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Orléans

47° 54′ 09″ nord, 1° 54′ 32″ est
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Page d’aide sur la paronymie

Cet article possède unparonyme, voirOrléat.

Page d’aide sur l’homonymie

Pour les articles homonymes, voirOrléans (homonymie).

Orléans
De haut en bas, de gauche à droite : La Rue Jeanne-d'Arc avec laligne B du tramway et lacathédrale Sainte-Croix ; laPlace du Martroi ; lastatue équestre de Jeanne d'Arc ; lepont George-V.
Blason de Orléans
Blason
Image illustrative de l’article Orléans
Logo
Administration
PaysDrapeau de la FranceFrance
RégionCentre-Val de Loire (préfecture)
DépartementLoiret
(préfecture)
ArrondissementOrléans
(chef-lieu)
IntercommunalitéOrléans Métropole
(siège)
Maire
Mandat
Serge Grouard (DVD)
2020-2026
Code postal45000 (rive droite)
45100 (rive gauche)
Code commune45234
Démographie
GentiléOrléanais, Orléanaises[1]
Population
municipale
116 344 hab.(2022en évolution de +1,36 % par rapport à 2016)
Densité4 234 hab./km2
Population
agglomération
289 182 hab.(2022)
Géographie
Coordonnées47° 54′ 09″ nord, 1° 54′ 32″ est
AltitudeMin. 90 m
Max. 124 
m
Superficie27,48 km2
TypeGrand centre urbain
Unité urbaineOrléans
(ville-centre)
Aire d'attractionOrléans
(commune-centre)
Élections
DépartementalesCantons deOrléans-1,Orléans-2,Orléans-3 etOrléans-4
(bureau centralisateur)
Canton deLa Ferté-Saint-Aubin
LégislativesPremière,Deuxième etSixième circonscriptions
Localisation
Géolocalisation sur la carte :France
Voir sur la carte topographique de France
Orléans
Géolocalisation sur la carte :France
Voir sur la carte administrative de France
Orléans
Géolocalisation sur la carte :Loiret
Voir sur la carte topographique du Loiret
Orléans
Géolocalisation sur la carte :Centre-Val de Loire
Voir sur la carte administrative du Centre-Val de Loire
Orléans
Liens
Site webwww.orleans.fr
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Orléans (/ɔʁ.le.ɑ̃/[n 1]Écouter) est unecommune française située sur les rives de laLoire,préfecture dudépartement duLoiret etchef-lieu de la régionCentre-Val de Loire.

Située au cœur duVal de Loire et aux portes des régions naturelles de laforêt d'Orléans, de laSologne et de laBeauce, et à environ 120 kilomètres au sud deParis, Orléans est, en 2022, la deuxième commune la plus peuplée de la régionCentre-Val de Loire aprèsTours avec 116 344 habitants. En 2022, la ville est la commune-centre d'uneaire d'attraction peuplée de 458 814 habitants et d’une intercommunalité,Orléans Métropole, comprenant22 communes et 290 346 habitants. Ses habitants s'appellent lesOrléanais.

La figure deJeanne d'Arc est indissociable de l'histoire de la ville, puisqu'elle joua un rôle décisif le en délivrant la ville dusiège des Anglais durant laguerre de Cent Ans. Sa figure omniprésente se dresse fièrement sur laplace du Martroi, dans lacathédrale Sainte-Croix ou encore devant l'ancien hôtel de ville. Chaque année, la ville lui rend hommage lors desfêtes johanniques, inscrites depuis 2018 à l'inventaire du patrimoine culturel immatériel en France.

La ville doit son développement dès l'Antiquité aux échanges commerciaux issus de laLoire. Importantport de commerce fluvial, sa position plus ou moins à mi-distance de la source de la Loire et de sonembouchure et au point du fleuve le plus rapproché de la Seine, en a fait le siège effectif de la « Communauté des marchands fréquentant la rivière de Loire »[2]. Théâtre de laguerre de Cent Ans et terre de nombreuxsacres royaux, la ville présente une grande richesse historique et patrimoniale qui lui permet d'intégrer depuis 2009 le cercle desvilles d'art et d'histoire.

Géographie

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Carte
Les limites communales de Orléans et celles de ses communes adjacentes.

Situation

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Capitale de l'Orléanais, la ville se situe à environ 120 kilomètres au sud-ouest deParis. Orléans est entourée par plusieurs régions naturelles : laSologne se déploie au sud alors que les plaines deBeauce s'étendent vers le nord, avec laforêt d'Orléans.

Orléans se trouve dans le coudeseptentrional de laLoire, qui la traverse d'est en ouest. La ville appartient au secteur de lavallée de la Loire situé entreSully-sur-Loire etChalonnes-sur-Loire, qui a été classépatrimoine mondial de l'humanité par l'UNESCO en l'an2000. Dans lesannées 1960 a été créé le quartierOrléans-la-Source, sur des terrains achetés à la commune deSaint-Cyr-en-Val, à une dizaine de kilomètres au sud de la ville originelle. Bien que ce quartier soit séparé du centre par le Val d'Orléans et leLoiret qui prend sa source dans leParc floral de la Source, il est territorialement contigu au quartier de Saint-Marceau. Situé hors du lit majeur de la Loire, le quartier de la Source a une altitude variant de 100 à 110 mètres environ.

Au nord de la Loire (rive droite - cote 102 au pont Georges V, cote 110 à laplace du Martroi), se trouve une petite butte qui monte légèrement jusqu'à la cote 125 à la Croix Fleury, à la limite deFleury-les-Aubrais.

Inversement, le sud (rive gauche) présente une légèredépression autour de 95 mètres d'altitude (àSaint-Marceau) entre la Loire et leLoiret. Situé dans lelit majeur de la Loire, ce secteur est classé enzone inondable[3].

L'arc dupont de l'Europe, dernier pont construit sur la Loire à Orléans.

Communes limitrophes et bourgs proches

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Dans la figure qui suit, les distances données sont cellesà vol d'oiseau et le nombre d'habitants pour chaque ville apparaît en plaçant la souris sur le point représentant la ville. Les noms en gras sont ceux des communes limitrophes ; Orléans en a dix[4].

Distances et positions relatives des communes voisines
Distances et positions relatives des communes voisines
OrléansOrléans
1470 habitants (2017)Chanteau(8,4km)
Fleury-les-Aubr.21026 habitants (2017)
(3,2km)
3176 habitants (2017)Semoy(4,5km)
2128 habitants (2017)Boigny/B.(7,8km)
20751 habitants (2017)St-Jean-de-Br.(4,3km)
8667 habitants (2017)Chécy(8,7km)
Sandillon3971 habitants (2017)(11km)
8702 habitants (2017)St-Denis-en-V.(4,4km)
8702 habitants (2017)St-Jean-le-Bl.(2,5km)
8702 habitants (2017)Saint-Cyr-en-Val(9km)
21951 habitants (2017)Olivet(4,5km)
1117 habitants (2017)Ardon(14,4km)
3040 habitants (2017)St-Hilaire
(6,8km)
5803 habitants (2017)St-Pryvé
(3,5km)
1214 habitants (2017)Mareau-aux-Prés
(10,5km)
3040 habitants (2017)La Chapelle
(6,8km)
3663 habitants (2017)Chaingy
(10,3km)
St-Jean-de-la-R.16273 habitants (2017)
(2,9km)
4122 habitants (2017)Ormes(8,1km)
2009 habitants (2017)Gidy
(10,7km)
16365 habitants (2017)Saran(6km)
1459 habitants (2017)Cercottes
(9,7km)

Géologie et relief

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Carte géologique de la commune de Orléans.
  • Fz : Alluvions récentes des lits mineurs (Holocène)
  • Fy : Alluvions récentes des levées et montilles de la Loire (Holocène)
  • Fw : Alluvions de haute terrasse de la Loire (Pléistocène (Riss))
  • m2MSO : Marnes et sables de l'Orléanais (Burdigalien)
  • m2MCO : Marnes et calcaires de l'Orléanais (Burdigalien)
  • m1CPi : Calcaires de Pithiviers (Aquitanien)

La commune est située dans leBassin parisien, entreBeauce,Val de Loire etSologne, une zone drainée par laLoire et ses affluents. Ce plateau est essentiellement constitué par des formations continentales d'âgesOligocène etMiocène qui reposent sur une assise profonde âgée duCrétacé supérieur. Uncalcaire lacustre d'âgeAquitanien (le "Calcaire de Beauce") peut affleurer mais est recouvert par des dépôts argilo-sableux d'origine fluviatile âgés duBurdigalien. Les principaux dépôts alluvionnaires du Quaternaire occupent les vallées de la Loire et du Loiret[5].

Sur le plan géologique, la commune est décomposée en trois parties[6],[7],[8] :

  • le plateau orléanais, au nord, en rive droite de la Loire, où affleurent différentes formations :
    • le calcaire de Pithiviers (m1CPi) affleurant en bordure de la Loire, et constituant la partie supérieure de la formation du Calcaire de Beauce,
    • les marnes et calcaires de l'Orléanais (m2MCO) principalement sous le territoireintra-muros orléanais,
    • les marnes et sables de l'Orléanais (m2MSO) au nord de la commune, qui sont les premiers dépôts duBurdigalien (de – 20,44 à – 15,97 millions d'années) : des sables essentiellement composés de grains de quartz émoussés, accompagnés defeldspathskaolinisés, desilex à patine noire et de graviers calcaires particulièrement fréquents à la base de la formation[9],[10],
    • les sables et argiles de Sologne (m3-p1SASO), datés duLanghien supérieur auPliocène inférieur, une formation composée desables argileux très grossiers à fins et de lentilles d'argile verte, pure ou sableuse, qui affleure dans deux petites poches en limite des communes deFleury-les-Aubrais et deSaint-Jean-de-la-Ruelle[11] ;
  • laplaine alluviale constituant lelit majeur de la Loire, est composée d'alluvions récentes (Fy etFz), datant de l'Holocène. Les sables de la Loire sont essentiellement constitués par des minéraux provenant de la désagrégation des rochesgranitiques etmétamorphiques duMassif central auxquels s'ajoutent principalement, sous forme degraviers et galets, des éléments locaux provenant de l'érosion de roches sédimentaires[5] ;
  • les limites du plateau solognot, au sud, sous lequartier Saint-Marceau, sont constituées par desalluvions plus anciennes, des alluvions de haute terrasse de la Loire (Fw), datant duPléistocène.

Le calcaire de Beauce, qui constitue l'assise géologique d'Orléans, est fissuré et donne lieu à des phénomèneskarstiques. Les circulations préférentielles d'eaux souterraines dissolvent la roche calcaire en profondeur, créant des cavités souterraines et pouvant entraîner la formation en surface dedolines et de fontis. En octobre 2003, 704 cavités ont été inventoriées dans la commune par le service régional géologique du Centre-Val de Loire (BRGM), dont un très grand nombre de carrières résultant de l'exploitation ancienne du Calcaire de Pithiviers, qui fournissait des moellons[12],[13].

Le territoire communal est relativement plat puisque ledénivelé maximal est de34 mètres : l'altitude du territoire varie de90 mètres à124 mètres[4],[14].

Climat

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Pour des articles plus généraux, voirClimat du Centre-Val de Loire etClimat du Loiret.

Plusieurs études ont été menées afin de caractériser les types climatiques auxquels est exposé le territoire national. Les zonages obtenus diffèrent selon les méthodes utilisées, la nature et le nombre des paramètres pris en compte, le maillage territorial des données et la période de référence. En 2010, le climat de la commune était ainsi de typeclimat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude duCentre national de la recherche scientifique (CNRS) s'appuyant sur une méthode combinant données climatiques et facteurs de milieu (topographie, occupation des sols, etc.) et des données couvrant lapériode 1971-2000[15]. En 2020, le climat prédominant est classé Cfb, selon laclassification de Köppen-Geiger, pour la période 1988-2017, à savoir un climat tempéré à été frais sans saison sèche[16]. Par ailleursMétéo-France publie en 2020 une nouvelle typologie desclimats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à unclimat océanique altéré[17] et est dans la région climatique Moyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 h/an) et un été peu pluvieux[18]. Elle est en outre dans lazone H1b au titre de laréglementation environnementale 2020 des constructions neuves[19],[20].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de11 °C, avec uneamplitude thermique annuelle de15,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 679 mm, avec11,1 jours de précipitations en janvier et7,1 jours en juillet[15]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur lastation météorologique deMétéo-France la plus proche, sur la commune deBricy à14 km àvol d'oiseau[21], est de11,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 635,5 mm[22],[23]. La température maximale relevée sur cette station est de41,3 °C, atteinte le ; la température minimale est de−19,8 °C, atteinte le[Note 1].

Urbanisme

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Typologie

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Au, Orléans est catégorisée grand centre urbain, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[24].Elle appartient à l'unité urbaine d'Orléans[Note 2], une agglomération intra-départementale regroupant19 communes, dont elle estville-centre[Note 3],[25],[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Orléans, dont elle est la commune-centre[Note 4],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 136 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[26],[27].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d’occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (87,8 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (81,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (65,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (18,7 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (4 %)eaux continentales[Note 5] (3,6 %),terres arables (3,2 %), prairies (2,2 %), zones agricoles hétérogènes (1,9 %), forêts (0,7 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (0,4 %), cultures permanentes (0,2 %)[28].

