Movatterモバイル変換


[0]ホーム

URL:


Aller au contenu
Wikipédial'encyclopédie libre
Rechercher

Olympus Mons

18° 24′ N,226° 00′ E
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Page d’aide sur l’homonymie

Pour les articles homonymes, voirOlympe (homonymie) etOlympus.

Olympus Mons
Image illustrative de l'article Olympus Mons
Mosaïque d'images deViking 1 Orbiter ().
Géographie et géologie
Coordonnées18° 24′ N,226° 00′ E[1]
RégionRenflement de Tharsis
Type de reliefMons
Nature géologiqueVolcan bouclier
Époque de formationau moins 3,83 Ga[2]
Surfaces récentesenviron 2 Ma
Inclinaison des pentes5° en moyenne
Diamètre648 km
Hauteur22,5 km
Point culminant21 229 m[3]
Dimensions caldeira80 × 60 km
Profondeur caldeirajusqu'à 3 km
Quadrangle(s)Amazonis,Tharsis
ÉponymeMont Olympe enGrèce
Localisation sur Mars

(Voir situation sur carte : Mars)

Olympus Mons
modifier 

Olympus Mons, nomlatin pour « mont Olympe », est unvolcan bouclier de laplanète Mars situé par18,4° N et 226° E, dans lesquadranglesd'Amazonis etde Tharsis. C'est l'un des plus hautsreliefs connus dusystème solaire, culminant à 21 229 mètres au-dessus duniveau de référence martien[3] ; des altitudes supérieures ont été très souvent publiées, même encore en 2005 sur des sites institutionnels américains tels ceux de laNASA[4], mais relèvent d'estimations duXXe siècle antérieures aux mesures de l'altimètre laser deMars Global Surveyor (MOLA) et sont fondées sur un niveau de référence des altitudes martiennes alors inférieur de 4 à 6 km.

Olympus Mons s'élève à 22,5 km en moyenne au-dessus des plaines environnantes, dont l'altitude est inférieure au niveau de référence. Depuis la fin duXIXe siècle, cette gigantesque formation était connue des astronomes comme une particularité à fortalbédo avant que lessondes spatiales ne révèlent sa naturemontagneuse. Son premier nom, Nix Olympica, enfrançais « Neige de l'Olympe », lui a été donné par l'astronome italienGiovanni Schiaparelli.

Toponymie

[modifier |modifier le code]

Le nom initial enlatin,Nix Olympica, enfrançais « Neige de l'Olympe » en référence aumont Olympe situé enGrèce, fut le premier nom attribué àOlympus Mons par l'astronomeitalienGiovanni Schiaparelli et ses successeurs, lorsqu'ils entreprirent decartographier la planèteMars à l'aide delunettes astronomiques auXIXe siècle — bien avant l'exploration spatiale de la planète rouge, qui a commencé le avecMariner 4.

Ces premiers observateurs de Mars ont développé une nomenclature reposant sur l'albédo relatif des différentes régions martiennes observées depuis laTerre. LetoponymeNix Olympica faisait référence à l'apparenceenneigée de cette zone,nix enlatin signifiant « neige ». L'albédo élevé perçu depuis la Terre est en réalité provoqué non pas par de la neige mais par les nuages deglace dedioxyde de carbone accrochés à son sommet.

La naturevolcanique de cette région n'a été comprise qu'au début desannées 1970 avec la sondeMariner 9, dont les clichés à bonne résolution ont permis d'identifier lacaldeira et d'interpréter l'ensemble comme un gigantesquevolcan bouclier.

Aujourd'hui,Nix Olympica désigne uniquement l'ancienneformation d'albédo identifiée depuis la Terre[5] tandis qu’Olympus Mons se réfère à l'édifice volcanique dans son ensemble[1]. La littérature scientifique ne traite par conséquent que d'Olympus Mons et non de Nix Olympica.

Géographie

[modifier |modifier le code]

Localisation

[modifier |modifier le code]

Olympus Mons s'étend entre 13,7° et 23,8° delatitude nord et 129° et 139,3° delongitude ouest[6].

