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Parti radical de gauche

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Pour les articles homonymes, voirPRG.

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Ne doit pas être confondu avecParti radical,Mouvement radical ouLes Radicaux de gauche.

Parti radical de gauche
Image illustrative de l’article Parti radical de gauche
Logotype officiel.
Présentation
PrésidentGuillaume Lacroix
Fondation1972 (MGRS)
1973 (MRG)
1994 (Radical)
1996 (PRS)
1998 (PRG)
Scission deRAD (1972)
MR (2019)
Scission dansLes Radicaux de gauche(2017)
Siège320rue Saint-Honoré
75001Paris
Présidents d'honneurJean-Michel Baylet
Roger-Gérard Schwartzenberg
1er vice-présidentVincent Garel
Secrétaire généralHadrien Laurent
TrésorierJean-Bernard Bros
Coordinateur du Secrétariat nationalCédric Rousset
Porte-parolesFranck Guéguéniat
Assia Meddah
Mouvement de jeunesseJRG – Jeunes du centre gauche
Adhérents4 000(2023)
PositionnementCentre gauche
IdéologieRadicalisme
Laïcisme
Républicanisme
Solidarisme
Social-libéralisme[1]
Europhilie
Affiliation françaiseLa Convention(depuis 2023)
Affiliation européenneARE(1994-1999)
CouleursBleu etjaune
Site webpartiradicaldegauche.fr
Présidents de groupe
SénatMaryse Carrère(RDSE)
Représentation
Sénateurs
4  / 348
Présidence de conseils départementaux
2  / 95
Conseillers départementaux
87  / 4058
Conseillers régionaux
35  / 1757
Maires de communes de plus de 20 000 habitants[2]
1  / 502
Maires
127  / 34955
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LeParti radical de gauche (PRG) est unparti politiquefrançais decentre gauche,républicain etlaïc, créé en 1972 par des membres dissidents duParti radical. Il connaît plusieurs dénominations au cours de son existence, notamment celle duMouvement des radicaux de gauche (MRG) de 1973 à 1994.

Le parti entame en 2017 un processus d'union avec leParti radical au sein duMouvement radical (MR). Avant la dissolution prévue du PRG, sa direction nationale restaure son indépendance début 2019. Une partie des membres font alors le choix de rester au MR.Guillaume Lacroix devient dans la foulée président du parti.

Histoire

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1972-1973 : Mouvement de la gauche radicale-socialiste

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Le PRG est né en 1972 d'une scission duParti radical, car ses animateurs (Maurice Faure,René Billères,Robert Fabre etJacques Maroselli) souhaitaient adhérer auprogramme commun de la gauche et soutenir la candidature unique deFrançois Mitterrand pour l'élection présidentielle de 1974. La tendance, opposée aux orientations deJean-Jacques Servan-Schreiber est initialement connue sous le nom de Groupe d'études et d'action radical-socialiste (GEARS).

Selon Frédéric Fogacci, historien spécialiste du radicalisme et directeur des études à la Fondation Charles-de-Gaulle,« la rupture de 1972 s'est faite au moment de l'union de la gauche. Son président d'alors, Jean-Jacques Servan-Schreiber, refuse de s'allier aux communistes. Mais ceux qui, localement, avaient besoin des voix de la gauche pour gagner aux législatives de 1973, ont fait scission pour sauver leur siège. Il s'agissait davantage de stratégies locales que de désaccords idéologiques »[3].

Le mouvement prend ensuite le nom de Mouvement de la gauche radicale-socialiste (MGRS), qui l'emporte sur Mouvement d'action radical-socialiste (MARS).

1973-1994 : Mouvement des radicaux de gauche

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En, son nom change et devient Mouvement des radicaux de gauche (MRG).

Les tentatives deRobert Fabre qui voulait accueillir au sein du MRG un certain nombre de gaullistes de gauche, commeLéo Hamon ouJean Charbonnel, lui valent de solides inimitiés de la part des radicaux de gauche les plus proches duPS. Il est nommé, en 1978,Médiateur de la République parValéry Giscard d'Estaing. Son départ est suivi de l'exclusion de plusieurs de ses proches.

Le Mouvement des radicaux de gauche gagne la présidence duConseil régional de la Corse en 1974 avecFrançois Giacobbi et la garde jusqu'en 1980 pour la récupérer en 1981-1982. En 1982, laCorse change de statut et devient une collectivité territoriale, dès lors c’est le président de l'assemblée de Corse qui dirige l'exécutif insulaire.Prosper Alfonsi (MRG) président de la région corse devient président de l'assemblée de Corse et le reste jusqu'en 1984. Après 1984, la droite remporte les élections territoriales.

La candidature deMichel Crépeau à l'élection présidentielle de 1981 est décevante. Il obtient 2,09 % des voix[4]. Le MRG participe au gouvernement et obtient 14 élus aux élections législatives.

Une scission survient en 1982 et voit la création duParti démocrate français (PDF)[5].

