Movatterモバイル変換


[0]ホーム

URL:


Aller au contenu
Wikipédial'encyclopédie libre
Rechercher

Orthographe

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Enlinguistique, l'orthographe (dulatinorthographia, lui-même issu dugrecὀρθογραφία /orthographía, composé deὀρθός /orthós, « droit, correct », et deγράφω /gráphô, « écrire ») est un système de règles concernant l'écriture d'unelangue, faisant partie de sonstandard, en comparaison duquel on juge comme correctes ou incorrectes les formes que les utilisateurs réalisent en écrivant cette langue. L'orthographe comprend des règles concernant la correspondance entrephonèmes et signes graphiques avec lesquels est écrite la langue (lettres,hiéroglyphesetc.), l'utilisation des lettresmajuscules etminuscules (dans lessystèmes d'écritures qui en ont), le découpage ensyllabes, la distinction entremot composé et groupe demotshomophone de celui-ci, l'emploi dessignes de ponctuationetc.[1],[2],[3],[4],[5].

La variété standard de la langue en général et l'orthographe dans son cadre est une création consciente[6], d'abord de divers lettrés, puis de linguistes, étant un fait non seulement linguistique, mais aussisocial etculturel[1],[7]. Elle répond à l'exigence naturelle de lacommunauté linguistique d'avoir des repères communs dans l'écriture de sa langue[5], fixés dans des ouvrages de spécialité (guides,dictionnaires, manuels, etc.)[3]. Elle est fondée sur la réalité de la langue, mais aussi sur divers facteurs extra-linguistiques :historiques,religieux,politiquesetc.[6].

Idéalement, l'orthographe devrait être élaborée selon un seul principe, mais c'est impossible, ses créateurs étant forcés d'en appliquer plusieurs, qui sont contradictoires[2]. C'est pourquoi ses règles ne correspondent pas entièrement à la langue réellement parlée, mais sont conventionnelles[3],[7]. Dans le même temps, la langue étant en évolution continue, l'orthographe en est toujours dépassée[1]. C'est particulièrement évident dans les langues ayant une tradition de la culture écrite relativement ancienne, comme lefrançais, l'anglais, legrec, l'allemand[6], l'irlandais et letibétain[4]. Vu ces faits, selon certains linguistes, l'orthographe ne saurait être considérée comme scientifique, puisqu'elle ne peut avoir la rigueur de la science, d'autant plus qu'elle est marquée par la subjectivité de ceux de ses créateurs qui réussissent à imposer leurs propres solutions[5].

Principes de l'orthographe

[modifier |modifier le code]

Les orthographes de toutes les langues sont fondées sur plusieurs principes. Tels sont le principephonologique (ou phonémique), le principemorphologique, les principes historique etétymologique, les principessyntaxique etlexico-grammatical, le principe d'économie (ou de simplicité), le principe discriminatif (ouhomonymique), le principesymboliqueetc. Lequel ou lesquels de ces principes est/sont prépondérant(s) et dans quelle mesure ils se manifestent, est en fonction de la langue considérée.

Principe phonologique

[modifier |modifier le code]

L'orthographe ne saurait être phonétique, c'est-à-dire faire correspondre chaquephone (son) à un certain signe graphique (ex. :c) ou groupe de signes graphiques (ex. :ch). En effet, les sons de la parole se caractérisent par une grande diversité de réalisations. Elles diffèrent en fonction de leurcontexte phonétique, des conditions générales de leur émission, dulocuteur, voire chez un même locuteur, d’une occurrence à l’autre[8]. Les locuteurs d’une langue donnée font abstraction des traits phonétiques qui n’ont pas d’importance dans leur langue. Ils ne perçoivent comme différents que les sons qui distinguent des senslexicaux etgrammaticaux. Un tel son, appeléphonème, constitue une unité linguistique abstraite représentant toutes ses réalisations concrètes, ses variantes phoniques qui ne distinguent pas des sens[9]. En français, par exemple, dans un mot commerare, on peut entendre uneroulée alvéolaire [r] dite « r bourguignon », uneroulée uvulaire [ʀ] dite « r grasseyé » ou unefricative uvulaire [ʁ] dite « r parisien », mais toutes sont des réalisations d'un seul phonème /r/, rendu par un seulgraphème ⟨r⟩[10]. Le principe phonologique veut qu'à chaque phonème corresponde à l'écrit un seul graphème, et à chaque graphème un seul phonème. Il peut être dominant par rapport à d'autres principes, et il l'est dans certaines langues, comme lebiélorusse, leBCMS (bosnien,croate,monténégrin etserbe)[11],[7], leroumain, l'italien[4], lehongrois, lefinnois, letchèque, leturc[12]etc., mais non dans la même mesure. Parmi les langues qui lui sont le plus fidèles figurent le BCMS, le finnois et le turc, et parmi les moins fidèles le hongrois[12].

