Le territoire d'Oye est parcouru de nombreux fossés de drainage, leswatringues ou watergangs, dont les plus importants sont le watergang des Grandes Hemmes, le watergang du Nord[4], le watergang du Sud, ces deux derniers reliés par le watergang des Dix Censes. Larivière d'Oye, qui prend sa source àMarck et se jette dans l'Aa canalisée àGravelines après un parcours de 13,5 km[5], forme la limite entre les communes d'Oye-Plage, au nord, etOffekerque,Nouvelle-Église,Vieille-Église etSaint-Omer-Capelle au sud.
Ces paysages concernent23 communes duNord et duPas-de-Calais avec trois pôles d’attraction que sontCalais à l'ouest etDunkerque à l’est et, dans une moindre mesure,Gravelines au centre où se trouve le delta du fleuve côtier l’Aa. On y distingue trois parallèles : la frange côtière avec son cordon dunaire ; l'ancienneroute nationale 1 et l'Autoroute A16.
Les cultures ne représentent que35 % de ces paysages des dunes de la mer du Nord.
Concernant l'activité humaine, à l’ouest de ces paysages se trouve : la région de Calais, avec letunnel sous la Manche et l'activité portuaire de Calais tournée vers l’Angleterre ; à l’est, la zone urbaine de Dunkerque et ses installations portuaires et, au centre, la zone de Gravelines avec son port de plaisance et sacentrale nucléaire.
Sur le plan de la biodiversité, on y observe de nombreux déplacements d’oiseaux marins, côtiers ou terrestres ainsi que desphoques veau-marin installés sur les bancs de sable[13].
Épis et casiers à sable, réserve du Platier d'Oye.Le Platier d'Oye : mares devant l'observatoire
Une partie du territoire a été récemment gagnée sur la mer par accrétion de sable et vases (actuelleréserve naturelle nationale du Platier d'Oye, propriété duConservatoire du littoral, gérée par délégation par le syndicat mixteEden 62). Selon une étude de laDréal, une zone de huttes de chasse, au sud de l'embouchure de l'Aa, ainsi qu'une partie basse du territoire communal (quartier des Escardines) sont potentiellement menacés desubmersion marine (en 15 min en cas d’événement centennal[14]).
Une autre partie est unpolder construit il y a plusieurs siècles. Les archives récentes conservent la mémoire de la tempête de 1953 qui avait rompu la « digue Taaf » (qui date duXVIIIe siècle[15] et porte le nom de la première des quatre anciennessalines Taaf qu'on rejoignait à partir des fortifications par un chemin sur digue), permettant à la mer d'envahir une partie de la commune. Et la « digue de 1925 » est également vulnérable en cas de tempête avecsurcote[réf. nécessaire].
AuXIXe siècle, ces digues étaient autrefois protégées par une police spéciale« des digues et des dunes »[16], et faisaient l'objet d'un entretien perpétuel (plantation de piquets, verges et fascines, plantation d'oyats, apports de glaise...) par un des deux cantonniers (également préposés à leur garde). Leur salaire et les travaux complémentaires étaient financés par des cotisations obligatoires payées par les propriétaires dupolder ainsi protégés de la mer, selon le degré de protection dont ils bénéficiaient[16]. Il était interdit, sous peine d'amende, d'y« couper ou arracher aucune herbe » (sauf pour les ayants droit), d'y faire« des fouilles et enlèvement de sable », d'y entretenir des lapins et d'y faire passer des voitures, des chevaux et du bétail[16].
L’inventaire deszones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal comprend une ZNIEFF detype 1[Note 4] : leplatier d’Oye et la plage du Fort Vert. ZNIEFF exceptionnel d’intérêt européen, tant pour ses particularités géomorphologiques qu’écologiques, unique en France et particulièrement représentatif de la poldérisation naturelle ancienne et actuelle de la plaine maritime flamande entre Calais et Dunkerque[22].
Leréseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des directives « habitats » et « oiseaux ». Ce réseau est constitué dezones spéciales de conservation (ZSC) et dezones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, lesÉtats membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[23].
Au, Oye-Plage est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[Insee 1].Elle appartient à l'unité urbaine d'Oye-Plage[Note 5], une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[Insee 2],[Insee 3]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Calais, dont elle est une commune de la couronne[Note 6],[Insee 3]. Cette aire, qui regroupe 45 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[Insee 4],[Insee 5].
