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Orange (fruit)

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Une orange découpée.

L'orange est lefruit de deux espèces distinctes de la famille desRutacées, d'une part l'orange douce ou simplementorange produit par l'oranger (Citrus sinensis L.), d'autre part l'orange amère produit duBigaradier (Citrus aurantium). Comme pour tous lesagrumes, il s'agit d'une forme particulière debaie appeléehespéride.

Orange du Sénégal à Diouloulou

Plantedomestiquée et produit de l'hybridation de plusieurs espèces deCitrus (originaires de l'Asie du sud-est) pour devenir comestible, c'est le quatrième fruit le plus cultivé au monde, fruit juteux, sucré et réputée pour sa grande teneur envitamine C, qui se consomme cru sans la pelure ou en salade de fruit, cuit enconfiture oumarmelade, ou en jus. Il existe plusieurs variétés d’oranges, classées en quatre groupes variétaux.

L’orange a donné son nom à la couleur secondaire qui, sur lecercle chromatique, prend place entre lerouge et lejaune.

Botanique

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Description

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Fleurs d'oranger et oranges.

L'orange est lefruit[1],[2],[3],[4]comestible[2],[4] desorangers[1],[4] doux (C. sinensis) ou amers (C. aurantium) de couleur jaune à rouge en passant parorange. Il s'agit, en terme botanique, d'unebaie qui possède une peau épaisse et assez rugueuse.

Typologie

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Variété locale d'orange de Kozan (Citrus sinensis var. D'Kozan).

Il existe de nombreuses variétés d'oranges parmi lesquelles on regroupe :

les 4 groupes d'orange proprement dites[6]:

Le nom d'orange peut également désigner des hybrides (orangelo oranger x pomelo) ou des mandarines (Orange du Cambodge ouCam sành[10]).

Histoire

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L'Oranger, parJean-Baptiste Oudry, 1740.

La génomique a permis à une équipe de recherche chinoise de mettre en évidence l'existence d'oranges ancestrales très acides (Chine du sud) puis d'oranges modérément acides (Jincheng) qui donnent naissance aux oranges douces et aux oranges sans acidité[réf. souhaitée]. La diversité des oranges douces est importante dans les zones de domestication méditerranéenne et américaine (2021)[11].

Dans l'Antiquité, à la différence ducitron et ducédrat, les oranges sont inconnues des Grecs et des Romains ; elles ne parviennent en Europe qu'au Moyen Âge, autour de l'an 1000[12]. On peut distinguer deux grandes routes de pénétration de ce fruit enEurope. La route méditerranéenne fut empruntée, à l'époque descroisades (XIe siècle-XIIIe siècle), par l'orange amère oubigarade : transmis par les Perses aux Arabes, ce fruit fut implanté enAndalousie,Sicile etPays valencien, d'où il se diffusa vers le reste de l'Europe.

À la fin duXVe siècle, lesPortugais importent une orange douce provenant de Chine et qui sera connue ailleurs commeoranger du Portugal[13]. La description deCitrus sinensis (citrus deChine), l'oranger doux, est attribuée àPehr Osbeck dans sonVoyage en Chine (1771)[14] mais ce sontJonas Dryander etJoseph Banks (1797) qui nommentCitrus Aurantium ß.sinensis[15]. Elle est longtemps synonyme de la bigarade par exemple chez Risso (1818) 'Bigaradier chinois'[16] qui nomme 'Chinois' lesC. myrtifolia[17]. En 1765, l'Encyclopédie, articleOranger distingue «L'orange aigre ou bigarade, l'orange douce ou dePortugal (nommée orange de Chine dans ce pays), l'oranger tortu, l'orange étoilée; l'orange à écorce douce, l'oranger de la Chine»[18]. En 1803,Le Nouveau dictionnaire d'histoire naturelle donne l'Inde comme origine de l'oranger dont il note la confusion des 54 variétés citées[19].

On doit àAlphonse de Candolle (1883) une première synthèse sur les origines de l'orange douce, selon lui originaire de Chine et Cochinchine. Elle serait déjà cultivée en Europe dès leXIVe siècle (Espagne, Italie) et l'orange introduite par le Portugais depuis la Chine ne serait qu'un cultivar spécialement sucré[20].

Jusqu'à la première moitié duXXe siècle, l'orange était un fruit de luxe, et souvent offert comme cadeau deNoël et de laSaint-Nicolas (Belgique etPays-Bas) aux enfants[21],[22]. Sa culture en bac a longtemps été un symbole de pouvoir pour les aristocrates qui lui dédiaient des bâtiments spécialisés : lesorangeries.