Auxélections européennes de 1984, le MRG présente une liste commune avec des écologistes (dontBrice Lalonde) et l'UCR d'Olivier Stirn. La liste « Entente radicale écologiste pour les États-Unis d'Europe » obtient 3,32 % des voix, mais aucun élu.

Auxélections législatives de 1986, une tentative de présenter des listes autonomes en alliance avec le MGP (Mouvement gaulliste populaire) achève de convaincre le MRG que l'alliance avec le PS demeure la seule solution raisonnable pour sa survie. Seuls sept députés sont élus. Dès lors,François Doubin puisÉmile Zuccarelli s'emploieront, à la tête du MRG, à reconstruire tout à la fois une identité politique aux radicaux de gauche et une alliance équilibrée avec le Parti socialiste.

Lors de l'élection présidentielle de 1988, le MRG soutient dès le premier tour la candidature deFrançois Mitterrand. Il obtient 9 élus auxélections législatives et participe, à nouveau, au gouvernement. Auxélections européennes de 1989, il participe à la liste conduite par le PS et obtient 2 élus (Jean-François Hory etAndré Sainjon).

En1993, le MRG ne compte plus que six députés dont une nouvelle recrue :Bernard Tapie[6] qui adhère le[7]. Le MRG des Bouches-du-Rhône et « Énergie Sud », créé auxélections régionales de mars 1992 par Bernard Tapie, fusionnent.

1994-1996 : Radical

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Logo de la liste Énergie radicale aux élections européennes de 1994.

La liste « Énergie radicale » conduite parBernard Tapie auxélections européennes de 1994 obtient 12,0 % des voix et 13 élus :Noël Mamère,Bernard Tapie,Jean-François Hory,Catherine Lalumière,Christiane Taubira,Michel Dary,André Sainjon,Bernard Castagnède,Odile Leperre-Verrier,Pierre Pradier,Christine Mustin-Mayer,Dominique Saint-Pierre etAntoinette Fouque.

Le, le parti abrège son nom pour s'appeler tout simplement « Radical »[8], mais il garde en sous-titre la mention « Mouvement des radicaux de gauche, de la réforme et de la république ».

En,Jean-François Hory, président du mouvement, annonce sa candidature à l'élection présidentielle d'avril suivant ; il propose notamment la« mise hors la loi » du chômage des jeunes et la« fiscalisation de la protection sociale »[9]. Il se retire quelques mois plus tard, devant les sondages défavorables[10] et faute de soutien de Bernard Tapie et des cadres du MRG (Émile Zuccarelli,Michel Crépeau ouRoger-Gérard Schwartzenberg, qui préfèrent soutenirLionel Jospin dès le premier tour)[11]. Jean-François Hory quitte alors la présidence du MRG.

1996-1998 : Parti radical-socialiste

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En,Jean-Michel Baylet succède à Jean-François Hory et s'associe avec une autre figure médiatique,Bernard Kouchner qui est alors nommé « président délégué à l'innovation politique »[12]. Le parti est rebaptisé Parti radical-socialiste (PRS) le[8].

Aux élections législatives de 1997, au sein de lagauche plurielle, le PRS obtient 14 élus ou apparentés et participe au gouvernement. Jusqu'en 2002[13], ces députés siègent à l'Assemblée nationale aux côtés desVerts et deschevènementistes au sein duGroupe radical, citoyen et vert (RCV).

1998-2017 : Parti radical de gauche

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Présidence de Jean-Michel Baylet (jusqu’en 2016)

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Jean-Michel Baylet, président du parti de 1996 à 2016, candidat à laprimaire de gauche de 2011.

Le parti est rebaptisé Parti radical de gauche le[8].

Durant l'élection présidentielle de 2002, le PRG choisit d'être représenté par une personnalité non membre,Christiane Taubira, députée deGuyane. Cette décision crée au sein du PRG de fortes tensions, plusieurs de ses élus et dirigeants et au premier plan d'entre euxÉmile Zuccarelli choisissant de soutenir la candidature du républicainJean-Pierre Chevènement. Christiane Taubira obtient 2,32 % au scrutin présidentiel. Elle intègre provisoirement le PRG en qualité de vice-présidente avant de renoncer à cette fonction en 2005 et d'appeler avec Émile Zuccarelli et une majorité de députés PRG à voter « non » au référendum du sur le projet de Traité constitutionnel européen. Le PRG apparaît alors divisé entre un courant « social-libéral » autour deJean-Michel Baylet et un courant républicain de gauche conduit par Émile Zuccarelli conforté par ses victoires consécutives au référendum insulaire puis au référendum sur le TCE.