Le principe phonologique est parfois appliqué aux dépens d'autres principes, d'une application plus limitée dans ces langues, surtout aux dépens du principe morphologique. En BCMS, par exemple, sont systématiquement rendues par écrit lesassimilations deconsonnes au contact desmorphèmes dans les mots,ex. :(sr)težak « lourd » →teška « lourde »,bez kuće « sans maison » →beskućnik « un sans-abri »[13]. La forme des morphèmes est donc altérée.

Enrusse aussi on trouve l'application du principe phonologique aux dépens du morphologique lors de lapréfixation,ex. : бесполезныйbespolezny « inutile » vs безболезненныйbezboleznenny « non douloureux »[11].

Un exemple en hongrois est l'assimilation rendue par écrit de la marquej[j] de l'impératif par certaines consonnes finales deradical :kér « il/elle demande » →kérj! « demande ! » (sans assimilation) vskeres « il/elle cherche » →keress! « cherche ! » (assimilation de [j] par[ʃ])[14].

Principe morphologique

[modifier |modifier le code]

Conformément à ce principe, l'écriture devrait refléter fidèlement la structure interne des mots.

En BCMS, l'application du principe morphologique a un caractère d'exception, par exemple quand, au contact d'unepréposition avec le mot suivant, l'écriture ne rend pas l'assimilation de la consonne finale de la première par la consonne initiale du second,ex. :(hr)kod kuće [kotkut͡ɕe] « à la maison »,s bratom [zbratom] « avec le frère »[7].

L'orthographe du roumain fait plus de concessions au principe morphologique que BCMS. Ainsi, aprèsch [k] etgh [g] on écritea dans les mots où ce groupealterne avece dans laflexion et/ou dans des motsdérivés (ex. :cheag « caillot » →închega « cailler »,gheată « chaussure » →ghete « chaussures »,ghetuță « petite chaussure »), maisia lorsqu'il n'y a pas de formes alternantes (chiar « même »,ghiaur « giaour »[15], bien que laprononciation de la diphtongue représentée soit la même[3].

En hongrois aussi on accorde plus d'importance au principe morphologique qu'en BCMS. Il est appliqué, par exemple, à l'ajout desdésinences à l'indicatifprésent :dob « il/elle jette » →dobsz [dops] « tu jettes »[6].

En russe également, un mot comme дубdoub « chêne » s'écrit avecбb de façon non-conforme à la prononciation, qui est [dup], avec la pairesourde de /b/, mais avec une désinence à initiale vocalique, l'écriture devient correspondante à la prononciation : дубыdouby « chênes »[11].

Dans une langue comme le français, dont l'orthographe est dominée par les principes historique et étymologique, elle a tout de même une fonction morphologique aussi, entre autres en assurant l'unité du mot dans ses diverses formes qui expriment sestraits grammaticaux, par la conservation à l'écrit de lettres dans des formes où les sons leur correspondant ne se prononcent plus,ex. :prendprendre,petitpetite[16].

Principes syntaxique et lexico-grammatical

[modifier |modifier le code]

En tant qu'application du principe syntaxique, Dubois 2002 présente les formes écrites duparticipe passé duverbeconjugué auxtemps composés, qui, dans la plupart des cas ne diffèrent pas dans l'aspect oral de la langue, destinées à indiquer legenre et lenombre ducomplément d'objet direct placé devant leprédicat,ex. :Les fleurs que j'ai cueillies[1].