L’évolution historique de l’occupation du territoire communal peut être constatée au travers des différentescartes de ce territoire comme lacarte de Cassini (XVIIIe siècle) ou lacarte d'état-major (1820-1866) ou les différentes photos aériennes (de 1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

  • Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
  • Carte orthophotographique de la commune en 2016.
    Carteorthophotographique de la commune en 2016.

Morphologie urbaine

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Orléans présente un visage façonné à la fois par son histoire, son économie, mais également par la Loire, et ce depuis ses origines.

La ville présente une large palette d'architectures et de paysages largement visible au travers des rues, dans les styles mais également les matériaux (pierres, bois, briques, béton)

On distingue plusieurs « entités urbaines » dans la ville :

Quartiers

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Plan des secteurs d'Orléans
Les six secteurs d'Orléans :Nord (gris),Ouest (orange),Est (rouge),Centre (jaune),Saint-Marceau (bleu),La Source (vert).

Orléans comporte douze quartiers regroupés en six secteurs, quatre au nord de la Loire et deux au sud. Chaque secteur est doté d'une mairie de proximité et, depuis le mandat commencé en2014, d'unconseil consultatif de quartier.

Rive droite, le centre-ville est délimité par les boulevards appelésmails et qui suivent le tracé des anciens remparts ; il est divisé en deux quartiers,Bourgogne - République, correspondant à l'hypercentre etCarmes - Bannier, à l'ouest de la rue de la République et de la rue Royale. Le secteur est comprendSaint-Marc - faubourg Bourgogne et Argonne Sud, à l'est du centre ville ;La Barrière Saint-Marc - La Fontaine, au nord-est, le moins peuplé d'après le recensementINSEE de1999 ;Argonne - Nécotin - Belneuf, au nord-est. Le secteur nord regroupe les quartiersGare - parc Pasteur - Saint-Vincent etAcacias - Blossières - Murlins. Enfin, le secteur ouest est constitué des quartiersChâteaudun - Dunois - faubourg Bannier, au nord-ouest etMadeleine, à l'ouest[29].

La rive gauche se divise en deux secteurs correspondant chacun à un quartier.Saint-Marceau se trouve immédiatement au sud de la Loire.La Source, plus au sud, à l'orée de laSologne, est le quartier le plus peuplé et le plus vaste implanté sur des terrains achetés à la commune deSaint-Cyr-en-Val et accueille entre autres l'hôpital, l'université, des grandes entreprises et des centres de Recherche. La Source est desservie par la nationale 20 et par la sortieno 2 de l'autorouteA71 (Orléans-la-Source ; Olivet-la-Jarry)[29].

Quatre zones sont identifiées commequartiers prioritaires de lapolitique de la ville : une grande partie du quartier Argonne, une petite partie du quartier Blossières, le territoire autour de l'avenue Dauphine à Saint-Marceau et une partie du quartier de La Source, au sud-ouest du campus[30].

Aménagements passés

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La construction de ladeuxième ligne du tramway (traversant l'agglomération d'est en ouest) en 2010-2011 s'est accompagnée de plusieurs chantiers de renouvellement urbain notamment dans les rues du faubourg Madeleine, des Carmes, Jeanne-d'Arc, autour de l'hôtel de ville et de la cathédrale. En prévision du départ de l'hôpital Madeleine prévu en 2015, la ville procède à la requalification de voies urbaines et à la création de parkings souterrains (parking souterrain Cheval-Rouge de 350 places pour 10 millions d'euros, et parking souterrain des mails de 400 à 500 places)[31].

Planification

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SCOT de l'agglomération orléanaise

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La communauté d'agglomération Orléans Val de Loire a approuvé leschéma de cohérence territoriale (SCoT) de l'agglomération orléanaise le[32]. Il s'agit d'un document de planification stratégique intercommunale qui définit les grands projets et les orientations pour un territoire à l'échelle de 20 ans[33]. Sa révision a été engagée en 2014 afin de prendre en compte le nouveau cadre législatif (lois « Grenelle » etALUR) et les nouveaux documents cadres approuvés (schéma régional d'aménagement et de développement durable du territoire (SRADDT),plan de prévention des risques d'inondation (PPRI), leschéma régional de cohérence écologique (SRCE), etc), mais surtout de répondre aux évolutions du territoire en intégrant de nouveaux grands projets déjà définis ou à définir[32].

Plan local d'urbanisme

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Jusqu'en 2013, le Plan d'occupation des sols (POS), mis à jour régulièrement, tenait lieu de plan local d'urbanisme (PLU)[34].

Après une longue phase d'élaboration et notamment une enquête publique en juin 2013, le conseil municipal a approuvé par une délibération du25 octobre 2013 un nouveau plan local d'urbanisme[35].

Le dernier PLU en date est celui de 2019[36].

Réglementations environnementales

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La Loire est protégée ou inscrite dans différents classements et réglementations à Orléans.

Le site fait partie du site du « Val de Loire deChalonnes àSully-sur-Loire » (85 394 ha), classé aupatrimoine mondial de l'humanité par l'UNESCO (Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture) en 2000[37].

Le site est doublement classé au niveau européen : il appartient depuis 2002 à la zone spéciale de conservation « vallée de la Loire deTavers àBelleville-sur-Loire », d'une surface de 7 120 hectares, dans la directive Habitat deNatura 2000, pour les espèces et milieux liés à la dynamique du fleuve[38]. Il est également classé zone de protection spéciale en directive oiseaux deNatura 2000 depuis 2003 au sein d'une zone géographique assez similaire. Cette zone, de7 684 ha, s'intitule « Vallée de la Loire et du Loiret »[39].

Le site est classé au niveau national par un arrêté de 1988 au titre de laloi du 2 mai 1930 au sein du « site de Combleux », d'une superficie de 285 hectares, pour la qualité de ses paysages[40].

LeSAGE (schéma d'aménagement et de gestion des eaux) est en cours d'élaboration.

Projets actuels

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  • Le quartier sensible de l'Argonneest en cours de requalification[Quand ?] dans le cadre du projet national de l'ANRU.
  • UnGrand projet de ville (GPV) a été mis en place à partir de 1999 dans le quartier de La Source pour revaloriser une partie de ce quartier[41].
  • L'anciennemaison d'arrêt d'Orléans a été démolie en 2018 pour laisser la place à un parc aqua-ludique[42].
  • Le parc des expositions a été déplacé à Fleury-les-Aubrais sous le nom Chapit'O.
  • Le projet Arena, porté parSerge Grouard et contesté pour son coût, a été abandonné[43],[44],[45],[46]. Il a été remplacé par le projet CO'Met, d'un coût dépassant les 100 millions d'euros[47].
  • En cours de construction sur l'ancien emplacement du parc des expositions, le CO'Met comprendra une salle de sport spécialement créée pour l'équipeOrléans Loiret Basket et pouvant accueillir 10 000 spectateurs, et un palais des congrès[48].

Voies de communication et transports

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Infrastructures routières

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Article détaillé :Liste des voies d'Orléans.

Orléans est un carrefour autoroutier : l'A10 (Paris-Bordeaux) passe à proximité, et l'A71 y débute, allant vers laMéditerranéeviaClermont-Ferrand où elle devient l'A75.

Par ailleurs, l'A19, ouverte en juin2009, permet de relier, sur environ 100 km, l'autoroute A10 (Paris-Orléans) au niveau d'Artenay au nord d'Orléans, à l'autoroute A6 (Paris-Auxerre-Beaune-Lyon).

La circulation routière y est particulièrement difficile, la ville étant classée seconde parmi les villes de plus de 100 000 habitants en termes d'embouteillage en2010 (derrièreNantes et loin devant Paris)[49]. Toutefois, en2013, Orléans ne faisait plus partie des 10 villes les plus problématiques en France[50].

Transports en commun routiers

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La gare routière d'Orléans est située à proximité du centre commercialPlace d'Arc et de la gare SNCF d'Orléans. Elle est utilisée pour les services de transport par autocar.

Infrastructures ferroviaires

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La gare d'Orléans.
Lagare d'Orléans.
Le tramway à Orléans.
Articles détaillés :gare d'Orléans,gare routière d'Orléans ettramway d'Orléans.

La gare SNCF d'Orléans est, avec lagare des Aubrais, l'une des deux principales gares ferroviaires de l'agglomération. Anciennement située place Albert1er, elle a été reculée de quelques mètres pour céder la place à un centre commercial en1986. Elle dispose de 7 voies à quai en impasse (terminus) et est fréquentée par environ 2 600 000 voyageurs par an.

Les transports urbains de l'agglomération orléanaise sont assurés parKeolis Métropole Orléans sous le nom commercial deTAO.

Soixante-deux ans après le démantèlement dupremier réseau de tramway, Orléans est à nouveau équipée depuis le d'unepremière ligne de tramway qui relie le nord et le sud de l'agglomération sur 18 km et, depuis le, d'uneseconde ligne de tramway est-ouest de 11 km de long entreSaint-Jean-de-Braye etLa Chapelle-Saint-Mesmin.

Projet de TGV

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Une ligne TGV est actuellement à l'étude pour un trajetParis – Orléans –Bourges –Clermont-Ferrand –Lyon. Une autre, surnommée POLT (Paris – Orléans –Limoges –Toulouse, avec un éventuel lien vers l'Espagne), n'a pas abouti, principalement pour des raisons financières.Cependant, un TGV y circulait et assurait le trajet directBrive-la-Gaillarde –Limoges-Bénédictins –La Souterraine –Châteauroux –Vierzon –Les Aubrais –Juvisy –Marne-la-Vallée-Chessy –Aéroport Charles-de-Gaulle TGV –Lille-Europe, au rythme d'un aller-retour quotidien, uniquement lesweek-ends. Il a été supprimé le, pour des raisons de rentabilité.

Circulation douce

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Tracé de l'EuroVelo 6.
Articles détaillés :Vélo'+ etEuroVelo 6.

Du au, Orléans a disposé d'un système devélos en libre-service baptisé « Vélo'+ », qui proposait 350 vélos répartis sur 34 stations (2015)[51]. Orléans a été ainsi la quatrième ville française à proposer ce type de service, aprèsLa Rochelle (1974),Rennes (1998) etLyon (2005). Dans le cadre du renouvellement de la délégation de service publique au 1er janvier 2025, ce service disparaît au 1er juillet 2025, remplacé par un système enfreefloating étendu à neuf communes d'Orléans Métropole sous le nom de "FlexO"[52].

L'EuroVelo 6 ou EV6, également connue sous le nom d'« Eurovéloroute des Fleuves », est unevéloroute de typeEuroVelo qui traverse Orléans en reliantSaint-Nazaire àConstanţa, enRoumanie[53]. C'est la plus célèbre véloroute européenne. Longue de 3 653 km, elle traverse l'Europe d'ouest en est, de l'océan Atlantique à lamer Noire en passant par dix pays. Elle suit l'itinéraire de trois des plus grandsfleuves européens : laLoire, leRhin et leDanube.

Distances, en kilomètres, avec les principales villes françaises
 

Navigation fluviale

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LaLoire en crue à Orléans.
La Loire charriant de la glace, lors des grands froids de février 2012.
Article détaillé :Port d'Orléans.

Dans sa traversée de la ville, laLoire est séparée longitudinalement enGrande Loire au nord, autrefois navigable, et enPetite Loire au sud par unedigue submersible, appelée ledhuis. Cette digue est intégrée dans un ensemble plus vaste d'aménagements conçus pour permettre la navigation de lamarine de Loire.

Autrefois important axe de navigation et de transport de marchandises, la Loire n'est aujourd'hui plus navigable pour les plus gros bateaux que dans son estuaire, jusqu'àNantes environ.

Les bateaux étaient traditionnellement à fond plat, avec un grand mât (pour prendre le vent au-dessus des berges) escamotable (pour passer sous les ponts) : gabarre, futreau… Ces derniers, à des fins touristiques, sont toujours visibles près du pont Royal.

Le débit irrégulier du fleuve limitait fortement la circulation, en particulier la remontée de celui-ci, qui pouvait être cependant aidée par lehalage des navires.

Un bateau à roues du type « Inexplosible » commandé par la mairie, est installé à quai au mois d'août 2007. Situé face à la place de la Loire, il accueillait un bar qui a fait faillite en mars 2009. Il a été repris au mois de juin suivant.

Tous les deux ans, leFestival de Loire rappelle le rôle joué par le fleuve dans l'histoire de la ville.

Arrivée de la navette fluviale estivale Bat'O Loire à l'île Charlemagne.

Pour la saison touristique estivale, un service de navette fluviale est mise en place entre le quai du Châtelet et l'île Charlemagne.