Pour l'élection présidentielle de 2007, les militants réunis en congrès extraordinaire ont validé à une forte majorité la stratégie d'union avec le Parti socialiste dès le premier tour de l'élection présidentielle. Il en résulte un accord global entre le PS et le PRG pour les législatives : 36 circonscriptions électorales lui sont réservées. La majorité élue étant de droite, le PRG obtient neuf députés dont cinq femmes. Plusieurs sortants sont battus :Émile Zuccarelli,Roger-Gérard Schwartzenberg,François Huwart… Faute d'avoir obtenu la réduction à 15 députés du seuil de constitution d'ungroupe parlementaire, les députés radicaux de gauche constituent le groupeSocialiste, radical, citoyen et divers gauche (SRC) avec les députés duParti socialiste et duMouvement républicain et citoyen. Le groupe SRC est présidé parJean-Marc Ayrault.

En 2008, six députés radicaux de gauche[14] et des sénateurs du RDSE se prononcent en faveur de la révision de la constitution et contribuent à ce que celle-ci soit adoptée.

Lors desélections régionales de 2010, la vague rose apparue lors des précédentes élections régionales de 2004 est consolidée, le PS et le PRG gardent toutes leurs régions. Le PRG arrache la Corse à la droite. Il ne reste à la droite que l’Alsace. D’ailleurs, si dans toutes les régions le PS est tête de liste et le PRG son allié, en Corse la situation est inversée. Le PRG fort de son ancrage local présente deux listes: une avecÉmile Zuccarelli, maire deBastia à sa tête et une avecPaul Giacobbi, fils du1er président de la région Corse. La liste Giacobbi arrive devant, les deux listes PRG fusionnent et gagnent les élections territoriales. LaCollectivité territoriale de Corse repasse aux mains des radicaux de gauche 26 ans après l’avoir dirigée. Paul Giacobbi est éluprésident du conseil exécutif de Corse, le 25 mars 2010 ; il le reste jusqu’en décembre 2015.

Jean-Michel Baylet se présente à laprimaire citoyenne de 2011 organisée par leParti socialiste afin de faire candidature commune à la présidentielle. Il finit en dernière position avec 0,6 % des voix. En, les statuts d'un « Pôle radical et écologiste » sont signés entre le PRG etGénération écologie[15],[16].

À la suite des électionsprésidentielle etlégislatives de 2012, à l'entrée de plusieurs ministres PRG augouvernement (Anne-Marie Escoffier,Sylvia Pinel,Christiane Taubira), le PRG forme, à l'Assemblée nationale, avec un députéMdP (Jean-Noël Carpentier), un dissidentPS (Olivier Falorni), un éluMoDem (Thierry Robert) et un éluGUSR (Ary Chalus), le groupe parlementaireRadical, républicain, démocrate et progressiste (RRDP).Paul Giacobbi quitte en 2014 le PRG en raison de conflits avec la direction nationale de son parti.

Présidence de Sylvia Pinel (2016-2017)

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Sylvia Pinel, présidente du PRG de 2016 à 2017 et candidate à laprimaire de gauche de 2017.

Le, Sylvia Pinel succède àJean-Michel Baylet à la présidence du PRG. Exerçant cette charge par intérim, elle doit affronter lors du congrès de septembre un autre candidat à la présidence du parti, Guilhem Porcheron, ce qui rompt avec les pratiques en cours sous la présidence de Jean-Michel Baylet, qui était élu par acclamation ou à mains levées[17]. Après avoir annoncé sa candidature l'élection présidentielle de 2017 sans passer par laprimaire de gauche, Sylvia Pinel fait voter sa participation à ladite primaire[18],[19] : elle termine en avant-dernière position, avec 2,02 % des voix[20]. Alors que le parti soutient le vainqueur de la primaire,Benoît Hamon, plusieurs personnalités du PRG, comme Jean-Michel Baylet,Thierry Braillard etAnnick Girardin, appellent à voter pour le candidatEn marche,Emmanuel Macron[21],[22].

Annick Girardin etJacques Mézard font leur entrée dans legouvernement Édouard Philippe après la victoire d’Emmanuel Macron. Si le PRG propose au nouveau président« une coalition large de gouvernement, capable de lui assurer une majorité présidentielle pour agir utilement dans l'intérêt de la France et des Français », aucun accord électoral n'est conclu entre les deux partis, leMoDem étant l'unique parti à être associé parLa République en marche aux élections législatives[23]. Après le scrutin, le PRG essaie sans succès de constituer à l'Assemblée nationale un groupe indépendant dugroupe socialiste rassemblant les radicaux de gauche, des dissidents socialistes (commeManuel Valls), des divers gauche et des écologistes[24].

2017-2019 : fusion au sein du Mouvement radical

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Article connexe :Mouvement radical.

Historiquement, une fusion a régulièrement été envisagée avec leparti radical « valoisien ». Ainsi, en 2007,Jean-Michel Baylet etJean-Louis Borloo (parti radical) font part de leur souhait de fusion des deux mouvements[25].

Après les élections législatives de 2017, le projet de fusion prend corps[26]. Le 15 et, les deux partis se rassemblent lors d'universités d'été communes àMontpellier[27]. Pour l'occasion, trois noms ont été déposés pour le nouveau parti réunifié :Les Progressistes,Force sociale et libérale etLa République radicale[27]. La réunification des deux partis est soumise au vote lors du congrès organisé conjointement par les deux partis les 9 et[28]. Les deux partis fusionnent en unMouvement radical (MR)[29]. Le parti réunifié est coprésidé, durant une période de transition de deux ans, parLaurent Hénart etSylvia Pinel[30].

