Movatterモバイル変換


[0]ホーム

URL:


Aller au contenu
Wikipédial'encyclopédie libre
Rechercher

Paestum

40° 25′ 12″ nord, 15° 00′ 20″ est
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Parc national du Cilento et du Vallo Diano, avec les sites archéologiques de Paestum etVelia et laChartreuse de Padula *
Image illustrative de l’article Paestum
Les temples d'Héra
Coordonnées40° 25′ 12″ nord, 15° 00′ 20″ est
PaysDrapeau de l'ItalieItalie
SubdivisionCampanie,Province de Salerne
Numéro
d’identification
842
Année d’inscription (22e session)
TypeCulturel
Critères(iii) (iv)
Superficie1 371 ha
RégionEurope et Amérique du Nord **
Géolocalisation sur la carte :Campanie
(Voir situation sur carte : Campanie)
Parc national du Cilento et du Vallo Diano, avec les sites archéologiques de Paestum et Velia et la Chartreuse de Padula
Parc national du Cilento et du Vallo Diano, avec les sites archéologiques de Paestum etVelia et laChartreuse de Padula
Géolocalisation sur la carte :Italie
(Voir situation sur carte : Italie)
Parc national du Cilento et du Vallo Diano, avec les sites archéologiques de Paestum et Velia et la Chartreuse de Padula
Parc national du Cilento et du Vallo Diano, avec les sites archéologiques de Paestum etVelia et laChartreuse de Padula
* Descriptif officiel UNESCO
** Classification UNESCO
modifier 

Poséidonia (engrec ancien :Ποσειδωνία) est unecolonie grecque fondée en 600 av. J.-C. sur lacôte tyrrhénienne, au sud deSalerne. Après la soumission de l'Italie du sud parRome, marquée par la prise deTarente, lacité devient unecolonie romaine, rebaptisée à l'occasionPaestum en 273-272 av. J.-C., nom le plus couramment utilisé pour désigner le site de nos jours. Elle se trouve sur le territoire de la commune actuelle deCapaccio-Paestum, enCampanie.

C'est aujourd'hui un important parc archéologique, doté d'un vaste musée exposant les nombreuses découvertes réalisées sur le site lors des fouilles menées depuis la fin duXVIIIe siècle. Le parc archéologique est un des plus vastes d'Italie du sud, permettant d'admirer divers vestiges monumentaux datant des diverses phases d'occupation du site : trois temples grecs doriques (époques archaïque et classique), divers édifices communautaires (ecclesiasterion, amphithéâtre, forum), ainsi que des éléments d'habitats formant une trame urbaine orthogonale datant pour l'essentiel de l'époque hellénistique et romaine. Le site est inscrit depuis 1998 sur la liste duPatrimoine mondial de l'humanité établie par l'Unesco. Il fait partie duParc national du Cilento et du Val de Diano.

  • Vue en direction du temple de Cérès à Paestum
    Vue en direction du temple de Cérès à Paestum
  • Les deux temples d'Héra, vus par Giorgio Sommer, vers 1900
    Les deux temples d'Héra, vus parGiorgio Sommer, vers 1900

Phases d'occupation

[modifier |modifier le code]

Préhistoire

[modifier |modifier le code]

La zone de Paestum est fréquentée dès laPréhistoire. Près du temple d'Athéna, un sitenéolithique rapportable à laculture de Serra d'Alto et une nécropolechalcolithique de laculture de Laterza ont été mis au jour et fouillés à la fin des années 1950 et 1960[1]. La nécropoleéponyme de laculture de Gaudo a été découverte durant la Seconde Guerre mondiale à moins de deux kilomètres du site antique[2]. Ce site reste à ce jour le plus important cimetière de cette culture à la fois par le nombre de tombes exhumées et l'abondance du mobilier qu'elles contenaient.

De la cité grecque à la fin de l'antiquité

[modifier |modifier le code]

La date de création de la cité antique n'est pas connue avec exactitude. L'historiographie s'accorde à dire que la cité grecque fut édifiée à la fin duVIIe siècle av. J.-C. par des Grecs deSybaris (dans l'actuelleCalabre), probablement vers 600 av. J.-C.Strabon, historien grec duIer siècle av. J.-C., évoque en son temps un village-forteresse au bord de la mer, qu'il appelle « Poseidonia ». AuxVIe siècle av. J.-C. etVe siècle av. J.-C., la cité est au sommet de sa splendeur, nouant des relations étroites avec les divers peuples voisins (Campaniens, Étrusques) et s'intégrant dans un vaste réseau d'échange économique.

