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Pacifisme

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Ne doit pas être confondu avecAntimilitarisme.

Symbole de la paix, Peace and love, largement associé au pacifisme.
Des rencontres pour la paix se tiennent régulièrement àAssise, enItalie.
Avignon, manifestation pour la paix auLiban,.
Londres, manifestation pour la paix enIrak,.
« Maudite soit la guerre » sur lemonument aux morts pacifiste de Gentioux, 1922 (Creuse).

Lepacifisme possède deux acceptions possibles incluant l'action despartisans de lapaix, ou une doctrine de lanon-violence. Bien que reliés, les deux concepts se distinguent du point de vue de la théorie et de la pratique. Le pacifisme est la doctrine et l'action des partisans de la paix ou durétablissement de la paix. Lessocialistes d'avant1914 (Jean Jaurès), lesZimmerwaldiens durant laPremière Guerre mondiale, les opposants auxguerres coloniales ou les partisans de la paix professent un pacifisme qui n'est pas toujours assimilable à la non-violence. La vision du pacifisme associé à une personne refusant le recours à toutes formes de violence est par contre beaucoup plus répandue.

La doctrine de la non-violence voit de nombreux courantsphilosophiques bannir le recours à toute forme deviolence en vertu d'un pacifisme radical. Vision portée par de nombreux mouvements et courants de pensée à vocation générale (courants de penséehumaniste, plusieurs tendances inspirées de l'hindouisme, courantschrétiens, etc.).

Histoire

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Fin duXIXe siècle

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EnEurope, à l'aube duXXe siècle, les courants majeurs[1] du pacifisme sont :

XXe siècle

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Jusqu'en août 1914, lessocialistes français et laConfédération générale du travail s'opposent au déclenchement de laPremière Guerre mondiale. La position des socialistes évolue ce qui les mènera à faire partie de l'union sacrée avec lesbellicistes. L'assassinat de Jean Jaurès est l'événement qui marque l'échec des socialistes et dumouvement ouvrier français militant contre cette guerre.

Jean Jaurès se montrait confiant dans la volonté de laclasse ouvrière et de ses représentants dans les principaux pays d'utiliser les manifestations et jusqu'à lagrève générale pour éviter le conflit.

Malgré la faillite du mouvement socialiste européen à empêcher la Première Guerre mondiale, laconférence de Zimmerwald en 1915 se donne comme but de rassembler les socialistes fidèles à l'internationalisme afin de lutter contre la guerre, de même les femmes socialistes européennes, àBerne en 1915, s'opposent à la guerre par la tenue d'une conférence et la publication d'un manifeste[2]. Cet appel est diffusé en France parLouise Saumoneau.Clara Zetkin est emprisonnée à son retour en Allemagne pour la tenue de cette conférence. En 1916, laconférence de Kiental appelle à une paix immédiate et sansindemnités de guerre, appelées aussi réparations.

Une grande partie des socialistes français et allemands se rallie au soutien à la guerre, jusqu'en 1917, où la lassitude vis-à-vis du conflit redonne une certaine audience aux idées pacifistes de la Gauche.

Joseph Caillaux propose une paix sansannexions ni indemnité. Il est arrêté en janvier 1918 sous l'inculpation « d'intelligence avec l'ennemi » et de « complot contre la sûreté de l'État ».

Selon l'historienRené Rémond[3], il perdure au sein de la gauche socialiste l'idée duXIXe siècle selon laquelle la guerre est une conséquence ducapitalisme qui profite du nationalisme pour produire une division des travailleurs et travailleuses[4] ; à ces idéesinternationalistes assimilant capitalisme etbellicisme, se greffe une thèse deLénine, qui développe le concept d'impérialisme, export de la guerre comme seule solution d'expansion du capitalisme. Pour sa part,Léon Trotsky, dans son programme de transition pour une4ème Internationale, indique que « Le pacifisme est la couverture de l'impérialisme »[5]. Lemarxisme-léninisme forge les notions de « bonne guerre » ou « mauvaise guerre », à la façon desthéologiens distinguant guerre juste ou injuste. Les bonnes guerres sont alors celles faites par le peuple, les guerres patriotiques, de libération, ou visant à renverser le capitalisme qui lui est à l'origine des « mauvaises guerres ». À partir de 1936, la même distinction apparaît à droite,« un peu par sympathie pour lesrégimes autoritaires, beaucoup par crainte d'être précipité dans une guerre par la gauche, pour des motifs idéologiques ». Toujours selon Rémond, les attributs des bonnes ou mauvaises guerres sont inversées : pour une partie de la gauche, seraient bonnes les guerres menées au nom d'idées telles que liberté, affranchissement ou lutte contre les guerres d'intérêt menées par les capitalistes ; tandis que pour une partie de la droite, ces guerres idéologiques, menées au nom d'abstractions telles que solidarité avec lesjuifs, ou défense de la démocratie contre le totalitarisme sont à rejeter, les bonnes guerres ne devant viser qu'à la défense du territoire, ou à« des réalisations charnelles et substantielles »[réf. nécessaire].

