Movatterモバイル変換


[0]ホーム

URL:


Aller au contenu
Wikipédial'encyclopédie libre
Rechercher

Paraphilie

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Page d’aide sur l’homonymie

Pour l’article ayant un titre homophone, voirParaphylie.

Page d’aide sur les redirections

« Perversion sexuelle » redirige ici. Pour les autres significations, voirPerversion (homonymie).

Page d’aide sur les redirections

« Déviation sexuelle » redirige ici. Pour le film d'horreur, voirDéviation sexuelle (film).

Uneparaphilie (dugrecπαρά /pará, « auprès de, à côté de » etφιλία /philía, « amitié, amour ») est unepratique sexuelle qui diffère des actes traditionnellement considérés comme normaux, ou le fait d'éprouver uneattirance sexuelle considérée comme anormale. Elle n'est donc pas considérée comme un trouble mental, à la différence dutrouble paraphilique, qui est diagnostiqué lorsque la paraphilie cause une détresse ou une altération cliniquement significative dans la vie de la personne, ou lorsqu'elle entraîne des comportements qui nuisent à autrui. L'acceptation des paraphilies varie selon les pays, et des pratiques que la loi proscrit peuvent être classées comme des délits ou descrimes sexuels.

Dessin de Martin van Maële. Illustration de l'ouvrage de Pierre Mac Orlan,La Comtesse au fouet, Jean Fort, coll, Paris, 1926.

Le terme de « paraphilie » a été proposé parFriedrich Salomon Krauss (en) en 1903[1]. Il est utilisé dans certainsmilieux psychiatriques auxÉtats-Unis à la place du mot « perversion », considéré comme péjoratif. Le sexologue néo-zélandaisJohn Money l’a popularisé dans les années 1970 en tant que désignation non péjorative pour classifier « les intérêts sexuels inhabituels »[2],[3],[4],[5]. Il décrit la paraphilie comme un« embellissement sexo-érotique, ou alternative à la norme officielle idéologique »[6].

Avant l'introduction du terme « paraphilie » dans leDSM-III (1980), le terme de « déviance sexuelle » était utilisé pour classifier la plupart des paraphilies dans les deux premières éditions du manuel[7],[8] décrivant les paraphilies en tant que « fantaisie, désir ou comportement sexuellement intense » incluant notamment et généralement des attirances pour des pratiques telles que l'exhibitionnisme, l'utilisation d'objets inanimés, le non-consentement d'une personne et, donc, leviol, lefétichisme, lefrotteurisme, lapédophilie, lemasochisme, lesadisme sexuel, letravestissement fétichiste ou levoyeurisme pathologique.

Lesparaphilies doivent être distinguées notamment desproblèmes psychiques etcomportementaux associés audéveloppement psychosexuel, ou des dysfonctionnements sexuels.

Généralité

[modifier |modifier le code]

Liste de paraphilies

[modifier |modifier le code]
Article détaillé :Liste de paraphilies.

En 2018, leManuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM) liste huit paraphilies majeures[9][source insuffisante],[10]. Selon cet ouvrage, pour qu'une paraphilie soit diagnostiquée, l'objet de la déviance doit être la seule source de gratification sexuelle pendant une période d'au moins six mois et doit causer « une détresse clinique notable ou un handicap dans le domaine social, professionnel ou autres domaines fonctionnels importants », ou impliquer une violation du consentement d'autrui[11]. LeDSM classe également une large liste de paraphilies.

Perceptions cliniques

[modifier |modifier le code]

Principe contestable

[modifier |modifier le code]

Apparu dans le volumineux ouvrage deRichard von Krafft-Ebing (1840-1902) dansPsychopatia sexualis (1886), l’idée même d’une systématique du comportement sexuel s’apparentant à la notion deperversion est aujourd’hui très contestée : le « véritable » paraphile devanta fortiori, en tant quepsychopathe/sociopathe, satisfaire l'objet de sadéviance pour s’exciter sexuellement.