Opposés à la fusion,Virginie Rozière etStéphane Saint-André annoncent la création d'un nouveau mouvement politique, Les Radicaux de gauche, dont ils sont les co-présidents[31]. En réaction, Sylvia Pinel les démet de leurs fonctions au sein du PRG[32].

Depuis 2019 : relance du parti

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Guillaume Lacroix, président du PRG depuis 2019.

Le, avant l'extinction de la période transitoire de deux ans à l'issue de laquelle le PRV et le PRG devaient pleinement fusionner, le comité exécutif du PRG quitte le Mouvement radical, redoutant que ce dernier ne rejoigne la majorité présidentielle d'Emmanuel Macron lors de son congrès du[33]. En effet, une partie du MR avait tendu la main àLa République en marche en vue desélections européennes[34].Guillaume Lacroix est élu à cette occasion président du PRG[35]. Sylvia Pinel s'associe à cette démarche et renonce à la co-présidence du MR[36].

Le, le PRG se réunit pour officialiser la décision[37],[38]. Son président annonce vouloir à cette occasion « refonder le centre-gauche » et appeler à la « création d'une fédération des forces humanistes et sociales »[37].

Lors de la convention nationale du PRG du, le parti change de nom et devient « PRG – Le centre gauche »[39],[40]. Guillaume Lacroix est élu à bulletin secret ce même jour[41]. Le parti se présente comme un allié de l'ancien Premier ministre socialisteBernard Cazeneuve[40].

Le 18 décembre 2021, le PRG annonce son soutien à la candidature deChristiane Taubira à l'élection présidentielle de 2022, alors que celle-ci a annoncé la possibilité d'une candidature[42],[43]. Finalement, le parti annonce le 14 février 2022 se mettre en retrait de cette candidature ajoutant que les élus PRG seraient libres de soutenirChristiane Taubira. Le parti ne soutient, en ce sens, aucun candidat, regrettant l'impossibilité pour la gauche de s'unir pour cette élection présidentielle[44].

Pour leslégislatives de 2022, le Parti radical de gauche ne rejoint pas laNUPES aux côtés desinsoumis, desécologistes, dessocialistes et descommunistes et ainsi présente des candidatures indépendantes dans une centaine de circonscriptions[45],[46]. La formation souhaite rallier les candidatssocialistes dissidents, également opposés à la NUPES, au sein d'une « Gauche au réel » (républicaine, écologiste, européenne et laïque) qui doit rassembler le centre gauche opposé àEmmanuel Macron.

Le Parti radical de gauche perd ses deux sièges de députés lors de ces dernières législatives mais conserve un député apparenté (Olivier Falorni)[47],[48], qui rejoint toutefois le groupeMoDem trois mois plus tard[49].

Après l'élection présidentielle de 2022, et en réaction à la création de laNUPES, quelques élus locaux rejoignent le PRG[50],[51] et les députés socialistes « dissidents » se rattachent financièrement au PRG.

Le, le PRG rejointLa Convention, mouvement créé par l'ancien Premier ministre socialisteBernard Cazeneuve, qu'il a d'ailleurs initialement soutenu pour la présidentielle[52],[53],[54].

Lors de la Convention national du parti, le, devant la présence de Bernard Cazeneuve, Guillaume Lacroix annonce la candidature de son parti aux européennes, il prendra la tête de cette liste[55],[56].

Le, le PRG annonce la création d'une coalition pour l'Europe et les territoires « anti-Nupes » pour les élections européennes,« une liste de rassemblement affranchie de tout extrémisme, représentative de toute la société et respectueuse de tous les territoires »[57],[58]. Cette coalition regroupe outre le PRG, les régionalistes deRégions et peuples solidaires, les pro-européens deVolt France. Elle est rejointe par les composantes du mouvement de la Convention deBernard Cazeneuve comme leMouvement des citoyens, leMouvement des progressistes et le Collectif des sociaux-démocrates réformateurs (dissidents deTerritoires de progrès)[59],[60].

Le, lors du meeting qui se tient àLabège (près de Toulouse), le PRG et ses alliés dévoilent le programme et les 81 noms de leur liste pour lesélections européennes de 2024, dénommée (ETE) « Europe, Territoires, Écologie »[61],[62].

Prenant acte du résultat des élections européennes, le PRG soutient« tous les candidats républicains » ou« qui partagent ses valeurs », en refusant de soutenir les candidats issus deLes Écologistes ouLa France insoumise capables de l'emporter contre l'extrême droite[63].