La commune, bordée par laManche, est également une commune littorale au sens de la loi du, diteloi littoral[26]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique dulittoral, tel le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si leplan local d’urbanisme le prévoit[27].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d’occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,2 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (88 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :terres arables (75,5 %), zones urbanisées (7,2 %), zones agricoles hétérogènes (6,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,4 %), prairies (3 %), forêts (1,8 %), eaux continentales[Note 7] (1,5 %), zones humides intérieures (0,7 %), zones humides côtières (0,2 %)[28]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : lacarte de Cassini (XVIIIe siècle), lacarte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
À la suite du passage destempêtes Ciarán,Domingos etElisa et desinondations etcoulées de boue qui se sont produites, la commune est reconnue, par arrêté du, en état de catastrophe naturelle pour inondations et coulées de boue sur la période du au, comme179 autres communes du département[29].
Oye-Plage, l'ancienneVilla-Oya dulatin médiéval deschartes du Moyen Âge, a une origine très ancienne et est mentionnée sous la formeOgia auVIIIe siècle[31]. Son nom, qui veut dire « île » ou par extension « prairie humide » (augia, du germanique*aujō <*aʒwjō « (chose) sur de l'eau ou dans l'eau » cf. latinaqua, eau), rappelle qu'une partie de son actuel territoire formait autrefois une île insubmersible quand les grandes marées envahissaient le golfe deWatten. En 1913, époque où apparaît la mode desbains de mer,Oye prend le nom deOye-Plage sur décision du conseil municipal.
Le gentiléAnsérien, dérivé savant du latinanser « oie », est fondé sur une étymologie fantaisiste. En effet, il repose sur une explication erronée deOye d'après le françaisoie, mot issu dulatin populaire*auca. Ce dernier a d'ailleurs régulièrement donnéoe,oue enancien français et non pas*oye /oie qui représente une altération tardive apparue dans l'est de la France parétymologie populaire d'aprèsoi-seau,oi-son[33].
Cette commune n'a pas gardé beaucoup de souvenirs du passé. Dépendant ducomté de Boulogne au temps des vicomtes d'Oye jusqu'en 1259, Oye appartint auxcomtes d'Artois jusqu'en 1346, aux Anglais jusqu'en 1558 et aux rois de France depuis cette date, sous le nom de terre et comté d'Oye[34].
Le village a donné son nom à une famille de nobles[35] :
Vers 1170, Eustache d'Oye, fait partie de la cour deBaudouin II de Guînes,comte de Guînes. Celui-ci tient à cette date une cour plénière et solennelle à Guînes. Eustache est un des plèges (cautions) avec d'autres seigneurs, de la dîme qu'Adolphe d'Alès engagea à Pierre abbé de l'abbaye Saint-Médard d'Andres moyennant un prix de 85 marcs d'argent. Baudouin II tient cette assemblée en tant que protecteur et avoué de l'abbaye d'Andres, le jour où Henry de Campagne (Campagne-les-Guînes) devait combattre à Guînes contre le champion de Baudouin de Campagne son frère[36].
Le, sont données àMadrid des lettres dechevalerie pour Charles d'Oye, seigneur de Ruchefay (Rougefay?), qui a servi pendant de nombreuses années. À cette date, il est grandbailli (représentant du roi, en l'occurrence duroi d'Espagne,comte de Flandre) deDunkerque,Gravelines, Bergues Saint-Winock (ancien nom deBergues),Bourbourg. Son père François d'Oye, seigneur de Ruchefay, était capitaine au régiment du marquis de Warembon, et issu de noble et ancienne famille des comtes d'Oye, du royaume de France, alliée auxDixmude, Saint-Omer, (maison de Saint-Omer), Courteville, etc.[35].
LesVikings y débarquent en 879 pour dévaster laMorinie. Son port, peu à peu ensablé, est définitivement bouché auXVIIIe siècle[34].
Seul témoin du passé, la tour de l'église, restaurée en 1953, est construite par les Anglais en 1553 sous le règne deMarie Tudor[34].
