.

En 1753, à la mort du cardinal Tommaso Ruffo, Braschi devient secrétaire particulier du papeBenoîtXIV. Il estordonné prêtre en 1758.

En 1766, sous le pontificat deClémentXIII (1758-1769), il obtient la charge de trésorier de laChambre apostolique, qui le rend maître de l'administration financière des États pontificaux.

Le, il est élevé à la dignité decardinal-prêtre deSant'Onofrio al Gianicolo par le papeClémentXIV.

Grâce au soutien français, leconclave qui s'ouvre à la mort deClémentXIV (1774) l'élit à la dignité pontificale. Il choisit le nom dePieVI en hommage àPieV, pape de l'application duconcile de Trente et de labataille de Lépante.

Élu le, il fut consacré évêque et couronné simultanément le.

Pontificat

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Début du pontificat

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PieVI, alors âgé de58 ans, souhaite renouer avec les fastes deLéonX, ce qui lui vaut les critiques de la « statue parlante »Pasquino.

Le, il reconnaît officiellement l'apparition mariale deNotre-Dame de Šiluva enLituanie survenue en 1608, et accorde plusieurs indulgences à son sanctuaire[2].

En 1775,PieVI impose une législationanti-juive notamment par l'éditFra le pastorali sollicitudine[3],[4].

Il est confronté aujoséphisme autrichien et effectue même unvoyage à Vienne en 1782 dans le but d'amener l'EmpereurJosephII à renoncer à sa politique anti-cléricale. Il y donna sabénédiction papaleurbi et orbi du balcon de l'Église am Hof.

Son passage àVenise la même année est commémoré parFrancesco Guardi avec quatre toiles illustrant cette visite.


Révolution française

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Collection générale des brefs et instructions relatifs à la révolution françoise parPieVI, 1798.

Quelque temps plus tard,PieVI doit affronter les événements de laRévolution française :

  • lanationalisation des biens du clergé ;
  • l'abolition par laConstituante des vœux monastiques perpétuels sanctionnés par la loi civile (loi du) et la suppression des ordres réguliers hors ceux ayant pour activité l'éducation et les œuvres decharité, conduisant à la mise à l'écart de 100 000 religieux (moines, chanoines, etc.), soit les deux tiers duclergé de l'époque en France ;
  • le projet deConstitution civile du clergé (adopté par la Constituante le) ;
  • ainsi que la situation deschisme qu'elle entraîna entre les prêtres et les évêques « constitutionnels » et les prêtres et les évêques restés fidèles à l'Église, « réfractaires ».

PieVI fait savoir le au roi de FranceLouisXVI qu'il s'oppose au projet de constitution civile du clergé. Il écrit aussi dans ce sens auxarchevêques de Bordeaux et deVienne le.

Le,PieVI envoie sonbrefQuod Aliquantum aucardinal de La Rochefoucauld. Il y analyse le contenu de la Constitution civile du clergé pour le condamner. Toutefois. il précise : « Nous n'avons pas encore jusqu'ici lancé les foudres de l'Église contre les auteurs de cette malheureuse constitution du clergé »[8]. Les menaces d'excommunication et d'anathème ne sont qu'implicites. Dans salettre apostoliqueCaritas du,PieVI critique sévèrement les nouvelles élections d'évêques, et leur bénédiction parl'évêque d'Autun. Il déclare schismatiques les propos suivants du nouvelévêque de Quimper : « Cette constitution n'altère en rien le dogme ; qu'elle réforme seulement la discipline, et la rappelle à la pureté des premiers siècles »[9]. Ses actes sacerdotaux sont déclarés irréguliers ; il est menacé d'anathème. ToutefoisPieVI réaffirme une position prudente vis-à-vis de l'Assemblée Nationale : « Nous avons déclaré Nous être abstenu jusqu'ici de déclarer retranchés de l'Église les auteurs de cette fatale constitution ».

La réaction dePieVI par rapport à la constitution civile du clergé n'est, aujourd'hui encore, pas simple à interpréter ; tardive par rapport aux événements, elle aurait laissé lesprêtres et les évêques dans l'embarras sur la conduite à tenir par rapport au serment de fidélité à la Nation, à la loi, au roi, créant un malaise dans les provinces françaises durant les six premiers mois de l'année1791, et laissant s'y développer un véritableschisme. Cette question fait l'objet de discussions de la part des historiens des religions. La présence à Rome du cardinal de Bernis, chargé d'affaires auprès du Saint-Siège, explique l'hostilité de Pie VI à l'égard de la Révolution ; Bernis s'interposant systématiquement dans les échanges avec le ministère français des Affaires étrangères et réservant ses faveurs au comte d'Artois et aux émigrés.