La question de la paraphilie peut être abordée sous l’angle social et ses limites s’intègrent à une interrogation juridique. Le philosopheMichel Onfray, dans son ouvrage intituléLe souci des plaisirs. Construction d'une érotique solaire[12], propose de contrer cette démarche en se réorientant sur la notion de contrat intersubjectif s’approchant de celle adoptée parCharles Fourier en 1817 dansLe Nouveau Monde amoureux : l’utopiste admet qu’il existe une infinité de sexualités et de fantasmes mais que les individus peuvent « compléter » tout en sachant que« ce qui fait plaisir à plusieurs personnes sans préjudicier à aucune est toujours un bien sur lequel on doit spéculer en Harmonie, où il est nécessaire de varier les plaisirs à l’infini »[réf. souhaitée].

Toutes les paraphilies ont cependant un dénominateur commun : il s’agit dans tous les cas d’une pulsion sexuelle nécessitant un passage à l’acte pour faire disparaître une tension. Il est important de distinguer parmi les paraphilies celles dont le passage à l’acte constitue nécessairement une atteinte à l’intégrité d’autrui, comme la pédophilie, l'exhibitionnisme, le voyeurisme ou le frotteurisme. Denise Medico, sexologue clinicienne, enseignante à l’Université de Genève, a analysé les mécanismes qui permettent de distinguer parmi les paraphilies celles qui ont le caractère d’une perversion entraînant souffrance pour autrui (notamment la pédophilie) et celles exemptes de perversité (le fétichisme par exemple)[13],[14][source insuffisante]. Une étude menée auprès de criminels sexuels et de criminels sexuels en série, a montré parmi les deux groupes un fort pourcentage de trouble dissociatifs de l'identité, de paraphilies et de biais psychopathiques, avec une plus forte prévalence chez les criminels sexuels en série[15]. Certaines paraphilies sont particulièrement enclines à commettre des agressions avec contact ou crimes sexuels, les personnes souffrant de sadisme et de scatophilie sont statistiquement plus sujettes a perpétrer des viols que les exhibitionnistes et les zoophiles[16].

Beaucoup de communautés paraphiles, en particulierfétichistes etBDSM, n'ont pas conscience de la charge traumatique qu'ils reproduisent et considèrent l'étrangeté des pratiques sexuelles comme purement subjective et dépendante du contexte sociétal[17]. Dans le cadre du BDSM, le sadique et le masochiste réactivent leurs circuits dissociatifs en provoquant une décharge hormonale similaire aux traumas initiaux : cortisol, adrénaline, oxytocin vont déréguler ses systèmes de plaisir et récompense en les associant à la violence et à l'humiliation[18],[19],. À chaque passage à l’acte, leur cerveau rejoue le programme traumatique, renforce les circuits neuronaux du fonctionnement traumatique, et éloignent un peu plus à chaque fois la possibilité de prise de conscience de la blessure traumatique initiale, et donc de sa prise en charge par des soins adaptés[20].

Causes

[modifier |modifier le code]

Les causes précises de développement d'une sexualité paraphilique sont multiples et différentes selon les personnes, mais il est admis par la recherche en psychologie que les traumas pendant l'enfance sont fortement corrélés au développement d'une sexualité paraphilique; en particulier les abus émotionnels, la négligence et les abus sexuels[21],[22]. Ces données devraient être prises en compte par toute personne souffrant d'une sexualité paraphiliques et cherchant du soin[23].

L’intrusion physique ou virtuelle dans l’intimité sexuelle de l’enfant, est une agression qui peut laisser des traces profondes dans la construction de l'identité sexuelle[21],[24]. L’exposition précoce à la pornographie peut suffire à causer des symptômes post traumatiques[25], comme le développement de troubles sexuels. En France, l’âge moyen de première exposition à la pornographie est à dix ans[26] et un enfant sur dix est victime de viol(s) ou d'agression(s) sexuelles[24]. Les paraphiles présentent souvent d’autres comorbidités psychiatriques comme la dépression, les troubles de l’attachement, l'anxiété, l’évitement émotionnel, les comportements obsessionnels ou compulsifs[27] et les troubles de l’identité[28]. L’ensemble de ces troubles sont des symptômes communs des violences physiques, psychiques, émotionnelles ou sexuelles pendant l’enfance et peuvent être soignés avec un accompagnement approprié en psycho-trauma[29].