S'y abouche, rive nord du fleuve, près du centre-ville, lecanal d'Orléans, qui rejointMontargis mais qui n'est plus en activité dans sa totalité. Son trajet orléanais est parallèle au fleuve, séparé de ce dernier par un muret, lieu de promenade. Son dernierbief avait été transformé en piscine extérieure dans les années 1960, puis comblé. Il a été rouvert en 2007 pour les fêtes de Loire, dans le but de le faire revivre en y installant un port de plaisance.

Transports de l'agglomération orléanaise (bus)

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La ville d'Orléans est desservie par plus de 23 lignes de bus :

Risques naturels et technologiques majeurs

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La commune d'Orléans est vulnérable à différents aléas naturels :inondations (par débordement de la Loire ou de ruisseaux), climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), mouvements de terrains ousismique. Elle est également exposée à unrisque technologique : letransport de matières dangereuses et le risque industriel[54].Entre 1985 et 2021, dix-sept arrêtés ministériels dereconnaissance de catastrophe naturelle ont été pris pour le territoire de la commune d'Orléans dont quatre pour desinondations etcoulées de boue et treize pour des mouvements de terrains[55].

Risque d'inondation

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Article détaillé :Risque d'inondation dans le Loiret.
Zone inondable de la commune d'Orléans.

La Loire est à l'origine des dégâts les plus importants dans la commune en cas de crue majeure. Les crues historiques sont celles de 1846, 1856, 1866 et 1907. Aucune crue n'a atteint depuis 1907 les hauteurs atteintes lors de ces événements catastrophiques[56].

La zone inondable de la commune d'Orléans couvre une surface de833 hectares, soit 30 % du territoire communal. Cette zone se répartit en121 ha en espaces agricoles,85 ha en eau,71 ha en espaces naturels,4 ha en serres et552 ha en surfaces urbanisées[57]. 22 698 personnes résident dans cette zone[58]. Elle fait partie du val d'Orléans qui s'étend sur 33 km de longueur, du hameau de Bouteille à l'amont au confluent du Loiret à l'aval, et couvre une partie du territoire de la commune[59]. Ce val est protégé par unelevée en terre, la levée d'Orléans, de 45 km de longueur, interrompue à 3,5 km environ en amont duconfluent duLoiret. Il est inondé par le remous de la Loire dans la confluence du Loiret dès les premières crues simulées[60]. Cette levée a été renforcée sur toute sa longueur. Le niveau de protection historique est celui visé par la construction dudéversoir de Jargeau, aménagé à la fin duXIXe siècle à l'emplacement des brèches qui s'étaient produites en 1846,1856 et 1866 et conçu initialement pour fonctionner au-delà de la cote de Loire à l'échelle d'Orléans proche de 6 m (crue de 1825, n'ayant pas occasionné de brèches). Les lignes d'eau en crue ont toutefois beaucoup changé depuis du fait de l'évolution morphologique du lit de la Loire, conséquence des ouvrages de navigation qui ont été réalisés auXIXe siècle et de l'extraction massive de matériaux en deuxième partie duXXe siècle. Le déversoir ne remplit donc plus sa fonction de protéger la levée d'Orléans des surverses et il ne permet plus de définir l'objectif de protection dusystème d'endiguement[61].

L'analyse menée dans le cadre de l'étude de danger des digues, montre qu'aujourd'hui le niveau de protection apparent de la levée est associé à une crue depériode de retour d'environ 200 ans, soit une hauteur d'eau à l'échelle d'Orléans estimée à 5,75 m[62]. Les zones de surverses probables mises en évidence se situent de l'amont vers l'aval, àGuilly,Sigloy (méandre) etSaint-Denis-en-Val (lieu-dit de Château Lumina)[63]. Par ailleurs, ces études montrent aussi que des défaillances avant dépassement des ouvrages sont probables, en particulier àGuilly,Tigy etSaint-Pryvé-Saint-Mesmin. Pour le secteur de Guilly, la probabilité de rupture n'est plus négligeable dès la crue de période de retour de 70 ans, soit une cote d'environ 4,60 m à l'échelle d'Orléans. Cette cote définit le niveau de sûreté actuel de la digue d'Orléans et correspond au seuil de déclenchement du plan d'évacuation massive de l'agglomération d'Orléans en cas de crue[63].

Le risque d'inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais duPlan de prévention du risque inondation (PPRI) du val d'Orléans - val amont, approuvé le[64]. Deux nouveaux types de zones sont apparues par rapport au précédent PPRI, plus restrictives pour une meilleure protection des usagers : la zone de dissipation d'énergie (ZDE) et la zone d'expansion de crue (ZEC). Dans la ZDE, située immédiatement à l'arrière des levées, qui serait fortement affectée en cas de brèche ou de rupture de digue, toute construction nouvelle est interdite. La ZEC quant à elle correspond aux secteurs naturels ou agricoles qu'il convient de préserver pour l'étalement des eaux en cas d'inondation et éviter l'accroissement des risques[65]. La ZDE d'Orléans, d'une superficie de3 ha, englobe l'hippodrome et une partie du Champ de Mars, elle concerne les bâtiments à l'angle de la rue du champ de course et de l'avenue du champ de Mars[66].

Deux documents permettent de définir les modalités de gestion de crise et d'organisation des secours : au niveau départemental, leDispositif ORSEC départemental spécialisé déclenché en cas d'inondation de la Loire, le plan ORSIL[n 2], et au niveau communal leplan communal de sauvegarde[67].

Risque de mouvements de terrain

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Le territoire de la commune peut être concerné par un risque d'effondrement de cavités souterraines non connues. Une cartographie départementale de l'inventaire des cavités souterraines et des désordres de surface a été réalisée. Il a été recensé dans la commune plusieurs effondrements de cavités[68].

Par ailleurs, le sol du territoire communal peut faire l'objet de mouvements de terrain liés à la sécheresse. Le phénomène de retrait-gonflement des argiles est la conséquence d'un changement d'humidité des sols argileux. Les argiles sont capables de fixer l'eau disponible mais aussi de la perdre en se rétractant en cas de sécheresse[69]. Ce phénomène peut provoquer des dégâts très importants sur les constructions (fissures, déformations des ouvertures) pouvant rendre inhabitables certains locaux. Celui-ci a particulièrement affecté le Loiret après lacanicule de l'été 2003. Une grande partie du territoire de la commune est soumise à un aléa« faible » face à ce risque, selon l'échelle définie par leBureau de recherches géologiques et minières (BRGM). Une partie au nord de la Loire est soumise à un aléa« fort »[70].

Transport de matières dangereuses

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Le risque detransport de matières dangereuses peut survenir en cas d'accident impliquant une unité mobile (ex. camion) ou une canalisation transportant des matières dangereuses (toxique, inflammable...). Une matière dangereuse est une substance susceptible de présenter un danger et des conséquences graves pour l'homme et son environnement. À Orléans, les facteurs de risque sont le transport routier empruntant les grands axes comme les RD2152, RD 2020 ou RD 2060, le transport ferroviaire et le gazoduc qui passe au nord de la zone industrielle du quartier de la Source[54],[71].

Risque industriel

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La commune d'Orléans est exposée au risque industriel lié à la présence d'une entreprise classée au titre desinstallations classées pour la protection de l'environnement, soumises à autorisation avec servitude d'utilité publique (classement SEVESO seuil haut)[72] : « Dépôt de Pétrole d'Orléans », une entreprise de stockage pétrolier, localisée sur le territoire de la commune deSaint-Jean-de-Braye, au nord-est d‘Orléans, dont le périmètre de danger empiète sur le quartier Belneuf. La loi 2003-699 du 30 juillet 2003 relative à la prévention des risques technologiques et naturels et à la réparation des dommages prévoit la mise en place desPlans de prévention des risques technologiques (PPRT) pour les établissements industriels soumis à ladirective Seveso et à autorisation avec servitudes au titre de la législation des installations classées pour la protection de l'environnement. Le PPRT relatif à Dépôt de Pétrole d'Orléans a été prescrit par arrêté préfectoral du[73], a vu son délai d'approbation prorogé à de multiples reprises[74].

Toponymie

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Orléans était, à l'époque antique, une place forte de la tribu desCarnutes connue sous le nom deCenabum ouGenabum. Son conquérant romain César en parle dans le livre VII de sonBellum Gallicum. Né d'un démembrement de laCivitas Carnutum,Cenabum était la capitale de laCivitas Aurelianorum, nom qui lui fut donné par les colons romains issus principalement de lagens Aurelia qui la peuplèrent[75]. C'est la civitas qui donnera, comme c'est souvent le cas, son nom à la ville actuelle et ce nom évoluera progressivement vers l'actuel toponyme, Orléans.

Histoire

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Antiquité

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Articles détaillés :Cenabum etHistoire d'Orléans.
Cenabum, sur un extrait de laTabula Peutingeriana.

Cenabum a été fondée pendant l'Antiquité. Elle fut une place fortegauloise, l'une des villes principales de la tribu desCarnutes dont l'assemblée annuelle desdruides est restée célèbre. La métropole des Carnutes était alorsChartres. Port de commerce majeur pour la corporation desnautes de la Loire, Orléans fut le lieu d'un célèbre massacre des marchands romains par un parti autochtone. Cet évènement donna un prétexte àCésar, alors en campagne pour la conquête de la Gaule : il extermina les habitants et incendia la ville en52av. J.-C.[76]

Une nouvelle ville fut bâtie sur les ruines deCenabum par l'empereur romainAurélien qui l'a refondée comme capitale d'une nouvellecivitas détachée desCarnutes. Elle fut nomméeurbs Aurelianorum oucivitas Aurelianorum (enfrançais : cité desAurelii ou Orléanais), puis auneuvième siècle,Aurelianum[77], et enfin, Orléans par simplification et évolution phonétique[78]. La ville a toujours été un point de passage stratégique de la Loire car elle se situe sur le point du fleuve le plus au nord, donc au plus près deParis. Or les ponts étaient rares et la Loire dangereuse.

Accompagnés desVandales, lesAlains franchissent laLoire en408[79]. Un de leurs groupes, dirigé parGoar, accepte de se joindre aux forces arméesromaines[80].Aetius l'installe sur laLoire et à Orléans. Mais ces Alains, turbulents, sont très mal perçus par les autochtones. Un jour, estimant ne pas être payés assez vite ou suffisamment, ils n'hésitent pas à tuer des sénateurs d'Orléans.

À Orléans toujours, sous le roiSangiban, les Alains se joignent aux forces d'Aetius qui s'opposent àAttila qui avait envahi laGaule vers450. Attilaassiège Orléans en 451, et y est défait par la coalition d'Aetius, deMérovée et deThéodoric[81]. Ils prennent part à labataille des champs Catalauniques. Une centaine de localités de l'Orléanais se souviennent de l'installation de ce peuple :Allaines,Allainville, etc.

Labataille d'Orléans se déroula en463 entre les forces de l'Empire romain dumagister militumÆgidius, soutenu parChildéricIer, et les troupes duroyaume wisigoth. Frédéric, le frère du roi wisigothEuric, y est tué selon la chronique d'Hydace de Chaves.

Moyen Âge

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AuMoyen Âge, Orléans est l'une des trois villes les plus riches de France avecRouen et Paris, toujours grâce à sa proximité avec cette dernière et sa situation sur la Loire.

À l'époquemérovingienne, Orléans est la capitale duroyaume d'Orléans à la suite du partage en quatre du royaume deClovisIer. Clovis y tient, en511, unconcile important tant religieusement que politiquement.

Deux siècles plus tard, Orléans joue un grand rôle lors de larenaissance carolingienne.

Article connexe :Comté d'Orléans (France).

À l'époquecapétienne, Orléans est la capitale d'uncomté puis d'unduché tenu enapanage par la maison deValois-Orléans. C'est dans lacathédrale d'Orléans, fief de la famille capétienne, qu'a lieu, en987, le double sacre d'Hugues Capet et de son filsRobert II le Pieux (né et baptisé à Orléans[81]), pierre angulaire d'un pouvoir de huit siècles. Pour cette raison, le comté (puis à partir duXIVe siècle le duché) d'Orléans était traditionnellement donné en apanage au fils cadet du roi.

Les monastères et leurs écoles se multiplient.

Couronnement deLouis VI le Gros.

En1108,Louis VI le Gros est sacré dans la cathédrale d'Orléans par l'archevêque de Sens. Il s'agit d'un des rares sacrescapétiens n'ayant pas eu lieu àReims. Il empêche la création d'institutionscommunales en1138[82].

En1306, l'université d'Orléans, la quatrième de France aprèsParis,Toulouse etMontpellier, est fondée par lepapeClément V. Attirant des intellectuels de toute l'Europe, elle se spécialise dans le droit. Elle contribue au prestige de la ville.

Le titre deduc d'Orléans est créé en1306 par leroi de France. Lesducs d'Orléans, dont le duché a été fondé auXIVe siècle, ne venaient presque jamais dans leur ville. Orléans est alors le chef-lieu de cette province royale. En tant que frères ou cousins du roi, les ducs faisaient partie de sa Cour et avaient peu d'occasions de la quitter. Officiellement, leur château était celui deBlois. Le duché d'Orléans était le plus vaste de tous. Il débutait àArpajon, continuait àChartres,Vendôme,Blois,Vierzon,Montargis. Le fils du duc portait le titre deduc de Chartres. Les héritages de grandes familles et les mariages ont permis aux ducs d'accumuler une richesse colossale.