Il se trouve sur la bordure nord-ouest durenflement de Tharsis, immense soulèvement de la surface martienne, centré surNoctis Labyrinthus etSyria Planum, dont l'extension occidentale concentre une douzaine de volcans majeurs. Parmi eux, l'alignement de trois grandsvolcans boucliers — Arsia Mons,Pavonis Mons etAscraeus Mons — constitue l'ensemble deTharsis Montes, prolongé au nord-est par legroupe d'Uranius. Les environs immédiats d'Olympus Mons, qui se fondent dansAmazonis Planitia, sont situés environ 1 500 m sous leniveau de référence martien.

Carte de la région d'Olympus Mons et de la chaîne deTharsis Montes.
Topographie d'Olympus Mons et ses environs par le MOLA.
Carte deMars parGiovanni Schiaparelli (1890).

Topographie

[modifier |modifier le code]
Hauteur comparée d'Olympus Mons avec les plus hautes montagnes terrestres : leMauna Kea et l'Everest.
Carte topographique d'Olympus Mons.
Image satellite de lacaldeira d'Olympus Mons.
Vue oblique recomposée d'Olympus Mons d'après une mosaïque de photographies de lasondeViking.
Vue3D de la caldeira.

L'édifice central s'élève à 22,5 km en moyenne au-dessus de sa base — soit deux fois et demie la hauteur de l'Everest par rapport auniveau de la mer et plus du double de celle duMauna Kea par rapport à sa base — et à 21,2 km au-dessus du niveau de référence martien. Large de 648 km[6], il possède à son sommet unecaldeira complexe d'environ 80 × 60 km résultant de la coalescence d'au moins six cratères enchevêtrés, attestant l'histoire mouvementée de la caldeira avec notamment la présence degrabens résultant de l'effondrement de la surface dans unefaille.

Il est entouré d'unefalaise formant un escarpement continu sur toute sa circonférence, d'une hauteur de 2 à 6 km. Au-delà de cet escarpement se trouve une zone souvent appelée « l'auréole » du volcan, constituée de crêtes et de grands blocs s'étendant jusqu'à un millier de kilomètres de la caldeira. Cela met en évidence l'expansion et la modification de la surface liées à l'activité glaciaire.

L'inclinaison des pentes du volcan est voisine de5 degrés en moyenne, atteignant30 degrés au niveau de l'escarpement périphérique[2].

À proximité de la caldeira se trouvent deuxcratères d'impact. À une vingtaine de kilomètres au sud, lecratère Pangboche a un diamètre de 10,4 km. Il a été nommé par l'Union astronomique internationale[7] en 2006 d'après une localité duNépal située à vingt kilomètres du sommet de l'Everest. C'est sur le rebord ouest de ce cratère que se trouve le point le plus haut d'Olympus Mons, à 21 229 m au-dessus du niveau de référence. Lecratère Karzok, situé à une quarantaine de kilomètres à l'est de la caldeira, a un diamètre de 15,6 km[8]. Il a été nommé d'après une localité duCachemire indien. D'autres cratères d'impact sont également visibles sur les flancs du volcan.

Géologie

[modifier |modifier le code]

Olympus Mons est unvolcan bouclier, le résultat de l'empilement d'unelave très fluide émise par descheminées volcaniques sur une durée suffisamment longue. SurTerre, un tel volcan résulte d'épanchements de laves pauvres en silice qui s'écoulent facilement sur de grandes distances, formant des structures aplaties s'étalant sur des surfaces très importantes, contrairement, par exemple, auxstratovolcans, dont le cône, bien formé, a une base bien plus restreinte. Le type même de volcan bouclier est, sur Terre, leMauna Loa, àHawaï ; lepiton de la Fournaise, àLa Réunion, en est un autre, plus petit mais très actif.

En raison de la nature fluide de ses laves, un volcan bouclier est bien plus large que haut. L'inclinaison moyenne des pentes d'Olympus Mons varie ainsi entre 5 et10 degrés de façon progressive, avec parfois cependant quelques ruptures de pente.