Critères diagnostiques (DSM)

[modifier |modifier le code]

DSM-I et DSM-II

[modifier |modifier le code]

Dans la psychiatrie américaine, avec la première publication du DSM-I, les paraphilies étaient classées en tant que « personnalités psychopathes avec sexualité pathologique ». Le DSM-I (1952) inclut ladéviation sexuelle en tant quetrouble de la personnalité de sous-typepsychopathe. La spécificité des troubles devait être classifiée en tant que « terme supplémentaire » aux diagnostics des déviations sexuelles ; ces exemples de terme supplémentaire du DSM-I incluenthomosexualité, travestisme, pédophilie, fétichisme et sadisme sexuel. Il n'y avait aucune restriction dans le DSM-I sur ce que pouvait être ce terme supplémentaire[30].

Le DSM-II (1968) a maintenu l'utilisation du terme « déviations sexuelles », mais ne les assigne plus aux troubles de la personnalité, les catégorisant plutôt sous le terme de « troubles de la personnalité et certains autres troubles mentaux non psychotiques ». Les types de déviations sexuelles listés dans le DSM-II étaient :troubles de l'identité sexuelle (homosexualité), fétichisme, pédophilie, travestisme, exhibitionnisme, voyeurisme, sadisme, masochisme et « autre déviation sexuelle ». Aucune définition ou aucun exemple n’était donné pour la catégorie « autre déviation sexuelle », mais la catégorie générale de « déviation sexuelle » décrivait la préférence sexuelle des individus qui étaient « attirés par les objets plutôt que par les individus du sexe opposé, actes sexuels nécessairement non associés aucoït, ou portés sur les coïts de circonstances bizarres, comme la nécrophilie, la pédophilie, le sadisme sexuel et le fétichisme »[31]. À l'exception de la suppression de l'homosexualité dans le troisième ouvrage du DSM (DSM-III), cette définition générale a défini d'autres types de paraphilies dans les éditions du DSM, jusqu'au DSM-IV-TR[32].

DSM-III et DSM-IV-TR

[modifier |modifier le code]

Le terme « paraphilie » a été intronisé dans le DSM-III (1980) en tant que nouvelle catégorie des « troubles psychosexuels ». Les types de paraphilies listés étaient : fétichisme, travestisme, zoophilie, pédophilie, exhibitionnisme, voyeurisme, masochisme sexuel, sadisme sexuel et « paraphilie atypique ». Le DSM-III-R (1987) renomme cette catégorie en « troubles sexuels », paraphilie atypique en « paraphilie non spécifiée », affine la définition du travestisme en « travestissement fétichiste », ajoutefrotteurisme et supprimezoophilie, le classant dans les paraphilies non spécifiées. Il classe également sept autres exemples de paraphilies non spécifiées, qui, parmi la zoophilie, incluentscatologie téléphonique,nécrophilie,partialisme,coprophilie,klysmaphilie eturophilie[33].

Le DSM-IV (1994) retient la classification des troubles sexuels pour les paraphilies, mais ajoute également la catégorie « troubles de l'identité sexuelle et des genres », qui les classifie. Le DSM-IV retient les mêmes types de paraphilies listés dans le DSM-III-R, incluant les exemples non spécifiés et intronisant certains changements aux définitions de types spécifiques[32].

Les paraphilies sont définies par le DSM-IV-TR comme troubles sexuels caractérisés par des « comportements intenses et récurrents sexuellement fantaisistes, des grandes envies sexuelles impliquant généralement (1) objets inanimés, (2) souffrance et humiliation de soi ou d'un partenaire (3) enfants ou autre personne non consentante durant une période de plus de 6 mois (Critère A), qui peut « cliniquement causer une détresse sociale, d'occupation, ou autre zone importante du fonctionnement » (Critère B). Le DSM-IV-TR décrit 8 troubles spécifiques de ce type (exhibitionnisme, fétichisme, frotteurisme, pédophilie, masochisme sexuel, sadisme sexuel, voyeurisme et travestissement fétichiste) parmi une neuvième catégorie, paraphilie non spécifiée[34]. LeCritère B diffère de l'exhibitionnisme, du frotteurisme et de la pédophilie pour inclure l'acte de ses besoins, et du sadisme, acte de ses besoins sur une personne non consentante[35].