Libération d'Orléans.

Orléans est aussi la ville deJeanne d'Arc. Pendant laguerre de Cent Ans, celle-ci a joué un rôle très important à Orléans. En1428, lesAnglaisassiègent la ville. Sur la rive sud, un châtelet dit « des Tourelles » protégeait l'accès au pont. La levée du siège de la ville en1429 par Jeanne d'Arc marque le début de la reconquête des territoires occupés par les Anglais. La ville qui était assiégée en vain depuis des mois fut libérée le, avec l'aide des grands chefs militaires du royaume,Dunois etFlorent d'Illiers. Les habitants lui vouèrent dès lors une admiration et une fidélité qui durent encore aujourd'hui (fêtes johanniques d'Orléans). Ils la nommèrent « la pucelle d'Orléans » et lui offrirent une maison bourgeoise dans la ville. La ville finança aussi unmonument commémoratif établi sur le pont de la Loire dès la fin duXVe siècle. Le monument, détruit en 1562 par leshuguenots, puis reconstruit, est à nouveau détruit en 1792.

Une fois la guerre de Cent Ans terminée, la ville retrouva sa prospérité. La situation stratégique de son pont lui a permis de collecter les droits de passage. La ville attirait des commerçants de partout[83].

Époque moderne

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Le roiLouis XI a largement contribué à la prospérité de la ville. Il dynamisa l'agriculture de l'Orléanais. Les terres exceptionnelles de laBeauce favorisent les cultures. Il relança la culture du safran àPithiviers. AuxXVe et XVIe siècles, la ville est l'une des plus belles de France. Églises et hôtels particuliers s'y multiplient.

Maison d'un marchand (XVIe s.).

La famille de Valois-Orléans accédera au trône deFrance parLouis XII puisFrançoisIer. Plus tard à laRenaissance la ville bénéficia des passages des riches châtelains allant dans le Val-de-Loire devenu très à la mode, à commencer par le roi lui-même,Chambord,Amboise,Blois,Chenonceau étant des domaines royaux.

Drapeau de la province de l'Orléanais.

Lesguerres de Religion troublent fortement cette prospérité. La ville abrite de nombreuxprotestants, d'abord des étudiants germaniques, puis des Orléanais convertis.Jean Calvin est reçu et hébergé à l'université d'Orléans. Il rencontre des luthériens et y écrit une partie de ses thèses réformistes. En remerciement de cette protection, le roi d'AngleterreHenry VIII, inspiré des pensées du réformateur pour lareligion anglicane, offre une bourse à l'université.

Du au, lesétats généraux y sont réunis. Le roiFrançois II, fils aîné deCatherine de Médicis et d'Henri II, meurt le dans l'hôtel Groslot, avec à ses côtés sa femme,Marie Stuart.

Lors de lapremière guerre de Religion,Condé fait d'Orléans la capitale de l'insurrection protestante. De janvier à avril1563, la ville subitun siège rude de la part des armées catholiques duduc de Guise, elle est reprise et ses remparts sont démantelés[84].

Cathédrale Sainte-Croix.

La cathédrale fut plusieurs fois reconstruite. La dernière version a vu sa première pierre posée parHenri IV, et les travaux s'étalèrent sur un siècle, offrant ainsi un mélange de style finRenaissance etépoque Louis XIV. Elle est l'une des dernières cathédrales construites en France[85].

Avec larévocation de l'édit de Nantes (1685), elle perd ses derniers protestants.

L'ordre monarchique engendre une nouvelle prospérité reposant sur le commerce fluvial qui atteint son apogée auXVIIIe siècle. C'est alors que la ville prend la forme qu'on lui connaît encore. La fortune locale repose à cette époque avant tout sur le commerce des vins et alcools produits localement, également la fabrication du vinaigre, le traitement et le commerce des sucres coloniaux (la ville compte alors 11 raffineries de sucre[81]), et le travail des étoffes. D'autres corps de métiers, au nombre de 70, jouent aussi un rôle important ; il y a par exemple 10 blanchisseries pour la cire (le miel du Gâtinais est déjà connu à l'époque). Avec deux jours de marché par semaine (les mercredis et samedis), il s'y vend environ 1 500 muids debled chaque semaine[81] - 1 muid d'Orléans fait600 livres, et1 livre faisant en moyenne 450 g cela donne plus de 400 tonnes de céréales changeant de main chaque semaine.

Molière vint étudier le droit à Orléans. Il fut renvoyé de l'université pour avoir participé au carnaval, interdit par les règles nonlaïques de l'établissement.

Révolution française

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L'Orléanais dans ses limites duXVIIIe siècle — dont Orléans était la capitale — et les communes et départements actuels.

En1790, laprovince de l'Orléanais est démantelée et ledépartement duLoiret est créé, avec Orléans commechef-lieu. Début 1792, la ville est choisie par la Législative afin d'y installer une haute cour pour juger des contre-révolutionnaires. Les premiers prisonniers y sont jugés, subséquemment acquittés en raison de la bienveillance de la cour. Le 29 août de la même année,Léonard Bourdon arrive dans la ville pour organiser l'arrivée des « Frères de Paris », une troupe de révolutionnaires qui doit inspecter les prisonniers en attente d'un jugement[86]. La troupe libère les prisonniers et le conseil du département se rassemble afin d'avoir des ordres de Paris, qui souhaite que le prisonniers soient acheminés àSaumur[86]. Nonobstant, les « Frères de Paris » refusent et décident d'emmener les prisonniers àVersailles où ils seront exterminés, sauf trois qui parviennent à s'échapper[86]. À la suite de cet évènement, des émeutes éclatent dans toute la ville le 17 septembre. Des maisons de notables y sont incendiés et pillées[86]. Le 16 mars 1793, Léonard Bourdon est visé par un attentat qui le blesse légèrement. Par la suite, les auteurs des attentats y sont condamnés à la peine capitale et guillotinés le 12 juillet[86]. La même année, des citoyennes orléanaises envoient une pétition à la Convention pour que les charges contre leurs maris soient abandonnées[87]. Anne Quatsault se déguise en homme pour entrer dans l'armée et obtient une pension en 1794.

XIXe siècle

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En1852 est créée lacompagnie du chemin de fer de Paris à Orléans, qui fait notamment édifier lagare d'Orsay à Paris. L'arrivée du chemin de fer et la perte des colonies sucrières bouleversent, pendant un temps, l'économie de la ville.

Lors de laguerre franco-allemande de 1870, la ville se présente encore comme enjeu géo-stratégique. Le, la ville est occupée par lesPrussiens. L'armée de la Loire est constituée sous les ordres dugénéral d'Aurelle de Paladines et se base en Beauce à proximité de la ville.

Article détaillé :Bataille d'Orléans (1870).

XXe siècle

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L'aviatriceAdrienne Bolland, première femme à effectuer la traversée de la Cordillères des Andes en 1920.
Aérodrome des Groues :Louis Blériot, trajetToury-Artenay le 31 octobre 1908.
Place de laGare dans lesannées 1930.
Place du Martroi à la même époque.

Les débuts de l'aviation

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Le début duXXe siècle, époque pionnière de l'aviation, voitHenri Farman faire plusieurs voyages entre Étampes (aérodrome de Mondésir) et Orléans. Son frèreMaurice Farman vole deBuc (Yvelines) à Chartres et de Chartres à Orléans en 1909.Ferdinand-Léon Delagrange (1872-1910), autre pionnier de l'aviation et né à Orléans[88], est à l'origine de la première route aérienne Juvisy-Orléans en 1909 ; c'est également lui qui insiste auprès des autorités locales pour que soit créé l'aérodrome des Groues[n 3] à Orléans, et pour qu'Orléans soit une étape dans la course d'aéroplanes Bordeaux-Paris[94].

L'armée permet également les atterrissages sur le champ de tir de Cercottes plus au nord, en lisière de la forêt de Cercottes. Puis le terrain de secours d'Orléans-Saran ouvre en juillet 1921, aménagé par le service de la Navigation aérienne avec un bâtiment pour loger un gardien, un atelier, un hangar et une cave à essence[95].

L'aviatriceAdrienne Bolland est enterrée àDonnery lieu d'origine de sa famille. Elle a participé à de nombreux meetings aériens à Orléans[96]. Elle a été membre également du réseau de résistance CND-Castille duLoiret pendant la Seconde Guerre mondiale, qui recherche des terrains d'aviation pour lesForces françaises libres[97]. En 2021, les archives départementales du Loiret lui consacrent une exposition pour l'anniversaire des 100 ans de sa traversée de laCordillère des Andes[98]. Elle s'est engagée en faveur de l'obtention du droit de vote pour les femmes[96].

Seconde Guerre mondiale

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LaSeconde Guerre mondiale frappe la ville de plein fouet. Les destructions sont nombreuses. En juin 1940, 681 immeubles sont détruits et 695 endommagés[99]

Pendant l'Occupation, les Allemands font de lagare des Aubrais une gare centrale pour leur logistique ferroviaire. Deux camps de transit sur le chemin de la déportation sont ouverts, àPithiviers et àBeaune-la-Rolande. Le pont George V est rebaptisé « pont des Tourelles »[100].

À laLibération, en 1944, les Britanniques bombardent intensément la ville et la gare des Aubrais[99]. Les dégâts sont très importants. Orléans est libéré le par les troupes américaines dugénéral Patton[101] avec la participation desForces françaises de l'intérieur (FFI).

La reconstruction

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Dans les années qui suivent sa libération, la ville est l'une des premières reconstruites : le plan de reconstruction et d'aménagement deJean Kerisel etJean Royer est adopté dès1943 et les travaux commencent dès le début de l'année1945. Cette reconstruction se fait pour une part à l'identique, comme la rue Royale et ses arcades, mais aussi ailleurs par la mise en œuvre de procédés de préfabrication innovants, comme l'îlot 4 sous la direction de l'architectePol Abraham[102].

Dans lesannées soixante, la ville est marquée par une expansion démographique et ladécentralisation industrielle, et par la création du quartier de La Source où s'installent le campus universitaire et leParc floral de la Source. PendantMai 68 la ville participe très vite à la grève générale qui s'étend. Jeudi 16 mai à 8 heures, les 1 200 salariés de l'usine Unulec, à Orléans, se mettent en grève[103].

Années 1960, « la rumeur d'Orléans »

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En1969, larumeur d'Orléans concerne la disparition supposée de jeunes femmes dans certaines boutiques de vêtements tenues par desjuifs.Edgar Morin en a fait une étude détaillée dans un essai, décrivant la naissance, la diffusion et l'extinction d'une rumeur publique dans des villes de moyenne importance.

Orléans auXXIe siècle

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La grande ville d'autrefois est aujourd'hui une ville moyenne de 275 000 habitants en comptant son agglomération. Rivale deTours sur le plan régional, elle est depuis1964 le siège de lapréfecture de région[104].

Orléans en dehors de la France

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Lorsque la Francecolonise l'Amérique, elle conquiert un territoire dans la vallée du fleuveMississippi, baptisé fleuve Colbert, de l'embouchure jusqu'à sa source aux frontières duCanada. Il est baptiséLouisiane et la capitale est nomméeLa Nouvelle-Orléans en l'honneur durégent deLouis XV, leduc d'Orléans. Elle est peuplée de 8 000 Français etCadienschassés du nord-est par les troupesbritanniques.

DevantQuébec se trouve l'île d'Orléans, découverte par Jacques Cartier en 1535[105]. Il la nomme ainsi en l'honneur d'Henri II, alors duc d'Orléans[105].

À l'est d'Ottawa, enOntario, se trouve le quartier d'Orléans, banlieue essentiellement résidentielle et historiquementfranco-ontarienne.

Économie

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Généralités

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Orléans est le siège de lachambre de commerce et d'industrie du Loiret. Elle gère l'Arboria, le port d'Orléans et le port de plaisance deBriare. L'aéroport d'Orléans - Saint-Denis-de-l'Hôtel est la seule voie d'accès aérienne de l'agglomération ; il est surtout destiné à l'aviation d'affaires et au fret.

La ville appartient également à l'Espace métropolitain Val de Loire-Maine.

À une heure en train de la capitale, 5 980 personnes effectuent l'aller-retour tous les jours entre Paris et Orléans pour y travailler[106].

Revenus de la population et fiscalité

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En2011, lerevenu fiscal médian par ménage était de 25 070 [107]. En2013, la part des ménages fiscaux non imposable s'élevait à 35,5 %[108].

Emploi

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Le taux dechômage pour la commune s'élève à 7,4 % en 2019.

Secteurs d'activité

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Cinq grands secteurs d'activités sont représentés.

