Movatterモバイル変換


[0]ホーム

URL:


Aller au contenu
Wikipédial'encyclopédie libre
Rechercher

OpérationBouclier de l'Euphrate

36° 49′ 47″ nord, 38° 00′ 54″ est
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

OpérationBouclier de l'Euphrate
Description de cette image, également commentée ci-après
Carte de l'offensive dans le Nord du gouvernorat d'Alep :
Informations générales
Date
(7 mois et 5 jours)
LieuNord dugouvernorat d'Alep
IssueVictoire de la Turquie et des rebelles
Belligérants
Drapeau de l'État islamiqueÉtat islamique
Commandants
Drapeau de la Turquie Zekai Aksakalli
Ahmed Osman
Mohammed al-Ghabi †
InconnuInconnu
Forces en présence
Drapeau de la Turquie
4 000 à 8 000 hommes[1],[2],[3]
70 chars[4],[5]


5 000 à 15 000 hommes[6],[7],[8]
Drapeau de l'État islamique
Inconnues

Inconnues
Pertes
Drapeau de la Turquie
71 morts[A 1]


614 morts[A 2]
1 700 blessés au moins[A 2]
Drapeau de l'État islamique
2 647 morts
417 prisonniers
(selon la Turquie, à la date du 10 mars 2017)[14],[15]

425 morts
37 prisonniers
(selon la Turquie, à la date du 10 mars 2017)[14],[15]
Civils :
497 morts au moins[9]
3 250 blessés au moins[9]
(selon l'OSDH, par les bombardements et tirs d'artillerie turcs, du 24 août 2016 au 23 février 2017)[9]

Notes

  1. a etbLa coalition menée par les États-Unis intervient uniquement contre l'État islamique en appuyant à la fois l'armée turque, les rebelles et les FDS. Le 16 novembre 2016, la coalition annonce cependant qu'elle a cessé d'appuyer les forces rebelles et turques mais a repris son soutien à la Turquie mi-janvier.
  1. La Russie intervient uniquement contre l'État islamique en appui de l'armée turque, à partir du 28 décembre 2016.

Guerre civile syrienne

Batailles

Batailles de la guerre civile syrienne




Débordements du conflit

Interventions internationales
 
Données clés
Coordonnées36° 49′ 47″ nord, 38° 00′ 54″ est
Géolocalisation sur la carte :Syrie
(Voir situation sur carte : Syrie)
Opération Bouclier de l'Euphrate
OpérationBouclier de l'Euphrate

modifier

L'opérationBouclier de l'Euphrate (enturc :Fırat Kalkanı Operasyonu) a lieu du au lors de laguerre civile syrienne. Il s'agit d'une offensive menée dans le Nord de la Syrie par laTurquie et des groupes rebelles syriens contre l'État islamique et lesForces démocratiques syriennes (FDS). Cette offensive commence par la prise deJarablous et aboutit à la prise de la ville d'al-Bab le. L'opération s'achève officiellement le.

Prélude

[modifier |modifier le code]

À l'été 2016, la zone allant du poste frontière d'al-Raï jusqu'à la ville deJarablous est la dernière contrôlée par l'État islamique le long de la frontière turque[16]. Cette zone est alors convoitée par lesForces démocratiques syriennes, dominée par lesKurdes duPYD, qui ont proclamé une « région fédérale » le et qui cherchent à unifier leur territoire d'Afrine jusqu'augouvernorat de Hassaké[17],[18],[19].

Le, lesForces démocratiques syriennes franchissent l'Euphrate et le 12 août, après unelongue bataille, elles s'emparent deManbij. Les FDS menacent alorsal-Bab à l'ouest etJarablous au nord, toujours contrôlés par l'EI. Afin d'apaiserAnkara, elles déclarent le 20 août qu'elles n'ont pour l'heure par l'intention de faire mouvement surJarablous[20]. Mais pour la Turquie, la création d'une entité kurde autonome à sa frontière, contrôlée par lePYD, lié auPKK, est inacceptable[21]. Son objectif est alors de prendre de vitesse les Kurdes et d'occuper Jarablous avant ces derniers[21]. Le 22 août, les FDS annoncent la création d'un « Conseil militaire de Jarablus », mais son commandant, Abdulsattar Al-Kadiri, est assassiné le lendemain[17],[22],[23]. Les Kurdes accusent aussitôt les services secrets turcs[22].

Pour cette opération, la Turquie retire 1 000 à 5 000 hommes de l'Armée syrienne libre de la région d'Alep[24],[25]. Cela s'effectue dans le contexte d'un rapprochement entre la Turquie et laRussie, après unecrise diplomatique en2015[26]. En contrepartie d'un affaiblissement des défenses rebelles d'Alep, la Russie laisse la Turquie intervenir en Syrie[26].

Le 17 août, les rebelles basés àAzaz s'emparent du poste-frontière d'al-Raï[16]. Le 19 août, cinquante familles de combattants de l'État islamique évacuent Jarablous et se replient sur al-Bab[27]. Le 22 août, plusieurs centaines de rebelles venus d'Azaz etBab al-Hawa (en) prennent position du côté turc de la frontière[28],[29]. Le même jour, l'artillerie turque ouvre le feu et pilonne à la fois les positions de l'État islamique à Jarablous et celles desForces démocratiques syriennes du côté de Manbij[30]. Le ministre turc des Affaires étrangèresMevlüt Çavuşoğlu déclare alors que la frontière« doit entièrement être nettoyée de Daech »[31]. Le 23 août, la population civile de la petite ville turque deKarkamış, située face à Jarablous, est évacuée[22].

Forces en présence

[modifier |modifier le code]
Des rebelles du Conseil militaire d'al-Bab, affilié à l'Armée syrienne libre, le 10 février 2017.

De nombreux groupes rebelles prennent part à l'offensive : ladivision Sultan Mourad[21],[32],[33],[34],Faylaq al-Cham[32],[33],[29],[35],[34], la13e division[33],Liwa Suqour al-Jabal[33], leHarakat Nour al-Din al-Zenki[36],[32],[33],[29],[35], leFront du Levant[33],[35],[34],Jaych al-Tahrir[33],[34], laDivision al-Hamza[33],[35],[34],Liwa al-Fatah[33],Jaych al-Nasr[33], Ahrar Tal Rifaat[33], laBrigade al-Moutasem[33],[35] etAhrar al-Cham[33],[29].

Selon les estimations, environ 1 500 à 5 000 rebelles traversent la frontière à Jarablous le 24 août[37],[6],[38]. À cette occasion, les troupes arabes portent un brassard rouge et les combattantsturkmènes un brassard bleu[33]. En plus de ces forces, environ 5 000 combattants de l'opposition sont présents dans la région d'Azaz etMarea[7].

L'armée turque, pour sa part, est affaiblie par lespurges menées après latentative de coup d'État de juillet 2016[39]. Certains officiers engagés dans l'opérationBouclier de l'Euphrate font alors même l'objet d'enquêtes[39]. Si l'armée de terre a été relativement épargnée, les purges ont été massives dans la gendarmerie, et plus encore dans l'aviation[39]. En Syrie, ces forces sont dirigées par le lieutenant-généralZekai Aksakallı (en), chef des forces spéciales[39],[40].

Prise de Jarablous par l'armée turque et les rebelles syriens (24 août 2016)

[modifier |modifier le code]
Article détaillé :Bataille de Jarablous (2016).

