Vous lisez un « bon article » labellisé en 2012.
| Sortie | [Note 1] |
|---|---|
| Enregistré | - The Beacon &The Manor |
| Durée | 36:31 |
| Genre | World,new age |
| Producteur | Mike Oldfield |
| Label | Virgin Mercury (2010) |
| Classement | |
| Critique |
Albums deMike Oldfield
The Orchestral Tubular Bells
(1975)Incantations
(1978)
Ommadawn est le troisièmealbum studio dumusicienbritanniqueMike Oldfield, paru en octobre1975 chezVirgin Records. Il clôt la trilogie amorcée avecTubular Bells (1973), succès critique et commercial colossal et poursuivie avecHergest Ridge (1974), qui s'est bien vendu mais qui a connu de sévères critiques. Comme ces deux opus,Ommadawn se compose de deux suites d'environ vingt minutes, qui occupent chacune une face dudisque. En novembre, il se hisse à la quatrième place descharts britanniques.
La majeure partie de l'album est enregistrée au Beacon, la maison d'Oldfield dans leHerefordshire, où il a installé unstudio.Paddy Moloney, leader desChieftains, est invité à jouer de lacornemuse irlandaise, tandis que le groupe sud-africainJabula joue despercussions africaines. Ces influences celtiques et africaines permettent à Oldfield de créer une composition préfigurant laworld music.Ommadawn est par ailleurs associé à lamusique new age.
En juin 2010, l'album est ressorti sous le labelMercury avec du contenu additionnel.
Le premier album deMike Oldfield,Tubular Bells, sort en 1973. C'est un succès inattendu qui, en plus de lancer véritablement le labelVirgin Records créé parRichard Branson (et doncVirgin Group), place brusquement son jeune auteur sur le devant de la scène musicale. Complètement déstabilisé par cette soudaine notoriété, il se retire à la campagne dans une maison duHerefordshire, dans l'Ouest de l'Angleterre, près de la frontièregalloise. Son second album,Hergest Ridge, du nom d'une colline avoisinante, se hisse à la première place des charts anglais à l'automne 1974, malgré des critiques négatives[3], qui estiment qu'il se contente de reproduire la recette de son illustre prédécesseur[a 1] et que Mike Oldfield n'est en fin de compte qu'unone-hit wonder[4]. Le fait que l'album soit dépassé seulement trois semaines plus tard parTubular Bells, qui remporte en mars 1975 leGrammy Award de la meilleure composition instrumentale[5],[6],[2],[7], tend à confirmer cette vision des choses.
En janvier, soit quelque temps après le début de l'enregistrement, Mike Oldfield apprend le décès de sa mère[a 2]. Par la suite, il affirmera que sa seule consolation durant cette période consistait à s'immerger totalement dans sa musique[a 3],[4].
« J'avais décidé que je ne voulais dépendre de personne pour mon prochain album. Je voulais être musicien, producteur et ingénieur du son[4],[Note 2]. »
L'enregistrement d'Ommadawn débute en janvier 1975. Il s'effectue sur un magnétophone24 pistes[3], installé par Virgin Records à la demande de Mike Oldfield dans sa maison du Herefordshire,The Beacon[4]. Le studio étant situé sur une colline, l'acheminement des instruments, parmi lesquels unpiano à queue, s'avère difficile[1]. Plusieurs mois après le début de l'enregistrement survient un important incident : le magnétophone multipiste s'avère défectueux et, après les très nombreuxoverdubs effectués par Oldfield, il commence à en pâtir.« [Le magnétophone] commença à s'effriter et accumuler la poussière. Je me souviens que je devais nettoyer les têtes d'enregistrement de l'appareil toutes les vingt minutes environ […] Plus j'essayais d'enregistrer cette musique et plus la bande s'abîmait[a 4],[Note 3] ». Virgin lui envoie un magnétophone identique, qui lui permet de travailler sur une copie de la bande maîtresse, et l'ingénieur du son Philip Newell est appelé en renfort[3] mais le problème se répète. Alors que la première face de l'album est presque terminée, la qualité du son a tellement souffert de ces avaries que Mike Oldfield décide de tout recommencer en utilisant un enregistreur qui fonctionne correctement. Ces contretemps le découragent, mais lui permettent d'éviter de faire à nouveau les mêmes erreurs[a 4],[4].
