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Oreillons

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Pour les articles homonymes, voirOreillon.

parotidite virale
Description de cette image, également commentée ci-après
Enfant atteint des oreillons.
Données clés
CausesVirus ourlien(d)Voir et modifier les données sur Wikidata
TransmissionContamination par les sécrétions respiratoires(d) et transmission aéroportée(d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Incubation min14 jVoir et modifier les données sur Wikidata
Incubation max23 jVoir et modifier les données sur Wikidata
SymptômesMalaise(en),fièvre,tuméfaction,pancréatite,méningite,orchite,épididymite etxérostomieVoir et modifier les données sur Wikidata

Traitement
TraitementTraitement symptomatiqueVoir et modifier les données sur Wikidata
SpécialitéInfectiologie etpédiatrieVoir et modifier les données sur Wikidata
Classification et ressources externes
CISP-2D71
CIM-10B26
CIM-9072
DiseasesDB8449
MedlinePlus001557
eMedicine784603
MeSHD009107
Patient UKMumps

Wikipédia ne donne pas de conseils médicauxMise en garde médicale

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Lesoreillons ouparotidite virale ou encoreparotidite ourlienne est unemaladie viraleinfantilehumaine, type deparotidite atteignant principalement lesglandes salivaires situées en avant desoreilles ainsi que letissu nerveux. Cette maladie est provoquée par levirus ourlien, du genrerubulavirus.

Aujourd'hui largement contrôlée par lavaccination, elle resterépandue dans lespays en voie de développement. Généralement sans conséquences chez le jeune enfant, elle peut entraîner des complications graves lorsqu'elle est contractée à l'âgeadulte, notamment uneinfertilité chez l'homme due à l'atteinte destesticules (orchite).

Le nom ne s'emploie qu'au pluriel (« les oreillons ») et provient du fait que l'un dessignes cliniques de la maladie est unedouleur au niveau des oreilles liée à l'inflammation des glandesparotides. L'adjectif associé est « ourlien ».

Son code estB26 selon laliste de codes CIM-10 des maladies.

Épidémiologie

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Avant la généralisation de lavaccination, les oreillons survenaient parépidémies sur un modesaisonnier, en général à la fin de l'hiver et auprintemps enclimat tempéré, avec unepériode de 4 à 5 ans[1], en particulier dans lesinstitutions d'accueil collectif des jeunes enfants (crèche,école). La maladie était très fréquente puisque près de 90 % des adolescents ont une sérologie ourlienne positive[2]. En France, on estimait en 2015 à plusieurs centaines de milliers le nombre de cas[3].

La vaccination a presque complètement supprimé les formes de l'enfance et a paradoxalement augmenté le nombre de cas chez l'adulte jeune, souvent ayant reçu une vaccination incomplète, mais parfois correctement vaccinés[4].

La surveillance de l'évolution de l'incidence en France est effectuée par leréseau Sentinelles de l'INSERM depuis 1985[3].

Causes et mécanismes

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Article détaillé :Virus ourlien.

Levirus ourlien est unparamyxovirus,Myxovirus parotidis,virus àARN monocaténaire anti-messager non segmenté. Il possède une capside hélicoïdale. Étant entouré d'une membrane (virus fragile), il n'est transmis que de personne en personne par voie aérienne, par des gouttes desalive ou des contacts directs infectés par la salive par exemple.

Le virus se réplique dans l'appareil oropharyngé d'où il peut se disséminer vers l'ensemble de l'organisme par voiesanguine.

Les glandesparotides (glandes salivaires situées entre l'oreille et la mâchoire) sont généralement touchées. Le virus s'y développe, produisant unœdème local avec une infiltration delymphocytes et demacrophages. Les enfants non vaccinés entre 2 et 12 ans sont les plus fréquemment touchés, mais l'infection se rencontre dans les autres groupes d'âge.

L'enfant est contagieux pendant environ deux semaines, de quelques jours avant l'apparition des signes jusqu'à quelques jours après la guérison[5].

L'œdème de certains tissus peut provoquer unenécrose et conduire à uneatrophie des testicules. Le virus peut également passer dans le système nerveux central à travers la barrière hémato-encéphalique et chez le fœtus à travers la barrière hémato-placentaire[6].

Symptômes

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L'incubation dure environ trois semaines (15 à 24 jours)[7].

La phase d'invasion, de courte durée, se manifeste par une fièvre, un malaise, desotalgies (douleur à l'oreille). L'examen peut détecter une douleur lors de la pression desglandes parotides.

