Cet article est uneébauche concernant lapolice ou lagendarmerie.
| Pôle judiciaire de la gendarmerie nationale | |
| Création | |
|---|---|
| Dissolution | |
| Pays | |
| Allégeance | Ministère de l'Intérieur Ministère des Armées |
| Branche | Gendarmerie nationale |
| Type | Gendarmerie scientifique |
| Effectif | 600 personnes |
| Composée de | Direction générale de la Gendarmerie nationale |
| Garnison | Pontoise (Val-d'Oise) |
| Surnom | PJGN |
| Commandant | Général de division Gilles Martin |
| modifier | |
LePôle judiciaire de lagendarmerie nationale (PJGN) était un pôle d'expertise voué à lacriminalistique et à l'intelligence judiciaire dont la compétence s'étend à l'ensemble du territoirefrançais. Créé le[1], il est composé d'environ600 personnes et doté d'une capacité de projection sur le terrain lors de faits les plus graves. Le PJGN est sollicité par les unités de laGendarmerie nationale (brigades territoriales,brigades de recherches etsections de recherches notamment) pour la résolution des affaires judiciaires complexes ou demandant de longuesinvestigations. Il peut exceptionnellement apporter son concours à une unité de laPolice nationale à sa demande ou celle d'un magistrat.
Auparavant installé aufort de Rosny àRosny-sous-Bois, le PJGN a déménagé[2] en dans de nouveaux locaux, au quartier militaire Lange[3] àPontoise (Val-d'Oise). Le PJGN est commandé par legénéral de division Gilles Martin du 1er août 2022 au 31 août 2025.Ses services ont été intégrés au dans une nouvelle structure de la Gendarmerie nationale : l'Unité nationale de police judiciaire (UNPJ).
Le PJGN regroupait jusqu'au 31 août 2025 unétat-major et plusieurs services[4] :
Le commandement du PJGN était assuré par un général de gendarmerie :
| Date de nomination | Commandant |
|---|---|
| [5] | général de division Jacques Hébrard |
| [6] | général de brigade François Daoust |
| [7] | général de brigade Patrick Touron |
| [8] | général de division Gilles Martin |
En février 2023, le site d'investigationMediapart révèle que pendant plusieurs années, le général Patrick Touron aurait exercé un harcèlement moral sur plusieurs de ses collaborateurs, qui aurait amené l'une d'entre elles au bord du suicide. La direction de laGendarmerie nationale, informée depuis 2018, a signalé à la justice des suspicions de faits commis sur au moins neuf personnes, après le départ à la retraite du général Touron en octobre 2022[9],[10].