L'informatique, les télécommunications, l'électronique et l'instrumentation. Orléans accueille notamment : Techcity (devenuTéléperformance), Expertline, Louis Harris, TDSI. L'agglomération compte d'autres opérateurs comme CMC-The Phone House (devenu Téléperformance à Fleury-les-Aubrais),BNP Paribas (Saran), laboratoires GREMI, CERI, LASEP, LEES, LESI, LIFO, le centre de recherche technologique Plasma Laser,Hitachi,Jabil circuits automotive,IBM, REDeutsch,Lexmark International ouCILAS.

L'automobile est présentevia la sous-traitance, avec une usine defabrication de pneumatiques du groupe françaisMichelin.

La pharmacie : Orléans est incluse dans le premier pôle pharmaceutique de France (premier producteur pharmaceutique d'Europe en volume depuis 1975) avec 70 % de la production nationale. Un médicament sur deux est produit en régionCentre-Val de Loire[109]. Elle accueille notamment les entreprisesServier,Sanofi, Famar France,Merck,Pfizer (site européen de conditionnement),McNeil (site européen de production forme liquide), le centre de biophysique moléculaire et l'institut de chimie organique et analytique.

La cosmétique : la « Cosmetic valley » est un pôle national de compétitivité, qui fait de la région Centre la deuxième région pour la cosmétique et les parfums. L'agglomération accueille notamment les entreprisesChristian Dior,Gemey,Shiseido,Sephora etCaudalie[110].

Le transport et la logistique :Orléans et sa région sont les plus gros employeurs de la filière logistique, avec 9 000 salariés et constituent la première plate-forme logistique de France[110].[réf. nécessaire] Environ 400 entreprises ou établissements sont spécialisés dans le conditionnement, l'entreposage ou encore le transport[réf. souhaitée].

L'environnement : Orléans regroupe différentes structures publiques liées à l'environnement comme la Direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement du Centre (DREAL), l'Agence de l'eau Loire-Bretagne, l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (Ademe), l'Institut national de recherche agronomique (INRA), le Conseil d'architecture, d'urbanisme et d'environnement du Loiret (CAUE) ou le Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM). L'Institut français de l'environnement (Ifen) était également basé à Orléans jusqu'à sa suppression par un décret du.Avec 93 entreprises et quelque 2 400 salariés, Orléans arrive en tête de la filière régionale dans les domaines du recyclage, de la gestion des déchets et de l'eau.[réf. nécessaire]

Centres commerciaux

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La ville possède deux centres commerciaux en centre-ville :Place d'Arc (31 000 m2, 65 boutiques) et lesHalles Châtelet (50 boutiques). D'autres centres commerciaux sont installés en périphérie :Cap Saran à Saran (50 boutiques),Aushopping Saint-Jean àSaint-Jean-de-la-Ruelle (61 boutiques),Auchan Olivet et ZAC expo Sud au sud de la Loire, (50 boutiques),Chécy Belles Rives à Chécy (37 boutiques),E. Leclerc Olivet-La Source, E. Leclerc Fleury-les-Aubrais.

Politique et administration

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Le maire d'Orléans depuis le estSerge Grouard (députéLR du Loiret de 2002 à 2017, et déjà maire de 2001 à 2015).

Liste des maires

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Article détaillé :Liste des maires d'Orléans.
L'hôtel Groslot.
L'hôtel de ville et la cathédrale.
Liste des maires depuis1954
PériodeIdentitéÉtiquetteQualité
19541959Pierre Ségelle[111]SFIOMédecin
Ministre(1946 → 1947 et 1949 → 1950)
Député du Loiret(1945 → 1958)
19591971Roger Secrétain[112]MRP,CD puisCDPJournaliste et écrivain
Député du Loiret(1951 → 1958)
29 mars 197123 mars 1978[113]René Thinat[114]RADConseiller général (1973 → 1976)
Conseiller régional (1974 → 1978)
Décédé en fonction
21 avril 197831 juillet 1980[115]Gaston Galloux[116]RPRPharmacien
Décédé en fonction
6 octobre 19809 septembre 1988[117]Jacques Douffiagues[118]UDF-PRMinistre des Transports(1986 → 1988)
Député du Loiret(1978 → 1981 et 1986)
Démissionnaire
1er octobre 1988[117]19 mars 1989Jean-Louis BernardUDF-RADChirurgien
Député du Loiret(1993 → 2012)
24 mars 198925 mars 2001Jean-Pierre SueurPSSecrétaire d'État(1991 → 1993)
Député du Loiret(1981 → 1991)
Sénateur du Loiret(2001 → 2024)
25 mars 200122 juin 2015[117]Serge GrouardRPR,UMP puisLRHaut fonctionnaire
Député du Loiret(2002 → 2017)
Démissionnaire
28 juin 2015[119]29 juin 2020Olivier Carré[120]LR puisDVD[121]Chef d'entreprise
Député du Loiret(2007 → 2017)
4 juillet 2020en coursSerge GrouardLR puisDVDHaut fonctionnaire
Député du Loiret(2002 → 2017)

Division cantonale

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Orléans est découpé en cinq fractions cantonales constituées de quatre cantons entiers (Orleans-1,Orleans-2,Orleans-3 etOrleans-4) et d'une fraction ducanton de la Ferté-Saint-Aubin. Les limites territoriales de ce découpage cantonal sont entrées en vigueur en mars 2015, en application du décret du[122]. Auparavant la ville avait été découpée en 3 cantons de 1801 à 1806, 5 cantons de 1806 à 1973, 5 cantons de 1973 à 1982 et 6 de 1982 à 2015. Les tableaux ci-près présentent l'évolution de ce découpage et de la population de chaque fraction cantonale.

FractionPop 2013Pop 2014
Orléans-12356023666
Orléans-22674126454
Orléans-31486215081
Orléans-43598236449
La Ferté-Saint-Aubin1323013327
Total114375114977
18011806-19731973-1982[123]1982-2015[124]2015[122] -
CodeNomCodeNom
Orléans-1
Orléans-2
Orléans-3
Olivet
Chécy
Orléans-Ouest
Orléans-Nord-Ouest
Orléans-Nord-Est
Orléans-Sud
Orléans-Est
Orléans-1
Orléans-2
Orléans-3
Orléans-4
Orléans-5
23Orléans-Bannier13Orléans-1
24Orléans-Saint-Marc-Argonne
21Orléans-Bourgogne14Orléans-2
25Orléans-Saint-Marceau
22Orléans-Carmes15Orléans-3
41Orléans-La Source16Orléans-4
Fleury-les-Aubrais34Fleury-les-Aubrais06Fleury-les-Aubrais
Olivet35Olivet12Olivet
40Saint-Jean-le-Blanc20Saint-Jean-le-Blanc
Saint-Jean-de-Braye37Saint-Jean-de-Braye18Saint-Jean-de-Braye
Chécy38Chécy
Saint-Jean-de-la-Ruelle36Saint-Jean-de-la-Ruelle19Saint-Jean-de-la-Ruelle
Ingré39Ingré

Jumelages et relations internationales

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Article détaillé :Jumelage et coopération dans le Loiret.
Carte
Villes jumelées avec OrléansVoir et modifier les données sur Wikidata
Villes jumelées avec OrléansVoir et modifier les données sur Wikidata
VillePaysPériode
Cracovie[125],[126],[127],[128],[129]Polognedepuis le
Dundee[130],[131]Royaume-Unidepuis
Kristiansand[132]Norvègedepuis le
La Nouvelle-Orléans[133],[134]États-Unisdepuis le
Lugoj[135],[136]Roumaniedepuis le
Meknès[137]Marocdepuis
Münster[138],[139]Allemagnedepuis le
Parakou[140]Bénindepuis
Saint-Flour[141],[142]Francedepuis
Tarragone[143],[144]Espagnedepuis le
Trévise[145],[146]Italiedepuis
Utsunomiya[147]Japondepuis le
Wichita[148],[149]États-Unisdepuis
Yangzhou[150],[151],[152]Chinedepuis le

Orléans est « cousine » deLa Nouvelle-Orléans. Le, Orléans annonce qu'elle va venir en aide après le passage de l'ouragan Katrina. Elle a ainsi effectué des dons en direction des sinistrés deLouisiane.

Orléans a été marraine de guerre du village deVauquois, dans le département de laMeuse, enLorraine. La ville a apporté une aide financière à la reconstruction du village, entièrement détruit pendant laPremière Guerre mondiale[153].

Tendances politiques et résultats

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Article connexe :Élections municipales de 2020 dans le Loiret.

Les personnalités exerçant une fonction élective dont le mandat est en cours et en lien direct avec le territoire de la commune d'Orléans sont les suivantes :

ÉlectionTerritoireTitreNomDébut de mandatFin de mandat
MunicipalesOrléansMaireSerge Grouard2026
DépartementalesOrléans-1Conseiller départementalJean-Pierre Gabelle29 mars 20152028
Conseillère départementaleNadia Labadie29 mars 20152028
Orléans-2Conseiller départementalHugues Raimbourg2028
Conseillère départementaleChristine Tellier27 juin 20212028
Orléans-3Conseillère départementaleMathieu Gallois27 juin 20212028
Conseiller départementalDominique Tripet27 juin 20212028
Orléans-4Conseiller départementalBaptiste Chapuis27 juin 20212028
Conseillère départementaleKarine Harribey27 juin 20212028
La Ferté-Saint-AubinConseiller départementalChristian Braux29 mars 20152028
Conseillère départementaleAnne Gaborit29 mars 20152028
Législatives1re circonscriptionDéputéStéphanie Rist
2e circonscriptionDéputéCaroline Janvier
6e circonscriptionDéputéRichard Ramos
RégionalesCentre-Val de LoirePrésident du conseil régionalFrançois Bonneau[154]mars 2028[155]
PrésidentiellesFrancePrésident de la RépubliqueEmmanuel Macron
Autres résultats :Élections à Orléans.

Équipements et services publics

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Espaces verts

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Jardin Jacques-Boucher.

Leparc Pasteur, de4,5 hectares au nord du centre-ville, est créé en1927[156] sur d'anciens jardins ouvriers situés sur le terrain d'un cimetière désaffecté (le cimetière Saint-Vincent). Outre une statuaire datant essentiellement desannées 1920, et un élément d'architecture réutilisé (le portail monumental de Saint-Samson,XVIIe siècle), on y trouve un grand bassin central, un théâtre pour enfants, des manèges, des jeux, ainsi qu'un petit train à vapeur en circuit fermé, offert en1952 par la ville deWichita (États-Unis), cité jumelle d'Orléans. Le parc possède aussi un ou deux courts de tennis et un espace sportif polyvalent. On y trouve aussi trois stèles dédiées aux combattants de différents conflits (parmi euxPierreIer de Serbie — guerre de 1870 — ainsi que les résistants et les déportés de la Deuxième Guerre mondiale).

  • Lejardin des Plantes de3,5 hectares est situé au sud de la Loire ; il est créé en1836 à partir d'un jardin botanique de1640[157].
  • LeParc floral de la Source, créé en1963, fait près de35 hectares. Il est centré sur la source duLoiret (lebouillon), qui est, en fait, une résurgence de la Loire.
  • Le parc Louis-Pasteur dans le centre d'Orléans, qui fait4 hectares
  • Le parc Anjorrant.
  • Le parc de la Fontaine de l’Étuvée au nord-est versSaint-Jean-de-Braye, est un parc semi-naturel.
  • Le parc du Moins-Roux au sud en direction d'Olivet.
  • Le jardin de l’Évêché derrière la cathédrale.
  • Le parc Léon-Chenault derrière l'église Saint-Marceau.
  • Le jardin Jacques-Boucher.
  • Le jardin de l'Hôtel Groslot.
  • Le jardin de la Charpenterie.
  • Floralix, parc à thème éphémère.

Gestion de l'eau

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Article détaillé :Gestion de l'eau dans Orléans Métropole.

Eau potable

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Le service public d'eau potable est une compétence obligatoire des communes depuis l'adoption de laloi du 30 décembre 2006 sur l'eau et les milieux aquatiques[158]. La commune assurait jusqu'au, la production et la distribution de l'eau potable sur le territoire communal[159]. La gestion de l'eau étant une compétence obligatoire des communautés urbaines[160] et des métropoles[161], la communauté urbaine Orléans Métropole s'est substituée à la commune pour la mise en œuvre du service public d'eau potable lors de la transformation de la communauté d'agglomération Val de Loire encommunauté urbaine le, puis c'est lamétropoleOrléans Métropole qui a pris cette compétence le. La ville d'Orléans est alimentée eneau potable par l'usine de traitement du Val, située en bordure de l'avenue Gaston-Galloux et mise en service en 1977. L'eau brute traitée à l'usine du Val est puisée sur deux champs captants[162],[163] : Le Val, à 20 m de profondeur au niveau de trois forages (le Theuriet, le Bouchet et le Gouffre) et La Saussaye/l'Oiselière, à Saint-Cyr-en-Val, à 90m de profondeur. Elle produit quotidiennement 30 000 m3 en moyenne et 50 000 m3 en période de pointe. Sa capacité maximale de traitement est de 60 000 m3/jour (environ 3 000 m3/h sur 20 heures).