Par ailleurs, c'est l'écriture du mot composé par rapport à celle du groupe de mots homophone du premier qui est fondée sur ces principes. Entre les deux entités il y a une différence de statut lexico-grammatical et de sens. Bidu-Vrănceanu 1997 ne parle que de principe syntaxique, en donnant en guise d'exemple, en roumain,nicio dată (adjectif pronominal +nom) « aucune fois » vsniciodată (adverbe) « jamais »[3].

Iartseva 1990 différencie principe lexico-syntaxique et principe lexico-morphologique, en donnant comme exemple d'application du premier назад и вперёд смотрящийnazad i vperiod smotriachtchi « qui regarde en arrière et en avant » vs вперёдсмотрящийvperiodsmotriachtchi (nom) « homme qui voit loin devant », et pour le principe lexico-morphologique – с начала годаs natchala goda « depuis le début de l'année » vs сначала (adverbe) « d'abord, dès le début »[11].

En hongrois il y a de très nombreux mots composés, par conséquent de tels cas aussi sont nombreux,ex. :zöld hullám « onde (d'eau de couleur) verte » vszöldhullám « succession de feux de signalisation au vert »[6].

Principe d'économie

[modifier |modifier le code]

Selon le principe d'économie, les signes graphiques inutiles pour une raison ou une autre devraient être éliminés. Il est appliqué plutôt dans les orthographes à prépondérance phonologique. En BCMS, par exemple, on élimine les signes graphiques non correspondants à un son au contact entre morphèmes qui se terminent, respectivement qui commencent par la même consonne (ex. :(sr)Rus « Russe » +-skiruski « russe ») ou quand les consonnes sont différentes mais l'une assimile complètement l'autre,ex. :pet « cinq » +deset « dix » →pedeset « quinze »[17].

En hongrois, toutes les consonnes peuvent être brèves oulongues (géminées). Si une consonne brève est rendue par undigramme, dans sa variante longue on élimine la deuxième lettre du premier digramme,ex. :rossz [rosː] « mauvais » au lieu de *roszsz[6].

Bien que son orthographe soit surtout étymologique, dans une langue comme l'anglais également on applique parfois le principe d'économie,ex. :judge « juge » vsjudgment « jugement »[2].

Principes historique et étymologique

[modifier |modifier le code]

Certains auteurs considèrent ces principes ensemble, avec la dénomination « principe étymologique ou historico-traditionnel »[3], « principe étymologique »[4] ou « principe traditionnel »[11],[12], mais d'autres les différencient[2],[16]. Ces principes sont prédominants dans des langues qui s'écrivent depuis relativement très longtemps[3],[4], causant beaucoup de non-concordances entre écriture et prononciation[2].

Le principe historique se manifeste par la conservation de graphies d'états de l'évolution de la langue antérieurs à un moment donné, c'est-à-dire que l'orthographe est dépassée par l'évolution de la langue.

Les plus anciennes graphies conservées en français proviennent du latin,ex. :qu etc, pour /k/, dansquand etcourir, ouc ets pour /s/, danscéder etsévère. D'autres graphies proviennent de l'ancien français, par exemple celles des diphtongues d'alors qui se sont réduites par la suite à desvoyelles :ai [e] ou [ɛ],au [o][16].

L'orthographe anglaise reflète l'inventaire des sons dumoyen anglais tardif (fin duXVe siècle). Par exemple, la diphtongue [ou̯] s'écrivaitou, mais a évolué différemment dans descontextesphonétiques différents, alors que la graphieou s'est conservée dans ceux-ci :through [θr] « à travers »,thousand [ˈθznd] « mille »,thoughtɔːt] « pensée, idée »,thoughəʊ] « quoique »,tough [tʌf] « difficile »”,cough [kɒf] « toux »,could [kʊd] « a pu, pouvait »[2].

Par le terme « principe étymologique », les auteurs qui le considèrent à part entendent l'introduction dans certains mots, par des lettrés, de caractères supplémentaires par rapport à la forme à laquelle ont évolué ces mots, rien que pour refléter leur étymologie. C'est ainsi que sont apparues en français certaines lettres parasites, non prononcées, dans des mots hérités du latin, telleh danshomme, écrit jusqu'alorsome, oup danscorps (←cors) etcompter (←conter). De même, l'écriture de certains motsempruntés au latin auMoyen Âge a d'abord hésité entre phonologique et étymologique, cette dernière s'imposant finalement,ex. :filosofiephilosophie[18].