En 1793, après la proclamation de la République en France, une commission décide de supprimer le calendrier grégorien, et de le remplacer par uncalendrier républicain avec des semaines de dix jours, sansdimanche. Les campagnes françaises ne reçoivent plus lesagendas traditionnels.

En, à la suite des tensions provoquées par les grands changements politiques en France, et les manifestations de ces changements par la communauté française en Italie, des habitants de Rome prennent d'assaut le ghetto juif qu'ils pillent, lepalais Mancini, siège de l'Académie de France à Rome, et assassinent le diplomateNicolas-Jean Hugou de Bassville. Cet assassinat provoque le départ de la communauté française des états pontificaux.

Directoire

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Article détaillé :Campagne d'Italie (1796-1797).

La France annexeAvignon et leComtat Venaissin. Le, Bonaparte contraintPieVI à signer letraité de Tolentino (appelé aussi Paix de Tolentino) avec la France duDirectoire, qui concède à la France les légations deRomagne, deBologne et deFerrare. Cettepolitique papale de Bonaparte combine les questions religieuses et diplomatiques.

À la nouvelle de l'assassinat du généralDuphot, leDirectoire ordonne le l'occupation deRome.Gaspard Monge part le pour Rome. La Révolution éclate dans la ville le. La « République romaine » est proclamée par le peuple réuni au Campo Vaccino (ancien forum).

Le papePieVI est contraint par la république française de renoncer à son pouvoir temporel et de se contenter de son pouvoir spirituel. Déposé le lors de la proclamation de la République romaine, il est en fait prisonnier. Octogénaire et très malade, il demande la grâce de pouvoir mourir à Rome. Le général français a la délicatesse de lui répondre : « Mourir, cela peut se faire partout ».PieVI quitte Rome dans la nuit du au.

Il est conduit àSienne puis à lachartreuse de Galluzzo deFlorence (en) où il reste jusqu'au. LaDeuxième Coalition se traduisant par l'avancée des troupes autrichiennes venant deVénétie, et des troupes napolitaines qui ont repris Rome et détruit la République romaine, les Français envoient le pape en France, tandis que leurs troupes reculent sur tous les fronts, dans ces débuts de laseconde campagne d'Italie. Le Pape passe parBologne,Parme,Turin. On lui fait traverser les Alpes sur une civière. C'est ensuiteBriançon,Grenoble et enfinValence, chef-lieu du département de laDrôme. Il n'ira pas plus loin.

Malgré les bouleversements que connaissait alors la France, le pape octogénaire reçut de nombreuses marques de respect et de compassion de la part du peuple, tout au long de sa route, entre Briançon et Valence. Le poètePaul Claudel le surnommera le « père commun des fidèles ».

Attitude face aux Juifs

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L'attitude dePieVI vis-à-vis de lacommunauté juive de Rome est notoirement hostile et répressive, dès l’édit du[10]. « Les thèmesantijudaïques sont à la mode, par antimodernisme, et par souci de reconstruire une Église forte.PieVI resserre donc les règles dughetto, il encourage lesbaptêmes, impose de nouveau lesermon dusamedi avant d’aller à lasynagogue. On poursuit des livres sur lejudaïsme, on laisse circuler des opuscules sur les « meurtres rituels ». Dans les procès politiques, de 1792 à 1797, on retrouve un certain nombre de juifs accusés d’être philo-français. En 1793, le ghetto sera assiégé par la population lors (d')émeutes[11]. Le fait le plus notoire est la publication en 1794 d’un livre de Rovira Bonnet (…)[12], recueil de textes desconciles ou des papes sur la conversion des juifs. Il y est question en plus des forces qui essayent de renverser la société, dont l’Assemblée Nationale de France qui a libéralisé la situation des juifs et renversé l’Église catholique : il est donc normal de réagir et de les persécuter.PieVI calma les esprits lors des révoltes, mais l’état d’esprit antijudaïque fut bien entretenu officiellement »[4].