Déroulement

[modifier |modifier le code]

Le 24 août, à quatre heures du matin, l'armée turque et lacoalition lancent l'opération sur la ville deJarablous, peuplée de 30 000 habitants[41],[17],[37]. Les forces spéciales turques pénètrent les premières en territoire syrien, puis une dizaine de chars soutenus par l'aviation franchissent à leur tour la frontière[37],[42]. Les Américains engagent également desA-10 et desF-16 qui bombardent des positions de l'EI[43].

Dans la journée du 24 août, en début d'après-midi, les rebelles prennent le village de Keklija, situé à 5 kilomètres à l'ouest deJarablous et 3 kilomètres à l'intérieur du territoire syrien[37]. Les Turcs et les rebelles ne rencontrent qu'une faible résistance, dès le milieu de l'après-midi, après douze heures d'offensive, Jarablous est conquise et les combattants de l'EI se replient versAl-Bab[44],[45],[46]. Le même jour, lePremier ministre turc affirme souhaiter que l'opération se termine rapidement. Pour Ankara, il n'est pas question que l'armée turque reste plusieurs semaines sur le territoire syrien, avec des troupes au sol[47].

Le 25 août, la Turquie fait entrer en Syrie dix autres chars, des ambulances ainsi que des engins lourds par la ville deKarkamis[48]. Le lieutenant-généralZekai Aksakallı (en) se rend àJarablous pour inspecter les forces[40].

Pertes

[modifier |modifier le code]

Selon l'agence gouvernementale turqueAnadolu, l'armée ne déplore aucune perte et les rebelles comptent un seul tué[46]. Un commandant deFaylaq al-Cham affirme également à l'agenceReuters qu'une cinquantaine dedjihadistes ont été tués[46].

Le 25 août au matin, la presse turque annonce la mort d'une centaine de djihadistes[48].

Réactions internationales

[modifier |modifier le code]

Dès la mise en place de l'opération, les réactions se multiplient. Leministre syrien des Affaires étrangères réclame la fin de cette opération qu'il considère comme« une violation flagrante de la souveraineté du pays »[49].

EnFrance, un porte-parole duQuai d'Orsay annonce que« La France salue l'intensification des efforts de la Turquie dans la lutte contre Daech »[50]. De son côté, le présidentFrançois Hollande assure :« comprendre cette attitude compte tenu de ce qu'a été lecrime terroriste commis par Daech en Turquie ». Ainsi, le président de la République veut« qu'il y ait à travers cette action une volonté commune d'aller vers la négociation »[51]

L'Allemagne apporte son soutien à l'offensive militaire de laTurquie contrel'EI mais aussi contre les milices kurdes qu'elle considère comme une organisation terroriste[52].

LesÉtats-Unis apportent leur soutien à une opération coup de poing turque indique un responsable américain sous couvert d'anonymat. Selon ce responsable,« Le soutien a pris la forme de partage de renseignements et de participation de conseillers militaires américains, et elle pourrait prendre la forme de soutien aérien au sol, si les Turcs en font la demande »[53]. En visite àAnkara, le vice-président américainJoe Biden déclare également que lesYPG qui ont pris part à la prise deManbij doivent se replier sur la rive est de l'Euphrate, faute de quoi ils perdront le soutien des États-Unis[54],[55],[46].

Salih Muslim, le coprésident duPYD, dénonce l'opération et affirme que :« La Turquie dans le bourbier syrien, sera vaincue comme Daech »[37].

De son côtéSergueï Lavrov, le ministre des Affaires étrangères russe, affirme que :« Moscou est profondément préoccupée par ce qu'il se passe à la frontière turco-syrienne. La possibilité d'une dégradation supplémentaire de la situation dans la zone du conflit est inquiétante »[56]. Mais la Russie ne condamne pas l'intervention[34]. Selon le géographe Fabrice Balanche, la Russie aurait échangé un moindre soutien aux Kurdes du PYD contre celui de la Turquie à la rébellion syrienne[57].

Offensive turco-rebelle contre des Forces démocratiques syriennes au nord de Manbij (27-30 août 2016)

[modifier |modifier le code]

Déroulement

[modifier |modifier le code]

Afin d'éviter des combats contre les rebelles, et sous la pression desÉtats-Unis, les Kurdes desYPG annoncent le 25 août qu'ils se retirent deManbij et se replient sur la rive est de l'Euphrate. Le contrôle de la ville est laissé auConseil militaire de Manbij, dont les groupes sont rattachés auxForces démocratiques syriennes[58],[59],[60]. Pourtant le même jour, vers 18 heures, l'artillerie turque ouvre le feu sur des combattants duPYD qui venaient de s'emparer de sept villages à 10 kilomètres au nord deManbij selon l'agenceAnadolu[61],[38].

Le 27 août, l'aviation turque bombarde le village d'Al-Amarna, situé à huit kilomètres au sud de Jarablous et occupé par les hommes deJaych al-Thuwar, intégré auxForces démocratiques syriennes[62],[63]. LesBataillons Shams al-Shamal annoncent alors qu'ils se portent vers le front de Jarablous afin de soutenir le Conseil militaire de Jarablous face à des« menaces posées par des factions appartenant à la Turquie »[62]. Plusieurs autres groupes intégrés dans les Forces démocratiques syriennes — Jaych al-Thuwar, la99e Brigade, al-Salajiqa,Jabhat al-Akrad, Liwa Maghawer Homs, la Brigade démocratique du Nord, la Brigade al-Hamza, les forces al-Ashaer, la brigade des opérations spéciales et les factions Thuwar Arfad — condamnent l'intervention d'Ankara[64]. Des combats éclatent alors àal-Amarna entreJaych al-Thuwar et les chars turcs : un soldat turc est tué et trois autres sont blessés par des tirs de roquettes effectués contre deux chars[4],[65],[66]. Ankara continue d'envoyer des véhicules à la frontière syrienne, dont desLeopard 2[67]. À la date du 27 août, 380 soldats turcs sont déployés en Syrie avec 50 chars[4].

Le matin du 28 août, l'artillerie et l'aviation turque bombardent les villages d'al-Amarné et de Jeb el-Koussa, situés respectivement à8 et 14 kilomètres au sud de Jarablous. Selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme ces tirs font au moins 40 morts et 70 blessés parmi la population civile et au moins quatre morts chez les combattants des FDS. L'armée turque donne quant à elle un bilan de 25 « terroristes » tués, tandis que l'administration duRojava affirme que 75 civils sont morts[68],[69],[70],[71].Human Rights Watch donnera de son côté le 15 septembre un bilan de 24 civils tués, dont 6 enfants, par les bombardements turcs du 28 août, ainsi que 10 à 15 combattants des FDS cachés parmi les civils[72]. Les rebelles attaquent ensuite et prennent plusieurs villages au sud de Jarablous, au moins une dizaine de combattants des FDS sont faits prisonniers[71],[73]. Le colonel Ahmed Osman, commandant des forces de laDivision Sultan Mourad, déclare alors que ses hommes font mouvement pour prendre la ville deManbij[74].

Le 29 août, lesForces démocratiques syriennes se retirent au sud de la rivièreSajour[75]. Quelques heures plus tard, la rivière est franchie par les rebelles qui continuent leur progression vers le sud[76]. Les FDS rassemblent des renforts àManbij, mais lesYPG affirment que leurs troupes n'en font pas partie, et que contrairement aux déclarations du gouvernement turc, toutes leurs unités se sont repliées sur la rive est de l'Euphrate[77].