Étymologie

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Lesubstantifféminin[1],[2],[3],[4]orange (prononcé[ɔʀɑ̃:ʒ][2]) est unemprunt[1], par l'intermédiaire de l'italienarancio[1], à l'arabenārang(a)[1],[2], lui-même emprunté aupersannarang[1],[2], de même sens[1]. Ce mot persan est emprunté au motsanscritnaranga qui apparaît vers l'an 100 dans le traité de médecine hindoueCharaka Samhita, le motnar y signifiant “parfum”[23].

D'après leTrésor de la langue française informatisé, la plus ancienne occurrence deorange est l'anglo-normandpume orenge qui se trouve dans lesCommentaires sur leCantique des Cantiques d'Alexandre Neckam, datés de vers[2] ; l'ancien françaispomme d'orenge est attesté dans laChirurgie d'Henri de Mondeville, datée de[2] ; puisorenge seul, parellipse depomme, est attesté dans leMénagier de Paris, daté de vers[2]. L'ancien françaispomme d'orenge serait uncalque de l'ancien italienmelarancio,-a.

L'arabenārang(a) est également à l'origine denaranja encastillan et enespagnol ou encorearàngi enprovençal. Pendant longtemps ces fruits remontèrent leRhône jusqu'à la ville d'Orange, dulatinArausio qui a donnéOuranjo en provençal etOrange enfrançais. Puis elles furent distribuées à partir du port fluvial de cette ville, d'où leur nom depomme d'Orange, puis d'orange, peut-être aussi par amalgame d'Orange et d'arange[24].

Phylogénie

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Géographique et phénotypes des oranges douces, bigarades, mandarines et pamplemousses dans la région sympatrique chinoise[25].

Les travaux académiques chinois à partir duséquençage destélomères de populations significatives d'orangers et de mandariniers (Hunan, 2025) permettent de connaitre et la région d'origine de l'orange douce et saphylogénie. L'aire géographiquesympatrique des 35 oranges douces, 99 bigarades, 11 mandarines et 16pamplemousses analysés suit le cours inférieur dufleuve Yuan, la mandarine provenant aussi du district proche de Mangshan (邙山区 (Mángshān Qū).

Phylogénie de l'orange douce : hybride de bigaradier pollinisateur et de mandarinier Ponkan. L'importante introgression de pamplemoussier est transmise par le bigaradier[25].
Les 9 chromosomes de l'orange douce. En rouge, segment homozygote d'origine mandarine ; en vert jaunâtre, segment homozygote d'origine pamplemousse; en orange, segment hétérozygote d'origine mandarine et pamplemousse ; en gris, région inconnue

L'analyse des génomes chloroplastiques des mêmes populations montre que l'orange douce est étroitement liée auxbigarades, prouvant qu'une ancienne accession de bigaradier est probablement le parent maternel de l'orange douce tandis que le parent paternel est la mandarineponkan ou 'jiankan' (similaire)[25].

À partir de ces travaux une hybridation à l'identique avec les agrumes actuellement survivants a permis d'obtenir une population très diversifiée de 215 hybrides dont 3 résistants auchancre bactérien. Lesgènes codants de ces 3 obtentions pour desenzymes impliquées dans la biosynthèse de lacoumarine et desflavonoïdes étaient régulés à la hausse. Les auteurs pensent que l'étude des très nombreuxmétabolites de ces oranges douces nouvelles permettront de développer desproduits phytosanitaires naturels[25].

Économie

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Production

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Culture d'orangers auBrésil.

L'industrie de l'orange représente unchiffre d'affaires mondial de l'ordre de deux milliards de dollars américains, les premiers pays producteurs étant leBrésil et lesÉtats-Unis (principalement laFloride).

Pour consommer ce fruit tous les mois de l'année, des orangers dits « de contre-saison » sont cultivés. Cette production en zone tempérée chaude réduit l'extension des surfaces de production dans l'hémisphère Sud. LeChili, l'Uruguay, l'Afrique du Sud et laNouvelle-Zélande s'imposent. Les ventes estivales sont caractérisées par l'étroitesse de l'offre.

L'exemple de l'Uruguay est ici précisé. Lors de l'indépendance algérienne, desagriculteurs français producteurs d'oranges, décident d'émigrer en Uruguay pour y implanter des cultures fruitières. Après une installation déstabilisante, les cultivateurs francophones découvrent un marché local difficile. Les exportations lointaines sont un impératif, mais nécessitent une organisation rigoureuse de toute la filière :calibrage,conditionnement, équipements, moyens de transport routiers et maritimes. En 1972, des aides économiques insérées dans leplan Citrico commun au pays voisins de l'estuaire de la Plata, Uruguay et Argentine, posent les jalons jusqu'en 1992.

Nueva Palmica en Uruguay produit des oranges, Campana en Argentine produit des citrons. Les deux villes deviennent des pôles de récolte et d'exportation d'agrumes : des usines lavent, calibrent et trient la récolte. Celle-ci est chargée dans des camions réfrigérés qui transportent les fruits aux naviresfrigorifiques sur palettes et en cartons. Les plates-formes de distribution traitent avec les enseignes de grande distribution. Les rebuts du tri et du calibrage sont utilisés pour des desserts et des salades de fruits.