En même temps, apparaît un pacifisme « vitaliste » pour qui la valeur de lavie humaine dépasse toute autre valeur. Ses bases morales et philosophiques sont cependant remises en cause a posteriori, après laSeconde Guerre mondiale, le slogan« plutôtHitler que la guerre » impliquant l'acceptation de labarbarie et dugénocide[6]. L'historienSimon Epstein considère pour sa part le pacifisme des années1930, classé à gauche de l'échiquier politique, comme« vecteur principal decollaboration », expliquant le revirement de nombreuses personnalités militantes et politiques vers la collaboration pour éviter la confrontation avec l'occupant allemand[7].

Musiciens du groupeLebenslaute (en) manifestant par un barrage.
MaîtreJean-Jacques de Felice,Théodore Monod, le pasteurRené Cruse et Yvon Montigné, le, en tête de la marche duGroupe d'action et de résistance à la militarisation, deLyon auMont-Verdun contre la force de frappe nucléaire.

Les mouvements pacifistes se sont fortement développés en Europe de l'Ouest (Royaume-Uni,Allemagne de l'Ouest) vers le milieu des années 1970 et surtout au début des années 1980. L'un des événements fondateurs est la mise au point de labombe à neutrons (1976), qui contribua à ressusciter les« défilés dePâques »[8], vivaces en Allemagne à la fin des années 1950. De 1979 à 1986, lesmanifestations pacifistes tournèrent en Allemagne aux manifestations de masse[9]. Dans leuropposition à l'installation des nouveaux missiles américains de portée intermédiairePershing II et auxmissiles de croisière (dans le cadre desaccords SALT II de l'OTAN portant sur l'équilibre avec les missilesSS-20soviétiques), les pacifistes déployèrent des manifestations spectaculaires accompagnés d'actes dedésobéissance civile tels leblocus de bases militaires et desites de lancement, des campagnes de protestation, etc. EnGrande-Bretagne, un mouvement d'originegalloise,Women for Life on Earth («Les Femmes pour la Vie surTerre»),occupe ainsi la base militaire de Greenham Common (Berkshire) pour protester contre l'installation de missiles de croisière. La base militaire avait été établie au mois de : les premiers barrages protestataires commencent en avec l'intervention de 250 militantes, dont 34 seront arrêtées[10].

Le pacifisme rassembla très largement, des mouvements chrétiens auxanarcho-syndicalistes. Vers la fin des années 1980, avec la détente qui accompagnait laPerestroïka, le mouvement pacifiste parut s’essouffler[9], mais en Allemagne il reprit des couleurs dès le début des années 1990 en réaction à l'élargissement des prérogatives de laBundeswehr et l'embrigadement du pays dans laGuerre du Golfe (1991), laGuerre du Kosovo (1999) puis, après lesattentats du, l'appel du Président américainGeorge W. Bush à laGuerre contre le terrorisme et surtout laTroisième guerre du Golfe menée en 2003 par les États-Unis, la Grande-Bretagne et leurs alliés contre l'Irak. Pour la seule journée du, plus de 10 millions de personnes se sont mobilisées en un seul jour dans les grandes métropoles mondiales contre la guerre imminente[réf. nécessaire].

L'hiver 2004-05 a été l'un des temps forts pour le mouvement pacifiste en Europe de l'Ouest, opposé à la constitution de l'Union européenne et ses articles portant sur la politique de défense mutuelle : on y critiquait notamment la ratification d'intervention des forces armées européenne dans le monde, l'extension des missions de l'armée européenne et le devoir pour chaque état membre de moderniser son armement (article I-41 de la constitution européenne :« Les États-membres s'engagent à améliorer progressivement leur armement »). Si ce projet de constitution a trouvé très peu d'écho en République Fédérale d'Allemagne, dans les pays voisins de la RFA, surtout auBenelux et en France, il a déchaîné une controverse. Lesréférendums nationaux en France () et aux Pays-Bas (), où les mouvements pacifistes se rangeaient aux côtés des opposants au projet de constitution, ont dégagé un large vote « non »[réf. nécessaire].