Oldfield rappelle donc Leslie Penning et Don Blakeson pour qu'ils ré-enregistrent leurs parties. Il fait aussi appel au violoncelliste David Strange et aux musiciens duHereford City Band, dirigé par Penning. Pour les percussions africaines, Oldfield s'adresse, sur une suggestion de Simon Draper de Virgin, àJabula, un groupe sud-africain de quatre percussionnistes conduits par Julian Bahula. Leurs parties sont enregistrées auManor Studio, le studio de Richard Branson àShipton-on-Cherwell dans l'Oxfordshire, car il n'y a pas assez de place auBeacon. Il ne faut qu'une journée d'enregistrement pour avoir une prise parfaite, obtenue par les musiciens sous l'influence de lamarijuana[a 5]. Après l'avoir écouté auBeacon, Oldfield se rend compte qu'il serait « fabuleux » d'ajouter des chants à la fin de la première partie. Il appelle en conséquence Clodagh Simonds qui enchaîne plusieurs performances qui sont mixées les unes sur les autres. Il enregistre ensuite une partie jouée avec desmarimbas en bois[a 2]. La touche finale apportée à la première partie d'Ommadawn correspond à l'apport destimbales dePierre Moerlen, alors en contrat sous Virgin avec le groupeGong[a 3]. En tout, il faut plusieurs mois pour que la première face de l'album soit achevée[4].
La seconde partie est terminée plus rapidement. Mike Oldfield invitePaddy Moloney, membre desChieftains, à jouer de lacornemuse irlandaise. Sa partie a probablement remplacé celle enregistrée par un certain « Herbie », vraisemblablement un musicien local, crédité pour lesNorthumbrian bagpipes[8] (cornemuses ducomté de Northumberland). Enfin, Oldfield enregistreOn Horseback, une chanson écrite avec son ami photographe William Murray[a 6], inspirée de randonnées équestres avec lui et Leslie Penning. Il est accompagné au chant d'Abigail, Briony, Ivan et Jason Griffiths, les enfants d'un ami restaurateur local[4].

Alors qu'Ommadawn atteint les sommets des charts, et après avoir hésité à faire appel à un architecte pour une construction, Oldfield déménage àThrougham Slad, une maison en pierre desCotswolds, près du petit village de Througham dans leGloucestershire, dont certaines parties datent duXIIIe siècle, et qui lui a coûté 82 000 £. L'endroit lui paraît idéal : il n'y a pas de voisins à moins d'un demi-mille. Il effectue des travaux, fusionne plusieurs pièces pour obtenir de grandes salles et surtout, installe un studio[a 7]. Il retourne au Manor afin d'enregistrer une nouvelle version de la pièce traditionnelleIn Dulci Jubilo, en utilisant les bases d'un enregistrement précédent sorti sur la face B d'un single en février 1975. La nouvelle version, ajoutée àOn Horseback, paraît en single en novembre 1975 sous le numéro de catalogue Virgin VS 131 et atteint la quatrième place duUK Singles Chart. En janvier1976, il travaille dans son nouveau studio où il enregistre les morceaux traditionnelsPortsmouth etArgiers avec Leslie Penning. En octobre, Virgin sortBoxed, une compilation regroupant la trilogie composée deTubular Bells,Hergest Ridge etOmmadawn, ainsi qu'un disque présentant des collaborations avec Leslie Penning etDavid Bedford. Le,Portsmouth sort en single. Il atteint la troisième place des charts au Royaume-Uni et est un succès à travers toute l'Europe.
En 1976, Mike Oldfield commence à suivre une thérapie pour exorciser une enfance difficile et apprendre à vivre en société. Il en sort physiquement et psychologiquement transfiguré[a 6],[5]. En1977, il entame dans son nouveau studio, désormais achevé, l'enregistrement d'Incantations, qui sort en1978[4].The Beacon devient brièvement une maison d'hôtes[9].