La période d'état, qui dure environ une semaine, est marquée par une fièvre accompagnée decéphalées. Il existe unetuméfaction bilatérale ou unilatérale des glandes parotides avec une douleur qui irradie vers les oreilles avec de la gêne ou de la douleur lors de la mastication. L'atteinte des deux parotides peut être simultanée mais est souvent décalée de plusieurs jours. L'examen clinique retrouve desadénopathies (ganglions ayant augmenté de volume). L'atteinte des autres glandes salivaires est plus rare.

Biologie

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Le diagnostic repose essentiellement sur les symptômes et l'examen clinique et il est le plus souvent inutile de requérir d'autres examens.

Lanumération-formule sanguine est normale. L'activitéAmylase sanguine est augmentée, que l'atteinte soit parotidienne ou pancréatique.

En cas deméningite, laponction lombaire ramène un liquide clair (« eau de roche ») et son analyse montre un nombre delymphocytes augmentés comme dans lesméningites virales.

Le virus peut être isolé au niveau de la salive, duliquide cérébrospinal ou de l'urine. Il est rarement trouvé dans le sang. Il peut être également mis en culture. Historiquement, il était caractérisé par ce biais par l'observation de son effet sur les cellules. Depuis le début duXXIe siècle, il est identifié grâce aux techniques dePCR sur le tissu contaminé, avec un rendement bien supérieur à la simple mise en culture, notamment au niveau du liquide cérébrospinal[8].

La sérologie (dosage desanticorps dirigés contre le virus ourlien) permet également de confirmer le diagnostic de la maladie en cas de doute. LesIgM sont détectables quelques jours après l'apparition des premiers signes[9]. Ils peuvent cependant être normaux s'il s'agit d'une nouvelle infection par un virus ourlien d'un sérotype différent (ou après une vaccination)[10]. L'augmentation desIgG sur deux prélèvements séparés de quinze jours peut alors être un indice de l'atteinte par la maladie.

Évolution

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Son évolution est habituellement bénigne, voire asymptomatique dans environ un tiers des cas[6]. Un autre tiers des cas se manifeste par des signes de maladie grippale non spécifiques et seul chez le dernier tiers apparaît un gonflement douloureux des glandes parotides, signe typique de la maladie.

La maladie confère une immunité à vie, même lorsqu'elle est asymptomatique, mais ne concerne que le sérotype du virus ourlien concerné, rendant possible théoriquement une nouvelle maladie. La répartition géographique des différents sérotypes fait qu'une nouvelle infection est, en pratique, peu courante.

Complications

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Annoncée par une poussée fébrile, uneorchite apparaît dans 15 à 30 % des cas chez les hommes adultes infectés[6]. Elle est bilatérale dans environ un quart des cas. Elle se manifeste comme un gonflement douloureux du testicule avecscrotum inflammatoire et, dans la plupart des cas, avecépididymite. L'évolution est le plus souvent favorable en une à deux semaines[11].

Sinon, l'orchite peut évoluer vers uneatrophie du testicule atteint dans un peu moins de 50 % des cas, avec des anomalies duspermogramme dans 25 % du cas, dont une diminution du nombre de spermatozoïdes aboutissant parfois vers uneinfertilité. Lastérilité reste rare même après orchite bilatérale[11].

La production d'hormones par le testicule atteint peut être affectée, mais une récupération est possible[12]. De même, l'orchite ourlienne ne semble pas être un facteur de risque ducancer testiculaire[6].

Uneméningite virale est observée dans environ 5 % des infections. Elle survient le plus souvent après l'atteinte des parotides mais peut apparaître de manière totalement isolée. Comme toute méningite, elle se manifeste par une fièvre, des céphalées, une raideur de la nuque. Son évolution est typiquement bénigne. Dans de rares cas, une torpeur avec desconvulsions peuvent apparaître, signant uneencéphalite. L'évolution en est favorable dans la quasi-totalité des cas.

Unesurdité unilatérale et transitoire, surtout pour les fréquences aigües, peut compliquer la maladie[13].

Chez les personnes âgées, d'autres organes peuvent être touchés, comme le système nerveux central, lepancréas, laprostate, lesseins, et d'autres organes.

Durant lagrossesse, les oreillons peuvent provoquer unavortement spontané relativement tôt mais il ne semble pas exister d'augmentation de risque de malformations[6].