Production en 2019[26]
Données de FAOSTAT (FAO)

PaysProduction
(en milliers de tonnes)
Part mondiale
Drapeau du BrésilBrésil17 07422 %
Drapeau de la République populaire de ChineChine10 43613 %
Drapeau de l'IndeInde9 50912 %
Drapeau des États-UnisÉtats-Unis4 8336 %
Drapeau du MexiqueMexique4 7376 %
Drapeau de l'EspagneEspagne3 2274 %
Drapeau de l'ÉgypteÉgypte3 1974 %
Drapeau de l'IndonésieIndonésie2 5633 %
Drapeau de l'IranIran2 3093 %
Drapeau de la TurquieTurquie1 7002 %
Drapeau d'Afrique du SudAfrique du Sud1 6862 %
Drapeau de l'ItalieItalie1 6502 %
Drapeau du PakistanPakistan1 6152 %
Drapeau de l'AlgérieAlgérie1 2002 %
Drapeau du Maroc Maroc1 1822 %
Autres pays11 78215 %
MondeMonde73 079100 %

Production en 2013[26]
Données de FAOSTAT (FAO)

PaysProduction
(en milliers de tonnes)
Part mondiale
Drapeau du BrésilBrésil17 55024 %
Drapeau des États-UnisÉtats-Unis7 50110 %
Drapeau de la République populaire de ChineChine7 30610 %
Drapeau de l'IndeInde6 4269 %
Drapeau du MexiqueMexique4 4106 %
Drapeau de l'EspagneEspagne3 3945 %
Drapeau de l'ÉgypteÉgypte2 8554 %
Drapeau de l'IranIran2 5473 %
Drapeau d'Afrique du SudAfrique du Sud1 8112 %
Drapeau de la TurquieTurquie1 7812 %
Drapeau de l'ItalieItalie1 7012 %
Drapeau de l'IndonésieIndonésie1 6552 %
Drapeau du PakistanPakistan1 4012 %
Drapeau de l'AlgérieAlgérie8911 %
Drapeau de la GrèceGrèce8761 %
Autres pays10 97515 %
MondeMonde73 079100 %

Les pays de l'Union européenne ont produit 6,5 millions de tonnes d'oranges en 2018[27].

Consommation

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Oranges etjus d'orange.

Surtout dans la première moitié duXXe siècle, l'orange de Noël, dans les foyers modestes, ouvriers et paysans, désigne un précieux cadeau de Noël, une simple orange éclatante de couleur au cœur de l’hiver, belle pour sa forme, son odeur. Des écrivains commeAlphonse Daudet,Jean Guéhenno,Michel Peyramaure, l’ont évoquée dans leurs œuvres[28].

La pomme est le premier fruit consommé en France (part de marché en 2010 : 22,6 %) devant l'orange (12,3 %) et la banane (12,2 %)[29].

Utilisations

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Alimentation

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Le fruit est consommé frais, mais il est aussi utilisé dans d'innombrablesrecettes comme lejus d'orange (54 % du marché des jus de fruits), lesconfitures, lespâtisseries, les peaux d'orange confites, certainsalcools, ou le canard à l'orange…

Informations nutritionnelles

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Orange crue
(valeur nutritive pour 100 g)
eau : 86,75 gcendres totales : 0,44 gfibres : 2,4 gvaleur énergétique :47 kcal
glucides : 11,75 gsucres simples : 9,35 gprotéines : 940 mglipides : 120 mg
oligo-éléments
potassium : 181 mgcalcium : 40 mgphosphore : 14 mgmagnésium : 10 mg
fer : 100 µgzinc : 70 µgcuivre : 45 µgsodium : 0 mg
vitamines
vitamine C : 53,2 mgvitamine B1 : 87 µgvitamine B2 : 40 µgvitamine B3 : 282 µg
vitamine B5 : 250 µgvitamine B6 : 60 µgvitamine B9 : 0 µgvitamine B12 : 0 µg
vitamine A : 225 UIrétinol : 0 µgvitamine E : 0,18 µgvitamine K : 0 µg
acides gras
saturés : 15 mgmono-insaturés : 23 mgpoly-insaturés : 25 mgcholestérol : 0 mg

Leszestes,confitures oumarmelades faits avec des écorces d'oranges traitées avec desproduits phytosanitaires peuvent contenir des quantités significatives de résidus depesticides[30]. Les écorces attaquées par des champignons oumoisissures (moisissure bleue notamment) peuvent également contenir desmycotoxines.

