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| Olivier Gaillard | |
.jpg) Olivier Gaillard en 2017. | |
| Fonctions | |
|---|---|
| Maire deSauve | |
| En fonction depuis le (5 ans, 6 mois et 1 jour) | |
| Élection | |
| Prédécesseur | Alexandra Masot |
| Conseiller départemental duGard | |
| En fonction depuis le (10 ans, 7 mois et 25 jours) | |
| Élection | 29 mars 2015 |
| Réélection | 27 juin 2021 |
| Circonscription | Canton de Quissac |
| Prédécesseur | Lionel Jean |
| Député français | |
| – (4 ans et 5 jours) | |
| Élection | 18 juin 2017 |
| Circonscription | 5e du Gard |
| Législature | XVe(Cinquième République) |
| Groupe politique | LREM(2017-2020) NI(2020-2021) |
| Prédécesseur | William Dumas |
| Successeur | Catherine Daufès-Roux |
| Troisième vice-président duconseil départemental du Gard délégué aux infrastructures et aux déplacements | |
| – (2 ans, 1 mois et 16 jours) | |
| Président | Denis Bouad |
| Successeur | Martin Delord |
| Biographie | |
| Date de naissance | (58 ans) |
| Lieu de naissance | Nîmes,France |
| Nationalité | Française |
| Parti politique | PS(jusqu'en 2017) LREM(2017-2020) |
| Profession | Fonctionnaire de catégorie A |
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Olivier Gaillard, né le àNîmes, est unhomme politiquefrançais.
Après avoir été membre duParti socialiste, il est éludéputé de lacinquième circonscription du Gard en 2017, sous l'étiquette deLa République en marche. Trois ans plus tard, en 2020, il quitte ce parti et annonce sa démission de l'Assemblée nationale. Il est élumaire deSauve.
Olivier Gaillard commence son engagement politique auParti socialiste (PS)[1].
Il est élu adjoint au maire deSauve en 2001[2], puis conseiller général aux élections cantonales en 2008[3]. En 2015, toujours sous l’étiquette PS, il est éluconseiller départemental duGard[4] et également à la vice-présidence aux infrastructures et aux déplacements. Il est aussi président de lacommunauté de communes du Piémont Cévenol.
Lors des élections législatives de 2017, il est investi parLa République en marche, parti du nouveau présidentEmmanuel Macron, dans lacinquième circonscription du Gard. Il l’emporte au second tour, avec 63,6 % face au candidat duFront national[5].
Déclarant regretter de n'être qu'« un élu de seconde zone » dans un Parlement qui oublierait les territoires locaux[6], Olivier Gaillard quitte LREM en et annonce sa démission future de son mandat de député, après lesélections municipales. Candidat à Sauve, sa liste l’emporte face à celle de la maire sortante, Alexandra Masot. Cependant, l'élection des nouveaux maires étant repoussée en raison de lapandémie de Covid-19, il reste député[7], mais ne siège plus[8]. Il quitte legroupe La République en marche le[9].
Il est élu maire de Sauve le[10]. Mais un recours au tribunal administratif déposé par Alexandra Masot lui permet de conserver son mandat de député jusqu'à la fin de la procédure.
Cependant, bien que les élections municipales aient été annulées peu avant, Olivier Gaillard annonce en octobre 2020 : « J’ai une période d’un mois qui correspond au délai de recours. Et là, derrière, j’enclencherai la procédure administrative pour quitter mon poste de député. Ce qui veut dire qu’en décembre, ce sera terminé »[11]. Il attend cependant, conformément à la loi sur le cumul des mandats, un mois après la décision finale duConseil d'Etat qui valide son élection comme maire[12] pour quitter ses fonctions de député le 26 juin 2021[13]. Sa suppléante,Catherine Daufès-Roux, devient alors députée, permettant à LREM de récupérer un siège[14]. Le lendemain, il est élu conseiller départemental (divers gauche) du Gard dans le canton de Quissac[15].
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