Vers la fin duVe siècle av. J.-C. (probablement vers 420-410), Poseidonia devientlucanienne : les conditions de ce changement ne sont pas connues, peut-être une révolte des Lucaniens travaillant dans la cité, ou plus vraisemblablement, une forte expédition militaire venue de l'intérieur des terres par un contingent fortement armé, face à une cité non-fortifiée, et ne pouvant pas faire face militairement à l'aristocratie militaire indigène. La cité est selon toute vraisemblance rebaptisée « Paiston » ou « Phaiston ». C'est de cette période lucanienne, précédant la conquête romaine, que date l'apparition de la production decéramique paestane à figures rouges, subdivision stylistique et typologique de la céramique italiote à figures rouges (avec lacéramique lucanienne à figures rouges, lacéramique apulienne, campanienne et sicilienne).

Les années 420 - 270 avant notre ère marquent pour la cité une période de renouveau sous l'égide des nouveaux maîtres de la cité, comme en témoignent les nombreuses nécropoles de la cité, ayant livré parmi les plus notables exemples de peinture funéraire étrusco-campanienne. L'élite lucanienne résidant à Paestum se fait en effet fréquemment inhumer dans de vastestombes à chambre, caissonnées par de larges dalles peintes defresques représentant diverses scènes de combat, de retour du guerrier, de jeux funéraires, de batailles, notamment dans les nécropoles d'Andriuolo, de Gaudo, ou encore de Santa Venera. Cette réoccupation des espaces funéraires délaissés par les Grecs de la ville, ainsi que la profonde évolution des rituels funéraires – ostentatoires, impliquant de nombreux objets de prestige dont des armures de bronze complètes – suggèrent aux archéologues l'existence d'une forme d'aristocratie équestre dominant la cité. Au cours de la période, la cité entre dans le complexe jeu diplomatique et militaire qui agite l'Italie centrale et méridionale : objet de traités avec Rome ou Tarente, objet des prédations par les Samnites, ou d'Alexandre le Molosse, Poseidonia-Paestum occupe probablement une place centrale dans la région, au même titre queCapoue, ouNaples.

En 273av. J.-C., les Romains conquièrent la cité et y déduisent une colonie de droit romain. La cité reçoit alors le nom de « Paestum ». Pendant ladeuxième guerre punique et l'intrusion en Italie d'Hannibal, la cité reste fidèle à Rome. Comme de nombreuses cités romaines, elle profite alors de privilèges certains, comme de garder son propre monnayage. La fin de l'époque républicaine est marquée par la romanisation progressive de l'Italie du sud, entrecoupée par des épisodes violents tels que la guerre sociale. Paestum est alors une cité romanisée, intégrée juridiquement à l'espace de l'Italie (différent des provinces). Elle se pare alors de nouveaux édifices, notamment un amphithéâtre, un forum, un rempart monumental en grand appareil, doté de portes à cour, particulièrement bien documentées par les fouilles.

Comme beaucoup de cités littorales durant l'Antiquité Tardive, la ville commence à entrer dans une période de déclin, entre leIVe siècle et leVIIe siècle, probablement à cause de changements dans l'hydrologie côtière, et du manque dedrainage, qui conduisirent à la transformation du port enmarécage, contemporaine de l'arrivée de lamalaria enEurope. Ce phénomène s'observe sur un grand nombre de cités grecques et romaines de la côte tyrrhénienne de l'Italie (Vélia, Laos, etc.).

Du début du Moyen Âge à l'époque moderne

[modifier |modifier le code]

AuIXe siècle, la ville subit des destructions causées par les pirates et esclavagistesbarbaresques,Sarrasins, et les survivants de ces raids fondèrent plus loin dans les terres le bourg fortifié dePostiglione.AuIXe siècle, une partie des habitants sont revenus, mais à la suite de l'arrivée desNormands, le site est de nouveau abandonné, et les habitants fondent un peu plus loinCapaccio.