Certaines paraphilies peuvent interférer lors de relations sexuelles avec des partenaires consentants[36]. D'après le DSM, « les paraphilies ne sont presque jamais diagnostiquées chez les femmes »[36], mais certaines études sur les femmes ayant une ou plusieurs paraphilies ont été publiées[37].

LeDSM inclut les critères pour ces paraphilies :

  • Exhibitionnisme - besoin ou comportement actuel d'exposer ses parties génitales à d'autres personnes ou d'agir sexuellement en public.
  • Fétichisme sexuel - utilisation d'objets inanimés pour gagner une excitation sexuelle. Lepartialisme se réfère au fétichisme d'une partie spécifique du corps.
  • Objetsexualité - attribuant une personnalité à des objets
  • Frotteurisme - besoin ou comportement actuel de toucher ou se frotter contre une personne non consentante.
  • Pédophilie - préférence sexuelle pour les enfants[38].
  • Masochisme sexuel - besoin ou comportement actuel de recherche d'humiliation, d'être tapé, soumis ou de souffrir en tant que plaisir sexuel.
  • Sadisme sexuel - besoin ou comportement actuel de recherche de souffrance sur une autre personne en tant que plaisir sexuel.
  • Travestissement fétichiste :attirance etexcitation sexuelle dans le port des vêtements du sexe opposé[36],[39].
  • Voyeurisme : besoin ou comportement actuel d'observer un individu non suspicieux nu, dénudé ou engageant des rapports sexuels[40],[41].

D'autresparaphilies non spécifiées incluentscatologie téléphonique,nécrophilie,partialisme,zoophilie,coprophilie,klysmaphilie,urophilie,émétophilie. Les paraphilies du DSM sont équivalentes à la section des « troubles sexuels non spécifiés » duCIM-9.

Lecomportement sexuel en association avec des objets désignés en tant que plaisir sexuel n'est pas diagnostiqué dans le DSM-IV (DSM,p. 570)[36].

DSM-V

[modifier |modifier le code]

Le DSM-V fait la distinction entre paraphilie et trouble paraphilique en précisant que la paraphilie n'est pas en elle-même un trouble mental. Le trouble paraphilique est alors défini comme une paraphilie associée à une souffrance cliniquement significative ou à une altération du fonctionnement social, professionnel ou dans d'autres domaines importants[42].

Intensité et spécificité

[modifier |modifier le code]

Les cliniciens distinguent à travers les paraphilies optionnelles, préférées et exclusives[36], que la terminologie n'est pas complètement normalisée. Une paraphilie « optionnelle » est un moyen alternatif à l'attirance sexuelle. Par exemple, un homme ayant des intérêts sexuels autrement sans particularité pourrait parfois chercher ou intensifier son excitation sexuelle en portant des sous-vêtements féminins. Dans les paraphilies préférées, un individu préfère la paraphilie aux activités sexuelles, mais s'engage quand même dans des relations sexuelles. Par exemple, un homme peut préférer porter des sous-vêtements féminins durant ses activités, dès que possible. Dans les paraphilies exclusives, un individu est incapable d'être excité en l'absence de la paraphilie[pas clair][réf. nécessaire].

Essais cliniques

[modifier |modifier le code]

Le traitement des paraphilies et autres troubles liés ont été testés par les patients et cliniciens.Auparavant[Quand ?] quand l’inconscient humain n’était que faiblement exploré , lacastration chirurgicale était considérée comme thérapie pour les hommes atteints depédophilie, mais elle a été abandonnée car certains gouvernements considéraient cette méthode comme cruelle, d'autant plus que l'accord et le consentement de l'individu ne sont objectivement pas indiqués. Lesthérapies de groupe et lapharmacothérapie (dont le traitement hormonal anti-androgène souvent considéré comme « castration chimique ») ont été utilisés. D'autres traitements médicamenteux pour ces troubles existent cependant[43].