Propriétés

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La peau de l'orange est composée de deux couches, une couche extérieure coloréeorange nommée l'épicarpe ou lezeste, qui contient de nombreuses glandes à essences, et une deuxième couche distincte blanchâtre et spongieuse, l'albédo ou mésocarpe[31].

Les peaux d'oranges, mais aussi des autres agrumes (citrons, pamplemousses, etc.), libèrent communément par pression ou par grattage des molécules defurocoumarines. Un contact prolongé ou un frottement avec la peau couplé à une exposition au soleil peut provoquer des rougeurs irritantes et des démangeaisons désagréables, il s'agit de brûlures (« coups de soleil ») favorisées par les furocoumarines qui sont photosensibilisantes pour la peau, et non d'uneallergie. Ce sont ces mêmes gammes de molécules à base « coumarine » qui expliquent l'odeur des essences d'oranges et leurs implications relaxantes[32]. Une étude chez l'homme a montré l'effetanxiolytique de l'odeur de l'essence d'orange diffusée dans l'atmosphère[33].

Pomme d'ambre

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Une « pomme d'ambre » : orange plantée declous de girofle.

L'orange, ou autreagrume, piquée declous de girofle et enrobée de poudre d'épices est la version végétale du bijou en métal précieux ciselé contenant l'ambre gris, lacivette ou lemusc et nommé « pomme de senteur »[34] « pomme d'ambre »[35], pomander[36], pomandre[37] ou pommandre[38]. Portée sur soi dans un sachet suspendu au cou, elle était, auMoyen Âge, censée protéger de l'infection. Enameublement, elle sert aujourd'hui àparfumer etdécorer la maison ou,placée dans lesarmoires, àprotéger lelinge contre lesmites[réf. nécessaire].

Calendrier républicain

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Le nom de l'orange fut attribué au24e jour du mois debrumaire ducalendrier républicain ou révolutionnaire français[39], généralement chaque dugrégorien.

Huile essentielle

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Fruit

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Chromatogramme de l'huile essentielle d'orange douce deKenitra (2024)[40]

L'HE du fruit est quasi exclusivement un sous produit des industries du jus, elle est obtenue par centrifugation et parfois par hydro-distilation et plus rarement par l'extraction assistée micro-ondes sans solvant (SFME). Les principaux composés sont le limonène (98 %), le β-myrcène (1 %) l'α-pinène (0,5 %), M. Sawamura signale l'abondance d'octanal[41]. Les mesure marocaines donnent (2024) D-limonène 70 %,thuyène (10,5 %), dumyrcène (5,5 %) et de l'α-pinène (2,8 %)[40].

L'huile essentielle d'orange produite par SFME contient un peu desabinène (0,07 %) et deβ-pinène (0,003 %)[42]. Sawamura donne un rendement de 0.18% et 0.26 avec assistance ultrason[43]. Vincent Ferreret al. ont montré que le stade de développement du fruit et le cultivar influencent la composition[44].

Les effets anti-inflammatoires, antioxydants et cytotoxiques liés à la richesse enlimonène de l'huile essentielle d'orange peuvent contribuer à répondre à des problèmes de santé critiques (maladies chroniques, les troubles cutanés)[45].

Ecorce, feuille et fleurs

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L'écorces de l'oranger doux a une teneur en huile élevée (1,75-2,25 %) comparé à la feuille (0,75-0,78 %) et aux fleurs (0,20-0,25 %). Ces huiles essentielle contiennent environ 60 composés, dont des terpénoïdes, des sesquiterpénoïdes et des terpénoïdes oxygénés. Le sabinène est dominant dans la fleur (38,05-39,89 %) et la feuille (32,30-36,91 %). L'écorce contient plus de 90 % de limonène. Ces mesures proviennent des travaux népalais (2024) sur des orangers duSindhuli avec communication des compositions détaillées[46].

L'HE d'écorce est larvicide (limonène).

Notes et références

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  4. abc etdEntrée« orange », surDictionnaires de français [en ligne],Larousse(consulté le).
  5. « Bigarade », dans leDictionnaire de l'Académie française,Centre national de ressources textuelles et lexicales (consulté le).
  6. (en) SebastianoSeminara, StefaniaBennici, MarioDi Guardo et MarcoCaruso, « Sweet Orange: Evolution, Characterization, Varieties, and Breeding Perspectives »,Agriculture,vol. 13,no 2,‎,p. 264(ISSN 2077-0472,DOI 10.3390/agriculture13020264,lire en ligne, consulté le)
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  12. Jacques Brosse,Mythologie des arbres, Paris, Plon, 1989,p. 292.
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  18. DenisDiderot,Encyclopédie: ou dictionnaire raisonné des sciences, des arts et des métiers,(lire en ligne), p 558
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  22. Sophie EYEGUE, « Pourquoi offrait-on une orange à Noël ? »Accès libre, surOuest France,(consulté le)
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