En anglais il s'est produit des changements analogues auXIXe siècle, par l'introduction de la graphiedebt « dette », pour rappeler le mot latindebitum, au lieu de « dette », emprunté au français de même origine, oureceipt « recette » (←receit < ancien françaisreceite < latinrecepta)[2].

Des orthographes où le principe phonologique est prédominant ne manquent pas d'écarts en faveur de ces principes.

En roumain on écrit par tradition despronoms personnels et des formes du verbea fi « être » avece initial prononcé [je] (eu « je, moi »,este « il/elle est », etc.). En vertu du principe étymologique on respecte la graphie étrangère de certains emprunts relativement récents, commequasar[3].

En hongrois, le seul phonème qui s'écrit de deux façons est /j/ : dans la plupart des casj, maisly dans les mots où ce digramme était prononcé [lj],ex. :gólya [goːjɒ] « cigogne »[12].

Un exemple en russe est le phonème /v/ rendu par la lettreгg dans la forme degénitifmasculin etneutre singulier desadjectifs, où à une certaine époque c'était prononcé [g],ex. : доброго человекаdobrovo tcheloveka « de l'homme bon »[11].

Principe discriminatif

[modifier |modifier le code]

Conformément à ce principe, les mots qui se prononcent de la même façon (homonymeshomophones) ne devraient pas êtrehomographes aussi (s'écrire de la même façon), afin d'éviter des confusions[2]. Le principe discriminatif est surtout appliqué dans l'orthographe de langues où c'est le principe historique qui domine. Une série de mots àétymons différents sont arrivés, par évolution, à être homophones et on a ressenti le besoin de les différencier au moins à l'écrit. En français, par exemple, il y a un cas d'homophonie de six mots, sans compter leurs diverses formes selon leurs traits grammaticaux. Ainsi, on prononce de la même façon mais on écrit différemment, avec une graphie évoluée de celle de leurs étymons, les motsceint,cinq,sain,saint,sein etseing[16].

Parfois on différencie ainsi des homophones ayant le même étymon, mais qui sont devenuspolysémantiques,ex. :(fr)dessin etdessein, cf.(it)disegno[1].

Un exemple analogue en anglais est(la)plānus >plane « surface plane » etplain « évident, simple », les deux prononcés [pleɪn][2].

Principe symbolique

[modifier |modifier le code]

Ce principe est appliqué dans toutes les langues qui utilisent desalphabets bicaméraux avec des majuscules pour différencier les mots utilisés aussi bien comme noms communs ou comme adjectifs, qu'en tant que noms propres, ou qui ont une valeur courante et une valeur spéciale dans un certain contexte[3]. Exemples :

(fr)français (adjectif et nom de langue) vsFrançais (gentilé)[19] ;
(ro)poartă « portail » vsPoarta (otomană) « laSublime Porte »[3] ;
(en)river « rivière » vsthe River Aire « la rivièreAire »[20] ;
(cnr)stari « vieux » vsStari kontinent « le Vieux continent » (l'Europe)[21] ;
(hu)föld « terre, sol » vsFöld « Terre » (laplanète)[22].

La majuscule initiale de déférence

[modifier |modifier le code]

Selon Grevisse et Goosse 2007, dans l'écriture française on met d'ordinaire une majuscule initiale aux noms de dignités, titres et fonctions, y compris quand on s'adresse aux personnes en cause, ainsi qu'auxpronoms etadjectifs pronominaux s'y référant,ex. :Cher Monsieur, ;Docteur, ;Sa Majesté[23]. Mais selon François Daniellou (professeur des universités), on a souvent tendance à mettre trop de majuscules aux noms de fonctions ou d'institutions : on ne met en général pas de majuscule aux noms de fonctions, sauf au début d'une lettre[24].