Dans une interview accordée en juin1980, Mike Oldfield déclare s'être inspiré pourTubular Bells etOmmadawn des albumsIn the Court of the Crimson King (1969) deKing Crimson etA Rainbow in Curved Air (1969) deTerry Riley, ainsi que du guitaristeJohn Renbourn, sans plus de précisions[10].
| Structure d'Ommadawn Part One selon Ryan Yard[3] | |
| Premierthème, sans introductionx | 0:00 – 1:08 |
| Descente chromatique vers le second thèmex 1 | 1:16 – 1:45 |
| Répétition de l'exposition du premier thème avec élaboration etrubatox 3 | 1:45 – 2:36 |
| Descente chromatique vers le second thèmex 2 | 2:43 – 4:11 |
| Pont musical vers une nouvelleclé (Fa mineur) | 4:11 – 4:26 |
| Développement (sous forme de variations) Variation 1 nouvelle clé (Mimixolydien) | 4:26 – 6:10 |
| Variation 2 nouvelle clé (Mi majeur) | 6:10 – 6:58 |
| Variation 3 nouvelle clé (Mi majeur / La majeur) | 6:58 – 8:16 |
| Variation 4 nouvelle clé (Fa# majeur) | 8:16 – 9:47 |
| Variation 5 nouvelle clé (Mi mixolydien) | 9:47 – 11:08 |
| Récapitulation en nouvelle clé (Mi mineur) premier thèmex 2 | 11:08 – 11:46 |
| Échelle descendante vers le second sujetx 1 | 11:57 – 12:28 |
| Coda étendu basé sur un refrain principalx 7 (avecpercussions africaines) | 12:28 – 15:48 |
| Pont musical vers le final | 15:48 – 16:53 |
| Premier thème,tutti, en nouvelle clé (Sol# mineur) | 16:53 – 18:28 |
| Percussions africaines s'effaçant progressivement | 18:28 – 19:23 |
Bien qu'Oldfield n'ait pas suivi de formationclassique et bien qu'il n'ait pas nécessairement pris cette décision de manière raisonnée, malgré son goût pour les œuvres deFrederick Delius etJean Sibelius, la première partie d'Ommadawn évoque unesonate, même si elle n'en présente pas strictement les caractéristiques. Le développement se fait sous la forme de cinq variations faites sous diversmodes etinstrumentations[3].
À partir de 12:28 débute unecoda. Le même thème est entendu sept fois. À chaque répétition, un nouvel élément est ajouté afin de se rapprocher duclimax émotionnel[3]. En avril 1979, Oldfield aurait déclaré auMelody Maker, à propos de la fin du morceau, qu'il s'agissait du« son de [son] explosion [sic] hors du vagin de [sa] mère[a 8] ».
À partir de 12:28 et jusqu'à 15:48, unchœur féminin répète sept fois les mêmes paroles enirlandais, transcrites phonétiquement par« Ab yul ann-i idyad awt en yab na log a toc na awd taw may on ommadawn egg kyowl ommadawn egg kyowl[11] ». C'est Clodagh Simmonds, irlandaise, qui a écrit ses paroles avant de les chanter[a 5]. La première chose qui lui vint en tête fut« Daddy's in bed / The cat's drinking milk / I'm an idiot / And I'm singing » (« Papa est au lit / La chat est en train de boire du lait / Je suis un idiot / Et je chante ») et quelqu'un d'autre, peut-être sa mère, s'est occupé de la traduction[a 2]. Après avoir vu les paroles écrites[12], Oldfield est intéressé par le termeOmmadawn et trouve qu'il ferait un bon titre pour l'album, jusque-là intituléPickles On My Glockenspiel (Cornichons sur monGlockenspiel). Engaélique irlandais,Ommadawn s'écrit correctementAmadan et signifie « idiot », « sot » ou « fou »[Note 4]. Ce sont des êtres féeriques, qu'il faut éviter : si on est touché par l'un d'entre eux, on est paralysé, possiblement définitivement. La seule protection envisageable consiste à faire appel àDieu[13].
Il est possible qu'Amadan soit une sorte de message caché[13]. Mike Oldfield utilise ce procédé au moins une fois dans sa carrière, avecAmarok, lorsqu'il insère un message enmorse,« Fuck Off RB »[Note 5],[14] (en référence àRichard Branson, avec qui Oldfield est alors en mauvais termes).

La deuxième partie commence par desarpèges, plus calmement que la première[a 9]. Elle ressemble à un anti-climax, qui se rapproche de l'ambiance pastorale deHergest Ridge.Paddy Moloney, qui joue desuilleann pipes, s'approprie presque la mélodie du morceau[15].