Fin de vie

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Extrait de l'acte d'état civil de décès du papePieVI en date du (12 fructidor de l'anVII) àValence (Drôme).

Prisonnier duDirectoire, il meurt àValence, épuisé, le (12 fructidor de l'anVII) à l'âge de81 ans. Son acte de décès figure dans le registre d'état civil de la ville deValence, où il est nommé « Jean Ange BraschyPieVI pontife de Rome[13] ». C'est en son honneur qu'un pâtissier de la ville eut l'idée de confectionner le fameux biscuitSuisse de Valence.

PieVI est d'abord enseveli civilement au cimetière Sainte-Catherine de Valence[14]. LesÉtats pontificaux sont rétablis à la fin de l'année 1799, avec l'entrée des troupes napolitaines dans Rome et la chute de l’éphémèrerépublique romaine. Leconclave qui assure l'élection du successeur dePieVI se tient àVenise, sous la domination de l'Autriche depuis letraité de Campo-Formio de 1797. En,PieVII devient le nouveau pape.Napoléon Bonaparte, désormaisPremier consul de la République française, engage une offensive en Italie au et sa victoire àMarengo marque la fin du front italien de la seconde coalition, qui se disloque complètement en 1801. La République française normalise ses relations diplomatiques avec lesÉtats pontificaux reconstitués, et signe leconcordat de avec l'Église catholique. Ces évolutions permettent le retour du corps dePieVI à Rome, le, où il reçoit des funérailles conduites par son successeur le, dans la basiliqueSaint-Pierre de Rome.

Tombeau dePieVI (1775-1799), au Vatican.

Mais, sur réclamation des habitants deValence, le cœur et les entrailles dePieVI retournent et reposent dans lacathédrale Saint-Apollinaire de Valence, après une cérémonie solennelle en ce lieu le. On peut lire l'inscription suivante (rédigée enlatin) sur ce monument de Valence : « Les entrailles saintes dePieVI sont rendues aux Français ; Rome possède son corps ; son nom retentit en tous lieux ; il est mort à Valence le »[15]. Depuis 1949, sa dépouille romaine repose dans lanécropole papale de la basilique Saint-Pierre, dans un sarcophage antique.

Moins de dix ans avant la mort du Saint-Père,Madame Vigée Le Brun, la célèbre portraitiste de la reine de FranceMarie-Antoinette, qui avait elle-même fui laRévolution en se réfugiant àRome, rapporte cette anecdote : « L'abbé Maury, qui n'était pas encore cardinal, vint chez moi pour me dire que le Pape voulait que je fisse son portrait ; je le désirais infiniment ; mais il fallait que je fusse voilée pour peindre le Saint-Père, et la crainte de ne pouvoir ainsi rien faire dont je fusse contente m'obligea à décliner cet honneur. J'en eus bien du regret, carPieVI était encore un des plus beaux hommes qu'on pût jamais voir. »

Grandes réalisations

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Portrait de Pie VI, parPompeo Batoni.

En presque vingt-cinq ans de pontificat, « PieVI eut le temps de faire graver son nom sur bien des monuments de Rome », dans les actuelsmusées du Vatican ou lemusée Pio-Clementino[4]. Il fait mener desfouilles dans la ville et entasser des antiquités dans les galeries situées entre le palais apostolique et le Belvédère. Il fait également dresser l’inventaire du musée, paru en 1792.

Dès le début de son pontificat, il fait construire lasacristie de labasilique Saint-Pierre, qui abrite également leschanoines. Il ajoute notamment un monument devant lepalais du Quirinal, quelquesobélisques, la restauration de lacathédrale Sainte-Scholastique àSubiaco et des travaux dans le port d’Ancône[4].

L’assèchement desmarais pontins, qu'il fait entreprendre, avec le concours d’ingénieurs desPays-Bas, engloutit des sommes considérables (au total, 1 600 000 écus romains en 1798), et vaut au pape le surnom de « il secatore », sous-entendant qu’il assèche les marais comme les fortunes romaines par le biais de lourds impôts[4].