Notes et références

[modifier |modifier le code]
  1. (en) D.F. Janssen, « How to “Ascertain” Paraphilia? An Etymological Hint »,Archives of Sexual Behavior,‎(lire en ligne).
  2. (en) Michael Wiederman, « Paraphilia and Fetishism »,The Family Journal,vol. 11,no 3,‎,p. 315-321(lire en ligne).
  3. (en) VL Bullough,Science in the Bedroom : A History of Sex Research,Basic Books,, 281 p.(ISBN 978-0-465-07259-0).
  4. (en) C Moser,New Directions in Sex Therapy : Innovations and alternatives, Psychology Press,, 375 p.(ISBN 978-0-87630-967-4,lire en ligne), Part I: Critiques of conventional models of sex therapy.
  5. (en) S McCammon, D Knox et C Schacht,Choices in sexuality, Atomic Dog Publishing,, 476 p.(ISBN 978-1-59260-050-2).
  6. (en) JohnMoney,Gay, Straight, and In-Between : The Sexology of Erotic Orientation,Oxford University Press,(ISBN 978-0-19-506331-8).
  7. (en) D. Richard Laws et William T. O'Donohue,Sexual Deviance : Theory, Assessment, and Treatment,,p. 642.
  8. (en) « The diagnostic status of homosexuality in the DSM-III: a reformulation of the issues »,American Journal of Psychiatry,vol. 138,no 2,‎,p. 210-215(lire en ligne).
  9. (en)AxisI.
  10. Barlow D., Durand M.Psychopathologie : une perspective multidimensionnelle, De Boeck,2e édition, 2007.
  11. (en) Russell B. Hilliard et Robert L. Spitzer, « Change in Criterion for Paraphilias in DSM-IV-TR »,Am J Psychiatry,vol. 159,no 7,‎1er juillet 2002,p. 1249(lire en ligne, consulté le).
  12. Éditions Flammarion, 2008,p. 165-191.
  13. Denise Medico, MA, Certificat de sexologie clinique,Université de Genève, février 2006.
  14. http://www.gfmer.ch/Presentations_Fr/Pdf/Paraphilie_2006.pdf
  15. (en) Oliver Chan, Eric Beauregard, Wade C. Myers, « Single-victim and serial sexual homicide offenders: differences in crime, paraphilias and personality traits », surNational Library of Medicine,(consulté en)
  16. (en) Wade C. Myers, Heng Choon Chan, « Risky Sexual Behavior, Paraphilic Interest, and Sexual Offending », surPub Med,(consulté en)
  17. (en) Natacha Godbout, « The Complex Interplay between BDSM and Childhood Sexual Abuse: A Form of Repetition and Dissociation or a Path Toward Processing and Healing? », surNatacha Godbout,(consulté en)
  18. MurielSalmona,Châtiments corporels et violences éducatives : Pourquoi il faut les interdire en 20 questions réponses, Dunod,, 288 p.(ISBN 978-2100755028)
  19. (en) Elise Wuyts et al, « The Biology of BDSM », surpubmed,(consulté en)
  20. (en) Natacha Godbout, « The Complex Interplay between BDSM and Childhood Sexual Abuse: A Form of Repetition and Dissociation or a Path Toward Processing and Healing? », surNatacha Godbout,(consulté en)
  21. a etb(en) Courtney Burdis Galiano, Jean-Pierre Guay, Nicholas Longpré, « The impact of childhood trauma, personality, and sexuality on the development of paraphilias », surScience Direct,(consulté en)
  22. Jennie G. Noll et al, « A prospective investigation of the impact of childhood sexual abuse on the development of sexuality. », surAPA PsycNet,(consulté en)
  23. (en) Henry Jackson et al, « Developmental risk factors for sexual offending », surResearchGate,(consulté en)
  24. a etb« Violences sexuelles faites aux enfants : « on vous croit » », surciivise,(consulté en)
  25. Muriel Salmona,Le livre noir des violences sexuelles,Dunod,,3e éd.,LIII-454 p.(ISBN 978-2-10-082583-7)
  26. Haut Conseil à l’Égalité entre les hommes et les femmes, « Pornocriminalité », surGouvernement,(consulté en)
  27. Melissa N. Salvi, Arielle A. J. Scoglio, Gretche R. Blycker et al, « Child Sexual Abuse and Compulsive Sexual Behavior », surPubMed,(consulté en)
  28. (en) M. Seto, Drew A. Kingston, Dominique Bourget, « Assessment of the paraphilias », surPubMed,(consulté en)
  29. MurielSalmona,Châtiments corporels et violences éducatives : Pourquoi il faut les interdire en 20 questions réponses, Dunod,, 288 p.(ISBN 978-2100755028)
  30. Laws and, O'Donohue (2008)p. 384-385 citant le DSM-Ip. 7 38-39.
  31. Laws and, O'Donohue (2008)p. 385 citant DSM-IIp. 44.
  32. a etbLaws and, O'Donohue (2008)p. 386.
  33. Laws and, O'Donohue (2008)p. 385.
  34. (en)Paraphilias: Clinical and Forensic Considerations, 15 avril 2007.Psychiatric Times.vol. 24no 5 duPsychiatric Times.
  35. (en)American Psychiatric Association (2000).Diagnostic and statistical manual of mental disorders (4th ed., text revision).p. 569, 570, 572, 574, Washington, DC:Author.
  36. abcd eteAssociation Américaine de Psychiatrie. (2000).Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (4e  éd., rev. textuelle). Washington, DC:Author.
  37. Fedoroff, J. P., Fishell, A., & Fedoroff, B.()[Quoi ?].Journal canadien de la sexualité humaine, 8.
  38. Organisation Mondiale de la Santé,CIM-10 Section F65.4 : Pédophilie.
  39. (de) Hirschfeld, M. (1910).Die tranvestiten [Travestis]. Berlin : Alfred Pulvermacher.
  40. (en) Hirschfeld, M. (1938).Sexual anomalies and perversions: Physical and psychological development, diagnosis and treatment (new and revised edition).London: Encyclopaedic Press.
  41. (en) Smith, R. S. (1976).Voyeurism: A review of the literature.Archives of Sexual Behavior, 5,p. 585-608.
  42. (en)American Psychiatric Association,Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders, American Psychiatric Association,(ISBN 978-0-89042-555-8,0890425574 et0-89042-555-8,DOI 10.1176/appi.books.9780890425596,lire en ligne)
  43. (en) M. Williams.Sexual Compulsivity:Defining Paraphilias and Related Disorders "Psychoactive Drug Treatments". Consulté le 23 novembre 2007.