Pendant la période où Calais est occupée par les Anglais (1347-1558), la terre d'Oye fait partie de la base de ravitaillement de la ville et le fort d'Oye est un de ceux qui protègent la ville avec celui deMarck. Mais elle n'échappe pas aux incursions françaises qui la ravagent, comme en 1546 lorsque la France souhaite réagir à la prise deBoulogne-sur-Mer (Siège de Boulogne-sur-Mer (1544)[39].
Pendant laPremière Guerre mondiale, le hameau du Pont d'Oye dépend du commandement d'étapes ayant son siège àSaint-Folquin (élément de l'armée organisant le stationnement de troupes, comprenant souvent des chevaux, pendant un temps plus ou moins long, sur les communes dépendant du groupement, en arrière du front)[40]. En, Oye-Plage dépend également du commandement d'étapes de Gravelines[40].
À partir de 1942, les habitations du littoral ainsi que le casino sont détruits dans le but d'y édifier desblockhaus pour fortifier la côte contre un débarquement des forces alliées[41].Oye-Plage est libérée le par des troupes duToronto Scottish Regiment. Avant d'abandonner la ville, les Allemands font sauter les blockhaus, mais l'un d'eux résiste, les charges étant insuffisantes : il est devenu « la Tour penchée ». Construit en forme de clocher, il était destiné à servir de leurre pour les bombardements ennemis, qui pouvaient le confondre avec le clocher du village[41].
La commune est associée avec quatorze autres communes dans lacommunauté de communes de la Région d'Audruicq, dont elle est la plus peuplée. Cette communauté de communes regroupe 15 communes et totalise 28 077 habitants en 2021[Insee 6].
La commune est située dans l'académie de Lille et dépend, pour les vacances scolaires, de lazone B.
La ville administre quatre écoles communales : lesécoles maternellesLes Natices etLes Petits Moulins, et lesécoles primairesLes Dunes d'Oye (anciennement Les Oyats etLes Sables) etL'Étoile.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[54]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[55].
En 2022, la commune comptait 5 716 habitants[Note 8], en évolution de +8,67 % par rapport à 2016 (Pas-de-Calais : −0,72 %,France horsMayotte : +2,11 %).
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à30 ans s'élève à 35,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à60 ans est de 25,5 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 2 715 hommes pour 2 763 femmes, soit un taux de 50,44 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,50 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[Insee 7]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,4
90 ou +
1,1
4,4
75-89 ans
5,8
19,6
60-74 ans
19,6
20,1
45-59 ans
20,4
18,6
30-44 ans
19,2
18,0
15-29 ans
14,5
18,9
0-14 ans
19,5
Pyramide des âges du département duPas-de-Calais en 2021 en pourcentage[57]
Pour le culte catholique, ledoyenné du Calaisis, rattaché audiocèse d'Arras, inclut la paroisse « Saint Bertin des Plaines de l'Oye » dont le lieu de culte à Oye-Plage est l'église Saint-Médard[63].
La population âgée de 15 à 64 ans s'élevait en 2013 à 3 629 personnes (3 876 en 2008), parmi lesquelles on comptait 66,1 % d'actifs dont 56,7 % ayant un emploi et 9,4 % de chômeurs[Insee 9]. Dans l'ensemble du département la proportion d'actifs était de 68,8 %, dont 57 % ayant un emploi et 11,8 % de chômeurs[Insee 10].
En 2013, on comptait 657 emplois dans la commune, contre 622 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune étant de 2 069, l'indicateur de concentration d'emploi[Note 9] n'était que de 31,8 %, ce qui signifie que la commune offrait un peu moins d'un emploi pour trois Ansériens actifs. Cet indicateur était de 27,4 % en 2008[Insee 9]. En 2013, 18,3 % des Ansériens travaillaient dans la commune, 81,7 % dans une autre commune[Insee 11].
La tour Penchée est unblockhaus construit en forme de clocher d'église par les Allemands lors de laSeconde Guerre mondiale. Son but était de tromper les aviateurs anglais qui venaient bombarder des cibles allemandes et utilisaient des repères visuels pour se diriger ; ce faux clocher pouvait être confondu avec celui de la ville, situé quelques kilomètres plus au sud. Depuis la fin de la guerre, on a tenté d'abattre ce bâtiment à l'aide d'explosifs. Cela n'a pas été suffisant. Maintenant la tour est inclinée d'une vingtaine de degrés, d'où son nom.