Datation

[modifier |modifier le code]

En 2004, la caméra stéréo haute résolution (HRSC) de la sonde européenneMars Express a identifié, sur les flancs d'Olympus Mons, descoulées de lave datant d'à peine 2 millions d'années. La jeunesse de celles-ci à l'échelle géologique suggère que le volcan pourrait encore êtreen activité[9]. Le volcan lui-même se serait formé auNoachien, il y a plus de 3,8 milliards d'années, et l'activité la plus récente dans les caldeiras serait intervenue il y a entre 150 et 100 millions d'années[2].

Les volcans boucliers martiens atteignent des tailles gigantesques par rapport à leurs équivalents terrestres en raison de l'absence detectonique des plaques sur Mars : la croûte martienne demeure immobile par rapport auxpoints chauds ; ceux-ci peuvent ainsi percer la croûte au même endroit pendant de très longues périodes pour donner naissance à des édifices volcaniques résultant de l'accumulation de laves pendant parfois plusieurs milliards d'années (3,8 milliards d'années dans le cas d'Olympus Mons). Sur Terre, cela n'est pas possible ; en effet, le déplacement desplaques lithosphériques au-dessus de ces points chauds conduit à la formation d'un chapelet de parfois plusieurs dizaines de volcans, chacun ne demeurant actif que pendant quelques millions d'années, ce qui est bien trop bref pour permettre la formation de structures aussi imposantes que sur Mars. L'archipel d'Hawaï est le meilleur exemple terrestre illustrant le déplacement d'une plaque tectonique au-dessus d'un point chaud, en l'occurrence de laplaque pacifique au-dessus dupoint chaud d'Hawaï ; de la même façon, l'archipel desMascareignes résulte du déplacement de laplaque somalienne au-dessus dupoint chaud de La Réunion.

Les investigations récentes menées par les sondes spatiales en orbite autour de Mars indiquent toutes que la surface martienne a fait l'objet de transformations significatives jusqu'à un passé parfois très récent (d'un point de vue géologique), de seulement quelques millions d'années.Olympus Mons n'échappe pas à la règle et, outre des coulées de lave, des phénomènes de naturetectonique et mêmehydrologique datés de seulement 40 à 25 Ma ont été identifiés sur le flanc oriental du volcan[10].

Escarpement

[modifier |modifier le code]

L'escarpement et l'auréole sont tous deux mal compris. La falaise résulterait de glissements de terrain, et l'auréole proviendrait des matériaux entassés au bas de ces glissements. Les coulées de lave s'étendent au-delà de l'escarpement[11].

L'escarpement qui entoure la montagne à sa base aurait été formé par desglissements de terrain induits par une fonte massive dupergélisol[11] ou par un soulèvementtectonique[12],[13]. Les structures linéaires en forme decrêtes présentes autour du volcan au-delà de l'escarpement seraient, quant à elles, desdykes mis en place après les dernièrescoulées de lave ayant atteint la base du volcan[14]. Ces dykes formeraient des structures parallèles ou radiatives, traduisant ainsi des intrusions dans le sol martien[14]. Selon d'autres théories, ces structures seraient les restes des glissements de terrain ayant conduit à la formation de l'escarpement[11]. Une autre théorie propose que l'escarpement serait une résultante de l'érosion qui aurait dégagé le cœur du volcan en déblayant des terrains plus tendres qui constituaient les premiers contreforts de la montagne[11]. Une autre théorie sur la formation de l'escarpement et de ces structures linéaires fait intervenir desglaciers[15]. Cette théorie propose qu'Olympus Mons est à l'origine unvolcan sous-glaciaire formé sous une épaisseur de deux à trois kilomètres de glace[15]. Construit sur le même mode que lestuyas terrestres, lalave se serait empilée en formant l'escarpement[15]. La glace disparue, les auréoles de matériaux situés à la base de l'escarpement se seraient alors formés par des glissements de terrain, faisant d'eux les structures les plus jeunes d'Olympus Mons et non les plus anciennes comme il a été proposé depuis leur découverte[15]. En 2023, une nouvelle interprétation considère l'escarpement principal concentrique de 6 km de haut entourant Olympus Mons comme formé par de lalave coulant dans de l'eau liquide, lorsque l'édifice était uneîle volcanique active à la fin duNoachien et au début de l'Hespérien[16].