Eaux usées

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La compétence assainissement, qui recouvre obligatoirement la collecte, le transport et l'épuration des eaux usées, l'élimination des boues produites, ainsi que le contrôle des raccordements aux réseaux publics de collecte[164], est assurée depuis le par la Communauté de l'Agglomération Orléans Val de Loire, puis le1er janvier 2017 par la communauté urbaine et enfin depuis le1er mai 2017 parOrléans Métropole[165].

Depuis le, la métropole a signé un contrat dedélégation de service public avec la sociétéSuez Environnement pour l'exploitation des réseaux et ouvrages d'assainissement de 11 communes du territoire métropolitain dont la partie d'Orléans située dans le val au nord de La Source. Le reste du territoire communal est géré en régie par les services d'Orléans Métropole[166]. Le réseau comprend un réseau unitaire (eaux usées + eaux pluviales) de469 364 ml, un réseau séparatifeaux usées de216 852 ml et un réseau d'eaux pluviales de248 832 ml. Dans la commune, on compte 43 stations de relevage pour les eaux usées et 9 pour les eaux pluviales[165]. Ces stations peuvent contenir de une à quatre pompes dont les puissances peuvent varier de 1,3 kW à 140 kW (soit de 3 l/s à 450 l/s)[167].

Unzonage d'assainissement, qui délimite les zones d'assainissement collectif, les zones d'assainissement non collectif et le zonage pluvial[168], a été réalisé par l'AgglO et a été approuvé par délibération du conseil de communauté du[169].La partie de la commune située au nord de la Loire est raccordée à lastation d'épuration deLa Chapelle-Saint-Mesmin[170], le plus important équipement sur le territoire d'Orléans Métropole dont la capacité est de 350 000 EH[171]. La partie de la commune située dans le val au nord de La Source est raccordée à lastation d'épuration de l'Île Arrault[170], dont la capacité est de 95 000 EH[171] et son exploitation est assurée depuis mai 2016 par Véolia[166]. Le Quartier de La Source est quant à lui raccordé à la station d'épuration de La Source, gérée en régie par les services d'Orléans Métropole.

Gestion des déchets

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Sites de collecte, de traitement et de valorisation des déchets de la communauté urbaine d'Orléans Métropole, avec localisation de la commune d'Orléans.
Article détaillé :Orléans Métropole#Gestion des déchets.

La collecte, le traitement et la valorisation des déchets est une compétence exclusive de la communauté urbaineOrléans Métropole depuis 2000 (l'intercommunalité était alors communauté de communes). La collecte desdéchets ménagers (résiduels[n 4] et multimatériaux) est effectuée en porte-à-porte sur toutes les communes de la communauté urbaine. Un réseau de sixdéchèteries accueille les encombrants et autres déchets spécifiques (déchets verts, déchets dangereux, gravats, cartons…)[172].

Une unité de traitement permettant la valorisation énergétique (l'incinération des déchets ménagers résiduels) et la valorisation matière des autres déchets (corps creux, corps plats et multimatériaux) est en service dans la commune deSaran depuis 1996. Elle est exploitée par la société TRISALID, filiale du groupeVeolia[173].

Santé

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Vue intérieure de l'ancien hôpital, porte Madeleine.

LeCentre Hospitalier Universitaire d'Orléans (C.H.U) est situé dans le quartier d'Orléans-la-Source et a été inauguré en janvier 2017, fusionnant plusieurs sites, comme l'Hôpital Porte-Madeleine.

Quatre cliniques privées ont été réunies dans un pôle de santé privé Nord, baptisé Oréliance, situé à Saran. Seule la Clinique de l'Archette subsiste àOlivet.

Éducation

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La ville d'Orléans accueille lerectorat de l'académie d'Orléans-Tours, dont elle est le chef-lieu, ainsi que ladirection académique du Loiret.

Université

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L'université d'Orléans, créée en 1306 par le papeClément V, est refondée en 1966. Elle compte 19 002 étudiants en 2019.

  • Le campus de l'université d'Orléans est situé àOrléans-la-Source. L'université compte 5 UFR (Unité de formation et de recherche) : Lettres, Langues et Sciences Humaines ; Droit, Économie et Gestion ; Sciences ; Sciences et Techniques des Activités Physiques et Sportives (STAPS); Médecine.
  • Orléans dispose de son école d'ingénieur portant le nom dePolytech Orléans elle appartient au réseauRéseau Polytech, l'un des trois plus grands réseaux d'école d'ingénieur en France. Elle résulte de la fusion en 2002 des anciennes ESEM (École Supérieure des Énergies et des Matériaux) et ESPEO (École Supérieure des Procédés Électroniques et Optiques). Polytech Orléans dépend de l'université d'Orléans et se trouve sur le campus de La Source. Polytech Orleans est accréditée par la commission des titres d'ingénieurs (CTI) et membre de la Conférence des grandes écoles (CGE).
  • UnInstitut universitaire de technologie disposant de départements de : GTE (Génie Thermique et Énergie) ; Chimie ; GMP (Génie Mécanique et Physique) ; INFO (Informatique); QLIO (Qualité Logistique Industrielle et Organisation); GEA (Gestion des Entreprises et des Administrations)
  • Institut d'administration des entreprises d'Orléans (IAE Orléans)
  • Institut universitaire professionnalisé (IUP Orléans)
  • Une école publique de masso-kinésithérapie située sur le campus de l'université
  • Une cellule de lutte contre les Violences[174]

Écoles supérieures

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Deux écoles supérieures d'enseignement supérieur public :

Cinq écoles supérieures d'enseignement supérieur privé (deux écoles supplémentaires d'ici 2022) :

  • L'ISC Paris, Campus Orléans depuis la rentrée 2019 (rue Jeanne d'Arc, dans l'ex collège Anatole Bailly), elle possède des accréditations internationales AACSB et AMBA ;
  • Excelia Business School, anciennement école de commerce et de gestion d'Orléans (ECG Orléans) puisÉcole supérieure de commerce et de management (ESCEM), qui y propose un programme de bachelor « développement commercial » ;
  • Exia (École supérieure d'informatique appliquée du CESI) ;
  • Supinfo (École supérieure d'informatique) ;
  • Université de la Poste (centre de formation interne àLa Poste) ;
  • AgroParisTech[175], institut spécialisé dans les sciences du vivant et de l'environnement, à la Source ;
  • l'ESTP Paris[176], grande école d'ingénieurs, installée dans une aile de l'ancien Hôpital Porte Madeleine en centre-ville.

Lycées

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Article détaillé :liste des lycées du Loiret.

Lycée Hôtelier de L'Orléanais Lycée hôtelier à Olivet.(cuisine,pâtisserie,service, fromageries, primeur).

  • Lycée-Benjamin Franklin, lycée polyvalent ;
  • Lycée Pothier, lycée d'enseignement général et technologique et classes préparatoires aux grandes écoles ;
  • Lycée Jean-Zay, lycée polyvalent ;
  • Lycée Charles-Péguy, lycée d'enseignement général et technologique ;
  • Lycée Voltaire àOrléans-la-Source, lycée d'enseignement général et technologique (BTS NRC ; communication ; MUC ; SP3S ; notariat) ;
  • Lycée Paul-Gauguin àOrléans-la-Source, lycée professionnel ;
  • Lycée Saint-Charles, lycée privé général ;
  • Lycée Sainte-Croix-Saint-Euverte, lycée privé polyvalent et classes préparatoires aux grandes écoles ;
  • Lycée Saint-Paul Bourdon Blanc, lycée privé polyvalent ;
  • Lycée de l'horticulture et du paysage de la Mouillère, lycée privé agricole.

Collèges

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  • Collège Jeanne d'Arc ;
  • Collège Jean-Pelletier ;
  • Collège Jean-Dunois ;
  • Collège Jean-Rostand ;
  • Collège Étienne-Dolet ;
  • Collège Montesquieu ;
  • Collège Alain-Fournier ;
  • Collège privé Sainte-Croix Saint-Euverte ;
  • Collège privé Croix Saint-Marceau ;
  • Collège privé Saint-Paul Bourdon Blanc ;
  • Institution privée hors-contrat Sainte-Anne.

Garnison

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Orléans est une importante ville de garnison avec, en2015, la présence du43e bataillon de transmissions[177] caserné auQuartier Bellecombe.

L'état-major de la2e brigade blindée et la2e compagnie de commandement et de transmissions blindée y ont également tenu garnison de1999 à2010, date de leur transfert àIllkirch-Graffenstaden près deStrasbourg[178].

L'Armée américaine avait un état major dans l'ancienne caserne du131e R.I. à Orléans, et disposait aussi d'unebase, construite après laSeconde Guerre mondiale, dans la commune voisine d'Olivet[179], ainsi que plusieurs autres établissements autour de la ville, dont un hôpital. Depuis le départ des troupes américaines en1967 la base appartient à l'Armée française, actuels quartiersValmy etMaison Fort. Elle est aujourd'hui utilisée par le12e régiment de cuirassiers[180] auquel est rattaché l'escadron d'éclairage et d'investigation de la2e brigade blindée[181].

LaDirection des approvisionnements en produits de santé des armées et la Pharmacie centrale des armées sont installées au camp militaire d'Orléans-Chanteau.

Unités ayant tenu garnison à Orléans :

Population et société

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Démographie

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Article détaillé :Démographie d'Orléans.

Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[182],[Note 6].

En 2022, la commune comptait 116 344 habitants[Note 7], en évolution de +1,36 % par rapport à 2016 (Loiret : +1,89 %,France horsMayotte : +2,11 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
179318001806182118311836184118461851
51 50041 93742 65140 23340 16140 27242 58445 78847 393
Évolution de la population  [ modifier ], suite (1)
185618611866187218761881188618911896
46 92250 79849 10048 97652 15757 26460 82663 70566 699
Évolution de la population  [ modifier ], suite (2)
190119061911192119261931193619461954
67 31168 61472 09669 04870 61171 60673 15570 24076 439
Évolution de la population  [ modifier ], suite (3)
196219681975198219901999200620112016
84 23395 828106 246102 710105 111113 126113 130114 185114 782
Évolution de la population  [ modifier ], suite (4)
20212022-------
116 617116 344-------
De 1962 à 1999 :population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes :population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[183] puisInsee à partir de 2006[184].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement jeune. En 2020, le taux de personnes d'un âge inférieur à30 ans s'élève à 43,7 %, soit un taux supérieur à la moyenne départementale (35,9 %). Le taux de personnes d'un âge supérieur à60 ans (20,6 %) est inférieur au taux départemental (26,4 %).

En 2020, la commune comptait 55 916 hommes pour 61 110 femmes, soit un taux de 52,22 % de femmes, supérieur au taux départemental (51,3 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit :

Pyramide des âges de la commune en 2020 en pourcentage[I 2]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,7 
5,2 
75-89 ans
7,5 
11,9 
60-74 ans
14 
16,3 
45-59 ans
16,6 
20,1 
30-44 ans
18,5 
26,6 
15-29 ans
24,7 
19,2 
0-14 ans
17 
Pyramide des âges du département duLoiret en 2021 en pourcentage[185]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,8 
90 ou +
1,9 
7,2 
75-89 ans
9,3 
16,5 
60-74 ans
17,4 
19,7 
45-59 ans
19,4 
18,3 
30-44 ans
18 
18,1 
15-29 ans
16,1 
19,5 
0-14 ans
17,8 

Immigration

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En 2017, la ville d'Orléans comptait 21 081 immigrés sur une population totale de 116 685 habitants soit 18,1  % (dont 4,5 % nés en Europe et 13,6  % nés hors d'Europe)[186].

Entre 1975 et 2015, la proportion des jeunes de moins de 18 ans immigrés d'origine extra-européenne ou vivant avec au moins un parent immigré d'origine extra-européenne est passée de 3 % à 37 %. Les petits-enfants d'immigrés ne sont pas pris en compte[187].

Cultes

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Christianisme

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Catholicisme
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Orléans est, avec lacathédrale Sainte-Croix, le siège d'undiocèse catholique romain. Il dispose d'unséminaire interdiocésain. La ville fait partie dudoyenné d'Orléans. Le territoire de la commune occupe tout ou partie de quatre zones pastorales (Orléans-Centre, Orléans-Est, Orléans-Nord et Orléans-Sud).

Le centre-ville relève de la zone Orléans-Centre, qui comprend lacathédrale Sainte-Croix ainsi que lesparoisses : Saint-Donatien,Saint-Paterne,Saint-Pierre-du-Martroi,Saint-Aignan, Sainte-Jeanne-d'Arc,Saint-Paul-Notre-Dame-des-Miracles, Saint-Laurent,Notre-Dame-de-Recouvrance et Saint-Vincent[188].

La zone d'Orléans-Est comprend les paroisses Saint-Marc et Saint-Jean-Bosco.

La zone Orléans-Nord comprend les paroisses Notre-Dame-de-Consolation, rattachée au groupement paroissial deFleury-les-Aubrais et Notre-Dame-des-Blossières

La zone Orléans-Sud comprend les paroisses Saint-Marceau et Saint-Yves[189].