Les paroles de la deuxième partie se concentrent toutes surOn Horseback, écrite par Mike Oldfield et William Murray, qui fait référence à leurs randonnées équestres avec Leslie Penning. Elle se termine d'ailleurs par les termes« You know, I'd rather be on horseback » (« Tu sais, je préfèrerais être sur le dos d'un cheval[16] »),leitmotiv du morceau. Selon Ryan Yard, la musique et les paroles d'On Horseback reflètent bien le caractère de Mike Oldfield à l'époque : jeunesse, naïveté, innocence, face à un monde dans lequel il ne se sent pas en sécurité[3].
Au troisièmecouplet, la phrase« Some make chaos, and others, toys » (« certains produisent du chaos, d'autres, des jouets ») a longtemps été un point de discorde entre fans, le mot « chaos » étant confondu avec « cars[17] » (« voitures »).
La photographie de la pochette représente Mike Oldfield derrière une fenêtre par temps pluvieux[15]. Elle a été prise par le photographe anglaisDavid Bailey[1]. Près de quinze années plus tard, William Murray tente de suivre son exemple pour la pochette d'Amarok mais il est forcé d'admettre que ce n'est pas une tâche facile et reconnaît que la photographie originale, malgré son apparente simplicité, montre à quel point David Bailey est un photographe talentueux[18].
Dans la semaine du,Ommadawn atteint la douzième place duUK Albums Chart[19]. Il culmine les deux semaines suivantes à la quatrième place et reste dans les classements britanniques jusqu'en avril 1976[20],[21],[22]. Il est finalement certifiéor par laBritish Phonographic Industry pour s'être vendu à au moins 100 000 exemplaires[23],[24]. L'album est un succès auxPays-Bas, puisqu'il atteint la seconde place des charts et y figure durant quatorze semaines[25]. AuxÉtats-Unis,Ommadawn n'atteint que la146e place duBillboard 200[26].
L'album est particulièrement apprécié par la critique[a 10]. Robin Denslow duGuardian livre par exemple de très bons commentaires[a 10]. Pour Karl Dallas duMelody Maker,Ommadawn, autoportrait de Mike Oldfield (« évidemment, avec une personnalité à ce point introvertie, chaque morceau que Mike Oldfield produit est un reflet de son âme[Note 6] »), est un « monstre », plus riche que ses deux prédécesseurs[15].
En 2010, Aymeric Leroy salue un album qui, en plus de relever le niveau après un décevantHergest Ridge, est capable de« faire jaillir l'émotion »[a 11]. PourJérôme Alberola,« la première partie est largement la plus belle, développant une trame tantôt extrêmement sereine, tantôt virevoltante et légère, mais toujours exécutée avec une confondante fluidité ». Il souligne ainsi le solo de guitare de 9:50 à 11:55[a 12].
Comme Mike DeGagne d'AllMusic[2], il insiste également sur la remarquable combinaison du folklore irlandais et de la musique africaine, qui atteint son paroxysme lorsque le thème principal de l'œuvre, joué en introduction de manière celtique, est repris à l'aide de tous les instruments de 11:56 à la fin du morceau en y ajoutant les percussions africaines.« Touché par la grâce divine, Mike Oldfield y déploie une musique combinant mysticisme et force qui se renforcent mutuellement dans un crescendo de transe hypnotique, débutant par une sereine invitation à la méditation pour atteindre un degré paroxystique de spiritualité rarement, voire, peut-être, jamais atteint[a 8] ». Frédéric Delâge parle, pour cette première partie, d'un « chef-d'œuvre[a 6] ».
La deuxième partie est dite« moins forte en ambiance ».On Horseback est qualifiée de« joyeuse chanson[a 9] » ; pour Jean-Guillaume Lanuque du Big Bang Magazine, elle est« campagnarde et apaisante, avec un air facilement mémorisable, et des chœurs d’enfants légèrement conventionnels[5] ». Pour Cyrille Delanlssays (AmarokProg), c'est une« chanson naïve aux arpèges arc-en-ciel[27] ». Karl Dallas la qualifie de « kitsch » ; c'est pour lui le genre de morceau que l'on adore ou déteste[15].
Jean-Marc Bailleux, dans leRock & Folk de décembre 1975, fait un constat bien plus mitigé. D'un côté, il trouve que la musique est« agréable, douce, qu'elle est JOLIE [sic], par instants belle, qu'elle coule et se laisse entendre […] sans effort ». Mais il la déclare aussi« creuse, le plus souvent vide d'émotion et, en tout cas, de sens ». Selon lui, Mike Oldfield exploite le même filon musical depuis plusieurs années sans chercher à se renouveler ; il regrette que les moyens que le musicien a expérimentés surTubular Bells soient désormais devenus des fins[28].