Présidents

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PortraitNomDates du mandatDénomination du parti
Robert Fabre
MGRS puis MRG
Michel Crépeau[64]
MRG
Roger-Gérard Schwartzenberg
(intérim)[64]

(élection)
Jean-Michel Baylet19831985
François Doubin19851988
Yvon Collin19881989
Émile Zuccarelli19891992
Jean-François Hory14 juin 199218 octobre 1995
Radical
Vacance de la présidence du au.
La direction collégiale est assurée par les trois vice-présidents jusqu'au prochain congrès du parti[65].
Jean-Michel Baylet
Parti radical-socialiste puis PRG
La vice-présidenteSylvia Pinel assure l'intérim du au.
Sylvia Pinel9 décembre 2017
PRG
Disparition du parti par sa fusion dans leMouvement radical avant sa relance en 2019.
Guillaume Lacroix6 février 2019En fonction
PRG

Identité visuelle

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  • Logo du MRG de 1973 à 1994.
    Logo du MRG
    de 1973 à 1994.
  • Logo de Radical de 1994 à 1996.
    Logo de Radical
    de 1994 à 1996.
  • Logo du PRS de 1996 à 1998.
    Logo du PRS
    de 1996 à 1998.
  • Logo du PRG de 1998 à 2009.
    Logo du PRG
    de 1998 à 2009.
  • Logo du PRG de 2009 à 2013.
    Logo du PRG
    de 2009 à 2013.
  • Logo du PRG de 2013 à 2016.
    Logo du PRG
    de 2013 à 2016.
  • Logo du PRG de 2016 à 2019.
    Logo du PRG
    de 2016 à 2019.
  • Logo du PRG depuis 2019.
    Logo du PRG
    depuis 2019.

Membres de gouvernements

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Anciennes fonctions gouvernementales occupées par des personnalités issues du parti

Les personnalités suivantes, issues du parti, ont été membre d'un gouvernement :

 

Résultats électoraux

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Élections présidentielles

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AnnéeCandidatPremier tourSecond tourStatut
Voix%RangVoix%Rang
1974soutien àFrançois Mitterrand
1981Michel Crépeau642 8472,217esoutien àFrançois MitterrandÉliminé
1988soutien àFrançois Mitterrand
1995soutien àLionel Jospin
2002Christiane Taubira660 4472,3213eappelle à voter contreJean-Marie Le PenÉliminée
2007soutien àSégolène Royal
2012soutien àFrançois Hollande
2017soutien àBenoît Hamon
2022soutien à aucun candidat

Élections législatives

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Année%Sièges[66]StatutGouvernement
1er tour2d tour
19732,8?
13  / 490
Opposition
19782,12,4
10  / 491
Opposition
19811,4?
14  / 491
Majorité absolue
19860,4
7  / 577
Opposition
19881,11,3
9  / 577
Majorité absolue puis relative
19930,91,2
6  / 577
Opposition
19971,42,2
13  / 577
Majorité absolue
20021,52,1
7  / 577
Opposition
20071,31,6
8  / 577
Opposition
20121,72,3
12  / 577
Majorité absolue
20170,50,4
3  / 577
Majorité absolue puis Opposition
20220,50,2
1  / 577
Majorité relative
20240,1
0  / 577
Extra-parlementaire

Élections européennes

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AnnéeVoix%SiègesRangTête de listeGroupe
1979a 4 763 02623,5
2  / 81
2eFrançois Mitterrand(PS)SOC
1984b 670 4743,32
0  / 81
6eOlivier Stirn(UCR)Aucun
1989a 4 286 35423,6
5  / 81
2eLaurent Fabius(PS)SOC
19942 344 45712,03
13  / 87
4eBernard Tapie(MRG)ARE
1999c 3 874 23122,0
2  / 87
1erFrançois Hollande(PS)PSE
2004121 5730,71
0  / 78
14eCirconscription régionale
2009Ne se présente pas.
2014a 2 650 35714,0
1  / 74
3eCirconscription régionaleS&D
2019d 1 403 1706,19
0  / 79
6eRaphaël Glucksmann(PP)S&D
2024e 63 4970,26
0  / 81
17eGuillaume Lacroix(PRG)

a Liste commune avec leParti socialiste (1979 : 20 sièges ; 1989 : 17 sièges ; 2014 : 12 sièges).
b Liste commune avec leUCR (0 siège) et leMEP (0 siège).
c Liste commune avec leParti socialiste (18 sièges) et leMouvement des citoyens (2 sièges).
d Liste commune avecPlace publique (2 sièges),Nouvelle Donne (1 siège) et leParti socialiste (3 sièges).
e Liste commune avecRégions et Peuples solidaires,Volt France, leMouvement des Citoyens, leMouvement des Progressistes, le CSDR et l'Avenir n'attend pas.