Traitement

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Il n'y a pas detraitement spécifique des oreillons. Les symptômes peuvent être soulagés par repos au lit, l'application intermittente de glace ou de chaleur sur la zone du cou atteinte, desantipyrétiques et desanalgésiques tels leparacétamol par voie orale pour soulager la douleur. L'administration d'aspirine à des enfants atteints d'une maladie virale n'est généralement pas recommandée, en raison du risque desyndrome de Reye. Des gargarismes à l'eau chaude salée, des aliments doux et un apport de liquides peuvent également contribuer à soulager les symptômes.

Les jus de fruits sont à éviter, car ils stimulent les glandes salivaires, avec la douleur qui s'ensuit.

Vaccination

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Article détaillé :Vaccin contre les oreillons.

Levaccin anti-ourlien existe depuis1968.

Laprévention est basée sur lavaccination, soit faite de manière isolée soit associée à larougeole et à larubéole. Cette vaccination est obligatoire en France durant l'enfance depuis le. 2 injections devaccins sont nécessaires. En France, la première à 12 mois et la seconde au cours de la deuxième année, c'est-à-dire entre le13e et le24e mois, et non plus entre 3 et 6 ans. En Belgique, leConseil Supérieur de la Santé recommande une première dose de RRO à l'âge de 12 mois et une deuxième dose à l'âge de 10-11 ans (5e primaire) en Flandre et de 11-12 ans (6e primaire) en Fédération Wallonie-Bruxelles[14].

Le taux de couverture vaccinale dépasse les 95 % dans les pays industrialisés entraînant une réduction du même ordre de l'incidence de la maladie[6].

Le vaccin est un virus vivant atténué et est dirigé actuellement contre plusieurs sérotypes viraux.Son efficacité est relative, elle varie en fonction des souches utilisées, certaines comme Jeryl-Lynn ou Urabe étant efficaces à respectivement 80 et 54 %[15].

Le vaccin est bien toléré. Rarement, il peut provoquer une méningite aseptique d'évolution bénigne[6].

Histoire

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Maladie

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Les oreillons, illustration duYizong jinjian ouLe Miroir d'or de la médecine, encyclopédie médicale chinoise de lapériode Qing, publiée en 1742.

L'existence des oreillons dans l'Antiquité est attestée par un passage duCorpus Hippocratique (Épidémies I, 1, pages 601-605 de l'édition deLittré[16]).Hippocrate décrit, sur l'île deThasos vers 410 av. J.C., une affection passagère touchant des adolescents fréquentant lesgymnases. Elle se manifeste comme un gonflement non suppuratif devant l'oreille, d'un seul ou des deux côtés, avec ou sans fièvre, et qui est suivi chez quelques-uns, d'une inflammation douloureuse d'un testicule. Ce qui suffit, selonMirko Grmek, à assurer le diagnostic[17].

Cette remarquable description est longtemps restée inaperçue. DeGalien jusqu'auXVIIIe siècle, les médecins confondent le plus souvent les oreillons avec d'autres tuméfactions latérales du cou, comme lesécrouelles et autresadénites évoluant vers la suppuration[18].

Guillaume de Baillou (1538-1616) est le premier à distinguer des épidémies d'oreillons à Paris auXVIe siècle. En 1755,Richard Russel en reconnait le caractère contagieux, et en 1790 Robert Hamilton (1721-1793) en donne une description complète (avec les complications orchite et manifestations neurologiques) devant laRoyal Society of Edinburgh[19]. Ces descriptions sont précisées par de grands cliniciens français commeArmand Trousseau (1801-1867)[18].

AuXIXe siècle, le médecin-historienAugust Hirsch (1817-1894), répertorie 150 épidémies d'oreillons entre 1714 et 1859. Il établit que les oreillons sont une maladie universelle, existant sous toutes les latitudes et sous tous les climats, et qu'aucune région dans le monde n'est épargnée. La maladie survient chez les jeunes gens en situations de promiscuité (prisons, orphelinats, pensionnats, casernes, navires…)[19].

Si la maladie est reconnue comme maladie contagieuse de l'enfance, elle doit son importance et sa notoriété au point de vue de lamédecine militaire, car elle frappe les armées au moment de la mobilisation des recrues[20].

Durant laguerre de Sécession, les troupesconfédérées ont eu près de 25 000 cas d'oreillons durant les deux premières années du conflit. Lors des deux guerres mondiales, les oreillons furent, après les infections sexuellement transmissibles, la maladie infectieuse la plus répandue chez les recrues de l'U.S. Army[19], en particulier chez les sujets issus d'un milieu rural[21].

À partir des années 1960, toujours dans l'U.S. Army, les études deséroprévalence ne retrouvent pas ou peu de différences entre les hommes provenant de zones urbaines ou rurales[21]. Même à l'ère vaccinale (après les années 1970), des épidémies d'oreillons sont survenues en milieu militaire[20].