Voir aussi

[modifier |modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

[modifier |modifier le code]

Articles connexes

[modifier |modifier le code]

Liens externes

[modifier |modifier le code]

v ·m
Liste
v ·m
Généralité
Aspects sociaux
Activités
Pratiques etrapports
Préliminaires
Positions
Masturbation
Orale
Vaginale
Anale
En groupe
BDSM
Santé
IST
Troubles et dysfonctions
Contrôle des naissances
Divers
Thématiques
Histoire
Discours
Précurseurs : avant leXIXe siècle
Pionniers :XIXe, débutXXe
Fondateurs : entre-deux-guerres
Sexologues après 1945
Psychanalystes après 1945
v ·m
(F00-F09)Troubles mentaux organiques, y compris les troubles symptomatiques
Démence
Autres
(F10-F19) Troubles mentaux et du comportement liés à l'utilisation de substances psycho-actives
(F20-F29)Schizophrénie,schizotype etdélire
(F30-F39)Troubles de l'humeur
(F40-F48)Troubles névrotiques, troubles liés à des facteurs destress et troubles somatoformes
Troubles anxieux
Stress et adaptation
Trouble somatoforme
Troubles dissociatifs (de conversion)
Autres
(F50-F59) Comportements associés à des perturbations physiologiques et à des facteurs physiques
Troubles des conduites alimentaires
Troubles du sommeil non organiques
Dysfonctionnement sexuel
Autres
(F60-F69) Troubles de la personnalité et du comportement chez l'adulte
Trouble de la personnalité
Identité et préférence sexuelle
Autres
(F70-F99) Troubles mentaux diagnostiqués à l'enfance
(F70-F79)
Retard mental
  • Léger (QI de 50 à 69)
  • Moyen (QI de 35 à 49)
  • Grave (QI de 20 à 34)
  • Profond (QI au-dessous de 20)
(F80-F89)
Troubles du développement
(F90-F98)
Troubles émotionnels et du comportement
Ce document provient de « https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Paraphilie&oldid=230452594 ».
Catégorie :
Catégories cachées :

[8]ページ先頭

©2009-2025 Movatter.jp