Climat

[modifier |modifier le code]
L'Olympus Mons photographié par la sondeViking 1.

Une erreurcourante[réf. nécessaire] consiste à croire que le sommet d'Olympus Mons se situe au-dessus de l'atmosphère martienne. Lapression atmosphérique au sommet est à peu près 12 % de celle de la surface martienne. Par comparaison, la pression atmosphérique au sommet de l'Everest est à peu près 25 % de celle observée auniveau de la mer. Malgré cela, les poussières atmosphériques sont tout de même présentes et une couverturenuageuse deglace de dioxyde de carbone est toujours envisageable au sommet d'Olympus Mons. Les nuages deglace d'eau ne peuvent en revanche pas s'y développer[pourquoi ?]. Bien que la pression atmosphérique martienne moyenne représente moins de 1 % de la pression terrestre, la plus faiblegravité locale permet à l'atmosphère de s'étendrebeaucoup plus haut en altitude.

La présence d'Olympus Mons affecte grandement lacirculation atmosphérique, parfois jusqu'à une altitude d'une cinquantaine de kilomètres[17]. Ainsi, l'atmosphère située sur les flancs duvolcan, réchauffée par les rayons duSoleil, serait parcourue par des mouvements ascendants[17]. Cet air réchauffé se refroidirait en altitude et retomberait à distance du volcan[17]. À proximité de la surface martienne, l'air serait comprimé et se réchaufferait[17].

Une zone plus chaude entoureOlympus Mons à 10 degrés environ du sommet du volcan[17]. Cette zone, circulaire, large de 5 à 7 degrés et située à environ cinq kilomètres d'altitude, se trouve à la base de l'escarpement et présente unetempérature pouvant atteindre30 kelvins de plus que les zones environnantes[17].

Culture populaire

[modifier |modifier le code]
Comparaison de l'étendue d'Olympus Mons par rapport à laFrance.

De par sonaltitude la plus élevée dusystème solaire et de son nomlatin se traduisant enfrançais par « mont Olympe »,Olympus Mons occupe une place importante dans la culture populaire.

C’est parfois le lieu de vie dedivinités dans lalittérature comme c'est le cas dansIliumetOlympos deDan Simmons ouMars aux ombres sœurs deFrederick Turner (en) (1978). Il peut encore être un des lieux principaux comme quand il est le siège de l'École de commandement militaire d'Olympus où sont formés les soldats dela FORCE dans la sagaHypérion deDan Simmons ou bien le lieu d'un festival annuel dansLa Trilogie de Mars deKim Stanley Robinson. L'escarpement est aussi le lieu d'une scène d'escalade dans lanouvelleMars la verte (Green Mars) durecueilLes Martiens de Kim Stanley Robinson. La montagne joue un rôle central dansOlympus Mons, série debande dessinée de science-fiction parChristophe Bec etStefano Raffaele (2001)[18]. Par ailleurs, dans la bande dessinéeUniversal War Two, le volcan Olympus Mons se réveille.

Lamontagne peut aussi servir de décor comme dans la série téléviséeExosquad où se déroule une bataille ou bien dans la nouvelleOlympus Mons deWilliam Walling où des colons se sont établis au pied de la montagne qui leur fournit l'essentiel de leureau grâce à un système d'aqueducs détruits au cours d'uneéruption[19].

Une chanson du groupe de rock américainPixies sur l'albumTrompe le Monde y fait explicitement référence :Bird Dream of the Olympus Mons.

Dans le jeuCall of Duty: Infinite Warfare, le vaisseau amiral du SetDef, colons martiens en rébellion contre laTerre, s'appelle l'Olympus Mons.