Virus

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Dès 1881,Pasteur etRoux examinent et cultivent le sang de deux malades des oreillons et ne retrouvent aucun microbe. Par la suite, le caractère infectieux de la salive est reconnu, et dans celle-ci plusieurs auteurs, dontLaveran, annoncent la découverte d'undiplocoque, d'autres d'unspirochète. Ces travaux ne seront pas confirmés[18].

À partir de 1908, des expériences animales cherchent à démontrer que les oreillons sont dus à un « virus filtrant, invisible et inoculable ». La salive de malade est filtrée sur bougie et le filtrat inoculé à l'animal. En 1918, l'américaineMartha Wollstein (en) réalise les expériences les plus complètes, en montrant la possibilité d'une maladie expérimentale chez lechat, et transmissible de chat à chat[18].

Ces expériences sont reprises par Claud Daniel Johnson etErnest William Goodpasture(1886-1960) en 1934 chez lesinge rhésus. La démonstration de la nature virale des oreillons leur est attribué, car leur maladie expérimentale est plus proche de celle de l'homme, en étant transmissible au singe et à l'enfant, répondant ainsi auxpostulats de Koch[20].

En 1945, K. Habel réussit laculture du virus ourlien sur œuf de poule embryonné, et G. Henle réalise les premières études sérologiques en 1948[19].

Vaccins

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Le premier vaccin expérimental contre les oreillons était un vaccin américain, inactivé (à virus tué, inactivé parformaldéhyde). Il est testé chez l'Homme en 1951, et utilisé ponctuellement jusqu'en 1978. Il est abandonné, du fait de sa protection médiocre et de courte durée[20],[22].

Le premier vaccin, à virus vivant atténué, est produit en URSS dans les années 1960. Aux États-Unis, un vaccin de ce type est commercialisé en 1967 (souche Jeryl-Linn). Ce sont ces vaccins vivants qui sont utilisés en santé publique dans la plupart des pays développés[23].

Plus de 13 vaccins contre les oreillons sont, ou ont été disponibles, dans le monde (en 2018, l'OMS n'en recommande qu'une dizaine). Ces vaccins atténués sont chacun basés sur une souche vaccinale différente et cultivée sur différents milieux[23]. De plus, les vaccins basés sur une souche donnée ne sont pas forcément identiques, du fait de différences dans les procédés de fabrication[22].

La souche la plus utilisée est la souche Jeryl-Linn (des prénoms du malade américain où s'est fait le prélèvement), sur culture de cellules embryonnaires de poulet (États-Unis et Europe). Ce vaccin est recommandé pour la vaccination systématique aux États-Unis en 1977. Il en existe deux souches dérivées RIT 4385 (monde entier) et S 79 (Chine)[23],[24].

La souche Leningrad-3 a été isolée en 1953 sur cellules de rein de cobaye. Elle est utilisée enURSS à partir de 1980, puis en Russie après la dislocation de l'URSS en 1991. La souche dérivée Léningrad-Zagreb est cultivée sur cellules embryonnaire de poulet, elle est utilisée dans le monde entier (surtout en Inde)[23],[24].

La souche Urabe a été isolée au Japon et produite au Japon, en Europe et utilisée dans de nombreux pays à ressources limitées. À cause de réactions méningées réversibles plus fréquentes, elle a été retirée en France en 1994, et remplacée par la souche Jeryl-Linn[25].

La souche Rubini (du nom du patient prélevé) a été isolée en 1974, et le vaccin homologué en Suisse en 1985. D'efficacité nettement inférieure aux autres, l'OMS a recommandé de ne pas l'utiliser dans les programmes nationaux de vaccinations[22].

Les autres souches sont le plus souvent d'utilisation plus localisée, parfois limitée à un seul pays (Japon, Corée, Iran, Bulgarie...)[23]. Le Japon a retiré la vaccination contre les oreillons de son calendrier vaccinal en 1993[24].