Au cours duXVIIIe siècle, la mode du « Grand Tour » enflamme les jeunesses européennes issues de familles aisées : il est alors de bon ton de parcourir l'Europe et tout particulièrement l'Italie à la recherche des plus belles œuvres d'art.Rome, laSicile, laCampanie et en particulierNaples (grâce aux premières fouilles dePompéi etHerculanum) sont les lieux les plus fréquentés. Plutôt que d'effectuer un voyage enGrèce (alors sous domination turque) pour aller admirer l'architecture hellène, il est plus aisé d'aller à Paestum explorer les troistemplesdoriques, préservés depuis des siècles.

Description du site

[modifier |modifier le code]

Le site compte d'importants monuments architecturaux d'époques grecque et romaine, parmi lesquels trois grands temples grecs – deux d'ordre dorique et un d'ordre dorique et ionique – ainsi qu'unbouleutérion et des édifices publics d'époque romaine, dont un petitamphithéâtre romain, uncomitium et unhérôon, petit temple funéraire dédié aux héros fondateurs de la ville. Les remparts de la ville, longs de 4,75 km, sont bien conservés et présentent des phaseslucanienne et romaine. Les quatre grandes portes sont romaines.

Temple d'Héra, dit « Basilique »

[modifier |modifier le code]

Ce premier temple d'Héra, au sud du site, remonte à la seconde moitié duVIe siècleav. J.-C. Il est plus connu sous le nom de « Basilique », qui lui fut attribué auXVIIIe siècle en raison de la disparition presque totale des murs de lacella, dufronton et de l'entablement, qui rappelait plus l'agencement d'unebasilique civile, à usage de tribunal ou de salle de réunions publiques que celui d'un édifice religieux.

Le temple était dédié àHéra, épouse deZeus et divinité tutélaire de Poseidonia.

Ce grand temple est du type périptère ennéastyle, c'est-à-dire doté de 9 colonnes en façade, et de 18 colonnes sur les côtés. L'ensemble mesure 24,35 m × 54 m.

Le plan des aménagements internes est suffisamment bien conservé pour donner une idée de l'ensemble du monument : entre lepronaos et l'adyton, la cella est divisée en deux par une colonnade axiale qui soutenait lescombles.

L'une des singularités de ce temple est son nombre impair des colonnes frontales, qui rendait impossible la vision de la statue de culte depuis l'extérieur, coupant totalement le peuple des fidèles de la divinité et de sa représentation. La colonnade axiale de la cella présentait un double ordre de colonnes, les colonnettes supérieures étant plus courtes et plus minces, de manière à respecter les canons de proportions.

L'autre singularité, entre tous les autres monuments d'architecture dorique, est la décoration végétale du col des chapiteaux, avec des feuilles, parfois même des rosettes et des fleurs delotus, qui ne sont pas sans rappeler les éléments de décoration de l'époque mycénienne. Le couronnement du temple était enterre cuite peinte, avec des décors de têtes de lions et desantéfixes en forme de palmettes.

Cependant, seules sont parvenues jusqu'à nous les 50 colonnes dupéristyle, hautes de 4,68 m, d'aspect archaïque, fortement galbées, avec deschapiteaux àabaque très large.

  • Franz Ludwig Catel, Les temples d’Héra et de Neptune à Paestum, 1812.
    Franz Ludwig Catel,Les temples d’Héra et de Neptune à Paestum, 1812.
  • Le temple d'Héra, dit « Basilique »
    Le temple d'Héra, dit « Basilique »
  • Le temple d'Héra, dit « Basilique »
    Le temple d'Héra, dit « Basilique »
  • Plan du temple à colonnade axiale
    Plan du temple à colonnade axiale

Second temple d'Héra, dit « temple de Poséidon » (ou de Neptune)

[modifier |modifier le code]

Le second temple d'Héra, dit « temple dePoséidon » est le plus récent des trois : il fut construit vers 450av. J.-C.

Le second temple d'Héra, dit aussi « temple de Poséidon », ou même « temple de Neptune », « temple d'Apollon », contigu à la « Basilique », à quelques mètres au nord de celle-ci, a été édifié vers le milieu duVe siècle av. J.-C., probablement à l'époque du plus grand épanouissement de la cité de Poseidonia.

Il présente aujourd'hui un excellent aspect de conservation, dû à l'abandon de la ville pour cause depaludisme, dès les premiers siècles de l'ère chrétienne.

Conception générale du temple

[modifier |modifier le code]

La conception générale de ce temple semble s'inspirer de celle du temple de Zeus àOlympie. C'est un temple dorique périptère hexastyle de 6 × 14 colonnes, de 24,30 × 59,90 m, élevé sur une crépis à trois degrés.