En 2011, selon le quotidienLa République du Centre, qui ne donne aucune source, environ 15 % des catholiques pratiquants de l'agglo orléannaise « seraient » favorables, dans les offices religieux, à laforme tridentine du rite romain ou « forme extraordinaire du rite romain ». Autorisée de nouveau par le papeBenoît XVI, cette liturgie, plus longue et plus solennelle, accorde aulatin et auchant grégorien, une place plus importante que dans la « forme ordinaire » du rite[190].

Protestantisme
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Leculte protestant est célébré autemple protestant d'Orléans.

Orthodoxie
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La chapelle du Campo-Santo est mise à disposition de la paroisseorthodoxe duChrist-Sauveur, qui relève de laMétropole orthodoxe grecque de France et donc de l'Église orthodoxe de Constantinople.

Antoinisme
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Untemple utilisé par leculte antoiniste est situé 7 rue des Juifs, et a étédédicacé le[191].

Judaïsme

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La communauté juive célèbre leculte israélite à lasynagogue d'Orléans, installée dans une chapelle dépendant autrefois de l'évêché.

Islam

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La ville possède également 6 lieux de cultes musulmans, deux mosquées et quatre salles de prière[192].

Activités sportives

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La patinoire du Baron.

Clubs

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Infrastructures

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Événements

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Autrefois Orléans organisa leCircuit d'Orléans (unGrand Prix automobile).

La ville accueille de nos jours l'Open d'Orléans, un tournoiATP Challenger Series[206].

La ville a reçu leschampionnats du monde d'escrime 1988, lechampionnat du monde de volley-ball féminin des moins de 18 ans 1995 ainsi que le départ d'une étape desTours de France cyclistes1964,1966,1974,1985,1987 et2001. Depuis2009, la Coupe du Monde de sabre dame se déroule auZénith d'Orléans.

La ville accueille, la13e semaine de l'année, l'Orléans International Challenge qui se déroule au palais des Sports. Cette compétition internationale de badminton est organisée par le CLTO Badminton.

La ville est labellisée Terre de Jeux 2024 depuis juillet 2020 dans l'optique desJeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024[207].

Médias

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Télévision

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Les chaînes de la TNT sont recevables sur Orléans grâce au site de diffusion deTraînou, à la Plaine Poteau.

Un réémetteur TNT est disponible àDunois[208].

Radio

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LeGroupe 1981 (ex-Start puisSud Radio Groupe) est basé à Orléans. Il détient plusieurs radios locales enFrance (Vibration,Forum,Wit FM,Black Box...). Il a rachetéSud Radio en 2005 auxlaboratoires Fabre mais l'a revendu àFiducial en 2013.

Presse

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  • La République du Centre, dont le siège de la rédaction se trouve à Orléans et qui possède plusieurs éditions locales, dont celle d'Orléans.
  • L'Étudiant autonome, journal des étudiants orléanais dont le siège de la rédaction est situé sur le campus de La Source.
  • La Tribune d'Orléans, journal gratuit d'informations locales paraissant chaque jeudi. Le journal a cessé son activité le 12 septembre 2015 et a été fusionné avecL'Hebd'O, devenant ainsiLa Tribune/Hebd'O, magazine gratuit d'information d'Orléans, paraissant chaque mercredi.
  • Edith, magazine féminin mensuel gratuit d'Orléans.
  • OrléPass Magazine, bimestriel gratuit d'Orléans.

Internet

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Fêtes et manifestations

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  • Lesfêtes johanniques, chaque début mai, restent la manifestation populaire la plus importante d'Orléans. Les « Fêtes de Jeanne d'Arc » sont actuellement (2016) promues pour être inscrites au patrimoine mondial de l'UNESCO[212].
  • Lafête de la Saint-Fiacre, du quartier Saint-Marceau (construit sur des anciens vergers et potagers), se déroule chaque année depuis1806 (sauf durant les deux guerres mondiales) et honore, sur trois jours, les métiers horticoles. Elle a lieu le week-end le plus proche de la Saint-Fiacre, fin août.
  • Lafête de la Saint-Aignan, en novembre, dans le quartier du même nom, a été remplacée à partir de2005 par un festival de musique : lefestival de travers[213].
  • Lefestival de jazz d'Orléans,Orléans'jazz, série de manifestations musicales durant le mois de juin de1990 à2014, a été remplacé en2016 par le festivalJazz Or Jazz, supprimé à son tour en2020.
  • Leconcours international de piano duXXe siècle a été créé par la pianiste et pédagogueFrançoise Thinat en1994 et se déroule tous les deux ans.
  • Lefestival de Loire rassemble en septembre, tous les deux ans les années impaires, une importante batellerie avec des manifestations autour de ce thème[214].
  • LaGrande braderie a lieu traditionnellement fin juillet (sauf en2005 et2006 où elle s'est déroulée fin août).
  • Archilab rassemble à l'automne des rencontres internationales d'architecture comportant diverses expositions. La création de cet évènement a eu lieu en1999 ; il se déroule depuis tous les deux ans.
  • Leforum des Droits humains (anciennement forum desdroits de l'Homme) a lieu à chaque rentrée. Ce forum permet à la population de l'Orléanais d'échanger des informations, réflexions et points de vue sur les droits Humains bafoués. Le forum se déroule sous la forme de conférences-débats, projections, ateliers[215]
  • Lafête foraine, a lieu chaque année entre la fin du mois de mai et du début du mois de juin. Depuis 2019, la fête s'installe au stade de la Vallée, au bord de la RD2020, àFleury-les-Aubrais. Elle réunit chaque année des dizaines de manèges à sensation et reçoit des milliers de visiteurs.
  • Leset électro, festival de musiques électroniques, se tient chaque année au cours du mois de mai sur le parvis du théâtre d'Orléans à l'occasion des fêtes Johanniques. Le set electro a reçu récemment de grand DJs comme Yves V, les Nervo, Joachim Garraud... L'édition 2016 avait accueilli plus de 30 000 spectateurs fan de musique électronique.
  • Festival Orléans joue à la mi-septembre[216]. Festival sur les jeux de société, jeux de rôle, jeux de figurines, qui a été créé en 2014 sous l'impulsion des acteurs associatifs et des boutiques spécialisées de la région orléanaise.
  • Durant le mois de décembre sont organisés plusieursmarchés de Noël. En 2016, ils sont situésplace du Martroi, place de la Loire, et place de la République[217]. Lacathédrale Sainte-Croix accueille également des projections lumineuses animées sur sa façade.

Culture et patrimoine

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Patrimoine bâti

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Monuments historiques

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Article détaillé :Liste des monuments historiques d'Orléans.

Patrimoine civil

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« Le petit Voisins ». Époque Renaissance, 1527 (à l'origine, refuge et hôtellerie appartenant à l'abbaye de Voisins, située àSaint-Ay, à quelques kilomètres d'Orléans).
Enceinte et châteaux
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Hôtels particuliers et maisons remarquables
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  • Maison des Chevaliers du Guet, à l'angle de la rue Étienne-Dolet et la rue Parisie.
    Maison des Chevaliers du Guet, à l'angle de la rue Étienne-Dolet et la rue Parisie.
  • Hôtel Hector de Sanxerre, à l'angle de la rue de la Poterne et de la rue de Bourgogne.
    Hôtel Hector de Sanxerre, à l'angle de la rue de la Poterne et de la rue de Bourgogne.
Lieux d'enseignement et de culture
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Rues notables
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Autres lieux
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On peut encore citer lepalais de justice et lecanal d'Orléans comme remarquables.

  • Fontaine place Gaspard-de-Coligny.
    Fontaine
    place Gaspard-de-Coligny.
  • La fontaine de la place Sainte-Croix.
    La fontaine de la place Sainte-Croix.
  • Hôtel des Créneaux.
    Hôtel des Créneaux.
  • La médiathèque vue depuis la place Gambetta.
    La médiathèque
    vue depuis la place Gambetta.
  • Place du Martroi.
    Place du Martroi.
  • Vieille ville d'Orléans.
    Vieille ville d'Orléans.
  • Façade de l'hôtel Groslot.
    Façade de l'hôtel Groslot.
  • Hôpital Madeleine.
    Hôpital Madeleine.
  • La tour Blanche.
    La tour Blanche.
  • Centre ancien.
    Centre ancien.
Vue sur la ville d'Orléans, rive droite de la Loire,
depuis le pont Georges-V.

Édifices religieux

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Catholiques
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Chapelles
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  • Les vestiges de lachapelle Saint-Jacques, rue Escures. Démontée vers la fin duXIXe siècle, sa façade fut reconstituée dans le jardin de l'ancien Hôtel de ville. Accompagnée de quelques autres vestiges, elle est classée Monument historique depuis1846[245] ;
  • les vestiges de la Chapelle Sainte-Catherine ;
  • la Chapelle de l'école de l'Assomption, rue Saint-Marc ;
  • la chapelle de l'Institution de l'Œuvre de Jeanne d'Arc, rue Eugène Vignat (partie conservée façade et socle) ;
  • la chapelle maison de retraite le Doyenné du Baron, rue Sanitas ;
  • la chapelle du parc floral, avenue du Parc Floral à Orléans-la-Source ;
  • la chapelle Saint-Charles de l'hôpital, rue de la Porte de la Madeleine ;
  • la chapelle Saint-Joseph, rue de Courtenay (actuelle église polonaise) ;
  • la chapelle Saint-Loup, rue du Faubourg de Bourgogne ;
  • la chapelle Saint-Marc, rue du Petit Pont ;
  • l'ancien prieuré et ancienne abbaye Notre-Dame-de-Bonne-Nouvelle[246], hébergeant aujourd'hui la préfecture de la région Centre et du département du Loiret, œuvre de l'architecteWaldemar Clouet[247] ;
  • l'ancien couvent des Minimes, rue Illiers, dont le cloître et la chapelle sont classés Monument historique depuis le[248] ; il abrite les fonds anciens desarchives départementales du Loiret ;
  • une ancienne maison canoniale, de1530, inscrite à l'inventaire des Monuments historiques depuis le[249].
Protestantes
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Judaïsme
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  • Lasynagogue, rue de Courtenay, jouxte l'ancien évêché.
Orthodoxie
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  • L'église orthodoxe sur leCampo Santo, impasse de la Salamandre.
Antoinisme
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Islam
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La ville possède 6 lieux de cultes musulmans, deux mosquées et quatre salles de prière[192].

Autres
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LeCampo Santo est un grandcloître enherbé, entouré de galeries avec arcades duXVe et du XVIe siècle. DuXIIe siècle à1786 il est legrand cimetière d'Orléans, puis une halle aux blés de1824 à1884. Il est alors transformé en salle des fêtes jusqu'en1970, où les bâtiments sont détruits et le cloître rénové pour devenir peu à peu un grand espace événementiel de plein air[251]. Les arcades sont classées Monument historique depuis le et la porte monumentale inscrite à l'inventaire depuis le[252] ;

Le cimetière contient, entre autres, les tombes deJean Zay,René Thinat,Roger Toulouse etAnatole Bailly[253].

  • Édifices religieux
  • Cathédrale d'Orléans.
    Cathédrale d'Orléans.
  • La tour-clocher Saint-Paul.
    La tour-clocher Saint-Paul.
  • Le Campo Santo.
    Le Campo Santo.
  • Rue Jeanne-d'Arc, devant cathédrale Sainte-Croix.
    Rue Jeanne-d'Arc, devant cathédrale Sainte-Croix.
  • Cathédrale Sainte-Croix.
    Cathédrale Sainte-Croix.
  • Église Saint-Paterne.
    Église Saint-Paterne.
  • Cathédrale Sainte-Croix.
    Cathédrale Sainte-Croix.
  • Fête Jeanne-d'Arc 2011.
    Fête Jeanne-d'Arc 2011.
  • Fête Jeanne-d'Arc 2011.
    Fête Jeanne-d'Arc 2011.
  • Le temple du XIXe siècle.
    Le temple duXIXe siècle.

Musées

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Hôtel Cabu (XVIe siècle).

Équipements culturels

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Cinéma des Carmes.

Salles de spectacle

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  • LeZénith d'Orléans, grande salle de spectacle polyvalente pouvant accueillir près de sept mille personnes.
  • Lethéâtre d'Orléans, constitué de plusieurs salles pour le théâtre, la danse et les concerts.
  • L'Institut musical d'Orléans comporte une salle d'un peu moins de quatre cents places consacrée à lamusique classique.
  • L'Astrolabe est la salle de concert phare pour les musiques actuelles à Orléans. Géré par l'association Antirouille pour le compte de la ville d'Orléans, l'Astrolabe présente de septembre à juin un panel sonore impressionnant. Pour accueillir les artistes derock,électro,pop,musique du monde,hip-hop et autres, mais surtout pour l'auditoire, 550 places sont disponibles dans l'Astrolabe et 180 places dans l'Astroclub.
  • Le théâtre Gérard-Philipe avec près de six cents places, ouvert en 1973 et rénové en 2006.
  • Le théâtre du parc Pasteur, avec près de cent places, consacré essentiellement à des spectacles pour enfants.
  • Lebar-brasserieBlue Devils est doté d'unesalle de concert spécialisée dans la musiquerock, qui notamment accueille desgroupes en tournées[255].