« On retrouve surOmmadawn tous les procédés qui étaient les trouvailles deTubular Bells et qui, après avoir resservi pourHergest Ridge, reparaissent ici quelque peu éculés. C'est toujours pareil : les mêmes emplois des mêmes instruments, les mêmes surimpressions, les mêmes sonorités ; avec la petite nouveauté de rigueur, ici les bagpipes[28]. »
— Jean-Marc Bailleux, Rock & Folk n°107
Le mélange afro-celtique initié surOmmadawn préfigure laworld music[a 9],[a 6],[5], popularisée dans lesannées 1980 (notamment parPeter Gabriel, ex-leader deGenesis, dont la musique est, comme celle d'Oldfield, considérée comme durock progressif). À l'instar deTubular Bells, l'un des premiers albums à être formellement classé ainsi[29], on peut aussi lier l'album à lanew age[a 9],[a 6].
Aux côtés deThe Orchestral Tubular Bells,The Orchestral Hergest Ridge (jamais publié en CD),Incantations etPortsmouth,Ommadawn est utilisé pour labande son du filmThe Space Movie de laNASA sorti en1979[30].Ommadawn est même utilisé dans desfilms pornographiques,Pandora's Mirror etHot Dreams, sortis en1983[31].
Le, une versionquadriphonique est publiée par Virgin dans la compilationBoxed.
Le,Ommadawn ressort sous lelabelMercury Records, qui a obtenu le transfert des droits sur les albums qu'Oldfield a fait alors qu'il était sous contrat avec Virgin. La ressortie comprend un nouveau mix5.1 exécuté par Oldfield et une piste titréeLost Version (« version perdue »), une démo originale de la première partie qu'on pensait perdue et qui comporte d'autres paroles mettant en scène Mike Oldfield en discussion avec lui-même[32]. Dans le cadre de l'opérationBack to Black, unvinyle 180 grammes sort également[33],[34].
En 2016 Mike Oldfield enregistre une suite à cet album, intituléeReturn to Ommadawn.
Référence pour la durée des morceaux : Universal Music[35]
| No | Titre | Durée |
|---|---|---|
| 1. | Ommadawn (Part One) | 19:05 |
| 2. | Ommadawn (Part Two) / On Horseback | 17:20 |
| 3. | In Dulce Jubilo[Note 8] | 2:51 |
| 4. | First Excursion | 5:56 |
| 5. | Argiers | 3:57 |
| 6. | Portsmouth | 2:04 |
| CD1 | |||||||||
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| No | Titre | Durée | |||||||
| 1. | Ommadawn (Part One) | 19:05 | |||||||
| 2. | Ommadawn (Part Two) / On Horseback | 17:20 | |||||||
| 3. | In Dulce Jubilo | 2:51 | |||||||
| 4. | First Excursion | 5:56 | |||||||
| 5. | Argiers | 3:57 | |||||||
| 6. | Portsmouth | 2:04 | |||||||
| CD2 | |||||||||
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| No | Titre | Durée | |||||||
| 1. | Ommadawn (Part One) | 19:10 | |||||||
| 2. | Ommadawn (Part Two) / On Horseback | 17:11 | |||||||
| 3. | Ommadawn (Lost Version) | 17:10 | |||||||
| DVD | |||||||||
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| No | Titre | Durée | |||||||
| 1. | Ommadawn (Part One) | 19:04 | |||||||
| 2. | Ommadawn (Part Two) / On Horseback | 17:22 | |||||||
| 3. | In Dulci Jubilo | 3:04 | |||||||
| 4. | Portsmouth | 2:03 | |||||||
| No | Titre | Durée |
|---|---|---|
| 1. | Ommadawn (Part One) | 19:10 |
| 2. | Ommadawn (Part Two) / On Horseback | 17:11 |
Les informations proviennent initialement du livret fourni avec l'édition 2010 du CD[4]. Plusieurs éléments s'y ajoutent.
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| Classement (1976) | Position |
|---|---|
| 36 |
| Albums studio |
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|---|---|
| Albums en concert | Exposed |
| Bandes originales | The Killing Fields (BO du filmLa Déchirure) |
| Compilations |
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| Chansons | |
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| Voir aussi | Discographie |