Aménagements intérieurs

[modifier |modifier le code]

Lenaos est distylein antis, avec un pronaos et unopisthodome symétriques, enserrant une cella à colonnades internes. Juste après l'entrée de lacella, deux petits escaliers en colimaçon donnaient accès à la toiture. La cella est divisée en trois nefs par deux rangées de sept colonnes doriques, chacune surmontée d'un même nombre de colonnes semblables, mais plus petites.

  • Le second temple d'Héra, dit « temple de Poséidon »
    Le second temple d'Héra, dit « temple de Poséidon »
  • Architecture interne du second temple d'Héra, dit « temple de Poséidon », vu par Giorgio Sommer, vers 1900
    Architecture interne du second temple d'Héra, dit « temple de Poséidon », vu parGiorgio Sommer, vers 1900
  • Cella du second temple d'Héra, dit « temple de Poséidon », vu par Giacomo Brogi, avant 1881
    Cella du second temple d'Héra, dit « temple de Poséidon », vu parGiacomo Brogi, avant 1881

Particularités structurelles

[modifier |modifier le code]

Le nombre des colonnes latérales ne répond pas au canon dorique (quatorze colonnes au lieu de treize), même si d'autres temples deGrande-Grèce présentent aussi cette particularité, comme celui deSégeste (Sicile).

Les colonnes sont un peu plus petites, mais plus allongées que celle du modèle d'Olympie. Elles sont aussi d'une taille inhabituelle, très hautes, fortement coniques, d'un diamètre de 2,09 m à la base et de 1,55 m au sommet, mais très peu galbées (entasis). Pour atténuer toute sensation de lourdeur, le nombre des cannelures a été porté à vingt-quatre, ce qui ne répond pas non plus aux règles canoniques de l'ordre dorique.

Les colonnes d'angle ont une section elliptique, dont le grand axe est parallèle à la façade, pour leur donner plus d'épaisseur en vue frontale, et les colonnes latérales ne convergent pas verticalement, comme c'est l'usage généralement.

Correction optique de la concavité

[modifier |modifier le code]

On trouve ici la disposition, de manière presque unique dans le contexte de la Grande-Grèce, de la convexité du stylobate et de l'entablement, caractéristique de l'architecture dorique en Grèce, par exemple auParthénon et reprise plus tard àSégeste.

Résolution du conflit angulaire

[modifier |modifier le code]

Le problème habituel duconflit d'angle desmétopes et destriglyphes a été résolu ici par le déplacement du dernier triglyphe et le raccourcissement de l'entrecolonnement d'angle, de sorte que la dernière métope soit de même longueur que la précédente : l'entrecolonnement des colonnes d'angle est de 4,30 m au lieu de 4,475 m pour les autres colonnes.

Attribution cultuelle

[modifier |modifier le code]

Le nom traditionnel de « temple de Poséidon » est hérité du pouvoir imaginatif des découvreurs enthousiastes effectuées au cours duXVIIIe siècle. Les dépôts votifs liés au temple incitent à penser qu'il était dédié àHéra, plutôt qu'àZeus, comme on avait pu l'envisager, en raison des similitudes de conception avec le temple d'Olympie. La présence de deux temples voisins dédiés à la même divinité demeure cependant inexplicable.

Temple d'Athéna, dit « temple de Cérès »

[modifier |modifier le code]

Le temple d'Athéna, dit « temple deCérès », fut édifié 500 m environ plus au nord, vers 500av. J.-C. Ce temple dorique hexastyle est plus petit que les deux autres, mais très équilibré, avec unpronaos à colonnes ioniques. Sa base mesure 32,89 mètres de longueur sur 14,54 mètres de largeur et ses colonnes (13 par 6) mesurent 6,12 mètres de hauteur[3].

La découverte de trois tombes médiévales dans le sous-sol de ce temple témoigne de sa probable conversion en église chrétienne durant cette période.

  • Le temple d'Athéna, dit « temple de Cérès ».
    Le temple d'Athéna, dit « temple de Cérès ».
  • Plan du second temple d'Héra.
    Plan du second temple d'Héra.
  • Statue en marbre d'Héra.
    Statue en marbre d'Héra.
Le temple d'Athéna à Paestum.

Heraion de l'embouchure du Sélé : sanctuaire d'Héra Argéia (d'Argos)

[modifier |modifier le code]
Article détaillé :Heraion (Paestum).