Réactions internationales

[modifier |modifier le code]

LaTurquie justifie l'offensive par le biais de son ministre de la Défense et annonce que :« La Turquie a tous les droits d'intervenir en Syrie si les forces kurdes ne se retirent pas à l'est de l'Euphrate, plus loin de la frontière turque »[78]. Le 28 août, le présidentRecep Tayyip Erdoğan prévient que la Turquie veut lutter« avec la même détermination » contre les combattants kurdes et l'État islamique[79].

Alliés à la fois de laTurquie, de l'Armée syrienne libre et desForces démocratiques syriennes, les États-Unis réclament la fin de ces combats[80]. Le 29 août,Brett McGurk, envoyé spécial des États-Unis auprès de la coalition, déclare que les affrontements entre les forces turco-rebelles et les FDS« dans des secteurs où l'EI n'est pas présent » sont« inacceptables et source d'une profonde inquiétude »[77].

Le 30 août, le colonelJohn Thomas, porte-parole duCentcom, annonce que les forces turques et les FDS ont accepté d'arrêter les hostilités :« Ces dernières heures, nous avons reçu l'assurance que toutes les parties impliquées vont arrêter de se tirer dessus et se concentrer sur la menace du groupe État islamique. […] C'est un accord de principe pour au moins les deux prochains jours et nous espérons qu'il va se consolider »[81]. Le lendemain, le Conseil militaire de Jarablous — qui dépend desForces démocratiques syriennes — confirme la tenue d'un cessez-le-feu temporaire mené avec la médiation des États-Unis[82]. Mais le même jour,Ömer Çelik, le ministre turc des Affaires étrangères, dément et affirme qu'Ankara refuse« sous aucune circonstance […] un compromis ou un cessez-le-feu » avec les forces kurdes[83],[84]. Le 2 septembre, un responsable américain de la Défense déclare anonymement à l'AFP que la présence des YPG au sud deJarablous est« totalement insignifiante » et ajoute :« Ce que nous constatons sur le terrain est que les FDS ont honoré leur engagement de se retirer à l'est de l'Euphrate »[85]. Mais le même jour, le président Erdoğan déclare :« En ce moment même les États-Unis disent que les militants des YPG ont traversé la rivière Euphrate. On leur répond que, non, ce n'est pas vrai. Nous ne croyons pas que ces forces kurdes se retirent juste en écoutant les déclarations de quelqu'un aux États-Unis ou de n'importe où »[86]. Cependant le 26 septembre, le vice-Premier ministre turcNuman Kurtulmuş se félicite que de nombreux miliciens des YPG se soient repliés à l'est de l'Euphrate mais indique que plusieurs de leurs éléments sont toujours présents à Manbij[87],[88].

De son côté l'Iran demande le 31 août à la Turquie de cesser rapidement ses opérations militaires. Bahman Ghassemi, porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, déclare que :« La poursuite de la présence militaire de la Turquie en Syrie complique encore davantage la situation »[89].

Le, le conseil religieux d'Ahrar al-Cham annonce apporter son soutien à l'intervention militaireturque au nord de la Syrie au nom de la« nécessaire présence d’une faction islamique sur les territoires libérés, pour ne pas laisser le champ libre aux forces contre-révolutionnaires duPKK et duPYD »[90].

Offensive turco-rebelle contre l'État islamique au nord d'al-Bab (1er septembre – 10 décembre 2016)

[modifier |modifier le code]

Déroulement

[modifier |modifier le code]
Situation dans le Nord dugouvernorat d'Alep, à la date du.
Situation dans le Nord dugouvernorat d'Alep, à la date du.
Situation dans le Nord dugouvernorat d'Alep, à la date du.

Début septembre, les forces turco-rebelles renoncent à prendreManbij dans l'immédiat et concentrent leurs forces contre l'État islamique à l'ouest deJarablous. Le1er septembre, le présidentRecep Tayyip Erdoğan déclare que l'incursion militaire a permis de libérer 400 km2 de toute présence de combattants de l'EI ou des YPG[91]. Le capitaine Jeff Davis, porte-parole duPentagone, confirme le même jour le recul de l'EI qui ne contrôle plus désormais qu'environ 25 kilomètres de frontière avec la Turquie, à l'est de la ville d'Al-Raï[92].

Le 2 septembre, les rebelles prennent à l'EI les villages de Kunduriyah et d'Arap Izzah, à environ 30 kilomètres à l'ouest de Jarablous[85]. Le 3 septembre, 20 chars turcs, cinq blindés de transport de troupes et plusieurs autres véhicules franchissent la frontière à al-Raï[5]. De leur côté, les Américains déploient un nouveau dispositif de lance-roquettes à haute mobilité (M142 HIMARS)[93],[94]. Le 4 septembre, pris en tenaille, l'État islamique perd son dernier village sur la frontière turque[95].

Les forces turques et rebelles contrôlent alors toute la frontière d'Azaz àJarablous et poursuivent leur offensive vers le sud, en direction de la ville d'al-Bab. Le 6 septembre, trois soldats turcs sont tués et quatre blessés par des tirs de missiles menés contre deux chars par des hommes de l'EI dans le village de Wuqufau, au sud d'Al-Raï[96],[97]. Les rebelles ont également deux hommes tués et deux blessés le même jour[96]. Le 9 septembre, trois soldats turcs sont tués et un blessé par un tir contre un char près de la localité de Tal al-Hawa[98].

Le, plusieurs dizaines de soldats desforces spéciales américaines entrent en Syrie àal-Raï, à la demande, selon le Pentagone, du gouvernement turc. Cependant un groupe de 25 soldats américains est insulté et menacé par des rebelles du groupeAhrar al-Charkiya, qui les traitent d'« envahisseurs », d'« infidèles » ou de « croisés », et dénoncent leurs liens avec lesYPG. Mais la plupart des groupes rebelles considèrent qu'il s'agit d'un incident mineur[99],[100],[101],[102],[103].

En septembre, les rebelles et les Turcs poursuivent prudemment leur progression. Selon Alla Mohamed, un chef duHarakat Nour al-Din al-Zenki, une trentaine de villages sont pris en trois semaines et des dizaines de djihadistes de l'EI sont tués[102]. Leur objectif est alors la ville d'al-Bab[104],[105].

Le 20 septembre, deux soldats turcs sont tués en opération[106]. Le 2 octobre, 21 rebelles sont tués par des mines de l'EI durant une tentative de sécurisation du village de Turkman Barah, ou dans la vallée d'Ershaf, à proximité du village deDabiq[107],[108],[109],[110]. Selon le chef deJaych al-Tahrir, les djihadistes ont pour la première fois utilisé des caméras équipées de détecteurs pouvant provoquer des explosions[110]. Le 6 octobre, les rebelles perdent encore neuf hommes tués et 32 blessés dans des combats[111]. Le, un assaut sur les localités d'Azaz as Kafrah, Sourane, Ihtimalat et Douvaïbik, au sud-est d'Azaz, est repoussé par l'État islamique, l'armée turque affirme que 47 djihadistes ont été tués mais reconnaît une« solide résistance » des forces de l'EI[112].