Pacifisme et antimilitarisme

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Proclamation sur lemonument aux morts pacifiste deGy-l'Évêque.

Il est difficile de ne pas voir dans le pacifisme, une forme d'antimilitarisme, transposée à la vie de tous les jours. Un certain nombre d'organismes citoyens s'inspirent de l'antimilitarisme et des perspectives pacifistes pour questionner le recours systématique à la force militaire dans les conflits, s'opposer au recrutement militaire et exiger la consolidation des formes deservice civil.

Prévention et médiation

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Un très important courant de recherche émerge présentement dans de nombreux domaines dessciences sociales etpolitiques au niveau de la gestion saine des conflits et de la prévention des conflits violents inspirés de la pensée pacifiste.[réf. nécessaire]

Dans les milieux universitaires, plusieurs philosophes modernes tels queRobert L. Holmes se sont efforcés de démontrer que diverses formes théoriques de pacifisme peuvent être appliquées avec succès pour résoudre les conflits internationaux au sein du monde moderne. Holmes soutient qu'en utilisant les quatre principes de la « personnalité morale », il est possible à la fois de résoudre et de prévenir plusieurs formes modernes de conflits internationaux, y compris laguerre nucléaire et leterrorisme d'une manière éthique[11],[12],[13],[14],[15]. Il soutient également que faire la guerre à l'ère moderne est moralement injustifié par nature pour plusieurs raisons et qu'il est possible d'être un « pacifiste pragmatique » simplement en reconnaissant que la violence organisée et systématique est àprima facie moralement répréhensible[16].

Religions

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Article détaillé :Pacifisme chrétien.

Au cours des âges, le pacifisme a souvent été motivé par des motifs religieux. Le pacifisme se manifeste chez lespremiers chrétiens. Cette pensée est également particulièrement présente dans leséglises protestantes : l'exemple des communautésmennonites etquakers constituent des expressions particulièrement engagées de cette préoccupation. Aujourd'hui, l'Église catholique proclame à la suite du PapePaul VI que« le développement est le nouveau nom de la paix »[17]. À l'inverse, la religion peut également être le motif de conflits pouvant entraînerpersécutions etguerres.

Promoteurs

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Pacifistes célèbres

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Nombreuses sont les personnes connues et reconnues ayant pris des positions pacifistes fermes au cours de l'histoire. Les écrits de ces personnes peuvent inspirer :

Prix Nobel de la paix

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Ainsi que tous les individus ou organismes lauréats duPrix Nobel de la paix, parmi lesquels on peut citer :

Nations pacifistes

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Icône d'horloge obsolète.
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LeGlobal Peace Index[22] mesure sur la base d'une vingtaine de critères (notamment l'engagement dans des conflits, la vente d'armes, les dépenses militaires, latransparence du gouvernement, le taux de criminalité…) les pays les plus pacifiques. Un plus petit score signifie un pays plus pacifique.