L'église Saint-Médard est construite auXVIe siècle par les Anglais, qui possèdent Calais, et elle dépend alors de l'archevêché de Cantorbéry. L'église actuelle est édifiée entre 1863 et 1880, la flèche datant de 1914, mais la tour qui subsiste date de 1553 et est construite sous le règne deMarie Tudor, ce qui en fait la plus vieille construction de la commune et la seule tour anglaise subsistant dans le Calaisis. On ignore si c'est l'ensemble de l'église qui est alors construite, ou si la tour et la flèche sont seulement ajoutées à une église existante[64].
Lemonument aux morts, surmonté d’unPoilu[65], date de 1920, mais l'inauguration officielle a lieu le. Il a coûté 22 000 francs de l'époque. Avant, il se trouvait dans le cimetière ; maintenant il se trouve près de la mairie. Le monument commémore les guerres de 1914-18 et 1939-45.
Au cimetière communal se trouvent une section de tombes de guerre françaises et belges et une section de tombes de guerre de laCommonwealth War Graves Commission (Oye-Plage Communal Cemetery).
↑Accès au lien de l'article Wikipédia de la commune limitrophe en cliquant sur celle-ci.
↑Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
↑La DREAL distingue, dans la régionNord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent21 grands paysages régionaux.
↑Les ZNIEFF detype 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
↑Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
↑Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
↑L'indicateur de concentration d'emploi est égal au nombre d'emplois dans la zone pour 100 actifs ayant un emploi résidant dans la zone, selon la définition de l'INSEE
↑Ce dossier de l’Insee reprend, pour la commune,le Code Officiel Géographique, le découpage territorial, l'intercommunalité, les zonages d’études, le dossier complet de la commune, un comparateur de territoires, les données statistiques et les définitions des termes géographiques (zonages administratifs, d’étude, etc.).
↑"Remonter le temps" est un outil de comparaison de l’évolution de l’occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes :carte de Cassini (XVIIIe siècle),carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.
↑a etbDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale »,Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography,no 501,(DOI10.4000/cybergeo.23155,lire en ligne, consulté le)
↑abcde etfSource : Jean Platiau, cité par le site Web de la mairie.
↑a etbAmédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 32,lire en ligne
↑André Du Chesne,Histoire généalogique des maisons de Guines, d'Ardres, de Gand et de Coucy et de quelques autres familles illustres, Paris, 1632, p. 68-69,lire en ligne.
↑Alphonse Wauters,Table chronologique des chartes et diplômes imprimés concernant l'histoire de la Belgique, 10 volumes en 11 tomes, Bruxelles, 1866 à 1904. Tome VIII, Année 1309.
↑Georges Dupas,Histoire de Gravelines, porte de Flandreet de ses hameaux, des origines à la Libération, Westhoeck éditions, 1981, avec Patrick Oddone comme collaborateur, p. 34.
↑Georges Dupas,Histoire de Gravelines Porte de Flandre, Westhoeck Editions,, 663 p.,p. 50.
↑« Le maire Olivier Majewicz quitte le Parti socialiste : "Je ne m'y retrouve plus" »,La Voix du Nord,(lire en ligne).
↑B. B. (CLP), « Oye-Plage : le maire Olivier Majewicz réélu avec 65,69 % des voix : À Oye-Plage, le suspens n’aura pas duré longtemps. En effet, la liste conduite par Olivier Majewicz, maire sortant, a récolté 1 857 voix, soit près du double que la liste emmenée par Muriel Hantschootte, conseillère municipale d’opposition (970 voix) »,La Voix du Nord,(lire en ligne, consulté le).
↑Isabelle Hodey, « Municipales : à Oye-Plage, Olivier Majewicz repart pour un troisième mandat : Réélu dès le premier tour le 15 mars dernier avec 79,33 % des voix, Olivier Majewicz a été réélu maire pour la troisième fois lors d’un conseil municipal d’installation qui s’est déroulé à huis clos salle Jean-Crinon ce samedi matin. »,La Voix du Nord,(lire en ligne, consulté le).
↑« Manon Druelle élue maire du conseil municipal des jeunes de Oye-Plage : Les dix-neuf candidats élus jeudi dernier au sein du conseil municipal des jeunes (CMJ) ont élu, ce week-end à l’espace Dolto, leur nouveau maire »,La Voix du Nord,(lire en ligne, consulté le).