Le 15 octobre, 2 000 rebelles deFastaqim Kama Umirt, de laDivision Sultan Mourad, duHarakat Nour al-Din al-Zenki et d'autres groupes lancent l'assaut surDabiq, village sans grande importance stratégique, mais lieu hautement symbolique aux yeux des djihadistes de l'État islamique en raison de sa place dans l'eschatologie islamique[113],[114],[115]. Ces derniers engagent 1 200 hommes pour défendre le village, mais ils battent en retraite le 16 octobre sans opposer une grande résistance. Dabiq, ainsi que le village de Sourane, sont repris par les rebelles qui ont eu au moins neuf morts et 28 blessés dans les combats du 15 octobre d'après l'agence turque Anadolu[116],[117],[118],[119],[120]. Selon le chef de laDivision al-Hamza, 12 combattants de l'EI, principalement des enfants soldats, sont également fait prisonniers aux abords de Dabiq[110]. Les rebelles et les Turcs poursuivent ensuite leur avancée en direction d'al-Bab[121].

Entre le17 et le 18 octobre, 20 djihadistes de l'EI sont tués dans des raids aériens de la coalition. 11 frappes aériennes de la coalition visent les secteurs de Kar Kalbaïn, Ghouz, Hassadjik et Tiltanah et détruisent deux positions défensives de l'EI ainsi que trois véhicules. De leur côté, l'aviation turque mène également des frappes et détruit plusieurs objectifs de l'EI, indique Ankara[122].

Cependant, le 19 octobre, des combats reprennent près deMarea entre lesForces démocratiques syriennes et l'Armée syrienne libre[123]. La nuit du 19 au 20 octobre, l'aviation turque mène 26 raids aériens sur Al-Hassiya, Oum al-Qoura et Oum Hoch, trois villages au nord d'Alep qui venaient d'être pris à l'État islamique par les Forces démocratiques syriennes. L'armée turque revendique alors la mort de 160 à 200 combattants desYPG, l'OSDH ne recense de son côté que 11 morts et 24 blessés[124],[125],[126],[127]. Les combats se poursuivent le, les Turcs tirent au moins 90 roquettes sur les positions kurdes[123]. Mais le régime syrien menace de son côté« d'abattre par tous les moyens les avions militaires turcs qui se risqueraient à franchir une fois encore l’espace aérien de la Syrie »[128].

Le24 et le, 72 positions de l'État islamique et 16 des YPG sont pilonnées selon l'armée turque, tandis que les rebelles prennent les villages de Touwaïs, Al Gharz et Tlatinah, au sud de la petite ville d'Akhtarine. Toujours selon l'armée turque, 5 rebelles ont été tués et 28 blessés dans ces combats[129].

Le1er novembre, l'EI reprend sept villages aux rebelles près deMarea[130]. Le 4 novembre, au moins 10 rebelles sont tués près du village d'Akhtarin selon l'OSDH[131].

Le chef deJaych al-Tahrir, Mohammed al-Ghabi, est tué le 4 novembre lors des combats[132],[133].

Selon l'OSDH, les rebelles s'emparent de 12 villages entre le8 et le 11 novembre et arrivent à sept kilomètres d'al-Bab[134]. Le 13 novembre, ils ne sont plus qu'à deux kilomètres au nord et au nord-ouest de la ville, qui est bombardée par l'artillerie turque[135].

Le, le colonel américain John Dorrian, porte-parole militaire de la coalition, affirme que la coalition n'appuie plus les forces rebelles soutenues par les Turcs et que les soldats des forces spéciales américaines qui avaient été déployés à leurs côtés ont été retirés[136].

Le 21 novembre, des heurts ont encore lieu entre rebelles et YPG dans le village de Cheikh Nasser[137].

Le 24 novembre, quatre soldats turcs sont tués et 10 blessés dans un bombardement au nord d'al-Bab. La Turquie accuse alors les forces du régime syrien d'être les auteurs de cette attaque[138],[139]. La Russie conteste et affirme que ni elle, niDamas, ne sont responsables[139].

Le 27 novembre, l'armée turque déclare que 22 rebelles ont été blessés par des gaz toxiques près du village de Khaliliya, à l'est d'Al-Raï[140].

Le 29 novembre, l'État islamique revendique la capture de deux militaires turcs. Ankara reconnaît le même jour que deux de ses soldats sont portés disparus[141],[142]. Le 22 décembre, l'État islamique publie une vidéo montrant l'exécution des deux soldats turcs, qui sont brûlés vifs[143].

La bataille d'al-Bab (10 décembre 2016-23 février 2017)

[modifier |modifier le code]
Article détaillé :Bataille d'al-Bab.
Rebelles ouvrant le feu près d'al-Bab, le 14 décembre 2016.

Le, les Turcs et les rebelles lancent l'assaut sur la ville d'al-Bab et parviennent à entrer dans la ville[144].

Le 21 décembre, des combats très violents ont lieu au sud-ouest de la ville[145],[146],[147]. La position, prise la veille par les Turcs et les rebelles, est reprise par les hommes de l'État islamique[146]. Les Turcs perdent unchar Leopard 2A4 détruit, ainsi que 16 soldats tués et 33 blessés[146],[145],[143],[147].

En difficulté, Ankara demande le à lacoalition de lui fournir un soutien aérien[148]. Le 16 novembre 2016, le colonel américain John Dorrian, porte-parole militaire de la coalition, avait annoncé que la coalition n'appuyait plus les forces rebelles soutenues par les Turcs et que les soldats des forces spéciales américaines qui avaient été déployés à leurs côtés avaient été retirés[136]. Exaspéré par l'alliance entre la coalition et lesForces démocratiques syriennes, le présidentErdoğan va jusqu'à affirmer le 27 décembre que les Occidentaux« soutiennent tous les groupes terroristes, leYPG, lePYD, mais aussiDaech »[149]. LaRussie intervient dans la bataille et bombarde pour la première fois des positions de l'EI à al-Bab dans la nuit du28 au 29 décembre[150],[151],[152]. Le 12 janvier, la Russie et la Turquie annoncent la conclusion d'un accord pour coordonner leurs frappes en Syrie[153]. Le, on assiste à un premier bombardement aérien russo-turque dans la zone d’Al-Bab tandis que John Dorrian a déclaré que la coalition a effectué quatre frappes en soutien aux forces turques auparavant[154]. Après de durs combats, les Turcs et les rebelles prennent finalement le contrôle d'al-Bab le 23 février 2017[155].

Blocage des forces turco-rebelles dans la région d'al-Bab

[modifier |modifier le code]
Article détaillé :Attentat de Soussiane.
Situation dans le Nord dugouvernorat d'Alep, à la date du.

Après leur défaite, les djihadistes mènent des attentats en représailles. Le 24 février, à Soussiane, un village au nord-ouest d'al-Bab, une voiture piégée conduite par un kamikaze fait au moins 83 morts, tandis qu'un autre kamikaze se fait exploser à l'entrée d'al-Bab, faisant deux morts et trois blessés parmi les soldats turcs[156],[157],[158],[159],[160],[10],[161].

De facto, la Turquie parvient à établir unezone tampon à partir de sa frontière[162],[163]. Un accord tacite est conclu entre laRussie et laTurquie pour laisser le contrôle d'al-Bab aux Turcs[164]. Mais après la chute de la ville, les loyalistes poursuivent leur progression contre l'État islamique dans la région au sud-est d'al-Bab afin de couper la route deRaqqa aux Turcs et à l'ASL[165],[166]. L'armée syrienne avance vers lelac el-Assad sans rencontrer de forte résistance[165]. Elle prend la petite ville d'al-Khafsa (en) le 7 mars[167] et atteint le même jour les rives dulac el-Assad et les abords de l'aéroport militaire de Jarrah[168],[169]. Le 29 mars, elle s'empare de la ville deDayr Hafir[170].