Dans d'autres langues aussi il y a une telle règle :

(ro)DomnuleDirector, « Monsieur le Directeur, » ;ExcelențaVoastră « Votre Excellence »[25] ;
(en)Uncle William « l'oncle William »[20];
(hr)ObraćamVam se radi nekih podataka koje mi samoVi možete dati « Je m'adresse à vous pour obtenir certaines données que vous seul pouvez me fournir »[26] ;
(hu)Szeretnék mindigVeled lenni « Je voudrais être tout le temps avec toi » (pronom avec majuscule, facultative enlettre privée)[27].

Les signes de ponctuation

[modifier |modifier le code]

Chaque orthographe répertorie les signes de ponctuation à utiliser et donne des règles quant à leur emploi. Certaines façons de les utiliser sont communes à plusieurs langues, d'autres sont différentes.

Par exemple, lesphrases interrogatives sont en général marquées par unpoint d'interrogation et les exclamatives par unpoint d'exclamation à leur fin, mais enespagnol on les met également au début de telles phrases, ainsi qu'à l'intérieur de la phrase, devant la partie concernée à proprement parler, retournés verticalement,ex. :¿Cuándo llegaste? « Quand êtes-vous arrivés ? »,Y María ¿dónde está? « Et Marie, où est-elle ? »,¡No me fastidies! « Ne m'ennuie pas ! »[28].

Un autre exemple est celui de l'utilisation de l'espace par rapport aux autres signes de ponctuation, dans les textesdactylographiés et imprimés. En français, par exemple, il y a une espace[a] avant lepoint-virgule, ledouble point, le point d'interrogation, le point d'exclamation et lesguillemets fermants, ainsi qu'après les guillemets ouvrants[29], alors qu'en espagnol (voir plus haut) ou en roumain[30] il n'y en a pas.

Notes et références

[modifier |modifier le code]

Notes

[modifier |modifier le code]
  1. En typographie, « espace» est un nom féminin. VoirEspace (typographie).

Références

[modifier |modifier le code]
  1. abcd eteDubois 2002,p. 337-338.
  2. abcdefgh etiBussmann 1998,p. 845-846.
  3. abcdefghi etjBidu-Vrănceanu 1997,p. 343.
  4. abcd eteConstantinescu-Dobridor 1998, articleortografie.
  5. ab etcKálmán et Trón 2007,p. 13.
  6. abcde etfNádasdy 2006,p. 668-673.
  7. abc etdBarić 1997,p. 65-66.
  8. Dubois 2002,p. 359.
  9. Eifring 2005, chap. 2,p. 45-46.
  10. Dubois 2002,p. 360.
  11. abcde etfIartseva , « Орфогра́фия » (« orthographe »), 1990.
  12. abc etdA. Jászó 2007,p. 80-82.
  13. Klajn 2005,p. 29.
  14. Szende et Kassai 2007,p. 244-245.
  15. Terme de mépris appliqué par les Turcs aux infidèles (TLFi, articlegiaour).
  16. abc etdGrevisse et Goosse 2007,p. 86.
  17. Klajn 2005,p. 31.
  18. Grevisse et Goosse 2007,p. 81.
  19. Grevisse et Goosse 2007,p. 77.
  20. a etbEastwood 1994,p. 74.
  21. Perović 2009,p. 12.
  22. ÉrtSz 1959-1962, articleföld « terre ».
  23. Grevisse et Goosse 2007,p. 98-99.
  24. Daniellou 2017,p. 1021-1023.
  25. DOOM 2005, page3. Scrierea cu literă mică sau mare (Écriture avec minuscule ou avec majuscule).
  26. Barić 1997,p. 204.
  27. AkH 2015,§ 147.
  28. Kattán-Ibarra et Pountain 2003,p. 9.
  29. Grevisse et Goosse 2007,p. 122.
  30. DOOM 2005, page 1.2. Semnele ortografice (Les signes orthographiques),§ 1.2.3.

Sources bibliographiques

[modifier |modifier le code]

Voir aussi

[modifier |modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes

[modifier |modifier le code]

Liens externes

[modifier |modifier le code]

Ce document provient de « https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Orthographe&oldid=230375631 ».
Catégories :
Catégories cachées :

[8]ページ先頭

©2009-2025 Movatter.jp