Élections régionales

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AnnéeVoix%Sièges[67]Présidents

(membre du PRG)

198611 416 135

(Programme commun: PS - PRG - PCF)

41,72
27  / 1776
0  / 26
19926 024 904

(UnionPS -PCF - PRG)

24,46
13  / 1859
0  / 26
19988 005 830Gauche plurielle36,55
27  / 1827
0  / 26
200412 896 828

(UnionPS - PRG -Les Verts -PCF)

49,92
64  / 1880
0  / 26
201011 456 758

(AlliancePS - PRG -MRC)

54,05
70  / 1839
1  / 26
20158 083 168

(PS - PRG -MRC)

32,12
36  / 1757
0  / 18
2021
34  / 1757
0  / 18

Élections cantonales et départementales

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AnnéePremier tourSecond tourConseillersPrésidents
Voix%RangVoix%Rang
1973164 7121,99NC
68  / 1926
 / 100
1976253 1582,44NC169 9282,68NC
97  / 1863
 / 101
1979203 1571,89NC136 6551,88NC
25  / 1847
 / 101
1982217 1431,72NC132 7981,74NC
61  / 2014
5  / 101
1985173 3481,72NC139 2661,78NC
57  / 2044
 / 100
1988129 8471,42NC91 1531,52NC
44  / 2043
 / 100
1992108 7640,88NC88 7741,04NC
33  / 1945
4  / 100
1994130 1781,19NC73 5480,92NC
26  / 1922
3  / 100
1998119 2721,05NC88 5241,04NC
28  / 2038
5  / 100
2001150 6951,23NC100 1431,33NC
26  / 1997
4  / 100
2004156 2961,27NC134 3651,29NC
44  / 2034
3  / 100
2008183 2081,37NC100 8611,47NC
84  / 2020
2  / 100
2011135 9581,48NC119 6971,51NC
51  / 2026
3  / 101
201562 3700,31NC64 1100,35NC
63  / 4108
3  / 98
2021NCNCNCNCNCNC
87  / 4058
2  / 95

Élus

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Députés

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À la suite desélections législatives de juin 2017, le PRG remporte deux sièges sous étiquette PRG et en tant que soutiens de la majorité présidentielle[68]. Les sortantsAlain Tourret (LREM), suspendu de ses fonctions au sein du PRG pour son soutien à Emmanuel Macron[69] et opposé à une candidate PRG sur sa circonscription[70],Joël Giraud (PRG) etJacques Krabal (PRG) sont quant à eux réélus sous une autre étiquette. En outre,Stéphane Mazars etAnne Blanc sont des conseillers départementaux et membres du PRG mais sont élus à l'Assemblée nationale sous l'étiquette LREM.Stéphanie Kerbarh est quant à elle aussi membre du PRG[71] lors de son élection tout en recevant l'investiture LREM[72].

Annick Girardin étant nommée au gouvernement en, son suppléant,Stéphane Claireaux, devient député[73].

Neuf députés français MRG élus en 1988
IdentitéCirconscription
Jean-Michel Baylet2e circonscription deTarn-et-Garonne
Alain Paul Bonnet3e circonscription deDordogne
Bernard Charles1re circonscription deLot
Michel Crépeau4e circonscription deCharente-Maritime
Jean-Pierre Defontaine1re circonscription duPas de Calais
Kamilo Gata(depuis 1989)1re circonscription deWallis-et-Futuna
Claude Gaits2e circonscription desHautes-Pyrénées
Roger-Gérard Schwartzenberg3e circonscription duVal-de-Marne
Lionel Stoléru5e circonscription de l'Oise
Émile Zuccarelli1re circonscription deHaute-Corse
 
Six députés français MRG élus en 1993
IdentitéCirconscription
Bernard Charles1re circonscription deLot
Jean-Pierre Defontaine1re circonscription duPas de Calais
Kamilo Gata1re circonscription deWallis-et-Futuna
Roger-Gérard Schwartzenberg3e circonscription duVal-de-Marne
Bernard Tapie10e circonscription desBouches-du-Rhône
Émile Zuccarelli1re circonscription de laHaute-Corse
 
Quatorze députés français PRS et apparentés (*) élus en 1997
IdentitéCirconscription
Jean-Pierre Defontaine1re circonscription duPas de Calais
Gérard Charasse1re circonscription de l'Allier
Bernard Charles1re circonscription deLot
Michel Crépeau4e circonscription deCharente-Maritime
Jacques Dondoux2e circonscription de l'Ardèche
Robert Honde2e circonscription desAlpes-de-Haute-Provence
François Huwart3e circonscription d'Eure-et-Loir
Jean-Paul Nunzi2e circonscription duTarn-et-Garonne
Jacques Rebillard2e circonscription deSaône-et-Loire
Jean Rigal2e circonscription d'Aveyron
Christiane Taubira*1re circonscription deGuyane
Alain Tourret6e circonscription duCalvados
Roger-Gérard Schwartzenberg3e circonscription duVal-de-Marne
Émile Zuccarelli1re circonscription de laHaute-Corse
 
Huit députés français PRG et apparentés (*) élus en 2002
IdentitéCirconscription
Jean-Pierre Defontaine1re circonscription duPas de Calais
Gérard Charasse3e circonscription de l'Allier
Paul Giacobbi2e circonscription de laHaute-Corse
Joël Giraud2e circonscription desHautes-Alpes
Chantal Robin-Rodrigo2e circonscription desHautes-Pyrénées
Christiane Taubira*1re circonscription deGuyane
Roger-Gérard Schwartzenberg3e circonscription duVal-de-Marne
Émile Zuccarelli1re circonscription de laHaute-Corse
 