Le 28 février, le président turcRecep Tayyip Erdoğan annonce que le prochain objectif de ses troupes est la ville deManbij, tenue par lesForces démocratiques syriennes (FDS), alliées des Américains[171]. Le même jour, des avions russes bombardent — probablement par erreur — des combattants des Forces démocratiques syriennes dans la région d'al-Bab[172]. Des conseillers militaires américains situés à seulement quatre ou cinq kilomètres donnent l'alerte et les Russes cessent alors leurs frappes[172]. Le, des escarmouches éclatent entre l'ASL et les FDS entreal-Bab etManbij, les rebelles s'emparent de deux villages — Tal Turin et Qara — sans rencontrer de forte résistance[173],[174],[175]. Afin de se prémunir d'une offensive turque, lesForces démocratiques syriennes décident début mars de remettre plusieurs villages au régime syrien. Ces localités, situées sur la ligne de front, sont confiées à des gardes-frontières de l'État syrien pour établir une sorte dezone tampon. Ce déploiement se fait avec l'accord de laRussie et desÉtats-Unis[176],[177],[178],[179],[180],[181],[182]. Des accrochages éclatent cependant le entre les gardes-frontières et les rebelles[181].

Le, des troupes de l'armée russe entrent dans la ville d'Afrine, leur drapeau placés ostensiblement sur leurs blindés[183]. Le porte-parole desYPG annonce alors que,« dans le cadre de la coopération contre le terrorisme », la Russie va installer une base militaire dans le village de Kafr Jina et entraîner les combattants, ce qui est cependant démenti par le ministère de la Défense russe[183],[184]. Moscou déclare que ses soldats ont été déployés simplement dans cette enclave, située à l'ouest d'al-Bab, afin de veiller au respect du cessez-le-feu[183]. Les protestations turques sont cette fois mesurées, le 23 mars le présidentRecep Tayyip Erdoğan déclare :« Nous sommes peinés de l’intérêt manifesté par la Russie et les États-Unis envers l’organisation terroriste YPG »[185]. Cependant l'Armée turque et les rebelles engagés dans l'opérationBouclier de l'Euphrate se retrouvent alors totalement bloqués, ne pouvant plus progresser ni au sud — face à l'armée syrienne, alliée à la Russie — ni à l'est et à l'ouest — face auxForces démocratiques syriennes, alliés à la fois des Américains et des Russes[183],[185]. Le, la Turquie annonce la fin de l'opérationBouclier de l'Euphrate[186],[187],[188].

Bilan humain

[modifier |modifier le code]

Selon Abdullah Ağar, un expert turc cité parThe Daily Beast, les pertes des rebelles sont de 470 tués et 1 700 blessés pour la période allant du début de l'intervention turque, le 24 août 2016, à la fin debataille d'al-Bab, le 23 février 2017[11]. Pour le journal turcHürriyet, 600 rebelles ont trouvé la mort lors de l'opérationBouclier de l'Euphrate[12]. En mars 2018, le président turcRecep Tayyip Erdoğan déclare que l'opérationBouclier de l'Euphrate a fait précisément 614 morts dans les rangs de l'ASL[13].

Fin octobre 2016, Seïf Abou Bakr, le chef de laDivision al-Hamza, affirme que 1 700 djihadistes de l'État islamique ont été tués depuis le début de l'opération[110].

Le 23 décembre 2016, le ministre turc de la Défense,Fikri Işık, déclare que 1 005 combattants de l'État islamique et 299 combattants des Forces démocratiques syriennes ont été tués depuis le début de l'opération[189]. À la date du 10 mars 2017, l'armée turque affirme que 3 060 hommes de l'État islamique ont été « neutralisés » — dont 2 647 morts — ainsi que 462 des YPG — dont 425 morts[14],[15].

Selon l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH), au moins 497 civils, dont 79 femmes et 122 enfants, ont été tués par les bombardements turcs entre le 24 août 2016 et le 23 février 2017[9].

Le, àAfrine, après une médiation deJaych al-Thuwar, lesYPG relâchent 74 rebelles faits prisonniers pour la plupart dans le cadre de l'opérationBouclier de l'Euphrate[190].

Suites

[modifier |modifier le code]

Le 11 juin 2017, des affrontements éclatent pour la première fois àal-Bab entre des groupes rebelles :Faylaq al-Cham, laDivision al-Hamza etAl-Fauj al-Awwal. Ils auraient fait au moins 16 morts[191],[192].

Voir aussi

[modifier |modifier le code]

Liens externes

[modifier |modifier le code]


Reportages

[modifier |modifier le code]

Vidéographie

[modifier |modifier le code]

Notes et références

[modifier |modifier le code]

Notes

[modifier |modifier le code]
  1. Pertes de la Turquie :
    • 71 morts selon la Turquie, à la date du 24 février 2017[10]
  2. a etbPertes des rebelles :