Classement des pays les plus pacifiques
RangPaysScore
1Islande1,162
2Norvège1,357
3Nouvelle-Zélande1,363
4Danemark1,377
5Irlande1,396
5Japon1,396
6Finlande1,447
7Suède1,478
8Canada1,481
9Portugal1,481
10Autriche1,483
11Belgique1,498
12Allemagne1,523
13République tchèque1,524
14Suisse1,526
15Slovénie1,539
16Chili1.568
17Slovaquie1,571
18Hongrie1,575
19Bhoutan1,611
20Pays-Bas1,620
21Espagne1,633
22Oman1,641
23Hong-Kong1,657
24Uruguay1,661
25Australie1,664
26Roumanie1,682
27Pologne1,683
28Estonie1.684
29Singapour1,692
30Qatar1,702
31Costa Rica1,702
32Corée du Sud1,719
33Italie1,724
34Arabie saoudite1,726
35Vietnam1,729
36Taïwan1,731
37Malaisie1,744
38Émirats arabes unis1,747
39Madagascar1,766
40Ghana1,765
RangPaysScore
41Tunisie1,770
42Botswana1,786
43Lituanie1,788
44Grèce1,791
45Panama1,798
46Koweït1,818
47Lettonie1,848
48Argentine1,873
49Royaume-Uni1,898
50Mozambique1,909
51Chypre1.915
52Maroc1,928
53Zambie1.930
54Chine1,934
55Paraguay1,946
56Gabon1,952
57Tanzanie1,966
58Libye1,967
59Cuba1,968
60Bulgarie1,994
61Kazakhstan1,995
62Bahreïn1,995
63Jordanie1,997
64Namibie2,003
65Sénégal2,017
66Nicaragua2,020
67Croatie2,030
68Malawi2,038
69Bolivie2,052
70Pérou2,056
71Guinée Équatoriale2,059
72Moldavie2,059
73Égypte2,068
74République dominicaine2,071
75Bosnie-Herzégovine2,089
76Cameroun2,093
77Syrie2,106
78Indonésie2,111
79Mexique2,125
80Ukraine2,150
81France2,168
RangPaysScore
82Macédoine2,170
83Brésil2,173
84Serbie2,181
85Cambodge2,197
86Bangladesh2,219
87Équateur2,219
88Papouasie-Nouvelle-Guinée2,223
89El Salvador2,244
90Jamaïque2,251
91Kenya2,258
92Turquie2,282
93Guatemala2,285
94Trinidad et Tobago2,286
95Yémen2,309
96États-Unis d'Amérique2,317
97Iran2,384
98Honduras2,390
99Afrique du Sud2,399
100Philippines2,428
101Azerbaïdjan2,448
102Venezuela2,453
103Éthiopie2,479
104Ouganda2,489
105Thaïlande2,491
106Zimbabwe2,495
107Côte d'Ivoire2,511
108Birmanie2,524
109Inde2,530
110Ouzbékistan2,542
111Sri Lanka2,575
112Angola2,587
113Pakistan2,591
114Liban2,662
115Algérie2,694
116Colombie2,770
117Nigeria2,907
118Russie2,973
119Soudan3,192
120Irak3,267
121Israël3,553

Débats

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Critiques

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Léon Trotski : « Exploitant l'attachement naturel des masses pour la paix et le dévoyant, les pacifistes petits-bourgeois se transforment ainsi, en définitive, en soutiens inconscients de l'impérialisme »[23].

Jules Guesde considère que les pacifistes bourgeois feignent d'ignorer que la guerre est inhérente au capitalisme[24].

PourJulien Benda , l'opposition systématique à la guerre par des pacifistes est critiquable ; dans la préface à l'édition de 1946 deLa Trahison des Clercs,Julien Benda prend position contre un pacifisme systématique, qui exclut la guerre dans tous les cas. Parlant des « clercs » qui défendent cette théorie, il écrit[25] :

« Nous estimons que le clerc est parfaitement dans son rôle en admettant l’emploi de la force, voire en l’appelant, dès qu’elle n’agit qu’au service de la justice, à condition qu’il n’oublie pas qu’elle n’est qu’une nécessité temporaire et jamais une valeur en soi. »

Dans sesReflections on Gandhi,George Orwell défendait également une position proche en reprochant aux pacifistes d'« éluder les questions gênantes » et d'adopter« la thèse stérile et malhonnête selon laquelle dans chaque guerre les deux camps représentent la même chose, ce pourquoi il est sans importance de savoir qui gagne. » S'adressant àGandhi, il écrivait également :

« Et les Juifs ? Acceptez-vous qu'on les extermine tous ? Et sinon, que proposez-vous pour l'éviter, si vous excluez l'option de la guerre ? »

Enfin, selon l'auteur péruvienMario Vargas Llosa, cette attitude revient à laisser le pouvoir aux dictateurs. Il écrit ainsi dansLes Enjeux de la liberté que[26] :

« Le pacifisme semble être un sentiment altruiste, inspiré par une œcuménique abjuration de la violence et le rêve d'un monde de bon sens, où tous les conflits entre les nations se résoudraient autour d'une table de négociations et où les armes auraient disparu. C'est une belle affabulation, mais celui qui croit que la meilleure façon de la rendre réalité consiste à s'opposer à toutes les guerres pareillement œuvre en vérité pour que le monde soit une jungle dominée par des hyènes et des chacals, et où les brebis seraient exterminées. »