Un député français PRG élu en 2003 (élection partielle)
IdentitéCirconscription
François Huwart3e circonscription d'Eure-et-Loir
 
Onze députés français PRG et apparentés (*) élus en 2007
IdentitéCirconscription
Chantal Berthelot*2e circonscription deGuyane
Gérard Charasse3e circonscription de l'Allier
Paul Giacobbi2e circonscription de laHaute-Corse
Annick Girardin1re circonscription deSaint-Pierre-et-Miquelon
Joël Giraud2e circonscription desHautes-Alpes
Albert Likuvalu*1re circonscription deWallis-et-Futuna
Jeanny Marc*3e circonscription duGuadeloupe
Dominique Orliac1re circonscription duLot
Sylvia Pinel2e circonscription duTarn-et-Garonne
Chantal Robin-Rodrigo2e circonscription desHautes-Pyrénées
Christiane Taubira*1re circonscription deGuyane
 
Treize députés français PRG et apparentés (*) élus en 2012
IdentitéCirconscription
Chantal Berthelot*2e circonscription deGuyane
Thierry Braillard1re circonscription duRhône
Gérard Charasse3e circonscription de l'Allier
Jeanine Dubié2e circonscription desHautes-Pyrénées
Paul Giacobbi *2e circonscription de laHaute-Corse
Annick Girardin1re circonscription deSaint-Pierre-et-Miquelon
Joël Giraud2e circonscription desHautes-Alpes
Jacques Krabal5e circonscription de l'Aisne
Dominique Orliac1re circonscription duLot
Sylvia Pinel2e circonscription duTarn-et-Garonne
Stéphane Saint-André9e circonscription duPas-de-Calais
Roger-Gérard Schwartzenberg3e circonscription duVal-de-Marne
Alain Tourret6e circonscription duCalvados
 
Une députée française PRG élue en 2014 (élection partielle)
IdentitéCirconscription
Annick Girardin1re circonscription deSaint-Pierre-et-Miquelon
 
Législature 2017-2022
Députés membres du PRG en 2017-2022
IdentitéCirconscriptionGroupe parlementaire
Jeanine Dubié2e circonscription des Hautes-PyrénéesLT
Olivier Falorni1re circonscription de Charente-MaritimeLT
Sylvia Pinel2e circonscription de Tarn-et-GaronneLT
Députés élus aux législatives de 2017 restés au MR ou ayant rejoint LREM
IdentitéCirconscriptionGroupe parlementaire
Annick GirardinCirconscription de Saint-Pierre-et-MiquelonLREM
Stéphane Claireaux
Anne Blanc2e circonscription de l'AveyronLREM
Joël Giraud2e circonscription des Hautes-AlpesLREM
Stéphanie Kerbarh9e circonscription de la Seine-MaritimeLREM puisLT
Jacques Krabal5e circonscription de l'AisneLREM
Stéphane Mazars1re circonscription de l'AveyronLREM
Alain Tourret6e circonscription circonscription du CalvadosLREM
 

Sénateurs

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Mandature 2020-2026

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DépartementNomGroupeRemarques
Alpes-de-Haute-ProvenceJean-Yves RouxRDSE
HéraultChristian BilhacRDSE
Hautes-PyrénéesMaryse CARRÈRERDSE

Mandature 2023-2029

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DépartementNomGroupeRemarques
Hautes-PyrénéesMaryse CarrèreRDSE
Seine-Saint-DenisAhmed LaouedjRDSE
Puy de DômeEric GoldRDSE

Structures associées

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Les JRG - Jeunes de centre gauche sont reconstitués lors de la convention du PRG de 2019. Ils regroupent les adhérents du parti âgés entre 15 et 29 ans[74].

Les élus membres du PRG sont regroupés au sein de l'Association nationale des élus de la gauche radicale et républicaine (ANEGRR).

À la télévision

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Le Parti radical de gauche est mentionné sur les affiches de campagne des candidats de gauche dans la sérieBaron noir et plus particulièrement pendant la campagne présidentielle de Philippe Rickwaert.