Références

[modifier |modifier le code]
  1. (en) « Asker sayısı 8.000'e çıkacak »,Yeni Şafak,‎(lire en ligne, consulté le).
  2. (en)« US Assistant Secretary of Defense tells Turkey only ISIS is a target, not Kurds - ARA News »[archive du],.
  3. (en) « Turkey bogged down in Syria as it realigns with Russia »(consulté le).
  4. ab etc« Syrie : nouvelle opération turque au sud de Jarablus »,France 24 avec AFP et Reuters,
  5. a etb« L'armée turque ouvre un nouveau front contre l'EI en Syrie »,France 24 avec AFP,
  6. a etbDelphine Minoui,« La Turquie s'engage au sol en Syrie »,Le Figaro,
  7. a etb(en) Fabrice Balanche,« Status of the Syrian Rebellion: Numbers, Ideologies, and Prospects »,The Washington Institute,
  8. (en) Kareem Shaheen,« Syrian rebels gamble on Turkish alliance to fight Kurds and Assad »,The Guardian,
  9. abc etd(en)« Turkey ends the Federal in Syria after 6 months of entering the Syrian lands and leaving 3700 casualties between civilians »,OSDH,
  10. a etbAFP,« Syrie : deux soldats turcs tués à Al-Bab, selon Ankara »,
  11. a etb(en) Roy Gutman,« The ISIS Stronghold of Al Bab Falls to Turkish Backed Troops »,The Daily Beast,
  12. a etbQuentin Raverd,« La Turquie s'attaque aux Kurdes de Syrie »,Libération,
  13. a etb(en) Nilay Kar,« Erdogan says 3,747 terrorists 'neutralized' in Afrin op »,Agence Anadolu,
  14. ab etc« At least 98 terrorists killed in week: Turkish military »,Anadolu Agency,
  15. ab etc(en) The Associated Press,« Backed by US troops, SDF confident can capture IS 'capital' »,cnsnews,
  16. a etbNicolas Enault,« CARTE. Comment le territoire contrôlé par l'État islamique en Syrie et en Irak a évolué pendant l'été »,Franceinfo,
  17. ab etc« Syrie : les rebelles annoncent avoir repris Jarablos au groupe État islamique »,RFI,‎(lire en ligne, consulté le).
  18. Catherine Gouëset, « Pourquoi la Turquie intervient en Syrie »,LExpress.fr,‎(lire en ligne, consulté le).
  19. Sarah LEDUC, « Carte : la frontière syrienne au cœur de la lutte entre Turcs et Kurdes - France 24 »,France 24,‎(lire en ligne, consulté le).
  20. Angus McDowall, « Les combats entre Damas et Kurdes compliquent encore le conflit »,L'Obs,‎(lire en ligne, consulté le).
  21. ab etcHala Kodmani, « La Turquie à l’offensive pour chasser l’EI et les Kurdes de sa frontière avec la Syrie »,liberation.fr,‎(lire en ligne, consulté le).
  22. ab etc« La Turquie prête à soutenir une opération anti-EI à la frontière syrienne »,Le Point,‎(lire en ligne, consulté le)
  23. Marie Jégo, « Syrie : l’offensive de l’armée turque marque un tournant dans la guerre »,Le Monde,‎(ISSN 1950-6244,lire en ligne, consulté le)
  24. CarolineHayek, « Comment les Turcs ont (re)bouleversé la donne à Alep »,L'Orient-Le Jour,‎(lire en ligne, consulté le)
  25. [vidéo]France 24,« Syrie : le régime coupe en deux les territoires tenus par les rebelles à Alep », suryoutube,
  26. a etbMarc Daou,« L’entente turco-russe compromet les desseins autonomistes des Kurdes de Syrie »,France 24,
  27. Reuters,« Syrie : les combattants de l'EI évacuent leurs proches de Jarablous »,L’Orient-Le Jour,
  28. « Depuis la Turquie, les rebelles syriens se préparent à la bataille de Jarablus »,RFI,
  29. abc etdLaure Stephan,« Face à l’offensive turque, les rebelles syriens sont partagés »,Le Monde,
  30. « L'artillerie turque bombarde l'EI en Syrie en réponse à des tirs de mortier sur son sol »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), surRomandie(consulté le)
  31. « La Turquie veut « nettoyer » de Daech sa frontière avec la Syrie »,Le Point,‎(lire en ligne, consulté le).
  32. ab etcThomas van Linge,« #Syria: after weeks of rumours #Turkey and its #FSA allies have launched their offensive on Jarabulus », surTwitter,
  33. abcdefghijklm etnCharles Lister,« #Turkey jets, artillery & SOF - US jets, drones & SOF - FSA units All involved in offensive on #ISIS in Jarablus », surTwitter,
  34. abcde etfAllan Kaval,« Les brigades syriennes du « Bouclier de l’Euphrate » »,Le Monde,
  35. abcd eteDelphine Minoui,« En Syrie, la Turquie veut repousser à la fois l'État islamique et les milices kurdes »,Le Figaro,
  36. Romain Caillet,« Syrie : le groupe Nour ad-Din Zenki, ayant décapité un enfant à Alep, participe à la bataille contre l'#EI à Jarablus », surTwitter,
  37. abcd eteBulent Kilic et Fulya Ozerkan« L'armée turque envoie ses F-16 et ses chars en Syrie contre l'EI »,AFP,
  38. a etb(en) Michael Weiss,« Turkish Tanks Roll Into a Syrian Battlefield Turned Upside Down »,The Daily Beast,
  39. abc etdMarc Semo,« L’offensive d’Ankara piétine dans le Nord de la Syrie »,Le Monde,
  40. a etb(en) « MIDEAST - Turkish special forces commander Zekai Aksakallı in Syria’s Jarablus »(consulté le)
  41. AFP,« Syrie : la Turquie et la coalition anti-EI lancent une opération à Jarablos »,Le Point,
  42. « L'armée turque entre en Syrie »,Le Figaro,
  43. AFP,« Syrie : les États-Unis soutiennent l'opération anti-EI de la Turquie »,L'Obs,
  44. « Les rebelles syriens soutenus par Ankara annoncent avoir repris la ville de Djarabulus »,Le Monde avec AFP,
  45. Luc Mathieu,« L'armée turque reprend Jarablous, contrôlée par l'EI »,Libération,
  46. abc etdHumeyra Pamuk et Jeff Mason,« Les rebelles syriens soutenus par Ankara ont repris Djarablous »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?),Reuters,
  47. « Turquie : les autorités ne souhaitent pas s'enliser sur le sol syrien »,RFI(consulté le)
  48. a etbAFP, « Syrie : la Turquie envoie 10 nouveaux chars »,Le Figaro,
  49. AFP, « Damas condamne l'intervention turque »,Le Figaro,
  50. Reuters, « La France salue « l'intensification des efforts » d'Ankara contre l'EI »,Le Figaro,
  51. « Syrie : Hollande « comprend » l'intervention turque »,Le Figaro,
  52. « Syrie : l'Allemagne soutient l'opération turque »,Le Figaro,
  53. « Les États-Unis soutiennent l'opération turque en Syrie »,Le Figaro,
  54. Anne Dastakian et Bruno Rieth,« Syrie : Erdogan entre en guerre contre Daech… et contre les Kurdes syriens »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?),Marianne,
  55. « En visite en Turquie, Joe Biden ne cède pas sur l'extradition de Fethullah Gülen »,RFI,
  56. lefigaro.fr avec AFP, « Syrie : Moscou « profondément préoccupée » »,
  57. Fabrice Balanche,« Une année d'intervention militaire russe en Syrie : le grand succès de Vladimir Poutine »,Le Figaro,
  58. « Euphrate : repli des miliciens kurdes »,Le Figaro avec Reuters,
  59. Reuters,« Syrie - Les rebelles soutenus par les États-Unis préparent l'attaque de Rakka »,boursorama,
  60. AFP,« Offensive turque en Syrie : Washington contraint au grand écart »,Le Point,
  61. AFP,« La Turquie tire sur des combattants kurdes dans le Nord de la Syrie »,L'Obs,
  62. a etbUmit Bektas,« Syrie : un groupe allié aux FDS aurait été bombardé par les Turcs »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?),Reuters,