Notes et références

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  1. La France de 1870 à 1918, François Marcard, Armand Colin Paris 2005.
  2. Annika Wilmers, « Les Mouvements pacifistes féministes internationaux »,(consulté le)
  3. RenéRémond, « Le Pacifisme en France auXXe siècle »,Autres Temps,vol. 1,no 1,‎,p. 7-19(DOI 10.3406/chris.1984.917,lire en ligne, consulté le)
  4. Carlos MiguelHerrera, « Jean Jaurès et le droit international »,Cahiers Jaurès,vol. 215-216,no 1,‎,p. 105(ISSN 1268-5399 et1969-6809,DOI 10.3917/cj.215.0105)
  5. CécileDenis,Continuités et divergences dans la presse clandestine de résistants allemands et autrichiens en France pendant la Seconde Guerre mondiale : KPD, KPÖ, Revolutionäre Kommunisten et trotskystes, (thèse de doctorat réalisée sous la direction d’Hélène Camarade, soutenue publiquement le 10 décembre 2018 à l’université Bordeaux-Montaigne)(lire en ligne)
  6. RenéRémond, « Le pacifisme en France au20e siècle »,Autres Temps. Les cahiers du christianisme social,vol. 1,no 1,‎,p. 7-19(lire en ligne).
  7. Simon Epstein,Un paradoxe français : antiracistes dans la Collaboration, antisémites dans la Résistance, Paris, Albin Michel, coll. « Bibliothèque Albin Michel Histoire », 2008, chapitre 9.
  8. « Allemagne: pacifistes et anti-nucléaires par milliers aux Marches de Pâques »,L'Express,‎(lire en ligne).
  9. a etbHélène Miard-Delacroix,Jean-Paul Cahn etUlrich Pfeil,L'Allemagne,vol. 3 :De l'Ostpolitik à l'unification, Presses du Septentrion,, 327 p.(ISBN 978-2-7574-0114-9 et2-7574-0114-9,lire en ligne), « La paix : une responsabilité allemande spécifique et partagée? »,p. 63-67
  10. (en) Sarah Hipperson, « Records of Greenham Common Women's Peace Camp (Yellow Gate) », surNational Archives.
  11. (en)The Philosophical Review Vol 101, No. 2 (April 1992) Duke University Press pp. 481-484On War and Morality Holmes, Robert L. Livre révisé par Diana T. Meyers, University of Connecticut, Starrs. Robert L. Holmes sur JSTOR
  12. (en)The American Political Science Review, December 1989, Vol 83, No. 4 (Dec. 1989), American Political Science Association Publisher pp. 1447-1448 Book Review: "On War and Morality by Robert L. Holmes" Livre révisé par Stephen R. Rock, Vassar College Robert L. Holmes sur JSTOR
  13. (en)Nous, Dec., 1992, Vol. 26, No. 4 (Dec., 1992) Wiley Publishing, p. 559-562 Book Review: '"On War and Morality" Robert L. Holmes Livre révisé par Steven Lee, Hobart and Smith Colleges. sur JSTOR
  14. (en)The Ethics of Nonviolence: Essay by Robert L. Holmes - Book blurb on google.books.com
  15. a etb(en)Pacifism: A Philosophy of Nonviolence Robert L. Holmes. Livre de présentation sur books.google.com
  16. (en)Notre Dame Philosophical Reviews - "Pacifism A Philosophy of Nonviolence", Robert L. Holmes. Critique de livre présentée par le Professeur Cheyney Ryan, University of Oxford 6/7/2017 archivé à l'Université de Notre Dame ndpr.nd.edu
  17. (mul)Lettre encyclique de sa Sainteté le Pape Paul VI sur le développement des peuples - Site officiel duVatican, 26 mars 1967.
  18. Dans sonJournal intime du 23 juillet 1940, il écrit :« J'espère que l'Allemagne vaincra ; car il ne faut pas que legénéral de Gaulle l'emporte chez nous. Il est remarquable que la guerre revient à une guerre juive, c’est-à-dire à une guerre qui aura des milliards et aussi des Judas Macchabées » cité dansLaurent Wetzel, « Les normaliens durant l'Occupation »,La Nouvelle Revue d'histoire,no 74 de septembre-octobre 2014,p. 58-62.
  19. Jeannine Verdès-Leroux,Refus et violences : politique et littérature à l'extrême droite, des années trente aux retombées de la Libération, Paris, Gallimard,(lire en ligne),p. 39
  20. « Richard Golsan,Jean Giono et la « collaboration » : nature et destin politique,Mots 54, mars 1998 »
  21. (en)The Ethics of Nonviolence: Essay by Robert L. Holmes - Livre de présentation sur google.books.com
  22. Global Peace index, consulté le 30 août 2010.
  23. Léon Trotski,La guerre et la IVe Internationale,(lire en ligne)
  24. Marc Angenot, « L’antimilitarisme contre la " religion patriotique " »,Mots. Les langages du politique,no 76,‎
  25. Julien Benda,La Trahison des Clercs, préface à l'édition de 1946.
  26. Mario Vargas Llosa,Les Enjeux de la liberté, Gallimard, 1997,p. 43-48.

Voir aussi

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Articles connexes

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Bibliographie

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