Succession apostolique

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Pie VI a ordonné les évêques suivants[16] :

Notes et références

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  1. Lors de son décès àValence (Drôme).
  2. (en) « Envoy Named for Centenary of Lithuania Apparitions »,Zénit,‎(lire en ligne, consulté le).
  3. (en-US) « Ancona – j-Italy »(consulté le).
  4. abcd eteGérardPelletier,chap. I« Un Romagnol sur le trône de saint Pierre », dansRome et la Révolution française : La théologie politique et la politique du Saint-Siège devant la Révolution française (1789-1799), Publications de l’École française de Rome,coll. « Collection de l'École française de Rome »,(ISBN 978-2-7283-0995-5,lire en ligne),p. 31–65.
  5. Musée de Philadelphie
  6. Musée de Cleveland
  7. Cleveland Museum
  8. PieVI dans son bref « Quod Aliquantum » du,§ 66.
  9. PieVI dans sa lette apostolique « Caritas » du, § Hérésie, schisme, sacrilège.
  10. A. Milano, « L’editto sopra gli Ebrei diPioVI e le mene ricattatorie di un letterato », inRassegna mensile di Israel 19 (1953),p. 118-126.
  11. E. Sereni, « L’assedio del ghetto di Roma nel 1793 nelle memorie di un contemporaneo », inRassegna mensile di Israel 10 (1935),p. 100-125.
  12. Rovira Bonnet,L’armata de’ forti, ovvero Memorie spettanti ag’infedeli Ebrei che siano, Rome, P. Giunchi, 1794, 700 p..
  13. Extrait du registre d'état civil de la ville deValence (Drôme) :Aujourd'hui douze fructidor an sept de la république française, à l'heure de trois après-midi, par-devant moi Jean-Louis Chauveau, administrateur municipal de la commune de Valence, élu pour rédiger les actes destinés à constater les naissances, mariages et décès des citoyens, est comparuM. Joseph Spina, archevêque de Corinthe, lequel, accompagné deM. Jean Puis Ramera, prêtre, âgé de quarante ans environs, et deM. Jérôme Fantiny, aussi prêtre, et deM. Caracciola, dont le prénom est Innico, prélat âgé aussi d'environ quarante ans, et ledit Fantiny âgé de soixante-quatre ans, tous les quatre demeurant à Valence, dans la maison dépendante de la citadelle, et attachés au décédé ci-après, m'a déclaré que Jean Ange Braschy,PieVI, pontife de Rome, est décédé cejourd'hui, à une heure vingt-cinq minutes du matin, dans ladite maison, âgé de quatre-vingt-un ans huit mois et deux jours. D'après cette déclaration, certifiée véritable par le déclarant et les témoins, je me suis de suite transporté en ladite maison d'habitation, accompagné des membres composant l'administration centrale et le commissaire du directoire exécutif près d'elle, ainsi que de deux membres de l'administration municipale ; y étant, nous dits officier public et administrateurs ci-dessus avons fait appeler les citoyens Duvaure,officier de santé, et Vidal père, officier de santé en chef de l'hospice militaire de cette commune, lesquels, après avoir fait l'examen du corps dudit Braschy,PieVI, nous ont confirmé son décès. De tout quoi j'ai rédigé acte, en présence du commandant de la place et du juge de paix de ce canton, que j'ai signé avec eux, les membres desdites autorités constituées, lesdits officiers de santé, le déclarant et les témoins ; le citoyen Doux, secrétaire de la commune, écrivant. Valence, en la maison commune, les jours, mois et an que dessus. Signé : Spina, archevêque de Corinthe : Innico Riego Caracciola ; Daly, administrateur du département ; Abate Ramera ; Deydier, administrateur du département ; Gaillard, président municipal ; Boveron, administrateur du département ; Algoud, administrateur du département ; Brosset, commissaire du directoire près l'administration centrale ; Gastoud, secrétaire général ; Regnard, commissaire du directoire exécutif près la commune ; Mermilliod, commandant de la place de Valence ; Colombiez aîné, juge de paix ; Vidal, major ; Duvaure ; Chauveau, officier public ; Doux, secrétaire. Archives départementales de la Drôme].
  14. Pie VI à Valence, recueil de documents authentiques et inédits sur le séjour et la mort à Valence du pape Pie VI, par Charles Poncet, 1868.
  15. Nicolas Delacroix,Statistique du département de la Drôme, Valence, Borel, 1835,p. 628.
  16. (en) David M.Cheney, « Pope Pius VI », surcatholic-hierarchy.org.

Annexes

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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