  63. AFP,« Turquie : l'armée frappe des positions de « groupes terroristes » en Syrie (Anadolu) »,L’Orient-Le Jour,
  64. (en)« Rebel factions in northern Aleppo give the U.S led coalition the responsibliti »,OSDH,
  65. « Syrie : affrontements entre Kurdes et Turcs, un soldat mort et 3 blessés »,Le Point avec AFP,
  66. AFP,« Syrie : combats entre armée turque et Kurdes au4e jour de son offensive »,Le Point,
  67. « Arda Mevlutoglu on Twitter »(consulté le).
  68. AFP,« Syrie : 35 civils tués lors de bombardements turcs dans le Nord »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?),
  69. « L'offensive turque en Syrie s'intensifie »,Le Point avec AFP,
  70. AFP,« Syrie : l'offensive turque s'intensifie avec des bombardements meurtriers »,Le Point,
  71. a etb« L’offensive turque fait des dizaines de morts en Syrie, Erdogan affirme sa « détermination » »,Le Monde,
  72. « Syrie : HRW accuse l'armée turque et les rebelles d'être responsables de la mort de civils »,L’Orient-Le Jour avec AFP,
  73. (en)« Conitnued bombardment by Turkish forces on Jarablis countryside »,OSDH,
  74. Reuters,« Syrie - Des rebelles appuyés par Ankara veulent prendre Manbij », surzonebourse,
  75. (en)« SDF-backed fighters in Jarablus say retreating south as Turkey pushes into Syria »,Reuters,
  76. wassim Nasr,« #Syrie les factions appuyées par la #Turquie traverse la rivière Sajour et avance au nord de #Manbij »,Twitter,
  77. a etbReuters,« Renforts déployés à Manbij, dans le Nord de la Syrie »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?),L'Obs,
  78. lefigaro.fr, « Syrie : « La Turquie a tous les droits d'intervenir » »(consulté le).
  79. AFP, « La Turquie veut lutter avec « la même détermination » contre l'EI et les kurdes »,Le Figaro,
  80. Georges Malbrunot,« Syrie : Washington avertit ses alliés turcs et kurdes »,Le Figaro,
  81. « Syrie : Turcs et Kurdes acceptent d'arrêter les hostilités »,Le Figaro avec AFP,
  82. « Les forces soutenues par les Kurdes acceptent un cessez-le-feu avec l'armée turque dans le Nord de la Syrie »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?),Xinhua,
  83. « En Syrie, la Turquie rejette tout cessez-le-feu avec les Kurdes »,Le Monde avec AFP,
  84. « Syrie : la Turquie veut le retrait des kurdes »,Le Figaro avec AFP,
  85. a etb« Syrie : la Turquie frappe à nouveau l'EI »,Le Figaro avec AFP,
  86. « Rebelles kurdes en Syrie : Ankara accuse Washington d'avoir menti »,Euronews,
  87. Reuters,« Syrie : la Turquie se félicite du repli kurde à l'est de Manbij »,L’Orient-Le Jour,
  88. Reuters,« Associer les Kurdes à un assaut contre Rakka, un péril pour la Syrie, dit Ankara »,boursorama,
  89. AFP,« L'Iran demande à la Turquie de cesser ses opérations militaires en Syrie »,L’Orient-Le Jour,
  90. Madjid Zerrouky,« En Syrie, l’« ennemi américain » exacerbe les tensions entre rebelles islamistes »,Le Monde,
  91. « Erdogan : EI et kurdes repoussés en Syrie »,Le Figaro avec AFP,
  92. « L'EI va perdre l’accès à la frontière turque »,Le Figaro avec AFP,
  93. « Frappes américaines sur l'EI depuis la Turquie »,Le Figaro avec AFP,
  94. « Syrie : Les États-Unis frappent Daesh avec des lance-roquettes mobiles depuis la Turquie »,20 Minutes avec AFP,
  95. « L'État islamique perd son dernier bastion sur la frontière syro-turque »,Le Point avec AFP,
  96. a etbAFP,« Syrie : trois soldats turcs tués dans une attaque de l'EI »,Le Point,
  97. « L’EI revendique une attaque contre des soldats turcs en Syrie »,Le Monde avec AFP,
  98. « Syrie : trois soldats turcs tués dans une attaque attribuée à l'EI »,AFP,
  99. « Syrie : des forces spéciales américaines déployées en appui des forces turques »,France 24 avec AFP,
  100. (en) Rob Crilly,« US troops forced out of Syrian town by anti-Assad rebels »,The Independant,
  101. Reuters, « « Des soldats américains auraient été chassés du nord de la Syrie », surzonebourse,
  102. a etbLuc Mathieu,« Syrie : Ankara pousse l’EI au repli »,Libération,
  103. (en) Michael Weiss,« Syrian Rebels Taunt U.S. Troops »,The Daily Beast,
  104. « Syrie : la Turquie va renforcer ses troupes »,Le Figaro avec AFP,
  105. AFP,« Syrie : la Turquie nie vouloir renforcer ses troupes en vue d'une nouvelle offensive »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?),
  106. « CNN Türk ENG on Twitter »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?)(consulté le)
  107. AFP,« Syrie : 15 rebelles soutenus par la Turquie tués »,Le Figaro,
  108. AFP,« Syrie : 21 rebelles soutenus par la Turquie tués par des mines de l'EI »,L’Orient-Le Jour,
  109. « Les rebelles syriens avancent vers Dabiq, ville symbolique pour l'EI »,L’Orient-Le Jour avec agences,
  110. abc etdDelphine Minoui,« Syrie : les rebelles anti-Daech mettent le cap sur al-Bab »,Le Figaro,
  111. « Syrie : combats entre rebelles et djihadistes »,Le Figaro avec AFP,
  112. « La Turquie reconnaît une « solide résistance » de l'EI »,Le Figaro avec Reuters,
  113. Luc Mathieu,« Les rebelles syriens en passe de libérer Dabiq, ville symbole de l'EI »,Libération,
  114. Delphine Minoui,« Syrie : les rebelles aux portes de Dabiq »,Le Figaro,
  115. AFP,« Des combattants syriens soutenus par la Turquie avancent vers Dabiq »,La Dépèche,
  116. AFP,« Syrie : l'EI défaite dans une ville symbole, rencontre des Occidentaux à Londres »,Le Point,
  117. « Les rebelles disent avoir pris Dabiq à l'EI »,Le Figaro avec Reuters,
  118. (en)« After 24 of Siege, the IS pulls back from Dabeq strategic town »,OSDH,
  119. (en)« Syria conflict: Rebels 'capture' IS stronghold of Dabiq »,BBC,
  120. « Syrie : des rebelles soutenus par la Turquie reprennent Dabiq aux jihadistes de l'EI »,France 24 avec AFP,
  121. AFP,« Syrie : après Dabiq, la prochaine cible, Al-Bab (ministre turc) »,L’Orient-Le Jour,
  122. « Vingt jihadistes de l'EI tués dans des frappes en Syrie (armée turque) »,L'Orient-Le Jour,‎(lire en ligne, consulté le).
  123. a etb« Syrie : violents combats entre Turcs et Kurdes » »,Le Figaro avec Reuters,
  124. « Syrie : l'armée turque dit avoir tué jusqu'à 200 miliciens kurdes »,Le Figaro avec AFP,
  125. « Syrie : Ankara frappe des milices kurdes soutenues par Washington »,Le Figaro avec AFP,
  126. « Ankara frappe des milices kurdes soutenues par Washington »,L’Orient-Le Jour avec AFP,
  127. AFP,« La Turquie frappe à nouveau des cibles kurdes syriennes »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?),
  128. Marie Jégo,« L’Irak refuse que la Turquie participe à la bataille de Mossoul »,Le Monde,
  129. « Syrie : les rebelles pro-turcs progressent »,Le Figaro avec Reuters,
  130. (en)« The “Islamic State” regains control over more areas in the northeastern countryside of Aleppo »,OSDH,
  131. (en)« At least 10 fighters of “Euphrates Shield” were killed in targeting near Akhtarin by the “Islamic State” »,OSDH,