Notes et références

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  1. (en) W. JohnEdmunds, Nigel J.Gay, M.Kretzschmar et R. G.Pebody, « The pre-vaccination epidemiology of measles, mumps and rubella in Europe: implications for modelling studies »,Epidemiology & Infection,vol. 125,no 3,‎,p. 635–650(ISSN 1469-4409 et0950-2688,PMID 11218214,PMCID PMC2869647,DOI 10.1017/S0950268800004672,lire en ligne[PDF], consulté le).
  2. Artur M.Galazka, Susan E.Robertson et A.Kraigher, « Mumps and mumps vaccine: a global review »,Bulletin of the World Health Organization,vol. 77,no 1,‎,p. 3–14(ISSN 0042-9686,PMID 10063655,PMCID 2557572,lire en ligne[PDF], consulté le).
  3. a etbINPES,Planète vaccination,, 63 p.
  4. (en) Gustavo H.Dayan, M. PatriciaQuinlisk, Amy A.Parker, Albert E.Barskeyet al., « Recent Resurgence of Mumps in the United States »,New England Journal of Medicine,vol. 358,no 15,‎,p. 1580–1589(ISSN 0028-4793 et1533-4406,DOI 10.1056/NEJMoa0706589,lire en ligne, consulté le).
  5. Francis A.Ennis et DanielJackson, « Isolation of virus during the incubation period of mumps infection »,The Journal of Pediatrics,vol. 72,no 4,‎,p. 536–537(ISSN 0022-3476,DOI 10.1016/s0022-3476(68)80347-6,lire en ligne, consulté le).
  6. abcdef etgAndersHviid, StevenRubin et KathrinMühlemann, « Mumps »,The Lancet,vol. 371,no 9616,‎,p. 932–944(ISSN 0140-6736,DOI 10.1016/s0140-6736(08)60419-5,lire en ligne, consulté le).
  7. (en-US) MartinRichardson, DavidElliman, HelenMaguire et JohnSimpson, « Evidence base of incubation periods, periods of infectiousness and exclusion policies for the control of communicable diseases in schools and preschools »,The Pediatric Infectious Disease Journal,vol. 20,no 4,‎,p. 380(ISSN 0891-3668,lire en ligne, consulté le).
  8. (en) KazueUchida, MichiyoShinohara, Shin-ichiShimada, YukariSegawa, Rie Doi, Atushi Gotoh et Ryo Hondo, « Rapid and sensitive detection of mumps virus RNA directly from clinical samples by real-time PCR »,Journal of Medical Virology,vol. 75,no 3,‎,p. 470–474(ISSN 0146-6615 et1096-9071,DOI 10.1002/jmv.20291).
  9. (en) Claudia H.Krause, Pamela J.Molyneaux, Darrel O.Ho-Yen, PaulMcIntyre, William F. Carman et Kate E. Templeton, « Comparison of mumps-IgM ELISAs in acute infection »,Journal of Clinical Virology,vol. 38,no 2,‎1er février 2007,p. 153–156(ISSN 1386-6532,DOI 10.1016/j.jcv.2006.10.010).
  10. (en) Juan CarlosSanz, MaríADel Mar Mosquera, Juan EmilioEchevarría, MarisaFernández, Nieves Herranz, Gustavo Palacios et Fernando de Ory, « Sensitivity and specificity of immunoglobulin G titer for the diagnosis of mumps virus in infected patients depending on vaccination status »,APMIS,vol. 114,no 11,‎,p. 788–794(ISSN 0903-4641 et1600-0463,DOI 10.1111/j.1600-0463.2006.apm_463.x).
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  12. (en) Takeshima T1, Yumura Y1, Iwasaki A1, Noguchi K1« Clinical Review of Hypospermatogenesis in Patients with a Previous Episode of Mumps Orchitis »Hinyokika Kiyo. 2015 Jun;61(6):227-33."
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  14. « Vaccination contre la Rougeole, la Rubéole et les Oreillons (RRO) »,Publication of theSuperiorHealthCouncilNo 8811, Conseil Supérieur de la Santé,(consulté le).
  15. (en) Ong G, Goh KT, Ma S, Chew SK.« Comparative efficacy of Rubini, Jeryl-Lynn and Urabe mumps vaccine in an Asian population »J Infect. 2005;51:294-298
  16. Hippocrates et EmileLittré,Œuvres complètes d'Hippocrate : traduction nouvelle avec le texte grec en regard..., Paris : J.B. Baillière,(lire en ligne)
  17. Mirko D. Grmek,Les maladies à l'aube de la civilisation Occidentale, Paris,Payot,coll. « Médecine et sociétés »,, 527 p.(ISBN 2-228-55030-2),p. 478.
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  24. ab etcThomas Mourez, « Le virus des oreillons »,Virologie,vol. 22,no 4,‎,p. 199-214.(lire en ligne)
  25. Joël Gaudelus,Vaccinologie, Rueil-Malmaison, Doin,, 463 p.(ISBN 978-2-7040-1243-5),p. 191.

Voir aussi

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Liens externes

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Bibliographie

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