Olympia Alberti[3],[4],[5],[6]a vécu à Antibes etJuan-les-Pins, de sa naissance jusqu'à1969, la fin de ses études secondaires. Elle a suivi des études supérieures à laFaculté des Lettres et Sciences Humaines de Nice de 1969 à1972. Elle a unelicence de littérature française, unemaîtrise, unDEA et unDoctorat, tout de littérature comparée. Olympia Alberti a été mariée et a deux filles: Diane Scott (metteur en scène de théâtre à Paris[7]) et Ophélie Scott (avocate à Montréal).
En 1972 elle est partie vivre à Brazzaville (Congo), avec son époux. De retour en France, en1974, ils se sont installés àNice pour un an. En1975 ils sont partis vivre àCasablanca (Maroc) pour trois ans. En1978 ils ont quitté le Maroc pour aller vivre enIran, en pleinerévolution, jusqu'en1980. Dans tous ces pays, elle a travaillé comme professeur de littérature française, détachée auprès duMinistère des Affaires étrangères (enseignement enlycée). De 1980 à 1989 elle a demandé une disponibilité pour élever son second enfant et se consacrer à l'écriture. Entre 1980 et1986 toute la famille a vécu àla Marsa (Tunisie). Depuis cette date elle réside en France. Jusqu'à maintenant, elle a fait aussi sept voyages en Inde, pays qu'elle considère comme sa patrie spirituelle..
Pendant quinze ans, elle a été chargée de cours derhétorique etstylistique et de littérature comparée à la Faculté de Lettres de Nice. Actuellement, elle est chargée de mission à la Culture, attachée aurectorat de l’académie de Nice, avec la RevueSans Papier, des ateliers d’écriture en établissements secondaires (poésie, nouvelles, récit) et conférences en France et ailleurs (Lima,Beyrouth,Stockholm,New York,Tunis).
Elle a collaboré aussi avecFrance-Culture,Nouvelles Clefs,Question de entre autres. Près de cinq cent cinquante de ses chroniques littéraires ont été publiées dansNice-Matin. Elle a publié plusieurs articles au titre de chercheur dans plusieurs ouvrages collectifs commeL’être d’amour etLe Chercheur de lumière dans le livreCommuniquer pour vivre, édité parAlbin Michel en1996. Elle a dirigé aussi la collection de nouvelles « Donner à aimer », de Melis Éditions. Elle a été écrivain résident au château de La Napoule durant deux sessions, et à la maison deJules Roy. Son livreLes enfants reviendront après l'Epiphanie a donné lieu à un film documentaire surFrance 2 etFrance 3.
En 2016, son récit sur la vie extraordinaire deMère Teresa est réédité (il avait été publié pour le centenaire de sa naissance)[8].
Son œuvre a été partiellement traduite enchinois,grec etespagnol. D’autre part sa nouvelleCarnet mondain a été traduite en huit langues de l’Inde.
En2000 son essaiRilke sans domicile fixe a obtenu la bourse Thyde Monnier[11] de la Société des gens de lettres[12] et en2002 elle a reçu une bourse des MissionsStendhal (Programme du ministère des Affaires étrangères coordonné par Culturesfrance)[13] pour réaliser une recherche et postérieurement un roman ayant pour thème une reflexion approfondie sur l’esclavage auxÉtats-Unis à partir de1830. En2008, elle publia le livre chez Ramsay. Le titre estLa Prophétie de la rivière.