  132. Archicivilians,« #Syria: Mohamad al-Ghabi, leader of Jaysh al-Tahrir (#FSA), passed away after being wounded 10 days ago in North #Aleppo battles vs #ISIS »,Twitter,
  133. Delphine Minoui,« RIP Mohammad al-Ghabi, chief of FSA's Jeish al-Tahrir, who died today of injuries sustained fighting ISIS. Friends mourn Syria moderate », surTwitter,
  134. (en)« Factions of “Euphrates shield” advance and control new village in the countryside of al-Bab city, raising to 12 the number of controlled villages in 4 days »,OSDH,
  135. « Syrie : les rebelles pro-turcs près d'al-Bab, bastion de l'EI », surAFP,L’Orient-Le Jour,
  136. a etbAFP,« Syrie : la coalition ne soutient pas les forces turques à al-Bab (militaire américain) »,L’Orient-Le Jour,
  137. Reuters,« Syrie - Affrontements entre forces pro-turques et miliciens kurdes »,boursorama,
  138. « Ankara met en cause l'armée syrienne dans la mort de soldats turcs en Syrie »,France 24 avec AFP et Reuters,
  139. a etbAFP,« Soldats turcs tués en Syrie : ni Moscou, ni Damas responsables »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?),
  140. « Syrie : 22 rebelles pro-turcs blessés dans une attaque chimique de Daech »,Le Point avec AFP,
  141. AFP,« L’EI revendique l’enlèvement de deux soldats turcs »,Le Monde,
  142. « Soldats turcs disparus en Syrie : la coalition aide Ankara », surAFP,L’Orient-Le Jour,
  143. a etbAFP,« L'EI diffuse une vidéo montrant deux soldats turcs brûlés vifs »,La Presse,
  144. « Syrie : l'armée turque et ses alliés entrent à al-Bab »,Le Figaro avec AFP,
  145. a etb« Syrie : 14 soldats turcs tués par l'EI »,France 24 avec AFP,
  146. ab etcWassim Nasr,« #Syrie l'armée turque reprend la colline Akil à l'#EI & coupe la route entre Al-Bab et #Alep », surTwitter,
  147. a etbReuters,« Les combats s'intensifient autour d'Al Bab en Syrie »,challenges,
  148. « Ankara demande l'aide de la coalition à Al Bab »,Le Figaro avec Reuters,
  149. « Erdogan accuse l'Occident de soutenir EI »,Le Figaro avec AFP,
  150. « Syrie : bombardements russes à Al-Bab »,Le Figaro,
  151. « En Syrie, une trêve sous le signe du duo Poutine-Erdogan »,Libération,
  152. Marie Jégo,« Les Kurdes syriens font les frais de la nouvelle entente russo-turque »,Le Monde,
  153. « Moscou et Ankara d'accord pour « coordonner » leurs frappes en Syrie »,Le Figaro avec AFP,
  154. Laurent Lagneau, « Premier raid aérien russo-turc en Syrie », surOpex360,(consulté le).
  155. AFP,« Syrie : les rebelles affirment avoir pris Al-Bab, fief de l'EI »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?),
  156. AFP,« Syrie : le bilan de l'attentat de l'EI près d'Al-Bab s'élève à 83 morts »,L’Orient-Le Jour,
  157. « Syrie : 42 morts dans une attaque suicide »,Le Figaro avec AFP,
  158. Reuters,« Attentat à la voiture piégée près d'al Bab en Syrie, 41 tués »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?),capital,
  159. ATS,« Un attentat suicide fait plus de 40 morts près d'Al-Bab »,Le Temps,
  160. « Al-Bab, ancien bastion de l’organisation État islamique en Syrie, durement frappé »,Le Monde avec AFP et Reuters,
  161. AP,« Syrie : une voiture piégée fait 60 morts »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?),Metro,
  162. Ariane Bonzon, « Ce qu'a gagné la Turquie en intervenant en Syrie »,Slate,
  163. Delphine Minoui, « Dans le Nord de la Syrie, la Turquie établit sa zone tampon »,Le Figaro,
  164. Benjamin Barthe,« Avec la conquête d’Al-Bab, la Turquie consolide son influence dans le Nord de la Syrie »,Le Monde,
  165. a etbReuters,« L'armée syrienne progresse rapidement au sud d'Al Bab »,boursorama,
  166. Benjamin Barthe,« Les groupes djihadistes accentuent leur emprise sur le Nord-Ouest de la Syrie »,Le Monde,
  167. AFP,« Syrie : les forces gouvernementales reprennent aux jihadistes une station de pompage d'eau »,L’Orient-Le Jour,
  168. AFP,« L'armée syrienne progresse face à l'EI dans le Nord »,L’Orient-Le Jour,
  169. (en) Chris Tomson,« Syrian Army reaches Lake Assad for the first time since 2012 amid humiliating ISIS defeat »,Al-Masdar News,
  170. Reuters,« L'armée syrienne reprend à l'EI un village à l'est d'Alep »,boursorama,
  171. Reuters,« Manbij, prochain objectif de la Turquie en Syrie, dit Erdogan »,L’Orient-Le Jour,
  172. a etb« Syrie : les Russes ont bombardé par erreur des alliés de la coalition »,Le Point,,Le Point avec AFP,
  173. AFP,« Syrie : les rebelles alliés à Ankara prennent deux villages aux Kurdes »,L’Orient-Le Jour,
  174. Paul Khalifeh,« L'armée syrienne remet un pied à Palmyre »,RFI,
  175. AFP,« Syrie : les Américains observent de loin les combats entre leurs alliés »,L’Orient-Le Jour,
  176. Caroline Hayek,« Les FDS déterminées à mettre des bâtons dans les roues des forces rebelles syriennes soutenues par Ankara »,L’Orient-Le Jour,
  177. Luc Mathieu,« À Manbij, point de friction des factions du conflit syrien »,Libération,
  178. (en) Yunus Paksoy,« Ankara content with Syrian regime presence in Manbij if PYD withdraws »,Daily Sabah,
  179. Marie Jégo,« Les Kurdes de Syrie s’allient à Damas contre l’avancée turque »,Le Monde,
  180. Georges Malbrunot,« Syrie : les miliciens kurdes se rapprochent d'el-Assad »,Le Figaro,
  181. a etbMarie Jégo,« Manbij attise les ambitions dans le Nord de la Syrie »,Le Monde,
  182. Pierre Avril,« Poutine et Erdogan déminent leur différend syrien »,Le Figaro,
  183. abc etdLouis Imbert,« La Russie bloque l’offensive de la Turquie en Syrie »,Le Monde,
  184. Reuters,« Moscou dit ne pas projeter de nouvelles bases en Syrie »,challenges,
  185. a etbMarie Jégo,« Le soutien de la Russie aux Kurdes entrave l’incursion turque en Syrie »,Le Monde,
  186. Marie Jégo,« Ankara clôt son intervention militaire en Syrie »,Le Monde,
  187. Reuters,« La Turquie annonce la fin de l'opération « Bouclier de l'Euphrate » »,boursorama,
  188. Caroline Hayek,« Pourquoi Ankara met fin à son opération en Syrie »,L’Orient-Le Jour,
  189. (en) Emre Peker,« Deaths in Syria Spur Unease in Turkey »,The Wall Street Journal,
  190. (en)« After series of earlier clashes between them… YPG release tens of fighters of “Euphrates Shield” with a mediation by Jaysh al-Thowwar »,OSDH,
  191. Suleiman Al-Khalidi et Danielle Rouquié,« Combats entre rebelles soutenus par la Turquie à al Bab en Syrie », surchallenges,Reuters,
  192. (en) Zen Adra,« Rebel infighting kills scores in northeast Alepp »,Al-Masdar News,
v ·m
Batailles et sièges
Région d'Alep
Régions d'Idlib,Hama etLattaquié
Rojava et régions deRaqqa etHassaké
Régions dudésert de Syrie et deDeir ez-Zor
Région deHoms
Région deDamas
Région deDeraa
Liban
Massacres
Attaques chimiques
Attentats
Confrontations israélo-syriennes
Interventions internationales
Ce document provient de « https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Opération_Bouclier_de_l%27Euphrate&oldid=222075829 ».
Catégories :
Catégories cachées :

[8]ページ先頭

©2009-2025 Movatter.jp