Références

[modifier |modifier le code]
  1. a etb(en)USGS Gazetteer of Planetary Nomenclature – Feature Information « Olympus Mons. »
  2. ab etc(en)Freie Universität Berlin « 15. Volcanic Activity on Mars. »
  3. a etb(en)U. S. Geological Survey – 2003 « Color-Coded Contour Map of Mars. »
  4. (en)NASA JPL Welcome to the Planets – 10 mai 2005 « Shield Volcano. »
  5. (en)USGS Gazetteer of Planetary Nomenclature – Feature Information « Nix Olympica. »
  6. a etb(en) Gazetteer of Planetary Nomenclature, « Mars: Olympus Mons », Union astronomique internationale,(consulté le)
  7. (en) Gazetteer of Planetary Nomenclature, « Mars: Pangboche », Union astronomique internationale,(consulté le)
  8. (en) Gazetteer of Planetary Nomenclature, « Mars: Karzok », Union astronomique internationale,(consulté le).
  9. (en)G. Neukum, R. Jaumann, H. Hoffmann, E. Hauber, J. W. Head, A. T. Basilevsky, B. A. Ivanov, S. C. Werner, S. van Gasselt, J. B. Murray, T. McCord et l'équipe de l'expérienceHigh Resolution Stereo Camera de la missionMars Express, « Recent and episodic volcanic and glacial activity on Mars revealed by the High Resolution Stereo Camera »,Nature,vol. 432,‎,p. 971-979(ISSN 0028-0836,lire en ligne)
    DOI 10.1038/nature03231
  10. (en)A. T. Basilevsky, S. C. Werner, G. Neukum, J. W. Head, S. van Gasselt, K. Gwinner, B. A. Ivanov, « Geologically recent tectonic, volcanic and fluvial activity on the eastern flank of the Olympus Mons volcano, Mars »,Geophysical Research Letters,vol. 33,‎,p. L13201(lire en ligne)
    DOI 10.1029/2006GL026396
  11. abc etd(en) Rosaly M. C. Lopes, J. E. Guest, C. J. Wilson,Origin of the Olympus Mons aureole and perimeter scarp
  12. P. Francis, G. Wadge, J. Geophys. Res. 88, 8333-8344, 1983
  13. A. Borgiaet al., J. Geophys. Res. 95, 14357 – 14382, 1990
  14. a etb(en) L. Wilson, P. J. Mouginis-Mark,Widespread occurrence of dikes within the Olympus Mons aureole materials.(lire en ligne)
  15. abc etd(en) Johann Helgason,Formation of Olympus Mons and the aureole-escarpment problem on Mars(présentation en ligne)
  16. (en) A. Hildenbrand, H. Zeyen, F. Schmidt, S. Bouley, F. Costardet al., « A giant volcanic island in an early Martian Ocean? »,Earth and Planetary Science Letters,vol. 619,‎1er octobre 2023, articleno 118302(DOI 10.1016/j.epsl.2023.118302).
  17. abcde etf(en) P. M. Wolkenberg, V. Formisano, G. Rinaldi, M. D'Amore, A. Geminale, L. Montabone, A. Spiga, T. I. Michaels,An atmospheric hot ring around Olympus Mons,(lire en ligne)
  18. LaetitiaGayet, « Mars Horizon, On Mars, Olympus Mons », surFrance Inter,
  19. (en)Novels by William Walling

Voir aussi

[modifier |modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes

[modifier |modifier le code]

Bibliographie

[modifier |modifier le code]
  • Paul Raeburn,Mars: Uncovering the Secrets of the Red Planet, National Geographic,(ISBN 0792273737)

Liens externes

[modifier |modifier le code]

v ·m
Généralités
Formations
géologiques
Terrae,plaines
etplateaux
Volcans
Cratères
Gorges et vallées
Escarpements
Autres formations
Temps géologiques
Exploration
Satellites naturels
Astéroïdes troyens
En L4
En L5
Ce document provient de « https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Olympus_Mons&oldid=228289516 ».
Catégories :
Catégories cachées :

[8]ページ先頭

©2009-2025 Movatter.jp