Salles de cinéma

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Article connexe :Cinéma dans le Loiret.

Les deuxmultiplexes de l'agglomération arborent l'enseignePathé :

  • Le cinéma Pathé place de Loire de douze salles, face à la Loire à Orléans,
  • Le cinéma Pathé Saran, de neuf salles, a ouvert ses portes en 2008 àSaran, commune limitrophe du nord d'Orléans. En 2017, une salle IMAX est ouverte au Pathé Saran.

Le cinémaLes Carmes, classéArt et Essai, compte quatre salles en centre ville d'Orléans.

Orléans a compté d'autres cinémas, comme le Martroi (Art et Essai), le Select, l'Artistic, le Royal, et l'UGC place d'Arc un temps exploité par Pathé[256].

Autres équipements

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Personnalités liées à la commune

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Consulter les catégories :Naissance à Orléans

Article détaillé :Liste de personnalités liées à Orléans.

Orléans est le lieu de naissance de nombreuses célébrités et a été marquée par de nombreuses figures de l'histoire nationale.

Héraldique

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Article connexe :armorial des communes du Loiret.
Blason d'Orléans

Les armes d'Orléans seblasonnent ainsi :« De gueules, à trois cailloux en cœur de lys d'argent, deux et un, au chef d'azur, chargé de troisfleurs de lys d'or »[258].

On peut aussi trouver :« D'or à trois cœurs de gueules ». L'augmentation de chef de France n'est pas donnée[259].

On trouve parfois, de manière fautive, le blasonnement suivant :

« De gueules à troisfleurs de lys d'argent, au chef d'azur chargé de trois fleurs de lys d'or »[260][source insuffisante].

  • La gravure qui accompagne ce blason montre quant à elle troiscœurs de lys - vus du dessus. Cecœur de lys serait, alors, non pas celui d'unlys véritable, le lys ayant 6tépales, mais une hypothétique vue de dessus du meublefleur de lys. Probable est aussi la déformation progressive du cœur héraldique, similaire à celui du jeu de cartes.

Certains auteurs règlent le problème en parlant detiercefeuille, laquelle est définie comme un trèfle sans tige (une feuille en haut deux en bas). Le blason deviendrait alors :« de gueules, à trois tiercefeuilles renversées d'argent, etc. ».

Blason d'Orléans sous l'Empire

Les armes d'Orléans sous lePremier Empire seblasonnaient ainsi :« Parti d'azur et de gueules ; l'azur à une statue de Jeanne d'Arc, armée de pied en cap, d'or, soutenue d'une terrasse d'argent ; le gueules à trois tierce feuilles, deux et une, d'argent ; au chef de gueules chargé de trois abeilles d'or »[261][réf. incomplète].

Devise

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Orléans a pourdeviseHoc vernant lilia corde (donnée parLouis XII, alors duc d'Orléans), traduisible par « C'est par ce cœur que les lys fleurissent » ou « Ce cœur fait fleurir les lys ».

Identité visuelle

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Lelogotype de la mairie d'Orléans,identité visuelle de la ville, s'est progressivement modernisé tout en conservant le symbole ferré à gauche.

  • Logotype de la mairie d'Orléans jusqu'en 2019.
    Logo jusqu'en2019.
  • Logotype "partenaire" de la mairie d'Orléans depuis 2019.
    Logo« partenaire » depuis2019.

Orléans à l'écran

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Orléans a servi de décor pour plusieurs tournages, dont :

Orléans en chansons

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Gastronomie

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  • Cotignac d'Orléans : pâte à base de gelée decoing, citée parRabelais et qui se retrouve sur les tables desNoces de Cana, tableau dePaul Véronèse[267]. Elle est présentée dans de petites boîtes plates et rondes en bois, appeléesfriponnes[268].
  • Vinaigre : la remontée de la Loire par des futreaux, barges à fond plat chargées de barriques de vin à destination de la capitale, était souvent difficile et aléatoire du fait des variations de débit du fleuve royal. Lorsque le vin tournait « aigre », on le débarquait à Orléans où est née ainsi une tradition vinaigrière dont le plus célèbre représentant est la vinaigrerie « Martin Pouret », toujours en activité. Une autre entreprise, la vinaigrerieDessaux a donné son nom au quartier qui l'abritait jusqu'en 1984 (elle n'existe plus actuellement).André Dessaux, dirigeant de cette entreprise familiale,résistant,déporté puis brièvementmaire d'Orléans à laLibération (premier maire d'Orléans libérée[269]), mourut le, des suites de sadéportation. Ses deux fils, Yves et Georges, furent tués dans les combats de laRésistance.
  • Vignobles : l'Orléanais comprend deux appellations d'origine contrôléeOrléans (AOC) depuis 2006,Orléans etOrléans-Cléry, les vignes étant situées sur les communes deMareau-aux-Prés,Cléry-Saint-André,Saint-Hilaire-Saint-Mesmin etOlivet.
  • En 2006, plusieurs pâtissiers se sont associés pour créer une nouvelle spécialité gastronomique, les macarons aux fruits d'Orléans. Ils sont disponibles dans plusieurs pâtisseries de la ville[270].

Notes et références

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Notes

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  1. Prononciation enfrançais de Franceretranscrite phonémiquement selon la normeAPI.
  2. ORSIL = Organisation des Secours en cas d'Inondation Loire.
  3. Le terrain des Groues est un ancien terrain militaire d'environ 40 ha à cheval sur deux communes, Orléans et Saint-Jean-de-la-Ruelle (dans le nord-ouest d’Orléans Métropole)[89]. Longtemps terre agricole[90], il est acheté par l'armée en 1874[90] (Orléans devient le siège du5e corps d'armée en 1873[91]) et sert de champ de manœuvre à partir de 1884 jusque dans les années 1980. Il sert aussi à héberger des prisonniers allemands pendant la Première Guerre mondiale et accueille la « Société d’encouragement à la navigation aérienne » fondée et animée entre autres parLouis Blériot[92]. L'aérodrome des Groues est le premier aérodrome orléanais, siège de l'« aéro-club du Centre » qui prend à bail en juillet 1908 une partie du terrain de l'armée et y construit un bâtiment, financé par la commune, au nord-ouest du champ de manœuvre à l'angle de la rue des Murlins et de la rue Pavée[93].
  4. Les déchets ménagers résiduels comprennent les déchets obtenus après extraction des autres fractions, valorisables, de déchets.
  5. Ses étages sont rythmés par cinq pilastres qui délimitent quatre travées percées d'unecroisée au centre. Le rez-de-chaussée, transformé en magasin, a perdu ses fenêtres. Sur la façade latérale, se détache au premier étage une logette en encorbellement, éclairée par d'étroits jours sur ses parois latérales. La fonction de ce cabinet reste débattue (coffre-fort, lieu de lecture, poste d'observation permettant de contrôler les entrées et les sorties de l'hôtel, petit oratoire ?) mais elle permettait à son commanditaire d'afficher de manière ostentatoire sa culture et son rang[222].
  6. Cette maison serait appelée Hôtel du Chevalier du Guet au milieu duXVe siècle, selon « Les Témoins d’Orléans »[223], un parcours patrimonial et historique créé en 2017 pour la mairie d'Orléans[224].

Notes sur la démographie

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  1. Les records sont établis sur la période du au.
  2. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  3. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite ville-centre lorsque sa population représente plus de 50 % de la population de l’agglomération ou de la population de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine d'Orléans comprend une ville-centre et18 communes de banlieue.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  6. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations de référence postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population de référence publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
  7. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.

Notes carte

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  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes », surremonterletemps.ign.fr(consulté le).

Références

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Site de l'Insee

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  1. a etbInsee, « Métadonnées de la commune ».
  2. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Commune d'Orléans (45234). »,(consulté le).

Autres sites

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  1. « Gentilés des communes du Loiret », surhabitants.fr(consulté le).
  2. Philippe Mantellier,Histoire de la communauté des marchands fréquentant la rivière de Loire et fleuves descendant en icell,t. 1, Orléans, typographie de Georges Jacob,(lire en ligne),p. 1.
  3. CentreFrance, « Saint-Marceau, un futur quartier adapté aux crues à Orléans », surlarep.fr,(consulté le).
  4. a etb« Orléans, carte interactive » surGéoportail. Couches « Cartes IGN classiques », « Limites administratives » et « Hydrographie » activées. Vous pouvez bouger la carte (cliquer et maintenir, bouger), zoomer (molette de souris ou échelle de l'écran), moduler la transparence, désactiver ou supprimer les couches (= cartes) avec leurs échelles d'intensité dans l'onglet de "sélection de couches" en haut à droite, et en ajouter depuis l'onglet "Cartes" en haut à gauche. Les distances et surfaces se mesurent avec les outils dans l'onglet "Accéder aux outils cartographiques" (petite clé à molette) sous l'onglet "sélection de couches".
  5. a etbG. Berger et N. Desprez, « Notice géologique 363 N - secteur d'Orléans »[PDF], surficheinfoterre.brgm.fr,(consulté le),p. 1.
  6. « Rapport de présentation du Plan Local d'Urbanisme d'Orléans, opposable le 23 décembre 2019 - tome 2 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?)[PDF], surorleans-metropole.fr(consulté le),p. 12-13.
  7. Charles N.,Guide géologique du Val de Loire. De Sancerre à Saumur, Omniscience - BRGM Editions,, 256 p.(ISBN 978-2-916097-63-3,lire en ligne)
  8. Charles N., Graviou P.,Curiosités géologiques du Loiret, BRGM Editions,, 92 p.(ISBN 978-2-7159-2633-2,lire en ligne)
  9. Notice géologique 363 N - secteur d'Orléans,p. 5.
  10. BRGM, « Carte des ressources en matériaux de la Région Centre - Élaborée dans le cadre de la révision des Schémas Départementaux des Carrières »[PDF], surcentre.developpement-durable.gouv.fr, DREAL Centre-Val de Loire, février(consulté le),p. 89.
  11. Carte des ressources en matériaux de la Région Centre - Élaborée dans le cadre de la révision des Schémas Départementaux des Carrières,p. 87.
  12. Notice géologique 363 N - secteur d'Orléans,p. 8.
  13. « Carte des cavités souterraines localisées sur le territoire de la commune d'Orléans »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), surgeorisques.gouv.fr(consulté le).
  14. Répertoire géographique des communes (RGC) 2015. En 2016, le RGC a été remplacé par la baseAdmin Express qui ne comporte plus que l'altitude moyenne de la commune, les altitudes minimale et maximale pouvant être trouvées par un système d'information géographique.
  15. a etbDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale »,Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography,no 501,‎(DOI 10.4000/cybergeo.23155).
  16. Vincent Dubreuil, « Le changement climatique en France illustré par la classification de Köppen »,La Météorologie,no 116,‎(DOI 10.37053/lameteorologie-2022-0012).
  17. « Le climat en France hexagonale et Corse. », surmeteofrance.com(consulté le).
  18. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », surpluiesextremes.meteo.fr(consulté le).
  19. « Réglementation environnementale RE2020 », surecologie.gouv.fr,(consulté le).
  20. « Répartition des départements par zone climatique »[PDF], surecologie.gouv.fr(consulté le)
  21. « Orthodromie entre Orléans et Bricy », surfr.distance.to(consulté le).
  22. « Station Météo-France « Orléans - Bricy », sur la commune de Bricy - fiche climatologique - période 1991-2020. », surobject.files.data.gouv.fr/meteofrance/(consulté le).
  23. « Station Météo-France « Orléans - Bricy », sur la commune de Bricy - fiche de métadonnées. », surdonneespubliques.meteofrance.fr(consulté le).
  24. « La grille communale de densité », surle site de l'Insee,(consulté le).
  25. « Unité urbaine 2020 d'Orléans », surle site de l'Insee(consulté le).
  26. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Orléans », surle site de l'Insee(consulté le).
  27. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », surle site de l'Insee,(consulté le).
  28. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », surstatistiques.developpement-durable.gouv.fr(consulté le).
  29. a etbPlan local d'urbanisme de la ville d'Orléans - Rapport de présentation, tome 1, 25 octobre 2013, p. 55-59.
  30. « Décret du 30 décembre 2014 fixant la liste des quartiers prioritaires de la politique de la ville dans les départements métropolitains », surlegifrance.gouv.fr(consulté le).
  31. Orléans, Reconquête du centre ancien, Jean-Jacques Talpin,Le Moniteurno 5488 du 30 janvier 2009.
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  36. « Page consacrée au Plan local d'urbanisme d'Orléans », surorleans-metropole.fr(consulté le). Cette page fournit les liens vers tous les documents concernant le PLU en vigueur : rapports, délibérations, conclusions, présentations, plans de zonages, listes des emplacements réservés, plans de l'archéologie préventive, etc…
  37. « Val de Loire entre Sully-sur-Loire et Chalonnes »,classé au patrimoine mondial de l'humanité par l'UNESCO, surwhc.unesco.org(consulté le).
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Voir aussi

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Bibliographie

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Ouvrages

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Articles connexes

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