Notes et références

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  1. (en) Wolfram Nordsieck, « Parties and Elections in Europe »(consulté le).
  2. « Haute-Garonne : Joseph Carles de retour au Parti radical de gauche »(consulté le)
  3. « Pour affronter le "nouveau monde", les radicaux veulent renaître de leur centre », surLExpress.fr(consulté le).
  4. « 40e anniversaire de la1re élection de Michel Crépeau à l'Assemblée nationale », surassemblee-nationale.fr,(consulté le).
  5. « Parti démocrate français », surdate.bnf.fr
  6. « Interview de M. Bernard Tapie, député MRG, à TF1 le 23 mai 1993, sur la stratégie du MRG, l'emploi, les projets gouvernementaux sur les contrôles d'identité et le code de la nationalité, et l'OM », surdiscours.vie-publique.fr
  7. « Tapie va sur les terres d'un député MRG », surL'Humanité,.
  8. ab etc« Parti Radical de Gauche PRG », surfrance-politique.fr(consulté le)
  9. « Jean-François Hory se présente à l'Élysée », surhumanite.fr,.
  10. Florent Leclercq, « Lionel Jospin de A à Z »,L'Express, 24 avril 1995
  11. « Jean-François Hory, ancien président des radicaux de gauche, est mort »,Le Monde,‎(lire en ligneAccès libre, consulté le)
  12. Burnier 2008,p. 405-407.
  13. Clarisse Vernhes, « La gauche à reconstruire », surRFI,
  14. Gérard Charasse,Paul Giacobbi,Annick Girardin,Joël Giraud,Dominique Orliac,Sylvia Pinel, « En attendant la Sixième République… »,Le Figaro, 21 juillet 2008.
  15. « Baptême du Pôle Radical et Écologique », generation-ecologie.fr, consulté le 21 décembre 2011
  16. « Création du « pôle radical et écologique », planeteradicale.org, consulté le 21 décembre 2011
  17. Étienne Baldit,« Historique : Sylvia Pinel aura bien un concurrent pour la présidence du PRG », lelab.europe1.fr, 19 juillet 2016.
  18. Ludovic Galtier, « Sylvia Pinel (PRG) annonce sa candidature sans passer par la primaire », surrtl.fr(consulté le)
  19. Laurent Dubois, « Sylvia Pinel candidate à la primaire de la gauche »,France 3 – Le blog politique,‎(lire en ligne, consulté le).
  20. « Le PRG de Sylvia Pinel soutient Benoît Hamon », surladepeche.fr,(consulté le)
  21. Arthur Berdah, « Le ministre PRG Jean-Michel Baylet rejoint à son tour Emmanuel Macron », surLe Figaro(consulté le)
  22. « Présidentielle : au sein du gouvernement, qui soutient Hamon, qui soutient Macron ? »,Le Monde.fr,‎(ISSN 1950-6244,lire en ligne, consulté le).
  23. « Le PRG appelle à voter Macron », surLe Point,(consulté le)
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  25. « MM. Baylet et Borloo veulent réunir les radicaux de gauche et de droite », surLe Monde,(consulté le).
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  32. « En créant son parti, Stéphane Saint-André s’attire les foudres du Parti radical de gauche »(consulté le).
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  35. « Le Parti Radical de Gauche en divorce du Mouvement Radical Social Libéral », surprgcerclecaen.wordpress.com,(consulté le)
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  59. « Elections européennes 2024 : le Parti radical de gauche et ses alliés lancent leur liste »,Le Monde.fr,‎(lire en ligne, consulté le)
  60. FabienCazenave, « Européennes. Le PRG, l’UDB et Volt annoncent les cinq premiers noms de leur liste commune », surOuest-France.fr,(consulté le)
  61. « Européennes : la coalition "ETE" emmenée par le PRG dévoile liste et programme », surladepeche.fr(consulté le)
  62. « Européennes 2024 : le PRG ou la "gauche anti-Nupes" », surFrance 3 Nouvelle-Aquitaine,(consulté le)
  63. « Législatives 2024 en Haute-Garonne : le PRG soutient les trois candidats socialistes », surladepeche.fr(consulté le)
  64. a etb« Un animal à sang froid »,Le Monde,‎(lire en ligne, consulté le)
  65. « RADICAL Jean-François Hory démissionne de la présidence », surLa Croix,(consulté le)
  66. Pour les sièges obtenus entre 1973 et 2012, voir :« Chronologie du Parti radical de gauche (PRG) », sur france-politique.fr, site deLaurent de Boissieu.
  67. Pour les sièges obtenus entre 1986 et 2010, voir :« Chronologie du Parti radical de gauche (PRG) », sur france-politique.fr, site deLaurent de Boissieu.
  68. « Affiche de campagne de Sylvia Pinel 2017 »
  69. « Alain Tourret suspendu de ses fonctions au PRG pour son soutien à Macron », surfrance3-regions.francetvinfo.fr,(consulté le)
  70. Fanny Laison, « Législatives. Le PRG présente une candidate face à Alain Tourret », surOuest-France.fr,(consulté le)
  71. AFP, « A Montpellier, les radicaux clament leur volonté d'union et d'indépendance », surfrance24.com,(consulté le)
  72. Stéphanie Kerbarh, « Votre députée de Seine-Maritime - Stéphanie Kerbarh », surdeputee-stephanie-kerbarh.fr(consulté le)
  73. Vincent Coquaz, « Combien de députés LREM ont quitté leur groupe à l'Assemblée nationale ? », surLibération,(consulté le).
  74. « Nos statuts », surpartiradicaldegauche.fr(consulté le)

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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