Les traces de ce sanctuaire àArgos ont été mises en lumière par les fouilles des archéologues Umberto Zanotti Bianco , Paola Zancani Montuoro, entre 1934 et 1940. Lors des fouilles ont été trouvées environ soixante-dixmétopes sculptées dans du grès local. Les plus anciennes, environ quarante, représentent des épisodes du mythe des douze travaux d'Héraclès (Hercule), ducycle troyen, mais aussi deJason etOreste. Une trentaine de métopes plus récentes représentent notamment des danseuses.On a aussi découvert sur le lieu une statue en marbre d'Héra assise sur un trône et tenant une grenade et unephiale àomphalos comme symboles de la fertilité. On l'appelle Héra Argéia en raison des similitudes avec l'Héra de l'Héraion d'Argos attribuée àPolyclète.Le site de l'embouchure duSélé a été endommagé par le temps et par le pillage des pierres. Les hypothèses sur les bâtiments disparus ou ébauchés seulement, et leur décoration, restent en discussion[4].

Musée

[modifier |modifier le code]
Article détaillé :Musée archéologique national de Paestum.

Objets funéraires

[modifier |modifier le code]
Quadrige, fresque provenant d'une tombe lucanienne

Le musée présente une importante collection d'objets antiques grecs de l'Italie méridionale, notamment des objets funéraires, de nombreux vases, des jarres contenant dumiel, mais aussi des armes et des fresques provenant des découvertes faites dans lesnécropoles grecques et lucaniennes des environs de Paestum.

Fresques grecques

[modifier |modifier le code]

Les panneaux peints sur calcaire proviennent de la célèbrefresque de la Tombe du Plongeur (480-470av. J.-C.), et sont uniques dans la peinture de l'Antiquité grecque. Ils ont été découverts dans lanécropole située à 1,5 kilomètre de Paestum.

Fresques lucaniennes

[modifier |modifier le code]

Un grand nombre d'autres fresques, plus d'une quarantaine, appartiennent à des tombes de la période lucanienne de la cité (420-350av. J.-C.).

Dans la fiction

[modifier |modifier le code]

Notes et références

[modifier |modifier le code]
  1. Voza, G., 1962. Paestum - Giacimento preistorico presso il tempio di Cerere, in Catalogo della Mostra della Preistoria e della Protostoria nel Salernitano I., Amministrazione provinciale soprintendenza delle antichità, Salerno,p. 12-37
  2. Bailo Modesti, G., Salerno, A., 1998. Pontecagnano II, 5. « La necropoli eneolitica. L'età del Rame in Campania nei villaggi dei morti » inAnnali dell'Istituto Orientale di Napoli, sezione di Archeologia e Storia Antica, quad. n. 11, Napoli.
  3. (en) R. D. Zwarte, « GREEK TEMPLE DESIGN RECONSIDERED: THE TEMPLE OF ATHENA AT PAESTUM AND ITS MONUMENTAL STEPPED ALTAR With a digression on methodology in Greek metrology »[PDF], surSementic Scholar,(consulté le)
  4. L'Héraion de Foce del Sele, découvertes récentes Article de La Genière, Juliette, Greco-Maiuri, Giovanna , Donnarumna, Roberta, Comptes rendus des séances de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres Année 1997

Annexes

[modifier |modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes

[modifier |modifier le code]
Paestum - 1823-6 - William Turner -Tate Britain

Bibliographie

[modifier |modifier le code]
  • Lamboley J.-L.,Les Grecs d’Occident : la période archaïque, Paris, SEDES, 1995.
  • Greco E.,La Grande-Grèce : histoire et archéologie, Paris, Hachette, 1996.
  • Mertens D., « La ville et ses monuments », dansLes dossiers de l’archéologie, La Grande‑Grèce, présence grecque en Italie du sud de l’époque archaïque à l’arrivée des Romains, n. 235, juin-août 1998,p. 54–66.

Liens externes

[modifier |modifier le code]
v ·m
Archéologie de laGrande-Grèce
Vestiges de la Grèce classique en Sicile et Italie du Sud
Sicile
Calabre
Italie du Sud
v ·m
Culturel
Naturel
Patrimoine mondial en :
Ce document provient de « https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Paestum&oldid=222451044 ».
Catégories :
Catégories cachées :

[8]ページ先頭

©2009-2025 Movatter.jp